#Trent is a banch

[lignes2frappe]

CE QUE L'ON VOUS A TOUJOURS CACHÉ SUR LE CÔTÉ OBSCUR DE MOHAMED ALI

Racisme, islam, manipulations...

Dire de Mohamed Ali qu’il est le plus grand sportif du 20ème siècle n’a rien d’exagéré.

Roi de la boxe anglaise à l’époque où le noble art était le sport le plus populaire de la planète, le Greatest fut le premier poids lourd à être couronné trois fois champion du monde, et ce, alors qu’il n’existait qu’une seule et unique ceinture.

Ayant défendu son titre à 19 reprises, il a défié et vaincu absolument tous ses rivaux (Sonny Liston, George Foreman, Joe Frazier…) lors d’affrontements dantesques où les pronostics le donnaient bien souvent largement perdant (le Rumble in the Jungle en 1974, le Thrilla à Manilla en 1975…).

S’il n’est évidemment pas le seul à avoir excellé dans sa discipline, ce qui le distingue de tous les Pelé, Jordan, Bolt, Woods, Brady & Co., c’est de ne s’être jamais cantonné à son seul sujet.

Mohamed Ali, c’était plus que de la boxe. Mohamed Ali, c’était plus que du sport. Mohamed Ali, c’était une personnalité et des engagements qui ont fait trembler le monde.

Immensément populaire tout autour du globe hier comme aujourd’hui, l’admiration légitime qu’il suscite ne doit cependant pas être confondue avec de l’idolâtrie. Ali n’était ni un prophète, ni un sauveur, mais un homme avec ses (immenses) qualités et ses (gros) défauts.

Qu’importe le storytelling en vigueur depuis trente ans qui tend à occulter ses zones d’ombre, revenons sans complaisance sur certains passages de la biographie de celui qui « refusait d’être celui que l’on voulait qu’il soit ».

Mohamed Ali était-il vraiment musulman ?

La question peut paraître saugrenue de prime abord, tant Mohamed Ali a œuvré sa vie entière pour promouvoir l’islam.

En réalité, il existe ici deux Mohamed Ali : celui qui s’est converti au sunnisme à 33 ans, et celui qui auparavant a milité plus de dix ans au sein de la très controversée Nation of Islam (de février 1962, date à laquelle il a rendu son engagement public, à 1975, date de son départ).

Dirigé de 1934 à 1975 par le tout aussi controversé Elijah Muhammad, la N.O.I. n’appliquait absolument pas les préceptes coraniques au pied de la lettre, mais s’autorisait au contraire à les amender très librement.

Ainsi, le fondateur de la Nation of Islam, Wali Fard Muhammad (disparu mystérieusement en 1934 à 41 ans), était à la fois désigné comme le « mahdi » (le dernier des prophètes envoyé par Allah, annonciateur de la fin des temps), mais aussi comme « Dieu en chair et en os sur terre » – pas une incarnation, pas une manifestation de Dieu, mais bel et bien Dieu lui-même (?!).

Considérés comme hérétique aux yeux des musulmans orthodoxes, les Black Muslims comme ils se surnommaient se confondaient aux yeux des autorités avec une secte tant que le culte de la personnalité y était prononcé.

Et encore, on vous passe les délires sur les soucoupes volantes pour expliquer certains passages de la Bible et du Coran ou la création de la Terre et des Cieux… D’ailleurs, si vous cherchez Elijah Muhammad, il ne repose pas au Paradis, mais en rotation autour de notre planète.

Mohamed Ali était-il raciste ?

La question peut de nouveau surprendre, à ceci près que, là encore, les faits sont troublants.

Les Black Muslims prônaient en effet un ségrégationnisme pur et dur au motif que Noirs et Blancs ne pouvaient pas cohabiter sur un même territoire.

Assimilée au plus premier des degrés à « la race des diables », la race blanche serait, selon leurs sources, née des expérimentations menées par le sorcier Yakub 6 600 ans plus tôt et œuvrerait depuis pour asservir l’homme noir originel.

Au sommet de sa gloire, Mohamed Ali embrassait sans ambage ces thèses, clamant notamment « n’avoir aucun ami blanc », que « tous les hommes blancs américains étaient des diables », ou « qu’un homme noir devrait être tué s’il fricotait avec une femme banche. »

Alliant la parole aux actes, tout comme Malcolm X, Ali est allé jusqu’à se rendre à un meeting du Ku Klux Klan pour prononcer le discours suivant : « Les Noirs devraient se marier entre eux. Les merlebleus avec les merlebleus, les pigeons avec les pigeons, les aigles avec les aigles. Dieu ne se trompe jamais. »

Le genre de déclarations qui fait franchement tâche sur le CV d’un champion des droits civiques…

À sa décharge, après avoir pris ses distances avec les Blacks Muslims, Ali reconnaîtra avoir été victime de l’influence néfaste d’Elijah Muhammad et confiera même après sa mort qu’il « aurait souhaité quitter la Nation plus tôt s’il n’avait pas craint de se faire descendre comme Malcolm ».

[Les trois assassins de Malcolm X étaient tous membres de la N.O.I.]

Mohamed Ali, l’homme à femmes

Au sein d’une Nation of Islam qui prônait « la pratique d’une moralité élevée » en matière de relations hommes/femmes (séparation rigoureuse des sexes lors de ses manifestations, interdiction des mariages interraciaux, monogamie stricte, injonction faite aux « sœurs » de porter « des robes qui touchent le sol » par souci de discrétion…), Mohamed Ali vivait sur ce point sa vie comme il l’entendait

Marié à quatre reprises (et absolument pas avec des femmes membres la N.O.I. comme préconisé), père de neuf enfants, il multipliait les liaisons extraconjugales.

En 2017, dans sa biographie Ali: A life, le journaliste américain Jonathan Eig consacre des passages entiers au « phénoménal appétit sexuel » du Greatest.

« Noires, blanches, jeunes, mûres, actrices, femmes de ménage… il ne faisait aucune discrimination. Tout son entourage était au courant. C’était un sujet de plaisanterie récurrent chez ses amis. »

Sa deuxième femme, Khalilah, mère de quatre de ses enfants, reconnaissait d’ailleurs volontiers « son côté sombre et diabolique », elle à qui il arrivait d’arranger des chambres d’hôtels pour les maîtresses de monsieur (!).

Humiliation suprême, quand son mari s’en est allé combattre Joe Frazier aux Philippines en 1975, le président Ferdinand Marcos a cru bon de le complimenter en public sur la beauté de son épouse… alors qu’Ali était ce jour-là accompagné de l’une de ses conquêtes – sa future troisième femme, Veronica Porche, 19 ans.

Ali estimait néanmoins tout à fait normal ses infidélités, comme il s’en était expliqué dans le New York Times.

« J’ai trois ou quatre copines que je loge, et alors ? Si elles étaient blanches, je comprendrais que cela pose problème, mais elles ne le sont pas. Qu’on me critique sur le Vietnam, qu’on me critique sur ma religion, ou tout un tas d’autres trucs, mais pas là-dessus. »

Notez qu’au sein de la Nation of Islam, il n’était pas le seul Tartuffe de la chambre à coucher, « l’honorable » Elijah Muhammad s’étant fait griller pour avoir eu sept enfants hors mariage.

Mohamed Ali frappait parfois en dessous de la ceinture

Roi du trashtalk, à chacun de ses combats, celui qui volait comme le papillon et piquait comme l’abeille s’engageait dans une guerre des mots sans merci, tant par souci d’assurer un maximum de publicité à l’évènement, que par volonté de déstabiliser psychologiquement son adversaire.

Pas adepte pour un sou du fair-play (il moquait énormément le physique), bien qu’Ali fut plus clair de peau et souvent mieux né que ses adversaires (il était un enfant de la classe moyenne, pas du ghetto), il n’hésitait jamais à dégainer la carte de la race en traitant à tire-larigot ces derniers « d’Oncle Tom » ou de « champions des Blancs ».

C’est ce pauvre Floyd Patterson qui avait eu la mauvaise idée de confier que « la Nation of Islam déshonorait les Noirs » et qui s’est fait mettre KO en deux temps, trois mouvements. C’est le malheureux Ernie Terrell qui en conférence de presse avait eu l’outrecuidance de l’appeler Cassius Clay et qui s’est pris une correction douze rounds durant face à un Ali qui à chaque bordée de coups de poing le défiait de répéter son nom. C’est George Foreman qu’il détestait ouvertement pour avoir accepté de porter le drapeau américain lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de 1968 à Mexico.

C’est aussi et peut-être surtout Joe Frazier qu’il a harcelé jusqu’à plus soif – « C’est cet autre genre de Noir. Je ne suis pas comme lui. Un jour, il se sera peut-être comme moi. Là, il travaille pour l’ennemi. C’est pour ça qu’il est un Oncle Tom. »

Non content de le comparer à longueur d’interviews à un gorille (l’insulte préférée des racistes), Ali a poussé l’affront jusqu’à agiter un singe en plastique devant lui. Smokin’ Joe, qui des années plus tôt lui avait pourtant prêté de l’argent quand il était au plus bas, ne lui a jamais pardonné.

Son engagement plutôt trouble contre la guerre du Vietnam

Très probablement son plus haut fait de gloire en dehors des rings, quand, l’après-midi du 28 avril 1967, sur la base militaire 61 de Houston, il demeure immobile à l’appel de son nom.

Signifiant là son refus de rejoindre les troupes américaines envoyées combattre l’offensive communiste dans le sud Vietnam, Mohamed Ali justifie sa décision au nom de ses convictions religieuses.

Immédiatement privé de sa licence de boxe et dépossédé de ses titres mondiaux, il est ensuite condamné par les tribunaux à 10 000 dollars d’amende et cinq ans de prison ferme.

Un bras de fer judiciaire s’engage alors avec le gouvernement US.

Inflexible, Ali oppose une fin de non-recevoir à tous les compromis qui lui sont proposés (ne pas porter les armes, participer à des combats exhibition pour divertir les troupes…). Et tant pis si, à 25 ans, il met en péril ses meilleures années sur le plan sportif.

Célébré comme un héros de la liberté et de la contre-culture par l’Amérique protestataire, il incarne ainsi aux yeux du monde un David qui ne transige en aucun cas avec ses principes devant Goliath.

Trois ans et demi plus tard, la Cour suprême statue en sa faveur en cassant la décision de justice initiale pour des raisons de formes.

Canonisée depuis, la séquence mérite toutefois d’être nuancée.

Tout sauf un hippie ou un pacifiste, Ali avait en effet fièrement déclaré dans une interview reprise aux quatre coins du pays « qu’en tant que musulman, il ne participait qu’aux seules guerres voulues par Allah » et qu’il n’avait « personnellement aucun problème avec les Vietnamiens ».

[La punchline « Aucun Viêt-Cong ne m’a jamais traité de nègre » est en revanche une invention.]

Partisan de la loi divine contre la loi de la cité dans un pays où l’islam était ultra minoritaire, Ali faisait donc non seulement acte de sédition, mais il balayait d’un revers de main les 46 soldats américains qui perdaient chaque jour la vie en Asie (16 899 tués en 1968).

Très loin de créer l’unanimité, sa position était vivement critiquée par de nombreux afro-américains envoyés au front, l’accusant d’égoïsme et de lâcheté.

Comble de l’ironie pour un représentant de l’individualisme et de la libre pensée, la grande majorité des témoignages concordent aujourd’hui pour affirmer qu’Ali n’a absolument pas agi par droiture morale, mais par soumission à Elijah Muhammad qui interdisait à tous membres la N.O.I. de prendre part à cette « white man’s war ».

[Muhammad avait lui-même fait de la prison lors de la Seconde guerre mondiale pour avoir refusé de servir.]

Sa fin de carrière en pointillés

Lorsqu’en 1975, Mohamed Ali défait contre toute-attente George Foreman, le plus gros puncheur de sa génération, c’est au prix fort.

Auparavant habitué à danser autour de ses adversaires en s’appuyant sur son agilité et sa vitesse d’exécution, il avait ici opté pour une stratégie diamétralement inverse : encaisser les coups de Foreman blotti dans les cordes, attendre qu’il s’épuise, puis lui porter l’estocade.

Convaincu d’avoir trouvé la marginale, à partir de ce combat, Ali embrasse ce nouveau style, ce qui lui vaut de multiplier les coups reçus au visage. Pour ne rien arranger, à l’entraînement, il encourage ses sparring partners à le frapper à la tête autant qu’ils le peuvent afin de « gagner en résistance ».

Très vite, les conséquences se font ressentir sur sa santé

« Ses réflexes étaient moins vifs de 25 à 30%. Il ne s’en apercevait pas, il pensait que son cerveau était vierge de la moindre lésion alors qu’il commençait à bégayer, à se montrer hésitant… » observe son soignant Ferdie Pachecho.

Deux ans plus tard, en 1977, Pachecho lui conseille d’ailleurs fortement de raccrocher les gants avant qu’il ne soit trop tard. Ali fait la sourde oreille. Plutôt que d’avoir à cautionner le drame à venir, Pachecho démissionne.

Cette condition physique déclinante n’empêche pas Ali à trente ans bien sonnés d’enchaîner quatorze combats en sept ans.

Si ses performances se font de moins en moins convaincantes, son statut de légende vivante lui permet de bénéficier d’une mansuétude de plus en plus accrue de la part des juges – face à Jimmy Young et Ken Norton en 1976, la majorité des experts estiment qu’il aurait dû s’incliner aux points.

Par la suite, cette indulgence ne suffit cependant plus. Ali perd trois de ses quatre derniers combats, dont l’avant-dernier, à 38 ans, face à son ancien sparring partner Larry Holmes qui lui colle une telle raclée que son entraîneur Angelo Dundee a dû jeter la serviette à la fin du dixième round.

Souvent mise sous le tapis, cette fin de parcours fait tâche, d’autant plus que si Ali avait su arrêter à temps, peut-être aurait-il été épargné par la maladie de Parkinson.

12 CITATIONS DE MOHAMMED ALI

Publié sur Booska-p.com le 6 janvier 2023.

[charizardon]

Answer all 117 you nerd

Okay TallBoy wants to Throw Hands (and so my Watch Begins)1: Let’s start with a tricky one; what is the real reason you are confused right now?-Confused because I thought I did everything right but the results show otherwise.2: Do you ever get “good morning” texts from anyone?-I’m usually the ones sending them but I’m pretty sure @bow-and-aero has sent me some before3: If your significant other smoked pot, would you care?-Honestly just because I would never do it wouldn’t mean I’d care if anyone else did it, Significant Otter or no4: Do you find it easy to trust others?-Yes*5: What were you doing at 11PM last night?-Watching Season 5 of Game of Thrones6: You’re drunk and lost walking down the road; who is with you?-Jordan most likely and some rando. I just know it7: What would you do if you found out you had been cheated on?-Lay down. Cry. Cry some more. Still crying8: Are you close with your dad?-We were very close. I loved him a lot9: I bet you kissed someone last night, right?-HA HA HA (continues to bitterly laugh into my grave)10: What are you listening to?-Jazz while it rains outside11: You can only drink ONE liquid for the rest of your life - what is it?-Water12: Do you like hickeys?-13: What time do you go to bed?-Infinity ‘o Clock14: Is there someone who continuously lets you down?-Me15: Can you text as quickly with one hand as you do both?-I can type without looking at the screen16: Do you always answer your texts?-A L W A Y S. What is DEAD may NEVER DIE17: Do you hate the person you fell the hardest for?-No18: When was the last time you talked to one of your best friends?-Today19: Is there someone that makes you happy every time you see them?-Yes. Pretty much any person I consider a friend20: What was your last thought before you went to bed last night?-“I hope I can finish Season 6 of GoT before the premier of Season 7 tomorrow”21: Is anyone else in the room with you?-Uhhh it’s like 12am as I type this so…I hope not??22: Do you believe what goes around comes around?-Yes23: Were you happier four months ago than you are now?-No24: Is there someone you wish you could fix things with?-Yes25: In the past week, have you cried?-Yes x226: What colour is the shirt you are wearing?-White + Black27: Do people ever call you by your last name?-No, it’s weird28: Is anyone ignoring you right now?-Yes but that person reassures me that they are not as they continue to do it…29: Do you have a best friend?-I call everyone my best friend30: Would it be hard seeing someone else kiss the last person you kissed?-It would be very weird to see someone else kiss my pillow yes31: Who was your last call/text message from?-Last call, my manager at work. Last text, @daddyguzma32: Are you mad at anyone?-No33: Have you ever kissed someone older than you?-Seeing as I’ve only canonically kissed a pillow…no34: How old will the last person you kissed be on his/her next birthday?-Why is OP so concerned about this Last Person I Kissed™ they don’t even go here35: How many more days until your birthday?-I honestly don’t want to count36: Do you have any summer plans yet?-Canada37: Do you have any good friends of the opposite sex?-Yes38: Are you keeping anything from your best friend(s) now?-No39: Do you have a secret that you’ve never told anyone?-Yes40: Have you ever regretted kissing someone?-The pillow deserves every kiss it gets41: Do you think age matters in relationships?-In terms of Legality yeah42: Are you available?-No I’m currently married to my pillow (yes)43: How many people have you had real, strong feelings for since high school ended?-As many as there are stars in the sky I fall so easily for Boys44: If you had to get a piercing (not ears), what would you get?-Honestly? Nips. I’m not even joking45: Do you believe exes can be friends?-If they aren’t jerks46: Do you regret anything?-All 21 years of my existence (jk)47: Honestly, what’s on your mind right now?-Getting through answering every question on this list I’m such an asshole for thinking tha-48: Did you ever lose a best friend?-Yes49: Was your last kiss a mistake?-wh..50: Why aren’t you pursuing the person you like?-Distance. Physical or otherwise51: Has the last person you kissed ever seen you cry?-wh…y52: Do you still talk with the person you LAST kissed?-s…t…op53: What was the last thing you ate?-A slice of cheesecake54: Did you get any compliments today?-“You sure look great in that new shirt I bought you” ~My Mom55: Where are you going on your next vacation?-Canada56: Do you own anything from other countries?-Yes57: Are most of your friend guys or girls?-Guys58: Where have you lived most of your life?-Arizona59: When was the last time you took a long drive?-The drive between Phoenix and Flagstaff doesn’t count60: Have you ever played Spin the Bottle?-No61: Have you ever TPd someone’s house?-No62: Who do you text the most?-Varies, probably @megaabomasnow or @bow-and-aero 63: What was the last movie you saw?-Spider-Man Homecoming64: What’s preventing your current boyfriend/girlfriend from going back to their ex?-N/A65: How many boyfriends/girlfriends did you have in 2011?-N/A66: Is the last person you kissed younger than you?-N/A67: Do you curse around your parents?-Like All the Fucking Time68: Are you happy with where you live?-Yes69: Picture of yourself?- Loss.jpeg70: Are you a monogamous person or do you believe in open-ended relationships?-Monogamous71: Have you ever been dumped?-N/A72: What do you most like about making out?-N/A idk tongue stuff? I don’t know what is kissing73: Have you ever casually made out with someone who you weren’t seriously involved with?-N/A74: When you kiss someone for the first time, is it usually you who initiates it or the other?-N/A75: What part of a person’s body do you find most attractive?-Belly, Butt, Chest76: Who was the last person you talked to last night before you went to bed?-I actually do not remember77: Had sex with someone you knew less than an hour?-N/A78: Had sex with someone you didn’t know their name?-N/A79: What makes your heart flutter and brings a big cheesy smile to your face?-When I make a new friend and I know it’s safe to call them a friend because it’s mutual80: Would you get involved with someone if they had a child already?-Step 1: Get involved with someone. Failed Step 181: Has someone who had a crush on you ever confessed to you?-Yes*82: Do you tell a lot of people when you have a crush?-I tell every soul about a boy that so much as smiles in my direction83: Do you miss your last sweetie?-N/A I don’t eat candy84: Last time you slow danced with someone?-Prom??? I guess??85: Have you ever ‘dated’ someone you’ve never met?-N/A86: How can I win your heart?-As in Trent, the person who made me answer this goddamn list? Or the OP that made his list. If it’s Trent? I just want to give you your “Thanks for Tolerating Me” present already??87: What is your astrological sign?-Taurus88: What were you doing last night at 12 AM?-Watching GoT89: Do you cook?-Yes like all the time. Like 60% of my Snapchats are me making a pizza90: Have you ever gotten back in touch with an old flame after a time of more than 3 months of no communication?-N/A91: If you’re single right now, do you wish you were in a relationship?-Like every day92: Do you prefer to date various people or do you pretty much fall into monogamous relationships quickly?-I have only ever gone on 1 (one) date so far ever in my life so idk 93: What physical traits do you look for in a potential interest?-Soft boy94: Name four things that you wish you had!-A Nintendo Switch, a Preorder for the SNES Classic, the will to live, a free HBO Go subscription for GoT95: Are you a player?-We Are All Gamers96: Have you ever kissed 2 people in one day?-N/A97: Are you a tease?-Apparently98: Ever meet anyone you met on Tumblr?-Yes99: Have you ever been deeply in love with someone?-Yes100: Anybody on Tumblr that you’d go on a date with?-Yes101: Hugs or Kisses?-Hugs102: Are you too shy to ask someone out?-Yes103: The first thing you notice about the opposite sex?-Hair104: Is it cute when a boy/girl calls you babe?- *the sounds of radio static*105: If a sexy person was pursuing you, but you knew he/she was in relationship, would you go for it?-No106: Do you flirt a lot?-*straight boy voice* And what would you be doing if I was there ;)107: Your last kiss?-N/A108: Have you kissed more than 5 people since the start of 2012?-N/A109: Have you kissed anyone in the past month?-N/A110: If you could kiss anyone who would it be?-Tom Holland111: Do you know who you’ll kiss next?-Not Tom Holland112: Does someone like you currently?-N/A113: Do you currently have feelings for anyone?-I feel so Much114: Do you like to be in serious relationships or just flings?-I’d like to be in a serious relationship rn but ¯\_(ツ)_/¯115: Ever made out with just a friend?-No116: Are you happier single or in a relationship?-I’ve never been in a relationship so I can’t really say117: Your own question that you want me to answer. Just write it.“Why did I take up Trent on answering all of them”-Because I ain’t no punk-ass bonch

(And now my Watch has ended)

[de-gueules-au-lion-d-or]

“ Nous avons eu la gauche Saint-Tropez, la gauche Lubéron, la gauche Hammamet, la gauche Californie, tous lieux où il n'était pas prudent, pour un homme de droite, de s'aventurer. La gauche caviar, enfin, réalisa une sorte de programme commun de ces différents courants de l'intelligentsia. Parmi celle-ci, une gauche boeuf bourguignon, un courant cassoulet . S'il vous plaît, un peu de sérieux. Difficile d'aller au peuple. Difficile de se fondre dans les masses populaires. L'intelligentsia est chameau et le peuple se trouve de l'autre côté du trou de l'aiguille. Comment passer à travers celui-ci quand on est gros de naissance bourgeoise, de culture, de diplômes, quand on portait jabot de dentelles, à six ans, et que l'on donnait la main à maman photopgraphiée sous son ombrelle, quand, à trente ans, on ne prend pas pas le métro et qu'on boit du whisky et, plus rarement mais ça arrive, du champagne ? ” Marcel, sers-nous quatre coupes. - Quatre coupes ? Vous achèverez bien la bouteille….. - D'accord, une bouteille. “ Que si Marcel, pour rire, avait servi, en dissimulant l'étiquette sous une serviette banche, de la blanquette de Limoux, l'on aurait entendu le choeur entonner le grand air du dégoût. Autre problème : le vin. Quel rouge, entre Mouton-Rothschild et tord-boyaux de cantine ouvrière, était-il séant de boire ? Comment concilier progressisme et savoureux pinard ? …..”

Jean Cau, L'ivresse des intellectuels. Pastis, Whisky et Marxisme

[giancarlonicoli]

24 giu 2020 15:10

GIOVENTÙ SBALLATA – LA COCAINA È LA DROGA PIÙ USATA E L'EROINA QUELLA PIÙ FUMATA, MA NELL'85% LA CANNABIS È IN OGNI PERCORSO DI TOSSICODIPENDENZA – SI INIZIA A 16 AI 18 ANNI CON LA MARIJUANA, SI PASSA ALLE DROGHE SINTETICHE, ECSTASY E ALLUCINOGENI, QUINDI ALLA COCAINA E ALL'EROINA – NELL’ERA POST COVID TRA I NARCOTRAFFICANTI FANNO UN PASSO IN AVANTI I JIHADISTI…

-

Maddalena Guiotto per "La Verità"

La cannabis non è una sostanza per uso ricreativo, ma è all'origine della tossicodipendenza. Oltre ad essere la prima droga, quella che apre il cancello alle altre e ne sostiene l'uso, è anche la più difficile da abbandonare. È questa un'istantanea scattata dall'Osservatorio sulle tossicodipendenze di San Patrignano 2020. Attivo da oltre quarant' anni, è una delle banche dati più autorevoli al mondo e la più attendibile per descrivere l'evoluzione del consumo delle droghe in Italia.

L'attuale indagine è relativa alle 460 persone con cui la comunità è entrata in contatto nel 2019, fra gli ingressi nella struttura di preaccoglienza di Botticella e nella comunità stessa che ha sede a Coriano, nel riminese. La richiesta di aiuto arriva, nell'80,2% da ragazzi e nel 17,8% dei casi da ragazze con età intorno ai trent' anni. Come ormai si registra da tempo, la cocaina è la droga più usata e l'eroina quella più fumata da chi entra in comunità, ma l'85% dei nuovi arrivati fa uso di più sostanze contemporaneamente (poliassuntori) e la cannabis è praticamente in ogni percorso di tossicodipendenza. «È sempre la prima sostanza utilizzata, verso i 15 anni», spiega Antonio Boschini, vice presidente e responsabile terapeutico di San Patrignano.

«Dopo la cannabis, dai 16 ai 18 anni, si passa alle droghe sintetiche, ecstasy e allucinogeni; quindi alla cocaina e all'eroina». I dati dell'osservatorio registrano infatti che la sostanza più utilizzata, in crescita rispetto all'anno precedente e che attiva la richiesta di aiuto, è la cocaina (92,8% vs 88,5% del 2018), seguita a ruota dalla cannabis (85,6%). L'uso di eroina, in calo, è al terzo posto (40,6% contro il 47% dell'anno prima e il 57% di due anni fa), quindi ci sono ecstasy (34,1%), ketamina (27,8%), allucinogeni (20,9%) e anfetamine (19,6%). Preoccupa l'uso dell'alcol, il cui consumo è superato nel 40% dei casi, ma non è percepito come un problema.

«Di solito, chi usa la cocaina, assume l'alcol per sedarsi, dopo l'effetto della droga», ricorda Boschini. «Il mondo scientifico tratta la dipendenza principalmente su base organica, come una patologia neurologica e psichiatrica», osserva il responsabile terapeutico di San Patrignano. «I nostri dati mostrano come le basi della dipendenza siano nell'infanzia, in traumi pre-adolescenziali». A turbare l'età infantile di chi poi si rifugia a 15 anni nella droga, erroneamente considerata leggera o ricreativa, ci sono genitori già dipendenti da sostanze o con patologie psichiatriche, ma anche molestie, bullismo, abusi sessuali.

«Quando andiamo a rivangare nel passato, troviamo degli eventi traumatici che hanno reso la persona più vulnerabile», continua l'esperto. Questo spiega perché il percorso di recupero non sia non tanto sulla sostanza (cannabis o cocaina), ma per la persona. L'età media del primo contatto con le sostanze stupefacenti infatti resta a 15 anni e per l'87% delle persone è avvenuto entro i 20 anni. Il primo contatto però si abbassa a 14 anni quando si parla di cannabis, per alzarsi a 18-19 per iniziare a sniffare cocaina ed eroina.

«Quando andiamo a fare prevenzione nelle scuole», dice Boschini, «non parliamo di cocaina, ma di cannabis. Fare prevenzione sulla cannabis significa fare prevenzione sulla droga». Se da un lato cala l'uso della somministrazione di droga con la siringa (26% del totale), preoccupa l'incremento registrato nelle minorenni che, rispetto ai maschi, sono più precoci anche nel consumo di cannabis e cocaina. L'emergenza Covid-19, con la convivenza forzata in famiglia, ha fatto lievitare le richieste d'aiuto, ma le restrizioni sanitarie hanno ridotto la possibilità di accoglienza della comunità.

«Temiamo che il problema delle dipendenze possa crescere ulteriormente in questo momento e pesare sempre più sulle famiglie», spiega il presidente della comunità Alessandro Rodino Dal Pozzo. «Ad oggi la spesa media familiare per le sostanze è pari a 586 euro, (calcolato sulla base dei 15,3 miliardi annui spesi in Italia in sostanze illegali - dati Relazione al Parlamento - suddivisi fra le 26.081.199 famiglie italiane - dati Istat 2018), una cifra spropositata che, se confermata anche in questo anno, diventerà un ulteriore macigno sulle casse delle famiglie». Anche nelle comunità di recupero, praticamente dimenticate come beneficiarie di aiuto da parte del governo nel post Covid-19, le casse sono in difficoltà.

Sono invece in piena espansione i traffici di narcotrafficanti e terroristi jihadisti in Medio Oriente e Nord Africa. Come si legge in uno studio presentato ieri dalla Fondazione Icsa, tra le conseguenze della pandemia in corso, è plausibile, nel breve e medio periodo, che ci saranno alcuni cambiamenti delle rotte e delle modalità di conduzione del narcotraffico da parte dei jihadisti, mentre, dal lato dei consumatori occidentali, si registrano già significative modifiche degli stili di consumo e delle modalità di acquisto degli stupefacenti. Del resto, in pieno lockdown da Covid-19, la droga ha viaggiato dentro cartoni della pizza o tra finti-runner e i social sono da tempo anche luogo di spaccio.