#Thomas Scalea
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96thdayofrage · 3 years ago
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An officer who initially survived an ambush was taken off of life support, police announced Thursday. 39-year-old Keona Holley’s health had been “deteriorating over the last couple of days,” according to The Baltimore Police Department.
Authorities have said that Elliot Knox, 31, and Travon Shaw, 32, shot Holley on Dec. 16 while she was in her vehicle on Pennington Avenue, then soon killed Justin Johnson, 38, on Lucia Avenue. Like Holley, he was sitting in his vehicle.
“Her health has been deteriorating over the last couple of days and her family, in consultation with her doctors, has had to make the most difficult decision,” cops said of Holley’s condition. “Since Officer Holley’s shooting, Dr. Thomas Scalea and the medical staff at the Shock Trauma Center at the University of Maryland Medical Center have provided her with the best medical care in the world. The Baltimore Police Department thanks them for all of their efforts. However, it was Officer Holley’s valiant fight for her life, which has brought her this far. Her strength, courage and resilience are an inspiration to us all.”
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lexingtonparkleader · 6 years ago
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UAS Delivers Donor Kidney in History-Making Flight
UAS Delivers Donor Kidney in History-Making Flight
Members of the Maryland team celebrate a successful flight in late April. From left are Norman Wereley, Ph.D., Minta Martin professor and chair, Department of Aerospace Engineering, A. James Clark School of Engineering; Dr. Joseph Scalea, assistant professor of surgery at the University of Maryland School of Medicine; Dr. Thomas Scalea, the Honorable Francis X. Kelly Distinguished Professor in…
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sanitasnews · 5 years ago
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randybenedict · 6 years ago
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Humacyte launches Phase II vascular trauma Humacyl vessel trial
Humacyte said yesterday it launched a U.S. Phase II trial of its Humacyl investigational human acellular vessel exploring the systems’ use for vascular replacement or reconstruction in patients with life or limb-threatening vascular trauma.
The Research Triangle Park, N.C.-based company said it hopes to enroll 40 adult patients at six U.S. sites for the trial, with patient monitoring extending out to 24 months.
���As a world leader in trauma research, we are constantly exploring new and innovative approaches to treating life threatening injuries. We look forward to evaluating this bioengineered blood vessel in the treatment of appropriate patients requiring vascular surgical repair,” Dr. Thomas Scalea of the University of Maryland���s R Adams Cowley Shock Trauma Center said in a prepared release.
The first patient in the trial was enrolled last month at Newark, N.J.’s Rutgers University Hospital, Humacyte said. The company is hopeful that it will have topline patient data from the study by late 2020.
“A tremendous medical need exists for patients with traumatic injuries who are in need of vascular reconstruction both in the civilian and military populations. Advancements in tissue engineering, such as Humacyte’s bioengineered vessel, have the potential to be a game-changer for both patients and the brave members of our armed forces who may experience this critical need. Rutgers University is thrilled to participate in this significant investigational Phase II vascular trauma clinical study as part of our ongoing commitment to improve the lives of every patient, every day,” Dr. Michael Curi of Rutgers University said in a press release.
Humacyte said that its Humacyl vessels are currently being studied in a Phase III pivotal trial in the US and Europe exploring their use as a conduit for hemodialysis in patients with end-stage renal disease. The company said it plans to seek regulatory clearances in both regions upon completion.
“As pioneers in regenerative medicine and vascular research, we believe we have a unique and compelling solution to reduce the significant loss of life related to traumatic vascular injuries of civilian victims of violent crimes, automobile accidents, industrial incidents and more. Humacyl has the potential to be a first-in-class therapy for long-term blood vessel restoration or reconstruction of traumatic vascular injuries, and the advancement of our Phase II study represents a significant milestone to investigate the potential of Humacyl in clinical vascular trauma,” prez & CEO Dr. Jeffrey Lawson said in a prepared statement.
In June, Fresenius Medical Care (NYSE:FMS; ETR:FRE) said that it inked a $150 million strategic partnership deal with Humacyte through which Fresenius will gain exclusive rights to commercialize Humacyte’s Humacyl bioengineered blood vessel technology.
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reseau-actu · 6 years ago
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DE QUOI SONT-ILS VRAIMENT MORTS ? (6/6) - Le 14 avril 1865, John Wilkes Booth abat le président d'une balle dans la tête. Avec les progrès de la médecine, aurait-il pu survivre aujourd'hui ?
En avril 1861, Abraham Lincoln devient le 16e président des États-Unis. L'avocat du Kentucky est le premier républicain à prendre la tête du pays. À l'époque, le parti défend l'abolition de l'esclavage. Cette arrivée au pouvoir divise profondément le pays. À l'annonce de la victoire de Lincoln, les 11 États du Sud, dont l'économie repose sur les champs de coton, entament un processus de sécession. Ils se séparent du reste du pays pour créer les États confédérés d'Amérique. La guerre civile éclate à peine un mois après l'investiture d'Abraham Lincoln. En quatre ans, plus de 620.000  soldats tombent lors des combats les plus sanglants de l'histoire des États-Unis. Des dizaines de milliers de civils s'ajoutent à ce terrible bilan.
Pour autant la guerre de Sécession ne fait pas plier Lincoln. Il est même convaincu que l'abolition de l'esclavage mettra un terme au bain de sang. Le 31 janvier 1865, il réussit à faire adopter le 13e  amendement de la Constitution américaine à la Chambre des représentants. Quatre millions d'esclaves sont désormais libres. Un coup de massue pour les États sécessionnistes qui perdent de nombreuses batailles. Ils capitulent le 9 avril 1865. Mais des sympathisants des Confédérés refusent d'admettre leur défaite et l'émancipation noire. Un groupe de conspirateurs mené par l'acteur John Wilkes Booth, une célébrité de l'époque, fomente depuis des mois l'assassinat d'Abraham Lincoln.
Il le tuera le 14 avril 1865, le jour du vendredi saint. John Wilkes Booth sait que ce soir-là le président sera présent au Théâtre Ford à Washington pour assister à une représentation de Notre cousin d'Amérique de Tom Taylor. Le comédien de 26 ans connaît bien ce théâtre, il y joue régulièrement. Il s'y trouve déjà quand le couple présidentiel arrive. Aux alentours de 22 heures, durant le troisième acte, Booth se dirige vers la loge de Lincoln. Nerveux, il reste caché pendant plusieurs minutes entre un mur et un rideau. Il attend la scène la plus comique de la pièce, avec l'idée que les rires de l'audience cacheront le coup de feu mortel.
Aucun garde du corps n'est présent. Les deux hommes censés protéger Lincoln et ses invités trinquent à la taverne d'en face. Armé d'un petit pistolet de poche chargé d'une seule et unique balle, Booth s'introduit sans peine dans la loge et tire à bout portant à l'arrière de la tête du président. Lincoln s'effondre. Le fanatique se jette alors sur scène, près de cinq mètres plus bas, et lance en brandissant un couteau «le Sud est vengé» et «Sic semper tyrannis» (ainsi périssent les tyrans ).
«Sa blessure est mortelle, il ne survivra pas»
La confusion est totale. Tandis que la première dame hurle, les spectateurs crient: «On a tiré sur le président.» Très vite, deux médecins présents dans la salle se précipitent autour du corps. Lincoln est inconscient, dans un état comateux. Au départ, les deux hommes ne comprennent pas qu'il a reçu une balle dans la tête. Ce n'est qu'en recherchant l'origine du saignement que le chirurgien Charles Leale, diplômé depuis seulement six semaines, réalise l'ampleur des dégâts: il peut passer le petit doigt à travers le crâne du président. Il remarque également que sa pupille gauche est dilatée. Elle ne réagit plus. Il se tourne alors vers la compagne du président et livre un verdict sans appel: «Sa blessure est mortelle, il ne survivra pas .»
«D'après la description faite par les médecins, le signe le plus inquiétant est l'asymétrie des pupilles, relève Dr Pierre Hannequin, neurochirurgien au CHU de Rouen. Ceci témoigne de la compression du tronc cérébral, la structure de l'encéphale qui commande le rythme cardiaque et la respiration. Ce sont des lésions catastrophiques.»
Conscient que le président ne tardera pas à succomber à sa blessure, son entourage exige qu'il soit évacué du théâtre. La Maison-Blanche est à quelques pâtés de maison, mais le trajet en calèche dans les rues en terre de la capitale risquerait d'accélérer son agonie. On décide alors de le transporter dans l'auberge située juste en face. Des milliers de personnes ayant appris la nouvelle s'y sont déjà pressées. Lincoln y restera 9 longues heures. Les battements de son cœur ralentissent lentement, jusqu'à devenir imperceptibles. Sa respiration est qualifiée de bruyante et profonde par les médecins. Il rend son dernier soupir à 7 h 22 le 15 avril 1865 dans des draps rouge sang.
Comme l'avait prédit le Dr Leale, Abraham Lincoln n'a pas survécu. Il savait que face à ce type de blessure, il était impuissant. Au XIXe siècle, les chirurgiens n'ont pas les outils et les techniques nécessaires pour sauver les patients victimes d'une blessure balistique à la tête. Et si Lincoln avait été victime de cet attentat à notre époque? Nos médecins actuels, qui ont à leur service des techniques bien plus sophistiquées, auraient-ils pu le sauver? Si oui, quelles seraient les séquelles de ce violent traumatisme, voire de l'opération? En 2007, lors de la 13e  conférence annuelle de clinicopathologie historique à l'université du Maryland, le Dr Thomas Scalea affirme qu'avec une prise en charge avec des techniques modernes le président aurait eu de bonnes chances de s'en sortir, mais probablement avec des séquelles. Un avis qui paraît aujourd'hui bien optimiste.
Même s'il est difficile de donner une réponse formelle 150 ans après, bien des éléments sont apportés par le compte rendu de l'autopsie réalisée à la Maison-Blanche par les médecins militaires Edward Curtis et Joseph Janvier Woodward. On y apprend que la balle est entrée du côté gauche de l'os occipital, à la base du crâne. Elle s'est ensuite enfoncée profondément dans le cerveau déchiquetant la substance blanche, au cœur de l'encéphale. «Sur sa route, le projectile a pénétré un sinus veineux, une grosse veine chargée du drainage veineux dans le cerveau, et a traversé la ligne médiane qui sépare les deux hémisphères. La balle a donc endommagé les deux hémisphères. Ce sont des lésions gravissimes», décrit le Dr Éric Bord, chef du service de neurochirurgie-neurotraumatologique du CHU de Nantes.
«Lorsque la balle a traversé l'hémisphère gauche, une cavité s'est créée, les orbites se sont fracturées et des vaisseaux sanguins à l'intérieur et à l'extérieur du cerveau se sont rompus sous l'effet d'une onde de choc. Cela a provoqué un hématome intracrânien et sous-dural», ajoute le Dr Bizhan Aarabi, directeur du centre de neurotraumatologie à l'université du Maryland.
«Les probabilités de survie, même avec nos moyens très modernes, sont faibles»
À notre époque, ces hématomes et la gravité des lésions auraient été observés au scanner. «Si les résultats du scanner et de l'examen clinique montrent que le pronostic fonctionnel sera catastrophique malgré une chirurgie lourde, nous pouvons décider de ne pas intervenir. En revanche, s'ils sont encourageants, c'est le branle-bas de combat, explique le Dr Hannequin. Nous tentons d'évacuer les hématomes et drainer les ventricules de l'excès de liquide céphalorachidien et de sang. Nous plaçons aussi des capteurs de pression intracrânienne pour que les réanimateurs puissent adapter au mieux les traitements médicamenteux.» Les neurochirurgiens peuvent également réaliser une craniectomie décompressive qui consiste à ôter une partie de la voûte du crâne pour limiter l'hypertension intracrânienne.
La balle et les débris osseux enfoncés profondément dans le parenchyme cérébral seraient restés en place. Les chirurgiens ne s'aventurent pas à les enlever, au risque d'endommager davantage un cerveau déjà traumatisé.
La survie de Lincoln aurait ensuite dépendu des soins de réanimation. Combien de temps serait-il resté dans le coma? En serait-il sorti? Et dans quel état? «Vraisemblablement, le président Lincoln n'aurait pas survécu à l'attaque. Et si par chance nous arrivions à le sauver, il aurait été paralysé de tout le côté droit, aurait éprouvé des difficultés à s'exprimer, ainsi que des troubles cognitifs et fonctionnels proches de l'état végétatif», estime le Dr Aarabi.
Une prise en charge plus précoce par des équipes du Samu aurait-elle pu changer cette sentence? L'intubation, l'assistance respiratoire et la perfusion auraient permis une oxygénation de son cerveau et réduit la souffrance cérébrale, mais le projectile a provoqué trop de dégâts. Nos médecins n'auraient malheureusement pas été plus performants que le Dr Charles Leale et ses confrères. «Les probabilités de survie, même avec nos moyens très modernes, sont faibles. Le taux de mortalité par traumatisme balistique au cerveau est d'environ 90 %. Il a peu évolué en trente ans», relève le Dr Hannequin.
Cette fin tragique, Lincoln l'attendait. Dans ses affaires personnelles, plus de 80 lettres de menace de mort ont été retrouvées. Il avait également été la cible de deux tentatives d'assassinat. À chaque fois, les balles ont atteint son haut-de-forme. Un couvre-chef qu'il avait dû ôter en entrant au théâtre.
Avant sa mise en terre à Springfield dans l'Illinois, son corps a sillonné le pays dans un train funéraire pendant treize jours. Le cortège, parti de Washington D.C., a traversé 7 États et 180 villes.
La maladie
Du haut de son 1,93 m, Abraham Lincoln détonnait à la findu XIXe siècle. Sa taille de géant, ses grands bras ballants aboutissant sur des mains gigantesques ont nourri de nombreux fantasmes. Certains pensent même qu'il était atteint du syndrome de Marfan, une maladie génétique rare qui touche le squelette, les yeux, les poumons mais aussi le cœur. L'atteinte cardio-vasculaire est d'ailleurs la plus grave: il existe un risque très important de rupture de l'aorte. Chez les personnes atteintesde ce syndrome, la paroi de cette artère est en effet fragilisée par l'absence d'une protéine appelée fibrilline. Trop élastique, ce vaisseau se détend et peut céder à tout moment. Aujourd'hui, ce risque est drastiquement réduitgrâce aux bêtabloquants. Mais, à l'époque de Lincoln, ces médicaments n'existaient pas. S'il n'avait pas été assassiné, le président serait très certainement mort d'une hémorragie interne, estiment des experts.
Dates clés
12 février 1809Naissance d'Abraham Lincoln
Avril 1861Investiture à la présidence des États-Unis
Mai 1861 La guerre de Sécession éclate
Janvier 1865 L'abolition de l'esclavage est adoptée
9 avril 1865 Les États du Sud capitulent
15 avril 1865 Lincoln meurt assassiné
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itsannienomouse · 7 years ago
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Surgical Pearls #2
"While you may know that this is a terrible injury and go 'boy i hope we can fix it', it is incredibly important for the operating surgeon, the person who is the captain of the ship, to not loose composure. I think when things are really in trouble, that is the time when you can't yell, CAN'T YELL. Because most people don't perceive being yelled at as a good time and would prefer to not have it happen again. So now they are terribly anxiety ridden and much more likely to make a mistake" -dr. Thomas Scalea- From Behind The Knife Episode 117: The Boss of Shock Trauma, dr. Thomas Scalea
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baltimorecheckbook · 7 years ago
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Shock Trauma chief Scalea working on disaster plan for 'when' terrorism hits Baltimore
The head of University of Maryland's Shock Trauma Center wants to formulate a disaster plan for "when, not if" the city is affected by a terror attack or mass shooting event. National tragedies seem to be becoming fairly commonplace, unfortunately. Dr. Thomas Scalea, physician in chief at the R Adams Cowley Shock Trauma Center, said it is hard for him to watch news events, like the mass shootings in Orlando and Las Vegas or the school shootings at Sandy Hook Elementary and University of Virginia,…
from https://www.bizjournals.com/baltimore/news/2017/10/18/shock-trauma-chief-scalea-working-on-disaster-plan.html?ana=RSS%26s=article_search
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