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17 novembre 1917 : mort du sculpteur Auguste Rodin ➽ http://bit.ly/Auguste-Rodin Nul artiste ne fut plus discuté. Rodin fut encensé et dénigré, porté aux nues et vilipendé. On a dit : « Ses statues respirent, elles se meuvent, elles parlent !... » ; mais aussi : « Cet homme a le culte de la laideur. Rien de ce qu’il crée n’est achevé. Il casse lui-même ses marbres. Il montre une fâcheuse prédilection pour les sujets pervers. »
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Faune dansant Eugene-Louis Lequesne 1851 Photographies©FrançoiseLarouge2024
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My top 10 nonfiction reads of 2023 (the asterisked ones are in French with no translation as of yet) :
Belle Greene, Alexandra Lapierre
The Indomitable Marie-Antoinette, Simone Bertière
Reporter: A Memoir, Seymour Hersh
Red Carpet: Hollywood, China and the Global Battle for Cultural Supremacy, Erich Schwartzel
Empire of Pain: The Secret History of the Sackler Dynasty, Patrick Keefe
Servir les riches, Alizée Delpierre*
La Comtesse Greffulhe : L’ombre des Guermantes, Laure Hillerin*
Le Courage de la nuance, Jean Birnbaum*
The Book Collectors of Daraya, Delphine Minoui
Flowers of Fire: The Inside Story of South Korea's Feminist Movement, Hawon Jung
#book recs#i haven't finished the last one yet but it's been good so far! i really admire these women's resilience and solidarity#some inspiring stories of political activism + insight into aspects of korean history i didn't know about#i wanted to do a half-fiction half-nonfiction list like last year but i've read mostly disappointing fiction this year :(#my favourites were probably kivirähk's the man who spoke snakish & catherynne valente's radiance; though it wasn't as good as orphan tales#i'm reading jacques abeille's les jardins statuaires right now and it's quite frustrating because on the one hand#it's well-written and interesting with original worldbuilding. on the other i'm 300 pages in and there have been#2 female characters. the purpose of both (so far) was to have sex with the male protagonist and only 1 has a name#which makes the read feel less original and more ''same old shit as far as i'm concerned''
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#monumental🥻#charmant#enchantè#chouchou#splendid⭐️#statuaire🏺#très chic#séduisant😘#petit chou😘#redoutable#fabuleuse🍎🍎🍎🍎🍎🔝⭐️#très enchanteur🌹🌹🌹💋#fascinant 💋#très chaud🔥🔥🔥
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❤️🔥
#monumental🥻#statuaire🏺#chouchou#charmant#mon cheri💋#splendid⭐️#petit chou😘#enchantè#séduisant😘#redoutable#fabuleuse🍎🍎🍎🍎🍎🔝⭐️#très enchanteur🌹🌹🌹💋#aujourd'hui la mer est un spectacle 💋#un bonjour comme ça... je ne l'espérais pas🌼#fascinant 💋#Très chic ❤️🔥❤️🔥❤️🔥
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Charles Shannon - Une statuaire, Miss Bruce (1907)
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"Desire is a flame that consumes, yet in its ashes, one finds the warmth of life."
— Jacques Abeille, Les Jardins statuaires, 1982 🔥
Tsukasa Aoi captures this fire with an elegance that mesmerizes. Beauty and sensuality intertwined ✨
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Groupe statuaire représentant Pan et Daphnis (copie romaine sculptée vers 150 ap. J.-C.). Appartenant aux collections Albani puis Torlonia, il est actuellement présenté dans l’exposition consacrée à la collection Torlonia au Louvre.
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tell us how you really feel about it, Diderot:
"If our priests were not stupid bigots; if this abominable Christianity had not been established by murder and blood; if the joys of paradise were not reduced to an irrelevant beatific vision of I don’t know what, that we can’t comprehend or understand; if our Hell offered something other than fiery pits, hideous and gothic demons, howls and teeth grinding; if our paintings could be something else besides atrocious scenes, a scorched man, a hanged man, a roasted man, a grilled man, a disgusting carnage; if all of our male and female saints were not wrapped in veils up to their nose, if our ideas of prudishness and modesty had not proscribed the display of arms, inner thighs, breasts, shoulders, any type of nudity, if the spirit of mortification had not withered these nipples,rendered the inner thighs flaccid, arms rendered scrawny, the back muscles torn; if our artists were not chained and our poets constrained by the dreadful words of Sacrilege and Profanation; if the Virgin Mary had been the mother of Pleasure, or rather, the mother of God, if her beautiful eyes, her beautiful breasts, her beautiful buttocks had been what had attracted the Holy Spirit towards her, and had had that written on the Book of his history; if the angel Gabriel had been glorified by the beauty of his shoulders; if Madeleine had had a sort of gallant adventure with Christ; if during the Wedding at Cana, Christ, between two glasses of wine, in a somewhat non-conformist manner,threw glances at both the breasts of a prostitute and Saint John’s buttocks, uncertain if he’d stay faithful or not to the apostle with the chin in bloom with its first beard: you would see what our painters, our poets, our sculptors could accomplish; in what tone would we speak of their charms, which would play such a great and marvelous role in the history of our religion and our God; and how would we stare at the beauty to which we owe our birth, the incarnation of the Saviour, and the grace of our redemption."
Denis Diderot, Essay on Painting, written in 1765, but published posthumously around the year 1790’s
frech original under the cut
« (…) si nos prêtres n’étaient pas de stupides bigots ; si cet abominable christianisme ne s’était pas établi par le meurtre et par le sang ; si les joies de notre paradis ne se réduisaient pas à une impertinente vision béatifique de je ne sais quoi, qu’on ne comprend ni n’entend ; si notre enfer offrait autre chose que des gouffres de feux, des démons hideux et gothiques, des hurlements et des grincements de dents ; si nos tableaux pouvaient être autre chose que des scènes d’atrocité, un écorché, un pendu, un rôti, un grillé, une dégoûtante boucherie ; si tous nos saints et nos saintes n’étaient pas voilés jusqu’au bout du nez, si nos idées de pudeur et de modestie n’avaient proscrit la vue des bras, des cuisses, des tétons, des épaules, toute nudité ; si l’esprit de mortification n’avait flétri ces tétons, amolli ces cuisses, décharné ces bras, déchiré ces épaules ; si nos artistes n’étaient pas enchaînés et nos poètes contenus par les mots effrayants de sacrilège et de profanation ; si la vierge Marie avait été la mère du plaisir, ou bien, mère de Dieu, si c’eût été ses beaux yeux, ses beaux tétons, ses belles fesses, qui eussent attiré l’Esprit-Saint sur elle, et que cela fût écrit dans le livre de son histoire ; si l’ange Gabriel y était vanté par ses belles épaules ; si la Madeleine avait eu quelque aventure galante avec le Christ ; si, aux noces de Cana, le Christ entre deux vins, un peu non-conformiste, eût parcouru la gorge d’une des filles de noce et les fesses de saint Jean, incertain s’il resterait fidèle ou non à l’apôtre au menton ombragé d’un duvet léger : vous verriez ce qu’il en serait de nos peintres, de nos poètes et de nos statuaires ; de quel ton nous parlerions de ces charmes, qui joueraient un si grand et si merveilleux rôle dans l’histoire de notre religion et de notre Dieu ; et de quel œil nous regarderions la beauté à laquelle nous devrions la naissance, l’incarnation du Sauveur, et la grâce de notre rédemption. »
Denis Diderot, Essai sur la peinture, écrit en 1765, mais de publication posthume environ les années 1790’s
#Denis Diderot#said bisexual jesus rights#and freedom of the arts#essai sur la peinture#anticlericalism#translation mine so excuse any bad grammar/mistakes
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Paris, statuaire de la tour Saint Jacques.
📸 Christophe Puechavic
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17 novembre 1917 : mort du sculpteur Auguste Rodin ➽ http://bit.ly/Auguste-Rodin Nul artiste ne fut plus discuté. Rodin fut encensé et dénigré, porté aux nues et vilipendé. On a dit : « Ses statues respirent, elles se meuvent, elles parlent !... » ; mais aussi : « Cet homme a le culte de la laideur. Rien de ce qu’il crée n’est achevé. Il casse lui-même ses marbres. Il montre une fâcheuse prédilection pour les sujets pervers. »
#CeJourLà#17Novembre#Rodin#Sculpteur#Sculpture#Artiste#Art#Statuaire#Statues#Claudel#Oeuvres#Plâtre#Terre#Marbre#Expositions#Biographie#histoire#france#history#passé#past#français#french#news#événement#newsfromthepast
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MuseeNaples-sept2023©FrançoiseLarouge
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Psyché ranimée par le baiser de l'Amour est un groupe statuaire en marbre sculpté entre 1787 et 1793 par Antonio Canova
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#explosif💥💣🧨#statuaire🏺#très chic#très enchanteur🌹🌹🌹💋#charmant#enchantè#splendid⭐️#chouchou#mon cheri💋#petit chou😘#séduisant😘#redoutable#fabuleuse🍎🍎🍎🍎🍎🔝⭐️
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Un bout de Bourgogne, pour des vacances en famille : instant statuaire, lorsqu'il s'agit de survivre à la chaleur, s'y essayer... mimétisme de la bravoure végétale, en absorbant du regard les nervures de cette plante.
Août 2023
Crayon de couleur
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De quel éclat d'or dans un trou boueux es-tu le cou désiré ? De quelle gorge nouée es-tu la solitude et le verre de vin vide ? De quelle pitié, de quelle forge froide es-tu le marteau oublié, le visage dans les mains ? De quel ossuaire es-tu la neige, le souvenir livide, la chemise ouverte sur des colombes ? De quelle peur, de quelle insomnie, de quelle tristesse es-tu le bateau ivre ? De quelle clameur, de quelle éclaboussure, de quel deuil es-tu la blessure qui ne guérira plus ? Comme la morsure, comme le cri et l'acidité du jour. De quel appel, de quelle supplique, de quelle prière es-tu la sourde oreille et le mur d'enceinte ? De quelle terre, de quelle racine, de quelle compilation d'étoiles es-tu le descendant incertain, le passager clandestin ? De quel sentiment sans bras, de quels désirs sans chair ni salive, es-tu la rédition ? De quelle espèces de cellules, de patience, de miracle, d'utopie, es-tu la question encore en suspend ?
Ô de quel cri incarnes-tu la bouche ? De quelle pensée es-tu la pièce détachée ? De quelle passion es-tu les pieds sales, la prophétie ? De quelle statuaire es-tu le relent d'amour si éternellement figé ? De quelle Venise es-tu le scaphandrier perdu en haut du dôme? De quel ventre, de quel couteau es-tu la souffrance indivisible? De quelle apparence es-tu le reflet, le héros dans son miroir ? De quel regret, de quel tonnerre, de quel abandon, es-tu l'impossible haine ? De quel frisson, de quelle fracture, de quelle cérémonie secrète, es-tu l'inconsolable enfant ?
Un jour, un jour tu me le diras, tu me le diras à l'oreille, là sous la demeure des arbres qui pleuvent dans la gueule grande ouverte de milliards d'étoiles... Tu me le diras à bout touchant, comme la nuit et le nid, comme lorsque les mots nous tuent sans qu'on en sache le pourquoi.
Alors tu me diras de quelle langue incompréhensiblement sonore, tu es le mot de passe oublié dans l'obscurité du monde ?
jacques dor
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