#William &039;Will&039; Nicholson
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Raiders of the Lost Ark (12A): A timeless classic... much imitated but never bettered.
#onemannsmovies #filmreview of "Raiders of the Lost Ark". #RaidersOfTheLostArk #IndianaJones. A solid gold classic that is still great. 5/5.
A One Mann’s Movies review of “Raiders of the Lost Ark” (1981). I first went to see “Raiders of the Lost Ark” with my then fiancée Sue, now the Illustrious Mrs Movie Man, when we took an afternoon off our torrid job in a Highlands hotel in the summer of 1981. It was in a little fleapit cinema in the middle of Inverness (whatever were we doing in such a nasty place?). We knew nothing much about…
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soccerstl · 3 years ago
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SLSG 2002 Elite Advance to NCS Knockout Round
SLSG 2002 Elite Advance to NCS Knockout Round
SLSG 2002 Elite boys at USYouthSoccer National Championships on July 21, 2021 via SLSGsoccer Congratulations to the SLSG Missouri 2002 Elite boys who have advanced to the knockout round of the U20 boys USYS National Championship Series. After winning all three of their group games, they advance as the top seed from Bracket B and will face the second seed from Bracket A in a semifinal on Saturday.…
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frontmezzjunkies · 5 years ago
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Day 3 at TIFF19 - 'Hope Gap' Navigates the Edge with Skill and Sure Footedness
#frontmezzjunkies was at @TIFF_NET Day 3 at #TIFF19 #HopeGapMovie written/directed by #WilliamNicholson #AnnetteBening #BillNighy #JoshOConnor #HopeGapFilm #OriginPictures #RoadsideAttractions #TIFF #TorontoInternationalFilmFestival
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Annette Bening & Bill Nighy in ‘Hope Gap’. Photo: Robert Viglasky/Roadside Attractions.
TIFF Movie Review: William Nicholson’s ‘Hope Gap‘
By Ross
The dramatic white cliffs of Hope Gapon the Sussex coast are, at first, beautifully picturesque, but the more one gazes at their majesty, especially with the sweeping cinematography of Anna Valdez Hanks, the more dizzying they start to become. They…
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arcanes-ouvertes · 6 years ago
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La trilogie du Vent de Feu à eu un profond impact sur mon adolescence. C’était une série forte, intelligente, prenante, aux héros qui m’ont profondément et durablement marquée. 
Des années plus tard, de retour chez les parents, je l’ai sortie de la bibliothèque avec curiosité. L’aimerai-je autant ? Aura-t-elle gardé cette saveur d’aventure et d’insurrection que je n’ai jamais oublié ?
Le Vent de feu Tome 1 Les Secrets d’Aramanth – mon édition d’origine
Le Vent de feu Tome 1 Les Secrets d’Aramanth – 2018
  Il y a longtemps.
Dès les premières lignes d’introduction, l’auteur fait surgir sa cité des sables. Une tribu nomade s’arrête pour un temps, pour ériger sa tour de bois et de cylindres en métal, son Chanteur de Vent, avant de repartir aussi mystérieusement qu’il n’est venu. Le mécanisme est posé. On a senti la chaleur rude du sable, imaginé l’étrange chorégraphie de ses nomades déterminés, vu l’édifice monter dans le ciel sans en comprendre le sens.
Et puis…
Des années plus tard, autour du Chanteur de Vent devenu un ouvrage creux sans mélodie ni harmonie, une cité circulaire s’est établie. A l’abri de remparts, au milieu du désert, par cercles concentriques et colorés, Aramanth a prospéré. Tout y est bien réglé. On y est en sécurité, à l’abri du besoin et de l’injustice. La vie quotidienne évolue sans heurt, réglée autour de ses règles, de ses points et du meilleur que chacun donne de lui-même dans ses examens réguliers.
On y retrouve une famille, celle de nos héros : la famille Hath. Hanno Hath, le père. Ira Hath, la mère. Les jumeaux Bowman et Kestrel. Et la petite dernière, la toute jeune Pim. Une cellule familiale qui n’a rien de particulier, une famille un peu comme toutes les autres. Seulement un peu moins intégrée à l’ordre publique que les autres.
Sauf que c’est le premier examen de Pim, et Pim est une enfant de deux ans vive, joyeuse et un brin têtue. Et qu’elle ne répond pas aux inconnus qui ont le culot de vouloir l’interroger sur sa connaissance des couleurs. Sauf que la famille Hath, si elle n’a pas d’orgueil mal placé, a tout de même sa fierté. Sauf que Kestrel, au caractère explosif, n’en peux plus des examens, et du classement, et du jugement sur les compétences. Et qu’elle a eut le culot de penser “le classement ne vaut rien” ; et “ils ne peuvent rien me faire de pire”. Et c’est là que l’engrenage terrible s’est enclenché, cet engrenage grinçant et terrible qui ne pardonne pas à tous ceux qui ont le malheur de sortir des lignes tracées.
Quand tout éclate et qu’il n’y a plus rien à perdre, c’est au coeur des secrets les plus enfouis d’Aramanth qu’il faut creuser.
* * *
A la différence de nombre de séries jeunesse, les jeunes héros, encore enfants, ne sont pas livrés à eux-mêmes. Ce ne sont pas des orphelins, des rejetés qui ne peuvent compter que sur eux-mêmes. Au contraire : leur famille, petite comme elle est, est aimante. Leurs parents sont exemplaires. Attentifs aux besoins de leurs enfants, prêts à les défendre et les aider envers et contre tout, à les aimer malgré et pour leurs fautes. 
Bowman et Kestrel ne sont pas des élus. S’ils se retrouvent à partir seuls, c’est parce que la société ne leur en a pas laissé le choix. Parce qu’on les a poussé trop loin. Parce qu’ils sont arrivés à court de solutions, et qu’ils se sont jetés sur la dernière. Un espoir infime. Un rêve d’enfant. 
Alors ils sont partis braver l’inconnu, affronter une vieille légende, pour délivrer la cité du mal invisible qui la ronge, réunir leur famille et retrouver leur propre liberté.
“Bowman, assis à côté d’eux, attendait que sa soeur se calme. Il frissonnait et aurait voulu se blottir lui aussi contre son père. […]
“Il ne peut pas nous aider, pensa-t-il. Il voudrait le faire, mais il ne peut pas.” C’était la première fois que cette pensée s’imposait à lui d’une façon aussi claire. Il la transmit à Kestrel.
“Pa ne peut pas nous aider.”
Kestrel lui répondit :
“Je sais. Mais il nous aime.”
Ils sentirent alors tous les deux à quel point ils aimaient leur père, et ils se mirent à l’embrasser tout autour des oreilles, sur les yeux, sur ses joues râpeuses.
– Voilà qui est mieux, dit-il. Je retrouve mes beaux oiseaux !”
Des années plus tard, Les Secrets d’Aramanth n’a rien perdu de son charme. J’ai retrouvé sa fougue, sa révolte, ses aventures et ses péripéties haletantes. Ces univers qui naissent du sable au coeur d’un désert stérile engagent nos sens : la vue bien sûr, mais aussi l’odorat, l’ouïe, et même le goût. J’ai vu ces villes, senti la puanteur, entendu la marche – et je rêve encore de goûter un jour les noix de gadoue.
J’ai aimé cet imaginaire, et l’aventure qui s’y joue. Mais surtout, ses personnages m’ont marquée.
J’aime Les Secrets d’Aramanth parce que Bowman est tendre, empathique. Parce qu’il exprime ses émotions, et qu’on le voit d’une façon positive. Parce que Kestrel s’exprime avec force, par explosion. Qu’elle se lâche et s’exprime entièrement. Parce qu’elle non plus ne rentre pas dans les cases, qu’elle les déteste, et qu’elle s’en échappe. Parce qu’ils partagent un lien unique, et qu’ensemble ils sont plus forts.
J’aime Hanno Hath. Parce qu’il est posé, à l’écoute, et résilient. Et j’aime tout autant Ira Hath, la prophétesse, qui a la force du coeur et la délicatesse d’un rhinocéros quand il s’agit de défendre les siens, parce qu’elle est d’autant plus dangereuse quand elle pose sa voix et parle calmement et clairement. Si Hanno Hath est un lac, elle est l’océan.
“Ira Hath su qu’elle était une vraie prophétesse, car personne ne pouvait supporter de l’entendre parler”
Et j’aime, plus que tout, Mumpo. Mumpo, l’enfant sans parents. Mumpo, qui est étrange et sale, parce que personne ne lui a appris à se laver. Mumpo à qui on n’a pas donné sa chance. Mumpo qui n’a pas peur, et qui aime et pardonné inconditionnellement.
“Il était comme une oie sauvage : maladroite au sol, mais belle en vol. Bowman aimait cette pensée, car elle ne renfermait pas de pitié. Il se rendit compte que la pitié qu’il ressentait auparavant pour Mumpo était une forme d’indifférence.”
J’en deviendrais lyrique pour en parler – c’est dire tout mon amour pour cette trilogie. Et encore, ce n’est que le premier tome ! Attendez un peu que je me lance sur le deuxième, et oh ! la conclusion. Oh la la la conclusion, je n’ai pas les mots. Et je n’ai pas ouvert ces tomes depuis dix ans.
Conclusion : j’ai relu cette histoire avec enthousiasme et un plaisir retrouvé – et une pointe de nostalgie.
Le Vent de Feu Tome 1 : Les Secrets d’Aramanth William Nicholson Gallimard jeunesse, 2000 (Folio)
Le Vent de Feu Tome 1 : Les Secrets d’Aramanth La trilogie du Vent de Feu à eu un profond impact sur mon adolescence. C'était une série forte, intelligente, prenante, aux héros qui m'ont profondément et durablement marquée. 
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thepeoplesmovies · 4 years ago
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Film Review - Hope Gap (2019)
Film Review – Hope Gap (2019)
The dissolvement of a marriage is never an easy thing to navigate for anyone: whether spouse, offspring, sibling, or extended family member it’s always such a tough moment in people’s lives. This writer doesn’t have first-hand experience on such matters fortunately but has many friends who have been through the murky waters and it changes them forever. People react differently, of course, and…
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ruthmedia2 · 4 years ago
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HOPE GAP
HOPE GAP
Director: William Nicholson
Runtime:101 minutes
Cast: Annette Bening, Bill Nighy, Josh O’Connor, Aiysha Hart, Ryan McKen, Steven Pacey, Nicholas Burns
Synopsis: Grace and Edward, married for 29 years, live in a small seaside town near a cove under the cliffs called Hope Gap. When their son Jamie comes to visit for the weekend, Edward informs him that he plans to leave Grace, that same…
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mikethefanboy · 5 years ago
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Hope Gap Review! JM says, "Bill Nighy’s profound performance sadly goes to waste" with a miscast Annette Bening
Hope Gap Review! JM says, “Bill Nighy’s profound performance sadly goes to waste” with a miscast Annette Bening
Being in denial is one thing, but Annette Bening should stick to American accents. “Hope Gap” fails to resonate and reiterates a single miscast lead can derail a film’s potential.
After 29 years of marriage, Edward (Bill Nighy) is leaving his wife Grace (Annette Bening) for another woman, a recently single mother of one of his students. Completely caught offguard, Grace relies heavily on their…
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wishesoneyelashes-blog · 8 years ago
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April book haul
I didn’t get much in the way of physical books this month, but somehow wound up with a handful of e-arcs. It doesn’t exactly help with reducing my TBR pile but they sounded too good to pass up. (more…)
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