#a demain du coup :))))))
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Oui, je m'amuse bien avec les fonctionnalités de personnalisation de texte c: Hihi
Oui, je me défoules bien en balançant toute la haine que j'ai pour toi sur Tumblr 💕 En espérant que tu tombes dessus un jour c:
Anyway, il est 4am et je n'ai toujours pas réussi à m'endormir parce que ma haine génère de l'adrénaline dans tout mon corps, ce qui me garde tendu et alerte.
Si seulement je pouvais aller te foutre une raclée, ou même dix, je dormirais tellement mieux. Ce serait pour la bonne cause tu vois! uwu
Après toute ces années, tous ces efforts pour garder mon sang-froid, tous ces remords suite aux moments lors desquels ma colère explosait sous forme de violence, je croyais avoir parvenu à la contrôler.
Mais là maintenant, si je t'avais devant moi, je ne crois pas que je tiendrais plus de 5 secondes sans tenter de t'exploser le crâne contre un mur, de tirer tes jolis cheveux vers l'arrière pour mieux planter mes ongles dans tes yeux jusqu'à ce que tu hurles, d'aggriper ton cou et serrer jusqu'à ce que tu la fermes pour de bon.
Ça fait grave longtemps que je n'ai pas eu ce rush de haine dans mes veines, comme si tes mots qui résonnent encore dans mon esprit faisaient bouillir mon sang.
T'as toujours fait sortir ce qu'il y a de pire chez moi, comment ai-je pu un jour te considérer comme une amie? Comme une personne, même? Ton amour vaut que dalle. Tu ne sais même pas aimer qui que ce soit d'autre que ta petite personne.
Tu ne mérites pas de énième chance. Je te dois fuckall. Et toutes tes tentatives de "réparer" notre relation ne font que prouver à quel point t'en a rien à foutre.
Parce que si tu te préoccupais réellement de ce que je ressens à ton égard, tu aurais réalisé l'ampleur des conséquences de tes actions et tu n'oserais même pas me demander de te pardonner.
T'as toujours été trop centrée sur toi pour t'inquiéter de tes proches. T'as jamais été là à part pour foutre la merde et te donner en spectacle. Et t'as le culot de t'attendre à ce que tous tes sales coups soient pardonnés de manière inconditionnelle.
Va crever au fond d'un fossé, ce sera la chose la plus empathique que t'auras faite pour tes proches de toute ta misérable petite vie de salope.
#navré si j'ai l'air d'un fdp sans cœur#c'est la colère qui parle#c'est pas comme si elle lira ça un jour#fallait que je le sortes#faut bien que je le sorte comme ça sinon c'est sur elle que ça va tomber#sinon je vais vraiment finir par lui sauter à la gorge en vrai#et t'as pas toute l'histoire donc te permets pas de juger#j'ai fait de mal à personne hyn#c'est le genre de pensée irrationnelle que je devrais garder pour moi#et ça me submergeait si souvent quand elle était encore dans ma vie#je vais probablement effacer ce billet d'ici demain t'façon#50 minutes que j'ai pris à l'écrire damn je suis clairement pas bien ptdr#si quelqu'un a actually pris le temps de lire tous ces hashtag damn t'es motivé.e xd#also hi e-e#snake ~ 21 ans ~ enchanté#du coup bah viens me raconter ta vie si tu veux ça va me distraire de l'autre ordure#krkr
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I'm going to Give The Fuck Up
#okay i'm writing the rest in french 1) for spyld purposes because it's 1am but still#and 2) so i can pull that post out next time i'm seeing a therapist and maybe they'll take me seriously#donc je suis censée avoir fait un essai et une présentation pour demain (enfin. dans genre 8h)#et j'ai un autre exposé pour vendredi#j'ai rien commencé j'y arrive pas je peux pas#je suis au bout du bout j'arrive pas à me forcer à le faire je peux pas#c'est comme si ça faisait 4 ans que je courrais et qu'on me demandait de faire un sprint final#genre j'ai encore de l'énergie. mais bien sûr. je suis encore debout et c'est un miracle mais oui grave je vais sprinter#je vais aller en cours demain je vais dire au prof que je peux pas et que j'ai pleuré dessus plusieurs fois (ce qui est vrai)#et lui demander ce que je peux faire parce que là c'est pas possible#et on va voir!#je suis au bout de ma vie je n'en peux plus#plus le temps passe plus je me dis que ça vaudrait le coup d'abandonner et de rater mon année juste pour que ça s'arrête#ça fait des ANNÉES qu'à chaque période d'exam j'ai l'impression d'être un tout petit animal#qui s'est replié dans un coin de la pièce parce qu'un prédateur se rapproche#je suis dos au mur y a nulle part où aller et la menace se rapproche encore et encore et je peux rien faire#et je suis hors de moi tellement j'ai peur et je suis stressée#des mois et des mois que j'ai cette image de moi en toute petite souris qui gratte frénétiquement le mur derrière elle#parce que je peux pas aller devant moi. c'est là qu'y a le prédateur et je peux pas! je peux pas!!!#je peux pas fuir par là mais c'est la seule sortie et je vais pas y arriver et il faut que je parte il faut que je m'en sorte#si je reste là je vais mourir mais y a nulle part où aller et je suis pas en état de prendre une seule décision logique#je suis juste en train de paniquer et je peux rien y faire et il faut que je sois ailleurs où que ce soit mais pas ici pas ici pas ici#et toutes les fois où j'ai réussi à me mettre aux devoirs j'ai réussi à esquiver les conséquences mais pour combien de temps?#j'ai une semaine de répit. deux peut-être. et des fois ils faut que je le refasse immédiatement après et j'ai plus ce qu'il faut#si j'arrivais pas à me détacher de ça je serais paralysée toute la journée et je pleurerais au moins deux fois par jour#je mangerais pas je boirais pas je me doucherais certainement pas je parlerais à personne et je ferais absolument rien#rien qui me fait plaisir rien qu'y faut que je fasse rien rien rien. je serais figée tellement je suis stressée#du coup j'ignore et on dirait plus ou moins que ça va de l'extérieur mais je fais des crises de nerfs toutes les semaines#wow i have a ramble tag now
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mais...sur le bbc iplayer ça dit que c'est pour le 11 mais à genre 6:20pm.... pourquoi c'est déjà dispo sur le site....... il passe à la télé après que les ep sont dispo sur leur site maintenant ? heing???? on a du décalage horaire avec l'uk mais EUH QUAND MÊME MDR
#j'ai pas accès à la bbc sur ma télé vu que. j'ai pas de télé mais du coup pog si c'est déjà dispo sur l'iplayer... même si...#jcomprend pas comment ça se fait....mais merci windscribe ig yipee#jregarderais ça demain c'est 3h du mat là augh
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D'ailleurs j'ai plus d'avocats 😨
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100 Days of Productivity [Day: 85] || 100 Jours de Productivité [Jour: 85]
the beginning of may has been a struggle for me over the last few years. I lost my dad at the end of April in 2021 & my husband one year later. I find myself isolating from everyone around me & overloading my day with tasks beyond what I would usually have the energy for. especially now since I can't seem to kick the homesickness & access my sense of peace. one day, this time of year will be easier to carry. but that is not today. & that's okay i have a penny for my thoughts, but thankfully I don't need a quarter to call home [iykyk].
academic work:
-finish unit 2.0 [including spoken portion] -re-write notes -start on imperfect & future conjugations list [ask coworker if they can take a look at it when done]
freelance work:
-finish binding second book for the week [canvas fabric] -start sewing project
office work:
-fix issues with remote access to the main computer [half done...will finish tomorrow... >:[ ] [ i need to be put in the rage cage about this!!!] -set up new accounts/issue NDA's
currently listening // Middle of Nowhere by Macabre Plaza
Le début du mois de mai a été une période difficile pour moi ces dernières années. J'ai perdu mon père à la fin du mois d'avril 2021 et mon mari un an plus tard. Je me retrouve à m'isoler de tous ceux qui m'entourent et à surcharger ma journée avec des tâches qui dépassent ce pour quoi j'aurais normalement de l'énergie. surtout maintenant que je n'arrive pas à me débarrasser du mal du pays et à accéder à mon sentiment de paix. un jour, cette période de l'année sera plus facile à supporter. mais ce n'est pas aujourd'hui. et ce n'est pas grave, j'ai un penny pour mes pensées, mais heureusement je n'ai pas besoin d'une pièce pour appeler chez moi [si vous savez, vous savez…].
travail académique :
-finir l'unité 2.0 [y compris la partie orale] -réécrire les notes -commencer la liste des conjugaisons de l'imparfait et du futur [demander à un collègue s'il peut y jeter un coup d'oeil quand il aura fini].
travail en freelance :
terminer la reliure du deuxième livre de la semaine [tissu de toile] -commencer un projet de couture -commencer un projet de couture
travail de bureau :
-résoudre les problèmes d'accès à distance à l'ordinateur principal [à moitié fait…finira demain… > :[ ] [ j'ai besoin d'être mis dans la cage de rage à ce sujet !!!] -créer de nouveaux comptes/émettre des NDA's
chanson // Middle of Nowhere par Macabra Plaza
#100 days of productivity#day 85#100dop#100 jours de productivité#jour 85#100jdp#studyblr#study blog#studyspo#study motivation#study aesthetic#bookish#gradblr#langblr#language learning
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Demain sort le premier de mes résumés de la trilogie Prince Captif, du coup, comme pour quand j'ai fait Le Prince Cruel, j'ai cherché à illustrer et pour débuter j'ai fait des portraits des protagonistes pour apprendre à les dessiner ! Pas complètement convaincue mais pour un premier essai ça passe !
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7/07/2024 – Personnellement, je ne trouve que des motifs de me réjouir à l’énoncé des résultats du troisième tour des consultations populaires. Les élections européennes ont concrétisé, par et dans le système, le colère de ces dix millions de Français qui refusaient leur disparition (je ne détaillerai pas, ici et maintenant, les raffinements du supplice mortel auquel ils sont quotidiennement soumis et que, de toute façon, chacun connait). Ce coup de semonce a été confirmé par un premier tour euphorisant. Mais ce qu’il faut voir, c’est que ledit système a réagi d’abord avec véhémence, puis avec un véritable manque de discernement, produit du court-termisme très en vogue au Château depuis de nombreux mois. Ce que je retiens :
• Le Front Populaire sera défunt dans moins de quinze jours. Alliance de carpes puant la vase et de lapins myxomateux, cet équipage n’avait pour seul objectif que de préserver les pré-carrés, les chasses gardées et autres prébendes de la gauche dite institutionnelle, ou historique, ou progressiste, ou républicaine... qu’importe, ce ne sont là que libellés ronflants imaginés comme autant de certificats de moralité par les zélotes d’une presse subventionnée par l’État et les affairistes. Le Front Populaire va crever la gueule ouverte et la haine qui caractérise les rapports politiques au sein de la gauche va se raviver de plus belle. J’attends avec une impatience gourmande le nom des tenants d’un prochain gouvernement “reflétant les sensibilités différentes, mais complémentaires, exprimées par une majorité de Français dans les urnes, à l’issue du second tour des élections législatives”. Miam !
• Ceux qui imaginaient qu’un RN en majorité absolue pourrait gouverner ce pauvre pays : réveillez-vous ! Ce parti est compatible avec tout ce que l’Occident a produit de notoirement pourri depuis vingt-cinq ans. Il est pour tout ce que nous vomissons, vous et moi. Il est donc la négation de notre substance même. Sa défaite n’est regrettable que parce que son arrivée à la tête du pays aurait accéléré le processus de décomposition totale de la société française.
• La catastrophe économique pendante va probablement se déclencher quelque part entre la clôture des JO et la fin de l’année. L’insolvabilité du gouvernement de la France aura des conséquences inouïes et c’est là, sûrement, que l’extrême-gauche aura se revanche, massivement aidée par les Nouveaux Français du Sud-Orient.
• Ceux, enfin, qui voudraient concocter des phrases définitives sur le destin du pays devraient économiser leur encre ou leur salive. Ce que le bon sens exige que nous observions, c’est que les Français se sont choisi un parlement à leur hauteur. La photographie de la Chambre des Députés donne une image assez honnête et fidèle des mentalités de nos contemporains, quelque part entre le “sauve-qui-peut” et le “no pasaran”. Personnellement, j’en suis à me demander, très sincèrement, s’il reste quelque chose à sauver – et surtout, sauver pour qui ? Pour quoi ?
• Environ dix millions de Français ont exprimé assez clairement leur désir de survie. Demain, après l’accumulation de nouvelles catastrophes encore plus outrageantes, plus saignantes, toujours plus insupportables, ce nombre gonflera dans des proportions inattendues. Par pour de bonnes raisons, d’un point de vue intellectuel – mais ce n’est plus le sujet. Les rangs seront encore plus garnis et des vocations – sans doute inattendues et surprenantes – se feront jour pour guider ces énergies. C’est à partir de ce moment qu’il sera permis d’espérer, même un tout petit peu, car la force du nombre sera déterminante.
J.-M. M.
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Journal
Il y a 20 ans, tout commençait entre nous. Nous nous sommes connus sur un site de discussion, comme il y en avait beaucoup au début des années 2000. J'étais en vacances dans le sud et nous avons dialogué jusqu'à mon retour en Normandie. Mon divorce venait tout juste d'être prononcé. Nous nous sommes rencontrés au début du mois d'aout et cela a tout de suite fonctionné entre nous. Mais ce mois ci, il y avait les jeux olympiques et ta passion pour le sport est passé avant ton envie de me voir. Vexée, je t'ai dis que je préférais qu'on en reste là. Le 29 aout, tu m'as envoyé un message pour me souhaiter ma fête et le dialogue a reprit. Tu es venu me voir le 6 septembre et nous ne nous sommes plus jamais quitté. Les premiers mois ont été superbes. Nous sortions beaucoup, tu m'emmenais faire des choses que je n'avais jamais faites comme voir un concert d'artiste que je ne connaissais pas (Mes souliers sont rouges) aller à La nuit du Zapping au Zenith de Caen, ou voir des matchs de Hockey sur glace. Nous aimons les choses simples alors nous faisions des pique niques en bord de mer, avec juste du pain et du camembert. Nous allions aussi dans pas mal de restaurant découvrir la cuisine du monde. Et comme je vivais toujours sous le même toit que mon ex-mari, nous allions dormir à l'hotel régulièrement. Tu prévoyais toujours une surprise. Un soir, je suis arrivée après toi et tu avais pavé le couloir de l'hotel de pétales de roses, jusqu'à la chambre ou je devais te retrouver. Quelques mois plus tard, j'ai emménagé dans ta ville, dans la même rue. Mais comme mes 3 enfants vivaient avec moi et que toi, tu n'avais jamais eu d'enfant, nous avons préféré garder chacun notre appartement au cas où. En 2007, nous avons eu notre fils mais nous avons tout de même conserver nos appartements. La naissance de notre fils a changé beaucoup de chose dans notre couple et 3 ans plus tard, afin d'��viter la rupture, nous avons pris la décision de nous laisser la liberté de vivre d'autres choses. Nous avons vécu ainsi quelques années. En 2020, mes 3 premiers enfants étant partis de la maison et le confinement arrivant, tu es venu t'installer chez moi. Nous avons continuer à faire chambre à part. De toute façon, il y avait déjà quelques années qu'il n'y avait plus de relation sexuelles entre nous. Nous sommes des amis, des parents mais plus des amants et probablement plus des amoureux. Nous aimons la façon de vivre de l'autre, le calme, la tranquillité et l'âge venant, nous avons décidé de nous marier, pour mettre à l'abri celui de nous deux qui restera en vie le plus longtemps. Demain, je porterai ton nom. Même si nous sommes très différents dans nos gouts et nos passions, nous en avons une qui nous lie depuis près de 18 ans, notre fils ! Je sais, parce que tu me l'a prouvé, qu'en cas de coup dur, mes enfants et moi nous pouvons compter sur toi. Désormais, nous avons un petit-fils qui, même s'il est le fils de mon fils t'appelle Papi et se moque bien qu'il n'y ait pas de lien du sang entre vous. Alors oui, il me manque la tendresse, la passion, l'amour, les mots doux, les compliments, les câlins, la sensualité, le sexe, la séduction, les projets, les voyages à deux et tout ce qui se rattache au sentiment amoureux. Mais je sais à quel point les sentiments sont éphémères. On dit "Marriage plus vieux (et non pas pluvieux) mariage heureux" parce que justement, on a souvent fait une croix sur la folie de la passion que recherche encore les plus jeunes. Ce qui est important désormais, c'est la stabilité et la confiance et cela, tu me l'apporte jour après jour depuis 20 ans. Merci d'avoir pris soins de moi et de mes enfants. Merci d'être l'homme que tu es, avec tes qualités et tes défauts. Demain, ce sera OUI, pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la mort nous sépare.
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saga: Soumission & Domination 342
Février le Ski-4
Jour 5
Réveil aux aurores. Mon chasseur été tout surpris de se réveiller dans mon lit. Il me surprend en me faisant un câlin avant de sauter sous la douche. Quand je me lève, j'aperçois Marc et Hervé qui rentrent de leur escapade à l'étage du dessous. On se fait des bisous et je leur demande si c'était bien les chaudasses que m'avaient dit les deux chasseurs qui les avaient levées. Ils confirment en coeur que c'était bien le cas. Nous nous pressons au petit déjeuner. Nous sommes tous là et cela s'entend dans le restaurant. Nous sommes devant les remontées mécaniques dès leurs ouvertures et nous nous dispersons dans la montagne. Les groupes sont restés les même alors que les niveaux ont tous progressé.
Aujourd'hui nous prenons vraiment plaisir à skier. Les descentes se succèdent assez facilement et nous apprécions même les noires. Nous terminons la journée en hors-piste avec un long passage dans les sapins pour voir si nous avons retenu les astuces pour ne pas s'enfoncer dans les fourrés recouverts de neige. Ce coup-ci nous ne perdons personne. Le retour se fait dès la fermeture des remontées mécaniques. A l'hôtel, avant de monter je vois le directeur pour notre denier soir (demain). Je veux un diner qui sorte de l'ordinaire pour notre petite troupe + 2 car je sens que d'ici là nous allons avoir adopté le duo de l'étage du dessous. Douche seul, ça faisait longtemps. J'en profite et détends mes muscles sous les jets brûlants. Vers 19h nous envahissons la piscine. Evidemment nous y retrouvons nos deux voisins du dessous qui nous attendaient avec impatience. A part quelques filles qui bronzent sous les lampes UV, l'espace aquatique est à nous. Dans la partie haute de la piscine nous organisons un combat en couple (un mec juché sur les épaules d'un autre) Escorts contre Chasseurs Alpins. Le couple gagnant est quand même militaire. C'est leur lutteur en portage du lieutenant responsable qui gagne le défi. Nous nous partageons entre le sauna et le spa. Retour à l'étage pour nous changer puis diner. Le groupe de chasseur est maintenant invisible. Fondu parmi nous, ils ne pensent plus à la caserne. Ça discute entre tous comme avec de vieux amis. Ils nous apprécient car on ne fait pas de différence entre eux et nous. Ils sont sous-officiers ou simples soldats et nous sommes tous en études supérieures. A côté de cela, ils ont des compétences que nous n'avons pas. Ça équilibre et comme mes escorts sont tout sauf snobs, ça se passe nickel. Les derniers arrivés ont aussi pioché dans nos valises de quoi s'habiller plus " neutre ". Je propose une virée à la boite de nuit de l'hôtel. Pas de réaction puis tous me disent qu'ils veulent se coucher tôt pour être en pleine forme demain. Et je vais les croire peut être ! Le retour se fait en ordre dispersé selon ceux qui étaient pressés, ceux qui voulaient un café et/ou un alcool.
Je prends juste un café. Je veux moi, aussi bien profiter de la fin de soirée. Avec PH, Ernesto et Ludovic, j'ai bien envie de profiter des deux " voisins ". J'aime me faire mon avis moi-même et voir s'ils sont aussi chaudasses que ça. Ils ne sont pas contre donc on monte dans leur chambre. Plus petite que les nôtres, elle fait quand même 4m x 5. Les deux lits jumeaux sont déjà collés, les pieds attachés entre eux par les premiers " visiteurs ". Nous sommes 4 et eux 2. Ils se trouvent propulsés sur leur lit et dévêtus en 30 secondes. Je les regarde de près. Ils sont pas mal tu tout et très baisables. A leur tour, ils nous mettent à poil et se mettent aussitôt à nous pomper en alternance. Et quand je les vois se mettre, en même temps qu'ils nous sucent, des doigts dans le cul, je comprends l'adjectif " chaudasse " qui leur a été attribués. Même pas besoin de les préparer, ils sont auto-chauffés ! Comme j'enfonce mon gland dans la gorge d l'un des deux, c'est Ernesto qui se colle à l'enculage. Il se kpote et défonce la " salope " qui me pompe. Ses doigts ont dû être efficaces car c'est un direct au fond qu'il lui octroi. Je vois sous mes yeux les 24cm de mon espagnol préféré s'enfoncer en une seule et puissante percussion jusqu'à ce que son bassin colle aux fesses de mon pompeur. Ça ne s'arrête pas là. Emporté par l'élan, Ernesto le pousse en avant et mon gland défonce encore plus loin sa gorge. Je sens ses dents s'enfoncer dans mon pubis. Jamais je n'avais défoncé une gorge aussi profonde ! Trop bon !
Quand je me retire il prend une respiration et pose ses mains sur mes fesses pour m'attirer à nouveau vers lui ! Son copain à coté, avec Ludovic et PH demande qu'ils lui fassent la même chose. Excité par notre trio, ils s'y mettent, Ludovic à mettre en sourdine les gémissements que PH tire du mec en l'enculant aussi fermement qu'Ernesto. On part dans un délire grave tous les 6 ! On s'échange les différents trous et les deux mecs pendant un bon moment, les deux amis se prennent de quoi les calmer un bon moment. J'aime particulièrement la voracité avec laquelle ils accueillent nos bites dans leurs gorges affamées que dans leurs culs de velours. Même après les passages répétés d'Ernesto, ils restent serrés et confortables à la sodo. Pendant tout ce temps ils bandent dur et ne veulent pas qu'on touche à leurs sexes de peur de partir trop tôt ! Nous arrivons à les baiser plus de deux heures avant d'être rattrapé nous-même par le plaisir d'exploser sur et /ou dans eux. Quand le dernier d'entre nous expulse sa dernière goutte de sperme, ils se collent en 69 et nous les voyons chacun déglutir la production de l'autre.
Nous sommes tellement cassés qu'il nous faut 1/2 heure pour émerger de l'état de mort cérébrale qui a suivi nos éjaculations. Nous arrivons quand même à regagner notre étage non sans avoir choqué les voisins direct (les deux vieux) alors qu'ils avaient passé la tête par leur porte pour voir qui faisait autant de bruit à côté de chez eux. Il faut dire que nous n'avions pas renfilé beaucoup de vêtement pour glisser jusqu'à l'ascenseur. Et qu'une ou deux fesses devaient encore déborder des slips censément chargés de les couvrir. A notre étage, les baises sont aussi dans leurs stades terminales. En passant devant toutes les chambres, nous atteignons celle d'où proviennent encore des gémissements. Il fallait s'y attendre, on y trouve Max et Enguerrand en train de se faire démonter par deux Chasseurs. Ils ont bien choisi, ce ne sont ni les plus moches ni les plus vieux non plus. Et d'après ce que l'on peut en voir, ils ont encore les batteries bien chargées. Enguerrand me voit et me fait signe d'approcher. Il est sur le dos, les jambes relevées et écartées pour laisser la place à son enculeur d'oeuvrer. J'approche ma tête de la sienne. Il me l'attrape et me roule un gros patin. Quand il me relâche il me dit qu'il est trop content que nous les (max et lui) ayons emmenés avec nous. Des deux militaires, nous arrivent les mêmes commentaires, comme quoi s'aurait été dommage si nous les avions laissés derrière nous. Tout ça bien sûr sans cesser de limer les deux petits culs de nos benjamins !
Nous restons avec eux participants à l'apothéose finale. Entre rouler des pelles ou bouffer des tétons, nous nous répartissons les acteurs. Puis, j'ai une idée lumineuse. Pourquoi ne pas enculer les deux chasseurs Alpins histoire d'accélérer leurs montées terminales. Un clin d'oeil à Ernesto qui me comprend et, une kpote plus tard, j'encule celui d'Enguerrand alors qu'Ernesto se charge, ou plutôt charge, le chasseur de Max. Le mien s'est bien adapté à la nouvelle situation alors que celui d'Ernesto s'est montré plus... surpris, on va dire ! Bon c'est vrai que 24x6 c'est plus hard à prendre que mes 20x5. En attendant nos interventions ont précipité les choses et nos deux chasseurs tirent leurs cartouches au fond de nos amis. Eux prennent leurs pieds entre les sodos et les stimulations de PH et Ludovic respectivement sur Enguerrand et Max. Quand nous rejoignons notre suite, la grande chambre est occupée par Marc et Hervé... accompagnés de mes deux " russes ". Nous nous installons dans un autre des chambres de la suite.
Jour 6 Sur le même rythme, tout pareil !
Jour 7, dernier soir et dernière nuit ! Réveil sur les coups de 8h par nos militaires douchés et équipés. On se presse tous pour être au petit déjeuner à 8h30. Les groupes " faibles " qui le sont bien moins sont réunis, mais les deux autres groupes restent indépendants. Nos ainés ne veulent pas se faire chier à nous suivre sur notre rythme de fou et nous nous voulons rester avec Jona et François. On se fait plaisir sur toutes les noires maintenant. La godille n'a plus de secret pour nous et nous filons comme des flèches sur les pistes. Nos coaches ont content de nos progrès et c'est tant mieux puisqu'on est l'avant dernier jour !
Un dernier passage dans la forêt qui nous avait donné tant de mal la première fois, sauf pour Max qui s'y était fait son premier Chasseur Alpin. Comme sur des roulettes ! Et c'est notre dernier soir !! J'avais insisté pour que nous rentrions tous de bonne heure et c'est le cas. 16h30 tout le monde est à l'hôtel. Douches, rasages, épilations, hydratation, nous prenons soin de nous et de notre équipe de " profs ". Ils ont beau protester, au départ, ils finissent par succomber au nombre et à se faire bichonner. Nous leurs devons bien ça après tout le mal qu'ils se sont donnés à améliorer notre pratique du ski ! A presque 3 par mec, nous nous occupons de leurs bodies de fou. C'est bien pour ça que je voulais qu'on rentre tôt. Après un douchage entre nos mains, nous leurs octroyons un rafraîchissement de leurs pilosités mais dans leurs limite, pas question de les mettre en porte à faux avec leurs autres collègues. Cela ne nous empêche pas de les masser avec de l'hydratant et ils en sortent avec de vraies peaux de bébés. Un soin particulier est mis à leur choisir les vêtements les plus mode qui peuvent leur aller. Emportés par l'ambiance ils se laissent faire même le chef du détachement. Quand ils sont prêts, ils sont parfaits, au point que je leur dis que s'ils n'avaient déjà un travail, je les aurais embauchés sans problème dans ma boite d'escorts. Ils éclatent de rire avec tous mes amis. Nous descendons diner. La traversée du hall nous vaut des regards encore plus appuyés que les dernières fois. Je crois même avoir entendu plusieurs sifflets et ne provenant pas que de femmes. Nos deux invités qui nous attendaient devant la porte du salon particulier où nous allions, ont leurs mâchoires qui tombent en nous voyant, surtout nos militaires ! On les pousse à l'intérieur et nous sommes pris en charge par les serveurs. Apéritif, les bouchées sont délicieuse et légères (il n'est pas question qu'on ait plus faim après). Le diner est parfait. Les vins sont suffisamment bons pour que personne ne songe à en abuser. On prend tous un café, nous attendant à une fin de soirée plutôt chaude.
O remonte et pour cette dernière nuit nos deux invités sont autorisés à nous accompagner. Je passe sur leurs exclamations devant le luxe de l'étage et celui de voir tous les mecs se foutre à poil en 15 secondes. Comme ils sont un peu lent, ils sont aidés et se retrouvent dans le même " plus simple " appareil que les autres. Je les laisse à d'autres qui n'ont pas encore eu le plaisir de baiser leurs deux petits culs très gourmands et part à la recherche d'un bon coup avec Ludovic. On croise Jona et François en train de se payer les deux lieutenants. Je sais qu'ils avaient tenu tant que ces derniers étaient leurs " moniteurs ". Là, ils baisaient avec eux avec la fougue propre à ceux qui se sont retenus ! C'est amusant mais mes escorts en couple tendent à baiser avec d'autres mecs mais ensemble quand même. Mes deux escorts spéciaux et leurs deux lieutenants baissent côte à côte, et s'échangent de temps en temps. Je m'arrête 3 chambres plus loin. Dedans Max et Enguerrand se font défoncer par Sosthène et João. Ludovic hésite à venir avec moi, gêné par la présence de son frère. Je le pousse devant moi et il tombe sur Max qui se fait limer par João. De mon côté, je me glisse vers Enguerrand et Sosthène. Roulage de pelle à chacun. Ils ont l'air content de me voir. Enguerrand réclame ma bite. Je ne fais pas de cas pour la lui planter dans la gorge. A côté, Ludovic m'imite dans la bouche de Max.
J'ai la bonne surprise de sentir une fraicheur sur ma rondelle. Quand je tourne la tête c'est pour voir celle de Sosthène plantée entre mes deux fesses. C'est donc bien sa langue qui me lèche l'oignon. Putain comme il fait ça bien ! Je me sens m'ouvrir et sa langue progresser dans mon trou. Je n'en raidis que plus et les amygdales d'Enguerrand en profitent un max. Je suis obligé de me calmer et pour cela me retire de la bouche chaude qui enveloppait mon sexe et glisse sur son corps dans le but de me mettre en position de lui rouler une pelle. C'est presque aussi bon que d'en faire une à Ludovic. Ok, c'est aussi bon ! J'entends un déchirement d'enveloppe de kpote et mon anus se fait envahir à son tour. C'est bien sûr les 23cm " café au lait " de Sosthène qui prennent leurs marques. Je jette un oeil à nos voisins. Ludovic a vu mon changement de position. Il m'imite et je le vois glisser sur le corps de Max pour proposer sa rondelle à João. Pour éviter que mon petit beau-frère pâtisse d'un coup de froid mal placé, je m'empresse de boucher le trou laissé vacant par ma bite. Il m'aide en relevant ses jambes et son bassin.je lui mange la langue en essayant d'amortir les coups de rein de Sosthène dans mon fondement. Sa rondelle se resserre sur ma bite plus fine. Il fait ça bien et me fait bander plus encore. Tout comme les coups de gland dans ma prostate, ça participe à m'envoyer des ondes de bien être dans tous mon corps. Après quelques minutes, placé ainsi, Enguerrand se tortille sous moi pour se tourner et se mettre en levrette, un peu écrasée sur ses pattes arrières la bestiole quand même ! Il s'écarte les fesses de ses deux mains pour que je le pénètre plus profondément encore. J'aime trop son petit cul, étroit à souhait. Je ressens un contact total avec ses chairs intérieures comme avec la peau de tout son dos. Contre le miens je sens les pointes dures des tétons de Sosthène s'écraser sur mes omoplates. Je ne sens bien sûr pas que ça ! Ses 5,8 de diamètre m'écartent la rondelle avec une pression impérieuse. Le préservatif est si fin que j'ai comme l'impression que nos chairs sont collées. Puis ça se mélange avec le trio d'à côté. Je ne sais comment mais je me retrouve entre Max et João dans la même position, c'est-à-dire en jambon du sandwich. Quand j'en prends conscience je me demande où est parti Ludovic. Je mate à droite et c'est là que je le vois dans ma position !!! C'est-à-dire " occupé " par Sosthène et " dans " Enguerrand qui sur le dos, lui roule un patin d'enfer. Ça me déconcentre un peu avant que mes deux amants m'envoient au 7ème ciel.
Je me dégage vite et vais retrouver mon Ludo et son frère. Ma langue rejoint les leurs et j'aime trop ça. Enguerrand se tourne un peu pour me serrer dans ses bras et me rouler une pelle tout seul. On se bat un peu de la langue avant que je me retourne et fasse de même avec Ludovic. Sans s'en apercevoir les trois autres nous ont quittés. J'ai occupé la place laissée vacante par Sosthène et c'est tous les trois en même temps que nous avons jouis comme des fous. Moi au fond de Ludovic, lui au fond d'Enguerrand et ce dernier entre leurs abdos compressés. Nous prenons une douche ensemble comme pour retarder le moment de nous séparer. Je les embrasse tous les deux les serrant fort contre moi, en premier mon amour et en second son " conard " de petit frère. Ils sont trop ces trois frères là ! Je repars à la chasse aux chasseurs lol ! Je tombe sur le mien (celui qui m'avait coaché toute la semaine) qui faisait de même. Je l'attrape par le cou, lui roule un patin et lui demande s'il est d'accord. Il ne demande pas pourquoi et me pousse dans une chambre. On tombe en réel sur Ernesto en train d'enfiler un de ses collègues (à mon chasseur). On est surpris tous les deux car c'était celui qui m'avait fait part de ses craintes quelques jours plus tôt de se faire emmancher. On s'installe à coté pour baiser nous aussi. Et c'est avec eux trois que j'ai fini la nuit. Quand je me suis réveillé j'étais encore emmêlé avec eux. A poil j'ai fait le tour de l'étage. Max et Enguerrand avaient retrouvé leurs deux " chasseurs " préférés et dormaient aux creux de leurs bras. Marc couvrait de son corps un des deux invités comme Hervé serrait l'autre dans ses propres bras. Ludo et PH dormaient encore dans les bras l'un de l'autre alors qu'Ernesto dormait entre les deux lieutenants.
Jour 8 Pas de ski ce dernier matin ! Nous passons notre matinée entre douches, petit déjeuner et valises. Les militaires se préparent de leur côté. Ils repartent tous lestés de la tenue qu'ils portaient hier soir. Les adieux se font à l'étage. On se serre dans les bras, on échange les dernières pelles et alors qu'ils vont prendre l'ascenseur, je leur donne à chacun une enveloppe avec interdiction de l'ouvrir avant le soir et seuls ou entre eux. Dans chaque enveloppe se trouve une rétribution substantielle, en liquide, pour récompenser les efforts qu'ils avaient déployés, le temps passé avec nous et mes coordonnées pour le cas où ils aimeraient passer des vacances au bord de la mer pour les changer. Pour le cas même ou certains voudraient se revoir.
Jardinier
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TW — dépendance, drogue inventée, médicamentation, violence médicale, oppressions.
La pilule rouge.
Ou l'Érythryle ; pilule nocturne, ne sort qu'aux heures crépusculaires. Rouge de couleur, se trimballe sur toutes les langues comme un mauvais ragot. On la trouve dans les lieux glauques des catacombes et les soirées qui iront d'after en after. Elle te mâche les synapses, les ports picorés d'un bruit blanc nauséeux. L'effet te hit façon camion propulsé sur l'A1. Même pas vingt minutes plus tard, c'est le feu d'artifice. L'Érythryle pulvérise les effets de la Kataline ; elle libère l'altération, en double la puissance. C'est la façon la plus connue de passer au-dessus du traitement sans se faire choper. Ça permet, pour huit heures par prise, de vivre notre "vraie vie". Le truc, c'est que ça a tendance à la raccourcir aussi. Jongler entre les deux traitements, ça en perd certain. Le hangover percute tout aussi fort ; la chute vaut le voyage askip'. Celles et ceux qui la prennent ont tendance à remettre ça. C'est pas vraiment la pilule qui rend nerveux·se, c'est la sensation de liberté qui en découle. Ça vire le mot cage avant thoracique, alors on prend une bouffée d'air à poumons bien ouverts. C'est difficile de se renfermer, après, dans son étroite boîte de silence grise.
La pilule bleue.
Ou Kataline ; minuscule démon rond, bleu délavé. À une époque, ils se croyaient joviales à graver un papillon dessus. Maintenant, c'est tout plat, c'est encore plus déprimant. On se lève, le soir, à 3h du mat : « fais chier, j'ai oublié mon médoc ». Une pilule au réveil, une avant d'aller dormir. La Kataline, plus fidèle que le marchand de sable. Au début, tes parents te forcent à la prendre avec de l'eau ; le bol de chocolat pour les plus fantaisistes. Puis, au fil des années, elle se marie avec tout : jus d'orange, fond de coca débullé, Leffe tiède de soirée. Une liste d'effet secondaire, t'as peur. Un vrai jeu de hasard, une issue différente pour chaque altération. Mes cornes ont arrêté de pousser, mais j'ai de violentes migraines ; parfois, je vois le monde en couleur télé qui capte pas. Ils disent qu'elle arrête l'altération. La vérité, c'est que ça la détraque, la ralentit. Le corps n'aime pas. Il se rebelle. C'est comme ça, on s'y fait.
C'est "obligatoire" pour tout·e altéré·e d'être sous Kataline. Elle est délivrée sous ordo', check up du toubib tous les ans : examen du foie, révise-tout. Elle se trouve remboursée par la sécu, enfin depuis peu. S'ils te grugent à l'arrêter, c'est l'avertissement, l'amende, puis la prison.
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Eh, j'espère que le terrier valait le coup, parce que vous avez été unanimes, ça promet ! On a déjà balancé les deux annexes principales, oép. Il reste des annexes secondaires et les PLs du forum. Oui, déjà. On parle d'ouverture du discord du projet en fin de semaine. Notre travail commence à bien se terminer, c'est en super voie. Du coup, on vous laisse le choix pour le post de demain. On en profite pour vous remercier de l'engouement sur le projet, ça nous fait super plaisir. BREF, à demain, même heure, pour la suite de nos conneries (ptdrr ça y est, ça se pense youtubeurs), Putainement votre, Maxeine & Ekkymose.
#rpg francophone#rpg forum#forumactif#rpg faceclaim#rpg fantastique#rpg city#projet rpg#projet forum
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Cette aprem j'ai peins ma fig Warhammer. Enfin commencé à peindre le bonhomme. J'avais fais le socle y a un moment et j'avais trop peur de foirer le monsieur.
Du coup, comme mon copain s'est mis à peindre ses figs, je me suis motivée aussi.
Je suis très fière.
Demain faut retourner au taff, mais mardi je le fini je pense.
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Sinon on en parle de ce moment?
Genre je suis quasiment sûre que c'est une ref au poème de Victor Hugo. Même si c'était pas voulu (et je pense que c'est voulu) ça m'a toujours immédiatement fait penser à ça:
Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends. J’irai par la forêt, j’irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
- Victor Hugo, « Demain, dès l’aube… », Les Contemplations
Et pour le coup c'est du foreshadowing de malade en soit. Pcq la seule enfant potentielle qu'Arthur trouve est déjà morte depuis longtemps. Son rêve est mort. Tout le reste du poème ressemble à son voyage en plus (la marche déterminée vers un but qui l'obnubile, Guenièvre qui ramasse des fleurs sauvages, le coucher de soleil sur la mer...). Rien que "triste, et le jour sera pour moi comme la nuit" ça ressemble beaucoup à Méléagant qui dit "rien ne sera plus triste que vous."
Et l'écran qui devient noir d'un coup, comme la nuit qui tombe, alors qu'il a pas fini de parler - ça donne pas du tout espoir, ça donne une finalité, une sentence qui s'abat. Bref c'est bien fait.
#kaamelott#arthur#victor hugo#demain dès l'aube#poésie#poésie française#arthur pendragon#kaamelott livre v#kl5
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"Le Bonheur est dans les petits riens dans ce "p'tit bonjour" dès le matin, la poignée de main le regard serein la pensée pour un Ami lointain.
Le Bonheur est dans les petits riens dans ce petit mot qui fait du bien l'aide du voisin pour un coup de main, ou pour partager un bout de pain.
Le Bonheur est dans les petits riens quand on marche ensemble vers demain, la main dans la main sur un vieux refrain, oubliant les soucis, les pépins"
Jean-Claude Gianadda
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Bonjour!
Je passe par ici pour vous parler de Memory of Souls, un visual novel qui sort demain !
Nine a fait des jeu pour Beemoov pendant des années dont le visual novel Le Secret d'Henri 1 et 2. J'avais beaucoup aimé Henri! Et y avait de l'amour 🥰🥰🥰
Nine a pris son envol et travaille sur son nouveau visual novel depuis pas mal de temps maintenant.
J'ai joué à la bêta, qui représente le premier chapitre du jeu. Il faut préciser que Nine a ses protagonistes en tête depuis de nombreuses années ! Arthur et Élise seront au centre de l'histoire qui va toucher à la fantaisie et, bien entendu, à l'amour.
Le premier chapitre pose les bases : On rencontre les personnages, on commence doucement à comprendre qui est qui.
Il faut aussi noter que Nine a énormément travaillé ses dessins; tout est super détaillé! Et le tout, en musiques.
Il y a pas mal de choix à faire dans le jeu, qui détermineront certaines scènes. Du coup, si on aime le jeu on peut facilement se prendre à refaire un chapitre pour changer des choix.
J'ai hâte de voir comment la relation d'Arthur et Élise va évoluer!
Nine stresse beaucoup car ce jeu est le fruit d'un long travail parti d'une histoire qui s'est développée en elle depuis très longtemps. Si jamais vous passez sur insta, allez lui faire coucou!
Et demain ça se passe ici:
https://www.instagram.com/nineland_officiel?igsh=MWQ1NXA1YjV6enh1Ng==
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J'ai pas dormi de la nuit. Pas trop de nouvelles de mon copain, il devait rentrer ce soir de vacances et on devait se voir demain. Mais je sais pas je sentais qu'un truc se tramait. Pour pas m'auto gâcher la surprise je fais juste une insomnie sur d'autres sujets existentiels. Ce matin je vais donc au partiel, je me fais détruire comme prévu (j'aimerais bien avoir 8 mes critères sont si bas depuis que jsuis à la fac c'est fabuleux). Je sors de l'enfer et il me bombarde d'appels. Il m'appelle souvent après chaque partiel pour avoir mon ressenti (j'apprécie ça). Et jlui dit "ouais je réponds plus tard je discute avec les meufs du groupe". Bon à un moment donné ça m'a saoulée et jsuis partie, mais genre ça a duré 30 min de discussion stérile à propos des réponses de chacune (je déteste les debrief, c'est se mettre du sel dans la plaie tout seul). Je rentre un peu saoulée et il me re appelle. Donc je décroche, il me demande si ça a été, la basique. Et il me dit "purée il fait grand soleil". Moi jlui dis "c'est bizarre il fait pas beau au 3/4 de la France". Et là je capte doucement. Du coup jlui rep "après à nice c'est vrai qu'il fait très très beau aussi". Eh il rigole. Long silence et il me dit "qu'est ce qu'il te va bien ce pantalon vert purée, ça te fait un de ces culs". Et là je capte vraiment. Jle cherche, il était derrière moi. Omg trop heureuse. Mais jvous qu'il a pas d'affaires jme dis bizarre. On rentre, la vaisselle est faite, mes habits sont pliés, un gros bouquet de fleurs, les courses sont faites, et ses affaires sont dans mon appartement. En fait, le mec a tracé paris-nice de nuit, et il a attendu que je parte en partiel pour s'installer et m'attendre. Non en vrai dinguerie. Ça m'a fait tellement plaisir. Je le vois changer et faire mieux et être capable et c'est vraiment plaisant. J'ai de la chance qu'il ait fait ça. Voilà je suis reconnaissante. Et je me pose moins de questions concernant une rupture. Mais pas juste grâce à aujourd'hui, grâce à quelques semaines où il se montre capable d'avoir une relation mature avec un autre être humain, moi en l'occurrence.
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J’ai honte!
Ce matin, dans mon lit, je crois que j’ai poussé un petit cri en me réveillant, une drôle de sensation entre les jambes, et surtout, une petite flaque sur mes cuisses et sur les draps. Ce n’est pas du pipi, c’est un peu collant. Mon zizi est encore un peu dur. J’espère que maman ne va pas voir la tâche sur mes draps.
Je me lève, il y a école aujourd’hui. Depuis la rentrée, je suis au collège, tout neuf, plusieurs bâtiments tout rectangulaires de trois étages, bleu et blanc.
Maman a acheté du Nesquik pour mon petit déjeuner, avant c’était toujours du Van Houten, je crois que je préférais avant. Trois tartines beurrées et de la confiture de fraises. Un coup de brosse à dents rapide, car j’aime pas trop ça et direction le garage pour sortir le mini-vélo que papa a rafistolé après l’avoir récupéré chez ma grand mère.
Dans mon sac à dos en cuir, il y a mes cahiers, livres et trousses. Au collège, on fait des mathématiques modernes, je n’aime pas du tout ça, alors que j’aime bien le calcul mental, mais ça n’a rien à voir. Je crois que je n’aime pas l’école, car je n’attends qu’une chose, la récréation.
Là je sors mon tac-tac, un nouveau jeu où il faut taper deux boules, mais on se détruit les poignets avec. C’est aussi la première année où je suis en classe avec des filles. Devant moi, il y a Véronique, elle est heureuse, ça fait une semaine qu’elle met un soutien-gorge, comme mes sœurs.
À midi, je repars manger à la maison. Il reste du poulet du dimanche.
Puis retour à l’école. Sport cet après-midi. Course sur le stade et grimper à la corde. Je suis nul à ça.
Papa a acheté une nouvelle voiture, une Simca 1100. Maman râle parce qu’il ne fait que de rouler avec et l’essence coûte cher. Moi ça me fait rire. La R8, c’est l’abruti qui traîne avec ma sœur qui l’a achetée.
Le soir après le supplice des devoirs, on va faire les fous avec Patrick et Thierry en vélo dans les chemins de la forêt. Évidemment, je rentre sale comme un cochon, il va falloir passer du temps à se débarbouiller dans l’évier de la cuisine, et subir les moqueries des frangines. On a le droit de prendre un bain que le samedi.
Après le dîner, j’ai pas le droit de regarder la télé, à part le samedi. A 9 heures, direction la chambre que je partage avec ma sœur la plus jeune, mais qui a le droit de se coucher plus tard.
J’entends PopCorn à la télé, c’est chouette cette musique. Je sors le catalogue de la redoute que j’ai caché dans mon armoire pour regarder les femmes en soutien-gorge et culotte. Ça me fait durcir le zizi. C’est drôle, parce que quand je vois maman en soutien-gorge, ça fait pas pareil.
La tâche sur les draps à séché, c’est tout raide maintenant, on dirait une carte. Maman a rien dit, elle a pas dû la voir en faisant le lit. Mais j’aimais bien la sensation que ça m’a fait, j’aimerais bien que ça recommence demain matin ou même ce soir... Peut-être que je deviens grand! On est quand même en 1972.
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