#Un coup de dés jamais n'abolira le hasard
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Stéphane Mallarmé, Jamais un coup de dés n’abolira le hasard. Maquette autographe avec indications typographiques au crayon bleu, avril 1897.
#stéphane mallarmé#Un coup de dés jamais n'abolira le hasard#manuscrit#symbolisme#typographie#poetry#french literature#litblr#literature#bookblr#studyblr#gradblr#dark academia
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June 2nd
Early Morning
Multiple players try to listen to the /1217 audio at 12:00am, but are unable to. Player RED, who claimed to have heard it yesterday at 12:00am, now says they may have dreamed of hearing the audio. At this point, there is no conclusive evidence that we may be able to hear the audio on /1217 at 12:00am or otherwise.
Tati answers an ask inquiring her opinion on cake pops. She says that her favorite is the pink kind, which she assumes is strawberry flavor.
Tati answers an ask that wants to know if she is an angel. Tati responds “h e l l o ‼️ i used to think i was. 🤍 it m a d e sense. though i'm not sure if this place is h e a v e n anymore. but it's nice to meet y o u 🤍”. In the message, “h e a v e n” was linked to /here.
Tati replies to Sylvan, who sent her a screenshot of a message Mal asked to be passed along.
Mal’s message summary.
Summary of Tati’s response is below the readmore
Night
Player m discovers the password for the /inspiration page.
Page + Message Summaries
Tati’s response summary: Tati says she found the message a nice surprise and she’s glad that Mal is thinking of her, but she disagrees with Mal that she closes herself off. Tati says that she also wishes she could talk to Mal, but that she wouldn’t know what to say. Then, player Mateo asks Tati if she would like us to send anything to Mal. Tati thanks him and says that she will ask Henry and Will if they have any ideas on how to “get us all t o g e t h e r”. The only messages she leaves for Mal is to hang in there too.
Inspiration page summary:
The page reveals two pictures of surrealistic art.
The first image is an example of the drawing game Exquisite Corpse, but is currently unidentified.
The image links to /1217 and its file name is “piece by piece.png”
The second image is identified by player Sylvan as Nude by Yves Tanguy, Joan Miró, Max Morise, and Man Ray (Emmanuel Radnitzky) using the drawing game Exquisite Corpse.
The file name is “stitch by stitch.png”.
Behind the second image is an excerpt from page 14 of the poem Un coup de dés jamais n'abolira le hasard (A Throw of the Dice will Never Abolish Chance) by Stéphane Mallarmé. It reads “legs en la disparation / à quelqu’un / ambigu / Pultérieur démon immémorial”. Player Lyra translated this to “given upon the disappearance of someone ambiguous the immemorial ulterior demon”.
The excerpt links to the /w-h-a-t-h-a-p-p-e-n-e-d page, which was originally found in a list of every page on en-abime in the code of a locked page. Players are currently working on finding the password for this page, but have been unsuccessful as of now.
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Un coup de dés jamais n'abolira le hasard (A throw of the dice will never abolish chance)
Marcel Broodthaers, 1969
Softcover book with mechanographic printing, 32.5 × 25 cm
Broodthaers considered Stéphane Mallarmé a champion of modern art and a liberator of language, and despite the dark, harsh blocking noticeable in this piece, Un Coup de dés jamais n’abolira le hasard is undoubtedly a homage to the French poet and his initial literary work of the same name. Having transitioned from writing poetry to creating visual art in the 1960s, Broodthaers symbolizes his own artistic undertaking by physically transforming Mallarmé’s poem into a work that relies solely on its physical structure, rather than the actual words itself. He used only black bars to cover the lines, keeping them the same length and size as they appeared in Mallarmé’s poem in order to highlight how the work played with typeface and open space on the page. Due to the translucence of the pages themselves, it is possible to view other pages behind the primary spread on display, providing viewers with unique visuals of how space is used from one section to the next. On the title page, Broodthaers simply replaced the word Poème with Image, once again reflecting his own decision to move into visual art, all while still holding true to the work and methods of a man who equally inspired him. Although he is overlapping the initial poem with his own artistic process, Broodthaers “destroys” the precedent of Un Coup de dés jamais n’abolira le hasard while still solidifying its format as the foundational element of his piece.
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Un coup de dés jamais n'abolira le hasard
"Ne trouvez-vous pas que c'est un acte de démence ?" demande ingénument Stéphane Mallarmé à Paul Valéry lorsqu'il lui soumet les épreuves corrigées d'Un coup de dés jamais n'abolira le hasard.
#quote#quotation#citation#quotes#livre#book#book lover#bibliophile#book therapy#french#stéphane mallarmé#paul valéry
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Un coup de dés jamais n'abolira le hasard (A Throw of the Dice will Never Abolish Chance) par Stéphane Mallarmé
Maquette autographe. Selon Henri Mondor, Mallarmé "a écrit lui-même en très hautes lettres, lorsqu'il tenait à ses grandes capitales romaines ou à de grandes italiques, et une petite écriture, lorsqu'il ne voulait, de l'imprimeur, que des petites capitales ou des italiques de format habituel".
#Stéphane Mallarmé#Un coup de dés jamais n'abolira le hasard#A Throw of the Dice will Never Abolish Chance#Poetry#Manuscript#Writing
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ステファヌ・マラルメ Stéphane Mallarmé 『賽の一振り』 Un coup de dés jamais n'abolira le hasard 柏倉康夫 訳 月曜社 2022年3月刊
先月に出たばかりの「新訳」です。
「じつは、お分かりでしょうが、と、先生はわたしの手を握りながら言った、世界は一冊の美しい書物に至���ためにつくられているのです」 「文学の進展について」より
詳しい書誌情報は、月曜社のwebサイトをご覧ください。
また、おなじく柏倉康夫訳で、『新訳 ステファヌ・マラルメ詩集』も、月曜社から出ています(2018年)。
こちらは、マラルメの死の一年後に刊行された『詩集』 Poésies (1899年刊)収録の全49篇の詩と、彼自身による書誌解題との新訳です。
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Stéphane Mallarmé, Un coup de dés jamais n'abolira le hasard.
#mallarme#poem#Un coup de dés jamais n'abolira le hasard#french#study#notes#hasard#symbolism#symbolist poem
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Stéphane Mallarmé, Jamais un Coup de Dés n’abolira le Hasard, maquette autographe, 1897
#stéphane mallarmé#jamais un coup de dés n'abolira le hasard#manuscrit#maquetteautographe#marge#blancs
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Un Coup de dés jamais n'abolira le hasard, Ellsworth Kelly, 1992, MoMA: Drawings and Prints
Purchased with funds given by Mrs. Melville Wakeman Hall Size: page (each): 16 15/16 x 12 3/8" (43 x 31.5cm) Medium: Illustrated book with eleven lithographs
http://www.moma.org/collection/works/17985
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Marcel Broodthaers
(Un coup de dés jamais n'abolira le hasard: Image
& Pense-bête)
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Un coup de dés jamais n'abolira le hasard (A throw of the dice will never abolish chance), Marcel Broodthaers, 1969, MoMA: Drawings and Prints
Partial gift of the Daled Collection and partial purchase through the generosity of Maja Oeri and Hans Bodenmann, Sue and Edgar Wachenheim III, Agnes Gund, Marlene Hess and James D. Zirin, Marie-Josée and Henry R. Kravis, and Jerry I. Speyer and Katherine G. Farley Size: plate (each): 12 3/4 x 19 9/16 x 1/8" (32.4 x 49.7 x 0.3 cm) Medium: Mechanical engraving and paint on twelve aluminum plates
http://www.moma.org/collection/works/146983
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رَميَةُ نردٍ أبـداً لَنْ تُبطلَ الزّهـرْ
Arabic edition of Mallarmé’s Un coup de Dés jamais n'abolira le Hasard
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Livre d’artiste - CORPS, processus actif.
Mon intention pour ce livre est de faire participer le lecteur à la recherche que j'ai effectuée. Qui est celle de la recherche de la forme du corps dans sa forme la plus pure, la plus simple et la plus véridique.
Le sous-titre « processus actif » renvoie à la fois au processus de réflexion artistique et de création que j'ai effectués, mais aussi au processus que devra effectuer le lecteur qui participera activement à cette réflexion.
J'ai gravé le rendu final sur la couverture en bois, ce choix est le résultat de la réflexion sur le corps, qui est que ce dernier n'est pas juste un contour qui définit une forme, il est épaisseur, ombre et lumière. Pour découvrir sa forme véritable je dois sortir de l'idée de le représenter avec un crayon ou de la peinture, le corps est surtout matière.
De plus cette technique de scarifier un matériau pour en dessiner une forme est directement liée à ce geste originel, celui des premiers hommes. Le marquage des parois n'était pas dans les lieux d'habitation comme on pourrait le penser, il était sans doute des peintures réalisées par les chamanes pour des échanges magiques. Ce n'était pas de l'art pour l'art ou pour que la chasse soit bonne ou par soucis artistique . Il y avait une volonté d'utiliser la paroi comme passage entre le monde vivant et les forces invisibles. De même ici comme mon travail est de rechercher la vérité du corps, je fends alors l'espace sensible, réel vers un autre espace invisible, un espace intelligible, celui de l'Idée platonicienne.
Je grave ainsi dessus, comme pour un ancien travail que j'avais réalisé qui était le résultat d'une envie de simplicité, de pureté. C'était la recherche d'un geste très important le geste et caetera, propos des calligraphes d'Extrême-Orient, « l'unique trait du pinceau », citation que l'on trouve dans Les propos sur la peinture du moine Citrouille Amère de Shitao, il parle de cette technique qui consiste en « un geste et les autres suivent implicitement ». Pour finir cette technique non industrielle utilisée, rend un effet organique, une variation dynamique des profondeurs et des contours que l'on peut retrouver dans la façon dont dessine Degas par exemple.
Le livre suit chronologiquement le chemin de ma réflexion, celui-ci porte d'abord sur la forme et le rythme de mon livre. Je veux que son corps soit en accord avec l'idée que je me fais du corps. Je choisis le transparent car le lecteur découvre aussi des indices invisibles sans le calque, je m'approprie ici la révélation de 2015 sur le carré noir de Malevitch grâce aux rayons x. En effet derrière le carré noir réalisé en 1915, on y a découvert, derrière le tableau que l'on savait déjà recouvert, cubo-futuriste, un troisième tableau proto-suprematiste. La composition que j'effectue avec la page blanche est déterminante dans ce livre, tout comme sa typographie, elle constitue le rythme de mon livre. Je m'inspire ici du livre Un coup de dés jamais n'abolira le hasard de Mallarmé en 1897. Celui-ci étant aussi codé. C'est pour cela que pour représenter le cerveau en ébullition, j'ai choisi de dessiner un dé.
Le blanc est aussi une décision réfléchie, car elle est la couleur qui peut le mieux projeter l'ombre du lecteur et avec le calque transparent, ce miroir est encore plus opérant. Je m'inspire ici de Robert Raushenberg avec ses White Painting, 1951. C'est pour cela que le contour d'une silhouette est dessinée avec toutes les réflexions qui ont découlé face à ce tableau. Tout comme le corps, ce livre varie de selon l'heure que je vais le feuilleter. Je trouve ça intéressant pour la recherche de la forme du corps, de s'inspirer du plus vieux mythe fondateur de l'histoire de la peinture Celui de Dibutade, raconté par Pline l'ancien dans son Histoire Naturelle publiée vers 77. Pour se souvenir de son amant qui part à la guerre, elle dessine le contour de son profil sur un mur.
La deuxième page est une réflexion sur le dialogue. À la fois le dialogue qui est nécessaire pour le corps, à l'intérieur de lui, mais aussi à l'extérieur de lui avec son environnement. Mais aussi le dialogue qui s'opère avec le lecteur, qui est toujours dans cette recherche participative. Par exemple le 2015 avec la cage renvoie à l'inscription trouvée au crayon sous le Carré noir de Malevitch : « des nègres se battant dans une cage ». Ce tableau est très important pour la recherche, car il est superposition de couche invisible et une réflexion sur cette non-couleur qui est le noir. Le noir étant ce que j'utiliserai à la fin pour poser mon rendu, car il est le vide, il me permet de poser ma vérité sur un support qui n'en rajoute pas plus ( par exemple le rouge y ajouterait tout de suite une symbolique et c'est ce que je veux éviter).
Les deux visages face à face sont le résultat de deux références, celui de la photographie de Richard Avedonsur la couverture du magazine Harper's bazar en février 1955, que l'on retrouve au Musée des Arts décoratifs à Paris. Elle m'a donné l'idée de ce dialogue en miroir. Et du visage dessiné par Edgar Degas dans son dessin Femme sortant du bain en1900 . Ce tableau m'a fait beaucoup réfléchir sur les techniques utilisées pour justement lire le lire le corps et le reconnaître d'une manière non ordinaire.
Lire le corps
C'est la deuxième étape de mon processus, qui est de rechercher comment l'esprit humain reconnaît le corps. Je me pose la question avec les vêtements notamment avec le tableau d'Eugène Boudin la plage de Trouville en 1865. Celui de représenter plutôt le corps au repos ou en mouvement, inspiré par l'oeuvre d'Auguste Rodin, centaure et enfant en 1890 et de propres essais de dessins personnels.
Naissance
Pour la création de ce corps, j'ai d'abord commencé par rechercher un modèle et je ne voulais pas utiliser d'image déjà existante, car c'est un travail de création entier, je ne veux donc pas m'approprier le travail ni l'image de quelqu'un d'autre. Donc j'ai pris et utilisé une photo de moi. J'ai dessiné plusieurs postures photographiées. J'ai d'abord pensé que celles où je suis en mouvement seraient le plus représentatif mais elles était trop fausse, car je savais que j'étais photographié et au lieu d'être, je jouais. Celle qui m'a marqué était celle où je suis dans une posture de repos, de dos et où je ressens une vérité de posture. De plus les formes et la lumière sur celle-ci me plaisent pour la réflexion suivante qui découlera. On y découvre donc beaucoup de découverte, notamment celle sur l'intention du trait que l'on doit toujours avoir en tête quand on dessine même si c'est minimaliste, justement c'est une difficulté en plus car chaque millimètre compte. On y retrouve l'Etc du trait des calligraphes du Moyen Orient.
Mais après toute cette recherche il manquait toujours quelque chose. La réponse que je donne est situé dans le calque transparent, il est vide. Il manque le vide à mes créations, et je choisis de le créer avec la profondeur, la scarification de mon support. Un vrai vide, et non une couleur qui le symboliserait, puisque le corps c'est cette matière que l'on ne peut pas dessiner mais que l'on doit sculpter.
Pour finir l'énigme, les numéros correspondent au numéro des pages ou rechercher les réponses. Enfin les dernières pages avec le calque sont des essais pour mieux se rendre compte de cette recherche du trait. Et la dernière page avec son calque est le rendu final. Il est donc ce trait blanc car il est récepteur de lumière, il est une énergie potentielle folle et développe sa force dans sa simplicité. Le choix du support noir que j'ai déjà expliqué plus haut. Et la scarification qui est ce vide manquant et surtout ce passage vers un monde intelligible, celui de la vérité, et celui de la magie, notion que l'on ne peut pas occulter quand on pense au corps La ligne directrice est donc la recherche sur le corps, son rythme est le jeu que s'effectue avec le calque, les indices que je laisse parsemé, la typographie qui varie et la composition avec le blanc de la page. Je vous explique ici page par page mes références et mes idées qui me font fait faire ce livre.
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