#Vol de l'Aigle
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1er mars 1815 : Napoléon débarque à Golfe-Juan, c'est le début des Cent-Jours
Le 1er mars 1815, un événement historique majeur se produit lorsque Napoléon Bonaparte débarque à Golfe-Juan, marquant ainsi le début d’une période connue sous le nom des Cent-Jours. Ce jour-là, une petite flottille apparait au large des côtes françaises, mettant fin à la période d’exil de Napoléon sur l’île d’Elbe. Parti de l’île d’Elbe le 26 février, Napoléon est à bord de l’Inconstant, accompagné de six autres navires. Avec lui se trouvent ses proches et environ mille soldats de sa garde.
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Aux côtés de l’Empereur se trouvaient les hommes qui formaient en quelque sorte son gouvernement sur l’île d’Elbe : le général Bertrand, chargé des affaires intérieures et l’un de ses plus proches conseillers, le général Drouot, assumant le rôle de ministre de la Guerre, et Peyrusse, trésorier de la Couronne. Se trouvaient également le général Cambronne, le Dr Fourreau de Beauregard mais aussi Pons de l’Hérault, ainsi que son personnel, incluant Marchand, son premier valet de chambre, et Saint-Denis, surnommé “le mamelouk Ali”.
Pendant la traversée, Napoléon s’était retiré dans sa cabine, plongeant dans l’élaboration des proclamations qui marqueraient son retour. Ces missives, soigneusement préparées à l’avance, étaient destinées à être distribuées dès son arrivée, toutes deux datées du 1er mars, jour symbolique de son débarquement et du renouveau.
Dans son discours adressé au peuple français, il justifiait son retour en expliquant les circonstances de son départ en 1814, attribuant son échec à la trahison des maréchaux Augereau et Marmont.
Aux soldats, il dévoile les voies de la gloire et prononce les paroles qui deviendront emblématiques :
“La victoire avancera au pas de charge. L’Aigle, arborant fièrement les couleurs nationales, planera de clocher en clocher jusqu’aux tours de Notre-Dame.”
Après trois jours de navigation, la flottille arrive enfin au mouillage dans l’anse du golfe Juan. Napoléon, arborant fièrement le drapeau tricolore français, décide de procéder au débarquement. Une escouade de grenadiers est envoyée en reconnaissance pour s’assurer que les côtes sont sûres. La côte est en effet sans défense, aucune batterie côtière n’étant présente à cet endroit, démontrant ainsi que les autorités n’ont à aucun moment envisagé que Napoléon tenterait un débarquement dans le sud de la France.
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Le lendemain matin, Napoléon consulte une carte pour planifier la suite de son itinéraire vers Grenoble. Il décide de suivre la route des Alpes plutôt que de traverser la vallée du Rhône, où il a été conspué l’année précédente en se rendant à l’île d’Elbe. La troupe se remet en marche, avec Napoléon montant à cheval et ses hommes à pied.
Au cours de la journée, des contacts sont établis avec les autorités locales et la population. Certains habitants manifestent leur soutien à Napoléon en illuminant leurs maisons et en criant “Vive l’Empereur”, tandis que d’autres observent son passage avec une certaine indifférence.
Après avoir stationné quelques heures à Cannes, Napoléon repart à l’aube en direction de Grasse. Ainsi se clôt, sur le littoral français, la première étape de ce que l’on appellera plus tard le “vol de l’Aigle”, un périple qui devait mener l’Empereur jusqu’à Paris en vingt jours.
***
On March 1st, 1815, a major historical event occurred when Napoleon Bonaparte landed at Golfe-Juan, marking the beginning of a period known as the Hundred Days. That day, a small flotilla appeared off the French coast, ending Napoleon's exile on the island of Elba. Departing from Elba on February 26th, Napoleon was aboard the Inconstant, accompanied by six other ships, along with his close associates and about a thousand soldiers from his guard.
Alongside the Emperor were the men who formed his government on the island of Elba: General Bertrand, in charge of internal affairs and one of his closest advisors; General Drouot, serving as Minister of War; and Peyrusse, the Crown Treasurer. Also present were General Cambronne, Dr. Fourreau de Beauregard, as well as Pons de l'Hérault, along with his staff, including Marchand, his head valet, and Saint-Denis, nicknamed "the Mameluke Ali."
During the crossing, Napoleon retreated to his cabin, immersed in drafting proclamations that would mark his return. These carefully prepared messages were intended to be distributed upon his arrival, both dated March 1st, the symbolic day of his landing and renewal.
In his address to the French people, he justified his return by explaining the circumstances of his departure in 1814, attributing his failure to the betrayal of marshals Augereau and Marmont. To the soldiers, he unveiled the paths to glory and uttered words that would become iconic: "Victory will advance at a quick pace. The Eagle, proudly displaying the national colors, will soar from steeple to steeple to the towers of Notre-Dame."
After three days of sailing, the flotilla finally anchored in the bay of Golfe-Juan. Napoleon, proudly displaying the French tricolor flag, decided to proceed with the landing. A squad of grenadiers was sent out for reconnaissance to ensure the coast was secure. Indeed, the coast was undefended, with no coastal battery present, demonstrating that the authorities had never considered Napoleon attempting a landing in southern France.
The next morning, Napoleon consulted a map to plan the rest of his route to Grenoble. He chose to follow the Alpine route rather than crossing the Rhône Valley, where he had been reviled the previous year on his way to Elba. The troop resumed their march, with Napoleon riding on horseback and his men on foot.
Throughout the day, contacts were made with local authorities and the population. Some residents showed their support for Napoleon by lighting up their homes and shouting "Long live the Emperor," while others watched his passage with indifference.
After spending a few hours in Cannes, Napoleon set off again at dawn towards Grasse. Thus ended, on the French coast, the first stage of what would later be called the "Flight of the Eagle," a journey that would lead the Emperor to Paris in twenty days.
#france#napoleon#bonaparte#napoleon bonaparte#soldats#grande armée#Golfe-juan#débarquement#Cent-Jours#Vol de l'Aigle#Empereur#Empire
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PAUL KLEE . Mythe des fleurs (1918), aquarelle sur fond de craie, gaze, papier
Mythe des fleurs (1918), aquarelle sur fond de craie, gaze, papier journal, papier bronze argenté sur carton, Sprengel Museum Hannover, Hanovre
Premiers succès et la guerre
Klee retourne à Berne au moment de la déclaration de la Première Guerre mondiale. Jawlensky et Kandinsky s'exilent, tandis que Marc, Macke et Heinrich Campendonk sont mobilisés. Marc et Macke engagés volontaires, sont tués. Klee reste à Munich et continue sa peinture jusqu'en 1916, date à laquelle il rejoint l'armée où il est admis dans un régiment de réserve, ce qui lui laisse encore la possibilité de peindre, de participer à des expositions et de vendre des tableaux. Klee accompagne en 1917 un convoi de troupes à Nordholz, ville située en Basse-Saxe, et au retour, il rend visite au collectionneur Bernhard Koehlernote de Berlin.
Une exposition des tableaux de Klee est organisée en 1917 à la Galerie Der Sturm de Berlin, ses œuvres obtiennent un grand succès, et le journal de la Bourse de Berlin fait paraître un article élogieux sur son travail. Klee a surtout envoyé des aquarelles de 1916 avec des motifs figuratifs. Mais le peintre dans lequel la critique voyait « l'artiste allemand le plus significatif depuis la mort de Marc » n'a plus jamais connu un succès pareil par la suite. Cette exposition est un grand succès de vente pour Klee qui ne semble pas concerné par la guerre. La critique parle de « l'indifférence de Klee devant les évènements qui secouaient le monde », ce qui est un malentendu. Klee a été initié aux idées du socialisme par son ami Fritz Lotman, professeur de droit, qui lui a fait connaître l'essai d'Oscar Wilde, L'Âme humaine et le socialisme. Klee a intégré la révolution dans son art. Sa correspondance avec Kandinsky montre qu'il est préoccupé par la guerre mais qu'il s'attend comme beaucoup de gens à une rapide victoire des Allemands dont il espère « qu'elle apportera à nouveau les moyens en audace et en argent, de la part des mécènes et des éditeurs écrasés par le poids des dernières années et qui manquent de courage ». Son point vue sera modifié après la mort de Macke.
Les conditions économiques et financières de l'Allemagne sont favorables aux classes possédantes qui se sont enrichies grâce à la vente d'armement, ce qui les pousse à placer leur capital dans l'art moderne, comme le souligne Otto Karl Werckmeister, qui considère que ce moment est celui dans lequel « l'art moderne, qui jusqu'à la guerre, avait été un défi jeté à la culture bourgeoise, rejoint cette culture dans une idéologie commune(…) et c'est à cette guerre, qu'il croyait avoir condamnée, que Klee doit sa carrière. Klee est ici en pleine contradiction avec la revendication de liberté qu'il a exprimée en 1915 à travers sa théorie de l'abstraction »
En 1916, Klee a renoncé à l'abstraction et il s'est lancé dans l'illustration de poèmes chinois que lui a envoyés Lily. Il ne poursuivra pas cette expérience au-delà de quelques essais dont le plus souvent montré est : Jadis surgi du gris de la nuit 22,6× 15,8 cm, aquarelle, plume crayon sur papier, découpé et combiné avec du papier d'argent.
À Gersthofen en 1917, Klee a été marqué par le passage des avions. Le thème du vol et de l'aspiration à voler se retrouvera dans de nombreuses œuvres notamment
Mythe des fleurs (1918 aquarelle sur fond de craie, gaze, papier journal, papier
bronze argenté sur carton), ou Avec l'aigle (1918)
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On ne fait pas d'omelettes sans casser d'oeufs.
Avant 18 ans, toute ma vie était une coquille.
Aujourd'hui, une mer plus tard, loin du regard de ma mère, je peux le dire avec certitude. J'étais un embryon dans l'ombre, brillant silencieusement contre les parois de ma chambre d'écho dont la seule déco était la validation bon marché de ceux qui me couvaient.
Avant 18 ans, je n'avais jamais quitté la maison sans mes parents, ni mes parents sans rester à la maison. Je ne connaissais de ma ville que mon école, où j'ai passé 13 ans, et mes amis des sticks de colle au traffic d'alcool. Je ne connaissais de ma vie que les cours et le basketball, pimentée de temps à autre par l'occasionnelle sortie scolaire, qui parfois m'inspiraient l'idée folle que le monde pouvait s'étendre plus loin que les terrains et que j'étais peut-être en geole.
Blasphème si écoeurant, cabriole si absurde pour mon âme d'enfant, que je l'oubliais complètement sur le champ.
Avant 18 ans, mes étés m'hébétaient.
Quand l'école ferme, ma coquille se resserre. Sous l'oeil incontournable du soleil marocain, les murs devenaient humides, translucides; je glissais sur toutes les surfaces, je ne savais plus quoi faire. Toute la solitude de l'année s'abattait sur moi, d'un coup, et des fissures apparaissent, laissant entrer les froides vérités.
Je n'avais pas d'amis au-delà des salles de cours, pas de rêves au-delà de Casablanca; au fond, je croyais un peu que je mourrais dès que j'aurai mon baccalauréat.
A l'âge de 18 ans, ce baccalauréat, je l'eus. Dans le silence absolu.
Il y eut des sourires derrière les masques, des applaudissements, des compliments même. Mais je ne pouvais en entendre aucun. L'effritement prématuré de ma couveuse, ma coquille m'assourdissait.
J'étais incapable de croire que c'était là tout, qu'il n'y aurait plus de rentrée l'année prochaine; mais surtout révoltée, dégoûtée, terrifiée de voir mes plus proches me porter au bord du nid, non seulement déterminés mais fiers, de me lâcher.
L'impact fut brutal.
Une chute de 2km exactement, distance réelle entre mon lycée et mon Institut de Commerce, qui m'a broyée jusqu'à la dernière phalange.
J'atterris dans un campus jonché de débris, d'épaves fracassées, de plumes orphelines. Aucune figure n'était reconnaissable, aucun visage épargné par l'agressivité du bond.
Ma propre maison semblait étrangère, déplacée. Mes parents semblaient vieillis, mes amis dépassés. Entre les cours interminables et les commentaires minables de camarades sans face, mon psychologue me dit "Vous êtes trop académiques, vous."
A l'âge de 19 ans, en une nuit bénie post-concert, deux simples réalisations tirent les rideaux sur mon adolescence soudain interrompue.
Un, je suis vivante. Je peux respirer. J'avais tort. J'ai survécu le baccalauréat.
Deux, je suis liquide, fluide, maléable, et aucune gravité ne peut me détruire. Le fracas n'était pas moi.
C'était ma carapace de croyances candides, alourdissant un crash qui devait plutôt me permettre de planer.
Mais je ne me blâme pas, Il est dur de voler quand ses ailes sont encore gluantes d'albumen et que cette espèce d'Alpes humaines vous gardait dans leur ombre, au chaud, incapable de voir plus haut.
Aujourd'hui, je le sais, le choc était inévitable, malgré la lente et prudente dérive.
Seule, en France, loin de tout ce que j'ai connu pendant les deux premières décennies de mon existence, je reste académique.
Mes sorties scolaires évaluent l'épaisseur des murailles et calculent la profondeur de mes plongées. Je frissonne face à l'effrayant futur que je refuse de fuir malgré les prouesses de mon imagination anxieuse, et je me fraie un chemin jusqu'au bord du nid.
Encore et encore, pleine d'espoir et d'inspiration, j'inspire, et je bondis.
L'aigle froissé sait que le vol n'est envisageable qu'après méditation.
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◾ Prière pour ceux qui sont fatigués
Seigneur Tout-Puissant,
Toi qui es le refuge des âmes épuisées et la force de ceux qui chancellent, je viens devant Toi pour Te remettre tous ceux qui sont fatigués.
Tu as dit dans Ta Parole :
"Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos" (Matthieu 11:28).
Seigneur, nous nous approchons de Toi, chargés du poids des soucis, du labeur et des épreuves.
Pose Ta main bienveillante sur ceux qui n'ont plus la force d'avancer.
Ravive leur esprit, renouvelle leur courage, et remplis leur cœur de Ta paix.
Comme l'aigle qui reprend son envol, renouvelle leur vigueur, selon Ta promesse :
"Mais ceux qui se confient en l'Éternel renouvellent leur force; ils prennent leur vol comme les aigles; ils courent et ne se lassent point, ils marchent et ne se fatiguent point" (Ésaïe 40:31).
Seigneur, que Ta lumière éclaire leur obscurité, que Ton amour les réconforte et que Ton Esprit les restaure.
Donne-leur la force d’affronter chaque jour avec confiance, sachant que Tu es à leurs côtés.
Merci, Père, parce que Tu es notre repos et notre force inébranlable.
Dans le nom de Jésus,
Amen.
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Bonjour
Dans une vision, ne crains pas les vents contraires.
Le vent contraire permet à l'aigle de voler plus haut et tenir son équilibre dans sa vision. Les vents contraires sont utiles dans la réalisation de ta vision/ Tu as du potentiel/ HELP
Ésaïe, 40:31 - Mais ceux qui se confient en l`Éternel renouvellent leur force. Ils prennent le vol comme les aigles; Ils courent, et ne se lassent point, Ils marchent, et ne se fatiguent point.
Point de prière
Père Éternel, aide-moi à me servir même des vents contraires pour réaliser ma vision.
Au nom de Jésus.
Amen.
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Time after time I encountered despair
«Spesso il male di vivere ho incontrato: era il rivo strozzato che gorgoglia, era l’incartocciarsi della foglia riarsa, era il cavallo stramazzato.
Bene non seppi, fuori del prodigio che schiude la divina Indifferenza: era la statua nella sonnolenza del meriggio, e la nuvola, e il falco alto levato.»
"J'ai souvent rencontré le mal de vivre.
Il était dans le ruisseau qui gargouille, asséché;
Il était dans la feuille recroquevillée.
Il était dans le cheval à terre qui se meurt.
Je ne connus rien de bon, hors du prodige
Que porte en elle l'Indifférence divine;
C'était la statue d'un midi endormi,
et le nuage; c'était l'aigle qui porte haut son vol."
"Time after time I encountered despair.
I saw it in the strangled gurgling stream;
I saw it in the crackling of the autumn leaves.
I saw it in the eyes of a dying horse.
I knew no good, other than the prodigy
Exuded by cold, divine Indifference;
There was the statue in the sleepy warmth
Of noon, and the cloud, and the eagle flying high."
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Mercantour vue du ciel : une promenade en hélicoptère inoubliable
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Chères lectrices, avez-vous déjà rêvé de flotter au-dessus des montagnes, d'admirer la beauté brute de la nature sous un angle tout à fait unique? Si oui, préparez-vous à embarquer pour une promenade en hélicoptère à travers le Mercantour, l'expérience de toute une vie. L'invitation au voyage Partir à l'aventure dans le ciel bleu, sentir la montée d'adrénaline lorsque les hélices commencent à tourner, et voir la terre s'éloigner lentement; une promenade en hélicoptère est bien plus qu'un simple voyage, c'est une véritable immersion dans le spectacle de la nature. La promenade en hélicoptère: un rendez-vous avec les nuages Échappez à la routine et offrez-vous une évasion céleste à travers le Mercantour. Observez les sommets montagneux, les vallées verdoyantes et les lacs miroitants depuis votre promenade en hélicoptère. Découvrez le Mercantour comme vous ne l'avez jamais vu, un panorama d'une beauté à couper le souffle, déroulé juste sous vos pieds. Le Mercantour: une ode à la nature Au cœur des Alpes, le Mercantour est un véritable havre de paix pour la faune et la flore. Ses paysages pittoresques et sa biodiversité exceptionnelle en font une destination incontournable pour tous les amoureux de la nature. La faune du Mercantour: une rencontre privilégiée Lors de votre promenade en hélicoptère, vous aurez l'occasion d'apercevoir les acteurs discrets de cette nature sauvage. Des troupeaux de chamois et de bouquetins à l'élégant vol de l'aigle royal, le Mercantour est le théâtre d'une vie animale riche et fascinante. La flore du Mercantour: une palette de couleurs Le Mercantour est également un véritable jardin d'Eden, abritant une flore exceptionnelle. Dès le printemps, les prairies s'habillent d'une multitude de fleurs sauvages aux couleurs vives. Une promenade en hélicoptère au-dessus de ces champs fleuris est un véritable régal pour les yeux. A lire également : Le jardinage pour les femmes : le secret pour cultiver son bien-être et sa santé Préparer votre promenade en hélicoptère Une telle aventure nécessite une préparation adéquate. Assurez-vous de porter des vêtements confortables, emportez votre appareil photo pour immortaliser ces moments et n'oubliez pas votre enthousiasme pour cette expérience unique. Une aventure pour toutes Une promenade en hélicoptère est une aventure pour toutes, peu importe votre âge ou votre condition physique. Laissez vos craintes au sol et embrassez cette expérience exaltante. Chères lectrices, votre voyage à travers le Mercantour vous attend. Qu'attendez-vous? Prenez de la hauteur et découvrez la magie d'une promenade en hélicoptère au-dessus de ce joyau naturel. Votre aventure céleste n'attend que vous. Prêtes à embarquer? Read the full article
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SACRE ET MASSACRE DE L AMOUR
I
À l'orient pâle où l'éther agonise
À l'occident des nuits des grandes eaux
Au septentrion des tourbillons et des tempêtes
Au sud béni de la cendre des morts
Aux quatre faces bestiales de l'horizon
Devant la face du taureau
Devant la face du lion
Devant la face de l'aigle
Devant la face d'homme inachevée toujours
Et sans trêve pétrie par la douleur de vivre
Au coeur de la colombe
Dans l'anneau du serpent
Du miel du ciel au sel des mers
Seul symbole vivant de l'espace femelle
Corps de femme étoilé
Urne et forme des mondes
Corps d'azur en forme de ciel
II
Territoire fantôme des enfants de la nuit
Lieu de l'absence du silence et des ombres
Tout l'espace et ce qu'il enserre
Est un trou noir dans le blanc plein
Comme la caverne des mondes
Tout le corps de la femme est un vide à combler
III
L'aube froide
Des ténèbres pâles
Inonde les pôles
Du ciel et de la chair
Des courants souterrains de la chair et des astres
Au fond des corps de terre
Les tremblements de terre
Et les failles où vont les volcans du délire
Tonner
Entez sur le trépied
Celle qui hurle
La bouche mangée
Par l'amertume
En flammes du laurier de gloire
Écume
De la colère des mers
La femme à chevelure
D'orages
Aux yeux d'éclipsé
Aux mains d'étoiles rayonnantes
À la chair tragique vêtue de la soie des frissons
À la face sculptée au marbre de l'effroi
Aux pieds de lune et de soleil
À la démarche d'océan
Aux reins mouvants de vive houle
Ample et palpitante
Son corps est le corps de la nuit
Flamme noire et double mystère
De son inverse identité qui resplendit
Sur le miroir des grandes eaux
IV
Visitation blême au désert de l'amour
Aveugle prophétesse au regard de cristal
Que les oreilles de ton coeur
Entendent rugir les lions intérieurs
Du coeur
Le grand voile de brume rouge et la rumeur
Du sang brûlé par le poison des charmes
Et les prestiges du désir
Suscitant aux détours de ta gorge nocturne
La voracité des vampires
Danse immense des gravitations nuptiales
Aux palpitations des mondes et des mers
Au rythme des soleils du coeur et des sanglots
Vers le temple perdu dans l'abîme oublié
Vers la caverne médusante qu'enfanta
L'ombre panique dans la première nuit du monde
Voici l'appel la trombe et le vol des semences
L'appel au fond de tout du centre souterrain
Danseuse unissant la nuit à l'eau-mère
Végétal unissant la terre au sang du ciel
V
Comme Antée reprend vie au contact de la terre
Le vide reprend vie au contact de la chair
Je viens dans ton sein accomplir le rite
Le rythmique retour au pays d'avant-naître
Le signe animal de l'extase ancienne
Je viens dans ton sein déposer l'offrande
Du baume et du venin
Aveugle anéanti dans les caves de l'être
VI
Mais qui saurait forcer le masque de ta face
Et l'opaque frontière des peaux
Atteindre le point nul en soi-même vibrant
Au centre le point mort et père des frissons
Roulant à l'infini leurs ondes circulaires
Tout immobile au fond du coeur l'astre absolu
Le point vide support de la vie et des formes
Qui deviennent selon le cercle des tourments
Le secret des métamorphoses aveugles
D'où vient l'espoir désespéré
D'amour anéanti dans une double absence
Au sommet foudroyé du délire
Acte androgyne d'unité
Que l'homme avait à jamais oublié
Avant la naissance du monde
Avant l'hémorragie
Avant la tête
VII
Paroles du
Thibet
Il est dit autrefois
Qu'errant éperdue dans l'informe
Éparse dans l'obscurité
La pauvre ombre sans graisse du mort
La bouche pleine de terre
Dans le noir sans mémoire tourbillonne il fait froid
L'espace ne connaît que le glissement glacé des larves
Soudain
Si phalène que tente une lueur lointaine
Elle aperçoit la caverne enchantée
Le paradis illuminé des gemmes chaudes
Le règne des splendeurs et des béatitudes
Aux confins du désir essentiel
Qui jamais satisfait perpétuel se comble
À l'appel enivrant d'odeurs vertigineuses
Qu'elle y entre
Ombre morte
Et s'endorme
Pour se réveiller à jamais enchaînée
Engluée aux racines d'un ventre
Foetus hideux voué pour une vie encore
Au désespoir des générations
Roulé par la roue de l'horreur de vivre
Du vieux foetus aïeul
À notre mère putride
La pourriture aïeule
En robe de phosphore
La reine démente
Qui fait et défait
Les destins et les formes
Et du corps étoile
De l'éternelle femme
Livre les ossements à l'honneur de la cendre
Impose à l'orgueil de statue des chairs
L'horizontalité effroyable de l'eau
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The Greek Statue by OceanLord
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Chapter 0 - Le vol de l'Aigle : Beginning - Previous - Next
(M.MONNIER) Where is the imperial prince ? (HORTENSE) He should arrive Mr. Monnier (M.MONNIER) Well, that's strange... Let's start Your Highness. Today we will dive into the wonderful chapter on the Senate. You may have already heard about it. What does the Senate mean to you ? (HORTENSE) I don't know much Mr. Monnier. I know that it is one of the legislative chambers. My father, the Emperor, told me a little about his time in the Republican Senate (M.FAUSSARD) The republican senate was a retirement home for politicians, Your Highness (M.MONNIER) Faussard ! (M. FAUSSARD) The average age was 64 years....
FRENCH VERSION - VERSION FRANCAISE
(M.MONNIER) Où est le prince impérial ? (HORTENSE) Il devrait arriver, M. Monnier. (M.MONNIER) Eh bien, c'est étrange... Commençons Votre Altesse. Aujourd'hui, nous allons nous plonger dans le merveilleux chapitre sur le Sénat. Vous en avez peut-être déjà entendu parler. Que représente le Sénat pour vous ? (HORTENSE) Je ne le connais pas vraiment, M. Monnier. Je sais que c'est l'une des chambres législatives. Mon père, l'Empereur, m'a un peu raconté son passage au Sénat républicain... (M.FAUSSARD) Le Sénat républicain était surtout une maison de retraite pour politiciens, Votre Altesse. (M.MONNIER) Faussard ! (M. FAUSSARD) L'âge moyen était de 64 ans....
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Voici Xörn ! Mon charmant pirate elfe noir 😃 Il fait partit d'un projet que nous allons lancer bientôt sur KS avec Jahyra, Alice Picard, Le vol de l'aigle et Tiffanie Uldry ! #crowdfunding #kickstarter #soon #comingsoon #characterdesign #fantasy #illustration #renaissance #revival #costume #owl #owlpet #goodies https://www.instagram.com/p/CUDSHJ6KNDj/?utm_medium=tumblr
#crowdfunding#kickstarter#soon#comingsoon#characterdesign#fantasy#illustration#renaissance#revival#costume#owl#owlpet#goodies
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Un alérion est un aiglon ou un petit aigle sans bec ni pieds, utilisé en héraldique. On le représente montrant l’estomac, le vol étendu, mais souvent abaissé. Ce nom vient de « aliers », vieux mot gaulois désignant une espèce d’oiseau vivant de rapine. Gilles Ménage le fait dériver du mot latin « aquilario », diminutif de « aquila », désignant l'aigle.
Sur le blason de la Lorraine il est : « d’or, à la bande de gueules, chargée de trois alérions d’argent, posés dans le sens de la bande ». On croit que la Maison de Lorraine a adopté cet oiseau, parce que « alérion » est l’anagramme de « Loreina », ancienne dénomination de la Lorraine.
Cet oiseau a inspiré à Guillaume de Machaut, principal musicien et poète du XIVe siècle, un récit allégorique sur l'amour, Le Dit de l'Alérion.
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Un beau jour, ou peut-être une nuit, Près d'un lac je m'étais endormie, Quand soudain, semblant crever le ciel, Et venant de nulle part, Surgit un aigle noir, Lentement, les ailes déployées, Lentement, je le vis tournoyer, Près de moi, dans un bruissement d'ailes, Comme tombé du ciel, L'oiseau vint se poser, Il avait les yeux couleur rubis, Et des plumes couleur de la nuit, A son front brillant de mille feux, L'oiseau roi couronné, Portait un diamant bleu, De son bec il a touché ma joue, Dans ma main il a glissé son cou, C'est alors que je l'ai reconnu, Surgissant du passé, Il m'était revenu, Dis l'oiseau, ô dis, emmène-moi, Retournons au pays d'autrefois, Comme avant, dans mes rêves d'enfant, Pour cueillir en tremblant, Des étoiles, des étoiles, Comme avant, dans mes rêves d'enfant, Comme avant, sur un nuage blanc, Comme avant, allumer le soleil, Etre faiseur de pluie, Et faire des merveilles, L'aigle noir dans un bruissement d'ailes, Prit son vol pour regagner le ciel, Quatre plumes couleur de la nuit Une larme ou peut-être un rubis J'avais froid, il ne me restait rien L'oiseau m'avait laissée Seule avec mon chagrin Un beau jour, ou peut-être une nuit, Près d'un lac, je m'étais endormie, Quand soudain, semblant crever le ciel, Et venant de nulle part, Surgit un aigle noir, Un beau jour, une nuit, Près d'un lac, endormie, Quand soudain, Il venait de nulle part, Il surgit, l'aigle noir... BARBARA - L'AIGLE NOIR 1970 . . . #yapwilli #portrait #postdecadance #photo #blackandwhite https://www.instagram.com/p/Bx03KSxo6_e/?igshid=922tqjn0vc1b
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Les étoiles
Soleils! mondes flottants qui voguez avec nous, Dites, s'il vous l'a dit, où donc allons-nous tous? Quel est le port céleste où son souffle nous guide? Quel terme assigna-t-il à notre vol rapide? Allons-nous sur des bords de silence et de deuil, Échouant dans la nuit sur quelque vaste écueil, Semer l'immensité des débris du naufrage? Ou, conduits par sa main sur un brillant rivage, Et sur l'ancre éternelle à jamais affermis, Dans un golfe du ciel aborder endormis?
Vous qui nagez plus près de la céleste voûte, Mondes étincelants, vous le savez sans doute! Cet Océan plus pur, ce ciel où vous flottez, Laisse arriver à vous de plus vives clartés; Plus brillantes que nous, vous savez davantage; Car de la vérité la lumière est l'image! Oui : si j'en crois l'éclat dont vos orbes errants Argentent des forêts les dômes transparents, Qui glissant tout à coup sur des mers irritées, Calme en les éclairant les vagues agitées; Si j'en crois ces rayons dont le sensible jour Inspire la vertu, la prière, l'amour, Et quand l’œil attendri s'entrouvre à leur lumière, Attirent une larme au bord de la paupière; Si j'en crois ces instincts, ces doux pressentiments Qui dirigent vers nous les soupirs des amants, Les yeux de la beauté, les rêves qu'on regrette, Et le vol enflammé de l'aigle et du poète! Tentes du ciel, Edens! temples! brillants palais! Vous êtes un séjour d'innocence et de paix! Dans le calme des nuits, à travers la distance, Vous en versez sur nous la lointaine influence! Tout ce que nous cherchons, l'amour, la vérité, Ces fruits tombés du ciel dont la terre a goûté, Dans vos brillants climats que le regard envie Nourrissent à jamais les enfants de la vie, Et l'homme, un jour peut-être à ses destins rendu, Retrouvera chez vous tout ce qu'il a perdu? Hélas! combien de fois seul, veillant sur ces cimes Où notre âme plus libre a des vœux plus sublimes, Beaux astres! fleurs du ciel dont le lis est jaloux, J'ai murmuré tout bas : Que ne suis-je un de vous? Que ne puis-je, échappant à ce globe de boue, Dans la sphère éclatante où mon regard se joue, Jonchant d'un feu de plus le parvis du saint lieu, Éclore tout à coup sous les pas de mon Dieu, Ou briller sur le front de la beauté suprême, Comme un pâle fleuron de son saint diadème? Dans le limpide azur de ces flots de cristal, Me souvenant encor de mon globe natal, Je viendrais chaque nuit, tardif et solitaire, Sur les monts que j'aimais briller près de la terre; J'aimerais à glisser sous la nuit des rameaux, A dormir sur les prés, à flotter sur les eaux; A percer doucement le voile d'un nuage, Comme un regard d'amour que la pudeur ombrage : Je visiterais l'homme; et s'il est ici-bas Un front pensif, des yeux qui ne se ferment pas, Une âme en deuil, un cœur qu'un poids sublime oppresse, Répandant devant Dieu sa pieuse tristesse; Un malheureux au jour dérobant ses douleurs Et dans le sein des nuits laissant couler ses pleurs, Un génie inquiet, une active pensée Par un instinct trop fort dans l'infini lancée; Mon rayon pénétré d'une sainte amitié Pour des maux trop connus prodiguant sa pitié, Comme un secret d'amour versé dans un cœur tendre, Sur ces fronts inclinés se plairait à descendre! Ma lueur fraternelle en découlant sur eux Dormirait sur leur sein, sourirait à leurs yeux : Je leur révélerais dans la langue divine Un mot du grand secret que le malheur devine; Je sécherais leurs pleurs; et quand l’œil du matin Ferait pâlir mon disque à l'horizon lointain, Mon rayon en quittant leur paupière attendrie Leur laisserait encor la vague rêverie, Et la paix et l'espoir; et, lassés de gémir, Au moins avant l'aurore ils pourraient s'endormir.
Et vous, brillantes sœurs! étoiles, mes compagnes, Qui du bleu firmament émaillez les campagnes, Et cadençant vos pas à la lyre des cieux, Nouez et dénouez vos chœurs harmonieux! Introduit sur vos pas dans la céleste chaîne, Je suivrais dans l'azur l'instinct qui vous entraîne, Vous guideriez mon œil dans ce brillant désert, Labyrinthe de feux où le regard se perd! Vos rayons m'apprendraient à louer, à connaître Celui que nous cherchons, que vous voyez peut-être! Et noyant dans son sein mes tremblantes clartés, Je sentirais en lui.., tout ce que vous sentez!
Alphonse de Lamartine
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Nous remercions le Seigneur Jésus de tout notre cœur. Nous remercions l'unique vrai Dieu. Oui, nous remercions le Seigneur sans oublier un seul de ses bienfaits tout au long de l'année 2024. Il a pardonné toutes nos fautes, guérit toutes nos maladies, nous a arraché à la tombe, comblé de tendresse et de bonté. Il a remplit nos vies de bonheur, et il nous a donné une nouvelle jeunesse; nous sommes maintenant comme l'aigle qui prend son vol.
Ainsi, durant cette nouvelle année 2025, aucun malheur ne nous arrivera, aucun fléau n'approchera de notre tente. Car, le Seigneur aura compassion de nous, ordonnera à ses anges de nous garder dans toutes nos voies. Il nous couvrira de ses plumes, et nous trouverons un refuge sous ses ailes. Psaumes 103 et Psaumes 91
Meilleurs voeux et bonne année 2025 à tous et à toutes.
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Bonjour
Dans une vision, ne crains pas les vents contraires.
Le vent contraire permet à l'aigle de voler plus haut et tenir son équilibre dans sa vision. Les vents contraires sont utiles dans la réalisation de ta vision/ Tu as du potentiel/ HELP
Ésaïe, 40:31 - Mais ceux qui se confient en l`Éternel renouvellent leur force. Ils prennent le vol comme les aigles; Ils courent, et ne se lassent point, Ils marchent, et ne se fatiguent point.
Point de prière
Père Éternel, aide-moi à me servir même des vents contraires pour réaliser ma vision.
Au nom de Jésus.
Amen.
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