#alejandro villeli
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este dibujo lo hice por el cumpleaños del actor de doblaje Alejandro Villeli Quién es conocido por ser la voz de Giovanni en la franquicia de Pokémon, Abuelo Lou Pickles en Aventuras en pañales, Rugrats crecidos y Rugrats: Aventuras en pañales, Jardinero Willie en Los Simpson (temps. 3-15 y desde la 32), Wallace en Wallace y Gromit: La batalla de los vegetales y Wallace y Gromit: El mundo de los inventos y Lon en Pocahontas
en mixels fue la voz de el segundo el lider de los Klinkers y codicioso director ejecutivo de Klinkerton Incorporated, gox (también fue la voz de sharx)
le deseamos un gran cumpleaños 🎂🎉.
༘˚⋆𐙚。⋆𖦹.✧˚༘˚⋆𐙚。⋆𖦹.✧˚༘˚⋆𐙚。⋆𖦹.✧˚
I made this drawing for the birthday of the voice actor Alejandro Villeli, who is known for being the voice of Giovanni in the Pokémon franchise, Grandpa Lou Pickles in Rugrats, Grown Rugrats and Rugrats: Adventures in Diapers, Gardener Willie in The Simpsons (temps. 3-15 and from 32), Wallace in Wallace and Gromit and Wallace and Gromit: The World of Inventions and Lon in Pocahontas
In Mixels he was the voice of the second leader of the Klinkers and greedy CEO of Klinkerton Incorporated, Gox (he was also the voice of Sharx).
We wish you a great birthday 🎂🎉..
#alejandro#birthday#cartoon network#cumpleaños#doodle#gox#happy birthday#lego#doblaje#phone doodle#mixels#doodlen#villeli#lego mixels#mxls#mixels gox#alejandro villeli#my art#art post#art tag
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Bonjour !
J'apprécie beaucoup ton travail, et je me demandais s'il t'était possible, quand tu auras un peu de temps et si la personnalité dont je vais te parler t'inspire, de concocter quelques avatars. La personnalité en question est Alejandro Speitzer. Je n'ai pas masse de ressources pour Alejandro alors que clairement… JE L'ADORE. Mais je suis anti douée en graphisme :'D.
J'espère que la sélection de photos faite sera d'assez bonne qualité : https://imgbox.com/g/Us9ilcbaal
Pour te parler un peu du personnage : Diego Arriaga, jeune mexicain a débarqué à New York il y a plusieurs années. Il n'est pas venu seul. En effet, marchant à ses côtés, se trouvait toute une fratrie. La vie des gamins n'a pas été toute rose ; naître et grandir dans un bidonville avec un père s'enfonçant dans les drogues, se noyant de plus en plus dans ses verres d'alcool et s'en prenant gratuitement à qui rencontrait sa route, et une mère que la situation a plongé dans une profonde dépression a poussé Diego à prendre soin de tout ce petit monde alors qu'il était très jeune. Les services sociaux s'en sont mêlés, et c'est ainsi que les frères et sœurs ont pris l'avion, quittant leur Mexique natal et direction la grosse pomme pour aller vivre chez une de leur tante. Diego a toujours eu à cœur de protéger les plus jeunes membres de la famille, et il est celui sur qui les coups du père pleuvaient puisqu'il se mettait systématiquement au travers de sa route pour l'empêcher de lever la main sur quelqu'un d'autre. Il n'est pas beaucoup allé à l'école, il n'est donc clairement pas doué en écriture ou en lecture... Par contre, il se débrouille pas trop mal avec les chiffes, ce qui lui permet de tenir son food truck sans trop de problèmes. Mais il ne fait pas que cuisiner le Mexicain, ça non. À couvert de son travail, il refourgue de la dope aux étudiants de la ville ou à quiconque en demande. Il est aux prises d'un cartel de drogues puissant, et bien qu'il n'aime pas cela, s'il veut subvenir aux besoins des siens, il n'a pas le choix, il ne sait rien faire d'autre. Diego c'est un gentil gars qui cumule la malchance et à qui la vie se fait un malin plaisir de faire de bon gros F**K régulièrement. Il est tout mignon, timide à souhait, ses joues rougissent facilement et il peut se montrer maladroit quand il est mal à l'aise. À côté de ça, il est aussi têtu et à une force de travail hallucinante. Évidemment, avec ce qu'il a vécu, il déteste la violence et il a tendance à se murer à la fois dans le silence et dans l'immobilisme quand il en est spectateur ou victime. Sinon, il adore les étoiles et tout ce qui se trouve dans le ciel de façon générale. Il est attiré à la fois par les femmes et par les hommes, bien qu'il ne soit pas du tout à l'aise avec la seconde possibilité, se voilant donc la face.
Je te remercie de m'avoir lu et je te souhaite une très belle journée !
Mallorie
Coucou ! Trop contente que mes créations te plaisent ♡ Je viens de poster quelques avatars ici !
N'hésites pas à repasser si il t'en faut plus ou si tu as un autre fc en tête ;)
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What/who i write for :)
(mainly writing for jackass/ viva la bam rn but if u request any of the other fandoms ill gladly do them :) )
Jackass/ Viva la Bam
Johnny Knoxville
Steve-O
Bam Margera
Ryan Dunn
Chris Pontious
Ehren Mcghehey
Dave England
Jeff Tremaine
Brandon Dicamillo
Chris Raab/ Raab Himself
Rake Yohn
Brandon Novak
Criminal minds
Spencer Reid
Aaron Hotchner
Derek Morgan
Emily Prentiss
JJ
The walking dead
Daryl Dixon
Rick Grimes
Glenn Rhee
Maggie Greene
Rosita Espinosa
Shameless
Lip Gallagher
Fiona Gallagher
Kevin Ball
Carl Gallagher
The 100
Bellamy Blake
Octavia Blake
Clarke Griffin
John Murphy
Jasper Jordan
Lexa
Roan
Outer Banks
JJ Maybank
John b Routledge
Pope Heyward
Kiara Carrera
Sarah Cameron
Rafe Cameron
Total drama
Alejandro
Duncan
Trent
Gwen
Chris Mclean
Other
Ville Valo
Spike (btvs)
Angel (btvs)
#jackass the movie#jackass#jackass number two#jackass 3d#jackass x reader#criminal minds#criminal minds x reader#the walking dead#the walking dead x reader#shameless#shameless x reader#the 100#the 100 x reader#outer banks#obx#outer banks x reader#total drama#total drama island#total drama world tour#total drama x reader#ville valo#buffy the vampire slayer#btvs
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Économiste de longue date pour le milliardaire argentin Eduardo Eurnekian, Javier Milei est devenu une star de la télévision il y a cinq ans en tant qu'économiste aux cheveux ébouriffés qui se vantait à l'antenne de son endurance sexuelle et de son goût pour le sexe à trois, lui assurant des apparitions mur à mur dans les talk-shows en tant que "prof de sexe tantrique".
La population argentine est fortement mobilisée et très engagée politiquement... Si [Milei] essaie vraiment de mettre en œuvre une sorte de programme d'austérité brutal et brusque, cela inciterait les Argentins à défendre leur santé économique et leur capacité à maintenir une qualité de vie raisonnable. Vous pourriez donc voir un scénario vraiment chaotique », a ajouté Gedan. « Il s'agit d'une économie du G20, sur le point de lancer les dés et d'adopter une politique vraiment radicale. »
Dans un discours de victoire époustouflant après les primaires ouvertes de l'Argentine le 13 août, un Milei aux cheveux ébouriffés a promis la disparition des prestations gouvernementales parce qu'elles sont "basées sur cette atrocité qui dit que là où il y a un besoin, un droit est né, son expression maximale étant cette aberration appelée justice sociale".
Milei a trollé le pape Francis avec des tweets toxiques répétitifs l'appelant une « merde communiste », un « morceau de merde » et accusant le pontife de « prêcher le communisme au monde ».
Humaniste n'est pas un terme qui pourrait être appliqué à l'économie de Milei. En plus de légaliser la vente d'organes corporels, son programme épineux propose de "dynamiter" la Banque centrale, d'abolir le système d'éducation publique sans frais de scolarité de l'Argentine et de dissoudre les services de santé publique gratuits.
Milei est clairement anti-woke en disant qu'il rétablira l'interdiction de l'avortement, légalisée en 2020, fermera le ministère de la femme, du genre et de la diversité, ainsi que les ministères de la science - "le changement climatique est un mensonge socialiste" - la santé, l'éducation, le travail et les travaux publics, et légalisera la vente d'armes à feu.
(...) Dans un pays qui célébrera quatre décennies de démocratie ininterrompue après des décennies de règne militaire lorsque le nouveau président prendra ses fonctions le 10 décembre, la perspective que l'armée reprend un rôle dans les "conflits internes" tire la sonnette d'alarme.
« La reconciliation de la sécurité et du renseignement est proposée avec des commandos militaires prêts pour une intervention stratégique rapide au niveau national : cette idée de sécurité nationale est très problématique », a déclaré Paula Litvachky, directrice de l'organisation des droits de l'homme du Centre for Legal and Social Studies.
(...) Milei, a aussi fait de la remise en question du consensus de plusieurs décennies sur la nature de la dictature argentine et le nombre de victimes un élément clé de sa campagne, à l'indignation de ceux qui ont souffert sous le régime.
« Nous apprécions l'idée de mémoire, de vérité et de justice - commençons donc par la vérité. Il n'y a pas eu 30 000 [victimes], il y en eu 8 753", a affirmé Milei lors d'un récent débat, exaspérant les familles des victimes et les survivants.
"C'est tout à fait odieux - une insulte éternelle à la mémoire de nos enfants", a déclaré Taty Almeida, une des fondatrices du groupe de campagne Mères de Plaza de Mayo dont le fils, Alejandro, a été enlevé par un escadron de la mort et n'a plus jamais été revu.
« Il ressemble à Wolverine. Il agit comme Wolverine. Il est comme un anti-héros », affirme Lilia Lemoine ("nom d'artiste Lady Lemon"), une cosplayeure professionnelle qui est la consultante en image de l'excentrique libertaire de droite prêt à diriger la deuxième plus grande économie de la région. Dans la seule ville de Buenos Aires, 1er trimestre 2023 :
Malgré l'augmentation de l'activité et de l'emploi, et la baisse du chômage, l'indigence a fait un bond au premier trimestre de cette année, dans la ville de Buenos Aires. En un an, elle a connu une hausse de 42 % de l'indigence et est passée de 182 000 personnes (5,9 %) à 259 000 (8,4 %), soit une augmentation de 77 000 personnes.
En raison de cette poussée de l'indigence, la pauvreté est également passée de 625 000 (20,3 %) à 673.000 personnes (21,8 %), selon les données de la Direction de la statistique et du recensement de Buenos Aires.
De son côté, "27,5 % des enfants et des adolescents (0-17 ans) résident dans des foyers dans des conditions de pauvreté (122.000 personnes)".
Élections 2023 - 22 octobre. En lice : La Libertad Avanza Javier Milei; Juntos por el Cambio Patricia Bullrich; Unión por la Patria Sergio Massa; Hacemos por Nuestro País Juan Schiaretti; Frente de Izquierda y los Trabajadores Myriam Bregman.
Résultats officiels ici.
Media "msm" Clarin. Avec plus de 95 pour cent des voix scrutées, Sergio Massa obtient 36,54 pour cent des voix et Javier Milei 30,06 pour cent et définira la présidence lors d'un ballottage qui aura lieu le 19 novembre prochain. Patricia Bullrich est troisième, avec 23,85 pour cent des suffrages.
#la perruque en folie#el mundo en bicicleta carajo#milei = zelenskyy 2.0#javier milei#argentina#plaza de mayo#papa francisco
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Bonjour à tous ! Avec une amie, nous écrivons une histoire sur Wattpad :)
Voici le synopsis et le lien de l’histoire, n’hésitez pas à aller jeter un coup d’œil !
SYNOPSIS
Dans les rues pittoresques de Malaga, Ava se retrouve immergée dans l'atmosphère animée d'une soirée de poker clandestine.
Grâce à son talent naturel, elle remporte une victoire éblouissante, attirant l'attention d'un mystérieux inconnu prénommé Alejandro. Leur rencontre est empreinte d'une connexion instantanée, d’une telle intensité, que leur élan est brusquement interrompu, lorsqu’ils se retrouvent pris au milieu d'une fusillade.
Leur fuite les conduit jusqu'à la périphérie de la ville, un lieu sombre et chargé de mystères. C'est alors, au cœur de leur refuge obscur, que le destin leur révèle une vérité saisissante : Le père d'Alejandro est responsable du meurtre brutal de ses propres parents.
Dans les décombres de leurs passés troublés, les secrets les plus sombres remontent à la surface, mettant en péril leur relation naissante. Ava se trouve confronté à un choix déchirant : succomber à la vengeance et à la haine, qui la dévorent depuis des années OU trouver la force du pardon et lutter contre les démons du passé.
Les rues de Malaga deviennent alors le théâtre d'une lutte acharnée entre l'amour et la trahison, la loyauté et la vengeance, où les destins d'Ava et d'Alejandro sont inextricablement entrelacés.
Parviendront-ils à résoudre les énigmes de leur passé et à braver tous les obstacles qui se dressent sur leur chemin, pour trouver la rédemption et un amour véritable au milieu de l'obscurité ?
#wattpad#ennemies to lovers#french#malaga#romance#secret#ennemis#lovers#suspense#wattpadbooks#wattpad author
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Les premières années de la biographie de Camilla ont été passées à voyager entre Cuba et le Mexique, d'où est originaire son père
Quand la fille avait 6 ans, sa mère est montée dans le bus avec elle et a dit qu'ils allaient à Disneyland, dont rêvait la future star. Mais en fait, ils ont eu une longue route vers les États-Unis, où la famille est partie à la recherche d'une vie meilleure.
La destination finale était la ville de Miami, où vivait un ami des parents. Cena, la mère d'une célébrité, a été forcée d'accepter un emploi dans un magasin de chaussures, bien qu'elle soit architecte de formation. Ils n'avaient presque rien ni argent avec eux, mais la chose la plus difficile pour Cabello était la séparation d'avec son père. En raison de problèmes de visa, Alejandro n'a pu retrouver sa femme et sa fille qu'après 18 mois, et la fille a compté les jours, les marquant sur le calendrier.
Un autre problème était de ne pas connaître l'anglais, mais pour la petite Camila, il n'était pas difficile de l'apprendre en regardant des émissions de télévision. C'était beaucoup plus difficile pour les adultes. Après avoir déménagé aux États-Unis, mon père a travaillé dans un lave-auto jusqu'à ce qu'il économise de l'argent pour ouvrir sa propre entreprise. Lorsque la situation s'est améliorée, la famille s'est reconstituée avec un autre enfant - la fille Sophia, avec qui l'interprète est très proche.
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Doing this on behalf of the ppl who said that anyone who want to join can. Going with our 2nd most used name we go by.
A - Alejandro (Lady Gaga)
L - Lätkäjätkä-Ville (Tuure Boelius)
T - Tous le mêmes (Stormae)
E - Enemy (Imagine Dragons, JID)
R - Rules (The Hoosiers)
I - Icicles (The Scary Jokes)
O - Ode To Bouncer (Studio Killers)
S - Sucker (Jonas Brothers)
Tagging:
Uhh... we don't know too many ppl on Tumblr so srry if ya don't want us to tag u in the future just tell us @bordle @latkestein and anyone who sees this post tbh
spell out your name or url with songs !!
P - Prom Queen (Beach Bunny)
I - I’ll Make Cereal (Cavetown)
G - girls (girl in red)
E - Empty Bed (Cavetown)
O - Oh Ana (Mother Mother)
N - No Surprised (Radiohead)
tagging: @angerycat @ast3ria-blue @swiftieannah @melancholy-melomaniac @melancholypessimism @whyybesocial @i-have-no-idea-111 @the-literary-anything-blog @underappreciatedtomato @livelaughlovebillzo @charlie-is-missing @chronic-stressed @v4nillaskies @nonsensical-space-ghost @alm0std34d and any other mutuals or people who want to join in !!
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POST 1
L'aventure de madame Muir, Joseph L. Mankiewicz 1947 Une histoire d'amour entre une femme et un fantôme, une vieille maison sur une falaise. Incontournable.
Mon oncle, Jacques Tati 1958 La rencontre poétique de deux mondes, l'ancien et le moderne. Des personnages attachants. Cela pourrait être un poème de Prévert, mais c'est un film de Tati.
L'année dernière à Marienbad, Alain Resnais 1961 Un immense jardin à la française, un colossal escalier, Delphine Seyrig et Giorgio Albertazzi qui ne cessent de rejouer la scène d'un rendez-vous manqué. Un chef-d'oeuvre qui gardera son mystère à jamais.
Judex, Georges Franju, 1963 Digne des romans feuilletons du XIXe siècle, un justicier mystérieux qui s'attaque au banquier malhonnête. Des combinaisons noires, des intrigues, des masques en forme d'oiseau.
Les lèvres rouges, Harry Kümel, 1971 La suite vampirique de Marienbad, Delphine Seyrig en comtesse immortelle buvant le sang des pensionnaires d'un hôtel d'Ostende.
La montagne sacrée, Alejandro Jodorowsky, 1973 Délire hypnotique et fou, conte alchimique dans lequel les maîtres des neufs planètes devront gravir la montagne sacrée pour trouver la réponse savoureuse au grand mystère de l'existence.
Céline et Julie vont en bateau, Jacques Rivette, 1974 Deux sorcières solaires errant dans le Paris des années 70. Une maison mystérieuse, des numéros de magie. Un film à regarder à l'endroit ou à l'envers, éveillé ou endormi.
Complot de famille, Alfred Hitchcock, 1976 Le dernier film d'Hitchcock, une fausse voyante et un chauffeur de taxi à la recherche d'un diamant volé. Un film du dimanche soir.
Stalker, Andreï Tarkovski, 1979 Un voyage à travers des paysages de science fiction délabrés porté par une musique sublime. Une sorte de rêve.
The Fog, John Carpenter, 1980 Une malédiction s'abat sur une ville de Nouvelle-Angleterre. Un brouillard vert fluorescent duquel émerge des fantômes. Une animatrice de radio tente de sauver les habitants depuis un phare isolé. Un film glacial et génial.
Fitzcarraldo, Werner Herzog, 1982 Un homme passionné d'opéra entreprend de faire passer un bateau par dessus une montagne en pleine jungle amazonienne. On ne saurait le décrire autrement.
Et vogue le navire, Federico Fellini, 1983 Un film comme un roman, au début du XXe siècle, des personnages hauts en couleurs embarquent à bord d'un paquebot afin de rendre hommage à une célèbre cantatrice.
Paris, Texas, Wim Wenders 1984 Un homme qu'on croyait mort sort du désert et retrouve peu à peu les vestiges de sa vie passée. Une sorte de mirage porté par une musique sublime.
Phenomena, Dario Argento, 1985 Un film d'horreur comme on n'en fait plus. Un adolescente qui parle aux insectes sur les traces d'un tueur en série. Jennifer Connelly invoquant une nuée de mouches, scène culte.
Les ailes du désir, Wim Wenders 1987 Un très grand film de Wim Wenders. Un ange tombe amoureux d'une acrobate de cirque et décide de devenir mortel. Une promenade dans le Berlin des années 80. Peter Falk se frottant les mains dans la brume matinale. Incontournable.
Prince des ténèbres, John Carpenter, 1987 Le film d'horreur le plus terrifiant. Un groupe de scientifiques découvre que l'Eglise a caché au monde le fait que Dieu n'existe pas. A sa place, une entité ténébreuse qui va bientôt se libérer. Vous ne vous regarderez plus jamais dans un miroir sans penser à ce qui vous attend de l'autre côté...
Drugstore Cowboy, Gus Van Sant, 1989 Une petite bande de camés braque des pharmacies pour se défoncer. Leur chef décide de se ranger mais le passé ne s'oublie pas facilement. Un conte étonnamment léger. Une apparition de William Burroughs dans toute sa majesté.
Meurtre mystérieux à Manhattan, Woody Allen, 1993 Un couple farfelu mène l'enquête sur la mort de leur voisine de palier. Le New York des années 90, des rebondissements, et Anjelica Huston au faîte de sa gloire en auteur de romans policiers.
La cité des enfants perdus, Jean-Pierre Jeunet, 1995 Dans une cité portuaire verdâtre, des enfants disparaissent. Un savant fou tente vainement de voler leurs rêves. Un film génial, complètement glauque et immersif. Des costumes incroyables de Jean-Paul Gaultier. Un monde en soi.
Dead Man, Jim Jarmush, 1995 William Blake tue un homme par erreur et prend la fuite, accompagné de l'indien Nobody, qui le prend pour l'esprit du célèbre poète anglais. Un récit initiatique tout bonnement génial, bercé par les improvisations de Neil Young à la guitare. Le meilleur rôle de Johnny Depp. Une apparition éclair de Robert Mitchum dans son dernier rôle.
The pillow book, Peter Greenaway, 1996 La fille d'un célèbre calligraphe, devenue mannequin, recherche un homme capable de lui écrire un compliment sur toute la peau. Elle finit par devenir elle-même calligraphe et décide d'écrire un livre sur le corps de son amant. Un film sublime.
La légende du pianiste sur l'océan, Giuseppe Tornatore, 1998 Un bébé est retrouvé dans la cale d'un paquebot. Devenu adulte, ainsi qu'un pianiste légendaire, il se mesure aux plus grands musiciens de son temps mais n'a jamais posé le pied à terre. Un conte magistral et bouleversant.
Mulholland Drive, David Lynch, 2001 Un rêve, un cauchemar. Une femme amnésique, aidée par une actrice en herbe, part à la recherche de son identité. Un film porteur d'un mystère insondable. A voir et à revoir à l'infini.
La famille Tenenbaum, Wes Anderson, 2001 Une famille de génies, disloquée par des querelles intestines, tente de se retrouver. Un vrai poème visuel, drôle et touchant. On aimerait vivre dedans.
Kill Bill, Quentin Tarantino, 2003 Un chef d'oeuvre absolu. Le personnage d'Uma Thurman en guerrière vengeresse que rien ne pourra arrêter, figure allégorique mue par une force supérieure. Les cinq points et la paume qui font exploser le coeur.
The Fall, Tarsem Singh, 2006 Un homme alité dans un hôpital raconte une histoire à une petite fille. En échange, elle dérobe pour lui des ampoules de morphine. Et le conte se mêle à la réalité. Visuellement grandiose et éblouissant. Une scène d'ouverture mémorable.
The Fountain, Darren Aronovsky, 2006 Trois histoires entremêlées pour n'en former qu'une seule, celle de la recherche de la vie éternelle. Des scènes se déroulant dans le plan astral, toutes d'or en fusion et d'extase mystique. A couper le souffle.
Melancholia, Lars Von Trier, 2011 Une planète s'approche dangereusement de la terre et s'apprête à l'engloutir. Deux soeurs, deux entités contraires, se dirigent en silence vers la fin du monde. Une expérience totale portée par des symphonies sublimes et des tableaux de Bruegel.
Only Lovers Left Alive, Jim Jarmush, 2013 Un couple de vampires sublimes portent sur le monde un regard désabusé. Sur fond de rock indé lancinant, à travers Détroit ou Tanger, la décadence d'une communauté en train de disparaitre.
Les Garçons Sauvages, Bertrand Mandico, 2017 Un groupe de jeunes garçons commet un crime impardonnable. Ils sont condamnés à accompagner en mer un capitaine étrange et colérique. Un voyage vernien, totalement organique et sensuel. A la croisée de William Burroughs et de l'île au trésor, de Cronenberg et du club des cinq.
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" A Man And His Family "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Alejandro Vargas
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Rodolfo, Ghost et Soap se rejoignent dans la dite planque de Alejandro après la trahison accablante de Graves. Rentrant dans une immense grange et s'y pensant seuls, les hommes s'y reposent, sans savoir que, non seulement les lieux sont habités, mais aussi armés.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : rien
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟐,𝟖𝟔𝟓.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Ghost, Soap et Rodolfo s'étaient installés dans la planque de Alejandro peu après leurs retrouvailles. Il faisait nuit, le lieu était plongé dans l'obscurité, si bien que les hommes s'étaient retrouvés contraints de s'installer autour d'un feu de camp de dernière minute. Ils y avaient posé baguage, épuisés. Soap et Ghost avaient le plus souffert après la trahison de Graves. Ils avaient traversé la ville, roulé pendant des heures, avant d'arriver ici. La fatigue se lisait sur leur visage, tandis que sur Rodolfo, c'était l'inquiétude. Le soldat jetait des coups d'œil anxieux en direction de son arme, prêt à bondir sur le premier ennemi jaillissant de la pénombre. Les flammes sous ses yeux dansaient et s'élevaient haut dans les airs, luisant à ses pieds et sur les quatre coins de l'immense grange.
« On va le sauver. » parla Soap, déterminé.
Rodolfo le regarda.
« Oui. Bien sûr. »
Ghost zieutait son poignet. L'heure filait à toute vitesse. Ils s'étaient accordés une bonne heure avant de se mettre en route, histoire de reprendre suffisamment de force. Et ce temps de répit était bientôt écoulé. Il ne leur restait qu'une vingtaine de minutes, et Ghost, tout autant que Soap, sentaient que Rodolfo n'arriverait pas à tenir davantage.
« On peutᅳ »
« Attends, Soap. »
Ghost fit volte-face en direction de la porte de la grange. Au même moment, un petit grincement se mit à retentir. Il ricochait en guise d'unique son, faisant frissonner d'effroi Rodolfo. Rodolfo éteignit le feu et braquait son arme en direction de la porte, le doigt pressé sur la détente. Soap, quant à lui, fit de même. Les trois hommes furent plongés entièrement dans la pénombre, la respiration retenue et les yeux rivés en direction du canon du fusil qui faisait son entrée dans la grange.
« J'ai peur... » murmura une faible voix.
« Cállate, Raquél. »
Ghost pressait son index sur la détente de son arme l'instant où il aperçut un chausson faire son apparition dans la grange. Il s'écartait du feu et laissait passer Soap qui se dirigeait de manière furtive derrière la porte. Le soldat marchait sur la pointe des pieds, les yeux plissés et le viseur de son arme déjà braqué sur le canon du vieux fusil.
« T'attendais de la visite ? » demanda Ghost.
« Pas vraiment, non. » répondit Rodolfo.
Une main posée sur le fût et l'autre sur la poignée, tout aussi proche de la détente. La prise était ferme, tout comme la précédente voix féminine qui avait parlé. Deux femmes étaient présentes, une très jeune et l'autre mûre. La façon dont elle tenait le fusil trahissait son expérience : elle ne tremblait pas et rentrait doucement, comme si on l'y avait entraînée pour. Ce fut pourquoi, lorsqu'elle ouvrit la porte d'un brusque coup de pied ᅳl'éclatant en plein dans la face de Soapᅳ, elle prenait sans mal par surprise les intrus. Son arme se braqua vers Rodolfo et Ghost, elle n'hésitait pas.
« Bande de fils de putes, qu'est-ce que vous foutez chez moi ? »
Sa voix était dure et menaçante. Son accent était très présent, mais son anglais, lui, frôlait la perfection. Rodolfo toisa la jeune femme avec de gros yeux écarquillés. Soap avait été oublié. Le soldat se tordait de douleur sur le sol après s'être pris l'immense porte de la grange et son arme en pleine face. Rodolfo se raclait la gorge. Sa prise sur son arme faiblissait. Il manquait de la faire tomber. Lorsqu'un nom inconnu tomba d'entre ses lèvres, Ghost le toisa avec curiosité, son arme toujours braquée en direction de l'intruse.
« Rodolfo ? ¡ Pendejo ! ¿ Qué haces aquì ? »
La jeune femme relâchait immédiatement sa prise sur son arme. Sa seule présence avait su la dissuader d'attaquer et alors, les traits tendus sur son visage s'étaient adoucis. Elle lui sourit chaleureusement, les bras grands ouverts.
« ¿ Donde esta Alejandro ? Estoy preocupada.. »
Lorsque Soap se releva, elle le toisait déjà. Son regard de braise s'était braqué sur lui, comme si une menace s'était soudainement relevée dans l'obscurité, prête à s'en prendre à elle ᅳoù plutôt à la présence fébrile dans son dos. Le soldat saignait du nez. Il se le tenait en grimaçant, du sang coulant le long de sa mâchoire.
« Alejandro a été enlevé. Je suis venu ici avec des amis de confiance pour aller le récupérer. » expliqua Rodolfo.
« Hein ? Il a été quoi ? »
« Papa a été enlevé ? » s'écria une voix dehors la grange.
Ghost et Soap échangeaient un regard.
« C'est pas un peu dangereux de faire venir des inconnus ici ? » demanda la jeune femme alors qu'elle daignait enfin regarder Ghost. « Et puis où est Alejandro ? Il est en vie au moins !? »
« Pour l'instant on en sait rien. » déclara Soap.
Il parlait tout en rejoignant les côtés de Rodolfo et Ghost.
« On a été trahi par un des notre, il l'a emporté avec lui. »
La deuxième présence dans l'obscurité se dévoilait enfin. Ghost remarquait tout d'abord ses yeux larmoyants. C'était une adolescente, sûrement l'enfant de Alejandro. Elle ne devait pas dépasser les seize ans d'après son observation. La jeune fille rejoignait les côtés de sa mère, le corps tremblant de peur. Sa mère gardait une main protectrice devant elle, celle tenant encore le fusil, le doigt pressé contre la détente. Elle l'empêchait d'avancer, un peu réticente à l'idée de faire confiance à des inconnus, surtout avec cette soudaine histoire de traître.
« ¡ Joder..! »
« Vous êtes sa femme, c'est ça ? » demandait Soap.
« Un peu mon n'veux. » elle répliquait. « Vous allez me récupérer mon mari ? Il a pas intérêt à casser sa pipe, sinon il aura à faire à moi. »
« Bien sûr. » affirmait Soap.
« Alors qu'est-ce que vous foutez encore ici, hein ? Vous voulez un petit thé et des biscuits pour passer le temps, aussi, ou ça vous ira ?! »
Son caractère de feu était similaire à celui de Alejandro, ce fut la réflexion que se fit Ghost à la simple vue de ce petit énergumène devant eux. La jeune femme était habillé d'un simple débardeur noire accompagné d'un gilet de laine beige et d'un short. Elle portait des chaussons, sans aucune paire de chaussettes en vue. Seule une chaîne d'or habillait sa cheville. Un collier en or trônait aussi autour de sa gorge. Il avait la jolie forme d'un cœur et scintillait sous les rayons lunaires, habillant joliment sa peau nue. Sa fille était habillée de manière similaire; pull et short, avec des chaussons et cette fois-ci des chaussettes hautes. Les deux femmes restaient collées l'une contre l'autre. La plus jeune se cachait derrière sa mère, très intimidée par Ghost. Elle ne lâchait pas son masque du regard. Son corps était englouti dans la pénombre, excepté son masque d'une blancheur éblouissante.
« Bon sang.. »
La jeune femme laissait son arme tomber au sol. Son geste attira l'attention de tous. Rodolfo sentait son cœur se serrer à la vue de l'expression ravagée sur les jolis traits de son visage. La jeune femme déglutissait. Ses yeux se perdaient sur le lieu, ses pupilles en tremblaient. Elle sentait son cœur se briser en mille morceaux. La simple pensée qu'elle ne reverrait jamais le père de son enfant, l'homme de sa vie, son mari; elle en perdit pied.
« Je lui avais dit que je la sentais pas cette mission. Je l'avais senti, je l'avais prédit. » argumenta-t-elle en se tapotant la poitrine. « L'intuition d'une femme ne se trompe jamais. »
Rodolfo déposa son arme près du feu de camp et contournait Ghost, Soap, pour rejoindre les côtés de la famille de Alejandro. Il sourit à l'adolescente, tout d'abord, afin de la rassurer un tant soit peu. Puis, il déposa sa main sur l'épaule de la jeune femme, et l'attirait à lui. Elle ne résistait point.
« On va te le ramener. » il promit. « Peu importe ce que ça coûtera. Peu importe les sacrifices. »
La jeune femme s'accrochait au gilet par balles du soldat. Elle relevait un regard poignant dans ses yeux pétillants. Son visage tortillé dans une moue poignante, ses paupières papillonnant majestueusement, Rodolfo en sentit son cœur rater un battement. Il la contemplait, fébrile et incapable de détourner le regard, grandement embarrassé.
« Faites vite. Je veux le revoir. Sauvez mon Alejandro, il ne peut pas mourir. Pas maintenant. »
« Mamà... »
La jeune femme fit volte-face. Elle abandonnait un Rodolfo rouge d'embarras pour aller prendre son enfant dans ses bras. Elle la serrait fermement contre elle, un peu trop fermement même. Mais l'adolescente ne la repoussait pas pour autant. Au contraire. Elle enlaçait sa mère en retour, les joues trempées par ses larmes et les lèvres tremblantes sous le sentiment de tristesse qui la submergeait. Les yeux clos, elle fut alors inapte à remarquer que Ghost et Soap avaient déjà rassemblé leurs affaires. Rodolfo hochait la tête dans leur direction, leur signalant silencieusement que la femme et l'enfant de Alejandro s'en sortiraient, qu'elles étaient plus fortes qu'elles en avaient l'air.
« Rodolfo. »
La jeune femme avait attrapé le poignet du soldat. Alors qu'elle avait remarqué les deux autres se faire la malle discrètement, elle refusait de le laisser s'en aller. Avant qu'il ne s'échappe, qu'il lui glisse entre les doigts, elle se devait de lui faire comprendre que Alejandro devait rentrer. Il ne devait pas essayer. Il devait pas faire de son mieux. Il devait le ramener. L'échec n'était pas envisageable, son mari ne pouvait pas mourir. L'homme de sa vie ne pouvait pas lui glisser entre les doigts.
« Alejandro ne le sait pas encore. »
Elle apportait le poignet de Rodolfo à son estomac. Le moment même où il effleura son ventre arrondi, ses yeux s'écarquillaient. Sa mâchoire s'en décrochait.
« Il doit rentrer à la maison. ¿ Comprendes ? »
« Ah, v..vraiment ? » brefouilla le soldat.
Tendrement, la jeune femme sourit.
« Mhh. »
Elle relâchait son poignet et déposa sa propre main sur son ventre.
« Alejandro sera tellement heureux de l'apprendre. Il ne peut pas nous quitter sans l'avoir rencontré. » affirma-t-elle.
Rodolfo se grattait la nuque.
« Je ferai tout pour. » il répondait. « On fera tout pour le ramener. Je lui demanderai de te rejoindre dès qu'on l'aura sorti de ce merdier, d'accord ? »
« Perfecto, amigo. » elle répliqua. « Gracias. »
« No problemo. »
Puis, aussi vite qu'ils étaient apparus, les trois soldats disparurent. Ils montaient dans leur pick-up et prirent la route en direction de la base des Shadows, prêts à libérer leurs compagnons. La jeune femme et l'adolescente les avaient regardé s'en aller, l'une compressée contrer l'autre, enlacées fébrilement tandis que la pensée que Alejandro avait sûrement déjà péri entre temps les détruisait de l'intérieur. Elles ravalaient leurs larmes. Avec force, elles firent face à leur peur et se contentaient de regarder le véhicule s'en aller avant de totalement disparaître derrière un épais nuage de poussière. Lorsque le silence revint, prit place et s'installait sur la propriété des Vargas, la jeune femme se tournait en direction de son enfant. Elle raffermissait sa prise sur son fusil et embrassait le front de l'adolescente.
« Todo va bien, Raquél. No te preocuparse. Soy aquì, mi niña. »
« Mamà.. »
L'adolescente sanglota dans les bras de sa mère. D'aussi loin qu'elle s'en souvint, elle y pleura pendant des heures. Des heures où elle crut ne plus jamais revoir son père. Des heures où elle sentit toute trace de vie lui échapper, s'effriter entre ses doigts.
Il devait être six heures du matin lorsqu'un véhicule fit son arrivée sur la propriété des Vargas. Le soleil commençait à peine à se lever. Il caressait la terre ferme de ses doux rayons chaud et illuminait les environs. La jeune femme et sa fille l'avait regardé faire. Elles étaient restées assises sur le patio de leur maison de campagne toute la nuit, zieutant avec inquiétude leur grange à plusieurs mètres de là, sans ne voir ne serait-ce qu'un véhicule s'y garer. Elles avaient alors finies par s'endormir. La mère sur une chaise à bascule, ses mains reposant sur son ventre et l'adolescente, elle, assise au sol, sa tête reposant sur la cuisse de sa mère et les épaules recouverte par sa veste de laine. Lorsqu'elles avaient ouvert les yeux, le soleil avait commencé à se lever et, une trentaine de minutes plus tard, le véhicule tant attendu était revenu.
« Alejandro ! Dios mio, Alejandro ! »
« Papà ! »
Les deux jeunes femmes s'étaient jetées en direction du soldat. Elles ignoraient la présence des trois hommes dans le véhicule pour simplement focaliser leur attention sur l'homme de leur vie. La première à atteindre Alejandro fut sa fille, puis, sa femme. L'adolescente se collait au torse de son père. Peu lui importait son gilet par balles encombrant où le nombre d'armes dont il était revêtu. Elle ne pouvait pas y résister. Alejandro refermait son enlace sur sa femme. Tendrement. Il embrassa son front et fermait les yeux.
« Mis tesoros.. » murmura le soldat. « Je suis désolé de vous avoir fait peur. »
« Tu n'as rien ? » demandait sa femme.
« Absolument rien. » affirmait Alejandro. « Un peu fatigué et secoué, mais sinon je me porte comme un charme. » il répondait dans un grand sourire.
Alejandro déposa un doux baiser sur les lèvres de sa femme. Il savourait la sensation de sa bouche pressée sur la sienne, sa tendresse, sa chaleur. Il sentait ses mains s'accrocher désespérément à son uniforme. Elle refusait de le lâcher, elle prenait même appui sur lui. Alejandro en sourit. Sa fille, quant elle, conservait son visage enfoui dans ses bras. Avec embarras, elle pleurait contre son père, ses pleurs secoués par une vague de sanglot, et les mains tremblantes. C'était à peine si elle arrivait à penser ou à parler. Elle et sa mère restèrent ainsi, enlacées par les bras de Alejandro, réconfortées par son étreinte chaleureuse.
Le soldat se sentait comblé. Avec les deux femmes de sa vie à ses côtés, plus rien d'autre ne comptait.
« Papà.. » pleura l'adolescente.
Alejandro rit gaiement. Il relâchait la bouche de sa femme et apportait son attention à sa fille. Elle était là, dans ses bras, plus proche de lui que jamais. Et tandis que sa femme fermait les yeux afin de davantage le sentir, Alejandro, lui, raffermissait sa prise sur le corps de sa fille et frôlait ses tempes de ses lèvres. Il l'embrassait. Tendrement, il collait sa bouche à son front et y laissait une chaleureuse emprunte.
« Mi hermosas mujeres... » souffla le soldat, à bout de souffle.
« Alejandro. » survint une voix.
Ghost venait de parler.
« On doit y aller. »
Rodolfo admirait le tableau dessiné sous ses yeux. La façon dont les deux jeunes femmes se fondaient contre le corps de son ami, et celle dont Alejandro les accueillait, les invitait à laisser leur emprunte sur son corps, comme si il n'existait que pour elles, et seulement elles. C'en était magnifique. Rodolfo était chamboulé.
« Je sais, amigo. » soupira le soldat. « Mis tesoros, je dois vous abandonner une fois de plus. Mais je reviendrai. »
Les yeux de l'adolescente s'illuminaient sous un jet d'effroi. Elle se séparait brusquement de son père et relevait un regard poignant dans le sien épuisé. Et alors, tandis qu'elle s'exclamait avec peine, terreur, sa mère glissait sa main autour de son poignet. Elle le saississait et la faisait se taire.
« ¡ Pero ! ¡ Papàᅳ ! »
« Fais attention à toi, mi amor. »
Alejandro esquissait un sourire.
« Toujours. » il répondait.
« J'ai hâte de vous revoir, je vous aime. » conclut-il.
Alejandro embrassa une dernière fois les deux jeunes femmes. Premièrement sa fille, d'un tendre baiser sur le front, puis sur la joue. Il embrassa son joyau le plus précieux, le fruit de sa vie entière. La conclusion de sa plus belle histoire d'amour. Il la serrait dans ses bras. Il la laissait pleurer pour lui. Ce fut après au tour de sa femme. Et lorsqu'il s'était tourné vers elle, Alejandro ne fut point surpris de la sentir le tirer à elle. Elle l'avait désiré, et refusait de croiser son regard. Elle savait qu'elle n'aurait pu y résister. Elle préférait alors l'embrasser à en perdre haleine, à sentir ses tripes s'en retourner, finir remuées. Elle s'accrochait au soldat, tandis que ce dernier attrapait fermement sa hanche et répondait avec ardeur à son baiser. Alejandro l'embrassait fiévreusement. Il glissait ses baisers sur sa mâchoire et finalement sa joue. Il laissait son épouse à bout de souffle et sa fille en pleurs.
Lorsqu'il remonta dans le véhicule, sur le siège passager, ᅳRodolfo étant le conducteur et Ghost et Soap se trouvant à l'arrière, Alejandro affichait un sourire stupide. Il gardait la vitre de sa portière grande ouverte. Offrant des baisers volants aux deux femmes de sa vie, il ne remarqua point le regard complice que vinrent échanger sa femme et son ami. La jeune femme gardait une main protectrice sur son estomac, chose que Alejandro ne sut voir, trop charmé par les visages splendides tournés vers lui. Rodolfo en pouffait.
Lorsque le véhicule disparu, le cœur des deux jeunes femme s'était apaisé. Elles regardaient le 4×4 emprunter la seule route amenant à la propriété. Il faisait demi-tour à vive allure, secouant la poussière et la caillasse sur son passage. La simple pensée que Alejandro se trouvait dans ce véhicule, qu'il leur était sain et sauf, qu'il allait enfin leur revenir, sut les apaiser comme jamais auparavant. La mère et sa fille ne purent détourner le regard. Elles attendirent jusqu'à ce que la voiture ait enfin disparue de leur champ de vision pour échanger un tendre regard complice et finalement s'engouffrer dans la maison, le cœur léger et l'âme délivrée de tout type d'inquiétude.
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Favourite films watched in 2020
In no particular order:
Katalin Varga (Peter Strickland, 2009) The Gleaners and I (Les Glaneurs et la glaneuse, Agnès Varda, 2000) Land of Silence and Darkness (Land des Schweigens und der Dunkelheit, Werner Herzog, 1971) Post Tenebras Lux (Carlos Reygadas, 2012) The Return (Возвращение, Andrey Zvyaginstev, 2003) The Grand Bizarre (Jodie Mack, 2018) Transnistra (Anna Eborn, 2019) Ghost Town Anthology (Répertoire des villes disparues, Denis Côté, 2019) The Petrified Forest (Archie Mayo, 1936) Viy (Вий, Georgiy Kropachyov & Konstantin Ershov, 1967)
Complete list of all 323 films watched in 2020 under the cut!
January
Angus, Thongs and Perfect Snogging (Gurinder Chadha, 2008) Blade (Steven Norrington, 1998) Who Among Us! (Abhishek Prasad and Rebecca Kahn, 2019) Brotherhood (Meryam Joobeur, 2018) Disctrict 9 (Neill Blomkamp, 2009) Hair Love (Matthew A. Cherry and Karen Rupert Toliver, 2019) Kitbull (Rosana Sullivan, 2019) Sister (妹妹, Siqi Song, 2019) Nuts! (Penny Lane, 2016) The Judge (Erika Cohn, 2017) The Ghosts of Sugar Land (Bassam Tariq, 2019) Amazonia (Dominic Hicks, 2018) Dearborn Ash (Hena Ashraf, 2018) Pineal (Jenny Rinta-Kanto, 2019) Headcleaner (Nick Scott, 2019) Rattlesnake (Zak Hilditch, 2019) The Neon Demon (Nicolas Winding Refn, 2016) Skin (Audrey Rosenberg, 2018) The Banishment (Изгнание, Andrey Zvyagintsev, 2007) F is for Friendship (Shaya Mulcahy, 2016) Paradise Hills (Alice Waddington, 2019) Road House (Rowdy Herrington, 1989) Hustlers (Lorene Scafaria, 2019) I Believe in Unicorns (Leah Meyerhoff, 2014) Ghost Train (Lee Cronin, 2014) Troop Zero (Bert & Bertie, 2019) For the Love of God (Pour l'Amour de Dieu, Micheline Lanctôt, 2011)
February
Sitting Next to Zoe (Ivana Lalović, 2013) Dark Places (Gilles Paquet-Brenner, 2015) Nocturnal Animals (Tom Ford, 2016) The Limey (Steven Soderbergh, 1999) Side Effects (Steven Soderbergh, 2013) Good Sam (Kate Melville, 2019) Anima (Paul Thomas Anderson, 2019) What Did Jack Do? (David Lynch, 2017) Fleur de tonnerre (Stéphanie Pillonca, 2016) Parasite (Bong Joon-ho, 2019) The Field Guide to Evil (Peter Strickland, Veronika Franz & Severin Fiala, Katrin Gebbe, Yannis Veslemes, Ashim Ahluwalia, Agnieszka Smoczynska, Can Evrenol, Calvin Reeder, 2018) Devil (John Eric Dowdle, 2010) 37 Seconds (Hikari, 2019) The Falling (Carol Morley, 2014) Grave of the Fireflies (火垂るの墓, Hotaru no Haka, Isao Takahata, 1988) Elena (Елена, Andrey Zvyagintsev, 2011) The Lighthouse (Robert Eggers, 2019) Baskin (Can Evrenol, 2015) In Fabric (Peter Strickland, 2018) Leviathan (Левиафан, Andrey Zvyagintsev, 2014) Suffragette (Sarah Gavron, 2015)
March
The East (Zal Batmanglij, 2013) Solaris (Солярис, Andrei Tarkovsky, 1972) Mamma Mia! (Phyllida Lloyd, 2008) There Will Be Blood (Paul Thomas Anderson, 2007) Io (Jonathan Helpert, 2019) The Death and Life of Marsha P. Johnson (David France, 2017) A Bump Along the Way (Shelly Love, 2019) Color Out of Space (Richard Stanley, 2019) Divines (Houda Benyamina, 2016) Vanishing Waves (Kristina Buožytė, 2012) Mirror (Зеркало, Andrei Tarkovsky, 1975) Zama (Lucrecia Martel, 2017) Swallow (Carlo Mirabella-Davis, 2019) Joy (Sudabeh Mortezai, 2018) Good Time (Josh and Benny Safdie, 2017) Quarantine (John Eric Dowdle, 2008) The Reflecting Skin (Philip Ridley, 1990) Three Billboards Outside Ebbing, Missouri (Martin McDonagh, 2017) Leto (Лето, Kirill Serebrennikov, 2018) The 39 Steps (Alfred Hitchcock, 1935)
April
Queen of Earth (Alex Ross Perry, 2015) Black Christmas (Sophia Takal, 2019) Dogs of Chernobyl (Léa Camilleri & Hugo Chesnel, 2020) Firecrackers (Jasmin Mozaffari, 2018) Les Misérables (Ladj Ly, 2019) The Evil Dead (Sam Raimi, 1981) The Daughters of Fire (Las hijas del fuego, Albertina Carri, 2018) The Fallen Idol (Carol Reed, 1948) The Wailing (곡성, Gokseong, Na Hong-jin, 2016) Inherent Vice (Paul Thomas Anderson, 2014) Sorrowful Shadow (Guy Maddin, 2004) Mistery Lonely (Harmony Korine, 2007) The Grand Bizarre (Jodie Mack, 2018) Zombieland: Double Tap (Ruben Fleischer, 2019) Waves '98 (Ely Dagher, 2015) Uncut Gems (Josh and Benny Safdie, 2019) The Last Séance (Laura Kulik, 2018) Too Late to Die Young (Tarde para morir joven, Dominga Sotomayor Castillo, 2018) Room (Lenny Abrahamson, 2015) Queen & Slim (Melina Matsoukas, 2019) The Holy Mountain (La montaña sagrada, Alejandro Jodorowsky, 1973) The Chaser ( 추격자, Chugyeokja, Na Hong-jin, 2008) Made in Dagenham (Nigel Cole, 2010) The Color of Pomegranates (Նռան գույնը, Nřan guynə, Sergei Parajanov, 1969) Lost Girls (Liz Garbus, 2020) Ghost Town Anthology (Répertoire des villes disparues, Denis Côté, 2019) And Then There Were None (René Clair, 1945) Doctor Sleep (Mike Flanagan, 2019) Meshes of the Afternoon (Maya Deren and Alexander Hammid, 1943) Circus of Books (Rachel Mason, 2019) Catfish (Henry Joost and Ariel Schulman, 2010) Wildling (Fritz Böhm, 2018) Delphine (Chloé Robichaud, 2019) The Strange Love of Martha Ivers (Lewis Milestone, 1946) The Red Balloon (Le Ballon rouge, Albert Lamorisse, 1956) Nona. If They Soak Me, I’ll Burn Them (Nona. Si me mojan, yo los quemo, Camila José Donoso, 2019) The Lodge (Veronika Franz & Severin Fiala, 2019) Invisible Man (Leigh Whannell, 2020) Sans Soleil (Chris Marker, 1983)
May
A Russian Youth (Мальчик русский, Alexander Zolotukhin, 2019) Sicario (Denis Villeneuve, 2015) Fedora (Billy Wilder, 1978) LoveTrue (Alma Har'el, 2016) The Platform (Galder Gaztelu-Urrutia, 2019) Water Lilies (Naissance des pieuvres, Céline Sciamma, 2007) The Assistant (Kitty Green, 2019) The Half of It (Alice Wu, 2020) Tomboy (Céline Sciamma, 2011) The Last Man on Earth (Ubaldo Ragona and Sidney Salkow, 1964) Beanpole (Дылда, Kantemir Balagov, 2019) Mommy (Xavier Dolan, 2014) The Fall (Jonathan Glazer, 2020) Girlhood (Bande de filles, Céline Sciamma, 2014) Carnival of Souls (Herk Harvey, 1962) Marguerite & Julien (Valérie Donzelli, 2015) Portrait of a Lady on Fire (Portrait de la jeune fille en feu, Céline Sciamma, 2019) This Magnificent Cake! (Ce Magnifique Gâteau!, Emma De Swaef & Marc James Roels, 2018) Romantic Comedy (Elizabeth Sankey, 2019) Transnistra (Anna Eborn, 2019) Eraserhhead (David Lynch, 1977) The Farewell (Lulu Wang, 2019) Emma. (Autumn de Wilde, 2020) Late Night (Nisha Ganatra, 2019) Charlie's Angels (Elizabeth Banks, 2019) Birds of Prey (and the Fantabulous Emancipation of One Harley Quinn) (Cathy Yan, 2020) The Ancestors Came (Cecile Emeke, 2017) Suicide by Sunlight (Nikyatu Jusu, 2019) Anthropocene: The Human Epoch (Edward Burtynsky, Jennifer Baichwal, Nicholas de Pencier, 2018) A Perfect 14 (Giovanna Morales Vargas, 2018) Westwood: Punk, Icon, Activist (Lorna Tucker, 2018) Free Radicals (Len Lye, 1958) Aniara (Pella Kågerman and Hugo Lilja, 2018) Vivarium (Lorcan Finnegan, 2019) La Pointe-Courte (Agnès Varda, 1955) Diary of a Pregnant Woman (L'Opéra-Mouffe, Agnès Varda, 1958) Salut les Cubains (Agnès Varda, 1964) Uncle Yanco (Oncle Yanco, Agnès Varda, 1967) GUO4 (Peter Strickland, 2019) Atlantiques (Mati Diop, 2009) Sitara: Let Girls Dream (Sharmeen Obaid-Chinoy, 2019) Lions Love (Lions Love... And Lies, Agnès Varda, 1969) Živan Makes a Punk Festival (Živan pravi pank festival, Ognjen Glavonić, 2014) Plastic and Glass (Tessa Joosse, 2009) The So-Called Caryatids (Les Dites Cariatides, Agnès Varda, 1984) The Octopus (La Pieuvre, Jean Painlevé, 1928) Hyas and Stenorhynchus (Hyas et sténorinques, crustacés marins, Jean Painlevé, 1929) Sea Urchins (Les Oursins, Jean Painlevé, 1929) Bernard-L'Hermite (Bernard-l'Ermite, Jean Painlevé, 1930) The Sea Horse (L'Hippocampe ou "cheval marin", Jean Painlevé, 1934) Voyage to the Sky (Voyage dans le ciel, Jean Painlevé, 1937) Le Vampire (Jean Painlevé, 1945) Freshwater Assassins (Assassins d'eau douce, Jean Painlevé, 1947) How Some Jellyfish Are Born (Comment naissent des méduses, Jean Painlevé and Geneviève Hamon, 1960) Shrimp Stories (Histoires de crevettes, Jean Painlevé and Geneviève Hamon, 1964) The Love Life of the Octopus (Les Amours de la pieuvre, Jean Painlevé and Geneviève Hamon, 1965) Acera, or The Witches' Dance (Acera, ou le Bal des Sorcières, Jean Painlevé and Geneviève Hamon, 1972) Pigeons of the Square (Les Pigeons du square, Jean Painlevé, 1982) The Slumber Party Massacre (Amy Holden Jones, 1982) Jane B. par Agnès V. (Agnès Varda, 1988) The Cranes Are Flying (Летят журавли, Mikhail Kalatozov, 1957) Crystal Swan (Хрусталь, Darya Zhuk, 2018) Take Me Somewhere Nice (Ena Sendijarević, 2019) Microhabitat ( 소공녀, Jeon Go-woon, 2017) The Unforeseen (Laura Dunn, 2007)
June
Funny Games (Michael Haneke, 1997) Louise Bourgeois: The Spider, the Mistress and the Tangerine (Marion Cajori and Amei Wallach, 2008) Wodaabe: Herdsmen of the Sun (Werner Herzog, 1989) Bells from the Deep: Faith and Superstition in Russia (Glocken aus der Tiefe - Glaube und Aberglaube in Russland, Werner Herzog, 1993) We Are the Best! (Vi är bäst!, Lukas Moodysson, 2013) Olla (Ariane Labed, 2019) Return to Reason (Le Retour à la raison, Man Ray, 1923) Ghosts Before Breakfast (Vormittagsspuk, Hans Richter, 1928) Sissy Boy Slap Party (Guy Maddin, 2004) The Republic of Enchanters (La République des enchanteurs, Fanny Liatard and Jérémy Trouilh, 2016) Sullivan's Banks (Sullivans Banken, Heinz Emigholz, 2000) Black Panthers (Agnès Varda, 1970) Asparagus (Suzan Pitt, 1979) America (Valérie Massadian, 2013) The Fall (Tarsem Singh, 2006) The Watermelon Woman (Cheryl Dunye, 1996) Douce Menace (Ludovic Habas, Yoan Sender, Margaux Vaxelaire, Mickaël Krebs, Florent Rousseau, 2011) Curling (Denis Côté, 2010) Trouble Every Day (Claire Denis, 2001) The Return (Возвращение, Andrey Zvyaginstev, 2003) Maillart's Bridges (Maillarts Brücken, Heinz Emigholz, 2000) Two Years at Sea (Ben Rivers, 2011) The Creeping Garden (Tim Grabham and Jasper Sharp, 2014) Homo Sapiens (Nikolaus Geyrhalter, 2016) A Radiant Life (Une Vie radieuse, Meryll Hardt, 2013) Shirley (Josephine Decker, 2020) Disclosure (Sam Feder, 2020) Baghead (Mark Duplass and Jay Duplass, 2008) Lahemaa (Leslie Lagier, 2010) Closeness (Теснота, Kantemir Balagov, 2017) Touki Bouki (Djibril Diop Mambéty, 1973) Daughter (Dcera, Daria Kashcheeva, 2019) Human Nature (Sverre Fredriksen, 2019) 1 Dimension (一维, Lü Yue, 2013)
July
Post Tenebras Lux (Carlos Reygadas, 2012) Something to Remember (Något Att Minnas, Niki Lindroth Von Bahr, 2019) Gegenüber (Ewa Wikiel, 2019) The Claudia Kishi Club (Sue Ding, 2020) Villa Empain (Katharina Kastner, 2019) Fata Morgana (Werner Herzog, 1971) Some Like It Hot (Billy Wilder,1959) Breakwater (Quebramar, Cris Lyra, 2019) Y a-t-il une vierge encore vivante? (Bertrand Mandico, 2015) Virus Tropical (Santiago Caicedo, 2017) The Tribe (Племя, Miroslav Slaboshpitsky, 2014) Integration Report 1 (Madeline Anderson, 1960) Tribute to Malcolm X (Madeline Anderson, 1967)
August
The Stopover (Voir du pays, Delphine and Muriel Coulin, 2016) Our Time (Nuestro Tiempo, Carlos Reygadas, 2018) Never Rarely Sometimes Always (Eliza Hittman, 2020) Land of Silence and Darkness (Land des Schweigens und der Dunkelheit, Werner Herzog, 1971) Continental, a Film Without Guns (Continental, un film sans fusil, Stéphane Lafleur, 2007) Spaceship Earth (Matt Wolf, 2020) The Go-Go's (Alison Ellwood, 2020) First Cow (Kelly Reichardt, 2019) Light of My Life (Casey Affleck, 2019) Wadjda (Haifaa al-Mansour, 2012) Spinster (Andrea Dorfman, 2020) Love and Anarchy (Film d'amore e d'anarchia, ovvero: stamattina alle 10, in via dei Fiori, nella nota casa di tolleranza..., Lina Wertmüller, 1973) Shapito Show (Шапито шоу, Sergey Loban, 2011) Charade (Stanley Donen, 1693) Cat People (Jacques Tourneur, 1942) Radioactive (Marjane Satrapi, 2019) Tabloid (Errol Morris, 2010) The Mourning Forest ( 殯の森, Mogari No Mori, Naomi Kawase, 2007) Lilya 4-ever (Lilja 4-ever, Lukas Moodysson, 2002)
September
The Nightingale (Jennifer Kent, 2018) Babyteeth (Shannon Murphy, 2019) Let the Corpses Tan (Laissez bronzer les cadavres, Hélène Cattet & Bruno Forzani, 2017) Wings of Desire (Der Himmel über Berlin, Wim Wenders, 1987) In My Room (Mati Diop, 2020) Katalin Varga (Peter Strickland, 2009) Les 3 Boutons (Agnès Varda, 2015) Somebody (Miranda July, 2014) Öndög (Wang Quan'an, 2019) Strasbourg 1518 (Jonathan Glazer, 2020) Mermaid (Русалка, Anna Melikyan, 2007) The Lighthouse (Маяк, Maria Saakyan, 2006) Phenomena (Dario Argento, 1985) That One Day (Crystal Moselle, 2016) Brigitte (Lynne Ramsay, 2019) The Wedding Singer's Daughter (Haifaa al-Mansour, 2018) Shako Mako (Hailey Gates, 2019) Carmen (Chloë Sevigny, 2017) The Summer of Sangailė (Sangailės Vasara, Alanté Kavaïté, 2015) Hello Apartment (Dakota Fanning, 2018) Seed (Naomi Kawase, 2016) Beyond the Visible: Hilma af Klint (Halina Dyrschka, 2019) Matthias & Maxime (Xavier Dolan, 2019) The Gleaners and I (Les Glaneurs et la glaneuse, Agnès Varda, 2000)
October
American Murder (Jenny Popplewell, 2020) Hereditary (Ari Aster, 2018) Ghostland (Pascal Laugier, 2018) Triangle (Christopher Smith, 2009) The Amityville Horror (Stuart Rosenberg, 1979) The Visit (M. Night Shyamalan, 2015) The House of the Devil (Ti West, 2009) Misery (Rob Reiner, 1990) The Exorcist (William Friedkin, 1973) Coherence (James Ward Byrkit, 2013) Metamorphosis (변신, Kim Hong-sun, 2019) Errementari (Paul Urkijo Alijo, 2017) I Am a Ghost (H.P. Mendoza,2012) The Changeling (Peter Medak, 1980) Witching and Bitching (Las Brujas de Zugarramurdi, Álex de la Iglesia, 2013) Thirst (박쥐, Park Chan-wook, 2009) V/H/S ( Adam Wingard, David Bruckner, Ti West, Glenn McQuaid, Joe Swanberg, Radio Silence, 2012) The Autopsy of Jane Doe (André Øvredal, 2016) Overlord (Julius Avery, 2018) Häxan (Benjamin Christensen, 1922) Viy (Вий, Georgiy Kropachyov & Konstantin Ershov, 1967) Amulet (Romola Garai, 2020) A Bucket of Blood (Roger Corman, 1959) The Wasp Woman (Roger Corman, 1959) Mother! (Darren Aronofsky, 2017) Suspiria (Dario Argento, 1977) The Open House (Matt Angel, Suzanne Coote, 2018)
November
The Damned Don't Cry (Vincent Sherman, 1950) Notorious (Alfred Hitchcock, 1946) While the City Sleeps (Fritz Lang, 1956) The Man Who Wasn't There (Joel Coen, 2001) The Naked City (Jules Dassin, 1948) The Petrified Forest (Archie Mayo, 1936) Croupier (Mike Hodges, 1998) In a Lonely Place (Nicholas Ray, 1950) Elevator to the Gallows (Ascenseur pour l'échafaud, Louis Malle, 1958) Key Largo (John Huston, 1948) Dial M for Murder (Alfred Hitchcock, 1954) The Long Farewell (Долгие проводы, Kira Muratova, 1971) The Killers (Robert Siodmak, 1946) Gun Crazy (Joseph H. Lewis, 1950) Alphaville (Jean-Luc Godard, 1965) Laura (Otto Preminger, 1944) The Third Man (Carol Reed, 1949) Dark City (Alex Proyas, 1998) Night and the City (Jules Dassin, 1950) Ace in the Hole (Billy Wilder, 1951)
December
Nimic (Yorgos Lanthimos, 2020) Elsa la rose (Agnès Varda, 1966) Le Bonheur (Agnès Varda, 1965) Little Girl (Petite Fille, Sébastien Lifshitz, 2020) Cold Meridian (Peter Strickland, 2020) The Fiancés of the Bridge Mac Donald (Les Fiancés du Pont Mac Donald ou (Méfiez-vous des Lunettes Noires)) (Agnès Varda, 1961) Along the Coast (Du côté de la côte, Agnès Varda, 1958) Vic + Flo Saw a Bear (Vic + Flo ont vu un ours, Denis Côté, 2013) Zootopia (Byron Howard, Rich Moore, 2016) It's a Wonderful Life (Frank Capra, 1946) Paddington (Paul King, 2014) Miracle on 34th Street (George Seaton, 1947) High Life (Claire Denis, 2018) Paddington 2 (Paul King, 2017)
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I was tagged by @bitchking-of-angmar and noooo, I didn’t use this as an opportunity to get lost in nostalgia!
Rules: Spell out your URL with song titles, then tag as many people as there are letters in your URL (I’m ignoring dashes obviously). I will link those that can still be found online.
M - Morderd’s Song by Blind Guardian: Starting of with one of my favourite bands. I can’t have this list without Blind Guardian. They are very dear to me and probably the only band I have watchted repeatedly live (always with my best friend and at Wacken). And I’ll admit it here and now: I really like stories about the misunderstood Anti-Hero (as long as it’s not taken too far of course)
O - One Night by Deine Lakaien: Love me some melodic songs that make sway like seaweed and makes me feel things.
R - Right Here In My Arms by HIM: HIM is THE thing of my teen years. I still remember seeing them performing in a game show and thinking “Blegh what is this...” and then I just fell in love. Ville Valo’s voice just hits my musical soft spot.
I - Immer Dieselbe Leier by Schandmaul: During my school time (many moons ago, geez) I was really into this German band. Especially their instrumental pieces were very dear to me.
Q - Quutamo by Apocalyptica: I love string music :P But no seriously, Apocalyptica has been part of my musical journey since I was 15, nearly as long as Blind Guardian.
U - Underground by Lindsey Stirling: Some more strings ^^ I really like the up-lifting songs by Lindsey Stirling and they always help me daydreaming.
E - El Cattivo by Die Ärzte: This is a German song about a cowboy who is “dirty, cowardly and mean”. One of my favourite songs by Die Ärzte.
N - No Light, No Light by Florence + The Machine: This is my newest love. Since I heard Spectrum a few years ago I can’t let go of Florence + The Machine (the songs have inspired so much!) and there are so many songs I love!
D - De Profundis by ASP: At first I also wanted to choose Duett (Minnelied der Incubi), because that song just opened a part of my soul when I first listened to it. But you can find that in @bitchking-of-angmar ‘ s list :D check it out! So I also like many other songs of ASP and this one in particular just makes me want to dance.
A - Applause by Lady Gaga: That was a tough one. In the end I was caught between this and Alejandro, also by Lady Gaga, because seriously where would I be without her? Especially those two videos made me question a lot about my preferences and myself. I chose Applause now because as an artist I honestly... yeah... live for the applause
Huh... so that became quite personal in the end and I spent too much time on this lol, but well, maybe some of you also want to do this. I am tagging (of course. as always, no pressure!):
@nattravn-stuff @mellyora221b @derptaur @aquilaperplessa @coconut-orc @gemmamelon
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Heisann
I mine tidligere år har jeg brukt fire år på videregående på tre forskjellige skoler, der jeg startet med ett år på elektro. Siden det ikke passet meg, gikk jeg over til bygg og anlegg i to år, men siden det også ikke passet meg, tok jeg mitt siste år med videregående på påbygg for å få generell studiekompetanse.
Jeg var veldig usikker hva jeg ville gjøre året etter, så jeg tok et friår der jeg jobbet i barnehage og innen FDV-grønt, der jeg holdt for det meste på med gressklipping.
Året etter, søkte jeg meg inn på Engelsk studiet på NTNU. Jeg var fortsatt usikker på hva jeg hadde lyst til å gjøre, men jeg hadde LFT på tankene. Så det året på NTNU ble på en slags måte et prøve/tenke år.
Jeg har over de siste årene blitt mer interessert i de tre uttrykksformene vi skal holde på med og er klar for å lære mer. Jeg har ikke særlig mye arbeids erfaring innen disse temaene, men jeg er glad i å se film og teater, i tillegg til å vite mer om arbeidet rundt det.
Det blir fort spørsmål om favorittfilm, regissør og slikt når man velger et slikt studiet og det er vanskelig å gi svar på. Jeg er fan av filmene til Stanley Kubrick og Paul Thomas Andersson. Visst jeg har måtte valgt en film å se for resten av mitt liv så blir det Birdman av Alejandro González Iñárritu.
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Re-descubriendo un clásico moderno: Sobre el Color y los muebles en la Ville Savoye
-Enzo Vergara Vaccia, Junio 2020
1. Le Corbusier y el interiorismo
Intro
La Ville Savoye, diseñada por de Le Corbusier en 1929, ha sido una de las obras más importantes y estudiadas del movimiento moderno. Los principios que rigen el diseño de la casa, tendrían un profundo impacto en la arquitectura del S.XX. y aún en gran parte de la arquitectura contemporánea.
Sin embargo, la mayor parte de la difusión de la obra ha estado ampliamente centrada a partir de los 5 elementos más conocidos (los pilotis, la fachada libre, la ventana corrida, el techo jardín y la planta libre (A) y han sido dejados parcialmente al margen los elementos secundarios como los muebles o la propuesta de color, siendo que ambos son fundamentales para entender- junto a los mencionados 5 elementos- al proyecto y al programa de vida moderna propuesto por Le Corbusier.
Se propone un breve estudio sobre la arquitectura interior de la Ville Savoye que busca visualizar y re-descubrir los valores estéticos del color y el amueblamiento como parte integral de la totalidad de la obra y del legado de Le Corbusier.
2. Le Corbusier y el color
La relación entre Le Corbusier y el color proviene fundamentalmente de su oficio por la pintura y de una colección de viajes que realiza por el oriente en 1931. Junto a su amigo artista Amédeé Ozenfant publican “Nature et creation” y el texto “Le Purisme”(B) donde presentarían su “policromía purista” entendiendo la belleza y las leyes de la armonía como resultado de la búsqueda del orden y la claridad formal. La serie de colores fue difundida por la compañía de papeles pintados Salubra la cual le encarga a Le Corbusier la creación de una paleta de colores, cuya primera serie se lanzaría en 1931 y una segunda serie que sería presentada en 1959.
“Le Corbusier no buscó un sistema para clasificar los colores, sino un instrumento que sirviera para limitarlos y para garantizar su correcta combinación. Por lo tanto, las cartas de color se hacen en forma de teclado de piano, en el que las claves son limitadas, pero proporcionan la base de cualquier armonía musical. (2)
La paleta de colores de 1931 y 1959 forman un total de 63 colores derivados de 12 colores principales. La primera serie de colores propone un juego de asociaciones con la naturaleza. Cada “tecla” o “clavier”* está asociada a un concepto de orden natural como “cielo”, “espacio”, “tierra”, “mampostería” y “paisaje”. Cada color cumple un rol perceptual en los espacios, ya sea “tensionar”, “aclarar”, “limitar”, “abrir”, “separar” etc. Es decir, existe una razón específica para cada color según el espacio, la función y la luz. (3)
"Claviers de Couleurs" Salubra, (1931)-Les Coleurs (C)
Salubra Collection" (1959)-Les Coleurs (C)
Paleta de Colores Ville Savoye- elaboración propia.
Los colores azules eran utilizados en las áreas más oscuras de los edificios, y los colores rojos en las que debían ser más iluminadas”. (4)
El uso del color en la Ville Savoye**
Lo más probable es que al imaginar la Ville Savoye, el resultado sea una imagen de un volumen blanco suspendido en medio de un prado verde… Y es cierto, la obra es en gran parte “una caja suspendida en el aire” de color blanco. Sin embargo, al mirar con detención a la casa por el exterior se puede ver un color parecido al verde. El color real es “Vert vif 2”, (Verde vivo 2, R:20,G:124,B:100) y es parte de los 63 colores de la serie de policromía arquitectural propuesta por Le Corbusier.
Y es que no solo es este color. Existe un total de 10 colores usados en toda la casa. De hecho, el color Verde vivo 2 tiene por finalidad aumentar la percepción de “Suspensión en el aire” al volumen que descansa sobre los pilotes. Tanto como la idea de mimetizar al volumen con el paisaje exterior, Le Corbusier propone diversos colores al interior con distintas intenciones. Un ejemplo es el contraste o “tensión” al introducir el color rosa pálido y azul claro sobre dos muros paralelos en el living, que se enfrentan a una cierta distancia:
“Entendemos que como el color rosa es un derivado del rojo, se utiliza en las superficies para limitar espacio y determinar una posición exacta, entre otros. No pretende romper la caja espacial, sino producir tensión y marcar que esa superficie, esa pared existe”. (2)
3. Muebles como arquitectura
Un momento clave en la historia de la obra de Le Corbusier como interiorista es lo que presenta en el Salón de Otoño de 1929 (6). Junto a su primo Pierre Jeanneret y a Charlotte Perriand, proponen “L´Equipement de L´habitation”, una serie de muebles que pretendían ser los elementos esenciales para el equipamiento interior de la vida moderna. La muestra se centró en “La sala” o “living”, “cocina”, “dormitorios y baño”.
En 1925 se abandonaron los últimos vestigios de los muebles del pasado y comenzaron a plantearse elementos combinables, de formas simplificadas, y a pensar que el diseño de muebles planteaba problemas esencialmente arquitectónicos, donde el principio de abstracción visualizaba la función y definía la forma. Se plantearon flujos transversales entre arquitectura y mobiliario, donde éste llegó verdaderamente a hacerse arquitectura(1).
La casa está equipada con gran parte de los muebles presentados en el Salón de Otoño; la serie de sillas LC-1, LC-2, LC-4, LC-8 y las mesas LC6 y LC 10. Cada mueble tiene un propósito específico y se organizan de modo libre a lo largo del living. Para Le Corbusier se trataba de “objetos-tipo” para “funciones tipo”. Cada una de las piezas corresponde a una postura concreta del cuerpo humano.(4)
El resto de la casa tiene otros tres tipos de muebles; Un gran mueble-estante que recorre tres de las cuatro caras interiores de la casa, muebles tipo armarios “isla” que a su vez actúan como separadores de ambiente y mesas en obra de distinto tamaño. El mueble-estante funciona a su vez como repisa y como “marco”, escondiendo a los radiadores y redes de agua en la cocina.
Referencias:
(1) “Le Corbusier y el Salon d’ Automne de París. Arquitectura y representación, 1908-1929”. José Ramón Alonso Pereira
(2) “La importancia del color en la Ville Savoye: Un estudio experimental”. Blanca García Escobar, Tésis de grado. Universitat Politécnica de Valencia, 2016.
(3) The Architectonic Colour: Polychromy in the Purist Architecture of Le Corbusier. JAN De Heer, 2009.
(4) “Los Hechos de la Arquitectura”. Fernando Pérez Oyarzun, Alejandro Aravena, José Quintanilla, 2007.
(5) “Sobre una caracterización “corbuseriana” del mobiliario moderno”. M. Villanueva Fernandez, H. García-Diego Villarías. Le Corbusier 50 yeras later. International Congress, Universidad de Navarra.
(6) El Salón d´Automne es una exposición de arte realizada en París desde principios de S.XX. Le Corbusier tuvo participación en diversas versiones anteriores a la de 1929.
(A) “Les Cinq Points d'une Architecture Nouvelle”, Le Corbusier y Pierre Jeanneret, 1926
(B) “Le Purisme”, Ozenfant y Jeanneret-L´Espirt Nouveau 4, 1921.
(C) lescoleurs.ch
(*) “Polycromie Architecturale”. Texto inédito publicado en 1997 (BIRKHÄUSER). Se presentan las dos series de colores "Claviers de Couleurs" (1931) con 43 tonos y la "Salubra Collection" (1959) con 20 tonos y una muestra de los 13 colores base.
(**) Se realiza un estudio sobre los colores pertenecientes a la tercera restauración (1996-1997)
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TOP FILMS 2019: 20 films
1/ PARASITE. Bong Joon-ho
De film en film, le coréen s’affirme comme le plus grand raconteur d’histoire de son époque. A la fois auteurisant et grand public, politique et burlesque, gore et esthétique, Parasite est un film comme les américains ne savent (ne peuvent, ne veulent) plus en faire. Succès critique et public mérité et encourageant !
2/ MARRIAGE STORY Noah Baumbach
Réalisateur culte depuis Les Berkman se Séparent et Frances Ha, Baumbach doit cependant lui aussi se réfugier sur Netflix pour sortir ses films. Après Roma en 2018, l’opérateur prouve qu’on peut lui faire confiance pour créer encore du cinéma noble et délicat. Le duo Driver/Johansson est fascinant, le récit de leur séparation filmé avec justesse et force. Du grand art.
3/ MIDSOMMAR. Ari Aster
En 2 films le réalisateur américain s’impose dans la cour des grands avec 2 expériences dont on ne ressort pas indemne. Midsommar, sur un sujet casse gueule (et qui rappelle The Wicker Man) reste longtemps dans les esprits et prouve que l’on peut encore surprendre et fasciner à Hollywood en 2019. La version de 3h sortie en Blu Ray en remet une couche. On attend la suite avec impatience.
4/ Il ETAIT UNE FOIS A HOLLYWOOD. Quentin Tarantino
Hollywood justement, dont l’un de ses fervents admirateurs se plait à réécrire l’histoire avec son talent de conteur hors-pair. Depuis Les 8 Salopards, son cinéma est moins pop, plus adulte et l’on ne peut pas penser une seconde qu’il arrêtera après le prochain. S’il est depuis 25 ans l’un des réalisateurs les plus fascinants, il dirige ici de main de maitre les 2 derniers géants d’Hollywood: Di Caprio et Pitt. La concurrence est très loin derrière.
5/ BORDER Ali Abbasi
Un des plus gros chocs visuels et sensoriels de cette année. Border mélange les genres, contes de fées, thriller, fantastique et film naturaliste avec une force et une grâce qui vous poursuivent longtemps. Un hymne à la différence et une réflexion sur notre rapport à la nature. Inspiré par une nouvelle de John Lindqvist, qui avait écrit Morse...
6/ THE LIGHTHOUSE Robert Eggers
Après la claque The Witch, Eggers continue et creuse le sillon d’un cinéma horrifique, tordu et sans concession. Noir et blanc, format carré et bande son obsédante pour une descente (ou une montée) vers la folie, magnifiquement mise en scène. Pattinson confirme son statut de nouveau grand, Dafoe est toujours parfait dans un conte gothique qui cherche la lumière et tangue comme une chanson des Pogues.
7/ SORRY TO BOTHER YOU. Boots Riley
Une petite claque par le leader du groupe rap The Coup. Le film dynamite la mondialisation et le racisme ordinaire dans une charge punk et pop contre l’exploitation humaine et la blanchisation de la société américaine. On pense à Gondry, Spike Jonze, Idiocracy ou à l’Arme Fatale...Jouissif et culte.
8/ AD ASTRA James Gray
On aime tellement James Gray qu'on lui pardonne ici les facilités du scénario, parce qu’on se laisse quand même emporter dans son trip SF, élégant et fragile. Au-delà de certains passages un peu légers (donc curieux de la part de son réal), Gray film Brad Pitt comme jamais, tout en retenue, donnant là une 2e interprétation majeure sur l’année...Le cinéma moderne américain a besoin de James Gray et de son classicisme.
9/ LE TRAITRE Marco Bellocchio
On attendait plus grand chose du vieux Bellocchio, et plus grand chose aussi du film de mafia italienne depuis que Gomorra (le film et la série) avait redistribué les cartes ( Suburra, Piranhas, A Ciambra, Les Ames Noires...). Mais le film remet au coeur de l’actualité l’histoire du juge Falcone et d’un traitre qui su renverser la Pieuvre en bravant l’Omerta. Grande performance de Pierfranceso Favino.
10/ JOKER Todd Philips
Un film qui divise autant les critiques et forcément intéressant. Au-delà des débats sur ses propos soi-disants nauséabonds , le film dérange surtout parce qu’il met en avant un pauvre type largué, prêt à tout pour se faire remarquer, dans un pays où l’accès aux armes est un jeu d’enfants, et dans une société où les laissés pour compte se réveillent. La figure du clown est brillante, le jeu de Phoenix captivant et il ressort de cette expérience quelque chose de désespéré et fortement actuel. Que Batman et DC soit dans les parages importe finalement assez peu, que le public ait adhéré à un film aussi noir et éloigné des codes du film Marvel plus que rassurant. Pour plein de raisons, Joker est un film important.
11/ SPIDER-MAN NEW GENERATION. P.Ramsey & B.Persichetti
Si les reboot en tous genres et les films DC/Marvel ne m’intéressent plus vraiment depuis Logan, la claque reçue ici est proportionnelle à mon désintérêt pour le genre ! Ou comment dynamiter, dynamiser et redonner de l’intérêt à une franchise réchauffée ? En injectant des persos peu mis en avant (latinos et blacks), plusieurs super héros, une musique pop et rap, et mille idées d’animations à la minute, mélangeant les styles avec bonheur et intelligence. Du divertissement 4 étoiles, qui ne prend pas les spectateurs pour des cons.
12/ EL REINO. Rodrigo Sorogoyen
Après le magistral Que Dios Nos Perdone, le réal espagnol rebondit avec cette affaire de corruption au sein de la classe politique espagnole, bien malade. Ou comment suivre un ripou tout le long du film sans le rendre attachant. Une prouesse filmée caméra à l’épaule, de loin, comme pour mieux faire monter ce sentiment d’oppression et de paranoïa permanente.
13/ COMPANEROS. Alvaro Rechner
Un autre film (Uruguay/ Espagne), porté par Antonio de la Torre. Le film revient sur les années 70 et la torture des opposants politiques en Uruguay. On y suit le parcours de 3 d’entre eux, enfermés pendant 12 ans...Fort et captivant, à rapprocher de Buenos Aires 77...
14/ TRAINE SUR LE BITUME. S.Craig Zahler
Réalisateur culte depuis Bone Tomahawk, Zahler poursuit son parcours discret, tous ses films sortant en DVD chez nous. Auteur, scénariste, compositeur, il signe un cinéma personnel et percutant, posant le décor pendant la première heure avant de faire basculer ses histoires dans une déflagration de violence crue et inédite. Ici une histoire de braquage foireux et d’âmes brisées, portée par un Mel Gibson ténébreux à souhait et un Vince Vaughn déjà à l’oeuvre dans Section 99. Un film froid, implacable et hors-normes qui a tout pour devenir culte.
15/ UNE VIE CACHEE. Terrence Malick
Parce qu’on espérait un éclair après les exercices de styles et les purges précédentes, parce qu’il y a souvent plus de cinéma dans un plan de Malick que dans tous les derniers Marvel, parce que cet homme reste un des plus grands filmeurs de la nature, parce que sur 3h il y en a au moins 2 de magnifiques...Oui, c’est répétitif, oui c’est trop long, mais Malick est revenu déjà à quelque chose qu’il semblait avoir perdu depuis la Ligne Rouge : faire un film, pas juste une succession de plans, fussent-ils réussis...
16/ THE OLD MAN & THE GUN. David Lowery
Après Ghost Story, le réal américain change de style et embarque Robert Redford dans un film touchant et gracile qui confirme la facilité du réalisateur pour raconter des histoires sensibles et à fleur de peau. Redford, en braqueur sénile, tiré d’une histoire vraie, assume son âge, se revoie à la grande époque de The Chase et signe là une des ses dernières apparitions.
17/ BROOKLYN AFFAIRS. Edward Norton
Norton aura mis 20 ans à faire son film, dans la grande tradition du film noir américain. Mais là où De Palma (Le Dahlia Noir) ou Ben Affleck ( Live By Night), se sont plantés en beauté, il tire un film sérieux et personnel, porté par une bande son jazz du meilleur effet. On y entend aussi Thom Yorke. Norton joue également le rôle principal, un privé atteint du Syndrome de la Tourette, et Dieu si l’on n’a pas l’habitude de voir de tels personnages au cinéma. Mention spéciale à Alec Baldwin en méchant de service contrôlant les biens immobiliers de la ville. Belle réussite.
18/ MARWEN. Robert Zemeckis
Grand faiseur d’images et amoureux des effets techniques novateurs (Roger Rabbit), Zemeckis adapte la vie de Mark Hogancamp, amnésique depuis une agression qui recrée chez lui une ville de la 2e guerre mondiale qu’il peuple de jouets et de poupées...Porté par une technologie incroyable et un Steve Carrell rarement aussi touchant, le film aborde des sujets éprouvants (le nazisme, les agressions homophobes, la maladie mentale...) dans un divertissement adulte qui ne pouvait décemment guère plaire au grand public...
19/ UN GRAND VOYAGE VERS LA NUIT. Bi Gan
A 30 ans, le cinéaste chinois signe son 2e film, et une prouesse visuelle impressionnante. Après une première heure esthétiquement incroyable, le film bascule dans un plan séquence d’1 heure, en 3D...Réflexion sur les rêves, les souvenirs, l’amour et le cinéma, le film de Bi Gan ne laisse pas insensible et confire la naissance d’une grand réalisateur dans une année forte pour le cinéma chinois ( Le Lac aux oies sauvages, Le Eternels, So Long My Son, Face à la nuit, An Elephant Sitting Still...)
20/ MEURS MONSTRE MEURS. Alejandro Fadel
Le cinéma argentin a souvent donné de merveilleux ovnis, mais celui-ci aura pu en dérouter certains. Entre polar et film fantastique ( on n’est pas loin du mexicain Amat Escalante et sa Région Sauvage). On n’y parle de femmes décapitées, de sexualité, de voix intérieures...Un film curieux et déstabilisant, mais qui marque les esprits. Sans la fin grotesque, le film aurait pu espérer mieux en terme de classement...
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Afficher uniquement les événements clésVeuillez activer JavaScript pour utiliser cette fonctionnalitéFlux en directLes évènements clésil y a 20 mLes équipesil y a 26 moisPréambuleAfficher uniquement les événements clésVeuillez activer JavaScript pour utiliser cette fonctionnalitéil y a 13 mois14.13 HNEManchester United apporte quatre changements à son onze de départ depuis la victoire de la Coupe de la Ligue la semaine dernière contre Burnley. David de Gea, Raphael Varane, Luke Shaw et Antony remplacent Martin Dubravka, Victor Lindelof, Scott McTominay et Alejandro Garnacho. Le capitaine du club Harry Maguire est de retour, mais uniquement sur le banc. Lisandro Martinez et Jadon Sancho sont tous les deux portés disparus, le premier étant vraisemblablement toujours en fête.Nottingham Forest apporte trois changements au XI nommé pour sa victoire en Coupe de la Ligue à Blackburn la semaine dernière. Wayne Hennessey prend les gants du prêté Dean Henderson, qui ne peut pas jouer pour son club parent, tandis que Serge Aurier et Renan Lodi remplacent Neco Williams et Harry Toffolo aux postes d'ailier arrière. Jesse Lingard revient sur son terrain de prédilection.il y a 20 m14.06 HNELes équipesManchester United : De Gea, Wan-Bissaka, Varane, Shaw, Malacia, Eriksen, Casemiro, Fernandes, Antony, Rashford, Martial. Remplaçants : Heaton, Bennett, Maguire, Williams, Fred, Van de Beek, Iqbal, Elanga, Garnacho.Forêt de Nottingham : Hennessey, Aurier, Worrall, Boly, Lodi, Yates, Mangala, Freuler, Johnson, Awoniyi, Lingard. Remplaçants : Smith, Cook, Williams, Colback, O'Brien, Toffolo, Surridge, Dennis, McKenna.Arbitre: Anthony Taylor (Cheshire).il y a 24 mois14.01 HNELes nouvelles de l'équipe sous forme de médias sociaux.🥁 Voici votre line-up United ! 👊#MUFC || #MUNNFO–Manchester United (@ManUtd) 27 décembre 2022 Présentation de votre #NFFC côté pour le choc de ce soir à Old Trafford. 👊 pic.twitter.com/oO0m8m4S1C– Nottingham Forest FC (@NFFC) 27 décembre 2022 il y a 26 mois14h00 HNEPréambuleC'est bien de remonter rapidement sur le cheval après une grosse perte. Dommage le pauvre Nottingham Forest, alors, qui aura ruminé ce Défaite 8-1 au City Ground pendant presque 23 ans. Oui, le jour où Ole Gunnar Solskjaer est venu en ville en février 1999 et a marqué quatre fois en 14 minutes pour avoir poursuivi Manchester United contre la racaille de Ron Atkinson, liée à la relégation, c'était la dernière fois que ces deux clubs célèbres se sont rencontrés. Près d'un quart de siècle de ragoût, bouillonnant dans la marmite.United était en tête ce jour-là, Forest en bas. La dynamique n'est pas radicalement différente maintenant... Pos Équipe P GD Points 4 Tottenham Hotspur 16 dix 30 5 Homme Utd 14 0 26 6 Liverpool 15 13 25 18 Wolverhampton 16 -15 13 19 Forêt de Nottm 15 -19 13 20 Southampton 16 -16 12 … et vous soutiendriez les hôtes pour remporter sept victoires de suite contre les Tricky Trees ce soir. (Pour mémoire, cette série faible et lointaine de victoires cons��cutives de United se lit 5-0, 4-1, 4-0, 2-1, 3-0 et 8-1, ce qui donne un total cumulé de 26-3. ) Mais l'histoire rend un petit
quelque chose à tout le monde, et Forest garde de bons souvenirs d'une déroute qui lui est propre, La plus grande équipe de Brian Clough éviscérant les presque hommes de Dave Sexton 4-0 juste avant Noël dans un Old Trafford soudainement pas si festif en 1977, sans doute la victoire de signature de leur saison de titre. Il y a donc un peu de contexte, pour ce que valent les matchs d'il y a 22 et 45 ans. Le coup d'envoi de ce soir est à 20h GMT. C'est en marche!Les sujetspremière ligueManchester UnitedForêt de NottinghamRéutiliser ce contenu
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