#Vickie Ruston
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Negros Occidental's Vickie Rushton claims Bb. Pilipinas 2019 audience member distracted her during Q&A portion
Negros Occidental’s Vickie Rushton claims Bb. Pilipinas 2019 audience member distracted her during Q&A portion
Anne Curtis, Vickie Rushton, Jessica Marasigan, Richard Gutierrez
For the second time, Vickie Ruston, 27, of Negros Occidental, Philippines failed to win a Binibining Pilipinas crown. In her second attempt in the national beauty pageant of the Philippines, she again made it to the Top 15 but was not able to deliver a performance in the question and answer portion the way she wanted to.
“Nasasayan…
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Last month, I was happy to be a part of this special broadcast in recognition of Prisoners’ Justice Day, August 10, 2021, an annual, international, day of remembrance for those who have died behind bars. For that day, CFRC Prison Radio took over the airwaves at CFRC 101.9 FM in Kingston, Ontario, and CJAI 92.1 FM on Amherst Island from 4 to 10pm. Thank you to everyone who made contributions to the show, to everyone who listened, called in and sent messages of love and support during our 13th broadcast & thanks to CFRC, CJAI and to all the volunteers behind the mic & behind the scenes that made it happen! Listen here: https://archive.org/details/pjd-special-broadcast-august-10-2021
Contents:
00:00:00 – Introduction 00:18:28 – The connection between Residential Schools and Incarceration 00:27:00 – Interview with Sherri Maier of Beyond Prison Walls about the Edmonton Institution hunger strike to bring attention to abuses carried out against Indigenous children at Canadian Residential Schools 00:50:00 – Poem: ’38’ by Layli Long Soldier 00:59:10 – Special contribution from Matt Clark, ex-prisoner, from his Youtube channel Canadian Prison Stories 01:21:45 – Interview with several formerly incarcerated women gathered at the Healing Circle on the grounds of the former Prison for Women, August 10, 2021 01:42:00 – Message from Kevin Belanger, recently released from Joyceville Institution & former chair of the Inmate Committee (Assessment Unit & Minimum) 01:52:00 – Poem: ‘What Resembles a Grave But Isn’t’ by Anne Boyer 01:54:35 – Memorial Segment in honour of Cory Cardinal 02:08:27 – Poem: ‘Revolutionary Letter #61’ by Diane di Prima 02:11:30 – Interview with Renee, incarcerated in a Canadian federal institution, conducted by Vicki Chartrand 02:24:34 – Context and clips from prisoner press conference during 1971 riot at Kingston Penitentiary 02:40:31 – James Ruston, formerly incarcerated, introduces ‘Fly In The Ointment’ by Peter Collins, deceased prisoner activist 03:00:09 – Prisoner’s Justice Day Memorial – reading out the names of those who have died behind bars. 04:03:26 – Requests and messages from listeners, supporters and families of the incarcerated in the Kingston area.
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/john-carter-cash-nous-ouvre-les-portes-de-la-cash-cabin-le-studio-de-son-pere/
John Carter Cash nous ouvre les portes de la Cash Cabin, le studio de son père
Sur le nouvel album Forever Words sortie le 6 avril dernier, John Carter Cash a confié les écrits de son père à une variété de chanteurs.
Il est facile de se perdre dans les murs de la Cash Cabin, le studio en bois de style pionnier construit par Johnny Cash et entretenu par son fils, John Carter Cash. Les photos et les artefacts racontent l’histoire non seulement d’une vie musicale, mais aussi d’une famille : il y a un Thon banane de 94 livres, poisson tropical que John Carter a attrapé quand il était petit, un canapé de velours brun de son enfance, un vitrail de la mère de June, Maybelle Carter, sur une porte, et d’innombrables photos instantanées, dont beaucoup ont été prises par l’Homme en Noir en personne. John Carter accumule et stocke des trésors et des souvenirs, y compris, plus récemment, une photo en noir et blanc de Chris Cornell prise lorsque la légende perdue enregistrait la voix de You Never Knew My Mind de la nouvelle compilation, Johnny Cash : Forever Words.
« C’est la dernière photo que j’ai mise ici, » dit John Carter, se promenant dans une petite cabine de voix et montrant la photo de Cornell avec des lunettes de soleil, chantant directement dans le micro. Un deuxième portrait de Cornell est accroché dans un placard, empilé directement au-dessus d’une peinture de Cash lui-même, bloqué dans son regard si singulier. John Carter, grand et imposant, regarde souvent les deux hommes. « Je regarde toujours papa et Chris« , dit-il.
Aux alentours de 1969 : Johnny Cash prend la pose (Photo by Michael Ochs Archives/Getty Images)
Pas un album hommage, mais un prolongement de son œuvre.
You Never Knew My Mind de Cornell n’est que l’un des nombreux moments poignants de Forever Words, une collection de titres produits par John Carter et Steve Berkowitz. John Carter a demandé à Chris Cornell, au compositeur Ruston Kelly et à sa femme Kacey Musgraves, à John Mellencamp, à Elvis Costello, à Brad Paisley, à Jamey Johnson, à Kris Kristofferson et à Willie Nelson, entre autres, ainsi qu’à des membres de la famille Cash, Rosanne Cash et Carlene Carter de composer des chansons autour des poèmes découverts de Johnny Cash. Comme dans You Never Knew My Mind, il semble qu’il y ait une conversation continue entre Cash et les artistes qui se sont connectés avec sa musique à un niveau plus profond – non pas en hommage, mais comme un prolongement de son œuvre.
Cash a construit cette cabane en 1978, à environ 800 mètres de l’endroit où il habitait à l’origine avec June Carter. À l’époque, ce n’était qu’une pièce, et John Carter venait ici pour regarder des films (son préféré était Abbott And Costello Meet Frankenstein). Depuis, il est devenu un studio d’enregistrement à part entière qui a accueilli tout le monde, de Loretta Lynn à Snoop Dogg, dont beaucoup ont posé leur signature sur la devanture de la cheminée. Chris Cornell est venu ici après avoir pré-enregistré ses chansons dans un studio de fortune installé dans un placard d’une chambre d’hôtel hawaïenne – dont il a envoyé une photo à son ami et producteur John Carter.
« À gauche, il y avait les vêtements de Vicky [la veuve de Cornell] et à droite des chemises de flanelle« , raconte John Carter. « La chanson m’a terrassé, elle m’a mis sur le sol quand je l’ai entendu, émotionnellement, il était dans un très bon mood quand il l’a écrit.« John Carter s’arrête pour respirer, ce qui finit par couler dans un long et lourd soupir. « Il était dans un endroit génial.«
Cornell a basé You Never Knew My Mind sur deux chansons de Cash, écrites pendant son divorce avec sa première épouse Vivian en 1967, mais a fini par créer sa propre version en réunissant les deux. S’élevant péniblement à travers des paroles comme « sometimes, you’re a stranger to me« , sa solitude palpable résonne encore plus fort après sa mort prématurée. John Carter préfère ne pas le voir dans ce contexte, cependant.
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« [Cornell] avait un tel respect pour mon père et était très humble en s’impliquant dans tout le projet« , dit-il, assis à la console d’enregistrement dans une chemise de travail grise et passant un aperçu de la vidéo qu’il a faite avec Kristofferson, Nelson, Musgraves et Kelly – leurs deux premières chansons, « Forever / I Still Miss Someone » et « To June This Morning« , que John Carter voit comme un travail collectif. La première se termine par une ligne envoûtante, racontée par Kristofferson et mêlée au jeu complexe de Nelson à la guitare : « Les arbres que j’ai plantés sont encore jeunes, les chansons que j’ai chantées seront toujours chantées« .
Johnny Cash a écrit ces textes dans le dernier mois de sa vie, comme un poème d’amour à June Carter après sa mort. Il savait qu’il allait mourir aussi – il était presque aveugle et son corps ne répondait plus. « Dire cela à la fin de sa vie, c’est essentiellement de l’espoir », affirme John Carter. « C’est le fil conducteur à travers tout cela – l’espoir.«
« À cette date, ma mère était enceinte de huit mois de moi. »
John Carter voit une part de cet espoir dans Musgraves et Kelly, et beaucoup de similitudes entre les nouveaux compositeurs et ses propres parents. « Voici un jeune couple qui vit en parallèle avec mon père et ma mère« , explique John Carter. « Dans ce moment vibrant et excitant où il y a tout cet espoir. » Musgraves décrit leur chanson comme « un simple enregistrement en direct, habillé uniquement de guitare acoustique, de banjo et de nos deux voix fondues ensemble qui encapsulent parfaitement le sentiment.« Par coïncidence, Kelly avait en fait commencé sa propre version de la chanson alors qu’il n’avait que 16 ans – il a trouvé les paroles dans un livre de souvenirs de fans de Cash, avec une date en bas. « 7 heures du matin, le 4 février 1970« , lit-on.
« John Carter n’avait jamais vu ou lu ce poème auparavant« , dit Kelly. « Quand il l’a vu, il a commencé à le déchirer et a dit : « À cette date, ma mère était enceinte de huit mois de moi. «
John Carter affirme que le reste de l’album a découlé aussi naturellement : Costello, au piano, a chanté « I’ll Still Love You » spontanément, Jamey Johnson a facilement traversé « Spirit Rider » et Paisley a livré sa version de « Gold All Over the Ground« . [Paisley] a regardé les paroles et a commencé à jouer de la guitare et à chanter, note pour note, juste comme ça« , dit John Carter, qui attribue cette aisance à la connexion innée de Paisley et d’autres artistes avec son père. Ce n’est pas une connexion inhabituelle à avoir.
« Vous pouvez demander à la petite vieille au club 4-H, « Aimez-vous Johnny Cash? « » dit John Carter. « Et elle va dire, « J’ai tous ses disques.« Et vous demandez au punk dans la rue à Amsterdam: « Aimez-vous Johnny Cash? Et il a les mêmes disques.«
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Écrit par Marissa R. Moss, traduit par Baptiste Manzinali
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