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physikcollege · 1 year ago
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quantumaierwe · 1 month ago
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QuantumAI : révolutionner l'intelligence artificielle en France
QuantumAI révoLa France a toujours été à la pointe de l’innovation technologique et scientifique, de ses contributions révolutionnaires à la physique à son leadership en intelligence artificielle (IA). Aujourd’hui, une nouvelle frontière se dessine  QuantumAI français, une fusion de l’informatique quantique et de l’IA qui promet de redéfinir les limites de ce qui est possible en matière de calcul.
Qu’est-ce que QuantumAI ? QuantumAI fait référence à l’intégration de l’informatique quantique et de l’intelligence artificielle pour résoudre des problèmes actuellement insolubles par les méthodes de calcul classiques. Les ordinateurs quantiques utilisent des bits quantiques (qubits), qui peuvent exister dans plusieurs états simultanément, ce qui leur permet de traiter des calculs complexes beaucoup plus rapidement que les systèmes binaires traditionnels. Associés à l’IA, cela ouvre la voie à des applications transformatrices dans des domaines tels que l’analyse de données, l’apprentissage automatique et la prise de décision.
Le rôle de la France dans QuantumAI La France est en train de devenir un acteur clé de la révolution QuantumAI, portée par son engagement en faveur de la recherche de pointe et des initiatives gouvernementales stratégiques. En 2021, le gouvernement français a lancé un plan quantique de 1,8 milliard d’euros visant à faire du pays un leader mondial des technologies quantiques. Cela comprend des investissements substantiels dans l’infrastructure de calcul quantique, des partenariats avec des institutions académiques et un soutien aux startups travaillant sur l’IA et les synergies quantiques.
Principales contributions Centres de recherche en informatique quantique : La France abrite des institutions de recherche renommées comme le CNRS (Centre national de la recherche scientifique) et le CEA (Commissariat à l’énergie atomique), qui sont à la pointe des avancées dans les technologies quantiques.
Collaboration entre l’industrie et le monde universitaire : Des entreprises comme Atos et Pasqal travaillent avec des universités pour développer des solutions QuantumAI. Atos, par exemple, a développé une machine d’apprentissage quantique, qui permet la simulation d’algorithmes quantiques pour la recherche en IA.
Expertise en IA : Le leadership de la France en matière d’IA, mis en avant par des institutions comme l’INRIA (Institut national de recherche en informatique et en automatique) et des universités de premier plan, constitue une base solide pour l’intégration de l’informatique quantique dans les modèles d’IA.
Applications potentielles de QuantumAI Santé : QuantumAI pourrait révolutionner la découverte de médicaments en simulant rapidement les interactions moléculaires, ce qui conduirait au développement de nouveaux traitements pour les maladies complexes.
Services financiers : En France, QuantumAI est exploré pour optimiser les stratégies de trading, l'évaluation des risques et la détection des fraudes, offrant une précision sans précédent dans la prise de décision.
Optimisation énergétique : De l'amélioration des réseaux d'énergie renouvelable à l'amélioration des technologies de batteries, QuantumAI peut relever des défis cruciaux en matière d'efficacité énergétique.
Sécurité nationale : La France étudie également le potentiel de QuantumAI en cryptographie et en cybersécurité pour contrer les menaces dans un monde de plus en plus dépendant des infrastructures numériques.
Défis à venir Malgré ses promesses, QuantumAI est confronté à des obstacles importants, notamment :
Évolutivité : développement d'ordinateurs quantiques avec suffisamment de qubits stables pour effectuer des calculs d'IA significatifs.
Coût : les technologies quantiques sont coûteuses, nécessitant un financement et une infrastructure substantiels.
Fraude de talents : il existe une pénurie mondiale de chercheurs qualifiés à la fois en informatique quantique et en IA.
L'avenir de l'IA quantique en France L'approche proactive de la France, associée à son expertise en mécanique quantique et en IA, la positionne comme un leader mondial de l'IA quantique. À mesure que la technologie mûrit, la France pourrait devenir un pôle de collaborations et de percées internationales dans ce domaine transformateur.
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mrfrmarket · 7 months ago
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Aperçu du marché mondial des gants à main industriels
Market Research Future (MRFR) a publié un rapport de recherche sur le "marché des gants industriels" qui contient des informations de 2023 à 2032. Le marché des gants industriels est estimé à enregistrer un TCAC de 7,00 % au cours de la période de prévision de 2023 à 2032 et devrait croître à 16,4 milliards de dollars US d'ici 2032.
Résumé dumarché mondial des g ants de main industriels
Le marché des gants industriels est un segment essentiel de l'industrie des équipements de protection individuelle (EPI), servant à un large éventail de secteurs pour protéger les mains des travailleurs contre divers risques professionnels. Les gants industriels sont essentiels pour assurer la sécurité et le bien-être des employés travaillant dans des environnements dangereux, tels que la fabrication, la construction, la manipulation de produits chimiques, les soins de santé et d'autres environnements industriels.
Ces facteurs ont contribué à façonner le marché des gants de protection industrielle et devraient en stimuler la croissance. Les entreprises du marché des gants industriels pourraient également être confrontées à des défis tels que l'essor de la technologie de l'automatisation et l'utilisation croissante de robots et de machines professionnelles. Le rapport sur le marché des gants industriels couvre tous les aspects de l'industrie. Les analystes qui étudient le marché des gants industriels ont également partagé les projections de croissance dans le rapport et ont suggéré aux acteurs du marché des gants industriels de planifier des stratégies commerciales en conséquence.
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medicalnewspress · 1 year ago
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Répercussions du Changement d'Heure sur Notre Bien-Être
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L'Impact Profond du Changement d'Heure sur la Santé et la Société
Chaque année, le changement d'heure suscite une série de questions sur ses conséquences, à la fois visibles et cachées, sur notre santé et notre société. Cet article se plonge dans l'analyse des répercussions de cette tradition séculaire, qui consiste à avancer les horloges d'une heure au printemps et à les reculer d'une heure à l'automne, en mettant en lumière les aspects souvent méconnus et pourtant cruciaux de cette pratique. Le Rythme Circadien et ses Dissonances Notre rythme circadien, une horloge biologique interne qui règle notre cycle veille-sommeil, est l'un des premiers acteurs impactés par le changement d'heure. Les perturbations occasionnées par ce changement horaire peuvent entraîner des troubles du sommeil notables, allant de l'insomnie à la somnolence diurne. Les désagréments ne s'arrêtent pas là, car ces perturbations peuvent persister pendant des semaines, altérant ainsi notre capacité à fonctionner à notre plein potentiel. Il est impératif de comprendre que la désynchronisation de notre rythme circadien a des implications bien plus profondes que la simple fatigue, touchant divers aspects de notre bien-être. Les Impacts Multiples sur la Santé Physique Le changement d'heure ne se limite pas à des problèmes de sommeil. Des études scientifiques ont mis en évidence une augmentation des risques de maladies cardiovasculaires et de diabète associés à ces perturbations chronobiologiques. En outre, le manque de sommeil et la perturbation du rythme circadien peuvent compromettre notre système immunitaire, nous rendant plus vulnérables aux infections et aux maladies. Ces effets sur la santé physique soulignent la nécessité de prendre en compte l'impact médical lors de la décision de maintenir ou de changer cette pratique millénaire. Les Répercussions sur la Santé Mentale Les conséquences du changement d'heure ne se cantonnent pas au domaine physique, elles se font également ressentir sur la santé mentale. La perturbation du sommeil et les variations hormonales qui en découlent peuvent contribuer à l'augmentation des cas de dépression et d'anxiété. La compréhension de ces liens entre le changement d'heure et la santé mentale est cruciale pour une approche globale du bien-être psychologique. Des mesures préventives devraient être envisagées pour atténuer ces effets négatifs et favoriser une société plus équilibrée.
Le Risque Routier Grandissant
Au-delà des aspects médicaux, le changement d'heure peut avoir des conséquences potentiellement tragiques sur la sécurité routière. La fatigue et la somnolence induites par ces perturbations chronobiologiques peuvent entraîner une hausse significative des accidents de la route. Les conducteurs, affectés par une vigilance réduite et des temps de réaction prolongés, mettent en péril leur propre vie ainsi que celle des autres usagers de la route. Dans le débat sur le changement d'heure, la sécurité publique ne doit pas être négligée. L'Économie et la Productivité en Péril Le changement d'heure déploie également ses effets sur l'économie et la productivité. La fatigue résultant des perturbations chronobiologiques peut entraîner une diminution de la performance au travail, ayant un impact négatif sur la productivité des entreprises et, par extension, sur l'économie nationale. Cette dimension économique, souvent sous-estimée, doit être sérieusement prise en compte dans l'évaluation globale de l'utilité du changement d'heure. L'Horloge Alimentaire et la Santé à Long Terme Bien que la relation entre le changement d'heure, les habitudes alimentaires et la longévité fasse l'objet de recherches limitées, il est plausible que les perturbations du sommeil et de l'horloge biologique puissent influencer nos choix alimentaires. Cette perspective soulève des questions importantes sur les impacts à long terme sur la santé publique. Une investigation approfondie est nécessaire pour mieux comprendre cette dimension et ses implications sur notre bien-être à long terme.
Vers une Prise de Décision Éclairée
À la lumière des multiples effets négatifs du changement d'heure sur la santé et la société, il est impératif de poursuivre la recherche et l'analyse de ces conséquences. Il est temps d'envisager sérieusement des alternatives, telles que l'abolition du changement d'heure, afin d'améliorer la qualité de vie et le bien-être global. En intégrant toutes ces dimensions, nous pouvons prendre des décisions éclairées concernant cette tradition millénaire et son impact profond sur notre société moderne. Le changement d'heure, autrefois vu comme une simple adaptation au rythme des saisons, se dévoile aujourd'hui comme un phénomène complexe aux multiples facettes, méritant une attention scientifique soutenue.
Références
- Heure d'été: pour ou contre le changement? Les arguments scientifiques pour choisir votre camp - Huffington Post - Les effets du changement d'heure sur la santé - Radio-Canada.ca - Etats-Unis : vers la fin du changement d'heure ? - Les Echos - Changement d'heure : quels effets sur notre corps ? - Sorbonne Université - Les effets du changement d'heure sur notre santé - Univers Pharmacie - Changement d'heure : peut-on s'attendre à un dérèglement de notre horloge biologique ? - Inserm - Travail en horaires atypiques. Effets sur la santé et accidents - INRS - Effets du changement d'heure sur la santé : « La balance bénéfice-risque penche clairement du côté du risque - Sud Ouest - Les vrais effets du changement d'heure sur la santé - Centre Alliance - Changement d'heure : 5 impacts sur l'économie, notre santé et nos habitudes - Neon Mag Read the full article
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letssiweulnetus · 2 years ago
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Samba Sy souligne la nécessité “d’endiguer la prolifération de la mortalité routière”
Dans le cadre de la Journée africaine de de la Prévention des risques professionnels, le ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les institutions a pris part à une rencontre sous le thème : “La sécurité et santé au travail (SST) à l’épreuve de la sécurité routière : Quelle synergie d’action entre les acteurs publics et privés ?”. L’occasion pour Samba de souligner…
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radio-rri · 2 years ago
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Ce que font les Républicains Haïtiens! "
Me Francisco RENÉ, ancien Commissaire du Gouvernement de la Juridiction de Port-au-Prince, actuel président du Parti Républicain Haïtien (PRHA) expose sommairement ce que fait le Parti dans une courte déclaration dont voici la teneur: "Chers compatriotes,
Le Parti Républicain Haïtien (PRHA) sera, si les Haïtiens lui accordent leur confiance aux prochaines élections locales, municipales, législatives et présidentielles, un parti politique qui, avec un gouvernement administré par un Président de la Justice et du redressement, parce que nous traversons une crise grave, dure et terrible qui frappe tout le monde notamment les plus modestes, les pauvres, les travailleurs et les agriculteurs, et ceux qui sont les plus exposés, auront donc la loyauté et la justice au cœur de toutes les décisions publiques. Les personnes dites privilégiées de cette nation auront été trop protégées par 'État, et donc, ce sera, la justice fiscale, la justice sociale et la justice territoriale (où tout le monde sans distinction aucune sera sanctionné pour fraude fiscale, contrebande, vol, crime financier, crime de sang, délit, etc...), ce qui aspirera les actions de ce gouvernement et de cette administration de l'État.
Ce gouvernement sera aussi un gouvernement de redressement, car Haïti a connu un taux de chômage et de violence exagéré. La compétitivité est exagérément dégradée, la corruption et la contrebande sont grandissantes. A cela, les républicains redresseront la production, l’emploi, la croissance, la sécurité et la justice, ce sera un effort très long qui appellera la mobilisation, la compétence et l’efficacité de tous les acteurs de la société et c'est pourquoi, les républicains veulent être un gouvernement de rassemblement avec un président républicain-panafricaniste du rassemblement.
Pendant trop d'années, les Haïtiens sont divisés et opposés systématiquement les uns par rapport aux autres. Donc, une administration républicaine- panafricaniste au pouvoir veut réunir et elle va considérer toute la force de la république, c’est elle que nous en avons besoin pour rétablir la confiance. La confiance, nous en avons besoin, elle est indispensable à l'action publique. La confiance à l'égard d’un président, la confiance à l' égard d'une politique, la confiance à l' égard d’une vision, d'une idée de nous-même qui permettra de repartir vers le Progrès, vers le Développement et vers la Croissance. Voilà ce que nous pensons à proposer dans les prochaines élections présidentielles. C’est le sens du changement que les républicains- panafricanistes proposent.
Chers compatriotes,
Je veux porter avec vous le rêve républicain, celui qui promet à chaque génération de vivre mieux que la précédente, fondé sur la réussite des jeunes, investi dans l'avenir, assuré la réconciliation des âges et émancipé les personnes en mobilité réduite, c'est montrer que Haïti a un destin, puis retrouver la fierté de ses valeurs et reconnaître la dignité de chacun. Et aussi écarter les tentations du repli, du rejet, de la violence et de la peur que les gouvernements du passés ont établie dans le pays.
A cela, je vous demande de retrouver la confiance en vous-même, en votre destin. Car le changement n'est pas loin, le redressement n’est pas loin. Oui, c'est maintenant!
Chères adhérentes, chers adhérents,
Au mois février prochain, notre communauté politique va s’engager à travailler sur une immense activité de recueillir des idées à travers la création de douze forums thématiques. Parce que les attentes des Haïtiens sont nombreuses, nous n’avons écarté aucun des grands sujets qui sont autant d’enjeux majeurs pour notre nation et nos concitoyens : la sécurité, la justice, l’emploi, l’éducation, la santé, l'agriculture, les personnes de troisième âge, l’egalité des territoires, la diaspora, la culture, le tourisme, l’autorité de l’Etat, la haïtianité, la cohésion nationale, l’Ethique, le progrès et technique, l’environnement, la jeunesse…
À cela, les tenues des forums thématiques seront organisées avec participation des membres adhérents, des sympathisants, des membres de la société civile, des professionnels venant de tous les horizons à titre d’intervenant. Ce large travail permettra à la communauté républicaine-panafricaniste haïtienne de recueillir plusieurs centaines de propositions qui vont servir de base pour construire la prochaine administration républicaine-panafricaniste aux prochaines élections présidentielles. Ces nombreuses réflexions seront matérialisées dans un rapport d’étape qui sera disponible à tous, un document qui constituera le socle du projet qui redonnera l’espoir au peuple haïtien plus particulièrement à la jeunesse haïtienne.
Dès aujourd’hui, notre communauté politique lance le mois des Idées afin de préparer cet important travail de fond. Ce mois des Idées s’articulera autour de deux initiatives :
– Partout en Haïti, j’ai demandé aux départementaux, d’arrondissements et de communal d’organiser des réunions au sein desquelles vous pourrez débattre des premières idées formulées sur les thématiques à débattre dans des forums thématiques.
– En parallèle, et afin d’enrichir nos réflexions, nous lançons une grande consultation sur une centaine de propositions issues de nos travaux à travers un questionnaire que vous recevrez par mail. Cette consultation vous permettra de nous faire part de vos propositions et de vos avis, et ainsi d’alimenter le projet que nous bâtissons ensemble.
Ce mois des Idées est une étape importante pour notre communauté politique. En poursuivant ce travail collectif, avec l’ambition qui nous anime depuis le premier jour que nous avons institué l’école de pensée politique et économique du parti ( EPPE-PRHA). C’est à nous, les Républicains- panafricanistes, qu’il revient d’offrir aux Haïtiens, Haïtiennes des raisons d’espérer un avenir meilleur.
Je vous appelle donc à participer massivement à ce mois des Idées en vous rendant aux réunions organisées par votre coordonnateur, et en répondant à notre grande consultation.
Sachez que je mesure pleinement votre engagement fidèle !
Vous êtes l'expression du changement, Vous êtes l'expression du redressement!
Vive la République! Vive Haïti! Haiti pour christ, christ pour Haïti!
Engagez-vous, c’est maintenant!
Le changement, c’est maintenant!
Le redressement de la République, c’est maintenant!
Engageons- nous maintenant!
Ayiti pap peri!
Me Francisco RENÉ, av
Président des Républicains
Suivez-nous sur : www.partirepublicainhaitien.com
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jogallice · 2 years ago
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NUSAB ? Encore un affreux acronyme mais que peut-il bien vouloir dire ? Nations Unies Simulation Annecy Berthollet ! Comment ? Vous ne connaissez pas ?!? C’est pourtant la 9e édition.
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Comme indiqué dans le nom, c’est à Annecy et précisément au lycée Berthollet mais cinq lycées annéciens (Baudelaire, Berthollet, Fauré, Lachenal et Saint-Michel) sont concernés par cet évènement éducatif.
  Quand ? En ce moment même, du jeudi 6 au vendredi 07/04/23. 240 élèves sont accueillis à cette simulation d’une conférence de l’Organisation des Nations Unies (ONU pour celles et ceux qui aiment les acronymes) qui permet aux élèves volontaires de découvrir, dans un cadre réaliste (qu’est-ce qu’un cadre réaliste), le milieu diplomatique (ah, la diplomatie, un sujet hautement à la mode depuis l’an dernier) en se mettant dans la peau de ses multiples acteurs (là, ça devient plus qu’intéressant). Et nous arrivons aux discussions qui tournent autour du thème « Accélérer l’agenda des ODD 2030, à mi-parcours ». Les ODD ? Cochonnerie d’acronyme : Obédience De Désinformation, Objurgation De Dissuasion, Obligation De Disserter, Office De Distribution, Ordre De Diffusion, Organe De Diffusion ? Mais non, vous n’y êtes pas du tout, la réponse est tout simple et tellement évidente : Objectifs de Développement Durable.
  Et pour cela, chaque établissement, et ce depuis le début de l’année, s’est organisé pour atteindre l’objectif. Tenez-vous bien, chaque élève a pris la décision de se fondre dans la peau d’un délégué, d’un ambassadeur ou d’un cadre d’une des six  commissions représentées : le Conseil de Sécurité des Nations Unies (petit problème, pas d’acronyme connu), l’Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (plus connu sous l’acronyme UNESCO), ONU Femmes (l’Organisation des Nations Unies en marque ombrelle), le Programme des Nations Unies pour le Développement (le PNUD quoi), le Programme des Nations unies pour l'Environnement (le PNUE bien évidemment), l’Organisation Mondiale de la Santé (l’OMS bien sûr) et même du secrétaire ou du vice-secrétaire général, d’un huissier, d’un journaliste (c’est ce que nous aurions choisi mais nous ne sommes pas forcément particulièrement objectifs sur ce point précis) venu pour couvrir l’évènement ou encore d’un groupe d’influence. 
  Cette année, différentes thématiques sont traitées par les commissions. Elles concernent 13 des 17 Objectifs de Développement Durable. Ces derniers sont des engagements pris par 193 dirigeants de la planète afin de répondre à trois grands objectifs :
  éradiquer la pauvreté sous toutes ses formes dans tous les pays,
protéger la planète et
garantir la prospérité pour tous.
  Les ODD englobent une grande variété de sujets parmi lesquels on peut compter sur l’objectif « faim zéro », le renforcement des droits des femmes et des filles, la protection des écosystèmes marins et terrestres, l’éradication de la pauvreté , et bien d’autres.
  Ces deux journées permettent de plonger les élèves dans une bulle rythmée par différentes activités dont les discours d’ouverture, l’intervention d’Heidi Sevestre, glaciologue au groupe de travail du Conseil de l'Arctique, les réunions des délégations, ainsi que pour les délégués la défense des résolution écrites au cours de l’année et présentées. Pour rapporter les évènements, la quinzaine d’élèves journalistes était sur le pont hier pour publier aujourd’hui un journal de 8 pages relatant les évènements. Au niveau des réseaux sociaux, un compte Instagram est aussi alimenté en photos et en contenus. Une trentaine d’huissiers sont chargés de la logistique et de la communication entre les délégués.
  Deux journées riches pour les élèves qui sans aucune contestation possible peuvent leur offrir la possibilité de découvrir un nouveau milieu, de nouveaux milieux afin de leur permettre d’affiner leurs projets d’orientation et qui sait, de faire naître des vocations, le tout en nourrissant une réflexion  à l’échelle internationale sur les ODD (Objectifs De Découvrir mais non, c’est pour voir si vous suiviez), Objectifs de Développement Durable car c’est de cela et uniquement de cela qu’il s’agit 8 ans après la prise d’engagement d’une grande partie de la communauté internationale en 2015. 
  Alors, l’actualité d’Annecy, ce n’est pas que le lac, les montagnes et la vieille ville et ça vous en bouche un coin ? On comprend et tout comme vous, nous sommes impressionnés par l’implication de ces cinq lycées d’Annecy, des professeurs, de toutes celles et tous ceux qui ont permis l’organisation et la réussite de cette neuvième édition du NUSAB et comme l’année prochaine, c’est donc la dixième, il va y avoir obligatoirement un anniversaire et donc un nouvel ODD…
  Dernière chose, la plus importante finalement, un grand bravo aux élèves qui ont participé à cet évènement en espérant qu’ils ont pris beaucoup de plaisir à l’organiser, à y participer, à le vivre.
JamesO's insight:
Via l’agence JamesO Média❗️N.D.L.R. : article de presse publié par JamesO.InfO le vendredi 07/04/23.
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toutmontbeliard-com · 2 years ago
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Les Doubiens invités, par sondage, à se prononcer sur la stratégie départementale de sécurité routière
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Dans le Doubs, le nombre de blessés sur les routes en 2022 est en hausse de plus de 36% par rapport à l’année 2019 (dernière année sans aucune restriction de déplacement). Les blessés hospitalisés sont quant à eux en hausse de plus de 15% (chiffres encore non consolidés). La vigilance doit donc, encore et toujours, être de mise. La sécurité routière étant l’affaire de tous, elle repose sur l’implication de toute la communauté engagée en faveur de la lutte contre l’insécurité routière, et particulièrement des acteurs locaux. Afin de leur permettre de disposer d’un outil de référence commun adapté à la réalité de chaque territoire, la stratégie d’action en faveur de la sécurité routière est définie, pour une durée de 5 ans, dans le document général d’orientations (DGO) (infos). Le nouveau DGO 2023 – 2027 est actuellement en cours d’élaboration. Une journée de remue-méninges réunissant notamment les associations de sécurité routière, les forces de l’ordre, les, l’Éducation Nationale, les gestionnaires routiers, la Caisse d’assurance retraite et de la santé au travail de Bourgogne-Franche-Comté, le Service Départemental d’Incendie et de Secours et des bénévoles de la Sécurité Routière s’est ainsi tenue le 9 décembre 2022. Ses échanges fructueux ont permis de faire émerger les dix orientations d’actions qui sont soumises au vote des habitants du Doubs, premiers concernés, jusqu’au 26 février 2023 inclus. Ils choisissent donc la ou les propositions qui leur semblent intéressantes et plusieurs propositions peuvent être cochées (elles ne peuvent pas être priorisées). Il s’agit de : - sensibiliser toute l’année les motards au port des équipements - prévenir les jeunes sur les risques de l’alcool et des stupéfiants - distracteurs : sensibiliser par la mise en situation "pratique" - vélos – trottinettes : sensibiliser sur équipements de visibilité - mobiliser les branches professionnelles pour communiquer en particulier sur les risques routiers professionnels - motos – cyclos : communiquer auprès des usagers via les nouveaux outils numériques - communiquer sur les effets indésirables de certains médicaments sur la conduite - sensibiliser les conducteurs sur les alternatives au téléphone au volant - se mettre dans la peau d’un autre usager (« vis ma vie » – cohabiter) - sensibiliser les métiers à conduite d’urgence. Les résultats du vote permettront d’alimenter les réflexions sur la stratégie départementale de sécurité routière et seront ensuite détaillés dans le document final : elles pourront permettre une priorisation des actions sur l’une ou l’autre des orientations d’actions. À noter que de très nombreuses autres orientations d’actions viendront compléter cette sélection de dix éléments puisque le document final devra traiter de l’ensemble des usages de la route, qui seront détaillés au sein des enjeux suivants : les deux-roues motorisés (motos-cyclomoteurs) ; les conduites à risques (alcool, stupéfiants, vitesse et non-respect des priorités, distracteurs (l’usage du téléphone notamment) ; les nouveaux modes de mobilité dite « douce » : vélos (y compris à assistance électrique), engins de déplacement personnel motorisés (trottinettes électriques, …) et marche ; le risque routier professionnel. infos > Sondage de Pôle Sécurité Routière) Read the full article
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christian-dubuis-santini · 3 years ago
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Reprendre les mots de la propagande, c’est se placer soi-même dans le terrain de l’adversaire, car ce sont nos adversaires, et ils sont déterminés, mais ce sont des tigres de papier, ceux qui "veulent notre bien" sans vouloir nous entendre sur ce que nous appelons "bien", ne veulent pas notre bien. Pour le psychanalyste, vouloir le bien de l’Autre sans vouloir questionner le "bien" chez l’autre, c’est toujours lui vouloir du mal, il y a de l’inconscient…
Céder sur les mots c’est avoir déjà cédé sur les choses.
Une thérapie génique expérimentale n’est pas un vague saint.
Extrait traduit de " La guerre de la propagande (et comment la combattre)"CJ Hopkins
July 19, 2021
...Le but de ce type de propagande n'est pas simplement de tromper ou de terroriser le public. Cela en fait partie, bien sûr, mais le plus important est de forcer les gens à regarder ces images, encore et encore, heure après heure, jour après jour, à la maison, au travail, dans la rue, à la télévision, sur Internet, partout. C'est ainsi que nous créons la "réalité". Nous représentons nos croyances et nos valeurs à nous-mêmes, et aux autres, par des images, des mots, des rituels et autres symboles et comportements sociaux. Essentiellement, nous faisons apparaître notre "réalité" comme des acteurs répétant et jouant une pièce de théâtre... plus nous y croyons tous, plus elle est convaincante.
C'est aussi pourquoi les masques obligatoires ont été essentiels au déploiement de l'idéologie de la nouvelle normalité. Forcer les masses à porter des masques d'apparence médicale en public était un coup de maître de propagande. En termes simples, si vous pouvez forcer les gens à s'habiller comme s'ils allaient travailler dans le service des maladies infectieuses d'un hôpital tous les jours pendant 17 mois... presto ! Vous obtenez une nouvelle "réalité" ... une nouvelle "réalité" pathologisée-totalitaire, une "réalité" paranoïaque-psychotique et sectaire dans laquelle des personnes autrefois semi-rationnelles ont été réduites à des laquais déblatérant des absurdités, qui ont peur de sortir sans la permission des "autorités" et injectent à leurs enfants des "vaccins" expérimentaux.
La puissance pure de l'image visuelle de ces masques, et le fait d'être obligé de répéter le comportement rituel de les mettre, a été presque irrésistible. Oui, je sais que vous avez résisté. Moi aussi. Mais nous sommes une minorité. Nier la puissance de ce contre quoi nous nous battons peut vous faire sentir mieux, mais cela ne nous mènera nulle part, ou, en tout cas, nulle part de bon. Le fait est que la grande majorité du public - à l'exception des gens en Suède, en Floride et dans d'autres endroits officiellement inexistants - a accompli ce rituel théâtral de manière robotique, et a harcelé ceux qui refusaient de le faire, simulant ainsi collectivement une "peste apocalyptique".
Les Nouveaux Normaux - c'est-à-dire ceux qui portent encore des masques à l'extérieur, qui hurlent à propos de "cas" sans signification, qui intimident tout le monde pour qu'il se fasse "vacciner" et qui collaborent à la ségrégation des "non vaccinés" - ne se comportent pas comme ils le font parce qu'ils sont stupides. Ils se comportent ainsi parce qu'ils vivent dans une nouvelle "réalité" qui a été créée pour eux au cours des 17 derniers mois par une campagne de propagande officielle massive, la plus vaste et la plus efficace de l'histoire de la propagande.
...//...
La grande majorité des Nouveaux Normaux obéissants ne sont pas des totalitaires fanatiques. Ils ont peur, et sont faibles, alors ils suivent les ordres, ajustant leur esprit à la nouvelle "réalité" officielle. La plupart d'entre eux ne se perçoivent pas comme des adhérents d'un système totalitaire ou comme des ségrégationnistes, bien que ce soit ce qu'ils sont. Ils se perçoivent comme des personnes "responsables" qui suivent des "directives sanitaires" sensées pour se "protéger" et protéger les autres du virus et de ses "variantes" mutantes qui se multiplient sans cesse. Ils perçoivent les "non vaccinés" comme une minorité d'extrémistes dangereux et irrationnels, adeptes de la théorie du complot, qui veulent les tuer, eux et leurs familles. Lorsque nous leur disons que nous voulons simplement retrouver nos droits constitutionnels, et ne pas être forcés à être "vaccinés", et censurés et persécutés pour avoir exprimé nos opinions, ils ne nous croient pas. Ils pensent que nous mentons. Ils nous perçoivent comme des menaces, des agresseurs, des monstres, des étrangers parmi eux, qui doivent être traités ... ce qui est exactement la façon dont les autorités veulent qu'ils nous perçoivent.
Nous devons essayer de changer cette perception, non pas en nous conformant ou en étant "polis" avec eux. Au contraire, nous devons devenir plus Non, pas violents. conflictuels. Il y a en fait une différence, bien que les "woke" la nient.
Pour commencer, nous devons appeler les choses par leur nom. Le système du "pass sanitaire" est un système de ségrégation. C'est du ségrégationnisme. Appelez-le par son nom. Ceux qui coopèrent avec lui sont des ségrégationnistes. Ils n'aident ni ne protègent personne de quoi que ce soit. Ils sont ségrégationnistes, purement et simplement. Appelez-les "ségrégationnistes". Ne les laissez pas se cacher derrière leur terminologie. Confrontez-les avec ce qu'ils sont.
Il en va de même pour le reste de la Covidlang. Les "cas", "décès" et "vaccins" du Covid doivent être mis entre guillemets. Les personnes en bonne santé ne sont pas des cas médicaux. Les "vaccins" qui ne se comportent pas comme des vaccins, qui tuent et handicapent des dizaines de milliers de personnes, dont la sécurité n'a pas été testée de manière adéquate et qui sont imposés à tout le monde sans discernement, ne peuvent pas être appelés vaccins.
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emploimaroc30 · 4 years ago
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Akdital Holding recrute Plusieurs Profils
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Akdital Holding recrute Plusieurs Profils
Akdital Holding recrute Plusieurs Profils:
-Technicien Laboratoire. -Aide Opératoire. -Technicien Salle de Cathé. -Technicien Radiologie El Jadida. -Infirmier Anesthésiste & Réanimateur. -Assistant Administratif Service Recouvrement. -Responsable Administratif et Financier.
Acteur majeur de la santé privée au Maroc, Akdital fait de l’accessibilité aux soins une priorité de sa mission au Maroc. Le groupe compte à ce jour un réseau de cinq établissements de santé multidisciplinaires et spécialisés: la clinique Jerrada Oasis (2011), la clinique Ain Borja (2018), le Centre International d’Oncologie Casablanca (2019), la clinique Longchamps (2019) et l’hôpital privé Casablanca Ain Sbaâ (2019).
Au total, Akdital regroupe aujourd’hui 550 lits (dont 100 lits de soins intensifs, 70 lits de réanimation adulte et 40 couveuses de réanimation néonatale), 29 blocs opératoires (dont un tiers de blocs de chirurgie cardiaque) et un plateau de radiologie performant (5 scanners, 4 salles de cathétérisme cardiaque, 3 IRM). Il représente plus de 2 000 emplois (dont 1 200 directs).
Le groupe AKDITAL a pour mission de développer un réseau d’établissements de santé permettant d’offrir des soins de haut niveau et une prise en charge globale aux standards internationaux
Le groupe Akdital se fixe 3 principaux objectifs:
L’excellence dans la prise en charge du patient
La prise en charge complète du patient
Le développement du secteur de la santé privé au niveau national et international.
Vision du groupe:
La vision du Groupe AKDITAL est de faire bénéficier les patients des plus hauts standards de sécurité et de qualité, et d’offrir à son personnel et ses professionnels les opportunités et le cadre adéquat à leur épanouissement. L’ambition est de faire du groupe AKDITAL un leader de la santé et une référence de la médecine au Maroc à même de favoriser le développement du secteur dans son ensemble.
Ce plan est axé autour de 5 axes:
Le développement de nouvelles capacités (Objectif de 800 lits avec une priorité sur Casablanca, Tanger et El Jadida)
La formation du personnel
La certification
Le déploiement d’outils de gestion
La régionalisation
Technicien Laboratoire
Akdital Holding recrute un Technicien Laboratoire.
Missions:
Procéder aux examens laboratoires en se basant sur les prescriptions médicales 
Préparer les instruments et les produits à utiliser
Transmettre les résultats au biologiste responsable
Effectuer des prélèvements tels que des prises de sang, recueil d’urine ou échantillons de tissus 
Réaliser des tests sur des échantillons pour détecter des anomalies ou maladies probables, en utilisant un microscope ou un appareil d’analyse automatique 
Analyser les résultats des tests et expériences, en utilisant un appareillage mécanique ou électronique 
Enregistrer les résultats des analyses
Régler et étalonner l’équipement du laboratoire
Maintenir et nettoyer l’équipement
Analyser et enregistrer les données utiles pour établir des rapports en s’appuyant sur des tableaux, graphiques ou commentaires
Consulter d’autres professionnels de la médecine, tels que les spécialistes de maladies pathologiques, pour déterminer son diagnostic final
Mener des tests sanguins préalables à des transfusions ou à un comptage cellulaire
Veiller sur le respect des règles d’hygiène et de sécurité
Préparer l’équipement et le matériel à l’exécution des expériences
Effectuer des analyses qualitatives et quantitatives des échantillons de matériel
Recueillir les données, documenter les analyses, rédiger un rapport
Présenter les résultats aux responsables du laboratoire
Entretenir, et stériliser les instruments du laboratoire
Suivre les protocoles rigoureux de contrôle et de sécurité
Gérer les stocks et commander le matériel nécessaire au fonctionnement du laboratoire
Gérer les déchets de laboratoire selon les normes en vigueur
Interpréter et vérifier la mise en conformité des résultats
Rédiger les comptes rendus d’analyses
Proposer des solutions en cas d’anomalies
Participer au développement de nouvelles méthodes d’analyses.
Profil recherché:
Bac+3 / Bac+5 en biologie, biochimie
Expérience de 3 ans dans une clinique
Postulez ici
Aide Opératoire
Akdital Holding recrute un Aide Opératoire.
Missions:
Vérifier le matériel utilisé (instrument; moteur chirurgicale; implants);
Veiller sur l’installation du patient sur la table d’opération en assurant son confort et sa sécurité;
 Préparer et manipuler les équipements médicaux en lien avec les interventions;
Veiller sur le badigeonnage antiseptique;
Préparer les instruments à donner pendant l’intervention chirurgicale;
Contribuer au bon fonctionnement de l’intervention en anticipant les besoins et en respectant les procédures d’hygiène et d’asepsie;
Assurer la remise en service de la salle d’opération en appliquant les procédures d’asepsie et d’hygiène en vigueur;
Organiser le transfert des « pièces opératoires ».
Profil recherché:
Diplôme d’infirmier polyvalent
3 ans d’expérience
Postulez ici
Technicien Salle de Cathé
Akdital Holding recrute un Technicien Salle de Cathé.
Missions:
S’assurer de la préparation de la Salle Cathé;
Préparer le matériel nécessaire avant la réalisation de l’acte;
Accueillir et préparer le patient;
Faire le lancement de la pharmacie selon le besoin identifié;
Participer aux actes médicaux (Caro; Dilatation).
Profil recherché:
Diplôme d’infirmier polyvalent
Expérience au minimum de 3 ans dans un milieu similaire
Postulez ici
Technicien Radiologie El Jadida
Akdital Holding recrute un Technicien Radiologie El Jadida.
Missions:
Effectuer des examens d’imagerie diagnostique;
Préparer et installer les patients pour la réalisation des examens radiologiques;
Préparer et mettre en place les machines de radiologie;
Suivre les procédures afin d’obtenir des images et radiographies;
Évaluer la netteté des images obtenues;
Archiver les images dans le dossier médical du patient;
Suivre les normes de radioprotection afin d’assurer sa propre sécurité et celle du patient;
Effectuer tous types de Radio (IRM; TDM; Thorax; Mammographie).
Profil recherché:
Diplôme Technicien Spécialisé en Radiologie
Connaissance des procédures et techniques d’imagerie diagnostique
Compétences dans l’utilisation des instruments de radiologie et mammographie avancés
Connaissance des procédures médicales et des normes de radioprotection
Connaissance des fonctions du RIS, le système d’information radiologique
Postulez ici
Infirmier Anesthésiste & Réanimateur
Akdital Holding recrute un Infirmier Anesthésiste & Réanimateur.
Missions:
Saisir toutes les informations pertinentes sur la feuille de suivi du patient;
Collaborer avec le Médecin Réanimateur;
S’assurer du CPA du patient;
Vérifier le diagnostic du patient;
Préparer et contrôler le matériel d’anesthésie;
Assurer la gestion du stock du chariot anesthésie;
Vérifier quotidiennement l’état de fonctionnement de la stérilisation du matériel (circuit; respirateur; monitorage)
Gérer les médicaments utilisés en anesthésie;
Assurer la surveillance de l’approvisionnement en produits sanguins au niveau du plateau technique concerné: vérification de la délivrance, de la conservation et de la compatibilité, participation à la traçabilité des produits sanguins et aux techniques d’économie de sang;
Mettre en œuvre le protocole d’anesthésie;
Surveiller le bon déroulement de l’anesthésie;
 Collaborer au retour du patient vers la salle de soins post interventionnelle;
Surveiller le patient pendant quelques heures dans la salle de surveillance post-interventionnelle et accompagne le réveil;
Anticiper dans les cas de complications liées à l’intervention ou à l’anesthésie.
Profil recherché:
Diplôme infirmier anesthésiste et réanimation; 
Connaissance de l’environnement chirurgical;
Expertise dans les domaines de l’anesthésie
Conscience professionnelle;
Preuve de réactivité dans les situations les plus urgentes;
Résistance à la fatigue et au stress;
Travail en équipe.
Postulez ici
Assistant Administratif Service Recouvrement
Akdital Holding recrute un Assistant Administratif H/F – Service Recouvrement.
Missions:
Gérer les flux administratifs: les correspondances avec les cliniques du groupe et les organismes;
Actualiser le statut du compte de chaque clinique et la base de données régulièrement;
Gérer les appels téléphoniques et les e-mails;
Assurer la planification des réunions du manager.
Profil recherché:
De formation Bac+2 en Commerce International avec des stages significatifs dans la gestion administrative.    
Postulez ici
Responsable Administratif et Financier
Missions du poste:
Mettre en place les techniques financières nécessaires au développement et à la protection de la Clinique
Préparer les budgets et leurs suivis
Analyser les écarts, préconiser des solutions
Veiller au respect des procédures d’exécution des dépenses
Superviser la tenue de la comptabilité générale et analytique
Assurer des arrêtés comptables périodiques
Production des reportings financiers
Veiller à l’établissement des déclarations fiscales
Informer et conseiller la Direction en matière de contraintes fiscales et comptables
Gérer les contrats divers et conventions pour garantir leur respect dans le cadre législatif et/ou réglementaire
Gérer la trésorerie et les relations avec les banques
Superviser les différents services fonctionnels: comptabilité, trésorerie, juridique.
Profil recherché:
De formation Bac+3 et plus dans la comptabilité, finance avec une expérience de plus de 5 ans dans un environnement similaire de préférence.
Maîtrise Sage est souhaitable.
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helshades · 5 years ago
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Déclaré en état de mort clinique après la mobilisation des « gilets jaunes », le mouvement syndical a retrouvé quelques forces dans la lutte pour la défense des retraites. Toutefois, face à un gouvernement qui accélère le cours des réformes néolibérales, le rapport de forces nécessaire pour le faire reculer doit être porté à un niveau très haut — et peut-être même hors de portée dans les conditions actuelles. La grève générale reste présente dans bien des représentations militantes, mais elle semble inaccessible, alors que bloquer l’activité économique demeure le moyen le plus décisif de peser sur le patronat, et donc sur le gouvernement.
Au cours des vingt-cinq dernières années – en 1995, en 2003, puis en 2010 –, de grandes mobilisations, scandées par une succession d’impressionnantes manifestations, ont eu lieu pour la sauvegarde des retraites. En novembre et décembre 1995, la participation aux cortèges était corrélée à un important mouvement de grève dans de nombreuses entreprises et administrations : la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), la Régie autonome des transports parisiens (RATP), Électricité de France (EDF), La Poste, France Télécom, Air France et Air Inter (dans une moindre mesure), les impôts, la fonction publique territoriale… Le secteur privé n’était pas absent, avec quelques journées d’arrêt de travail dans l’automobile (Renault, Peugeot, Ford) et dans l’électronique (Alcatel, Thomson), mais de façon beaucoup plus limitée.
En 2003, le mouvement s’était étendu sur cinq mois, avec neuf journées nationales interprofessionnelles, quatre manifestations rassemblant près de deux millions de personnes et une grève de presque six semaines dans l’éducation nationale. Dans ce secteur, le rejet du mouvement de décentralisation des personnels administratifs, techniques, ouvriers, sociaux et de santé (Atoss) s’ajoutait à celui d’une réforme des retraites qui alignait en partie le régime des fonctionnaires sur le privé.
L’ampleur des manifestations sur l’ensemble du territoire, y compris dans de petites localités, constitue le trait marquant de cette période. Cependant, on commence à voir des salariés qui y participent en posant des heures ou des jours de réduction du temps de travail (RTT), et donc en évitant la grève. Le gouvernement avait alors pris la précaution de laisser à l’écart la question des régimes spéciaux afin de ne pas bloquer le pays.
Il fera de même en 2010. Cette année-là, le mouvement s’étale sur six mois, avec quatorze manifestations, mais un fond gréviste extrêmement réduit, sauf à Marseille, dans les cantines. Une grève reconductible d’ampleur limitée se déroule à la SNCF. Après quelques semaines, la Confédération générale du travail (CGT) et Force ouvrière (FO) se tournent vers les raffineries dans l’espoir que quelques équipes mobilisées bloquent l’approvisionnement en essence, comme lors d’un épisode important de 1968. Les acteurs syndicaux voient alors les limites de leur stratégie. À elle seule, la puissance des manifestations ne vaut pas manifestation de la puissance.
« À elle seule, la puissance des manifestations ne vaut pas manifestation de la puissance. »
Depuis 2003, la question de la construction de grèves reconductibles et de la convergence des luttes est présente dans les débats militants. D’autant que le gouvernement a multiplié les mesures contre les blocages menés par de petits groupes : retrait immédiat de permis de conduire par la police pour les chauffeurs routiers – lesquels avaient été actifs en 1995 – lorsqu’ils cherchent à bloquer la circulation ; recours à la réquisition dans les raffineries et, depuis 2010, constitution préalable de stocks. Cette politique de containment s’est étendue au droit de manifester, avec des pressions considérables lors du mouvement contre la loi travail en 2016, et surtout la répression des « gilets jaunes » et des manifestations de cet hiver. Une stratégie de la tension a été adoptée dans le maintien de l’ordre, par l’utilisation disproportionnée de grenades et de gaz lacrymogènes surpuissants et par le « nassage » des manifestants.
Dans ce contexte, les directions syndicales ont poussé leurs équipes militantes à construire des mouvements de grève reconductibles dans divers secteurs, sans parvenir à y entraîner de façon décisive les salariés du privé.
La faiblesse des implantations syndicales en est la première cause : en effet, quand l’enjeu est la mobilisation, et non plus la seule participation aux organismes officiels de l’entreprise, la capacité d’action passe d’abord par la présence de syndiqués au sein du salariat, et par l’existence de collectifs, lieux de discussion et d’émulation. Si 37,6 % des établissements du secteur privé disposaient d’au moins un délégué syndical en 2005, ce chiffre était passé à 30,6 % en 2017 (1). Même là où la couverture syndicale est assurée, il s’agit le plus souvent de petits collectifs aptes à mener la négociation annuelle obligatoire, mais rarement à même d’aller au-delà de l’information des salariés.
Les adhérents se trouvent très majoritairement dans de grands établissements, et ceux qui s’investissent sont très vite aspirés par l’activité de représentation dans les instances. Selon une étude de la direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) consacrée aux 11 % de salariés syndiqués en France, moins d’un tiers d’entre eux participent régulièrement aux activités de leur organisation (2). Le plus souvent, les équipes militantes se résument au noyau dur des élus et des mandatés, avec très peu de temps disponible pour mener un travail de sensibilisation et de discussion avec les autres salariés.
Cette situation s’est encore aggravée avec les ordonnances Macron de 2017, qui ont supprimé les anciens comités d’entreprise, les délégués du personnel et les comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) pour les fondre dans une instance unique, les comités sociaux et économiques (CSE). Les équipes militantes ont été accaparées par de longues négociations pour en définir le périmètre et le fonctionnement ; elles en sont sorties exsangues. D’autant que ces ordonnances ont entraîné une diminution du nombre des élus et du temps de représentation des travailleurs (jusqu’à 30 % ou 40 % de moins dans la plupart des entreprises).
Dans les plus petites structures, une part croissante des adhérents sont des « isolés », seuls syndiqués de leur entreprise. C’est le cas pour ceux de la CGT, notamment, en particulier dans le commerce et les services, où des luttes localisées existent, mais où l’absence de communauté militante rend difficile une participation à une action longue. La décision de faire grève devient plus difficile à prendre lorsqu’elle est strictement individuelle et qu’elle peut se traduire, au mieux, par une participation en pointillé.
Cet isolement pourrait être compensé par le rôle actif d’organisations de proximité, telles les unions locales. Ces structures interprofessionnelles se sont affaiblies ; lorsqu’elles demeurent actives, elles n’ont souvent qu’une vie limitée, car elles reposent sur l’implication de quelques retraités.
De nouvelles initiatives voient le jour. À Malakoff, en région parisienne, l’union locale CGT a créé un syndicat multientreprises pour organiser les isolés, leur fournir un cadre de débat et de décision commun, permettre un développement de la syndicalisation et donner de l’énergie à ces adhérents dispersés. Mais de tels cas sont encore très rares.
Au cours des dernières années, des implantations ont été créées dans des secteurs peu habitués aux luttes sociales, comme celui de l’aide à domicile, des établissements d’hébergement pour les personnes âgées dépendantes (Ehpad) ou encore dans la grande distribution. Mais, dans ces secteurs, les salaires sont très bas, et la répression est forte. Se mobiliser dans la durée, à travers une grève reconductible, demeure une pratique exceptionnelle.
Simultanément, dans les anciens bastions syndicaux – l’industrie ou les fonctions publiques –, le développement de la sous-traitance a conduit à une externalisation des emplois ouvriers vers de petites entreprises dépourvues de présence syndicale. Quant aux entreprises plus grandes, elles connaissent des réorganisations permanentes qui conduisent à l’éclatement des collectifs de travail, avec un fort recours à des salariés mis à disposition, en intérim ou en contrat précaire. Ainsi, à EDF, des restructurations ont contribué à affaiblir les solidarités de corps ou de métier. Et dans l’industrie automobile, à quoi bon faire grève si les lignes de production, qui emploient en permanence entre 30 % et 50 % d’intérimaires, voire davantage, ne s’arrêtent pas ?
Surtout, les syndicats n’ont plus la puissance suffisante pour entraver le fonctionnement du cœur du capitalisme français, celui des sociétés du CAC 40, largement internationalisées, et dont le rapport au territoire national et à ses conflits s’est largement distendu. Renault a délocalisé ses lignes de production en Espagne, en Turquie, en Slovénie ou au Maroc : les grèves en France affectent de moins en moins ses produits-phares. De même, en cas d’arrêt de la production sidérurgique en France, M. Lakshmi Mittal s’empresserait de redistribuer ses commandes au sein des autres usines – en Europe ou au-delà – du gigantesque groupe ArcelorMittal.
Une implantation solide demeure dans les transports. D’ailleurs, le gouvernement a eu l’habileté de céder très vite sur les revendications des navigants – qui, à Air France, en 2018, ont montré leur capacité à mener une grève longue. Au passage, les déplacements des élites auront été moins affectés par les grèves que ceux des classes moyennes et populaires…
Mais les freins à l’action longue résultent aussi de facteurs plus généraux. Les formes d’individualisation et d’évaluation du travail, la gestion par le stress et la dégradation des conditions de travail conduisent un grand nombre de salariés à redouter les effets de la grève, celle-ci impliquant de laisser des tâches s’accumuler ou d’aggraver les contraintes pesant déjà sur les collègues. Cette pression s’exerce encore plus fortement sur ceux qui produisent des services pour autrui (éducation, santé, aide à la personne) (3). De plus, en contraignant une partie des cadres à prendre en charge le travail des grévistes — comme à la RATP ou à la SNCF, où certains ont appris à conduire des trains —, ou en ayant recours à des intérimaires, les directions utilisent des procédés classiques de contournement qui nient le droit de grève et ostracisent ceux qui s’en saisissent.
Enfin, la faiblesse des « restes à vivre » dans la comptabilité des ménages a été mise au jour avec les « gilets jaunes ». Elle affecte une grande partie des travailleurs, y compris ceux qui ne sont pas au bas de l’échelle. L’endettement et le surendettement des familles sont devenus des réalités communes dans le monde du travail : selon la Banque de France, en 2018, si 25,7 % des surendettés étaient des chômeurs, 28,6 % étaient des actifs en contrat à durée indéterminée (CDI) (4). L’absence ou la faiblesse des collectifs syndicaux sur les lieux de travail ne permet pas de surmonter ces obstacles.
De plus, le lieu où l’on vit coïncide de moins en moins avec celui où l’on travaille. Cela contribue à affaiblir des solidarités territoriales (de la part des municipalités, des agriculteurs, des commerçants…) qui continuent à exister lors de conflits localisés contre des fermetures d’entreprise. Le succès des caisses de grève en ligne renoue avec une longue tradition de soutien aux grévistes, les réseaux sociaux remplaçant les solidarités collectives construites dans la proximité (5).
Une communauté protestataire
Malgré – ou à cause de – ces handicaps, le mouvement social de cet hiver fait preuve d’une vitalité exceptionnelle et d’une capacité à élargir le répertoire d’action traditionnel. L’animation des cortèges, les flashmobs, les « marées de meufs », les démonstrations artistiques, les banderoles ou affiches individuelles témoignent d’une créativité impressionnante, même si le phénomène n’est pas entièrement nouveau : les charivaris et les carnavals d’autrefois s’accompagnaient fréquemment de mises en scène grotesques du pouvoir des dominants.
On le voit depuis 1995 : les syndicats ne sont pas des armées en campagne qui déplacent des troupes à volonté, et les mobilisations montrent une grande part d’autonomie par rapport à leurs mots d’ordre. Le mouvement de l’hiver 2019-2020 renforce encore le trait. Des communautés semblent s’être constituées, comme par capillarité ; par exemple, les collèges et les lycées d’un même territoire, ou encore ces collectifs féministes qui ont donné tant de couleurs aux cortèges. Souvent, ce sont des syndicalistes qui ont impulsé ces formes d’auto-organisation locales, mais on ne peut pas ramener la contestation à une lutte syndicale classique. Le mouvement des « gilets jaunes » avait montré la voie de modes d’action affranchis de toute forme de représentation ; le mouvement de l’hiver suivant a revêtu lui aussi la forme d’une mobilisation autant citoyenne que syndicale.
Ces mises en mouvement n’ont certes pas débouché sur une grève générale, largement mythique (6), mais elles ont contribué au façonnement d’une communauté protestataire, par-delà les différences statutaires et les inégalités qui structurent le monde salarial : médecins hospitaliers et avocats ont fait cortège avec les égoutiers, les employés municipaux et bien d’autres, la convergence étant assurée par le rejet fédérateur du président de la République.
À ce titre, les manifestations se sont révélées autant politiques et idéologiques que syndicales. Pour autant, on est loin d’un processus de politisation de larges fractions de la population tel qu’il s’était produit en 2005 autour du référendum sur le projet de traité constitutionnel européen, lorsque des militants associatifs, syndicaux et politiques avaient réussi à percer le mur des médias et du pouvoir. Le sujet des retraites n’est pas moins politique, et, pris séparément, les syndicats ne manquaient pas de propositions alternatives. Mais ils n’ont pas réussi à les rendre audibles, à imprimer leurs idées dans l’espace public. Et la question de la pression effective sur le pouvoir ou sur l’économie reste posée.
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Sophie BÉROUD, professeuse de sociologie à l’université Lumière Lyon-II, membre du laboratoire Triangle, & Jean-Marie PERNOT, chercheur associé à l’Institut de recherches économiques et sociales (IRES) et au Centre d’histoire sociale des mondes contemporains.
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sans-anesthesie · 5 years ago
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numérique et promesse de salut face aux souffrances de la matière
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            “C’est quand le fantôme devient réel que le réel devient fantomatique. » affirme Günther Andrews suite à la démocratisation de la télévision, sur un ton trahissant son inquiétude. La crainte de voir les illusions, les ombres de la « caverne » mettre en échec le monde réel n’est pas récente, simple réalisation de l’analogie prophétique de Platon. Aujourd’hui, plus que jamais concentrée sur la santé, la sécurité physique et le bien-être matériel, la société moderne est pourtant l’héritière des religions monothéistes, qui condamnent les plaisirs de la chair au profit de la pensée. Avant même l’ère du virtuel généralisé par le numérique, l’idéal religieux dématérialisait l’homme et concrétisait l’esprit. Ce que propose le numérique apparait alors comme un prolongement de cette aspiration à la transcendance. En modifiant le monde, en le virtualisant – et donc, en laissant la place à l’image -, il offre un nouvel espoir de salut : celui d’une liberté individuelle quasi-inarrêtable. Mais pour l’atteindre, il semble exiger que l’on utilise la technologie matérielle qui permettrait satisfaction de cet idéal. 
Cette exigence d’une société numérisée marchant au rythme des uns et des zéros (dans laquelle nos données devient monnaie d’échange, car rien n’est gratuit dans le capitalisme, et les applications qui prétendent l’être font juste payer autrement) est-elle symptomatique d’une descente vers la « caverne » de Platon, ou est-elle une simple avancée (naturelle ?) dans l’évolution, l’être humain s’affranchissant des contraintes matérielles ?  Tout est fait pour que le rapport entretenu à la matière soit rendu confortable dans la société de consommation capitaliste à l’ère du numérique. Pourtant, ce même numérique dernier semble tendre à rendre la matière obsolète. C’est bien les avancées technologiques qui, malgré tout, donnent à l’Homme une nouvelle vocation prométhéenne à se dépasser par les moyens matériels.
           Quand Aldous Huxley écrit Brave New World (Le meilleur des mondes en version française), il imagine une société future « apaisée » par l’absence totale de troubles du corps, pourtant utilisé à outrance dans les pratiques sociales (sexualité banalisée dès l’enfance, presque vue comme une convention puérile, orgies…). Ce plaisir quasi-permanent serait rendu possible par l’existence d’une drogue, le soma, qui endormirait l’esprit et laisserait libre cours aux désirs de la chair. Cette œuvre intemporelle fait écho dans la société de consommation actuelle : le confort est érigé comme valeur suprême, les produits alimentaires les plus accessibles sont industriels et addictifs, et les consommateurs en sont victimes et non coupables pour la plupart.
Selon Michel Serres, auteur de Petite Poucette : la génération mutante, ce n’est ni un progrès ni une catastrophe, mais simplement la conséquence du traumatisme d’un monde qui ne veut plus connaitre la souffrance, tendance exacerbée par les brutalités du XXe Siècle. (Pourtant, y’a-t-on mis fin ?) Les enfants millenials sont beaux, exposent leur corps et jouissent des plaisirs matériels que l’uberisation semble promettre, légitimement. Pourquoi se cacher ? Nés « attendus et entourés de mille soins », ils ne parlent plus la langue des anciens, qui venaient au monde « à l’aveuglette et dans la douleur ». La matière est exposée sous des projecteurs de transparence, matière qui était jusque-là dissimulée par la bienséance et reléguée au secret. Nous sommes loin des rêves diurnes de Madame Bovary, qui ne pouvait faire confiance qu’à son imagination pour donner vie à ses fantasmes romanesques...
Peut-être que l’attention croissante accordée au matériel n’est qu’un symptôme de sa perte de valeur (valeur marchande, bénéfice au capitalisme, ou valeur morale ?).
           Le numérique, en laissant place au virtuel, « profanise » la matière au profit de l’image. La violence endémique, les mutilations et autres déformations corporelles deviennent monnaie courantes, simples assemblages de pixels répandus sur le web (sans même creuser jusqu’au darkweb, il suffit de passer un peu de temps sur twitter ou sur 4chan, où le contenu brutal, fascisant, voire illégal circule en quasi-liberté). La dématérialisation de l’horreur la rend irréelle, simple satisfaction d’un voyeurisme désinhibé par la facilité d’accès – car il a bien toujours existé, ce voyeurisme, plus ou moins refoulé par la pensée religieuse, par la bienséance qui censurait la violence des tragédies... Aux Etats-Unis, il est prouvé que l’essor des big data va de pair avec une croissance des troubles psychopathologiques chez les adolescents, explication partielle des fusillades de masse (sans parler de l’embrigadement par l’alt-right des garçons blancs hétérosexuels sur les forums de gaming, insidieuse mais bien réelle et efficace). Au Japon, le phénomène hikikomori met à l’évidence: certaines jeunes personnes subissent une dématérialisation de chaque aspect de leur vie, lorsque celle-ci est devenue trop contradictoire ou insoluble : la guerre, l’économie mais aussi la sexualité. Byung-Chul Han, dans son ouvrage intitulé Le désir : enfer de l’identique évoque cette « pornographisation du monde ». Loin de diaboliser le porno, il englobe un phénomène bien plus général, qui s’applique à toutes les sphères de société. (La pornographie est un domaine de travail comme un autre, et je rappelle que respecter les acteur-ice-s porno relève de la simple décence.) Il n’empêche que la pornographie, aujourd’hui, c’est plus d’un tiers du contenu partagé sur le net – sans condamner, le fait reste intéressant à relever. C’est par son absence d’érotisme, qui évoque le secret, que le porno apparait obscène lorsqu’on le découvre, et qu’il semble ensuite banal, anatomique. Personnellement, j’ai découvert que le porno me laisse (moi et mes connaissances) complètement indifférent.
La solitude est la photographie du monde moderne, pourtant surpeuplé. Evidemment, les gens échangent, peut-être plus qu’auparavant, mais l’absence d’empathie reste criante, particulièrement parce qu’on prétend être à l’écoute – je pense aux minorités encore et toujours muselées, aux politiques et célébrités qui veulent à tout prix sembler inclusives et bienveillantes, mais ne font pas preuve d’écoute, et sans cesse on s’offusquera : « encore ? en 2019 ? » mais je pense que le progrès n’avance (malheureusement) pas linéairement avec le temps. Cette solitude, dans n’importe quelle consommation virtuelle – déjà existante dans les romans, dont les univers reposent sur les images – prend place dans tous les rapports sociaux à présent. Nous communiquons et construisons nos fantasmes les yeux rivés sur le mur de la caverne.
            Le numérique qui cherche tant à dématérialiser n’est qu’un produit de technologie, finalement. Ce n’est qu’un concept prométhéen : feu sacré qui permet la croissance incroyable des données et des possibilités d’action de l’espèce, mais qui pourrait tout aussi bien devenir arme mortelle. Tout remède est poison selon l’usage, et l’espèce humaine, voulant s’affranchir des contraintes matérielles pour dépasser sa nature, use de ses moyens à ses risques et périls. Le numérique, en imposant le virtuel (qui a toujours existé), comme nouvel absolu, aliène simplement la matière, faisant des identités individuelles des golems animés non pas par un texte biblique mais par des algorithmes, des courbes et des histoires de profit. (We live in a society, la matrice nous contrôle, je sais.) Car derrière les nombres se retrouvent toujours l’idéologie, et cette idéologie veut nous promettre la délivrance : quoi de mieux que de ne plus dépendre d’aucune contrainte matérielle pour s’assurer de ne jamais souffrir ? Le numérique semble alors despotisme doux, prêt à nous guider d’un œil paternaliste, système de domination contre lequel même la liberté ne peut rien, puisqu’elle en serait l’aboutissement, la promesse finale. Son arme, pour robotiser les individus, se trouverait dans la dématérialisation systématique et systémique. Ce n’est pas une fatalité : l’organe obstacle à plus de démocratie, voire à un véritable « salut » de l’espèce dans son évolution peut devenir organe moteur. La matière, couplée au numérique, peut permettre à l’espèce de trouver le courage d’être autonome. C’est la promesse du transhumanisme, si on l’adopte avec idéalisme, voire utopisme. Dans la série Netflix LOVE, DEATH + ROBOTS, l’épisode « Good Hunt » (mon préféré) illustre avec justesse cette hypothétique nouvelle nécessité. Dans un pays ayant subi une modernisation forcée suite à une colonisation violente, la spiritualité et le folklore meurent à petit feu (c’est bien le résultat de l’impérialisme colonial). Le protagoniste, mécanicien, utilise la technologie, d’abord outil d’oppression, pour se donner les moyens de se défendre face aux exactions. Peut-être que le numérique, utilisé de cette façon, devient forme ultime de désobéissance civile, moteur d’une société émancipée par les possibilités de la matière. J’aimerais croire complètement en cette idée...
           Toute grande révolution industrielle apporte son lot de bouleversements, et la peur de voir le monde se dématérialiser au profit d’un règne des images existe depuis que Socrate déplore l’invention de l’écrit (pendant que ses élèves s’envoient des lettres, comme quoi les nouvelles générations se font cracher dessus par les anciennes depuis la nuit des temps). Mais si l’essor du numérique laisse penser qu’il faut tout dématérialiser, cela reste une illusion. Après tout, l’impératif relève soit de la morale soit d’une exigence religieuse. Or, le numérique n’en prend pas compte, c’est un phénomène qui vit de lui-même, sans ignorer les idéologies de ses créateurs. L’usage détermine s’il devient remède (apprentissage intuitif, sérendipité, politisation des jeunes, partage productif, safe place pour certain-e-s même) ou poison, là où le matérialisme et l’individualisme sont valeurs ultimes.
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tomub · 6 years ago
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Depuis plusieurs heures, des rumeurs circulent autour de #PPLAvia #PPLCyberhaine Rumeurs qui font état d'une restriction possible de la diffusion d'«images violentes». Celles des #ViolencesPolicieres font-elles partie du lot?
( depuis le Twitter de David Dufresne@davduf )
J'ai demandé un coup de main à @reesmarc (qui suit admirablement tout ceci pour @nextinpact) Rappel, le but de la #PPLCyberhaine est de contraindre les opérateurs à retirer des contenus haineux dans un délai de 24 heures.
Au projet de loi, le député Latombe souhaite inclure (parmi les opérateurs) les prestataires de cagnottes. Et cite un exemple précis (la cagnotte pour Christophe Dettinger) (link:http://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/amendements/2062/AN/132)
  Cet amendement est doublé d'un autre http://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/amendements/2062/AN/123
Un autre amendement, plus litigieux encore, et qui vient d'être adopté cet après midi, souhaite étendre le #PPLCyberhaine à la  «fabrication, le transport ou la diffusion d’un message à caractère violent» (sans autre précision sur le caractère).
Et c'est bien toute la question: Qu'est-ce qu'un «à caractère violent» ? Le wagon des #ViolencesPolicieres pourrait-il être rattaché la locomotive #PPLCyberhaine ? 
Déjà, Isoc_France, Internet Sans Frontières, @LDH_Fr et d'autres s'inquiètent:
https://www.renaissancenumerique.org/publications/lettre-ouverte-relative-a-la-proposition-de-loi-visant-a-lutter-contre-la-haine-sur-internet
Pour conclure (provisoirement?),  le point super complet #PPLCyberhaine par @reesmarc est à lire ici https://www.nextinpact.com/news/108020-proposition-loi-contre-haine-en-ligne-deluge-damendements-pour-generaliser-censure.htm
(Cette actualité est exceptionnellement en accès libre 24h. Pour soutenir next Impact, vous pouvez vous abonner.)
Voici la copie de l’article cité:
Proposition de loi contre la haine en ligne : déluge d'amendements pour généraliser la censure
El Pandore pasa
 Par Marc Rees le mardi 02 juillet 2019
  A l’occasion des débats en séance, plusieurs députés entendent étendre plus encore les obligations de retrait en 24 heures pesant sur les plateformes. Une extension qui ouvre une boite de Pandore avec, à chaque virage, de multiples menaces sur la liberté d’expression, de communication et d’information.
Cette proposition LREM a pour ambition d’aiguiser l’une des pierres angulaires de la responsabilité des hébergeurs. Les plateformes comme YouTube, Facebook, Twitter, Dailymotion, bref tous les sites d’une certaine importance qui abritent et rendent disponibles des contenus mis en ligne par des internautes, ont déjà l’obligation de retirer « promptement » les contenus « manifestement illicites ».
Si en 2004, étaient compris la pédopornographie ou encore les crimes contre l’humanité, des éléments dont l’illicéité était flagrante, jamais le législateur n’a défini le spectre de ces données.  Ce travail de qualification reposait sur la seule jurisprudence. De même, les tribunaux ont eu à définir l’adverbe « promptement », sanctionnant ici un retard de plusieurs semaines, validant là, un retrait en deux ou trois jours…
En novembre 2017, Emmanuel Macron pousse le sujet en avant. Il regrette l’absence de régulation de « l'accès aux jeux vidéo, aux contenus sur Internet, aux contenus pornographiques de plus en plus diffusés ». Et celui-ci d’ajouter qu’« unissant monde virtuel, stéréotypes, domination et violence, la pornographie a trouvé, grâce aux outils numériques un droit de cité dans nos écoles ».
En novembre 2018, lors de l’« appel de Paris pour la confiance et la sécurité dans le cyberespace », il prend de l’amplitude : « nos gouvernements, nos populations ne vont pas pouvoir tolérer encore longtemps les torrents de haine que déversent en ligne des auteurs protégés par un anonymat devenu problématique ». En février 2017, Édouard Philippe annonce en conséquence une future loi pour lutter contre les contenus « haineux ».
Elle sera portée par Laetitia Avia, députée LREM, sous forme de proposition de loi. Avantage ? Aucune étude d’impact ne lui sera associée, puisqu’elles ne sont réservées qu’aux projets de loi.
La proposition s’appuie sur le rapport contre la haine cosigné par cette députée LREM et présenté à Matignon en septembre 2018.  Elle préconise plusieurs actions, inspirées du droit allemand, et surtout embarque une définition des contenus manifestement illicites et du prompt retrait pour certaines infractions. 
Pour la première fois dans l’histoire de la régulation des nouvelles technologies, ce texte déposé à l'Assemblée nationale le 20 mars 2019, exige donc un retrait en 24 heures. Mieux, il dresse une liste fermée de contenus dits manifestement illicites concernés par cette obligation.
De l'extension du domaine de la lutte à la course à l'échalotte
Comme on pouvait l’anticiper, cette liste a été étendue très rapidement, dès les travaux en commission des lois. Un amendement signé justement Laetitia Avia est adopté. Entrent dans cette liste :
Les injures et provocations à     la discrimination, à la haine ou à la violence à raison de l’origine, de     l’ethnie, de la nation, de la prétendue race, de la religion, du sexe, de     l’orientation sexuelle, de l’identité de genre ou du handicap
L’apologie des crimes de     guerre, des crimes contre l’humanité, des crimes de réduction en esclavage     ou d’exploitation d’une personne réduite en esclavage, des crimes et     délits de collaboration avec l’ennemi, des crimes d’atteinte volontaire à     la vie ou à l’intégrité physique, d’agression sexuelle, de vol aggravé,     d’extorsion ou de destruction, dégradation ou détérioration volontaire     dangereuse pour les personnes
Le harcèlement sexuel
La traite des êtres humains
Le proxénétisme
La pédopornographie
La fabrication, le transport ou     la diffusion d’un message à caractère violent, incitant au terrorisme,     pornographique ou de nature à porter gravement atteinte à la dignité     humaine ou à inciter des mineurs à se livrer à des jeux les mettant     physiquement en danger ainsi que le commerce d’un tel message lorsqu’il     est susceptible d’être vu ou perçu par un mineur
La provocation au terrorisme ou     son apologie
L’atteinte à la dignité de la     personne humaine
Remarquons que la proposition de loi contre la haine en ligne déborde de son champ initial, en intégrant par exemple les images, photos et textes pornographiques, dès lors qu’ils sont accessibles aux mineurs. Un moyen de rendre nettement plus nerveuse la politique en la matière, bien au-delà de la charte antiporno actuellement sur la rampe au gouvernement. 
Et pour cause, les plateformes qui ignoreraient une notification (comprendre un signalement adressé par un utilisateur ou une association) ciblant un contenu rattaché ou rattachable à cette liste risqueront jusqu’à 1,25 million d’euros d’amende infligée par un juge.  
Mieux la proposition de loi confie aussi les clefs de la régulation des acteurs au Conseil supérieur de l’audiovisuel. Celui-ci aura un pouvoir de leur adresser des recommandations, destinées à aiguiser leur lutte contre la haine, sous menace de très lourdes sanctions en cas de violation (4 % du chiffre d'affaires mondial).
Le CSA va de facto pouvoir déporter sur Internet, l’hygiène qu’il tente d’imposer sur les TV et radios depuis sa création. La crainte d’une « télévisionnisation de l’internet » émise en 2014 par Philippe Aigrain, auteur de Sharing, se confirme sûrement. 
Bien entendu, jeter en pâture un régime jurisprudentiel pour construire une régulation dans le dur inspire bon nombre de parlementaires. En fonction des sensibilités, des convictions, des porosités avec les groupes de pression, une cohorte d’amendements a été déposée pour la séance des 3 et 4 juillet.
L'agribashing, le revenge porn, le cyberharcèlement
Tous sont destinés à étendre plus largement encore la liste des contenus à retirer en 24 heures. Une véritable boite de Pandore. Qu’on en juge, avec ce panorama. 
Amendement 131 : il veut obliger les     plateformes à retirer… l’agribashing, ces messages « stigmatisant     les activités agricoles, d’élevage ou de vente de produits issus de     l’agriculture et de l’élevage et incitant à des actes d’intrusion ou de     violence vis-à-vis des professionnels de l’agriculture, de l’élevage et de     la transformation et de la vente de produits de ces filières ».     Des députés LR dénoncent par exemple ce blog antispéciste qui a « publié     une offre de stage afin de recruter des « stagiaires en élevage industriel     » pour filmer à l'insu des éleveurs ».
Amendement 42 : « Le statut     sérologique des individus peut être l’objet de cyberhaine sur les réseaux     sociaux ». Il convient donc de contraindre les plateformes à     retirer aussi les contenus haineux et injurieux s’y rattachant dans les 24     heures.
Amendement 10 : intégrer dans la liste     noire, le cyberharcèlement soit « le fait de harceler une     personne par des propos ou comportements répétés ayant pour objet ou pour     effet une dégradation de ses conditions de vie se traduisant par une     altération de sa santé physique ou mentale ».
Amendement 11 : faire entrer le « revenge     porn » dans cette même liste, car « dans de très nombreux     cas ce sont des adolescentes qui sont victimes avec un impact destructeur     qui peut les conduire jusqu’au suicide. »
Amendement 126 : ajouter à la liste     noire le harcèlement moral, sexuel ou scolaire. « Le cas du     harcèlement scolaire est tout particulièrement éloquent : internet,     les réseaux sociaux en particulier, ne sont que le prolongement de     l’établissement scolaire et de ses périphéries où les élèves en souffrance     sont exposés aux propos et comportements déplacés de leurs camarades. »
Amendement 24 : obliger les plateformes     à retirer en une journée, les « atteintes à l’intimité de la vie     privée d’autrui ».
La haine envers l'État d'Israël
Amendement 25 : forcer le moteur Google     ou Bing, Twitter, Facebook, etc. à supprimer les appels à la haine «      notamment à l’égard de l’existence de l’État d’Israël ». Selon     le député Meyer Habib (LR), « le nouvel antisémitisme se nourrit     d’abord de détestation d’Israël, d’islamisme et de théories du     complot ». Ainsi, « cet amendement vise à introduire dans     la présente proposition de loi, la notion moderne d’antisémitisme :     l’antisionisme ».
Amendement 254 : Aurore Bergé et     d’autres députés entendent frapper « l’apologie de     l’antisionisme ». « Cet amendement vise à élargir le champ     d’application de la présente proposition de loi à l’antisionisme, soit     tout propos, quel que soit son format, visant à appeler à la négation     et/ou à la destruction de l’État d’Israël ». 
Amendements 359 et 152 :     similaires. « Face à la résurgence inédite et croissante de     l’antisémitisme en France, il est impératif de prendre des mesures     concrètes. Le présent amendement vise donc à spécifier l’interdiction de     toute incitation envers l’existence même de l’État d’Israël, forme     réinventée de l’antisémitisme visant à refuser aux juifs la qualité de     peuple. »   
Amendement 162 : les « actes     antisémites » doivent être effacés des plateformes dans le même     bref délai.
Le handicap, l'état de santé, l'origine territoriale 
Amendement 53 : ajouter à l’obligation     de retrait des discours haineux contre le handicap, celle visant l’état de     santé, la perte d’autonomie ou les caractéristiques génétiques.
Amendement 159 : en plus des contenus     « terroristes », plusieurs députés LR veulent faire entrer     « l’appel au djihad » dans le champ des contenus à retirer     en 24 heures. 
Amendement 160 : les mêmes veulent aussi     frapper les propos, photos, vidéos, etc. qui non seulement « provoquent »     à la haine, mais également l’incite. « L’incitation est le premier     pas vers la violence. »
Amendement 284 : ces députés LR veulent     tenir compte également des « provocations ». « En     effet, les nombreux contenus appelant à la discrimination foisonnent sur     les réseaux sociaux, et ne doivent pas être impunis ».
Amendement 181 : l’amendement « vise     à protéger explicitement de la haine en ligne les catégories de personnes     liées, par leur ascendance, leur lieu de vie ou leur pratique     linguistique, à un territoire de la République ». Le texte ajoute     les appels à la haine ciblant en conséquence les origines territoriales ou     culturelles. (Par exemple : les Bretons ne boivent que de l’eau.)
Amendement 208 : plusieurs LREM     entendent inscrire dans la fameuse liste  tout contenu comportant     manifestement une incitation à la haine ou une injure discriminatoire à     raison d’une « caractéristique physique ». (ex : « seuls     les Alsaciens sont beaux, alors que les autres… »)
L’apparence physique : le p'tit joufflu, le grand ridé, le mont pelé
Amendement 227 : un député MoDem     aimerait y adjoindre « l’apparence physique ». Il prend     l’exemple « de la grossophobie, soit les discriminations et stigmatisations     envers les personnes obèses ou en surpoids ».
Amendement 234 : même logique : « toute     discrimination relative à l’apparence physique » doit être retirée     en 24 heures. La grossophobie y est encore citée. Mais pas seulement.     « Rappelons le cas de Mattéo, collégien de 13 ans qui s’est     suicidé en 2013 parce qu’il était harcelé en raison de sa couleur de     cheveux ».
Amendement 329 : il intègre notamment     les messages haineux fondés sur les « opinions politiques ».     Un amendement aligné sur la future directive sur les services médias     audiovisuels, dixit la députée Jacqueline Dubois (LREM) 
Et si on ouvrait la liste à tout ? 
Amendement 40 : Aude Bono-Vandorme     (LREM) veut que la liste fermée soit finalement ouverte. « À titre     d’exemple, dans sa rédaction actuelle, la loi ne protège pas contre les     insultes à l’encontre des personnes en surpoids ou des jeunes femmes     posant en tenues légères et insultées à raison de leurs mœurs. En     conséquence, ajouter l’adverbe « notamment » rendrait la liste     non limitative et permettrait de mieux protéger les internautes ».
Les plateformes, mais aussi les cagnottes Leetchi et assimilées
La volonté d’étendre le champ de cette loi même pas encore née concerne également les acteurs.
Pour l’heure, seules les plateformes dépassant un seuil de connexion qui sera défini par décret seront impliqués. Mais à l’amendement 132, Philippe Latombe (MoDem) veut y ranger également les cagnottes et autres annuaires en ligne. « En témoigne l’ouverture d’une cagnotte Leetchi à destination du boxeur Christophe Dettinger ayant frappé violemment des policiers pendant la crise des gilets jaunes. »
Plusieurs députés LREM le rejoignent en ce qu’ils plaident pour faire entrer les « intermédiaires en financement participatif ». « Par exemple, en décembre 2018, la cagnotte Leetchi a été poursuivie par PHAROS suite à une campagne dont l’objet était le « financement d’un tueur à gages pour éliminer Emmanuel Macron », sous la qualification d’incitation à commettre un crime ». 
Interdire les retweets, dès réception d'une notification
D’autres députés LREM aimeraient que les plateformes empêchent tout simplement le partage des contenus notifiés, « dans l’attente du traitement du signalement de ce contenu ». En clair, Twitter reçoit une alerte visant tel tweet, et les fonctions de « Retweet » sont désactivées automatiquement. Durant 24 heures, le temps que les équipes de modération décèlent ou non du manifestement illicite. 
« Cet amendement ne restreint en aucune manière la liberté d’expression, assurent ces élus de la majorité, puisque le contenu reste en place et continue a être visible dans la boucle naturelle de son auteur ».
Et la liberté d'expression ?
Avec ou sans ces extensions, la liste noire aura nécessairement des effets dévastateurs sur la liberté d’expression. Par sécurité, une plateforme recevant une notification préfèrera toujours retirer un contenu même non manifestement illicite, plutôt que de risquer une lourde amende infligée par un tribunal.
Les cas de surcensure, eux, ne seront pas sanctionnés de la sorte. Plus exactement, ils ne le seront que devant le CSA et encore, seulement dans l’hypothèse de multiples manquements au devoir de coopération que la future loi veut faire naître, et après mise en demeure restée sans effet...
De la même façon, effacer à tour de bras des contenus, parfois de manière automatisée, fera craindre des faux positifs, des erreurs, des bugs tout simplement parce que la remise en contexte d’un message peut parfois échapper aux esprits les plus fins. Un tel incident n’est pas un cas d’école.
En 2018, les policiers du très sérieux office central de lutte contre la criminalité informatique ont par exemple exigé de Twitter la suppression d’un tweet accusé de faire l’« apologie d’actes de terrorisme ». De fait, ce n’était qu’un tweet humoristique (*), comme a dû leur expliquer sagement Alexandre Linden, représentant de la CNIL chargé de contrôler ces retraits administratifs.
La proposition de loi Avia entame son examen en séance demain à l’Assemblée nationale à partir de 15 heures.
   (*)https://www.nextinpact.com/news/107918-quand-policiers-confondent-tweet-humoristique-et-incitation-au-terrorisme.htm
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reseau-actu · 6 years ago
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Les promesses de colonisation de Mars, voire d'autres planètes, se multiplient. Mais cela suppose de lever de nombreux obstacles, physiologiques et psychologiques, qui conditionnent notre espèce pour habiter sur Terre. C'est ce qu'expliquent Joanne Saba, Hanady Abboud et Joséphine De Leusse, trois étudiants du master Innovation et transformation numérique de Sciences Po Paris, dans cet article rédigé dans le cadre du cycle de conférences Futurs pluriels.
Depuis le début de l’exploration spatiale au milieu du XXe siècle, la colonisation de l’espace a toujours été un point d’horizon. Dans un contexte de raréfaction des ressources, d’augmentation continue de la population et d’avancées technologiques, ce scénario apparaît souhaitable, voire probable pour certains, controversé et irréaliste pour d’autres. Elon Musk, à la tête de SpaceX, espère par exemple « aider l'humanité à établir une colonie permanente et autonome sur Mars au cours des 50 à 100 prochaines années ».
Cette initiative, portée non plus par un programme de recherche national ou international mais par un acteur privé, met en lumière l’intérêt grandissant de l’industrie pour l’espace et les ambitions de le coloniser à - relativement – courte échéance. Mais comment assurer le transport des colons ? Comment assurer l’autonomie de la colonie sur place ? De nombreuses technologies sont développées en ce sens, mais les contraintes physiologiques et psychologiques de l’homme rendent la tâche compliquée. On fait le point sur les différents défis qui restent à relever avant que l’être humain puisse mener une vie extraterrestre.
Les défis physiologiques
Le corps de l’homme est fait pour vivre dans les conditions de vie terrestre : une pesanteur de 9.8 m.s-2 (1), une pression atmosphérique de 1013 hPa(2) , un champ magnétique de 45 µT(3) en moyenne… Et la variation de la valeur de n’importe lequel de ces facteurs pourrait entraîner un dysfonctionnement de ses organes et des perturbations de son métabolisme. Plusieurs initiatives ont déjà été prises afin de mieux comprendre les effets que pourrait avoir l’environnement spatial sur notre organisme. On cite par exemple la mission « Twin study » de la Nasa, qui a surveillé pendant un an (2015-2016) deux vrais jumeaux : Mark, resté sur Terre, et Scott qui a passé plus de 300 jours dans la Station spatiale internationale. La France a, elle aussi, décidé de se prêter au jeu, en exploitant le séjour de six mois de Thomas Pesquet dans la Station spatiale internationale pour lui faire subir une batterie d’analyses et analyser les répercussions qu’ont eu son voyage sur son organisme.
La gravité n’est pas ou peu présente dans l’espace, ce qui fait que les astronautes « volent » sur toutes leurs photos. Or, à force de ne pas se tenir debout, les muscles commencent à s’atrophier : les astronautes perdent entre 20 % et 30 % de leur masse musculaire en environ 6 mois. Et une fois rentrés sur Terre, il leur faut un certain temps pour récupérer l’usage de leurs muscles. Le même effet est observé pour les os : vu qu’ils n'ont plus à soutenir le corps contre l'action de la pesanteur, ils s’affaiblissent et perdent de leur masse. Les astronautes voient leur densité osseuse baisser de 1 % par mois passé dans l’espace, alors que sur Terre, une personne âgée perd 1 à 1,5 % de masse osseuse par an. Contrairement aux muscles, les os risquent de ne pas récupérer leur densité après retour sur Terre, ce qui pourrait provoquer de l’ostéoporose. Pour lutter contre ces conséquences, les astronautes s’astreignent à une discipline draconienne : 2h de sport minimum par jour sur des machines adaptées, électrostimulation, etc.
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La salle de sport de l'ISS (source : Thomas Pesquet / ESA)
Le cœur, lui aussi, est adapté à la pesanteur terrestre et pompe le sang à une certaine pression pour irriguer les organes malgré la gravité. Dans l’espace, en microgravité, cette pression de pompe est plus forte qu’il le faut. De ce fait, le visage et le cou enflent car ils sont très irrigués ; en revanche, les jambes s’amincissent à cause d’une mauvaise circulation sanguine. Après plusieurs jours dans l’espace, le cœur s’habitue à travailler moins et commence à rétrécir. De longs voyages dans l’espace pourraient ainsi causer une rigidité artérielle et affecter la capacité du corps à contrôler sa pression sanguine. Et ce n’est pas tout : en « manque » de gravité, le cerveau humain pourrait se déplacer et même « s’entasser ».
Les effets d’un voyage dans l’espace peuvent être encore plus graves. Sur Terre, le champ magnétique sert de bouclier au corps humain contre les radiations provenant de l’espace. Ce champ magnétique est inexistant dans l’espace, exposant ainsi l’homme à toutes sortes d’ondes nocives pour la santé. Une surexposition à ce type de radiations cosmiques double les risques de cancers chez l’homme, endommage le système nerveux central ou provoque des maladies dégénératives. Contrairement aux autres conséquences que peuvent avoir un voyage dans l’espace sur le corps humain, cette augmentation du risque de maladies graves est irréversible, même après retour sur Terre.
Dernier point mais non le moindre, le « mal de l’espace » est un trouble dont peuvent souffrir les voyageurs spatiaux : tout comme le mal de mer, il s’agit de nausées et de vomissements qui se produisent suite à une perte d’équilibre. Sur Terre, l’homme possède trois capteurs qui lui permettent de savoir qu’il est en équilibre : la vue, l’oreille interne, et les muscles. Comme l’absence de gravité rend impossible le fait de se tenir debout sur deux jambes, l’oreille interne est également perturbée. L’homme se sent alors moins en équilibre, et peut souffrir des symptômes du mal de l’espace durant les premiers jours de son séjour dans l’espace, voire durant toute la durée du séjour dans certains cas.
Les défis psychologiques
Lors d’un séjour dans l’espace, les astronautes sont exposés à plusieurs problèmes psychologiques, liés à l’éloignement, à l’isolement, ainsi qu’au manque d’intimité. Cet aspect social est beaucoup moins étudié que la résistance physique mais il est essentiel pour petit groupe devant vivre en autarcie pendant une durée prolongée dans un environnement très hostile.
Au-delà de la satisfaction des besoins primaires, habiter un lieu c’est y vivre l’expérience du « chez-soi ». On est « chez soi » lorsque le lieu ne peut être celui d’autrui, on possède son propre espace lorsque l’on peut s’y retirer pour s’isoler du reste du monde, y trouver un sentiment de sécurité et de tranquillité.
Or, lors d’un voyage spatial ou sur une autre planète, nos interactions avec l’environnement diffèrent de nos habitudes terrestres. En apesanteur, on ne mange pas de la même façon, on ne bouge pas de la même façon et on ne gère même pas son hygiène de la même façon. On est en outre constamment en présence des autres membres de l’équipe et donc privé d’intimité. Comment pourrons-nous procurer aux futurs colons de l’espace ce sentiment de chez soi lorsqu’ils sont contraints à vivre en groupe dans un lieu assez restreint où l’espace personnel est presque inexistant ?
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Repas flottant et promiscuité à bord de la Station spatiale internationale, en 2017. (Crédit : ESA / NASA)
Qui plus est sur des durées de plus en plus longues : les acteurs de la conquête martienne prévoient – avec les technologies actuelles – un voyage d’une durée de 7 à 9 mois. Le voyage aller-retour, avec un séjour sur Mars probablement de plusieurs mois, le temps que les deux planètes soient de nouveau suffisamment proches l’une de l’autre pour revenir sur Terre, durerait entre un et trois ans. Elon Musk, lui, prévoit carrément des allers simples pour les premiers colons de la planète rouge – qu’il promet pour la date très optimiste de 2024.
Un véritable enjeu existe donc autour de l’habitat dans l’espace et les designers et architectes sont amenés aujourd’hui à réfléchir à des dispositifs palliant non seulement les effets négatifs d’un séjour en apesanteur mais aussi de l’isolement et du confinement.
La problématique n’est pas nouvelle. Dès 1929, le physicien britannique John Desmond Bernal imaginait un type de colonies, depuis baptisées « sphères de Bernal », consistant en une coquille creuse de 1,6 km de diamètre, remplie d’air, tournant à 1,9 tour par minute pour produire une gravité terrestre à l’équateur, et peuplée de 20 000 à 30 000 personnes. Ces travaux ont ensuite inspiré le physicien américain Gerard K. O'Neill. En 1975, il propose à la Nasa une conception semblable mais en forme de cylindre : un ou deux Tore(s) de 1,8 km de diamètre qui tourne(nt) une fois par minute, utilisant la force centrifuge pour fournir une gravité équivalente (0,9 à 1 g) à celle de la Terre au niveau de l'anneau extérieur. Sa taille lui permettrait d'héberger jusqu'à 10 000 résidents permanents.
Ces projets ont en commun de vouloir simuler des conditions et environnements semblables à la Terre. Une volonté d’avoir les mêmes ruelles, les mêmes maisons et les mêmes jardins que l’on retrouve chez soi, ou plus précisément dans les suburbs américains. Une volonté forte de recréer le « chez soi », mais à l'extérieur de la planète bleue.
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Une vue d'artiste d'une sphère de Bernal (Source : Nasa)
Aujourd’hui, les imaginaires ont fortement changé. La Nasa a mis en place un concours d’architecture en 2014 : le « Printed Habitat Challenge ». L’opération consistait à imaginer des habitations martiennes imprimées en 3D avec des matériaux locaux, permettant d’offrir un abri d’au moins quelques semaines pour quatre cosmonautes partis en voyage exploratoire. En observant le travail des 5 lauréats choisis on remarque une inflexion flagrante des imaginaires qui sont beaucoup plus aujourd’hui tourné vers du moins cher, plus efficace, plus technologique mais qui ressemble beaucoup moins à nos habitats actuels.
Les astronautes pourront-ils se sentir « chez eux » dans de tels domiciles ? Pourront-ils avoir ce lien d’intimité avec leur habitat et s’attacher à leur environnement en dehors de notre exosphère ? Si Mars est en général l’option la plus évoquée, d’autres planètes pourraient être plus adaptées, comme Titan - une lune de Saturne - qui dispose d’une atmosphère plus propice à la vie des Terriens, mais 7 ans de transport seraient nécessaires pour y parvenir.
La barrière physique et psychologique pourrait théoriquement être surpassée, mais imaginons alors les conséquences sur l’être humain : une colonne vertébrale allongée, une réduction de la masse musculaire et osseuse, un cou et une tête enflés, un rétrécissement du cœur… se transformera-t-il en « extraterrestre » après avoir quitté la planète bleue ? Assisterons-nous à une évolution de l’espèce, une nouvelle « sélection naturelle » humaine face aux conditions de vie extrêmes qu’impose la vie dans l’espace ? La réponse à ces questions devrait dépendre en partie de la problématique cruciale de l’habitat, plus que jamais posée par la conquête spatiale.
  (1) Le mètre par seconde carrée, de symbole m.s−2, est l'unité dérivée d'accélération du Système international d’unités. Cette unité mesure l'accélération d'un mobile animé d'un mouvement uniformément varié, dont la vitesse varie, en une seconde, d'un mètre par seconde. (2) Le pascal, de symbole Pa, est l'unité de pression ou de contrainte du Système international d'unités. Le pascal étant une unité relativement petite par rapport aux valeurs usuelles, on utilise souvent ses multiples, notamment l’hectopascal (hPa) : 1 hPa = 100 Pa. (3) Le tesla, de symbole T, nommé en l'honneur du physicien serbe Nikola Tesla, est l'unité de la densité du champ magnétique du Système international d'unités. Le microtesla, de symbole µT, équivaut à 10-6 T.
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Image à la une : Nasa.
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Sciences Po Source: usbeketrica.com
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