#Théorie du Chaos
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Le problème des trois corps – d’un point de vue métaphysique
“Isaac Newton” La loi d’attraction universelle de Newton est simple, limpide : dans l’espace, deux masses s’attirent selon une force inversement proportionnelle au carré de la distance qui les sépare. Cette formule est très facile à appliquer lorsque seulement deux corps célestes sont en interaction, – par exemple la Terre et le Soleil, ou bien la Terre et la Lune. On peut alors aisément prédire…
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- suggestion de faceclaim pour le pré-lien traum und existenz
tw - mention d'alcoolisme
kaito ça date, kaito ça prend racine dans des vieilles théories du complot fumeuses et des jets de jouets par-dessus la balustrade pour voir lequel survivra à l'apesanteur. kaito c'est l'autre côté de la pièce, c'est un micmac complémentaire, lui aime pas lire, elle elle adore lire, lui passe mille ans sur l'instru, elle crache des paroles comme un missile qui fend la mer en deux. kaito ça a été aussi celui qu'a joué au plus con, qui s'est retrouvé alcoolo à force d'accepter les verres lors des soirées, qui finissait pété à midi, qui s'est retrouvé à pas pouvoir assumer un concert. lulu l'a dégommé, lulu l'a dézingué, lulu l'a embrouillé comme jamais, dans l'inquiétude pour son pote mais aussi le flippe que le contrat pète entre la maison de disque et eux. la semaine d'après il avait son cul bien enfoncé dans une chaise en plastique chez les AA, et elle l'a accompagné lulu, elle l'a accompagné en lui serrant parfois la main. lulu c'est à la vie à la mort, lulu c'est les résidus d'un chaos doux qui tape des fous-rires à deux heures du matin.
#forum rpg#forums#rpg francophone#forumactif#rpg français#avatars rpg#faceclaim rpg#ressource rpg#pub rpg#nava mau#nava mau avatars
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Nous sommes en juillet 2024, et les Jeux Olympiques de Paris battent leur plein. La ville lumière est un melting-pot de cultures et de célébrations, accueillant des millions de visiteurs du monde entier. Mais derrière les festivités, une ombre inquiétante plane. Le député britannique Andrew Bridgen, lors d'une réunion secrète au Parlement, apprend l’existence d’un complot d'une portée inédite. Un groupe de conspirateurs au sein de l'OTAN élabore un plan diabolique pour orchestrer une attaque sous faux drapeau pendant les Jeux. Leur objectif est de faire exploser une bombe nucléaire au cœur de Paris, en accusant la Russie de l’attaque. Cette explosion serait un prétexte pour déclencher une intervention militaire massive contre la Russie, justifiée par la défense de l’Europe. L'attentat est minutieusement planifié pour se produire lors de la cérémonie de clôture, un moment où les yeux du monde entier seront rivés sur la capitale française. Alors que la date fatidique approche, Andrew Bridgen, rongé par l’angoisse, décide de révéler la vérité. Il contacte un journaliste de confiance et lui remet des documents confidentiels prouvant l’existence du complot. Le journaliste, à la recherche de la vérité, commence à enquêter, mais il est rapidement poursuivi par des agents des services secrets qui veulent étouffer l’affaire. À Paris, la tension monte alors que les autorités mettent en place des mesures de sécurité sans précédent pour les Jeux. Des indices commencent à émerger, mais ils sont immédiatement dissimulés ou dénigrés comme étant des théories du complot. La panique commence à s’emparer de la population lorsque des rumeurs d’une attaque nucléaire se répandent. Le jour de la cérémonie de clôture arrive 11 août 2024. La ville est en effervescence, les athlètes et les spectateurs se préparent pour un moment historique, inconscients du danger qui les guette. Tandis que la bombe est secrètement transportée à travers Paris, Andrew et le journaliste se lancent dans une course contre la montre pour exposer la vérité. Ils doivent faire face à des poursuites effrénées, des trahisons et des obstacles presque insurmontables. Finalement, alors que la bombe est sur le point d’être déclenchée, Andrew et le journaliste parviennent à pénétrer dans la zone de sécurité. Dans une confrontation dramatique, ils parviennent à révéler l'existence de la bombe aux autorités à la dernière seconde. Mais il est trop tard. L'explosion retentit, semant la panique et la désolation dans la capitale française. Les radiations se propagent, plongeant Paris et le monde entier dans un chaos sans précédent. Dans un contexte de panique mondiale après l'explosion, tout le monde crie au complot. Les médias et les réseaux sociaux sont saturés de théories accusant les gouvernements et les agences internationales de manipulation. Les fact-checkeurs démentent ces rumeurs, les qualifiant de pure fantaisie et de paranoïa infondée. Cependant, dans un retournement de situation stupéfiant, des preuves irréfutables émergent, démontrant que la conspiration était bel et bien réelle. Les démentis se révèlent alors embarrassants pour les fact-checkeurs, pris au piège de leur propre certitude. Le complot est enfin révélé, mais les ramifications politiques sont énormes. Les responsables de l’OTAN impliqués dans le complot sont arrêtés, et un débat international s'ouvre sur la transparence et la sécurité. Paris, tout en étant marquée par la catastrophe, se retrouve au centre d'une controverse mondiale sur la manipulation et la vérité. À suivre.
Les Jeux Olympiques de Paris 2024 seront le plus grand événement jamais organisé en France. Ils se tiendront du 26 juillet au 11 août 2024, durant 16 jours hors du temps pendant lesquels Paris 2024 sera le cœur du monde. Les Jeux, c’est du sport, mais tellement plus encore… Une combinaison de rendez-vous culturels, de programmation artistique, et de performances diverses qui créent une expérience unique en son genre. Les Jeux, c’est un festival populaire et multiculturel qui s’adresse au monde entier. C’est une aventure qui va embarquer la France entière pour une expérience inédite. Et Paralympiques le 13 septembre 2017
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Avec une amie on était d'accord pour dire que l'intersectionnalité signifierait la mort du féminisme et il faut voir comment ces vautours entraînent celles qui ont des avis censées dans les théories post-colonialistes made in US.
Mais c’est non seulement la mort du féminisme mais aussi celle de la lutte contre le racisme, contre l’homophobie, celle du syndicalisme… Ce sont des semeurs de chaos qui n’ont aucun intérêt à ce que la cause sur laquelle ils se greffent arrive à quoi que ce soit. En cela ce sont les meilleurs alliés des extrémistes du bord d’en face. Pas mieux qu’un néo-communiste pour booster l’extrême droite, et inversement.
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Pas vraiment d'ici
C’est Ralph Binder qui le premier a pointé le fait au début des années 90. A savoir l’absence totale de références à la seconde guerre mondiale dans les écrits des écrivains de la Beat Generation que furent Allen Ginsberg, William Burroughs et Jack Kerouac. Binder était un critique littéraire spécialiste de leur œuvre et leur avait déjà consacré plusieurs études. Le fait aurait pu lui sembler anodin s’il n’en avait pas déduit une hypothèse qui, il faut le dire, ne possédait pas à l’époque où il la formula toute la vraisemblance d’une vérité.
Lorsque Binder établit ce fait la chose pouvait sembler sans importance. Après tout ces trois écrivains n’avaient jamais eu pour but de se faire les historiens de leur époque. Mais il faut bien se rappeler ce que disait Binder. Il n’affirmait pas seulement que Ginsberg, Burroughs et Kerouac ne s’étaient pas intéressé au plus grand évènement du 20ème siècle. Il pointait le fait que dans leurs écrits, ni la seconde guerre mondiale, ni ses causes, ni ses effets, ni rien de ce qu’elle avait pu imprimé au monde n’y était perceptible.
De cette constatation irréfutable et d’autres données il en tira l’article publié il y a maintenant plusieurs années dans Future Memories. Ralph avait attendu longtemps avant d’offrir au public le fruit de ses recherches. La prudence dont il avait fait preuve plaidait en faveur du sérieux de son travail. Ceux qui l’ont bien connu l’ont même souvent qualifié d’esprit pointilleux et tatillon à l’excès.
Ceci explique pourquoi son article, en dépit de ses folles affirmations, fit l’effet d’une bombe et suscita un œil attentif de la part des spécialistes de ces trois écrivains. Que disait Ralph Binder en substance ? Tout simplement qu’il leur avait été impossible de parler de la seconde guerre mondiale puisque celle-ci, dans leur monde, n’avait jamais eu lieu.
Mais comment pouvait-on l’expliquer ? Ralph Binder affirmait que les trois écrivains avaient vécu dans deux mondes parallèles différents, le nôtre et le leur où la seconde guerre mondiale n’avait pas eu lieu. L’explication quant à l’interpénétration de ces mondes parallèles était à l’époque impossible à formuler pour Binder mais il supposait que l’usage fréquent de la psilocybine par les trois écrivains avait pu créer un trou de vers mental leur permettant de passer de l’un à l’autre.
Toujours selon Binder, l’existence de ce monde parallèle expliquait la vie aussi bien que l’oeuvre des trois « voyageurs des mondes » ainsi qu’il les appelait. La poésie échevelée de Ginsberg, l’errance pathologique de Kerouac, les disparitions inexpliquées de Burroughs et son absence au réel prouvaient bien qu’ils n’étaient pas vraiment d’ici. Binder allait plus loin. Dans le monde parallèle qui pouvait communiquer avec le nôtre, la mafia Nova existait vraiment.
Les années passèrent et l’intérêt pour l’article retomba jusqu’à ce que l’évènement singulier survenu en 2033 dans le grand collisionneur du CERN ne vienne confirmer la folle théorie de Ralph Binder. Ce dernier était déjà mort lorsque le 21 juin 2033, une surtension non contrôlée provoqua l’explosion partielle de l’accélérateur. On sait maintenant que l’incident dramatique provoqua la formation d’un trou de vers stabilisé reliant un monde parallèle au nôtre.
Dans le chaos et la panique qui suivirent personne ne remarqua les silhouettes chancelantes qui s’éloignaient des bâtiments en feu. Nul ne leur demanda leur identité et ils s’évadèrent dans la nature sans laisser de traces.
On connaît maintenant leur identité. Sammy the Butcher, Green Tony, Iron Claws, The Brown Artist, Jacky Blue Note, Limestone John, Izzy the Push, Hamburger Mary, Paddy The Sting, The Subliminal Kid, Blue Dinosaur, Mr. and Mrs. D., tous membres éminents de la Mafia Nova, profitèrent du trou de vers pour passer dans notre monde.
Leur but ne faisait aucun doute. Nova veut infecter la Terre et prendre le contrôle des opérations. Cette guerre est la guerre ultime. L’infection gagne toujours plus de cerveaux chaque jour qui passe.
Ginsberg ne fit que nous divertir, Kerouac opta pour une fuite éperdue, William Burroughs – Inspecteur Lee de la Nova Police – se lança quant à lui dans la bataille. Chacun de ses écrits tenta de nous alerter. « The purpose of my writing is to expose and arrest Nova Criminals. I show who they are and what they are doing and what they will do if they are not arrested. [...] With your help we can occupy The Reality Studio and retake their universe of Fear Death and Monopoly. ».
On comprendra mieux maintenant pourquoi William Burroughs aimait tant les armes.
DH juin 2033
#text#fanzine#parallel world#william burroughs#william s. burroughs#litterature#science fiction#physics#experimental
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« C’est ainsi qu’il est possible de saisir le mystère de l’hellénité, sa perfection qui nous demeure impensable et sa distance qui en fait pour nous une réalité irrémédiablement étrangère: le Grec ne connaît que des réponses, mais pas de questions, que des solutions - parfois énigmatiques - mais pas d’énigmes, que des formes, mais pas de chaos. C’est en-deçà du paradoxe qu’il trace le cercle structurant des formes et tout ce qui, depuis que le paradoxe est devenue actuel, ne pourrait conduire qu’à la trivialité le mène à la perfection. »
Georg Lukacs. « La Théorie du roman ».
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Front populaire antisioniste : les juifs s’étouffent en direct face à l’alliance de la gauche
Comme je le disais hier, la gauche semblait déterminée à appliquer sa discipline antifasciste. Elle a confirmé cette nuit en scellant un nouveau front populaire avec tous les partis de gauche, France Insoumise en tête. Les syndicats devraient rejoindre cet attelage, ainsi que le showbiz.
Cette expression, « Front populaire », fait éclater de rage les juifs.
Le dernier front populaire, en 1936, était la création du juif Léon Blum et il visait effectivement à protéger la république de Dreyfus de la montée nationaliste.
Cette fois-ci, ce front populaire se fait sans eux, voire contre eux, puisque LFI est désormais le parti de l’opposition radicale à Tel Aviv.
Ça fait la soupe à la grimace.
La juive Ruth Elkrief s’est étouffée de rage sur BFMTV.
Les autres ne sont pas plus sereins.
Le juif Glucksmann tente de conspirer contre cette alliance pour protéger « Israël », mais aussi ses projets de guerre en Ukraine pour le compte de Zelensky. Son poids étant nul au sein du PS, il est déjà marginalisé par la dynamique antifasciste.
L’appareil national n’est pas le groupe des eurodéputés.
Quand je disais que le RN ne changerait rien de par sa politique (ou presque rien), mais qu’il déclencherait par défaut une anarchie énorme, c’est de ce genre de choses dont je parlais.
Nous allons avoir un « front populaire » antisioniste à l’Assemblée, ce qui va faire fuire les juifs, mais accourir un peu plus les musulmans.
La stratégie de Mélenchon, élection après élection, se resserre l’étau sur la gauche française.
Macron de son côté est occupé à disposer ses mines partout et il est plus que probable que les uns et les autres marchent dessus.
Plusieurs théories circulent, mais l’homme Macron remettrait son mandat en jeu après moins d’une année de cohabitation.
Macron se présenterait alors comme le véritable candidat du retour à l’ordre, après des mois de chaos et de grève, en disant que « les extrêmes » ont gravement affaibli le pays.
Ça peut marcher.
En tout cas, le RN n’aurait le temps de rien faire en cas de majorité relative (même absolue), si ce n’est de se retrouver au milieu d’un début d’insurrection de rue.
Sans parler des médias qui utiliseraient le moindre incident dans les banlieues ethniques pour souffler sur les braises d’émeutes raciales.
Les rouges aussi sont motivés.
Les gens, à droite, ne voient pas ce véritable marais qui s’étend et pense que débarquer à Matignon suffit à appliquer tranquillement la remigration (qui n’est pas au programme d’ailleurs).
À la place, c’est à une première phase de guerre civile que nous allons assister ou quasiment.
C’est ça, justement, l’opportunité : enterrer cette démocratie dans les faits et passer à d’autres formes d’organisation rendues possibles par l’affaiblissement général de l’État, sa balkanisation.
Je suis résolument enthousiaste et optimiste dans un tel contexte.
Démocratie Participative
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The Level Above Human
Bon le tableau proposé par l'excellence Noiser au Rex à Tolosa ouvrait pour une fricassée sonique autant technique que brutale. Disons que la mesure des surfaces, volumes, poids, variations, doses, durées musicales ne pouvait être effective sans une théorie des lois de l’abysse tant chaque groupe a façonné une sorte de jeu stratégique dans une bobine sanglante, entre le conflit Risk et le film Pi "π" de Darren Aronofsky.
Il y avait bien une obsession à manier une musique sinusoïdale au riffing rigoureux et dans une dévotion relationnelle aux mathématiques groovy en ce 29 Avril 2024. Je retrouvais dans l'antre du Rex club Ben aka Gratte, mélomane compulsif qui depuis son adolescence étanche sa soif passionnelle dans l'art appliqué de musiques extrêmes. Il a eu une émission radio sur FMR intitulé « La loi du metal (du nom d'une chanson du groupe Titan avec l'ex-chanteur de Killers).
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Puis une autre intitulé ''Maximum Distortion'' ( dans l'intro prononcé par Jello Biafra sur le titre The Great &The good du groupe Napalm Death sur l'album « The Code Is Red ») qu'il animait avec Raf ( bassiste et chanteur chez Nolentia, Marble Feathers)
C’est toujours enrichissant de dialoguer avec lui, nous sommes de la même génération et il capte immédiatement et connaît et reconnaît tous les codes. Ouvert à la multiplicité des scènes ouvertes et aux différentes passerelles et chapelles engendrées depuis la première graine maléfique, ainsi que la mutation 2.0 en réactualise la formule, Ben est un protecteur sans être conservateur, un mécène sans être sponsor, il défend et savoure une culture qui l'a façonné, et j'aime son état d'esprit philanthrope sur cet étendard de la contre-culture qu'est le metal.
Après l'apéro Ben & Nuts voici le plat principal Bir & Ben :
Il y avait dans cet ordre sonique ce soir là un chaos d’opposer à la rigueur musicale et à sa confusion bruitiste, parfois dissonante, la forme de musique irrationnelle aussi imparfaite que l’humanité, avec toute sa complexité sensible, sa puissance réglée comme du papier à musique, tapant aussi bien sa portée sonique avec panache qu'en allant dans la marge.
Le groupe de première partie c’est celui qui se lève en premier de la tranchée. Le levée de rideau est injuste, il ressemble à une boite de nuit à 5h00 quand la lumière s’allume et que les visages apparaissent avec leur taux d’alcoolémie ridicule et la bestialité d’une frustration sexuelle.
Lancé en 2022, MELANCOLIA est une entité tourmentée, emprisonnée dans les griffes du désespoir, de l’angoisse avec un deathcore mélodique qui fusionne gothcore indus et nü-metal, présentant des décors cauchemardesques en chanson, avec des ajustements inspirés de Cradle Of Filth. Basé à Melbourne, Australie, le quatuor a sorti son premier album « HissThroughRottenTeeth » (Siffler à travers les dents pourries) via Greyscale Records et Nuclear Blast Records qui narre une divinité déchue chassée d'un royaume divin, et ayant subi la punition de se réincarner en humain doté d'une richesse de connaissances mais entièrement dépourvu de pouvoir.
En façade le son est minuscule ne mettant pas en valeur leur musique, c’est certain. Le chanteur Alex Hill (âme noire) est dans l’interprétation d’un corbeau à l’aile blessée au désordre des plumes, entre Marilyn Mason, Alice Cooper et Madonna, mais pas de glam à Bowie, c’est des grognements gutturaux et des cris de gremlins qui sort de ses entrailles.
Le guitariste témoigne d’un visage au panachage entre Danzig et David Vincent (Vltimas, Morbid Angel), le groupe fait ce qu’il peut pour mettre de la fougue, essayant d’être freddy krueger et de griffer la nuit de son art avec pour messagers la peur et l’épouvante. Mais l’on sent que devant une centaine de personnes et un son indigne ça va être ardu de filer des cauchemars. Le chanteur essaye de jouer avec sa salive histoire de choquer un parterre de gars (entre 20 et 37 ans 3 mois et 8 semaines) qui ont dû autant visionner des centaines de bobines sanglantes et écouter de la tripaille sonique que de passer du temps devant un écran à se pignoler le joystick, alors un show paranormal parait aussi effrayant qu’un album de Lara Fabian. Melancolia s'infiltre comme il peut dans le renouveau de la scène, ce n’est pas simple, mais le corbeau est patient et Satan appâte son hameçon selon l'appétit du poisson, il suffit juste de trouver l'appât. Le chanteur en partant déplia une argumentation d’influenceur de Dubaï pour vendre le merch.
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Les Gardiens de la galaxie slamélodeath metal 2.0 VULVODYNIA ont annoncé qu’il se séparait de leur chanteur Duncan Bentley en mai 2023 après une violente altercation avec le batteur Thomas Hughes lors d’une tournée. Un chanteur a été présenté (pas entendu le blaze, dsl), en début et fin de set il a fait une interprétation remarquée, mis du punch et un bon mood.
Les sud-africains ont quitté le slam qui était autrefois leur salle de jeu sanglante, et au lieu d'être ridicule et amusant le groupe a convulsé dans une vision deathcore pour se fondre vers Lorna Shore et Mental Cruelty. Cette version se concentre davantage sur la technicité et la mélodie avec des remous lovecraftiens. Bon le groupe crée une musique divertissante, mélange de slammy death mélodique jazzycore qui magnétise les fans de Cannibal Corpse, The Black Dahlia Murder, Sanguisugabogg, Karen Cheryl dans un 2 en 1 cos 7√6 ou plus simplement 8 *11+ cos8 -1√22 + √2− √.
Vulvodynia a créé une musique lourde et énergique, mais pas assez rentre-dedans dans le gore, ni caverneuse pour aller en profondeur. Le groupe longe une nouvelle approche nerd. En tout cas pas assez pour garder l'auditeur oldschool en haleine. Toutefois le délire est présent, et sans foncièrement exagérer, l’on distingue une compréhension générationnelle 2.0 nërd à manier le fer à chaud dans un laptop, Luke Haarhoff le guitariste et membre fondateur avait un short et chemise à motif pastèque, avec le jeu de jambe moshing-beat de Scott Ian d’Anthrax et une caresse guitaristique à Ihsahn d’Emperor. Dans le pit c’était Zumba mosh Johnny Clegg aka castagne toulousaine saga Afrika Bambaataa.
Glen Benton, le leader emblématique de Deicide a récemment déploré la prolifération des sous-genres, exprimant sa nostalgie pour l’authenticité brute incarnée par les pionniers du metal du passé. Il a critiqué ce qu’il considère comme un manque de personnalité chez les musiciens de metal contemporains, décriant la prévalence d’une esthétique uniforme caractérisée par “des aspirants musiciens qui ressemblent tous aux gars de Weezer” et un mépris pour l’imagerie iconique synonyme de la culture metal.
[Aparté : Je ne reparlerais pas de ce quart de finale enculation rugbystique contre les sud-af, non, non, et non…]
Vulvodynia cherche les bases de son impulsion à la cool mais dans une structure moderne pour sortir de l’engrenage d’outsider, alors qu’il était sur une pente ascendante dès le début de son éclosion. Il donne cette impression de refonder ses soubassements avec de nombreuses accroches évidentes et un sens de l'humour odieux pour entraîner le spectateur dans le terrier du lapin, voire son orifice, mais je n'ai pas trouvé de riffs et refrains trop mémorables, et les influences mélo-death présentes ne traduisaient pas un caractère accrocheur pour autant. Le groupe étant davantage épris des créatures mangaoïdes, ses ténèbres ne sauraient se réduire à des gimmicks gothiques faciles. Il y a de notable transition dans les limbes et sans pour autant s’amuser à la branlette technique, Vulvodynia a étourdi la jeunesse. Dans le public un clone plus grand de Gimli, fils de Glóin, des Nains d'Erebor, se posta une première fois devant la scène et à chaque passage de circle pit alla foutre un coup d’épaule à la bleusaille coton-tige, puis asséna des reculs à bon nombre de crayon à papier (taille fine mine), toujours avec le sourire de celui qui pèse 100 kg de plus que son homologue, le chenapan. Les gens mesurent généralement tout à leur propre aune : ce qui ne me fait pas de mal ne fait de mal à personne. Ce qui n’est pas important pour moi ne l’est pour personne.
Le son était un deçà au-dessus des Australiens de Melancolia, disons que nous commencions à épaissir le trait sonore, mais toujours avec du faux sang.
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Car justement il fallait mettre les cursus dans le bon niveau de spectre sonore du Tech Death Metal prog de FALLUJAH. Sur disque les Californiens fondent un voyage aussi impressionnant de choc qu’atmosphérique, leur contraste est aussi rapide qu’éthéré, fluctuant plusieurs couches et épaisseurs dans un volume sonore étourdissant.
Formé en 2007 à San Francisco, Fallujah est passé du Deathcore au Progressive/Tech Death Metal avec une immense richesse musicale disposée avec les albums "The Harvest Wombs" (2011), "The Flesh Prevails" (2014), "Dreamless" (2016) et "Undying Light" (2019), et "Empyrean" (2022).
Fallujah est un alchimiste dont la fusion de son metal moderne avec le death progressif et technique lui permet une complexité rythmique à l’effervescence délicatesse mélodique.
Leur musique renforce une multiplicité de contrastes qu’il est nécessaire d’avoir plusieurs écoutes pour assimiler les différents niveaux de lecture et d’interprétations qui s’y prêtent. En cela le groupe est visionnaire, et dans cette audace les deux groupes précités ont l’exemple à suivre pour s’adapter à un juste équilibre des mouvements, styles et sensibilité.
En live le son doit être irréprochable, sinon c’est bouillie, voire bouillasse. Donc le son était bien meilleur fort heureusement, me postant devant la régie le son du soliste était nickel chrome, la batterie moyennasse et le chant était noyé dans le mix, dommage. Pas de chant clair de Tori Letzler, chanteuse live du groupe depuis 2016. Ce qui ne m’a pas empêché d’entendre cette batterie intense, toute en tension claquant les cymbales apportant un surplus aux passages aériens et à la puissance sombre que dégage le groupe. Les harmonies du soliste sont remarquables, et tous ses passages étaient époustouflants de violence sensuelle. Fallujah est impressionnant en live, ses passages sont majestueux, cela bifurque rapidement dans une variation très intense, tout en sensibilité avec toujours une profondeur hypnotique et prouesses techniques martiales. Tous les mécanismes de lutte étaient verrouillés, le public était hébété par la superposition mille-feuille des Américains. Les imaginations ne s'éteignaient plus, bien au contraire, elles s'emparaient des âmes, ça ne tournait plus rond, Copernic en aurait eu la tête toute retournée.
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Le royaume Britannique a retrouvé son mojo !
Le public tournait en bourrique au rythme Blastbeatien brutal et groovy des mancuniens d'INGESTED, assurant un show dans un plaisir communicatif en étant aussi rapide qu’une descente de l’Everest en Segway Multipla.
En formation Gaviscon pour retenir les tripes avant qu'elles sortent par l'afflux incessant d'un son gigantesque et surtout lourd, je me fraye un chemin dans les ténèbres du concert, avec des lyrics qui sont un terrain hostile pour les fans de Jean d'Ormesson. Les Anglais appuient sur le starter d’emblée et font traverser la manche aux toulouzins en retroussant les tricots de peau.
Le vocaliste Jason Evans est toujours aussi charismatique, passant de growls graves à des hurlements vindicatifs, il actionne un super état d’esprit, motivant sans arrêt les troupes, il va chercher les moindres énergumènes frileux pour les enserrer à la Bruce Dickinson. Ingested porte en lui une bête, un ange et un fou, tous ses démons viennent jouer avec des couteaux pleins d’horribles appétits. Un corps de decathlonien se livrait dans le pit comme une queutarde pendant la fête fautive du Cap d’Agde. Pour les fans de taxidermiste ce groupe porte la peau du style 2.0 pour la volumétrie d’un son groove thrashy 90’s meet Pantera avec des breakdowns deathcore meet Slaughter To Prevail. Les riffs crépitent comme des étincelles, et les lèvres brûlantes de la rythmique comme des braises. Le groupe nous disait par allégorie : « Venez vous asseoir avec moi dans le noir et soyez enfin dévoré par la lumière ». Brillant, efficace, obtenant un taux de capital sympathie immédiat et largement gagné à la sueur d’un set explosif, Ingested n’a jamais faibli d’un iota, ni compacté son concert, il a joué avec un paquet d’allumette et un bidon d’essence avec son public. Car la majorité de la salle était venue pour lui. Si vous venez de comprendre la signification exacte du death metal 2.0 après avoir écouté leur dernier album « The Tide of Death and Fractured Dreams », c’est déjà une bonne chose, mais est-ce que l’enfant que vous étiez serait fier de vous ? Oh Yeah assurément !
Le groupe a passé en revue sa disco et avec largesse des titres de ce dernier opus flamboyant, pétrissant la chair dans un brise nuque façon Steven Seagal, de tendinite à l’épaule à force de corner ses doigts maléfique bras tendu, et des hématomes à force de circle pit outrecuidants. L’ambiance n’était pas terracotta, c’était une impulsion de testostérone au couleur primaire, et pas d’arc-en-ciel ça c’était pour Vulvodynia. Le public attiré par la force magnétique s'est flambé les muqueuses entre le groove orageux et l'énergie volcanique. Le rythme et le groove sonique ont propulsé une pugnacité bénéfique à mouiller le t-shirt jusqu’aux chaussettes. Depuis que 007 est à la retraite dans l’Algarve avec la britpop, que le brexit a isolé, l’Angleterre peine à se trouver un nouvel emblème, avec Ingested elle a engendré une très bonne dynamique, perpétué l’espèce et ses lettres de noblesse sur l’échiquier de la musique qui torche !
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Véritable casse nuque avec autant de force qu’un brise-glace en arctique pour 7 albums en 12 ans, tu vois c’est bien achalandé, en plus de faire sauter les murailles à la dynamite avec un set digne du plus riche des élixirs du démon, son ambroisie, même.
Merci à Romain Richez de l'agence Singularités, au label Metal Blade, à l'asso NOISER (666 fois), Melancolia, Vulvodynia, Fallujah, Ingested, & Ben !
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=Un voyage chaotique=
Si nous pouvions physiquement reculer de 91 ans dans le temps, et être aptes à changer les résultats de l’élection de 1933 du chancelier allemand qui par la suite déclarera la guerre à la Pologne six ans plus tard en 1939, ce voyage dans notre capsule temporelle serait des plus hasardeux.
Car pendant le voyage en régression dans le temps, la théorie du chaos avec ses millions de variables se collisionnant entre elles, créera un passé qui ne ressemble que peu à nos livres d’histoire.
Par ailleurs, les évènements à venir de cette ère préatomique seront influencés également par la théorie du chaos. Une journée de pluie qui fut est maintenant un jour ensoleillé et ceci peut changer une décision importante d’une personne clé à notre déroulement historique nous conduisant à un futur autre.
Le voyageur incapable de modifier à sa guise le passé qui voudrait remonter vers le 21e siècle perdra ses repères, car amis, famille et patrie seront remodelés par notre théorie du chaos toujours en action indépendamment du facteur temps. L’état de son monde à son départ est maintenant une réalité alternative perceptible que par lui. Ceci pourrait le conduire à la folie !
Nous ne pouvons pas effacer un passé en guerre dû à la théorie du chaos qui modifie tout sur son passage. Nous pouvons cependant améliorer le futur en aimant notre prochain comme l’aîné de la famille qui se bat pour la justice sur tous les fronts ! Tu es une inspiration sœurette !
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Séance #6 - un moi 2.0
Le sujet de la semaine ; l’identité virtuelle. Après la lecture de l’article de Nguyen, j’oriente ma présente réflexion sur le concept de la fraude identitaire, de la sécurité numérique et sur un possible danger du web vis-à-vis à notre identité.
En théorie, il n’y a pas d’ambiguïté concernant mon identité. Je suis une femme, de 22 ans, aux cheveux bruns, aux yeux pairs et à l’allure ordinaire. Je me distingue dans ma personnalité oui, mais à prime à bord, j’ai une identité semblable à la majorité des femmes de mon âge, du moins dans le monde réel. Là où tout change, c’est dans le monde virtuel. Je peux être moi et quelqu’un d’autre à la fois. Comment trouver ma véritable identité, j’ai trois, même quatre adresses courriel différentes. J’ai un compte Facebook, une page Facebook que j’ai créée par erreurs, un compte Instagram public et un compte Instagram privé pour mes amis proches et ça, c’est sans compter tous les autres réseaux sociaux que j’ai. Le monde qui nous entoure est un véritable chaos identitaire. Comment savoir ce qui est vrai ? Comment peut-on craindre les fraudeurs alors que nous le sommes en quelque sorte tous un peu ?
Ma projection de moi sur Internet s’enracine sans cesse. Je laisse des traces sur le net plus vite qu’à la vitesse de mon ombre. Comment protéger mon soi virtuel ? Comme le dit Nguyen, il est difficile de demeurer en sécurité sur le web (Nguyen, 2023, paragr. 8). Pourtant, je n’ai jamais eu peur de me faire voler mon identité lorsque je vais au super marché. Après réflexion, le fameux monde des Internet sait et se rappelle bien plus de trucs me concernant que ma mère, pire que moi. C’est vrai, j’ai activité la fonction de trousseau virtuel ! Ainsi, mon ordinateur se rappelle de tous mes mots de passe à ma place. Il connaît mes préférences en matière de publicité, il devient même une extinction de moi. Par exemple, si je souhaite me procurer un nouveau vélo, il me propose sans le moins efforts, plusieurs choix différents.
Il serait temps de se poser la question… Notre identité profonde, celle qui nous est propre, qui nous rend uniques dans le monde réel, est-elle la même dans le monde virtuel ?
Nguyen, S. 2023, 10 octobre. Démasquer l'identité numérique. Journal du net. https://www.journaldunet.com/cybersecurite/1525317-demasquer-l-identite-numerique/
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Ordre. Nous aimons l'ordre. Je ne parle pas des ordres, mais de l'ordre général qui conditionne notre vie. Nous avons tout structuré. Nous avons découpé le temps en milles fragments parsemés de dates, de réunions, de rituels et de traditions. Nous avons quadrillé l'espace en villes, route, rue et pièces à vivre. Nous avons segmenté la vie en société en lois et règles à suivre. Nous avons décomposé le monde en mots, théorisé sur ses règles et ses lois, cherché et cherché encore l'ordre derrière le chaos. Même le chaos, ennemi juré de l'ordre, est devenu une théorie, rangé avec les autres entre les théories des cordes et de la relativité. Parfois, il arrive qu'une personne soit un peu en décalage avec l'ordre établi. Il y a mille façons de ne pas suivre les différents ordres et pas simplement en étant hors la loi. Prenons une personne qui, disons, ne range pas ses affaires. Mais genre, vraiment pas. Que dira-t-on ? Qu'elle est bien libre de vivre comme bon lui semble si elle souhaite être en harmonie avec le chaos en ce qui concerne son chez-soi ? Oh que non. Pas du tout. On dira en la pointant du doigt qu'elle est au mieux désorganisée, au pire bordélique. Et vu que cette personne ne peut pas faire de ménage du fait de ce méli-mélo bien joyeux d'objets en tout genre qui encombre son espace, on dira sans doute aussi qu'elle est sale et que tout ceci n'est pas très hygiénique. Ceci donnera un apriori très négatif. Je ne dis pas que c'est bien ou pas bien. Je dis juste qu'on a élevé l'ordre à un tel niveau d'excellence dans tous les domaines qu'on en oublie que ce ne sont que des règles que nous avons établies. Pour des raisons peut-être valables, je ne dis pas. Mais on s'est créé ses règles nous-mêmes. A force, on se bat en permanence contre notre ennemi le chaos. Le ménage est un bel exemple de combat régulier contre le chaos. Planifier, ranger, mettre les choses dans des cases, combiner, comprendre aussi. Oui, même comprendre fait partie de nos techniques de combat contre le chaos. On est tellement obnubilé par l'ordre qu'on sait même le mesurer. On appelle ça l'entropie. Bref, on ordonne. Et on s'ordonne. A soi-même. De suivre l'ordre qu'on a nous-mêmes établi.
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Petit mots du 11 novembre 2023
J’aimerais dire STOP.
Arrêtons TOUT.
Vous savez, comme pendant le confinement mondial.
J’aimerais que l’on s’arrête tous et que l’on réfléchisse à l’absurdité ambiante..
Nous sommes tous la même personne, avec des paramètres différents, c’est tout.
Nous vivons dans un être unique et sans pareil.
Un être qui a su développer tellement de différences, des différences qui en font sa force.
La vie c’est développée ici et à créé son champ des possibles, et, c’est tellement beau.
Chacun y crée son propre courant de pensée et quel magnifique chaos.
Mais là le Chaos il n’est pas très beau et il fait même un peu peur.
Nous avons tous les yeux assés ouverts aujourd’hui, pour voir le problème qui est, somme toute assez simple.
Sans verser dans les théories complotistes, il est clair que tous nos gouvernements sont corrompus.
Nous vivons dans un système conçu pour faire de nous des esclaves à la solde d’une poignée d’ « élus » vivant hors de notre réalité.
C’est global, mondial et cela fait un moment que cela dure.
Et la pour moi ça coince, ce n’est pas viable et la souffrance est devenue insupportable.
Donc nous allons arrêter tout ca, ensemble, pour nos frères et sœurs, qu’ils soient humains, cochons, fourmis, la vie quoi.
Moi je vais vous dire comment je la vois la vie, le fruit de mes quarante-trois années d’existence :
Petit jouet cassé, j’ai toujours cherché à combler les vides.
L’école ne m’a pas appris grand-chose, par contre cette petite boite à image oui. J’y ai forgé mes valeurs grâce à Albator, Cobra et tant d’autres ; j’y ai forgé un esprit critique en regardant les Guignols de l’info ; les reportages en tout genre m’ont fait découvrir ce monde, ses richesse et m’ont nourri de savoir.
Puis est venu le temps béni des torrent, du peer to peer, enfin un accès illimité et gratuit à la culture sous toutes ses formes, c’était magique.
Entre temps j’étais devenu artiste, de mes mains je me suis mis à modeler, à créer.
Autodidacte, je me suis aussi intéressé à la sorcellerie et aux mondes cachés.
J’ai créé ma magie et j’ai continué d’avancer dans ce monde que je ne comprenais pas.
J’ai ouvert bien des portes et il en reste tellement.
A un moment, à mes trente et un an, quand pour la première fois j’ai utilisé mon cœur pour parler, ça à débloqué un truc en moi, et je me suis retrouvé avec toute une civilisation dans la tête et une mission : la mettre en place.
C’était très détaillé, un projet de construction de pays sur les mers, UTOPIA.
Le principe était de récupérer tous les déchets générés par les humains et surtout le plastique, et à l’aide d’imprimante 3D gigantesque, de s’en servir pour comme matériaux de construction pour les bases de cette grande évolution.
C’était très détaillé, structure en nid d’abeilles, les iles, les graines de vie auraient été développées par des enfants comme dans LEGO World, elles étaient évolutives et s’adaptaient aux évolutions de l’espèce, pour pouvoir un jour essaimer vers les étoiles et avant tout protéger la vie en cas de catastrophe.
J’avais 3 hommes à contacter, Thierry Hermann, Philipe Starck et Mohammed VI.
Mais j’étais un gamin en construction, je n’avais que quelques dessins et sculptures.
J’ai quand même tenté de fois de rencontrer Monsieur Hermann, à la demeure du Chaos, mais je n’ai pas réussi à le rencontrer et les deux autres, trop inaccessibles.
J’ai donc décidé de continuer à grandir, à passer des portes et j’ai gardé cette utopie dans un coin de ma tête.
Puis j’ai rencontré Tècle, une amie très chère à mon cœur, j’ai appris tellement à son contact.
En l’observant, j’ai vue cet autre monde, celui que l’on ne voit pas avec les yeux et j’ai fini de me construire, je me considère enfin adulte.
Aujourd’hui je suis tellement de choses ; un paladin, une sorcière, un roi, un insecte, une poussière, mais avant tout je suis de l’eau, je fais partis de son cycle et de ses nombreux états, et aujourd’hui je suis en colère.
Pourtant la colère, bien qu’étant légitime, est une émotion nocive qui fait perdre tout discernement.
Je suis triste aussi, pour tout ce que l’on détruit.
J’ai même douté quelques fois, douté de nous, de notre place ici-bas.
Toutefois je n’ai plus peur, j’ai appris à vivre au temps présent et à avoir confiance.
Ce qui me sauve au fond c’est la joie, l’amour et l’espoir. Cela je le trouve dans le cœur des enfants, peut importe leurs âges..
Ce sont eux mon moteur, c’est pour eux que je crée, pour les émerveiller, les faire rêver et qu’ils ce questionne.
C’est aussi pour eux que cette utopie me tiens à cœur, pour leurs donné une chance de faire autrement.
Moi, même si j’espère encore vivre pleins d’aventures, ma vie est déjà faite et j’ai peux d’espoir d’aller explorer les étoiles, enfin qui sait…
Merci de m’avoir écouté, je me sent plus léger.
Jean-Baptiste Carrasco / Raphaël De Carcosa
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2 janvier "Nous sommes au bord d'une crise majeure et l'effondrement arrive". A-t-on idée de croire à un effondrement ? La théorie selon laquelle tout s'effondre n'est ni neuve, ni originale. Des vieux croulants qui, - Dieu ayant au moins fait une bonne chose sur terre - sont morts depuis longtemps, bavaient déjà ces bêtises monumentales. Ces "sages", puisque, pour le moderne, tout croulant arrivant avant lui et ne sachant pas que Dieu, ce bon bougre, avait décidé de créer les gâteux à son image - ou l'inverse, nous ne savons plus -, ces sages, donc, pensaient déjà que tout s'effondrait avant même que le moderne, qui décidément se croit fort malin de parler une langue que même le pape il fait que la parler mal, n'y songe. Ainsi, il traduit, à coup de déclinaisons ronflantes, les diarrhées intellectuelles de pauvres types qui criaient déjà que tout allait mal parce que, quand même, c'est la décadence, des soldats qui s'épilent, alors que personne n'est là pour gueuler quand le chef demande d'aller poignarder l'eau, parce que le dieu de la mer, il est quand même très vilain. Cela prouve, si tant est que cela avait besoin d'être démontré, que les sages sont quand même stupides.
Les jeunes vieux, qui sont plus jeunes que les croulants d'avant, mais toujours plus vieux que les jeunes d'après, avaient eux aussi cette idée absurde selon laquelle tout partait à vau-l'eau, comme les vieux jeunes et les jeunes après eux. Des millénaires à déblatérer que tout s'effondre, et rien ; soyez prévenus, si ça se fait un jour, votre apocalypse a plutôt intérêt à être sacrément bien foutue.
Imaginez plutôt : ce serait comme si un type quelconque hurlait pendant des semaines que la fin était à nos portes, que le chaos du jour même était sans précédent, tout ça pour qu'on se réveille le lendemain, avec la gueule de bois, dans un monde toujours aussi inintéressant. Assurément, il s'agirait d'une déconvenue certaine pour n'importe quel bourgeois qui aurait quitté sa Josiane pour enfin parler à la jeune voisine sur laquelle il bave depuis des années, de la même façon que pour la Josiane, elle-même occupée à enfin s'amuser loin de son boulet marital. Et tout retournerait dans un ordre convenu, figé et d'un ennui mortel, si ce n'est qu'un illuminé ou deux aura crié à la fin de toute existence, et que rien ne ce sera passé. Comme le monde est monde, que l'effondrement n'arrive pas et que, s'il arrive, cela changera autant les choses qu'une manifestation d'étudiants, rien ne sert de s'inquiéter.
Mais en attendant joyeusement la fin du monde, du haut de notre balcon, nous giclons autant d'étoiles nacrées qui vous tomberont sur la gueule.
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Geopolitique du chaos
La géopolitique du chaos est une théorie qui soutient que l’ordre mondial actuel est caractérisé par l’instabilité, le désordre et la violence. Selon cette théorie, les conflits et les mouvements terroristes dans différentes régions du monde sont causés par un certain nombre de facteurs, notamment les rivalités nationales, les inégalités économiques et les différences culturelles. Selon les…
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Tout ira bien ! 6
Je ne mourrai pas
Enfin, je retrouve quelque chose d’habituel, de connu, un peu de normalité dans cette période bizarre et instable où les informations évoluent jour après jour. Quelque chose que je connais et qui me rassure : mon rendez-vous chez le coiffeur !
Parce que je peux te l’avouer maintenant ( mais juste entre toi et moi) j’ai eu une grosse période de… flou. Non pas que ma foi ait été ébranlée, mais ça a plutôt été un gros flou artistique dans ma façon de l’exprimer. Mes critères habituels de prière ne semblaient plus fonctionner, comme si le mode d’emploi avait changé.
Est-ce que je devais jeûner, intercéder, prier tout au long de la journée, me repentir à ne plus savoir de quoi en fin de compte?!?
J’avais plus de temps, oui, mais aussi plus de monde à soutenir aussi. Comment prier ?!? Quoi prier ?!?
Je me sentais comme une guerrière sans armes, une guerrière qui a peur (ah super ça !!!), comme si dans le combat il y avait un gros chaos dans l’armée, chacun y allant de sa théorie, de sa prophétie, de son complot, de son interprétation. Sans compter tout le flot de pensées "facebookiennes" qui entretenaient le flou.
"Seigneur, au secours, tu penses quoi, toi ? Tu dis quoi de tout ça ? Qu’est-ce que je dois prier ?!?"
Ça n’est finalement que lorsque je me suis adressée directement à Lui, au Chef suprême des armées que la réponse m’est venue :
"Je ne mourrai pas ! Je vivrai ! " Psaume 118 :17
Comme un électrochoc qui ramène à la vie, je l’ai reçu en plein cœur ce verset !
"Je ne mourrai pas, je vivrai… Et je raconterai les œuvres de l’Éternel."
C’est pour ça que je vivrai… parce que j’ai encore du job : je vais avoir de quoi raconter ses œuvres après tout ça !
Je me suis alors plongée dans le psaume 118 et d’autres armes me sont apparues :
• Une flèche : bien ajustée, ma prière n’avait pas besoin de beaucoup d’explications, de mots inutiles. Elle avait tout autant d’efficacité en étant courte et précise.
"S’il te plaît, Seigneur, accorde le salut ! S’il te plaît, Seigneur, accorde la victoire !" Psaume 118 :25
• Une épée pour me débarrasser de ces pensées parasites autour de moi, des peurs, des doutes… et tout le reste :
"Elles m’entouraient comme des abeilles : elles s’éteignent comme un feu d’épines ;au nom du Seigneur, je les taille en pièces !" Psaume 118.12
Eh bien, je peux te dire que j’en ai taillé des choses en pièces !!!
• L’autorité, celle que Jésus me donne en tant que fille du Roi des rois, ma place, l’utilisation du "je". Combien de fois ai-je demandé à Dieu de faire ce que de toute évidence il semble me demander de faire par moi-même dans ces versets ?
"Au nom du Seigneur, je les taille en pièces !" 118.10-11-12
Combien de "Seigneur bénis, toi… ", alors qu’Il me dit de bénir, moi…
"Depuis la maison de l’Éternel, nous vous bénissons ! " 118.26
J’ai réalisé qu’il y avait une grande puissance dans l’utilisation du "je" quand je bénis quelqu’un. Je prends mes responsabilités parce que je sais qui est Dieu et qu’Il ne me décevra pas.
Alors, je ne sais pas pour toi comment ça se passe, mais si tu savais, pour moi, comme ces petites choses m’ont fait du bien !
J’ai retrouvé la paix d’un cœur tranquille et apaisé. J’ai retrouvé le sens de ma vie. J’ai retrouvé ma place et ma force.
La guerrière est de retour !!!
… et le rendez-vous chez le coiffeur pris !
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Mimétisme théâtral
Le mimétisme théâtral est simple à résumer : il suffit d'imiter la réalité. Vous prenez une idée, une seule, et vous la faites. C'est à peu près tout. C'est à la portée de tous, vraiment.
La première pièce attribuée à ce genre est celle du visionnaire Ilbutane Saltini intitulée Pièce de théâtre. Cette œuvre est une très bonne entrée en matière pour qui s'intéresse aux prémices de ce genre. Le scripte tient en une phrase : "acteur.es, joué.es.". Elle fût aussitôt reprise, reproduite, adaptée et remakée partout dans le monde.
Après ce jalon, le mimétisme théâtral se répand comme un feu de forêt. Le genre s'écarte des traditionnelles planches de la scène pour s'inviter dans la rue, sur les places, dans les gares. On a en tête bien sûr l'incontournable Bagarre dans un lieu public qui a semé le chaos pendant plus d'une semaine dans toutes les grandes villes occidentales.
Après la salle de spectacle, le genre se débarrasse de nombreux autres codes du théâtre classique tel que le titre, la paternité de l'auteur.e, la salutation des acteur.es, les trois coups annonçant la scéance…
Le mimétisme théâtral s'insinue alors si complètement dans le quotidien qu'il en est vite indissociable. Les pièces se jouent désormais au bureau lors du travail, ou derrière les murs du foyer, dans l'intimité d'une famille. Reconnaître qu'une performance est en train de se jouer est de plus en plus dur. Pas de captation, pas de préambule, plus même besoin d'un public. Un seul indice reste encore présent dans bien des pièces. C'est cette manière de les finir, abrupte et sans logique apparente, créant ainsi une disruption dans le réel. C'est de cette manière que l'on a pu certifier l'exeptionnel travail d'Argheta Fratoliu, devenue présidente de l'Uruguay et, démissionnant dans la foulée, plongeant le pays dans une sérieuse crise sociale.
Le mimétisme théâtral perdure encore aujourd'hui, peut-être. Le fait est que nous n'avons plus aucun moyen de le savoir. L'apothéose de ce puissant courant artistique est sans aucun doute la pièce du génial Gurtenhab Samaleni restée dans les mémoires comme le chef-d'œuvre Vie. La pièce, jouée de sa naissance à sa mort, reste encore aujourd'hui sujette à débat quant à son authentification puisque, même sur son lit de mort, l'artiste démentait toujours sa prestation.
Une théorie continue à soulèver les passions au sein de l'Académie Mondiale de Dramaturgie. Selon certain.es éminences dans le domaine, le mimétisme théâtral serait devenu global. C'est-à-dire qu'il aurait fini sa diffusion dans la réalité de nos vies et serait dorénavant omniprésent. L'hypothèse inquiète dans la mesure où ses détracteurs, pour ne plus y participer, se donnent la mort, engendrant une vague de suicides sans précédent.
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