#Vraie folie
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Paola Pigani - Le château
Des insensés À partir de l’histoire d’une patiente au moment de la seconde guerre mondiale, Paola Pigani choisit de raconter, pour son roman Le château des insensés, les grands changements de la psychiatrie moderne, introduisant ce qui plus tard s’appellera la psychothérapie institutionnelle. De Ville Evrard en août 1939, Jeanne, vingt-quatre ans, vient de perdre son enfant à la…
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Always And Forever
Chapitre 4 -> Halloween
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Wanda venait d'accoucher il y a six ans de ses deux garçons, Billy et Tommy. Maintenant âgés de 6 ans, ils débordaient d'énergie. Ce matin-là, la cuisine était leur terrain de jeu. Des éclats de rire résonnaient alors qu'ils se lançaient des morceaux de pain et des cuillères de confiture dans une bataille de nourriture hilarante. Wanda, les mains sur les hanches, regardait la scène, partagée entre l'envie de gronder et celle de sourire devant leur complicité.
« Billy, Tommy ! Ça suffit maintenant ! Qui va nettoyer tout ça ? » dit-elle en croisant les bras.
Les deux garçons s'arrêtèrent, échangeant un regard coupable avant d'éclater de rire.
Billy, les joues encore couvertes de confiture, leva une main victorieuse en criant :
« Tommy, on est des pirates ! Et c'est notre navire ! »
Tommy, armé d'une cuillère dégoulinante de yaourt, répliqua :
« Pas si je te bats, Capitaine Billy ! »
Avant que Wanda ne puisse réagir, Tommy fit un lancer parfait, et le yaourt atterrit directement sur le front de son frère. Billy, bouche bée, resta figé une seconde avant de riposter avec une pluie de céréales.
Wanda, exaspérée mais amusée, attrapa un torchon et s'écria :
« Très bien, si c'est comme ça... J'arrive dans votre équipage ! »
Elle plongea ses mains dans un bol de farine, en lança une poignée en l'air, et la bataille devint un véritable chaos. Billy et Tommy éclatèrent de rire en voyant leur mère si complice dans leur folie.
Vision brève de la scène : des morceaux de pain sur la table, des flaques de lait sur le sol, et toute la petite famille couverte de farine et de confiture. La bataille s'arrêta enfin lorsque Vision entra dans la cuisine, regardant le carnage avec son calme habituel.
« Wanda... Est-ce que je dois demander ce qu'il s'est passé ici ? »
Wanda haussa les épaules avec un sourire espiègle.
« Disons qu'on a fait... un peu d'art moderne. Tu veux participer ? »
Vision soupira, un léger sourire trahissant sa fausse sévérité. « Je vais chercher un balai. »
Vision, en essuyant une tâche de confiture sur son épaule, posa le balai avec un soupir dramatique.
« Très bien, si vous refusez de vous calmer... je vais devoir appeler Rosalía. »
Billy et Tommy échangèrent un regard complice, avant de hausser les épaules.
« Vas-y ! » s'exclama Tommy en riant.
« Elle est trop gentille, de toute façon, » ajouta Billy avec un grand sourire.
Vision les regarda, clairement décontenancé. « Vous ne comprenez pas... Rosalía est implacable. Une fois qu'elle arrive, c'est fini pour vous. Vous allez devoir... » Il fit une pause dramatique. « ...ranger ! »
Billy croisa les bras, un air de défi sur le visage. « Elle nous laisse toujours des bonbons quand on range. Alors c'est nous qui gagnons. »
Tommy acquiesça en riant. « Ouais, elle dit que le travail bien fait mérite une récompense ! »
Vision cligna des yeux, son plan complètement démoli. « Eh bien... c'était... inattendu. »
Wanda, les bras croisés, s'amusait clairement de la scène. « Tu vois, chéri ? Tes menaces tombent à l'eau. »
Vision, finalement vaincu, posa son téléphone sur la table. « Vous savez quoi ? Je rends mon tablier. Wanda, ces pirates sont maintenant tes pirates. »
Wanda éclata de rire et se tourna vers ses garçons. « D'accord, les petits malins. Si vous ne craignez pas Rosalía, peut-être que vous devriez avoir peur de moi. Parce que moi, je ne donne pas de bonbons pour ranger. »
À ces mots, Billy et Tommy filèrent comme des fusées, attrapant des torchons pour nettoyer en riant. Wanda jeta un coup d'œil amusé à Vision. « Voilà. Ça, c'est une vraie menace. »
༺♡༻
Rosalia était tranquillement installée chez elle, enveloppée dans son plaid préféré, une tasse de café chaud entre les mains. Les rayons du matin filtraient à travers les rideaux, apportant une lumière douce et agréable dans la pièce. Elle se détendait après une semaine bien remplie, savourant chaque gorgée de sa boisson.
Le silence de la maison fut soudainement brisé par un coup frappé à la porte. Rosalia posa son café sur la table basse et se leva lentement, se demandant qui pouvait bien venir à cette heure-ci. En ouvrant la porte, elle se retrouva face à Billy et Tommy, les sourires éclatants et les yeux brillants d'excitation.
"Salut, Rosalia !" s'écria Tommy, les mains sur les hanches, tout aussi enthousiaste que toujours. "On a une super nouvelle à te dire !"
"Oui, et tu vas adorer," ajouta Billy, presque en chuchotant, comme s'il voulait garder un peu de mystère.
"Eh bien, maman organise une fête d'Halloween ce soir !" dit Billy en levant les bras en l'air. "Et on voulait savoir si tu voulais venir. On a même des costumes super cools et on va préparer des bonbons !"
Rosalia les regarda, touchée par leur enthousiasme. Halloween était toujours une période amusante, et l'idée de passer la soirée avec eux, Agnes, et tous les autres la tentait beaucoup. Elle avait hâte de les rejoindre pour une soirée de rires, de jeux, et d'amusement.
"Eh bien, comment dire non à une invitation aussi enthousiaste ?" répondit-elle avec un sourire chaleureux. "Je serai là, bien sûr. J'ai hâte de voir ce que vous avez prévu pour cette fête !"
Les enfants sautèrent de joie à la réponse positive de Rosalia. Billy la remercia avec un grand sourire, et Tommy, ne pouvant contenir son excitation, laissa échapper un petit cri de joie.
"Ça va être génial ! On va faire des jeux, des concours de costumes, et même un coin hanté ! On te laisse préparer un super costume, ok ?"
Rosalia hocha la tête en rigolant. "Promis, je vais trouver quelque chose de parfait. Vous allez être impressionnés."
Les enfants lui firent signe et partirent en courant, impatients de continuer leurs préparatifs pour la soirée. Rosalia retourna dans sa maison, le sourire aux lèvres, prête pour cette soirée d'Halloween mémorable
Rosalia retourna s'installer dans son salon, un sourire toujours sur les lèvres en repensant à la réaction des enfants. Elle avait hâte de les voir déguisés, et la perspective de passer une soirée amusante en compagnie de Wanda, Vision et les enfants la réjouissait.
Elle attrapa son téléphone, parcourut ses contacts, et appuya sur le nom d'Agnès. Elle espérait qu'elle serait disponible pour discuter un peu, surtout après la surprise de la matinée.
L'appel se connecta rapidement, et la voix d'Agnès, joyeuse et pleine d'énergie, se fit entendre au bout du fil.
"Allô, Rosalia ! Ça va ?"
"Salut Agnès, ça va très bien, merci. Écoute, les enfants m'ont invitée à la soirée d'Halloween ce soir chez Wanda et Vision, et je voulais savoir si tu comptais y aller aussi ?" Rosalia laissa échapper un léger rire en pensant à toute l'effervescence de la soirée à venir.
Agnès, toujours aussi enthousiaste, répondit presque sans hésitation : "Bien sûr que je vais y aller ! J'adore Halloween, et avec Wanda et Vision, ça promet d'être une soirée incroyable. Tu seras là aussi, non ?"
Rosalia sourit, contente de savoir qu'Agnès serait présente. "Oui, les enfants m'ont invitée et je ne pouvais pas dire non à une soirée aussi fun. Je pensais qu'on pourrait y aller ensemble, si tu veux ?"
Agnès pouffa de rire. "Tu sais que c'est une excellente idée. Je suis partante ! On va s'éclater !"
Les deux femmes échangèrent quelques mots supplémentaires, planifiant leur arrivée et discutant brièvement des costumes. Rosalia raccrocha le téléphone, son esprit déjà plongé dans les préparatifs pour la soirée. Elle savait qu'elle allait passer un moment fantastique entourée de ses proches, et avec Agnès à ses côtés, cela promettait d'être encore plus amusant.
Rosalia se laissa aller dans le canapé en attendant la réponse d'Agnès, tout en imaginant la soirée d'Halloween à venir. Quand Agnès reprit la parole, c'était avec une touche de malice dans sa voix.
"Je vais me déguiser en pirate. Ça fait un moment que je voulais essayer ce look, tu sais, avec un bon chapeau, un cache-œil et tout. Qu'en penses-tu ?" Agnès semblait très enthousiaste à l'idée de son costume.
Rosalia sourit, ses pensées déjà tournées vers son propre déguisement. "Ah, j'adore l'idée ! Ça te va parfaitement, tu as ce petit côté audacieux qui ira bien avec un pirate," répondit-elle, amusée. "De mon côté, je pensais me déguiser en vampire. Ça me semble un peu cliché, mais c'est tellement classique que ça passe toujours bien."
Agnès éclata de rire de l'autre côté du téléphone. "Un vampire ? Oh, j'adore ! Ça va te rendre encore plus mystérieuse, et avec tes yeux... Je suis sûre que tu vas être la plus séduisante des créatures de la nuit."
Rosalia sentit une chaleur douce monter à ses joues en entendant la taquinerie dans la voix d'Agnès. Elle s'assit un peu plus droite, ne pouvant empêcher un léger sourire de se dessiner sur ses lèvres. "Ah, tu sais comment flatter une fille," répondit-elle d'une voix plus douce. "Mais je vais devoir te prévenir, si tu oses m'approcher avec ce regard de pirate, tu risques de me transformer en une créature bien plus dangereuse que tu ne penses."
Agnès rit, et Rosalia pouvait presque imaginer son sourire séducteur. "Je suis sûre que je saurais me défendre contre une vampire aussi mignonne. Peut-être que tu me mordras... qui sait ?" Sa voix était pleine de sous-entendus.
Rosalia sentit son cœur s'emballer un peu, mais elle ne pouvait s'empêcher de sourire. "On verra bien... Mais fais attention, parce que dans la nuit, même un pirate audacieux pourrait se faire surprendre par un vampire trop... irrésistible."
Agnès ne se fit pas prier et répondit d'un ton charmeur : "Je vais devoir être prudente alors. Mais je pense que tu me tiendras en haleine, ma chère vampire."
Les deux femmes se laissèrent aller à rire, les sous-entendus et la taquinerie flottant dans l'air entre elles. La conversation se poursuivit sur un ton léger et complice, alors qu'elles s'imaginaient déjà la soirée et l'effet de leurs costumes respectifs. Mais plus la conversation avançait, plus Rosalia se rendait compte que ce simple appel venait de rendre cette soirée d'Halloween encore plus excitante qu'elle ne l'avait imaginée.
༺♡༻
Rosalia arriva chez Wanda en milieu d'après-midi, prête à l'aider pour les derniers préparatifs de la soirée d'Halloween. La maison était décorée de manière chaleureuse, et l'atmosphère festive la mettait déjà dans l'ambiance. Wanda, tout sourire, l'accueillit à l'entrée.
"Salut ! Je suis tellement contente que tu sois là. Tu es prête à me donner un coup de main ?" demanda Wanda, son ton plein de bonne humeur.
"Bien sûr, qu'est-ce que tu veux que je fasse ?" répondit Rosalia avec un sourire, toujours prête à aider.
Wanda la guida jusqu'au salon, où elle avait déjà préparé son costume. "J'ai un petit problème avec l'arrière de ma robe. Les boutons ne tiennent pas très bien. Tu pourrais m'aider à les attacher ?" demanda Wanda, en se tournant légèrement pour lui montrer le dos de la robe.
Rosalia acquiesça et se mit immédiatement au travail, ajustant les boutons un par un. Elle était concentrée, mais elle ne put s'empêcher de remarquer à quel point la situation était légèrement intime, même si Wanda ne semblait pas s'en rendre compte.
"Tu sais, tu es vraiment efficace pour ça," taquina Wanda, un sourire malicieux aux lèvres. "Peut-être que je devrais t'engager comme assistante personnelle pour mes futurs costumes."
Rosalia sourit en continuant d'attacher les boutons. "Je ne sais pas si je pourrais gérer une carrière à plein temps, mais je ferai volontiers des remplacements," répondit-elle en plaisantant.
"Tu es sûre ? Parce que je dois dire que j'aime bien l'idée de te voir encore plus souvent," ajouta Wanda avec une petite moue amusée, jouant avec l'idée.
Rosalia haussait les épaules sans vraiment y prêter attention. "Bon, maintenant que tu es prête, je crois qu'il est temps de passer aux décorations, non ?" dit-elle en se reculant pour observer son travail.
Wanda, qui avait toujours ce sourire complice, secoua la tête. "Vraiment, tu n'as aucune idée de ce que tu me fais faire, hein ?" dit-elle en rigolant légèrement. "Mais tu sais, j'apprécie vraiment que tu sois là. Ça rend tout plus facile."
Rosalia sourit, heureuse d'être là pour Wanda. "Tu sais que j'adore t'aider. Et puis, ça me donne une bonne excuse pour passer du temps avec toi," répondit-elle en fixant Wanda d'un regard sincère.
Les deux échangèrent un sourire complice avant que Wanda ne se dirige vers un miroir pour ajuster sa robe. "Bon, je crois que tout est en ordre, grâce à toi," dit-elle avec un sourire radieux. "Tu es vraiment un atout pour la soirée."
Rosalia, toujours un peu surprise par la douceur de Wanda, lui rendit son sourire. "On dirait qu'on est prêtes pour la fête."
Rosalia sourit en entendant la question de Wanda et hocha la tête. "Bien sûr, je vais juste aller me changer et être de retour dans un instant."
Elle monta les escaliers et se dirigea vers la salle de bain. Une fois à l'intérieur, elle prit son temps pour enfiler son costume de vampire. Le tissu noir et rouge, accentué par des détails effrayants mais élégants, se collait parfaitement à sa silhouette. Après avoir ajusté son maquillage pour accentuer son regard, elle se regarda dans le miroir en se faisant un petit sourire.
Elle descendit les escaliers quelques minutes plus tard, sa démarche un peu plus assurée dans sa tenue, et retrouva Wanda dans le salon. Wanda la regarda, les yeux écarquillés, et émit un léger sifflement d'admiration.
"Wow, tu es absolument ravissante ! Je suis presque jalouse, tu fais une vampire parfaite," dit Wanda en applaudissant doucement, un sourire admiratif sur le visage. "Tu sais, tu pourrais très bien jouer dans un film d'horreur."
Rosalia, un peu gênée par l'attention, se mit à sourire et haussait les épaules. "Merci, mais je pense que c'est juste un costume. Rien de bien extraordinaire."
Wanda s'approcha un peu, observant Rosalia sous tous les angles, comme si elle ne pouvait pas se retenir d'admirer la tenue. "Ce n'est pas juste un costume, c'est une transformation complète," répondit-elle, un sourire espiègle. "Tu es magnifique."
Rosalia rougit légèrement mais tenta de rester calme. "Tu me flattes trop. C'est juste un vampire, pas une star du cinéma," répliqua-t-elle avec un petit rire nerveux, jouant le jeu de l'humilité.
Juste à ce moment-là, la porte d'entrée s'ouvrit, et Agnès entra dans la pièce, habillée de son costume de pirate. Elle sourit en voyant Rosalia dans sa tenue.
"Alors, comment ça va ici ? Je vois que la vampire a fait son entrée," dit Agnès avec un clin d'œil, son ton léger mais appréciateur.
Wanda tourna la tête vers elle, un sourire toujours présent. "Regarde Agnès, n'est-ce pas incroyable ? Elle est tout simplement parfaite en vampire."
Agnès se rapprocha et fit un tour autour de Rosalia, ses yeux s'attardant sur sa silhouette. "Effectivement, tu es à couper le souffle," dit-elle, sa voix légèrement plus basse, presque une caresse dans l'air.
Rosalia, un peu intimidée par l'attention, se contenta de sourire et de répondre d'un ton léger, "Merci, mais ne vous y habituez pas trop, ce n'est pas mon look habituel."
"Je ne suis pas sûre de ça," répondit Agnès en riant doucement, "Je pense que tu pourrais très bien le porter tous les jours."
Les trois femmes échangèrent des sourires complices alors que l'atmosphère devenait un peu plus détendue, l'excitation pour la soirée grandissant encore.
༺♡༻
Agnès et Rosalia marchaient côte à côte, un peu en retrait de Billy et Tommy qui étaient excités à l'idée de récolter des bonbons pour Halloween. Agnès gardait un regard appuyé sur Rosalia, et chaque fois qu'elles se croisaient du regard, un sourire furtif se dessinait sur leurs visages. Les deux femmes avaient cette complicité silencieuse, mais l'attention de Billy rompit ce moment lorsque la question sortit de sa bouche.
"Alors, Agnès, Rosalia, vous êtes amoureuses ?" demanda Billy en souriant, en jetant un coup d'œil taquin à Rosalia.
Rosalia s'arrêta un instant, choquée par la question soudaine. Elle tourna son regard vers Agnès, incertaine de la façon dont elles allaient répondre. Agnès sembla aussi un peu déconcertée, mais un petit rire s'échappa de ses lèvres.
"Non, Billy, ce n'est pas ça," répondit Rosalia en secouant la tête, essayant de garder une réponse légère et décontractée. "On est juste de très bonnes amies, rien de plus."
Billy sembla déçu, et avec une moue, il ajouta : "Dommage, vous seriez un beau couple, vous deux."
Les deux femmes se figèrent un instant, toutes les deux incertaines de comment réagir. Agnès baissa légèrement la tête en essayant de cacher un sourire, son cœur battant un peu plus vite. Rosalia, quant à elle, sentit son visage s'empourprer légèrement, ne sachant pas exactement comment traiter la situation.
"Eh bien, Billy," répondit Agnès d'un ton taquin, "tu n'as pas tort, on ferait peut-être un beau couple, mais pour l'instant, on est juste deux amies qui profitent d'une soirée d'Halloween ensemble."
Rosalia hocha la tête, avec un sourire timide. "Oui, c'est ça. Juste des amies."
Billy sembla être satisfait de la réponse et, avec un grand sourire, se tourna vers Tommy pour repartir en courant vers la prochaine maison avec un enthousiasme retrouvé. Agnès et Rosalia restèrent un moment en retrait, se regardant en silence. Agnès ne put s'empêcher de rire doucement, en se tournant vers Rosalia.
"Tu sais, ce gamin n'a pas tort," murmura Agnès, son regard un peu plus tendre. "On ferait peut-être un beau couple."
Rosalia rougit à nouveau, sentant la chaleur de la situation s'intensifier légèrement. "Il est un peu jeune pour ce genre de commentaires, non ? Mais..." Elle s'arrêta, cherchant ses mots, avant de se contenter d'un sourire. "Peut-être qu'il a raison."
Les deux femmes continuèrent leur marche, un peu plus proches, tout en se laissant emporter par les rires des enfants qui criaient "des bonbons ou un sort", mais la complicité entre elles était palpable, et, même si les choses n'étaient pas dites ouvertement, quelque chose de plus semblait être en train de naître.
Agnès et Rosalia accompagnèrent Billy et Tommy jusqu'à la maison de leurs amis, tout en échangeant des sourires et quelques taquineries. Les enfants étaient excités par les bonbons qu'ils venaient de récolter, et après un dernier "merci et au revoir", Agnès et Rosalia se retrouvèrent seules.
"Alors, prête à rentrer chez Wanda et profiter de la soirée ?" demanda Agnès en souriant, mais son regard, un peu plus malicieux, se posa sur Rosalia.
Rosalia hocha la tête, mais avant qu'elle ne puisse répondre, Agnès ajouta d'un ton suggestif : "Ou alors, on pourrait faire un petit détour avant de revenir. Juste nous deux, loin de toute cette agitation... Qu'en dis-tu ?"
Rosalia se figea un instant, surprise par la proposition. Elle se tourna vers Agnès, un peu hésitante, mais un sourire amusé se dessina sur ses lèvres. "Un détour, hein ?" dit-elle en arquant un sourcil. "Tu veux vraiment que l'on parte seules toutes les deux à cette heure-ci, juste pour un petit tour ?"
Agnès la fixa un instant, son sourire s'élargissant. "Pourquoi pas ? Je pense que ça nous ferait du bien à toutes les deux. Et puis, tu sais, je trouve que ça pourrait être... agréable. Un peu de calme avant de retourner chez Wanda. Qu'en dis-tu ?"
Rosalia la regarda un instant, son regard doux mais plein de curiosité. Elle se sentait un peu nerveuse, mais en même temps, une certaine excitation commençait à s'emparer d'elle. "Eh bien... pourquoi pas. Après tout, on mérite bien une petite pause. Mais juste un petit tour, d'accord ? Pas trop longtemps."
Agnès, ravie de sa réponse, sourit et s'approcha d'elle. "Parfait. Viens, on va profiter de ce moment." Elle lui fit signe de la suivre et ensemble, elles se dirigèrent vers une ruelle tranquille, loin de l'agitation d'Halloween, profitant de la fraîcheur de la nuit.
Au fur et à mesure qu'elles marchaient, les deux femmes se rapprochaient, leurs conversations devenant de plus en plus personnelles, et la connexion entre elles semblait se renforcer à chaque pas. La soirée promettait d'être pleine de surprises, et pour Rosalia, ce moment avec Agnès avait quelque chose de spécial, comme une promesse silencieuse de quelque chose de plus à découvrir.
Agnès et Rosalia marchaient tranquillement, leurs pas résonnant doucement sur le trottoir déserté. La fraîcheur de la soirée ajoutait une touche agréable à l'atmosphère, et à mesure qu'elles avançaient, leur complicité semblait se renforcer.
Agnès, un sourire en coin, regardait Rosalia d'un air espiègle. "Alors, Rosalia," dit-elle, sa voix légèrement plus basse, "tu es plutôt du genre à taquiner les gens, hein ?"
Rosalia se tourna vers elle, un sourire mutin aux lèvres. "Oh, tu sais, j'aime bien un peu de jeu... Et je pense que tu es une cible parfaite pour ça."
Agnès arqua un sourcil, amusée par sa réponse. Elle s'arrêta un instant pour la regarder, avant de se pencher légèrement vers elle. "Tu sais, tu n'es pas en mesure de me taquiner, bébé. Souviens-toi de ça."
Rosalia, sans hésiter, se rapprocha un peu plus, défiant Agnès du regard. "Vraiment ? Tu crois ça ? Parce que je crois bien que tu viens de me donner un défi." Elle prit un ton légèrement provocateur, tout en continuant à avancer.
Agnès se mit à rire doucement, un éclat dans ses yeux. "Oh, je suis prête à relever ce défi, tu n'as aucune idée de ce qui t'attend." Elle fit un petit mouvement du bras pour la frôler, un geste subtil mais plein de signification.
Rosalia sentit son cœur s'emballer légèrement, mais elle garda son calme et répondit d'une voix douce, presque un murmure : "Tu ne sais pas à qui tu as affaire, Agnès. Je ne suis pas du genre à reculer devant un défi."
Agnès la regarda intensément, un sourire malicieux étirant ses lèvres. "C'est ce que j'aime entendre." Elle fit un pas en avant, se rapprochant de Rosalia, avant de chuchoter près de son oreille : "Prépare-toi, Rosalia. Parce que ça pourrait bien devenir intéressant."
Leurs regards se croisèrent, un moment suspendu entre taquinerie et désir. Chacune savait que le jeu de drague était loin d'être fini et que, peut-être, cette complicité s'intensifierait encore plus au fil des minutes. Rosalia baissa les yeux un instant, mais son sourire s'élargit, et elle lança d'une voix plus basse, presque un défi.
"Je ne perds jamais, Agnès. Et si tu crois que c'est facile de me faire céder, tu vas vite comprendre que je n'ai pas l'habitude de me laisser dominer." Elle laissa sa phrase suspendue dans l'air, son regard se relevant vers Agnès, avec un éclat de défi.
Agnès, à peine impressionnée, sourit davantage, amusée par la confiance de Rosalia. "C'est exactement ce que j'aime," répondit-elle en glissant sa main discrètement dans les cheveux de Rosalia, les caressant avec une douceur insolente. "Une bonne dose de résistance, ça pimente tout."
Rosalia, un peu surprise par le geste, se tourna légèrement vers Agnès, un léger rire amusé échappant de ses lèvres. "Tu crois vraiment que tu peux me rendre nerveuse avec ça ?" Elle se pencha légèrement en avant, la provocant en douceur. "Parce que tu n'es qu'au début, tu sais. Il va falloir mieux que ça."
Agnès la regarda intensément, ralentissant son pas pour se mettre face à elle. "Je ne fais que commencer," dit-elle doucement, en levant une main pour effleurer la joue de Rosalia, ses doigts caressant doucement sa peau. "Tu verras, Rosalia... On n'est jamais vraiment prêt à ce qui nous attend."
Rosalia ferma un instant les yeux sous la caresse, avant de les rouvrir, un sourire taquin toujours présent. "Tu veux me faire céder, Agnès ? Il va falloir redoubler d'efforts." Elle laissa sa main effleurer discrètement celle d'Agnès, un geste doux mais chargé de sens.
Agnès sourit, plus séduisante que jamais. "Challenge accepté."
༺♡༻
Vision commençait à ressentir une étrange sensation en se dirigeant vers les frontières de la ville. Après avoir passé la journée à travailler sur ses projets, il décida de prendre un peu de temps pour sortir et respirer l'air frais. Cependant, à chaque fois qu'il s'approchait des limites de la ville, quelque chose semblait le repousser, une sorte de force invisible l'empêchait de franchir cette ligne invisible.
Il s'arrêta devant l'une des grandes rues menant hors de la ville, fixant les barrières immatérielles qui l'empêchaient de continuer son chemin. Il tenta de s'approcher, mais à chaque tentative, une pression croissante semblait l'entourer, comme si la ville elle-même ne voulait pas qu'il en sorte.
Son esprit commença à bouillonner de questions. Pourquoi est-ce que je ne peux pas quitter la ville ? se demanda-t-il. Il avait traversé ces mêmes frontières des centaines de fois auparavant sans problème. Alors pourquoi maintenant ?
Frustré et confus, Vision décida de se rendre chez Wanda, se doutant qu'elle pourrait avoir une explication. Il se doutait qu'il y avait quelque chose de surnaturel à l'œuvre. La ville de Westview n'était pas comme les autres, et la barrière qui l'entourait, qu'il avait à peine remarqué auparavant, semblait maintenant se manifester plus clairement qu'il ne l'aurait cru.
Il arriva chez Wanda, qui était dans la cuisine, et la regarda, hésitant à lui poser la question. "Wanda, est-ce que tu sais pourquoi je ne peux pas quitter la ville ?"
Wanda leva les yeux vers lui, une lueur d'inquiétude traversant son regard. Elle avait ressenti un étrange changement dans l'air ces derniers jours, mais elle n'avait pas compris ce que c'était. "Je pensais que tu pourrais avoir des réponses," dit-elle, son ton à la fois calme et légèrement tendu.
"Je suis sérieux, Wanda," insista Vision. "Il y a quelque chose qui m'empêche de franchir la frontière de la ville. C'est comme une barrière invisible."
Wanda se leva, marchant lentement vers lui, son visage marqué par une inquiétude qu'elle ne cherchait pas à cacher. "Je... Je ne suis pas sûre de ce qui se passe, Vision," répondit-elle, sa voix légèrement tremblante. "Mais je sens que quelque chose est en train de changer ici. Nous ne sommes pas vraiment libres, pas comme avant."
Vision la regarda, un frisson parcourant son corps. Il comprenait maintenant que la situation était plus complexe qu'il ne l'avait imaginée. "Tu crois que quelqu'un ou quelque chose nous retient ici ?" demanda-t-il, cherchant une réponse qui pourrait éclairer les mystères de leur existence.
Wanda baissa les yeux, le silence s'installant entre eux. "Je pense que c'est moi, Vision. Je crois que je contrôle cette ville, cette réalité. Mais je n'ai pas pleinement conscience de ce que je fais... Je suis peut-être la cause de tout ça."
Vision la regarda avec une intensité nouvelle, comprenant qu'il n'avait pas encore vu toute l'étendue du pouvoir de Wanda. Il se sentait à la fois inquiet et rassuré, sachant que sa femme détenait une partie de la clé, mais que l'autre moitié restait mystérieuse.
"Tu es celle qui contrôle cette réalité ?" demanda-t-il doucement.
Elle acquiesça lentement, ses yeux évitant les siens, comme si elle avait du mal à admettre l'ampleur de ce qu'elle venait de dire. "Je n'ai jamais voulu que ça devienne ainsi, mais je ne sais plus comment arrêter tout ça."
Vision posa une main sur son épaule, la regardant avec une profonde compréhension. "Nous allons le découvrir ensemble, Wanda. Tu n'es pas seule dans cette situation."
Wanda leva enfin les yeux vers lui, un léger sourire traversant son visage. "Merci, Vision. Je ne pourrais pas y arriver sans toi."
༺♡༻
Wanda se rendait seule à la frontière de la ville, un sentiment de détermination mêlé d'appréhension la guidant. Alors qu'elle s'approchait de la barrière invisible, elle pouvait sentir l'intensité de la magie qui se déployait autour d'elle. Les limites de Westview semblaient l'enfermer, et chaque pas qu'elle faisait vers la frontière augmentait cette pression, cette sensation qu'elle était à la fois à l'intérieur et à l'extérieur de son propre monde.
Elle s'arrêta juste devant la frontière, observant l'horizon flou où la ville semblait se dilater et se contracter. Il y avait des éclats de lumière, comme si la réalité elle-même était en train de se déformer. Wanda savait que quelque chose de puissant et d'incontrôlable résidait dans cette barrière, et, même si elle en était la créatrice, elle ne pouvait plus en contrôler tous les aspects.
Pendant ce temps, à l'extérieur, les agents du SHIELD étaient en train de préparer une opération pour entrer dans la ville. Ils avaient eu vent des anomalies à Westview et voulaient absolument savoir ce qui s'y passait. Plusieurs équipes étaient déployées autour des frontières de la ville, mais leurs tentatives d'entrer échouaient systématiquement. Les véhicules blindés et les équipes à pied étaient systématiquement repoussés par une force invisible. La magie de Wanda était présente à chaque frontière, la rejetant de manière invisible mais très réelle.
C'est alors qu'une équipe de l'unité spéciale arriva, dirigée par Maria Hill, déterminée à comprendre ce qui se passait à Westview. Ils essayèrent de passer une nouvelle fois, cette fois avec une approche plus stratégique, espérant qu'une simple force brute pourrait les faire céder.
Mais comme avant, la barrière réagit. Une vague de lumière scintillante jaillit à la rencontre des agents du SHIELD. La lumière se fit intense, et une vibration d'énergie pure repoussa violemment leurs véhicules. Ils furent projetés en arrière, certains trébuchant sous la force de l'onde. Maria Hill, sous le choc, se redressa et observa la frontière avec un mélange de crainte et de frustration.
"Ce n'est pas normal," murmura-t-elle, son regard fixé sur le mur invisible qui repoussait chaque tentative. "Elle ne peut pas tout contrôler... elle doit avoir laissé une porte ouverte."
Alors que les agents du SHIELD se regroupaient, Maria se tourna vers un autre officier à ses côtés. "Préparez une autre approche. On ne peut pas abandonner maintenant. Elle doit être en train de manipuler la réalité elle-même. Nous devons trouver une solution."
Mais Wanda, qui se trouvait toujours à la frontière, sentit la présence des intrus. Elle savait que le SHIELD était là, à l'extérieur, et une vague de colère la traversa. La pensée que ses actions pouvaient affecter des innocents, que des gens comme Maria Hill et les autres agents tentaient d'entrer pour les sauver ou les arrêter, la perturbait.
Elle ferma les yeux, et un autre rayon de lumière s'échappa de la barrière. La pression s'intensifia et la barrière se renforça, déployant une aura plus dense autour de la ville.
Le vent souffla autour d'elle alors qu'elle se concentrait, une aura rougeoyant émanant de ses mains. Wanda savait qu'elle était en train de toucher à des forces qu'elle ne comprenait plus complètement. Tout cela avait commencé comme un moyen de créer une réalité où elle pouvait vivre une vie normale avec Vision, mais maintenant, cela devenait de plus en plus incontrôlable.
Les agents du SHIELD, de l'autre côté, ressentirent la pression de cette force. Ils savaient maintenant qu'ils ne pourraient pas entrer facilement. Leurs tentatives continueraient de se briser contre ce pouvoir invisible, mais cela n'arrêterait pas leur mission. Ils devaient absolument comprendre ce qui se passait à Westview et pourquoi Wanda Maximoff, la sorcière rouge, contrôlait cette ville.
~~<><><><>~~ FIN~~<><><><>~~
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Tout être qui a une vraie sensibilité se tient à la limite de la mort et de la folie.
Pierre Drieu La Rochelle, « Le feu follet ».
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BÉLIER
Son amour fait les plus grandes douceurs et les plus sensibles infortunes de la vie.
TAUREAU
Il donne à l'amour la poésie des sens.
GÉMEAUX
L'amour est sa joie de vivre.
CANCER
Il vit pour aimer sinon ce n’est pas vivre.
LION
Il n’y a qu’un bonheur dans sa vie, c’est d’aimer et d’être aimé.
VIERGE
Face au désir de deux coeurs qui s’aiment, nul besoin de paroles.
BALANCE
Vit la vie comme une fleur dont l’amour est le miel.
SCORPION
Aime jusqu’à atteindre la folie, sa seule façon d’aimer.
SAGITTAIRE
L'amour est la seule vraie richesse de son existence, la vie de l'autre avant la sienne. 💗💗💗
CAPRICORNE
En amour, tout donner, tout sacrifier sans rien attendre en retour.
VERSEAU
Son amour est acquis pour l’éternité, il efface le temps, et abolit toute crainte
POISSONS
De l'être aimé, il rêve jour et nuit.
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Episode 30 - Bonta Folie's (part 1)
This says: "COCO PEOPL PLAQU"
I wonder what this magazine is about, as someone who doesn't read magazines. Swimwear? Beaches?
Guys are we sure she was shaving "him" off, and not "it"? Because I'm scared, Mr submaker.
There are multiple things to point out here:
Simone is basically Joris's babysitter whenever Kerubim leaves. And by god, Kerubim seems to leave a lot.
Living/working across from Kerubim, Julie is familiar with him and Joris, and has a prior relationship. She is an ecaflip, and a fellow business owner, — besides that, being an ex-hairdresser, Kerubim probably has taught her a thing or two. So, she's very happy to see him. Cute.
She discussed Simone's hair, and how to style it with him, without Simone's knowledge.
It's so sad that Simone is trapped in a reality where at times Kerubim Crepin really is as cool and knowledgeable about everything as he likes to present himself.
Imagine if the world's most entitled person entered your coffee shop and turned out to be a 30-year-in-a-row winner of the coffee making competition. Imagine if this happened every day to you at every single place you went to, with the exact same guy.
He's recommended your girlfriend what dresses to put you in, and they're all amazing. Yesterday he forgot a knife on the table, his son began running around with it. You want to beat his ass for both.
The translation here doesn't really carry across that he's saying that he wasn't a male hairdresser, but a Female Hairdresseresse.
"I was a Girlboss, my Jojo! A girlslay, gaslight, gatekeep one!"
Here Julie confirms what I already supposed: that she knows this story, and that he's taught her things.
I want to believe this is Ecaflip's doing, because Kerubim slipping on a banana peel that evil fucking cat left behind twice, and it making his life better each time, would be the funniest brick joke to date.
"LOU PRESENTE
LA _RAIE"
It doesn't look like a V at all, but it would make sense if it said "La Vraie," and they simply didn't bother to add any detail to the letter under his finger.
I think Lou is bisexual, and told him repeatedly about the cool sapphic cabaret she went to, to him, and this man who has never before been interested in cabaret was like "yeah that's probably the best one, the most renowned coolest one." and never understood it's a., lesbian thing.
I think this is the easiest way to explain how he knows about it, yet knows nothing about it.
I will be real, it's heart-warming to see him drink something that isn't beer while in a bar. Though the little artistocratic pinky thing he's doing is... very distracting.
Thank you, ecaflip psychiatric ward, for making him a bit saner, yet insane in new, weirder ways.
Feminism.
(Eric Andre voice) Oh you think the Bontarian Sapphic Cabaret has girl power? Well then, do you think the Bontarian Sapphic Cabaret effectively utilized their girl power by propagating the Bonta-supremacist view among their viewers using their sex appeal, in service of the corrupt nobility?
God, redressing from that costume in five minutes sounds hellish.
A lot of shows would have made an episode, where their male protagonist cross dresses, and infiltrates a "female space", one filled with Goofs about him being a pervert, or uncomfortable, or would have him act visibly flustered. Because it's "funny", man in drag fails at being a woman, laugh.
...I am very happy this one doesn't go in that direction, for many, many reasons.
Realistically, after losing his fiancée, after weeks, or months, in a psychiatric ward, he really wouldn't have "this is a place full of pretty women", of all things, on his mind.
Beyond that, the whole concept of drag as a joke at the expense of the person wearing it, is, well, offensive, and to see it being something more than that, is quite refreshing.
His nerves come from how much he has to do, and how out of depth he is.
This guy has never worked in a high-stress environment like that, he's never done a girly thing before either! He just fucked up a woman's wig, and is about to burn a hole through these clothes. Things are bad.
The real Lili wasn't fucking lying: this really is hell.
Your daily reminder that, for all the jokes of Joris being a manlet, Kerubim is almost the exact same height as he, give-or-take like, ten centimetres.
The thing is that, he used to hate himself so much, that he developed 30-50 addictions and gave her magical amnesia about it.
Now he wants her back so badly that he's drinking tea in taverns, dressing up as a woman (despite, y'know, his incredibly fragile sense of masculinity), and he's chasing her despite knowing how badly he fucked up and that she may never forgive him, simply because he wants to try to make it work anyway.
What he hadn't solved, is his issue with lying, but it is a nice sentiment, — for him to be ready to toss aside his previous identity that used to serve as his shield, in favour of this more vulnerable, girlfailure-esque one.
He can't even muster it in him, to feel bad, when Lou's teasing him here.
I think it's also important to point out that this episode is, funnily enough, one where we see young Kerubim at his most carefree and happy, and his relationship with Lou at it's peak.
He isn't forcing himself to learn how to do make-up through gritted teeth just to get closer to her. He's learning that his girlfriend's interests are fun, and that he likes it. That he's been missing out all this time.
Yes, as an old man he views it as "forgetting who he really is," but to say this didn't affect him greatly, would be a big, big lie. He is still implied to, at times, do drag. He's far more emotionally open with his peers, and doesn't really view it as a weakness anymore. He knits, for god's sake.
Also, and I'm sorry for this., but he has an actual fucking Single-Mom Syndrome. A fatal case of it, in fact. So that's just one last nail in the coffin, proving that this really was one of the most profound thing to ever happen to him, and one that changed his brain chemistry forever, for better or for worse.
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L'amour... C'est comme une fleur On le le nourrit avec la tendresse. l'amour... C'est comme un bébé Il a toujours besoin d'attention L'amour... C'est une vie C'est se sacrifier Se supporter et se comprendre L'amour... La plus belle folie La plus vraie raison L'amour c'est nous, c'est vous C'est tout ce qui existe sur terre La mer avec les murmures des vagues Les étoiles avec sa brillance Les planètes avec son harmonie C'est de l'amour tout ça L'amour c'est toi, c'est moi
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Enfin une bonne nouvelle ?
Vous n'allez pas me croire... Pourtant, parfois, à l'opposé complet de tout ce que racontent tous les perroquets officiels (et Dieu sait s'ils sont nombreux et ne reculent devant rien !), il arrive un moment où finit par surgir de la brouillasse ambiante une vraie bonne nouvelle. Celle dont je veux vous parler aujourd'hui ressemble un peu à une divine surprise��: ''LA VRAIE BETISE EST AUTO-DESTRUCTRICE''... et cette révélation frappe nos pitoyables dirigeants comme une pandémie (mais une vraie, cette fois !).
Les exemples abondent, hélas, de la malveillance, intentionnelle à en être vicelarde et qui paraît parfois être ''par système''... avec laquelle nos incapables ''leaders'', irresponsables mais très coupables, mènent le pays à sa perte. Immigration, écologie, Europe, démographie, dette, fiscalité, paix civile et sécutité, école, etc... la bêtise de chacune de leurs décisions crève les yeux de qui veut bien ne pas garder les siens ''grands fermés''. La démonstration –si besoin était-- de leur inaptitude chronique à trouver de bonnes solutions aux problèmes qu'ils devraient résoudre vs. les mauvaises solutions qui semblent être les seules qu'ils soient capables d'imaginer, tient en un seul souvenir, lourd de honte et de bobards : le covid.
Quand un groupe d'êtres plus inhumains que humains, mais nuls, devient détenteur d'une autorité qu'aucun d'eux ne mérite... et a le culot –devant la face du monde, le jugement à venir de l'Histoire, et la totalité de ses contemporains (ravalés au rang de sujets traités en objets)-- d'oser formuler le tiers du quart des phrases qui nous ont été imposées ''H 24'' et ''7 s/7'' pendant des mois, sans aucune raison valable ni, d'ailleurs'' le moindre début d'excuse, de pardon ou de mea culpa... c'est qu'ils (ces nuls) s'imaginent tout permis et se croient protégés par une immunité ''de système'', elle aussi. Décidément, plus on creuse et plus la ''bonne nouvelle'' annoncée en titre de cet éditorial se révèle être une catastrophe, pour d'autres : ''LA VRAIE BETISE RAVAGE TOUT'' !
La volonté de destruction de ces nuisibles touche tous les secteur de l'activité et de la pensée : le but officieusement poursuivi officiellement (vous suivez ?) est que plus personne ne s'y retrouve : toutes les références doivent sauter pour soi-disant permettre à leur rêve cauchemardesque d'un hypothétique ''homme nouveau'', indéfini en tout, de pouvoir exister dans son inexistence. Les instigateurs-propagateurs de ces idées mortelles et sans le moindre sens vont donc ''détricoter'' l'un après l'autre tous et chacun des ''chapitres'' de l'activité humaine et de toute civilisation.
Nous avions mentionné plus haut le covid, mais les mêmes stratégies de recherche d'absurde à tout prix se retrouvent partout, de l'atome à l'immigration, de la dette nationale aux jeux olympiques (que Alain Bauer, pourtant pas un excité, qualifie de ''crime-tels-qu'ils-sont-envisagés''), du conflit russo-ukrainien aux fantasmes russophobes de l'Elysée, de l'Europe à... l'Europe (car là, avec la mère von den truc, on est dans la folie au carré !), de l'industrie à l'agriculture ou du soi-disant ''sociétal'' à la religion –ou, plus exactement, au seul christianisme, l'islam ayant toutes les faveurs de nos ravageurs : il est nettement plus proche de la volonté de destruction que, par exemple, le catholicisme qui bâtit sans cesse, transmet, s'améliore et veut le ''vrai bien'' des hommes !
Et puisqu'on vient de mentionner cet ''ennemi public n°1'' des vrais ennemis des peuples que sont nos actuels ''maîtres-à-penser-de-traviole'', laissez-moi partager avec vous un de mes grands sujets de tristesse du moment : vous rendez-vous compte que le promeneur moyen, de nationalité française (NDLR - Même s'il n'est pas un de ces ''français de papiers'', ces fruits blets de lois injustifiables et d'une administration pyromane, qui n'ont de français que leurs ponctions moralement indues sur notre richesse nationale), qui se balade le nez au vent dans les rues de Paris (si ce modèle ancien existe encore !) est incapable de savoir à quoi ou à qui correspond le nom de 90% des rues, des places, des avenues qu'il emprunte ou croise, et que, lorsque le même promeneur va tomber (et dans les villes françaises, c'est à peu près tous les kilomètres) sur une superbe église ou sur une de nos sublimes Cathédrales, il ne saura pas trop à quoi peut bien servir ce grand bâtiment ou à quoi correspond le drôle de nom dont on l'a affublé...
Mais puisque je parlais ''d'une bonne nouvelle'' dans le titre de cet éditorial, permettez-moi, s'il vous plaît, le grand bonheur de vous confirmer l'effondrement dramatiquement spontané donc raisonné des ventes de véhicules électriques, hybrides ou pas, dans tous les pays. Je crois avoir été l'un des très rares –et un des tout premiers-- à prendre dès le début une position très risquée sur ce sujet écolo-politique, et à vous parler, souvent, de cette ''arnaque du siècle''. Tant que des gouvernements, myopes au point d'en être aveugles, ont subventionné dans des proportions insensées les achats de voitures électriques, on a pu croire à un succès de la folie sur l'intelligence. Ça ne pouvait pas durer longtemps ! La raison, normalement, reprend ses droits et l'intelligence, ses prérogatives !
Dès que l'actualité a rendu obligatoire l'arrêt de toute urgence des conneries absolues, la vérité a surgi du puits, belle, calme, incontournable, majestueuse : on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif. Je suis si content de cette manifestation (très attendue, en ce qui me concerne) de la Justice immanente (dont les lecteurs réguliers de ce Blog connaissent l'importance pour moi...) que je vous en reparlerai très bientôt, ne serait-ce que pour vous confirmer –si besoin était-- que ''La Vraie bêtise est auto-destructrice'', CQFD !
H-Cl.
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Ils parlent de la mode
Yves Saint-Laurent par Jeanloup Sieff, 1971
1. « La mode passe, le style reste » - Yves Saint-Laurent
2. « Etre un pas en avance sur la tendance de la mode n’est pas si important pour moi. Ce qui compte, c’est toujours aller de l’avant » - Sonia Rykiel
3. « Si tu ne peux pas être mieux que la concurrence, il suffit de t’habiller mieux » - Anna Wintour
4. « Ce n’est pas la robe que vous portez qui compte, mais la vie que vous menez en la portant » - Diana Vreelan
5. « La plus grande élégance, c’est la vérité » - Thierry Mugler
Giorgio Armani
6. « L’élégance ce n’est pas se démarquer, mais être mémorable » - Giorgio Armani
7. « Les femmes nulles suivent la mode, les prétentieuses l’exagèrent, mais les femmes de goût pactisent agréablement avec elle » - Marquise du Châtelet
8. « Les vêtements que je préfère sont ceux que j’invente pour une vie qui n’existe pas encore, le monde de demain » - Pierre Cardin
9. « Vaines bagatelles qu’ils semblent être, les vêtements ont, disent-ils, un destin plus important que de nous tenir chaud. Ils changent notre vision du monde et le point de vue du monde sur nous » - Virginia Woolf
10. « La mode me dépasse. Mon imaginaire dépasse les limites normales et m’entraîne où je ne voudrais pas aller » - Yves Saint-Laurent
Jane Birkin
11. « Mon style est comme un cocktail. Je ne suis pas aussi apprêtée qu’une française mais je m’en fiche comme une anglaise » - Jane Birkin
12. « La mode est avant tout un art du changement » - John Galliano
13. « La chose la plus difficile dans la mode n’est pas d’être connu pour un logo, mais d’être connu pour une silhouette » - Giambattista Valli
14. « Donne à une fille les bonnes chaussures et elle peut conquérir le monde » - Marylin Monroe
15. « Pour être irremplaçable, il faut être différente » - Coco Chanel
Coco Chanel
16. « On est jamais trop, ni pas assez habillé avec une Petite Robe Noire» - Karl Lagerfeld
17. « La mode n’est pas quelque chose qui existe uniquement dans les vêtements. La mode est dans l’air, portée par le vent. On la devine. La mode est dans le ciel, dans la rue. » - Coco Chanel
18. « L’élégance est la seule beauté qui ne se fane jamais » - Audrey Hepburn
19. « J’aime être une femme, même dans un monde d’hommes. Après tout, les hommes ne peuvent pas porter de robes, mais nous pouvons porter des pantalons » - Whitney Houston
20. « J’aime mon argent quand il est là où je peux le voir : sur des cintres, dans mon armoire » - Carrie Bradshaw
Carrie Bradshaw dans Sex & The City
21. « La femme à la mode porte le vêtement. Ce n’est pas le vêtement qui la porte » - Mary Quant
22. « Les femmes s'habillent pour elles-mêmes. Si elles s'habillaient pour les hommes, elles seraient tout le temps nues » - Betsey Johnson
23. « La mode est ce que vous offrent les créateurs quatre fois par an. Le style est ce que vous choisissez » - Lauren Hutton
24. « La différence entre le style et la mode est la qualité » - Giorgio Armani
25. « Ne soyez pas dans les tendances. Ne laissez pas la mode s’emparer de vous, mais décidez de ce que vous êtes, de ce que voulez exprimer par ce que vous portez et de la façon dont vous vivez » - Gianni Versace
Gianni et Donatella Versace
26. « La mode doit être une forme d’échappatoire, et non une forme d’emprisonnement » - Alexander McQueen
27. « La moitié de mes créations sont de la fantaisie contrôlée, 15 % de la folie pure, et le reste du terre-à-terre » - Manolo Blahnik
28. « La seule vraie élégance est dans l’esprit; si vous avez ça, le reste vient vraiment de ça » -Diana Vreeland
29. « Je ne crée par des vêtements, je crée des rêves » - Ralph Lauren
30. « Au fil des années j’ai appris que ce qui est important dans une robe, c’est la femme qui la porte » - Yves Saint Laurent
31. « Les hommes me disent que j’ai sauvé leur mariage. Cela leur coûte une fortune en chaussures, mais moins cher qu’un divorce » - Manolo Blahnik
32. « Les vêtements ne vont pas changer le monde, les femmes qui les portent, si » - Anne Klein
33. « Quand vous doutez, portez du rouge » - Bill Blass
34. « La mode est un langage de l’instant » - Miuccia Prada
35. « J’adore et j’admire tous ceux qui sont différents. J’aime ça. Le jet set est banal. Le bon goût est banal. L’excentricité est chic. Le bon goût paralyse. Mais la mode du punk ou de la rue ou un corps couvert de tatouage c’est intéressant pour moi et j’adore » - Jean-Paul Gaultier
36. « Ne jamais dire jamais – dans la mode et dans la vie » - Ashley Olsen
37. « La seule raison pour laquelle je suis dans la mode est de détruire le mot conformité » - Vivienne Westwood
38. « Il n’y a pas de mode si elle ne descend pas dans la rue » - Coco Chanel
39. «L’élégance est une question de personnalité plus que de vêtements » - Jean-Paul Gaultier
40. «Une belle robe, c’est une comédienne qui parle juste » - Sonia Rykiel
41. « La mode se démode, l’allure est intemporelle » - Coco Chanel
42. « Les gens de la mode n’aiment que ce qu’ils ne comprennent pas. Alors il suffit de faire un truc incompréhensible et ils t’adorent » - Loïc Prigent
43. « La mode est ce que l'on porte. Ce qui est démodé, c'est ce que portent les autres » - Oscar Wilde
44. « Le style est une manière de dire qui vous êtes sans parler » - Rachel Zoe
45. « Le style sait qui vous êtes, ce que vous voulez dire, et ce dont vous vous fichez » - Orson Wells
46. « Effacez le négatif, accentuez le positif. » - Donna Karan
47. « C’est l’attitude qui fait tout. » - Diane von Furstenberg
48. « Une femme doit être deux choses : classe et fabuleuse. » - Coco Chanel
49. « La mode est ce que vous offrent les créateurs quatre fois par an. Le style est ce que vous choisissez. » - Lauren Hutton
50. « La simplicité est l’ultime sophistication » - Léonard de Vinci
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En rééducation, ils disent tous qu'ils ont peur.
Surtout peur de. Parler....
A Marseille, ils ont mis la chanson de Guy beart
'le premier qui dit la vérité est condamné à être assassiné ' .... Donc les gens espèrent survivre et ils meurent....
La vraie folie, c'est rtl puisque Marseille était une ville rtl...
Donc Francis zegut était le chef et sa compagne 'la reine'..
Après Georges Lang est devenu le chef. Mais la même 'reine'
La folle, quelquefois la psychiatre folle ...
La psychiatre psychopathe qui a peur d'avoir dit sa vraie place dans nxivm....
Arrivederci....
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Traduction de l'espagnol vers le français de l'article ‘[REC] Terror sin pausa’: nos sumergimos en el fenómeno [REC] du site soydecine.com
CRITIQUE CINE
« [REC] : La terreur immuable » : au cœur du phénomène [REC]
La critique du jour porte sur le phénomène cinématographique et social qu’est la franchise [REC]
Publié il y 1 an le 12 octobre 2022
par Iker Casado
Sommaire
⸱ « [REC] : La terreur immuable » recèle d'informations
⸱ Anecdotes de tournage
⸱ « [REC] : La terreur immuable » dissèque le phénomène
⸱ Un documentaire pour comprendre l'importance de [REC]
⭐⭐⭐⭐⭐5/5
Ce qu’il s’est passé en 2007 lors de la sortie d'un film d'horreur espagnol n'avait pas de nom… En fait si, il en avait un : [REC]. Soydecine.com nous a permis de prendre place, 15 ans plus tard, dans la salle où le film a été présenté en avant-première lors du festival de Sitges, au cinéma Retiro, et de regarder le documentaire [REC] : La terreur immuable, qui retrace l'histoire de ce film.
« [REC] : La terreur immuable » recèle d’informations
youtube
BANDE-ANNONCE DE « [REC] : LA TERREUR IMMUABLE | FILMAX
Il faut tenir compte du fait que « [REC] : La terreur immuable » recèle des interviews sur lesquelles nous nous basons pour notre travail. De ce fait, ce documentaire est diversifié et la quantité d'informations que nous collectons est considérable. La plupart des personnes impliquées s'adressent à la caméra pour raconter leur expérience, et en ce sens, le documentaire a vu juste : pour les fans, connaître toute l’histoire est toujours appréciable.
Dans « [REC] : La terreur immuable », nous voyons l'idée naître, le soutien des producteurs, et comment les réalisateurs du film, Jaume Balagueró et Paco Plaza, se lancent ensemble dans un projet qu'ils considèrent comme expérimental et dont ils doutent de sa sortie au cinéma. Ce documentaire renvoie à une lutte constante, à des obstacles, mais aussi à des personnes passionnées qui se battent pour un projet qui, au départ, semblait démentiel. Mais la vraie folie survient par la suite.
Anecdotes de tournage
« [REC] : La terreur immuable » est réalisé par Diego López-Fernández, un inconditionnel du long-métrage ; de ce fait la majorité du documentaire est dédiée à l’exploration des coulisses d’un film qui a l’air improvisé, mais qui, de toute évidence, ne l’est pas. Chaque scène est calculée et les répétitions sont la clé de voûte du tournage. Nous avons le point de vue de tout le monde sur le tournage et cette diversité de points de vue nous donne parfois le contraste dont nous avons besoin pour voir les choses en perspective.
En tant que fans, nous affectionnons les anecdotes de tournage, les rires, tous les moments qui nous rapprochent de l'équipe en coulisses, au-delà du résultat final du film, qui nous enthousiasme tous et toutes. Connaître les changements effectués à la dernière minute, les maquillages nés d'idées folles sans trop se concerter à l'avance, tout cela crée une histoire qui rapproche et qui passionne.
« [REC] : La terreur immuable » dissèque le phénomène
« [REC] : La terreur immuable » ne s'arrête pas à la fin du tournage, ni à la sortie du métrage, mais prend soin d'analyser tout ce qu'il a impliqué : des premiers visionnages du film final qui n'ont pas convaincu à l'influence qu'il a eu au niveau mondial ; de sa première projection publique à la Mostra de Venise, aux parodies et remakes qui ont été réalisés, en passant par les suites créées par les réalisateurs eux-mêmes. Mais le moment le plus important, c'est la projection dans la salle du Retiro à Sitges.
youtube
CRITIQUE CINE DE [REC] « [REC] : La terreur immuable » | CHAÎNE DE soydecine.com
Voir toutes les personnes impliquées dans cette salle, regarder « [REC] : La terreur immuable », se souvenir qu'il y a 15 ans, [REC] a déchaîné les passions, s’est avéré une expérience brutale. Finalement, voir la communauté de l'horreur, les fans du genre, célébrer une telle chose, c'est toujours palpitant. Le film célèbre cela.
Un documentaire pour comprendre l’importance de [REC]
« [REC] : La terreur immuable » est un documentaire dont les fans raffolent, mais qui permettra également à celles et ceux qui ne connaissent pas le film de prendre conscience de son importance. Et c'est finalement ce qui compte : partager l'amour du cinéma que nous chérissons tant.
Source :
FR · Me voilà de retour d'un long silence ! J'en suis désolé, mais cette année je me promets d'être plus régulier dans les publications. Pour info, je me donne comme objectif de publier tous les 15 jours. Ça me semble un bon compromis.
On revient avec un article sur un documentaire consacré au film REC. Je n'ai vu ni le film, ni le documentaire, mais c'est un des piliers du cinéma d'horreur et je me devais de traduire un article à son sujet !
ES · ¡Vuelvo después de un prolongado silencio! Lo siento, pero este año me he prometido publicar con más regularidad. Para que conste, mi objetivo es publicar cada 15 días. Me parece un buen compromiso.
Vuelvo con un artículo sobre un documental acerca de la película REC. No he visto ni la película ni el documental, pero es uno de los pilares del cine de terror, ¡y tenía que traducir un artículo sobre él!
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Soleil alcoolisé, tu ne vaux rien ! Non. Provoquer le rire chez un ami, le merci, l’accolade, la main tendue, le sourire complice. Ça mon vrai dieu, ça, c’est la vie. Garde-les, tes bières du désespoir, tes bières de l’ennui. Je ne veux aimer que la tendresse entre deux âmes vraies qui se connaissent et qui s’aiment. Quand est-ce que j’arriverais à te choper le cou, ennui fumier, à l’instant même où tu t’en vas étendre ta morsure sur mon âme ? Je t’aurais. Créer, mon vrai dieu, créer, c’est cela mon vrai pays, ma vraie terre de repos et là où je veux vivre pour de bon. Un jour, je vous le dis, à vous, pourris démons, je quitterais vos enfers merdiques. Car je sais que je suis fait pour le bonheur. Comment le sais-je ? Car le bonheur me rend heureux, et que vos terres m’ont été infertiles. Allez, salut. C’est déjà terminé. Je vous quitte. Je vous parle de loin déjà. J’ai quitté la rive. J’ai gagné. Côtes sauvages, campagnes bourdonnantes, neon lights des villes, quartiers de ma jeunesse, peu importe. Je vous ai vidé de toutes vaines espérances, de toute satanique poésie. Moi, je m’en vais dire “Bien le bonjour !” aux gens, avec le cœur libre et franc. Je m’en vais tout réussir... Je viens d’éclater ma mémoire au sol. Tous les mauvais rêves, les angoisses inutiles... Je suis fou ! Non, je ne suis pas fou ! Je viens de quitter cet énorme moi-même que je croyais être moi-même ! C’était ça ma folie ! Eh ! c’est fini. Fini ! Fini, fini, fini ! Tous les dimanches de l’âme, ma chambre maudite, la nausée de vivre, et... l’ennui ! Fini, fini, fini ! J’ai trop bien compris... comment les choses sont en vérité... simples !... gratuites... Je me fous, de la médiocrité générale, de mon incapacité à..., des femmes, des autres, de la société, des news, de ma “carrière”. Papa ! Ça va ? Moi ça va. À plus ! C’est moi ! C’est moi qui décide comment je veux que mon monde soit. C’est tout ! Tout oser.
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Une idée.....
Et si je me séparais de tous ce que j'avais, si je réglais tout pour m'enfuir loin de tout en ne devant plus rien à qui que ce soit et vadrouillant où le cœur m'en dira.
La vraie liberté ne serait pas ÇA, être pour soi et rien que pour soi, parler aux gens qu'on ne connaîtrait même pas, faire des découvertes de folies et découvrir les petits plats de nos régions.
Mais dans ce monde on est pris pour un fou si on veut mener ce genre de vie, l'aventure se résume aujourd'hui au cinéma. J'en ai pourtant tellement rêvé, une aventure comme dans ces films justement.
Je vais pour le moment continuer cette vie insipide et dénué de sens, où mon quotidien va continuer à être , aller au boulot et rester seul chez moi. C'est peut être pas plus mal, je n'aurais pas le sentiment d'être qu'un outil au service de mes proches, de n'exister que quand on a besoin de moi..........
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Séance du mercredi 2023-11-29
Laputa c'est quand même un nom étrange
Le château dans le ciel - 天空の城ラピュタ - Netflix - 2h05 - 🇯🇵🏰🤖
Comme vous êtes au pays du cinéma vous avez la chance d'aller voir en salle le dernier film d'animation du maître Miyazaki. Dans notre pays exotique nous n'avons pas encore eu cette chance alors du coup on revoit tous les films du studio Ghibli pour passer le temps. Après Naussicaä une fable écologique on est là face à une fable anti guerre. Les méchants hommes en marrons du gouvernement tente d'emprisonner une jeune femme qui est héritière d'un royaume disparu.
Le film explore de nombreux thèmes chers à Miyaszaki, l'aviation, les royaumes oubliés, la folie des Hommes... Le tout avec une virtuosité et une poésie sans nom. Si Nausicaä manquait parfois de rythme Le château dans le ciel montre à voir une épure de cinéma parfait où tout s'ordonne autour d'un message d'une beauté hallucinante.
8/10
Encore une histoire vraie... Mais au moins c'est marrant
Quiz Lady - Netflix - 1h40 - 🇺🇸🎯🦮
Awkwafina est une actrice américaine d'origine chinoise qui me fait très souvent rire, donc quand elle décide de participer à un film je lève un sourcil. Elle joue ici Anne une introvertie qui n'aime que deux choses dans la vie, son chien et une émission de trivia à la question pour un champion. Un jour forcée par sa sœur extravertie (Sandra Oh) elle va participer au jeu en tant que candidate.
Aucune surprise ici, c'est l'archétype du film hollywoodien. Elle ne veut pas, elle ne peut pas, elle se fâche avec sa sœur et à la fin le pouvoir de la famille bla bla bla. Et pourtant, on ne passe pas un mauvais moment, l'alchimie fonctionne, Will Ferell en animateur du jeu est fort sympathique. Un bon dimanche soir au coin de la télévision.
5/10
croa croa
Les oiseaux - The Birds - Internet - 1h59 - 🇺🇸🐦⬛🦜
Le maître du suspens des années 60-70 adapte une nouvelle de la romancière britannique géniale Daphné du Maurier. Que pourrait-il donc se passer? Une riche fille à papa rencontre un avocat sexy chez la vendeur d'oiseaux. Et donc elle décide de le suivre dans sa ville d'origine pour le week-end.
La pauvre Mélanie arrive en ville et pouf elle se fait agresser par une mouette. Les poules arrêtent de manger, les corbeaux commencent à s'agiter... Bref les oiseaux ne sont pas content. Le film n'est pas le meilleur de la carrière d'Alfred (on pense à fenêtre sur cour...) mais il y a quand même de grands moment (la discussion entre Mélanie et Annie pleine de sous-entendus est une des scènes de dialogue les plus forte du cinéma américain). À voir dans une vie de cinéphile quand même.
7/10
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OPPENHEIMER - Comment représenter un homme aussi complexe que le père du projet Manhattan ? C’est par le biais d’une trame narrative virtuose et sinueuse que Christopher Nolan raconte Robert Oppenheimer et la folie d’un monde scientifique en proie à son hubris de domination et de pouvoir absolu.
Avec ce film, Christopher Nolan embrasse clairement les films de l'Âge d'Or Hollywoodien : du biopic opulent à la reconstitution d'époque exemplaire et au casting all-star. Un classicisme global où on explore la vie d'une figure historique importante (son œuvre, les retombées politico-médiatiques et l'impact de son entourage), mais évidemment avec la patine de Nolan (la première heure opère sur 3 timelines différentes, tandis que la dernière heure sur 2 avec autant de points de vue).
Et si cette structure peut paraître complexe sur le papier (ou dans l'amorce du récit), le tout fait finalement sens (le récit aurait été complètement imbuvable si narré chronologiquement) tout comme l'usage du noir et blanc (minoritaire) pour aborder un point de vue extérieur à celui de Robert Oppenheimer.
Passé cela, effectivement on n'est pas submergés d'émotion, le personnage d'Opi est un peu caricatural, sa complexité est un peu simplifiée sinon soulignée, mais il y a une très grande matière à réflexion, et en définitive pas trop de réponses toutes faites aux enjeux monumentaux que la construction de la Bombe Atomique a soulevé pour l'éternité.
Oppenheimer fait office de vraie étude de personnage vis-à-vis de son protagoniste, ce qui en fait donc aisément un des meilleurs personnages de toute la filmographie de Nolan, même si ce n'est pas le meilleur rôle de Cillian Murphy, un peu trop lisse pour tant de torture intérieure. C'est au final régulièrement passionnant, érudit, et globalement bien interprété (mes favoris étant Benny Safdie, Matt Damon, Emily Blunt). Sans oublier de saluer Ludwig Goransson qui livre probablement la plus belle BO de l'année.
Pour le reste, c'est du grand cinéma, une image léchée, des séquences à couper le souffle, et un malaise persistant, tout à fait respectable, lié à la volonté de ne pas en finir avec la question beaucoup trop douloureuse que soulève le réels motivations de la recherche et du développement scientifique. Les intérêts des scientifiques eux-mêmes sont confus, mélangés; entre gloire, réussite, déboires, responsabilités et fuite en avant, la puissance technique produite par le génie des hommes, reste ce qu'il y a de plus menaçant pour l'humanité. Les progrès qui nous mènent sur la Lune ne font pas toujours rêver, ils sont encore plus effrayants que la peur d'une nature qui potentiellement peut toujours aussi se déchainer.
On ne sort pas indemnes relativement à tous les enjeux littéralement étouffants qui nous saisissent; la vie et la mort restent aussi paradoxalement liées dans la bombe atomique que les ondes et les corpuscules au cœur des atomes qui la composent. Le prix de la Guerre ne se mesure pas seulement aux nombres de victimes qu'elle fait à chaque fois, mais aussi à la façon dont elle change le monde et la vie de ceux qui restent.
NOTE 16/20 - Malgré tout ce que les hyper spécialistes du cinéma et/ou de Nolan en diront.
Un impressionnant récit dédaléen où chaque moment, même les plus éloignés, entre en écho, s'interpénètre et tente de percer à jour le secret de ce physicien devenu la figure nébuleuse d'une humanité de plus en plus tentée par son autodestruction. Plus que la course contre-la-montre pour l'arme atomique engagée par l'Amérique contre l'Allemagne nazie, c'est le regard riche, ambigu et complexe que Christopher Nolan porte sur Robert Oppenheimer qui passionne.
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Dans l’insomnie qui réouvre la nuit, je repars le vidéo d’un cours de Patrick Boucheron (Fictions politiques). Il y a quelque chose de si fort dans son phrasé — quelque chose à la Stévenin en instituteur républicain chez Truffaut — que je suis tout à fait réveillée. Je note la fin de la séance où il cite longuement Foucault :
« C’est donc un livre - L’histoire de la folie à l’âge classique - qui fonctionne comme une expérience, pour celui qui l’écrit et pour celui qui le lit, beaucoup plus que comme la constatation d’une vérité historique… Pour qu’on puisse faire cette expérience à travers ce livre, il faut bien que ce qu’il dit soit vrai, en terme de vérité académique historiquement vérifiable. Ce ne peut pas être exactement un roman, pourtant l’essentiel ne se trouve pas dans la série de ses constatations vraies ou historiquement vérifiables mais plutôt dans l’expérience que le livre permet de faire. Or cette expérience n’est ni vraie ni fausse. Une expérience est toujours une fiction. C’est quelque chose qu’on se fabrique à soi-même, qui n'existe pas avant et qui se trouvera exister après. C’est cela le rapport difficile à la vérité, la façon dont cette dernière se trouve engagée dans une expérience qui n’est pas liée à elle et qui jusqu’à un certain point la détruit. » Patrick enlève ses petites lunettes, peut-être boit-il une gorgée d’eau, le coeur qui bat un peu trop fort. Il poursuit et se demande en rassemblant ses papiers : « Comment mener une histoire de la vérité qui est en fait une histoire des effets du vrai… Cette histoire nous manque aujourd’hui parce que beaucoup de puissants doutent de la force du vrai ». Il s’arrête un instant avant de reprendre comme on réfléchit à voix haute avec quelque chose qui le préoccupe, résumé ici sous la forme d’une question qui lui est souvent adressée : pourquoi ces détours dans des temps si lointains pour penser le présent et même en quoi cela aide-t’il à le penser? Alors il lit sa dernière page, presqu’à la course, par élégance ou modestie parce que chaque mot est si bien pesé, quelques phrases pour embrasser un grand terrain de pensée, un grand terrain de nulle part chanterait Bashung, qu’il essaie d’en alléger la docte portée : «l’archéologie ne vise pas à fouiller le passé mais à ouvrir l’avenir. Elle met au jour une vérité historique qui était rendue invisible par sa visibilité dont les effets percutent le présent. Mais cette vérité n’est rien en elle-même si on n’organise pas les choses pour qu’il y ait dans le langage une expérience ».
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Le train est entré en gare. Je n’étais plus très sûr de mon aventure quand j’ai vu la machine. Je l’ai embrassée Molly avec tout ce que j’avais encore de courage dans la carcasse. J’avais de la peine, de la vraie, pour une fois, pour tout le monde, pour moi, pour elle, pour tous les hommes.
C’est peut-être ça qu’on cherche à travers la vie, rien que cela, le plus grand chagrin possible pour devenir soi-même avant de mourir.
Des années ont passé depuis ce départ et puis des années encore… J’ai écrit souvent à Detroit et puis ailleurs à toutes les adresses dont je me souvenais et où l’on pouvait la connaître, la suivre Molly. Jamais je n’ai reçu de réponse.
La Maison est fermée à présent. C’est tout ce que j’ai pu savoir. Bonne, admirable Molly, je veux si elle peut encore me lire, d’un endroit que je ne connais pas, qu’elle sache bien que je n’ai pas changé pour elle, que je l’aime encore et toujours, à ma manière, qu’elle peut venir ici quand elle voudra partager mon pain et ma furtive destinée. Si elle n’est plus belle, eh bien tant pis ! Nous nous arrangerons ! J’ai gardé tant de beauté d’elle en moi, si vivace, si chaude que j’en ai bien pour tous les deux et pour au moins vingt ans encore, le temps d’en finir.
Pour la quitter il m’a fallu certes bien de la folie et d’une sale et froide espèce. Tout de même, j’ai défendu mon âme jusqu’à présent et si la mort, demain, venait me prendre, je ne serais, j’en suis certain, jamais tout à fait aussi froid, vilain, aussi lourd que les autres, tant de gentillesse et de rêve Molly m’a fait cadeau dans le cours de ces quelques mois d’Amérique..
Louis Ferdinand Celine
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