#agissement
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eughhhhhhhhhhh
#j'aimerais qu'il ne soit pas si difficile d'exprimer mes émotions#apparemment ce n'est pas si difficile pour tout le monde#mais c'est presque impossible pour moi#je ne peux même pas penser à dire à quelqu'un ce que je ressens sans être malade#ce serait beaucoup plus facile si j'étais normal#si je n'étais pas si bien gardé#if that makes sense#j'ai essayé de changer mais il se passe quelque chose et je reviens toujours à la case départ#et ensuite je tourmente les gens autour de moi quand je laisse mes murs s'effondrer#comme#parfois je me demande s'ils m'aiment vraiment#comme dans#apprécient-ils ma compagnie ou agissent-ils de la sorte pour ne pas me blesser ?#idk i need to invest in a diary#holy yap
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Le compte du Castabot a partagé cette image y a quelques semaines et... Cowboy Visiteur. Avec un Sonic Screwdriver.
#vdf#le visiteur du futur#ca pourrait etre le docteur :3#oui je suis en train d'imaginer Renard se teleportant au far-west. et agissant comme un hero de western spaghetti. il ferait un duel a midi
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🥵
#costam#agiss#artists on tumblr#art#digitalart#portrait#hotuwa#pink#procreate#character design#digital art#artwork#illustration
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saga: Soumission & Domination 354
WE à la campagne-2, Nathan
Dimanche :
Messe pour ceux qui veulent c'est-à-dire les parents et Côme. Nous profitons qu'ils soient partis pour une bonne heure et demie pour nous payer un réveil sexe. La veille nous nous étions couchés avec juste un câlin soft et la chambre d'à côté aussi vu l'avertissement de la veille.
Dès que le bruit du moteur de la voiture s'éteint, nous parviennent des gémissements de la chambre des jeunes.
Ils sont trois, nous aussi et l'épisode de la veille dans la paille m'a rappelé ce qui m'excite chez les jeunes. Le temps de décider mes acolytes de faire les quelques mètres qui nous séparent et nous arrivons alors qu'ils se sucent en triangle.
Les trois corps lisses mais musclés nous font saliver (et pas que) grave. Sachant la maison vide, nous sommes nous aussi à poil. Je regarde mes comparses, ils bandent tout comme moi.
Ils sont tellement pris par le corps de leurs amis qu'aucun ne s'est aperçu de notre présence. Ce n'est que quand ils sentent des mains en trop sur leurs corps qu'ils prennent conscience que nous sommes là. La partouze de la veille fait qu'ils ne sont pas surpris ou même gênés.
Je leur dis de continuer. Je m'accapare la rondelle de Nathan, PH cette d'Enguerrand et Max se retrouve avec la langue de Ludovic à lubrifier sa rondelle.
Ils s'ouvrent comme des fleurs et ils arrivent même à laisser échapper des gémissements de plaisir sur le coté des bites qui pourtant agissent en sourdine vu comme ils s'enfoncent le bâton de plaisir de leur pote bien profondément dans leurs gorges.
Je suis le premier à enfoncer ma bite là où j'avais la langue. Enkpoté contrairement à mes deux amours qui eux peuvent y aller direct. On a beau les secouer hard, ils ne se désaccouplent pas et continuent leurs pompages façon " morts de faim ".
Je caresse le flanc et le dos de Nathan. Il reste doux et de temps en temps je l'agrippe par ses hanches pour appuyer un peu plus mes pénétrations. C'est moi qui pousse à la rotation des sodomites. Un tiers de tour, je me dékpote et encule Enguerrand, cédant ma place à Ludovic et PH entreprend Max.
Mon petit beau-frère est attendrissant et je me penche pour l'embrasser sur la joue. Il sent mes lèvres et se tourne pour me rouler une pelle qui sent un peu la bite. C'est celle de Max et elle s'agite, impatiente d'être à nouveau couverte. Je me penche un peu plus et ce sont deux bouches qui s'occupent d'elle. Et/ou d'elle et des boules associées. J'adore limer sa rondelle, peut être que l'effet " famille " amène une dimension excitante supplémentaire.
Nouveau décalage. Petite hésitation de la part de Ludovic qui se trouve à devoir enculer son frère. S'il a déjà fait l'amour à son grand frère (relire les récits du nouvel an), ce n'est qu'à côté du petit qu'il l'a déjà fait. Cela ne trouble pas Enguerrand qui lui dit d'y aller que ça lui fait plaisir. Sans forcer personne, je reste à ses côtés pour le démarrage.
Ça beau être son petit frère, il n'a pas débandé pour autant. Je lui dis qu'ils se ressemblent tellement que ça tient plus d'une masturbation qu'à une vraie relation sexuelle. Approbation de cette assertion par les 4 autres participants. Je pousse même la délicatesse à positionner le gland de Ludovic juste sur la rondelle d'Enguerrand. Là, c'est ce dernier qui d'un recul franc et décidé, s'empale sur les 19 cm fraternels.
Après ça je peux moi aussi profiter du moment et enculer Max qui commençait déjà à se refermer. En fait c'est meilleur. Son anneau s'est resserré et mon gland doit déplisser la rondelle avant de pouvoir s'enfoncer dedans. Mes mains trouvent ses tétons et sous mes doigts, ils gonflent et son cul se détend. Je peux alors m'enfoncer sans douleur pour personne. Il ne faut pas 5 minutes pour que le duo de frères s'écarte du reste du groupe.
Reconfiguration : Max et Nathan en 69. Les enculeurs restent les même. Le duo ne va pas loin. Il reste sur le matelas juste à nos côtés. Le cul de Max est délicieux mais je suis distrait par le " couple ". La simple sodo se change en sodo plus pelle. La retenue de Ludovic a disparue. Sans mettre autant de passion que dans nos rapports, je le sens bien excité. Enguerrand serre ses bras autour du cou de son frère. C'est plutôt lui qui kiffe le plus cette sodomie ! Quand arrivent les moments de juter, nous 4 nous décollons de notre partenaire et laissons nos spermes les couvrir. Par contre, à côté, ils restent collés jusqu'au bout. Enguerrand éponge la production de Ludovic et jute entre leurs abdos collés. Comble du vice, Enguerrand ramasse sons sperme, le porte à sa bouche et roule un patin à son frère qui n'est toujours pas sorti de son cul.
Mais le temps passe et une messe, c'est finalement court ! On accélère le tempo. Passage sous les douches, groupés, même si elles ne sont pas si grandes qu'au blockhaus, nous arrivons à être habillés et le coeur à 60/65 pulsations/minutes quand ils reviennent de leur obligations dominicales.
Malgré ses protestations, nous aidons tous madame à finir la préparation du déjeuner.
J'observe tout le monde pendant le repas. Pour madame, c'est comme si nous étions tous ses fils. Elle n'hésite pas à reprendre Nathan quand il met ses coudes sur la table au même titre qu'Enguerrand. Elle oblige PH à se resservir le trouvant un peu maigre !
Je le vois se retenir de soulever le bas de son polo et lui montrer ses abdos.
Monsieur est plus réservé et comme moi, analyse plus qu'il ne parle. Je le surprends même à regarder souvent son ainé. Quand son regard glisse sur ses autres fils, il n'est pas aussi pensif. Quand il se pose sur Enguerrand, j'y vois même une tendresse particulière.
C'est vrai que c'est chez lui que le changement a été le plus radical. D'écorché vif à ne pas prendre avec des pincettes, il est redevenu le gamin espiègle, content de vivre qu'il devait être auparavant.
Par rapport aux premiers repas chez eux, il ne règne plus ces tensions qui perturbaient. L'ambiance est gaie et gay aussi. Si des remarques typées " homo " nous échappent, vêtements, mode, bijoux..., les parents s'y font, après la surprise des premières sorties. D'autant plus que mes cadeaux de Noël et du nouvel an ne sont pas forcément du style maison. Courant janvier j'ai fait faire un anneau supplémentaire pour Enguerrand non prévu à l'origine, puisqu'il nous avait rejoint le premier janvier. Il a été trop content que je ne fasse pas de différence avec tous les autres.
Les habitudes de la maison seraient plutôt, au maximum, une chevalière armoriée ! C'est sûr que ma boucle d'oreille, même si les pierres que j'y accroche sont de grandes valeurs, détonne, mais je suis accepté et c'est le principal.
Il fait beau et nous prenons le café dehors. Quand les parents nous laissent, les polos volent et on s'étale sur la pelouse. Il faut profiter de ce temps pour métaboliser la vitamine D et prendre quelques couleurs par la même occasion. Enguerrand cours vite à la maison chercher de quoi protéger nos peaux et après une séance de tartinage qui en a fait bander plus d'un, nous siestons.
Nous sommes réveillés par madame venu voir si nous avions besoin de quelque chose. Elle est surprise que nous soyons tous imberbes, même son ainé qu'elle croyait assez poilu. Innocemment elle nous dit nous trouver très beaux. On abonde tous dans son sens et ça part en sucette. Petits bisous, chatouilles, poursuites et bagarres. Nos cris et chahuts font venir le mari et père. On se calme, nous renfilons nos polos et acceptons un thé avant de partir.
Au retour, je reconduis Nathan chez Julien. Max et Enguerrand restent et partirons directement au lycée demain.
Julien nous attendait avec Second. Nathan monte à sa chambre et je reste discuter quelques instants avec son employeur. Je leur résume le WE et leur dit que le rapprochement avec Max et Enguerrand à l'air de se confirmer. Ces trois-là sont resté collés pendant les 2 jours. Julien est content car le gamin mérite d'être heureux après son année pourrie chez son confrère. Non seulement c'est un gentil jeune homme mais aussi un bon apprenti, travailleur et inventif.
Comme j'entends ça, je me dis qu'il pourrait faire des extra auprès de Pablo. Quand Emma donne de grands diners, il a toujours besoin de petites mains efficaces et professionnelles. Julien connait bien Pablo et me dit que ce serait une bonne idée.
Quand Nathan redescend pour me dire au revoir, je lui soumets ma proposition. Il hésite et nous dit craindre de ne pas savoir assurer, après tout il n'est qu'apprenti charcutier/traiteur. Julien balaye ses arguments et lui dit que lui, à son âge, n'était pas aussi bon.
Quand je passe voir ma mère, je fais ma proposition à Pablo. Il n'est pas contre car souvent il ne trouve que des extra de service mais pas en cuisine. Le fait que ce soit l'apprenti de Julien le rassure sur ses compétences. Il me dit qu'il passera les voir à la boutique et qu'il me tiendra au courant.
Coup de fil quelques jours plus tard. Je me fais presque engueuler d'avoir omis de lui dire qu'en plus le petit mec était canon. Je lui demande s'il croit pouvoir l'embaucher de temps en temps. Il me dit qu'il a beaucoup échangé avec Julien, qu'il a vu le travail de son apprenti et que oui, le gamin est bon en plus d'être volontaire.
Il m'annonce que nous le verrons vite puisqu'il a décidé de le tester le WE qui vient, Emma l'ayant prévenu qu'elle avait invité une 20aine de personnes dont nous sommes. Il pourrait s'en débrouiller seul mais ça va lui permettre de voir ce que notre dernier protégé valait.
Curieux de voir Nathan travailler, j'arrive en début d'après-midi chez Emma. Cette dernière ne se fait pas d'illusion sur la raison de ma présence. On travaille quand même deux heures ensemble et elle me laisse aller en cuisine chercher le thé ! Nathan ne fait pas attention à moi, accaparé par le travail que Pablo lui a donné à faire. Je dois aller le voir et quand je lui fais un bisou sur la joue, il manque de se couper. J'ai droit non pas à un " bonjour Sasha " mais plutôt à " merde tu fais chier".
Je pars avec le plateau de thé. Avant de passer la porte, je me retourne et lui dis " ça intérêt d'être bon sinon c'est ton petit cul qui sera de la fête ".
La réponse de cet impertinent : " arrête, ça me donnerait peut être envie de rater ! ".
Je me fais mettre dehors par Pablo qui me dit qu'ils ont autre chose à faire qu'à bavarder.
PH arrive avec Ludovic à ce moment-là. Thé puis une petite tête dans la piscine avant d'aller se doucher et de passer nos costumes.
Je change mon pendentif d'oreille pour le diamant que m'a offert Emma. Avec un costume noir, c'est ce qui fait le moins excentrique. Cravates bleues, quand on sort de " notre " chambre, Emma éclate de rire. On se regarde pour voir ce qui cloche chez l'un ou chez l'autre. Les costumes sont noirs, pas de tâches, les chemises blanches sont bien repassées, les cravates sont droites, je ne vois pas ce qui cloche.
Emma nous entraine dans sa chambre et en rang d'oignon, nous voyons ce qui l'a fait rire. Trois clones ! Tant pis nous restons comme ça. Les invités devront se débrouiller avec nos têtes différentes.
Les invités arrivent. Avec Emma je les reçois. PH et Ludovic s'assurent de leur côté que personne ne se retrouve seul. Nous sommes heureux quand Henri arrive avec Kev. Cela nous promet une nuit sympathique.
Le diner est excellent et Emma ne reçoit que des compliments. L'entrée est un plat que nous avait encore jamais fait Pablo. Une espèce de pâté en croute à base de foie gras servi avec un jus de truffe, un vrai régal. La surface est croustillante alors que le foie est encore rosé à coeur. Le reste du repas est du même niveau. Les discutions portent sur l'actualité et l'économie.
Ma voisine de gauche me demande où j'ai acheté une pierre aussi pure, en parlant de mon pendentif. Quand je cite la place Vendôme elle comprend mais elle ne peut s'empêcher de me demander ce qu'en a pensé ma mère. Avec un grand sourire, je lui dis que c'est elle qui me l'a offert. Ça lui clou le bec !
Son mari ré accapare la conversation sur un sujet moins...frivole.
Au café, nous nous écartons un peu avec Kev. On a toujours beaucoup de chose à nous raconter ! Je lui explique pour Nathan qui aide Pablo. Dans ses yeux je vois briller comme de la concupiscence. Il me dit que ce sera sympa de " travailler " une nouvelle recrue.
Je n'avais pas pensé que cela pouvait tourner comme cela mais pourquoi pas. Ce n'est pas Pablo qui sera contre. J'avise discrètement Emma que nous comptions finir la nuit chez Pablo. Elle est adorable. Elle me dit que cela tombe bien ils avaient plein de choses à se dire avec Henri. Du coup je suis pressé de voir partir les invités ! Le dernier embarque sa femme vers les 1h du matin. Avec PH, Ludovic et Kev, nous entrons dans la cuisine. Pablo et Nathan sont en train de ranger.
Je m'empare d'une pile d'assiettes et vais pour la ranger. Pablo m'arrête et me dit qu'il fera ça demain. Kev le félicite pour son entrée. Comme ils disent dans les émissions culinaires, il y avait du croquant, du doux avec une pointe d'acide...
Pablo fait la révérence devant Nathan et nous dit que c'est une création de monsieur. Lui qui rougit facilement devient pivoine. Ph lui demande s'il l'a proposé à Julien. Réponse de l'intéressé, il n'avait pas osé et en plus cela demande des ingrédients très chers. Pablo me dit que ça ne l'étonne pas il avait dû le forcer pour qu'il fasse son jus de truffe plutôt qu'un simple râpé.
On laisse donc la cuisine rangée et prenant tout le monde à témoin je propose un petit bain de minuit passé. Nathan n'ose pas dire oui mais non plus non. Je le pousse devant nous. Aux abords de la piscine les vêtements volent et alors que nos deux hommes de l'art prennent une douche nous autres plongeons dans l'eau chaude du bassin. Nous ne retournerons même pas chez Pablo (son appartement au-dessus des garages) pour baiser. La partouze s'initie sur les bords de l'eau. Nathan est subjugué par les 24cm de Pablo. Je lui dis de bien le sucer car quand il va se le prendre dans le cul, faudra qu'il soit bien lubrifié. Il me regarde avec des yeux ronds comme des soucoupes, apeuré par l'idée.
Pour le moment il commence avec Kev et ses " petits " 21cm. Pour éviter des dégâts, je prépare et assoupli sa rondelle. Quand le " travail " est bien avancé, je le laisse et avec Ludovic et PH, nous nous occupons de Pablo. Nous ne sommes pas de trop pour nous occuper de Pablo. 2 sont scotchées sur ses attributs, en pipe à deux ou un sur le gland l'autre aux boules. Le troisième oscille entre sa bouche et ses tétons.
On alterne, car chacun veut profiter des dimensions hors normes du mec. Avec un gland aussi gros que sa hampe, on a vite la bouche pleine. Heureusement il adore quand on le travaille à la langue. J'aime aussi ajouter mes dents. Puis brusquement, enfoncer le tout au fond de ma gorge. Je m'étouffe avec un effet d'excitation intense.
Alors que je m'étrangle, je sens ma rondelle lubrifiée par la langue de PH. Je me détends avant de m'assoir sur Pablo, enfin sur sa bite. J'ai préféré cette position où c'est moi qui maitrise la pénétration. Les petits cris de Nathan en train de se faire ramoner le conduit, m'excitent un peu plus et je touche brutalement les cuisses de Pablo de mes fesses. Ludovic me roule un patin et PH fait de même avec mon enculeur. Cela faisait un moment que je ne m'étais pris aussi gros dans le cul. J'ai senti passer chacun des 240 mm qui ont écarté ma rondelle. Je chevauche quelques instants mon " étalon " avant de le passer à PH. A ce moment-là je rejoins l'autre baise en cours. Nathan est chaviré par les coups de queue de Kev. Je lui roule un gros patin et je sens à la force de son roulage de pelle la plaisir qu'il y prend. Je décolle mes lèvres des siennes pour lui demander s'il était prêt pour Pablo. Dans l'ambiance, il accepte et me dit que c'est bon.
Je préviens Pablo et nous procédons à la reconfiguration des emmanchements. Nathan s'installe en levrette et Pablo arrive après avoir changé de kpote. J'attrape un flacon de poppers et lui fourre sous le nez au moment où Pablo entame la pénétration de sa rondelle. Ce n'est pas de trop et malgré cela l'enculage lui provoque quelques grimaces jusqu'à ce que Pablo soit totalement entré. Après il apprécie. Je reste à sa tête pour vérifier qu'il prend bien du plaisir et non de la douleur. Nathan me pousse jusqu'à ce que je sois assis devant lui. Là, il attrape ma queue et me pompe. Il laisse les coups de rein de Pablo rythmer sa fellation. Il est bon ce jeune, je l'avais déjà testé mais ça me confirme ses capacités et son intérêt pour le sexe. Je comprends pourquoi Max et Enguerrand lui ont mis le grappin dessus !
Nous terminons notre mini touze par des expulsions de spermes en direction de Nathan dont nous en couvrons les abdos. Il est 4h du matin quand nous regagnons nos chambres respectives.
PH, Ludovic et moi, nous nous glissons aux côtés d'Emma alors que Kev rejoint son Henri et que Nathan suit Pablo.
Jardinier
it's all about sharing Christmas
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En fait, la gauche que j'aimerais, c'est une gauche qui fasse preuve d'honnêteté intellectuelle et qui, quand elle parle de classisme, d'homophobie, de racisme, d'antisémitisme, de validisme quand elle dénonce tout ça, qu'elle fasse aussi son auto-critique.
On ne peut pas être de gauche et traiter les gens de golmons, de mongols, de retardés. On ne peut pas être de gauche et se moquer des notes d'un homme politique. On ne peut pas être de gauche et se moquer du physique de quelqu'un, et ainsi de suite.
Et la réponse à ça, ce n'est pas de dire : "Nous sommes de gauche, nous sommes donc intrinsèquement contre toutes formes de discrimination", la réponse, c'est de dire : "Nous sommes de gauche donc nous serons intraitables contre toutes formes de discrimination, au sein même de notre camp".
Il y a des gens de gauche qui pensent que dire qu'ils "sont" suffit alors qu'on voudrait qu'ils agissent.
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starzica acabei de ler seu hc da namorada badass e me peguei pensando demais em um pipe!mauricinho que sempre foi todo certinho, o orgulho da família, golden boy, só namorava patricinha e andava com a galera do condomínio até que ele se depara com uma full loba cheia de maldade, piercing, tatuagens, sedução pura que deixa ele no chinelo em dois segundos e ele se vê louquinho por ela, pro terror da família dele que fica abismada com a situação, mas ele não quer nem saber, vai escapar de madrugada no importado que o pai deu pra ele de aniversário de 16 anos e bater na porta do apê que você divide com mais dois colegas querendo te levar pra varar a madrugada 💭😖
jujubinha do céu, que mente majestosa 😩😩😩 meu amei demais isso
inclusive, na parte do carro lembrei dessas três fotos aqui 🤌👇
Vamos lá 🤌 o pipe! mauricinho seria daqueles que sempre teve tudo planejado pelos pais, que era o orgulho da família, um mauricinho raiz que seguia as regras e expectativas impostas sobre ele desde que era uma criança.
Os pais ensinaram desde cedo a seguir um caminho de sucesso, frequentando as melhores escolas, fazendo os melhores amigos e namorando as patricinhas do bairro.
Tudo sempre era pensado para que agisse dentro do círculo social deles e quando não era, a excessão vinha por provavelmente ser alguém que era filho(a) de alguma pessoa que os pais dele queriam se aproximar para fazer negócios, mandando então o Pipe fazer amizade ou até usar o charme para tentar namorar a filha do futuro sócio.
Ele era o queridinho da família, o exemplo a ser seguido, o rapazinho de ouro que estava sendo moldado como futuro herdeiro dos Otaño a assumir os negócios do pai.
Participava das melhores atividades extracurriculares e sempre se destacava em tudo o que fazia, pq ele tinha que ser perfeito 100% do tempo.
As namoradas eram aquelas garotas de famílias respeitáveis, com quem ele podia se exibir em eventos sociais e mostrar para todo mundo que estava seguindo o caminho certo. Ele nunca havia se permitido se envolver com alguém que não se encaixasse nesse molde. Até pq os pais não aprovariam nunca ☝️☝️☝️☝️
Como esperado, ele vai para faculdade e foi cursar administração com ênfase em comércio exterior e finanças. Cada vez mais deixando os pais burgueses felizes, vendo que o investimento de anos estava finalmente começando a dar resultados.
Até que um dia, ele conheceu alguém no campus. Ela era o oposto de tudo o que Pipe conhecia. Tinha um estilo bad girl, piercings, tatuagens e atitude rebelde, ela parecia ter saído de um filme de ação. Ela não dava a mínima para as regras da sociedade ou para o que as pessoas pensavam dela. Ela era autêntica, ousada e completamente irresistível.
No momento em que seus olhos se encontraram, Pipe soube que estava ferrado. Você o desarmou com um sorriso malicioso e um olhar penetrante que o deixou sem palavras, tinha deixado ele completamente rendido.
Pipe fica tão obcecado, alucinado por ti que vai mexer uns pauzinhos aqui e ali, vai comentar alguma coisa sobre você com algumas pessoas da rodinha dele apenas para tentar conseguir mais informações sobre você. Como por exemplo, seu nome, o seu curso, no que trabalha, idade, se está solteira...🤭
Quando os amigos desconfiarem sobre o interesse repentino, vai inventar qualquer desculpa, como uma possível vaga de estágio na empresa do pai dele.
Quando ele se aproxima de você pela primeira vez, estavam na biblioteca. Nunca tinha visto ele por lá, pelo menos não que tivesse percebido. Achou inclusive que ele estivesse perdido e que queria ajuda assim que ele se aproximou da sua mesa. E ele, que não pensou no que te falar quando se aproximou de você, só entrou na onda para conseguir trocar meia dúzia de palavras contigo e ouvir sua voz.
Desse dia em diante vão acabar se encontrando mais vezes pelo campus.
Até apareceria em alguma palestra voltada para o seu curso e depois que você visse ele na saída, iria até ele tirar satisfação.
"Você aqui? Perdido de novo ou só veio me ver?" Você brinca.
"Droga, você descobriu minhas verdadeiras intenções", ele diz em um tom risonho, arrancando uma risada sua que mal sabia que aquilo tinha um fundo muito grande de verdade. "Eerr, meu pai quer fazer novos investimentos na empresa e pensei que isso seria uma boa oportunidade." Ele vai mentir na cara dura, só para não admitir de primeira que ele só tinha ido no evento porquê estava louco de vontade de ver você mais uma vez.
À medida que os dois passavam mais tempo juntos, ele percebia que havia mais em você do que apenas sua aparência rebelde. Via você como uma garota inteligente, engraçada e apaixonada pela vida. Que o desafiava a sair de sua zona de conforto, a questionar suas crenças e a explorar novas possibilidades.
O primeiro beijo veio quando ele resolveu te acompanhar até a porta do seu apartamento. Você é claro que foi quem tomou a iniciativa, já que estava caidinha pelo engomadinho e sabia que era recíproco, que ele apenas não tinha jeito para tomar atitude em relação a isso.
Depois dessa noite, Pipe voltou para casa numa nuvem. Não se sentia assim há muito tempo e não querendo bancar o emocionado, sabia que não tinha chance dele se afastar de você tão cedo.
Não preciso nem dizer como ele fica depois da primeira noite de intimidade, né? Mentira, vou dizer sim. Minhas amigas, esse homem fica totalmente pussy drunk, vai te endeusar e vai considerar a melhor transa da vida dele.
Vocês logo entram em um relacionamento sério. Não se desgrudavam mais. Sabia que muitos no campus falavam besteiras, faziam fofocas mas não ligavam.
Pipe não se importava com o que os outros pensavam. Ele estava determinado a seguir seu coração, mesmo que isso significasse enfrentar a desaprovação de sua família e dos amigos. Ele se via cada vez mais apaixonado por você, admirando sua coragem, sua autenticidade e sua capacidade de viver a vida sem medo.
Estavam mais felizes que nunca e em todos os sentidos.
No entanto, nem todos obviamente ficam felizes com o novo relacionamento do golden boy. A família dele, em particular, fica chocada quando vê seu precioso filho se envolvendo com alguém que não é do nível deles. Eles não entendiam como Pipe via você como boa o suficiente para ele, o rapazinho de ouro da família.
A família dele era repleta de tradições, uma delas começou depois do início da faculdade. Semanalmente ele voltava à mansão que havia passado a infância para jantar com os pais e falarem sobre os negócios da família. Esses encontros estavam com a frequência caindo pouco a pouco, pois em todas as vezes acontecia uma nova discussão sobre o seu atual relacionamento.
Havia decidido passar na casa dos pais para mais um dos jantares pois continuavam sendo seus pais. Porém, depois de alguns comentários tortos do pai, Pipe perde a paciência e discutem mais uma vez e sério. Ele sai, magoado por seus pais não aceitarem a namorada e sequer cogitarem na possibilidade dele levar você para apresentá-los.
Esse fora o motivo da discussão, os pais de Pipe não queriam ver você nem pintada de ouro e nosso mauricinho não ficou feliz 😔
Na saída da casa ele pega o carro esportivo que o pai deu de presente de aniversário que ainda ficava estacionado na garagem da mansão, ao lado de outros seis carros de colecionador.
Ele tem um destino certo, o seu apartamento. Precisava esfriar a cabeça e nenhuma companhia melhor pra ajudar com isso do que você.
Foi até o seu apartamento, batendo na porta com um sorriso nervoso nos lábios. Ele te convida para dar uma volta de carro pela cidade, longe dos olhares julgadores da família e do resto do mundo.
E enquanto o resto do mundo dormia, percorriam as ruas vazias da cidade, compartilhando risadas, histórias e segredos. Naquela noite, ele percebeu que não importava o que os outros pensassem. O que importava era como ele se sentia ao seu lado e ele sabia que estava exatamente onde deveria estar.
Quando finalmente resolvem ir para casa, não é para descansar. Ele queria beijar cada centímetro de pele do seu corpo e vai fazer exatamente isso, sem pressa alguma.
Vão se amar a madrugada inteira. Os únicos sons do ambiente vão ser os barulhos dos beijos molhados, as respirações ofegantes e aceleradas pelo esforço e todo o movimento que faziam, os toques, o barulho da umidade das intimidades se chocando, o ranger da cama... Cada barulho resultava na melodia sensual que praticavam.
Essa orquestra vai durar o resto da madrugada, até ambos os corpos gritarem por exaustão, quando as pernas ficarem fracas, o pulmão implorar por oxigênio e a boca exigir água. Vão permanecer deitados agarradinhos em um silêncio reconfortante, enquanto ele te aninha nos braços dele e admiram o nascer do sol marcar os primeiros tons alaranjados no horizonte.
Muitas coisas no futuro eram incertas mas a única certeza que Pipe vai ter é que você vai fazer parte dele 🥹
#pipe otaño#felipe otaño#pipe otaño x reader#felipe otaño x reader#lsdln cast#lsdln#pipe otaño one shot#one shot#pipe! mauricinho
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•CRAWLING FOR YOU•
“Na qual Harry é o dono de uma multinacional e deveria ser o cara que manda mas acaba sendo nada além de uma cadela para seu empregado Louis, o funcionário responsável por gerenciar todas as filiais da empresa na América"
Avisos: Dinâmica d/s, hbottom, humilhação e etc! enfim mandem asks e queria dizer que a próxima é h!inter omega e que até agora é minha fav e espero posta-la o mais breve possível
🍃
- Sim, senhor. – Harry mordeu o interior das bochechas assim que percebeu o que havia dito, a mesa de vidro refletindo seu rosto e o dos outros quatro diretores ao seu redor de repente ficou maior e mais intimidante. A sala toda agora estava em silêncio e ele sentiu o calor da vergonha se espalhar por sua cara. Considerando que ele era o chefe e que podia mandar e desmandar a hora que quisesse se referir a um dos seus subordinados como senhor era no mínimo estranho.
Ele normalmente era quem gritava e designava as ordens, e fazia com que seus empregados
abaixassem o olhar quando passava.
Seu inferno pessoal mal tinha começado e ele já estava agindo como um garoto de dezesseis anos na puberdade. Era a porra do dono daquela merda e mandava em todos ali, então que agisse de acordo.
Suspirou, esse era apenas o primeiro dia.
Quando finalmente tomou a coragem de desviar o olhar dos papéis e dos contratos à sua frente, notou que Louis o encarava curioso. Era óbvio que ele estava acostumado com as pessoas o tratando por títulos, ele só não esperava que seu próprio chefe o fizesse.
Harry se esforçou o máximo possível e abriu a boca para continuar falando, e de uma maneira que possa ser considerada normal dar seguimento a reunião.
Tudo o que cruzava sua mente enquanto ele balbuciava sobre o desenvolvimento de alguns novos projetos, era que ele teria que passar mais um mês ao lado do moreno de olhos azuis que sempre o fazia amolecer.
Pelo menos uma vez ao ano Harry tinha o dever de ficar durante um mês acompanhando o trabalho de seus diretores ao redor do mundo, em abril ele tinha estado com Niall Horan e assistido todo o desenvolvimento da Lellos no Reino Unido. E agora, em Julho ficaria com Louis analisando a parte Americana de sua empresa, o que não seria uma tarefa tão fácil.
Todo ano ele passava pelo mesmo tormento de ter que viver com seu corpo se tornando extra sensível. Sua mente virava um lugar de pensamentos duvidosos e estranhos, tudo por conta de um cara que era hétero e namorava.
O pior era que demitir Louis para nunca mais ter que olhar em sua cara era uma hipótese que já havia lhe cruzado a cabeça várias vezes, mas ele não tinha coragem de a cumprir por saber que era errado em todos os níveis deixar alguém que tinha um trabalho impecável desempregado pelo motivo de que ele não conseguia parar de agir como uma cadelinha no cio perto da pessoa.
Saiu de seus devaneios quando ouviu um de seus subdiretores que estava ao seu lado questionar algo, ele apenas suspirou e indicou com a cabeça para que Louis respondesse, já que a pergunta era da sua área e ele só estava lá para acompanhar as coisas de perto.
Harry não via a hora de sair daquela sala que parecia extremamente sufocante e se enfiar em seu escritório provisório para evitar pelas próximas horas de cruzar com o demônio sexual que trabalhava para si.
Esse iria ser um mês e tanto.
——
Seu pescoço estalou audivelmente e ele sentiu a coluna repuxar de uma maneira dolorida. Já deveria ser por volta das nove da noite e ele mal enxergava as letras brilhando no computador à sua frente. A visão e o corpo cansados eram o resultado de um dia longo e infernal.
Era fechamento de mês, e após ter havido um curto circuito em seu escritório ele havia ganhado um lugar exclusivo na sala de Louis, esse que estava do outro lado do cômodo sendo a personificação de seus desejos mais obscuros, usando uma camisa social enrolada até a metade do braço com uma gravata um pouco solta e dedos digitando numa velocidade astronômica.
Olhar para o deus grego sentado a sua frente era muito melhor do que qualquer outra coisa.
Seu dia havia sido deveras estranho, Louis o tratava de um jeito diferente a cada hora. De manhã quando chegou ele lhe deu um bom dia simples e perguntou se sua noite havia sido boa, tudo de uma maneira extremamente educada. Já na hora do almoço o de olhos azuis mal olhou em sua cara antes de sair para seu almoço e quando voltou estava falando em seu telefone, o que acabou deixando Harry extremamente curioso, já que ao invés de ser apenas uma das milhares ligações de negócios que ele havia visto o outro atender, nessa ele falava de maneira suave e usava termos como anjo e amor. O que fez com que mesmo contra sua vontade uma pontada de ciúmes surgisse por presumir que ele estava falando com sua namorada, uma tal de Annie, que havia sido mencionado na festa de final de ano, no ano passado.
Quando finalmente Louis veio falar com ele para o perguntar se já tinha almoçado, a expressão fechada estava presa em sua própria cara agora.
Louis apenas o encarou por alguns segundos antes de receber uma resposta seca que o fez lançar um olhar curioso para Harry antes de virar de costas e ir para a própria mesa, local onde ignorou arduamente o de cabelos longos pelo resto da tarde.
Harry não soube por quanto tempo ficou encarando o corpo do homem à sua frente enquanto pensava e só percebeu o que o estava fazendo por ter os olhos azuis penetrantes presos aos seu enquanto o dono dos mesmo pigarreava.
Sentiu o constrangimento ir tomando conta do seu corpo a cada segundo que passavam se encarando e lutou com todas as suas forças para não abaixar a cabeça. A sensação era eletrizante e poderosa, como se uma corrente os unisse.
Aquele jogo de poder parecia fazer com que seu corpo fosse explodir e por mais que não quisesse demonstrar como apenas ter o homem que desejava o olhando mexia consigo ele foi incapaz de manter a pose.
Desviou a atenção para seu próprio colo por alguns instantes, antes de suspirar e se afundar na cadeira, tentando se esconder da forma perturbadora que Louis mexia com seus sentidos.
Aquilo era definitivamente ridículo, ele era uns bons centímetros mais alto que o outro e não deveria se sentir como uma criatura pequena e frágil, mas o problema era justamente esse. Ele amava esse sentimento e ansiava por ele a cada segundo.
Queria e estava agindo como tudo aquilo que havia sido ensinado a não ser, a vontade de apenas se manter de cabeça baixa e acatar qualquer ordem que viesse do homem à sua frente, como um subordinado qualquer fazia seu corpo tremer. Sua família com certeza o odiaria e diria que ele era uma aberração por querer o que queria e Louis devia estar pensando como ele era patético.
Quando finalmente teve coragem de olhar para onde o moreno estava sentiu vontade de morrer. Louis mantinha uma de suas sobrancelhas levantadas, em forma questionamento e a boca numa linha reta com os lábios pressionados firmemente. A áurea ao seu redor era extremamente forte e isso apenas piorou a situação já caótica de Harry.
Suas coxas se esfregaram involuntariamente e ele corou forte enquanto mordia o lábio para suprimir a vontade de gemer como uma putinha para o seu empregado.
- Você pode ir embora se quiser, eu sei que é o seu trabalho supervisionar as coisas por aqui, mas em plena sexta à noite imagino que você deva ter coisas muito melhores e interessantes para fazer do que ficar vendo seu empregado trabalhar. – Harry sabia que ele estava tirando uma com a sua cara pela maneira como tinha pronunciado a palavra empregado, mas isso não impediu seu pênis de pulsar dentro da calça. Uma parte de sua mente tinha medo que isso não passasse de uma piada ou zombaria extremamente maldosa, mas a outra parte que saia do fundo de seu âmago insistia em dizer que era tudo uma merda de provocação e que se Harry deixasse Louis teria a capacidade de levar aquilo adiante e humilha-lo de um jeito muito pior. O que era exatamente o que o cacheado almejava.
- Sabe... – Harry mordeu o interior da bochecha e encarou Louis piscando lentamente e colocando todo o deboche que conseguia em sua voz – Ao invés de dizer que eu posso ir embora, você deveria trabalhar mais rápido para não manter seu chefe preso aqui.
O de olhos verde engoliu em seco assim que a última palavra saiu de sua boca, ele não sabia de onde tinha vindo toda aquela coragem, mas apenas o sabor de ver o leve choque que cruzou a cara de Louis foi impagável, mesmo que agora seus dedos tremessem levemente e uma sensação de medo se apossasse do seu ser. Racionalmente ele sabia que Louis nunca faria nada de mal para si, mas seu inconsciente não parava de murmurar o quão atrevido ele tinha sido e o quanto Louis iria o punir por isso.
- Claro, chefe. – A voz sombria ecoou de uma maneira extremamente firme e irônica através da sala e o barulho da cadeira de Louis arrastando para trás fez todos os seus pelos arrepiarem, a visão de seu empregado em pé, segurando uma folha de papel com uma expressão tão cortante quanto a mandíbula que marcava seu rosto bonito era estonteante.
Harry tinha plena consciência de que tinha feito e que teria que aguentar as consequências, só que tudo se tornou demais quando ainda o analisando de cima a baixo, Louis deu o primeiro passo em sua direção. Ele não conseguiu segurar o olhar vindo do outro e abaixou a cabeça, suas mãos indo para seu colo e se entrelaçando enquanto escutava os passos lentos do outro homem vindo até si, de repente ele tinha noção de seu próprio corpo se retraindo, de como Louis estava cada vez mais próximo e até da própria respiração desregulada.
Se encolheu ainda mais na cadeira estofada e analisou o próprio colo como se fosse a coisa mais interessante do mundo.
Quando Louis deu a volta em sua mesa e parou ao seu lado ele só podia ver a calça preta social e os sapatos lustrados. Suas mãos suavam levemente em antecipação e seu corpo inteiro estava tenso e excitado. Ele estava extremamente ansioso ainda que não tivesse a coragem de levantar a cabeça para encarar o outro de volta.
Parecia que uma eternidade tinha se passado quando ele sentiu a mão livre de Louis envolver seu queixo, os dedos apertando sua pele eram firmes e quentes e a sensação foi tão surpreendentemente boa que um suspiro escapou de seus lábios. Os dedos fizeram um pouco mais de pressão em sua pele e o obrigaram a levantar a cabeça, seu olhar se prendeu ao do empregado e uma corrente elétrica o atravessou causando arrepios pelo seu seu corpo. Os olhos azuis chamuscavam tesão e dureza e Harry sentiu seu corpo todo se acender ainda mais por saber que seus desejos eram recíprocos.
A mão do outro soltou seu queixo e passeou pela sua bochecha, seu polegar fazendo vários círculos em uma caricia leve.
Harry sentia seu corpo todo sensível com os toques de Louis, seu pau fisgava a cada círculo feito em sua bochecha e seus mamilos estavam tão duros dentro da camisa social branca que podiam ser vistos marcando de longe, sentia vontade de gemer cada vez que o tecido roçava neles lhe dando mais tesão.
Sua boca se entreabriu automaticamente no momento em que sentiu Louis roçar o indicador e dedo médio sobre seus lábios, aquilo era tudo o que ele tinha desejado por dias e agora estava ganhando, os dedos do outro deslizaram para dentro de si e ele gemeu em deleite, sugando com vontade, sentindo os vincos em suas bochechas se formarem. Louis mantinha a expressão dura e os olhos ainda grudados ao seus, enquanto Harry rodava a língua ao redor de seus dedos de forma provocativa e fazia questão de gemer manhoso, como um gatinho brincando com seu dono.
Harry era um misto de desespero e necessidade, feliz por finalmente estar ganhando algo que tinha almejado desde que o conheceu e por outro lado desesperado, por que só aquilo ainda não era o suficiente, ele não queria dedos, ele queria o pau de Louis se enterrando fundo em sua garganta e lhe fazendo engasgar com gozo.
Gemeu em frustração, sentindo seu próprio pau melar a cueca e fechou os olhos. Os dedos em sua boca foram mais fundo e ele sentiu o reflexo da garganta antes de gemer e começar a respirar pelo nariz, seu queixo e a mão de Louis ficando uma bagunça molhada com sua saliva. Gemeu o nome do homem a sua frente pela primeira vez em desespero completo.
Sentiu o outro tirar os dedos de sua boca e voltar a segurar seu queixo com força, o que fez com que seus olhos se abrissem e procurassem pelos de Louis em um questionamento mudo, tentando entender o que estava havendo ali.
- Você tem lábios de puta, Boneca.- A mão melada que segurava seu queixo o soltou e ele a seguiu com os olhos, gemendo manhosamente quando viu Louis limpar os resquícios de sua saliva sobre o próprio pau coberto pela calça, deixando uma marca molhada escura lá.
Antes que pudesse ter qualquer reação o moreno de olhos azuis deu um passo para trás e encarou Harry com um olhar frio, a folha branca que ele segurava na outra mão desde a hora que havia saído de sua mesa, sendo colocada em sua frente junto com outros documentos que Harry tinha ali. Ele ainda se encontrava perdido e tremendo de tesão quando viu que se tratava de uma planilha. Sua testa se franziu em dúvida e ele abriu a boca para perguntar o que era.
- Você pediu para que eu trabalhasse mais rápido então aí está a última planilha de hoje. – A expressão de desejo misturado com poder e desdém na cara de Louis eram fortes – Meu trabalho aqui acabou, aproveite seu final de semana, chefinho.
Harry não teve tempo de reagir enquanto assistia Louis virar de costas e ir embora, apenas sentiu uma lágrima escorrer por sua bochecha. Seu pau se encontrava duro e pulsante, seus lábios vermelhos e molhados com a própria saliva e seu corpo inteiro sensível. Ele queria gritar, necessitado e frustrado em todos os níveis que se podem medir respirou fundo tentando não desabar em uma crise de choro.
Definitivamente, de todas as punições e reações possíveis que pensou que Louis pudesse ter, essa nunca tinha lhe cruzado a mente.
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Depois do que Louis havia feito consigo na sexta feira, tudo havia se tornado pior, ele ainda não sabia como tinha conseguido as forças necessárias para chegar em casa, e ao se lembrar da maneira que seu corpo e mente eram um misto de desespero e frustração tão grandes, que quando ele entrou no apartamento apenas teve tempo de se jogar no sofá ainda com a roupa que estava e chorado se masturbar até gozar, ele queria morrer.
Era uma memória humilhante demais para um cara de quase trinta anos.
O bom era que ter se aliviado em seu surto necessitado tinha trazido uma paz para si que não sentia desde quando havia pisado em Nova York para o começo do seu mês supervisionando as coisas.
Sua tranquilidade não tinha durado mais do que algumas horas porque logo pela manhã, acordou tremendo na cama, todo suado e excitado por conta de um dos sonhos mais intenso que já tinha tido na vida.
Seu sábado nem havia começado e seus pensamentos já estavam tomados pelo outro. E Deus, ele só precisava que Louis o fodesse até o fazer esquecer o próprio nome.
Para ajudar ainda mais a sanidade que ele não possuía, depois que havia se levantado, Harry não tinha tido um minuto sequer de paz. Uma manhã turbulenta com seu corpo estando desejoso e com pessoas do outro lado do mundo ligando para resolver problemas da empresa, não era o que ele esperava ou queria.
Ele já devia ter respirado fundo umas mil vezes e ainda nem se passava das dez da manhã, tudo o que ele almejava era passar um sábado tranquilo e descansar um pouco da tortura psicológica que tinha se submetido durante os últimos dias, mas como ultimamente ter o que desejava nunca parecia possível, um pouco de paz seria a última coisa que ele teria.
Quando finalmente conseguiu resolver tudo aquilo que pedia sua atenção, já se passava das duas da tarde e ele se sentia exausto, os problemas do trabalho tinham tirado sua atenção do homem que nos últimos dias parecia ser o dono de sua cabeça, mas agora sozinho em seu sofá de couro preto, num apartamento extremamente grande para uma única pessoa ele havia começado a se perguntar como Louis era fora do ambiente de trabalho e fazer esses questionamentos a si próprio, junto com toda a situação de sexta, fez com que ele tivesse a ideia de ir pesquisar mais sobre o ser de olhos azuis que lhe intrigava tanto.
Para sanar toda a sua curiosidade sobre a vida alheia nada seria melhor do que stalkear as redes sociais do outro, certo?
Tudo tinha começado calmo, a maioria das fotos em seu facebook eram dele sozinho em paisagens ao redor do mundo ou selfies mais descontraídas.
Sua pesquisa estava indo muito bem, ele havia descoberto que o outro tinha uma vasta coleção de tatuagens, amava viagens e festas, e era um grande gostoso tanto de camisa social quanto de regata.
Isso é, até ele encontrar uma foto onde Louis havia sido marcado por um amigo.
Na imagem ele estava sentado num banco com um outro cara, que era cheio de piercings, tinha cabelo comprido e segurava um copo de bebida, mantendo uma expressão séria. Louis, por outro lado, sorria levemente e mantinha as duas mãos sobre as coxas que eram cobertas por um jeans de lavagem escura. Porém o que lhe chamou a atenção foi o lugar onde eles estavam que aparecia na publicação. Clicou rapidamente sobre o nome Angels Club, para ver sobre o que se tratava e quase engasgou com a própria saliva.
O lugar era nada menos que a porra de um clube BDSM.
Depois de receber essa informação, Harry sentiu como se seu cérebro tivesse entrado em curto circuito, ele não sabia mais como agir, a única coisa que rondava sua mente era uma vontade assustadora de ligar para o outro homem e pedir que ele viesse até seu apartamento, para que assim ele pudesse cair de joelhos em sua frente e implorar que fizesse de si seu submisso. Pelo menos por uma cena que fosse.
Fazia meses desde que ele tinha estado em um clube, ser o dono de empresas famosas ao redor do mundo não lhe dava muito tempo livre, e ter a imprensa no seu pé, sempre lhe pintando como o cara de ouro, não permitia que ele frequentasse qualquer lugar já que para os olhos de todos ele era o cara dominante que tinha quem quisesse . Nunca poderia deixar que descobrissem que na realidade era ao contrário.
Mas Louis era um dominador e seu cérebro não conseguia pensar em nada que não fosse isso.
🍃
O elevador de metal parecia nunca chegar ao último andar e isso estava deixando o homem de olhos verdes muito impaciente, olhar seu próprio reflexo naqueles espelhos enormes não ajudava em nada, porque a pessoa que ele via não correspondia com a maneira que ele estava se sentindo naquele momento.
Seu terno cinza claro de alfaiataria lhe dava um tom extremamente sério, o cabelo bem arrumado transmitia uma clareza e força que Harry não sabia se realmente tinha para lidar com aquela situação, segunda-feira finalmente tinha chegado e ele ainda não tinha ideia de como encararia Louis. O elevador parou e ele desceu, passando pela secretária que estava em seu lugar de costume e que lhe deu um bom dia educado, avisando que Louis já se encontrava na sala deles e havia pedido para não ser incomodado pelas próximas horas já que ambos teriam uma reunião.
Harry franziu o cenho com a informação, ele tinha a certeza de que havia checado sua agenda várias vezes e que hoje eles não tinham nada de importante além da revisão de alguns contratos.
Ainda parado sobre a porta de madeira escura e brilhante, com seus nervos à flor da pele ele respirou fundo uma última vez, a coisa que ele mais pedia aos céus, era para que Louis não o ignorasse, afinal tinha tido os dedos dele fundo em sua garganta exatos dois dias antes e era humanamente impossível tratar isso como algo corriqueiro.
Fechou a porta atrás de si e parou sem entender nada. Louis estava lá, só que ao invés de estar em sua mesa como sempre, ele estava com seu terno e topetes impecáveis, sentado um uma das poltronas de couro que ficavam no canto oposto da sala e que davam uma visão privilegiada dos arranhas-céus e prédios de Nova York, digitando algo sem parar no notebook em seu colo, nem se dando ao trabalho de desviar o olhar da tela para lhe dar um mísero oi.
- Bom dia pra você também. – Harry não soube de onde tinha vindo o sarcasmo em sua voz, mas ele se sentia como um animal machucado por ser ignorado. O que era ridículo, mas ele não conseguia controlar. - Nós temos uma reunião surpresa?
- Lembrou que sabe conversar e me perguntar as coisas ao invés de só ficar bisbilhotando minha vida para descobrir os lugares que eu frequento?
- O..que? Como...? – Louis ainda não havia tirado os olhos do aparelho para lhe olhar e Harry estava congelado no lugar sem saber o que dizer ou fazer.
- Você curtiu a foto.- O rosto do de olhos verdes, estava extremamente corado e ele mal achava que sabia como respirar, enquanto o homem de olhos azuis não deixava uma única emoção transparecer e tampouco olhava para ele enquanto falava. - Eu sabia que você estava desesperado depois de sexta, mas não achei que fosse tanto, quantas vezes você se imaginou estando naquele clube comigo? Desde quando você sonha em me ter te comendo?
- Eu... eu... – Harry não era nada mais que um amontoado de necessidade e vergonha, toda a frustração dos últimos dias sendo descarregada diretamente no seu corpo, os seus mamilos já duros e eriçados, suas pernas parecendo gelatina e seu corpo todo necessitando de atenção. Deus, ele se sentia fodido e Louis ainda nem olhado pra ele tinha.
⁃ Desde quando eu te conheci. - Disse Harry, com a voz baixa.
⁃ Você gostaria que eu te fodesse agora?
⁃Sim. - Louis mal tinha tido tempo de terminar de falar, antes que a resposta do outro cortasse a sala.- Por favor. Olhe para mim... eu só... por favor.
O pedido era uma súplica manhosa e humilhada, então pela primeira vez desde que Harry tinha entrado ali naquele dia, Louis havia o olhado.
- Uma pena que agora eu tenha uma reunião. - O moreno disse lentamente encarando o outro. - Mas sabe já que você é chefe de tudo aqui, poderia passar a agir como um e me arrumar um apoio para os pés? Já que a minha sala não tem uma mesinha de centro que preste.
Os olhos azuis que estavam grudados aos seus, voltaram ao computador e a lhe ignorar novamente. Harry olhou para os sapatos sociais de Louis enquanto sentia seus músculos tencionarem. Havia entendido muito bem a mensagem.
Seu corpo estava num estado vibrante de excitação e ele não conseguia dar a mínima pro terno que usava ou qualquer outra coisa. Ele só queria ser útil.
Andou lentamente até a frente da poltrona em que Louis estava sentado, deixando a maleta que carregava com documentos no chão e caindo de joelhos ali, se ajeitando em seguida e ficando de quatro
O outro desviou o olhar da sala de reunião on-line que acabara de entrar pela internet. Harry podia ouvir a voz de seus outros diretores dando bom dia saindo do computador. Louis o encarou.
- Você conhece o sistema das cores?
- Sim.
- Então use-as se precisar.
Foi a única coisa que o outro disse antes de afundar os pés em suas costas, Harry pode sentir o peso das pernas dele com vontade sobre si, seu terno caríssimo sendo amarrotado pelos sapatos sociais e suas costas se curvando um pouco pela maneira que o outro literalmente lhe pisava.
Em algum ponto naquela posição ele havia perdido a noção do tempo, escutar Louis conversando com outros caras cujo ele também era chefe enquanto tinha os pés dele em si, tinha o levado para um outro estado mental, um que era meio desconexo e o deixava flutuante mas que lhe dava tesão pra caralho mesmo assim.
Os minutos foram passando de forma tortuosa mas sabia que estava lá a um bom tempo já que suas pernas e braços tremiam pra caralho pela dor e cansaço, seu pau estava tão duro encharcando sua cueca e todo seu corpo todo tão dolorido e excitado que ele não tinha mais força para levantar a cabeça, seus joelhos e mãos formigavam e a cada segundo que passava sua cabeça era uma mescla entre querer gritar a palavra vermelho e ser um bom.
As lágrimas em seu rosto já escorriam livres por conta da dor quando ele finalmente ouviu as vozes pararem de sair do notebook de Louis, o peso sendo retirado das suas costas alguns segundos depois.
Ele não conseguia se mexer e antes que pudesse juntar consciência para falar algo, ele estava sendo puxado para o colo de Louis na poltrona, seu corpo todo relaxando, ao que sentia o outro lhe aconchegar.
Gemeu com vontade ao sentir a ereção pressionada sobre sua bunda e lembrou do quanto o próprio pau estava necessitado.
- Você é tão bom. - Louis sussurrou em seu ouvido e continuou distribuindo beijos por seu pescoço - Tão bem treinado para mim.
Harry sorriu com isso, se sentindo orgulhoso de si, o prazer em saber que tinha deixado Louis satisfeito tomando conta de cada poro seu.
Sentiu a boca do outro na sua e gemeu em deleite, era um beijo molhado e cheio de língua, extremamente bom. A boca de Louis extremamente exigente na sua, mordendo seu lábio inferior e chupando sua língua, fazendo sons obscenos que lhe deixavam ainda mais duro e molhado.
- Para minha mesa, agora.
Com as pernas ainda doloridas pelo esforço de se manter de quatro por tanto tempo, ele se levantou do colo de Louis, seu corpo imediatamente sentindo falta do contato quente que tinham antes.
Andou meio cambaleante até chegar à mesa que estava do lado oposto da sala e respirou fundo.
Ele ainda estava completamente vestido e sentia o tecido da camisa social branca por baixo do terno grudar em seu corpo quente mas não era isso que lhe incomodava, o seu pau preso na cueca melada com seu pré gozo, pulsando e clamando por atenção era o que lhe deixava insano.
Harry sentia como se estivesse ficado duro por horas e que qualquer contato fosse lhe fazer gozar, o que não era completamente improvável.
Sentiu Louis atrás de si e arrepiou, empinando a bunda e se roçando nele com vontade enquanto o homem beijava seu pescoço, era gostoso mas não era o suficiente, tinha muita roupa ali e ele não aguentava mais almejar por um contato mais firme de pele com pele. Ele era uma putinha sedenta.
- Louis, oh meu deus. - O nome do outro tinha saído como uma súplica, a diferença de altura entre eles se tornando mais explícita e perfeita para posição que estavam.
Harry arqueou completamente seu pescoço sobre o ombro do de olhos azuis, lhe dando mais passagem e gemeu com vontade assim que sentiu os dentes dele lhe mordendo - Me fode... por favor, eu...eu preciso muito de você em mim.
O fantasma do desespero de ser deixado assim outra vez lhe assombrava e a necessidade dos toques do outro em seu corpo lhe deixava doente, ele só queria ser fodido ao ponto de não conseguir andar depois.
E apenas Louis seria capaz de sanar essa vontade, somente ele.
Seu pescoço foi deixado de lado e as mãos do outro engancharam em sua calça e cueca, as puxando para baixo de uma vez. Ter seu pau finalmente livre lhe fez gemer.
- Você não tem noção de quantas vezes eu me segurei para não te tocar. - Um tapa forte estralou em sua bunda, fazendo uma sensação elétrica correr por suas veias e ele se empinar ainda mais em busca de contato. Tinha certeza que seria capaz de gozar apanhando se Louis continuasse. - O que você acha que as pessoas iam pensar se te vissem assim Harry? Você grita ordens no telefone o tempo todo, finge que ama mandar e faz com que todos achem que você gosta de ter as pessoas ao seus pés.
Outro tapa e ele foi empurrado até estar deitado sobre a mesa, uma mão de Louis em seu pescoço forçando sua cara contra a mesa e a outra acariciando sua bunda desnuda.
- O que os outros diretores iriam achar se soubessem que enquanto eles faziam uma reunião, na qual estavam se referindo a você com todo o cuidado você estava de quatro, como um cachorrinho sendo o meu capacho particular? - Os dedos de Louis tinham começado a circular seu cuzinho e ele estava pulsando tanto de ter o outro lhe humilhando que era até embaraçoso mas as não havia nada que pudesse fazer sobre isso porque sua mente estava dividida entre a vergonha e o prazer de ouvir alguém lhe pondo em seu lugar - Cadela desesperada.
Gemeu com tanta vontade, ele nunca pensou que ia se sentir tão perto de um orgasmo só de ter alguém falando.
Tentou olhar sobre os ombros para Louis quando ele tirou a mão de seu pescoço e se afastou, mas desistiu e voltou a encarar a pilha de contratos que estava ao seu lado. Sua respiração totalmente desregulada e a pele ardendo onde havia apanhado.
Empenhou-se o máximo que conseguiu para ficar quieto quando sentiu as mãos do de olhos azuis abrindo sua bunda e lhe deixando exposto mas gritou quando sentiu a boca do outro deixar um beijo e cuspir em sua entrada piscante.
- Eu vou gozar - Falou desesperado, sentindo a língua alheia lhe circular, ele não ia conseguir aguentar aquilo, seu corpo tinha passado dias demais querendo os toques de Louis e ele sabia que não ia aguentar isso.
- Não, você não vai. - Foi a resposta simples que recebeu enquanto mais uma dúzia de gemidos e xingamentos desesperados deixaram sua boca. Os movimentos de penetração da língua do outro em si e o pau pressionado no vidro estavam lhe levando ao limite rápido demais. - A não ser que você queira que sua empresa toda saiba que você é minha vadia particular, eu sugiro que seja mais silencioso, amor.
Ele quis chorar, era muito óbvio que Louis estava lhe torturando e por mais que quisesse se esgoelar de gemer e gozar sabia que não podia, ele tinha desejado aquilo por tempo demais para desobedecer o outro mas não sabia se tinha tanto auto-controle assim para conseguir se segurar.
Agarrou a própria mão e mordeu com força tentando ser mais quieto e quando o primeiro dedo do outro entrou em si, mordeu o lábio inferior com tanta força que sentiu o gosto de sangue inundar seu paladar.
Seja bom para ele.
A frase rodava sua cabeça a cada segundo e depois do terceiro dedo haviam lágrimas caindo de seu rosto e manchando papéis abaixo de si enquanto seu corpo tremia pelo esforço em não vir. Sua próstata estava sendo surrada sem dó pelos dedos que iam fundo em si.
Os pedidos de por favor saiam da sua boca sem parar, e sua tentativa de ser silencioso tinha sido abandonada a tempos porque ele não tinha como ser quieto quando seu próprio corpo era uma bomba relógio de sensibilidade aos tapas, beijos e dedos. Ele só queria que Louis lhe usasse como uma puta e o deixasse aberto e dolorido por dias.
Quando a tortura teve fim e Louis retirou os dedos de dentro de si, ele lamuriou triste se sentindo vazio. A sala ficou em silencio sem seus gemidos e ele se tornou extremamente consciente disso.
Sabia que o outro homem estava em algum lugar atrás de si por conta do barulho de respiração e passos mas a falta de contato pele a pele estava lhe deixando com medo. Ele confiava em Louis mas o que tinha acontecido na sexta-feira o tinha deixado traumatizado, ele sabia que era irracional mas não queria ser deixado sozinho e necessitado de novo.
Ele tinha sido um bom garoto e não merecia ficar nesse estado, ele merecia gozar, ele merecia que Louis lhe desse o orgasmo que a dias necessitava, mesmo que-
- Harry. - A voz de Louis estava mais doce e ele fazia carinho levemente sobre sua bochecha com o polegar- Qual é a sua cor amor?
Franziu o cenho para a pergunta porque ele estava tão desesperado para ser comido e com medo de ser abandonado que não tinha se dado conta que estava chorando. Olhos azuis lhe encaravam levemente preocupados e atenciosos, esperando sua resposta.
- Verde - Sua voz saiu quebrada e ele respirou fundo sentindo o pânico que estava em seu corpo e mente se esvair - Você vai me foder? Bem gostosinho?
- Sim. - O pacote de camisinha nas mãos de seu mestre era a explicação pela qual ele havia parado de lhe tocar. Harry olhou para o pau marcado pela calça social preta dele e gemeu desejoso o assistindo tirar o cinto.
E poucos segundos depois de abaixar o zíper ele saiu de sua linha de visão o que fez com que um gemido frustrado saísse de sua boca que só não durou mais porquê o de olhos verdes ouviu o som do pacote de camisinha rasgando.
Usou toda sua força que seu corpo dolorido tinha para olhar para trás e ver Louis a desenrolar sobre o pau grande e grosso. Sua entrada se contraiu em antecipação.
Deitou a cabeça novamente no vidro quando sentiu Louis jogar lubrificante e pincelar sua entrada com a cabeça do pau.
- Você pode gozar a qualquer momento desde que seja depois de mim. - O grunhido que largou a boca de Harry ao ouvir isso foi alto e bravo, e o tapa ardido que estalou sua bunda em seguida mais ainda. - Prefere ficar sem vir?
Só ouvir isso o fez choramingar e ele negou com a cabeça.
- Não senhor.
E então ele sentiu o pau de Louis afundar dentro de si de uma vez por todas, queimando e o esticando do jeito que ele gostava, sem dar tempo para Harry pensar ou se adaptar Louis começou o foder, indo fundo e acertando sua próstata diversas vezes, fazendo sua mente nublar e sua boca abrir em um gemido mudo de tanto prazer.
As estocadas de Louis eram fortes e precisas, e as mãos dele no seu quadril o apertavam sem dó deixando marcas vermelhas que logo estariam roxas.
- Não sabe o quanto eu imaginei te ter assim... toda vez que eu olhava para essa boca de puta ou pra suas pernas em alguma calça colada – Dois tapas estalaram em sua bunda enquanto o outro falava - Eu pensei em te ligar assim que vi que você tinha curtido aquela foto sabia? Mas não fiz porque quanto mais desesperado você estivesse, melhor seria para te comer.
Harry gemeu alto, seu pau sendo pressionado na mesa vazando sem parar e seu couro cabeludo doendo prazerosamente porque estava sendo repuxado, ele estava tão sensível que se Louis lhe mandasse gozar agora ele faria instantaneamente sem nem ter que se tocar.
Lágrimas gordas sujavam seu rosto, se sentia caindo aos pedaços sobre o ritmo impiedoso de Louis, sua entrada se contraindo a cada estocada e seu corpo todo tremendo. Nunca havia sido tão bem fodido.
Ele conseguiu escutar o homem em cima de si xingar sobre o quão apertado ele é, mas sua visão estava nublada demais pelo choro e seu corpo tremelicando a cada segundo para segurar o próprio orgasmo.
Ele sabe que vai gozar a qualquer momento porque seu pau lateja e suas bolas se apertam, esteve em seu limite por muito tempo e não consegue se segurar mais. Seus pensamentos estão embaralhados e ele está prestes a quebrar a ordem que foi lhe dada quando boca de Louis gruda em seu ombro cravando os dentes com vontade conforme goza dentro da camisinha.
Não demora meio segundo para que Harry esteja gozando. Seu corpo todo se contrai e sua visão escurece, ele tem certeza que nunca teve um orgasmo tão forte assim e o alívio que o atinge lhe deixa mole, as estocadas sendo prolongadas dentro de si faz com que seu orgasmo dure mais ainda e ele está prestes a desmaiar pela hipersensibilidade quando Louis sai de dentro de si.
Alguns segundos depois ele é virado para frente, seu abdômen está sujo de porra assim como a mesa e todos os papéis que estavam embaixo de si. Ele ainda está tentando voltar a sua completa consciência quando a boca do menor encontra a sua num beijo demorado.
Harry sorri, se sentindo menos aéreo e extremamente satisfeito. Louis puxa a cadeira almofadada e senta nela, o puxando da mesa para seu colo e deixando o chefe se aconchegar em si.
- Você é perfeito. - Ele murmura entre um beijo e outro, o que faz Harry sorrir e lhe beijar novamente. Eles se separam e o ser de olhos verdes deita a cabeça em seu ombro suspirando ainda meio grogue por tudo que eles fizeram. Louis acaricia suas costas e deixa pequenos selinhos por toda sua bochecha até o pé de sua orelha onde murmura: - Será que é antiético chamar meu chefe bonito para um jantar?
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Trop de souvenirs pour que nous agissions comme des étrangers.
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Je me suis rendue compte d'un truc concernant les chara design de Nora et Qilby, certains trouvaient que celui de Nora était trop fade. Et au début je pensais que les animateurs lui avaient donné une tenue sobre pour mieux faciliter l'animations de ses combats. Mais en fait je me rends compte que c'est une dépersonnalisation. Je m'explique, on dit souvent que les vêtements qu'on porte reflète notre personnalité. Or durant cette saison, malgré leurs personnalité prononcé, le peuple éliatrope agissent pour la cause de leur mère. Et quand ils le font, ils agissent comme si ils étaient qu'une seule et même personne.
Surtout que si on regarde bien, Nora et Qilby ne portent qu'une seule couleur, Nora c'est le rose et Qilby c'est le blanc. Et dans un sens, Nora et Qilby portent ses couleurs, Qilby a la couleur blanche de la peau de sa mère et Nora a la couleur rose venant de ses joues qui ont une teinte légèrement rosé ainsi qu'au niveau du nez. Yugo est le seul à porter deux couleurs, le bleu et l'orange qui reflètent aussi les couleurs de la déesse, Yugo et elle partagent la couleur bleu et orange : bleu : pour son chapeau et elle, ses cheveux et orange : pour son haut et elle, son collier. Du coup leurs chara designs prennent tout leur sens, leurs tenues ainsi que leurs couleurs ne les reflètent pas mais ils reflètent celui de la déesse. Ce qui veut dire que les tenues que portent les éliatropes sont une dépersonnalisation, ils n'agissent comme une seule et même personne au nom de leur mère et ne se démarquent pas. Car le peuple éliatrope ne font qu'un.
I realized something about Nora and Qilby's chara designs: some people thought Nora's was too bland. And at first I thought the animators had given her a sober outfit to make her fights easier to animate. But in fact I realize that it's a depersonalization. Let me explain: we often say that the clothes we wear reflect our personality. But in this season, despite their pronounced personalities, the eliatrope people are acting for their mother's cause. And when they do, they act as if they were one and the same person.
Especially since, if you look closely, Nora and Qilby only wear one color, Nora's pink and Qilby's white. And in a way, both Nora and Qilby wear her colors, Qilby has the white color of her mother's skin and Nora has the pink color coming from her cheeks, which have a slightly pinkish tint, as well as her nose. Yugo is the only one to wear two colors, blue and orange, which also reflect the colors of the goddess. She and Yugo share the colors blue and orange: blue for his hat and her, for her hair, and orange for his top and her, for her necklace. Their outfits and colors don't reflect them, but they reflect the goddess. This means that the outfits worn by the eliatropes are a depersonalization; they act as one in the name of their mother and don't stand out. Because eliatrope people are all one.
#wakfu#wakfu analysis#analysis#wakfu season 4#wakfu spoilers#yugo#nora#qilby#eliatrope goddess#maybe i'm wrong#but when I think that way her chara design makes much more sense
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Brûle Brûle et n’aie pas peur de brûler La vie est longue Courte aussi Et les feux sont des alliés sur la route Contemple les hauteurs nouvelles Écoute les sons inconnus et les lumières fantomatiques Brûle la terre et le ciel et la nuit et le jour aussi Pour découvrir ce qui se cache sous les choses Brûle, aime, et sois patiente mon ange J’ai cousu des armes au revers de ta chemise Des armes muettes qui agissent comme des capteurs de feu L’amour au creux de ta paume Déposé un jour de tempête De grands trésors sont à même la tristesse pour qui sait chercher Embrasse la nuit et tu verras naître l’aube entre tes bras L’azur Et les premiers cris des oiseaux
– Clara Ysé, Vivante
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Pendant ce temps, l’empoisonnement continue ! (sur l’air de Franck Zappa: And the torture never stops…)
On se demande bien ce qui pourrait mettre un coup d’arrêt aux agissements de ces ordures mondialistes trop riches qui ont corrompu une grande partie des potentats locaux…
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Préliens Surnaturels Attendus
Hello hello, pas mal de nos petits membres attendent des préliens surnaturels (c'est à dire des liens top secrets qu'iels ne peuvent pas promouvoir sous peine d'être démasqué.es). N'hésitez donc pas à jeter un œil et n'ayez crainte, vous serez entre de bonnes mains !! N'hésitez pas aussi à jeter un oeil aux minis recherches de liens surnaturels qui sont attendus également sur le forum. Sait-on jamais que ça vous donne des pistes. ------------------------------ PRÉLIENS UNIQUES ● Blake, espèce au choix Rejeton.e d'une mère qui a disparue du jour au lendemain en 1992 sans laisser de trace, c'est à Scarborough qu'iel semble trouver cet être qui lui ressemble comme deux goûte d'eau (lire plus) ● Valerian Carver, m, vampire Vieille âme née durant le XIVe siècle, il devient vampire afin d'échapper à la peste et pour suivre les trace de son père disparu qu'il tente de retrouver à travers les siècles (lire plus)
CLANS ET FAMILLES ● Cercle de Dryades (5/6 libres) Jeune clan de Dryades formé durant le dernier siècle. Elles sont sociables se sont naguère rassemblées en ville. Plutôt militantes, elles agissent contre le climat et sèment quelques graines partout où elles passent (lire plus) > comprend une Dryade (f/m) médiatrice enjouée > une toute jeune Dryade (f/m) qui réalise à quel point elle est différente des êtres humains > une vieille Dryade (f/m) au top sur la technologie et la société humaine, pas la plus sage pour autant > plusieurs places libres ● Cercle de Dryades & Autres (4/6+ libres) Dryades nomades chapeautées par un couple adoptant quelques progénitures d'autres espèces abandonnés à la naissance, formant une famille recomposée et inter-espèces particulièrement soudée. (lire plus) > comprend un couple de Dryades (f) mères adoptives, l'une plus froide et méfiante à l'égard des êtres humains et l'autre plus solaire > une jeune Dryade (f) artiste dans l'âme > une jeune Sirène (m) qui n'a pas encore aspiré de vitalité qui aime trop les êtres humains > plusieurs places libres
● Nid de Stryges & Autres (4/7 libres) Nid de pierres vivant au cœur d'un cimetière et à l'ambiance gothique à souhait, œuvrant majoritairement pour les Dawnbringers. Quelques autres espèces s'y sont greffées avec le temps. (lire plus) > comprend une vieille Stryge (f/nb) jadis pseudo prophétesse et sorcière qui a monté le clan avec son allié de toujours > une Banshee (f/m/nb) qui a trouvé sa place chez les Stryges > un être Humain (f/m/nb) élevé dans le cimetière > une jeune Stryge (m), dernière arrivée au nid qui possède quelques secrets
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Yes Sir — Capítulo 38
Personagens: Professor! Harry x Estudante!Aurora. (Aurora tem 24 anos e Harry tem 35)
Aviso: O capítulo terá o ponto de vista de Aurora e Harry.
NotaAutora: Aproveitem o capítulo e não se esqueçam de comentar💗
Harry
A chuva ainda caía enquanto eu atravessava a rua de volta para casa, a imagem de Gabriel queimava em minha mente, seu olhar desafiador e aquela maldita frase:
Minha mulher.
Minha mulher?!
Ele teve a audácia de chamar Aurora assim.
Babaca inútil.
Ela não era dele.
Ele não sabia como sua arrogância me fazia querer esmagá-lo, eu gostava mais quando ela estava com Stive, ele era um covarde, um rato que eu podia humilhar sem esforço, ele nunca teria coragem de me enfrentar, nunca teria a audácia de se impor como Gabriel fez, isso só tornava a situação ainda mais insuportável.
Minha mão instintivamente subiu até meu pescoço, onde a pressão dos dedos dele ainda parecia marcada, o simples ato de lembrar sua força me enfurecia ainda mais.
Como ele ousou tocar em mim?
Como ousou se meter no que não lhe dizia respeito?
Ele jamais poderia ser digno dela, talvez eu também não fosse, mas porra, ela era minha.
Era ela só minha.
Quando cheguei à porta de casa, empurrei-a com força, a luz da sala iluminava Violeta, que estava sentada no sofá com Aurora no colo.
Aurora estava seca, enrolada em um pijama limpo, seu rosto angelical adormecido contra o peito de Violeta. Por um instante, senti um alívio reconfortante ao vê-la bem, mas a dor veio logo depois.
— Onde elas estavam? O que aconteceu? — Violeta ergueu os olhos para mim.
— Coloque sua filha para dormir.
O rosto de Violeta pareceu mais pálido do que o normal ao ouvir minhas palavras.
— Harry...
— Eu vou cuidar da Isadora.
Sem dizer mais nada, fui até as escadas. Ouvi os passos de Violeta subindo lentamente para o quarto de Aurora, Isadora estava no corredor do andar de cima, me observando como se já esperasse pela sua sentença.
— Desça! Agora. — Quando chegou à sala, me virei para encará-la, o peso dessa noite inteira me castigava. — Você perdeu completamente o juízo por acaso? Pegando sua irmã e saindo no meio da noite?
— O que você queria que eu fizesse? — Disparou, cruzando os braços, como se aquilo não fosse nada.
— Eu queria que você agisse com responsabilidade! Você tem ideia do perigo que se colocou? Você tem ideia do que poderia ter acontecido? Levar Aurora junto? Ela é um bebê, Isadora!
— Perigo? — Zombou. — Você acha que essa casa é segura, pai? Que ficar aqui ouvindo você gritar, quebrar coisas e humilhar a mamãe é melhor?
— Cuidado com o que você diz...
— Por quê? Eu ouvi tudo, ouvi como você humilhou a mamãe mais uma vez, ouvi você sair por aquela porta, como sempre faz. — O tom da sua voz aumentou com seu desprezo por mim.
— Você odeia todo mundo nessa casa! Você desconta toda a sua raiva e essa sua vida de merda em nós.
— Isadora...
— Você queria que eu ficasse aqui? Pra quê? Pra ver até onde você ia? Pra ver se, depois de acabar com a mamãe, você ia acabar com a gente também?
As palavras dela bateram como um soco.
Eu nunca faria isso.
Ela não sabia nada sobre o que estava acontecendo entre mim e a mãe dela.
— Você acha que sou um monstro?
— Acho que você não sabe ser outra coisa.
— Você acha que sabe de tudo, não é? Bem, deixe-me te dizer uma coisa, você não sabe de nada! — Se ela me via como um monstro, então era isso que ela teria. — Isso termina agora, Isadora, você vai apagar o número de Aurora do seu celular e nunca mais vai falar com ela.
— O quê? Você não pode me impedir.
— Posso e vou.
— Isso é ridículo! Agora eu não posso mais ter amigas aqui?!
— Aurora não é boa para você.
— E como você sabe?! Você nem a conhece!
— Apague o número dela agora ou vou pegar seu celular e fazer eu mesmo.
Ela me olhou por um longo momento, os olhos cheios de ódio, então com dedos trêmulos desbloqueou o celular e apagou o número.
— Satisfeito?
— Ainda não, deixe seu celular e Notebook em cima da mesa do meu escritório, porque só será para uso escolar até quando eu decidir que você os terá de volta.
Ela não respondeu, somente virou as costas e subiu as escadas, batendo a porta com tanta força que fez a casa estremecer.
Eu me movi em silêncio pela casa enquanto eu caminhava até o quarto de hóspedes, a porta se fechou atrás de mim, meu corpo inteiro estava tenso, como se cada músculo estivesse à beira de um colapso.
Tudo o que eu queria era silêncio.
Só isso.
Mas, claro, nem isso era possível, ouvi passos do lado de fora antes mesmo da porta se abrir e Violeta aparecer.
— Você vai dormir aqui?
— Vou.
— Onde você encontrou Aurora e Isadora?
— No condomínio da frente. — Revirei os olhos, exausto.
— Na casa de quem? — Ela estreitou os olhos, claramente desconfiada.
— Na amiga da Jane.
— Jane? A babá que contratamos por uma noite? Aquela que mal conhecemos?
— Essa mesma, Violeta.
— E como elas foram parar lá, Harry?
— Eu não sei, pergunte a Isadora, eu não sei de todas as respostas Violeta.
— E por que demorou para voltar?
— Isso por a caso virou um interrogatório? —
Eu senti minha paciência escorrer pelas mãos. — Você deveria estar fazendo isso com sua filha, não comigo.
— O que você está escondendo?
— Nada! — A raiva me consumiu. — Eu estou cansado, Violeta! Esse dia foi um inferno, eu só quero um pouco de paz! Será que você não consegue entender isso?
— Ok, boa noite, Harry. — Ela virou as costas, caminhando até a porta.
Eu fiquei imóvel por alguns minutos depois que ela saiu, até tomar coragem para me levantar e ir para o banheiro. Eu sentia o tecido grudar na pele enquanto jogava toda minha roupa no chão, liguei o chuveiro, mas não esperei a água esquentar, deixei que ela caísse fria sobre mim se misturando com a chuva que já tinha me ensopado.
Não fazia diferença.
Nada fazia.
A água escorria, meus joelhos cederam caí nem ao menos tentei me segurar, apoiei as mãos no chão tentando respirar, mas minha garganta estava apertada, meus ombros tremiam e então finalmente eu desmoronei, o som do meu próprio choro encheu o banheiro.
Eu não queria chorar.
Eu não queria me sentir assim.
Mas, droga, como não sentir?
Eu encostei a testa contra a parede gelada, tentando desesperadamente encontrar um motivo, qualquer motivo, para continuar, mas não encontrei nenhum.
Eu não queria, Deus, eu não queria, eu nunca quis magoar Aurora...
Eu não queria estragar tudo com Violeta...
Eu não queria que Isadora me odiasse...
Eu passei as mãos pelo rosto tentando limpar as lágrimas, mas elas continuavam vindo, incontroláveis, tudo o que eu sentia vinha de dentro, queimando, esmagando, despedaçando cada parte de mim.
O vazio.
A culpa.
O ódio.
Não sabia como continuar fingindo que podia consertar alguma coisa, que podia suportar tudo isso.
Eu amava Violeta, como eu a amava, mas, ao mesmo tempo, eu a odiava, eu odiava cada lembrança daquela traição, odiava saber que se ela não tivesse me destruído primeiro, talvez eu não estivesse aqui agora, afundado nessa lama que eu mesmo criei, mas, no fundo, eu sabia, isso não era desculpa, por que o erro dela foi apenas um e os meus? Quantos eu já acumulei?
Eu queria fugir, queria desaparecer, mas até isso exigia uma coragem que eu não tinha.
Quando eu vou ter coragem de mudar?
Quando vou parar de destruir tudo?
Mas não vai acabar, vai?
Não até eu decidir a coisa certa a se fazer.
Aurora
— Aurora. — A voz de Gabriel me trouxe de volta.
Quando olhei para ele, seus olhos estavam cheios de preocupação, tão diferentes do olhar carregado de desprezo de Harry. Antes que eu percebesse, ele estava ao meu lado no chão, me puxando para um abraço. Agarrei sua camisa com força, escondendo o rosto em seu peito,
Gabriel apertou os braços ao meu redor e ficamos ali por alguns minutos, o tempo suficiente para que meu choro se transformasse em um silêncio sufocado.
— Tá tarde — Deixou um beijinho no topo da minha cabeça. — Você precisa descansar.
— Não vou conseguir dormir. — Balancei a cabeça.
— Então a gente fica aqui.
Ele me ajudou a levantar e me conduziu até o sofá, pegando uma manta para cobrir nós dois, a TV estava ligada, mas eu não conseguia focar no que passava tudo o que sentia era o calor de Gabriel ao meu lado, foi estranho como mesmo depois do furacão que Harry me fez sentir essa noite eu não estava tão desolada, estava doendo, doendo muito, mas ter Gabriel comigo tornou mais suportável, me aninhei ao lado dele encostando a cabeça em seu ombro, um alívio tomou conta de mim e pouco a pouco meus olhos começaram a pesar.
Acordei sentindo algo macio sob mim, eu estou estava em minha cama, franzi o cenho confusa até ouvir passos pelo quarto, Gabriel se aproximou com um pequeno sorriso, sentando-se na beirada da cama.
— Bom dia, Bela Adormecida. — Deslizou os dedos pelos meus cabelos.
— Você me trouxe pra cá?
— Achei que seria mais confortável que o sofá. — Respondeu, ainda brincando com uma mecha do meu cabelo. — Espero que não se importe.
— Não me importo. — Deixei escapar um suspiro cansado.
— O que você acha de um banho? — Sugeriu, pegando minha mão.
— Um banho? Não sei se estou muito afim disso. — Me enrolei na coberta, deixando a melancolia tomar conta de mim. — Ficar o dia inteiro na cama hoje parece uma ótima ideia .
— Acho que vai te fazer bem, ficar na cama se prendendo a tudo o que aconteceu ontem só vai te machucar mais, por favor, confie em mim.— Arrancou minhas cobertas.— Vem.
— Tudo bem. — Cedi finalmente a sua insistência.
A água quente começou a cair assim que entramos no box, me senti estranhamente exposta mesmo debaixo do vapor que embaçava o vidro, era a primeira vez que tomávamos banho juntos e aquilo me deixava tímida, Gabriel pareceu perceber passando os braços ao redor da minha cintura e encostando o queixo em meu ombro.
— Tá tudo bem — murmurou. — É só um banho.
Fechei os olhos e deixei que ele me segurasse, absorvendo o calor de sua pele contra a minha, ele começou a deixar pequenos beijos na curva do meu pescoço, me fazendo relaxar aos poucos.
— Eu amo suas sardinhas... — Sussurrou entre seus beijos.
Tentei afastar o rosto, mas ele riu e segurou meu queixo com cuidado, forçando-me a olhar para ele.
— Não faz isso, não fica com vergonha de mim. — Minhas mãos repousavam hesitantes sobre o peito dele, senti meu coração apertar. — Você é tão linda. — Como ele conseguia me olhar assim, como se eu fosse algo precioso, mesmo depois de tudo? — E essa barriguinha... — Sua mão carinhosamente deslizou sobre minha barriga. — Eu sei que você não gosta dela, mas acho que é a coisa mais linda do mundo, você tá criando uma vida, Aurora, isso é incrível.
Eu quis afastar suas mãos, como sempre fazia, mas havia algo tão puro e despretensioso em sua voz que me fez ceder.
— Você diz essas coisas como se fossem fáceis de acreditar.
— Talvez porque eu realmente acredite nelas. —
As palavras dele ficaram ecoando em mim, como se tentassem preencher as lacunas que Harry tinha deixado. — Aurora...
— Gabriel...
— Posso perguntar uma coisa?
— Sim.
— Eu sou o suficiente para você? — Eu mal consegui ouvir quando ele sussurrou praticamente a frase.
Meus olhos se arregalam, dei um pequeno passo para trás.
Por que ele estava perguntando isso?
Era por causa do que Harry disse ontem?
— É claro que você é. — Deslizei as mãos suavemente pelos seus braços, sentindo a tensão dele.
— Eu só... Eu não quero te decepcionar.
— Você nunca vai me decepcionar. — Murmurei, deixando um beijo em seus lábios quase sentindo a tensão se dissipar entre nós.
Depois do banho, ele me convidou para tomar café em uma padaria próxima, eu concordei, talvez fosse melhor sair um pouco daquele apartamento.
Depois que eu já havia devorado dois croissant e a metade do bolo de chocolate de Gabriel, percebi que ele me olhava com uma expressão curiosa.
— Fala logo — Provoquei, cruzando os braços.
— Falar o quê?
— O que você quer perguntar.
— Está tão óbvio assim?
— Está!
— Então... aquele cara é o pai do bebê...
— É. — Engoli em seco, mas assenti.
— Eu vi uma aliança no dedo dele... Ele é...
— Casado? Sim. — Vi o olhar dele se arregalar por um segundo. — Mas eu não sabia. — A acrescentei rapidamente.
— Tá tudo bem, eu não tô te julgando, só fiquei um pouco surpreso, mas eu acredito em você.
— Obrigado.
— Sabe, acho que já vi ele antes, ele foi à loja onde eu trabalho, ele é professor lá na faculdade... Foi por isso que você mudou pra nossa turma?
— Foi.
— Seria errado ficar só um pouquinho feliz por isso? — Ele sorriu, quase tímido. — Afinal, se não fosse por isso, eu nunca teria te conhecido e eu amei te conhecer.
— Você tem um jeito estranho de fazer as coisas parecerem boas. — Senti um sorriso sincero se formar em meus lábios.
— É porque você merece coisas boas. — Deu os ombros, apertando minha mão. — Agora vamos, quero te levar para um lugar.
— Hoje, você está determinado em não me deixar na cama, né?!
— Eu só não quero que você perca tempo pensando em alguém que nunca te deu valor.
Ele estava certo.
Ainda era estranho ter algum cuidando de mim, nós passamos o resto da manhã juntos andando pelo parque e explorando uma feirinha próxima, Gabriel fez questão de me mimar a cada segundo, comprando qualquer coisa que ele vai que eu gostava, como se quisesse apagar todas as memórias ruins que Harry havia deixado e por um momento ele conseguiu.
Harry
O barulho dos saltos ecoando no corredor estreito do escritório jurídico me trouxe de volta à realidade. A manhã tinha sido um borrão de aulas, alunos ansiosos tentando arrancar respostas sobre trabalhos finais e uma ansiedade crescente no fundo da minha mente que parecia aumentar a cada minuto, era o final do segundo semestre em Harvard, eu deveria estar focado em corrigir provas, mas tudo que eu conseguia pensar era no resultado do laudo médico que recebi alguns dias atrás.
— Styles? — Anderson chamou do fundo da sala.
Caminhei até a cadeira de couro à sua frente, sentindo o peso de cada decisão que me trouxe até ali. Eu estava no intervalo entre as aulas, o único horário que consegui para essa reunião, Anderson tinha prometido ser rápido, mas algo em seu tom de voz no telefone me deixou inquieto.
— Recebi a notificação de Bryan hoje cedo. — Começou, enquanto organizava alguns papéis na mesa. — Depois do resultado do teste, como você sabe, ele já se adiantou, ele quer a guarda compartilhada de Aurora.
— Ele está brincando comigo? — Meu corpo ficou rígido na cadeira.
— Não, Harry. — Anderson levantou os olhos dos papéis. — E o problema é que legalmente ele tem direito a isso, a menos que consigamos provar que ele é um perigo para a Aurora.
— Isso é absurdo. — Murmurei, passando as mãos suadas em minha calça social. — Ele não é pai dela, ele é só um homem que…
— Que tem o DNA para provar o contrário! — Anderson me cortou, com um tom firme. — Harry, eu sei que isso é duro de ouvir, mas precisamos ser objetivos agora, Bryan contratou Eric Hall.
Ouvir esse nome foi como levar um soco.
Eu já conhecia a reputação de Hall, ele era frio, sujo e calculista, um devastador em tribunais.
— E você sabe o que ele está planejando?
— Bom, se conheço bem Hall, ele vai usar tudo o que puder contra você e Violeta. — Levantou, sentando-se à mesa à minha frente. — Isso inclui o estado emocional de vocês, seus problemas conjugais e com toda certeza ele vai trazer à tona aquele incidente no hospital.
Fechei os olhos, sentindo a raiva fervilhar dentro de mim, claro que ele usaria isso, Bryan não hesitaria em cavar fundo.
— Isso não muda o fato de que ele é perigoso.
— Não muda, mas ele não tem condenações, Bryan é o médico perfeito, o profissional brilhante. — Alertou. — Para vencermos isso, temos que provar o contrário, precisamos mostrar que Aurora está em um ambiente seguro, que você é um pai presente e que Bryan não tem condições emocionais de exercer a paternidade.
— Quanto tempo temos?
— A audiência foi marcada para daqui a um mês.
Um mês?
Isso era muito pouco tempo.
Nós precisamos achar algo.
Eu precisava estar pronto.
Eu não podia desistir agora.
— Vamos conseguir. — Afirmei com determinação, embora sentisse meu estômago revirar. — Bryan não vai tomar minha filha.
— Falando nisso. — Anderson continuou, voltando a sentar em sua cadeira. — Há algo que preciso discutir com você, Violeta mencionou que quer o divórcio, é verdade?
— Como você sabe disso?
— Ela comentou algo comigo quando assinamos os documentos da ação de Bryan, ela parecia cansada, mas isso é algo que vocês dois precisam reconsiderar, agora não é o momento para um divórcio, se Bryan souber que vocês estão se separando ele vai usar isso como evidência de um ambiente instável para Aurora.
— Eu não queria o divórcio. — Admiti em voz baixa. — Mas talvez seja melhor assim, esse casamento fracassou, ela sequer olha pra mim e se recusa a falar comigo, eu também não sei o que dizer depois de tudo o que aconteceu, depois de descobrir que Aurora...
— Eu entendo. — Anderson interrompeu meu raciocínio antes que a raiva voltasse a me consumir. — Mas isso não é sobre o que você consegue fazer agora, é sobre o que você precisa fazer, você sabe que Bryan vai tentar usar tudo isso contra vocês, certo? Se você ama sua filha, sei que ama, precisa mostrar ao tribunal que sua casa é estável e amável. Harry, se ainda existe algo entre você e Violeta, talvez seja hora de deixar o orgulho de lado e reconsiderar uma nova chance para seu casamento.
— Você acha que é uma questão de orgulho? — Retruquei levantando, ficar sentando ali estava me matando.
— Eu sei que é difícil e não vou fingir que entendo completamente o que você está passando, mas o tribunal vai olhar para o quadro geral, se vocês conseguirem demonstrar que estão unidos como uma família, aumentam as chances de manter Bryan afastado.
— Eu sei, mas não é tão simples, toda vez que olho para ela lembro de tudo, toda vez que ela me vê sente o mesmo, ambos destruímos um ao outro.
— Se a ama de verdade, precisa decidir se vale a pena perdoar e dar uma chance de recomeçar.
— E se eu não souber mais, o que sinto por ela?
— Então, você precisa descobrir antes que Bryan descubra por você.
Aurora
O professor Brown estava no centro da sala, falando com aquela voz que parecia projetada para nos fazer dormir, era aquele clima de fim de semestre, trabalhos finais, provas acumuladas, a sombra iminente da formatura.
Uma formatura que eu não iria.
Todo o sonho de usar um vestido de baile e ter uma formatura perfeita desmoronou no momento em que descobri que estava grávida, mesmo com o inverno ajudando a disfarçar minha barriga de quase seis meses, seria impossível escondê-la em um vestido de gala.
— Para quem ainda está correndo atrás do prejuízo, esse é o último mês para provar que merece aquele diploma.— Comentou, enquanto anotava na lousa os prazos finais para os trabalhos de recuperação.
Encostei as costas na cadeira, observando o movimento lento do marcador na mão dele, se fosse o semestre passado, essas palavras teriam me deixado em pânico, minhas notas estavam um desastre, fruto de noites mal dormidas, decisões erradas e muito sexo com meu Professor, mas eu gostaria de apagar tudo isso da minha memória, só de pensar nele sentia uma onda de desconforto subir pelo meu corpo, foi Gabriel que me ajudou a sair daquele buraco, graças a ele eu estava ali, com a tranquilidade de quem não precisava fazer mais nada além de esperar o fim.
Senti um toque suave na minha mão quando olhei para o lado, Gabriel estava ali, brincando distraidamente com meus dedos, ele estava mais calado do que o normal hoje.
— Ei — sussurrei. — Tá tudo bem?
Ele apenas assentiu, oferecendo um sorriso rápido antes de voltar a olhar para o quadro.
Algo estava errado.
Quando o intervalo chegou, esperei que ele saísse da sala para segui-lo, não era difícil perceber que ele estava preocupado.
— Você vai pra minha casa depois do trabalho?
Ficarmos no meu apartamento se tornou rotina, já que seu dormitório era tão pequeno e seus colegas de quatro insuportavelmente barulhentos.
— Não vai dar hoje.
— Por quê?
— Tenho algumas coisas para resolver. — Ele passou a mão pelos cabelos, um gesto que percebi que fazia quando estava nervoso.
— Que coisas? O que está acontecendo? Você está estranho desde a aula. — Aquilo só aumentou minha desconfiança.
— É que eu recebi uma notificação da faculdade hoje de manhã, como o semestre está acabando, eu preciso desocupar meu quarto e bem eu ainda não sei onde morar depois que me formar.
Droga!
Uma parte de mim até pensou em que talvez ele pudesse morar comigo, mas isso seria apressado demais.
— E o que você vai fazer?
— Ainda não sei, eu falei com meu tio afinal ele é única família que tenho em Boston, ele me ofereceu para morar com ele por um tempo, até eu conseguir um emprego fixo e me estabilizar.
Meu sangue gelou.
Não.
Eu não podia ficar perto do Bryan de novo.
A ideia de voltar à casa dele fezia minha garganta fechar, só de pensar naquelas mãos me tocando de novo me fez senti um frio na espinha.
— Você... Tem certeza disso? — Minha voz saiu quase como um sussurro, enquanto o medo começava a se instalar no meu peito.
— Bem, eu não tenho muitas opções. — Gabriel me olhou, claramente confuso com a minha reação. — É isso ou voltar para o Canadá para morar com meus pais e recomeçar por lá.
Canadá?!
Ele não podia voltar para lá!
Como nós ficaríamos?!
Mas conviver com Bryan...
— Ei, não se preocupa, eu vou dar um jeito. — Ele pareceu perceber minha preocupação. — Na verdade, talvez morar com meu tio não seja tão ruim, a casa dele é enorme e você vai finalmente poder me visitar, em vez de eu sempre ir até o seu apartamento, lá tem um jardim lindo nos fundos, podemos montar um playground para o bebê quando nascer.
Minha respiração ficou ainda mais pesada, eu esqueci que Gabriel ainda não sabia que não ficaria com o bebê.
Por um segundo, me deixei levar pela fantasia, brinquedos espalhados pelo jardim, risadas ecoando enquanto Gabriel corria atrás do bebê, mas então a realidade bateu como um balde de água fria.
Eu não podia ter isso.
Não podia ser mãe agora.
Eu queria tanto acreditar que poderia ser diferente, que poderia dar certo, mas eu sabia que não daria.
— Brinquedos?
— Claro, vai ter espaço para nós quatro lá, meu tio nem para em casa por conta do trabalho e você deixou uma ótima impressão com aquele jantar, ele disse que gostou de você, acha que somos ótimos juntos.
Parte de mim queria gritar para ele não fazer isso.
— Parece uma boa ideia — Menti, com o pânico já instalado em mim.
— Vai dar tudo certo, eu prometo. — Gabriel sorriu, acariciando meu rosto com o polegar.
Queria acreditar nele.
Queria acreditar que tudo ficaria bem, mas a verdade era que eu não sabia o que Bryan poderia fazer, estava com medo do que eu mesma poderia fazer ou no que ele poderia fazer eu sentir, se eu quisesse continuar com Gabriel, teria que sobreviver ao seu tio.
Gabriel continuava falando, mas eu não ouvia mais, tudo o que eu conseguia pensar era que entre Gabriel voltar para o Canadá e eu conviver com Bryan nenhuma das opções parecia suportável.
Obrigado por ler até aqui 💗 O feedback através de um comentário é muito apreciado!
Esta ansiosa (o) para o próximo?
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"Dans un ordre social traditionnel il faut qu’il y ait des hommes chez qui le principe sur lequel s’appuient, par degrés, les diverses organisations, législations et institutions, sur le plan de l’ethos et du rite, soit vraiment agissant, ne soit pas seulement une forme extérieure, mais une réalisation spirituelle objective."
Julius Evola, Révolte contre le monde moderne (1934)
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Arcane est une très mauvaise adaptation. Voir même une adaptation de merde !!!
La serie Arcane est une série d'animation en deux saisons réalisée par le studio francais Fortiche et diffusée sur la plate-forme Netflix.
Cette série se démarque des formats "classique" par une direction artistique très marquée avec beaucoup d'aplats facon 2D alors qu'il s'agit d'animation 3D.
Son récit est également particulier au sens où il est "choral" (on parle aussi de dilution de la fonction sujet mais c'est moins joli) c'est a dire qu'on ne suit pas un personnage principal mais de multiples protagonistes qui vont chacun avoir une intrigue qui aura sa place dans l'histoire plus générale de la serie.
Elle a été également remarquée pour la place que prend la musique dans différents episodes voir même de veritables sections "clips" mais j'en reparlerais apres.
Concernant l'histoire d'Arcane on peut la résumer facilement : des adolescents (qui vont vite devenirs adultes) vont avoir une place centrale dans un conflit opposant la partie la plus pauvre et la partie la plus riche de leur ville dans un contexte de l'apparition d'une nouvette technologie aussi prometteuse qu'elle attire la convoitise de mafieux locaux mais aussi d'agents étrangers.
Si le premier épisode de la première saison laissait un peu dubitatif il y a un consensus tres clair sur le fait que cette serie est absolument formidable (100% rotten tomatoes, 9 prix aux annies award (les oscars de l'animation), 4 prix aux emmy award (les oscars pour les series) et d'autres récompenses moins connues).
Bref c'est une des meilleures series de la décennie ( si si), ce qui n'est pas rien pour une adaptation de jeu vidéos.
Car oui Arcane n'est pas "une serie originale" mais une adaptation. Et disons le, une adaptation de merde. Il y a tres peu de chose en commun entre le support d'origine et la serie. Et c'est très bien.
Car oui, être une adaptation fidèle n'est pas un objectif en soit et parce que les enjeux narratifs ne sont pas les même d'un média a l'autre il peut être bon de modifier des choses (d'où le terme d'adaptation).
Que raconte le jeu League of Legende dont Arcane est l'adaptation ?
Dans un monde où les gens aiment être en guerre mais n'aiment pas trop faire la bagarre eux même, des champions sont choisis pour représenter des nations en conflits. Facon "que ton meilleur guerrier affronte mon meilleur guerrier Menelas !" les guerres ont été remplacées par des combats de gladiateurs ou chaque equipe va devoir detruire une petite tour magique qui fait de la lumière pour remporter la bataille.
Dans Arcane rien de tout ca !
Aucun conflit mondial, pas de reglement des différents via des surhumains representant une nation, pas de petit batiment rose ou bleu a detruire. Rien !
Les liens avec le matériel de base sont bien sur là, on reprend des personages, leurs gimiques et leur caractère mais cela s'arrête globalement là.
Arcane est une très mauvaise adaptation, et c'est une série absolument formidable.
Déjà cela permet d'apprécier et de tout comprendre a la serie en ignorant totalement le jeux d'origine. Ensuite cela laisse une liberté bien plus large pour developer une histoire et d'amener des sujets un peu inattendu (je vous jure la lutte des classes et le suicide d'une enfant ce n'est pas dans le jeux vidéo de base).
Alors Arcane je vous ai decrit les lignes de l'histoire mais de quoi ca parle ? Parce ce n'est pas la meme chose.
Le seigneur des anneaux raconte l'histoire d'une guerre entre des peuples et un seigneur des ténèbres mais ca parle de l'importance que peut avoir les petites gens sur le monde.
Arcane, ça raconte une lutte des classes, de la magie, du steampunk, du suicide d'une enfant (non je ne m'en remet pas !!!) mais cela parle en fait de ce qu'on est capable de faire par amour.
Tous les personnages principaux, et je dis bien tous (même les "méchants") agissent par amour pour une personne, que cette personne soit en vie ou disparue. Aucun antagoniste n'agit par malveillance ou par une quete egoiste et megalomaniaque de pouvoir.
Et d'avoir des "méchants" qui sont des antagonistes simplement parce que leur objectif est différent du "gentil" (voir même en saison 1 le même objectif mais par des moyens pas trop trop cop-21) c'est quand même une marque de bonne écriture.
Pour finir sur l'écriture, la serie met beaucoup l'accent sur le foreshadowing : glisser un élément qui fera sens bien plus tard, voir dans la saison d'apres. Cela peut etre soit un petit clin d'oeil rigolot (debut S1 "tu as la moindre idée de ce qu'on mange en prison ?", fin de S2 : hum hum, oui, oui d'accord..) ou pour caracteriser un personnage / annoncer un changement dans l'intrigue (coucou le générique dont les détails changent, coucou le montage qui passe a 4 images / sec au lieu de 24 pour une raison bien précise).
Et je ne parle pas du sens des couleurs, des micro details qu'on peut voir qu'en mettant en pause (franchement parfois on en est là) et des clips.
Les clips sont une astuce : raconter quelque chose en 30 secondes plutot qu'en 3 minutes. Car on accepte beaucoup plus de liberté et de rupture du réel dans un clip. Et les musiques ont des paroles tres signifiantes ce n'est pas de l'illustration.
Dernière chose que j'ai bien aimé : pas d'épisode filler. Pas d'épisode inutile. Si quelque chose est dans la serie c'est que ca doit servir. Alors c'esr sur du coup ca ne traine pas, on va droit au but et une intrigue peut être réglée en un épisode mais au moins il se passe des choses !
Et surtout, surtout surtout surtout, enfin de la gravité. Si un personnage meurt il n'y aura pas Iron man qui va ressusciter tout le monde. Et des morts il n'y en a, et pas que dans les perso terciaires. Du coup c'est marquant. Et si vous avez envie de chialer devant Arcane ce sera normal.
Bref.
C'est une serie qui ne vous prend pas pour un imbécile. Et c'est une serie, pas "un contenu", avec une véritable histoire et je ne saurai que vous la recommander.
J'aurais voulu continuer en parlant du féminisme dans Arcane mais c'est déjà assez long donc une autre fois 😋
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SKAM : Saison 3 - Avec : Axel Auriant, Maxence Danet-Fauvel
Avec : Axel Auriant, Maxence Danet-Fauvel.
Cet article ne se concentrera uniquement sur la saison trois de la série SKAM et sur sa version française.
Cette saison est incroyable ! Elle n'est ni juste ni aussi réaliste que les deux premières saisons de la série, elle propose au contraire une relation entre Lucas et Eliott qui semble un feu d'artifice du début à la fin. Tout en traitant deux sujets durs :
L'homophobie et la peur du rejet d'un côté, et les troubles mentaux de l'autre, elle reste très positive et puissante. Cette saison... il s'agit véritablement d'une poignée d'heures agissant comme une vraie pillule de bonheur que je conseille de tout cœur pour éloigner la morosité !
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