#Sokourov
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Мать и сын / Mère et fils (Alexandre Sokourov, 1997)
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Vos films et documentaires préférés ? Ou cinéastes ?
Mon top 10 films, ça serait sûrement :
Faust (Alexandre Sokourov, 2011)
L'Atalante (Jean Vigo, 1934)
Sous le soleil de Satan (Maurice Pialat, 1987)
Rashōmon (Akira Kurosawa, 1950)
La Passion de Jeanne d'Arc (Carl Theodor Dreyer, 1928)
Solaris (Andreï Tarkovski, 1972)
Ma nuit chez Maud (Éric Rohmer, 1969)
Maborosi (Hirokazu Kore-eda, 1995)
La Maman et la Putain (Jean Eustache, 1973)
La Jetée (Chris Marker, 1962)
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Fairytale
Alexandre Sokourov revient après plus de sept ans d’absence avec Fairytale. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que du haut de ses 71 ans, le cinéaste n’a jamais été aussi moderne. Écrit par Pierre Gaudron Sokourov, c’est un cinéma en soi, une perpétuelle invention narrative et plastique, chaque nouveau film étant le lieu d’une nouvelle approche formelle et stylistique d’une même descente…
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"L'Arche Russe" d'Alexandre Sokourov (2002) - un seul plan séquence de 96mn accompagnant l'écrivain Astolphe de Custine en 1843), avec le narrateur visitant le Musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg - mars 2019.
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Second film of the week : The russian Ark from Alexander Sokourov
#the russian ark#alexander sokourov#movies#films#art#yeah i don't know what to tag that#this movie is also really not a popular one but it's VERY GOOD#it's a one shot in the russian winter palace (i think that's the name in english ???)#and you get through every age of russia and it's really beautiful and impressive#anyway it was found in 2 minutes#i'm scared for tomorow cause it's a popular one#so i guess they'll find it in like 10 seconds ??#lmfao#things
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l’arche-délire,
c’est un délire, un délire fastueux, un délire de cinéaste, un plan séquence de quatre-vingt seize minutes, quatre heures de tournage autorisées en toutt et pour tout dans l’ermitage, quatre heures, du monde partout, partout du monde, le temps et l’espace qui ne cessent de se construire pour se défaire, se désagréger, des scènes, une multitudes de mini-scènes qui s’agencent, se désentrelacent, la multitude des vies qui ont été vécues dans l’ermitage, palais d’hiver et ermitage, résidence tsars tsarines et musée, les tableaux et les époques, pas toutes les époques, celle communistes tue tout ou presque, sur écoute les directeurs : est évoquée l’écoute des directeurs de père en fils, de père en fils, en filles, la russie et ses monarques, catherine la grande et son envie de pisser, théâtre privé, quelle invisitables salles visitées ?, quels secrets ?, il faudrait une intime connaissance de, délire passe-muraille, l’architecture il est impossible de s’en faire une idée, et des époques idem : pas toutes les époques, pas celle de la révolution russe, juste avant s’arrête à l’heure du thé, anastasia par son père ne sera punie de son retard, juste avant juste après, les marins, quels marins, quels soldats de quelle marine de quelle époque, il faudrait parfaitement connaître l’histoire de la russie pour ?, c’est un délire de costumes, de mouvements, d’envolées, c’est un délire riche et profus qui dit, qui me semble-t-il dit le délire riche et profus de ce qu’a été une certaine russie, la mise en scène d’une telle russie, une russie blanche et aisée, une russie qui n’est pas attaquée, pas attaquable, qui reste intacte, saint-petersburg n’est pas attaqué par napoléon, napoléon attaque moscou, pas saint-petersbourg, il n’y a pas la seconde guerre mondiale, à peine le présent, deux personnes toutes au début, un émissaire chinois et son homologue russe, délaissés dans l’ennui qu’ils semblent procurer à ce personnage qui déambule, un français, un diplomate français du même siècle que celui le plus convoqué, dix-huitième, pas de révolution encore ?, de uand vient-il l’émissaire ?, un écrivain français qui parle russe comme jamais il n’a parlé, c’est europe, son nom c’est europe et on l’abandonnera europe, à la fin europe restera dans son temps et à son amour de la russie, l’idée de l’europe restera sur l’arche à la dérive, la décandence et le faste d’une île à la dérive, la folie que d’y passer un enchantement et un vertige, un malaise ?, une nausée ?, tout en même temps parce que rien n’est simple, tranché, ici europe aime les monarchies, europe fils-fille de, comment combien l’europe aujourd’hui est-elle idée d’alliances entre nations-états calquée sur les anciens royaumes prenant pour nom le nom d’une femme violée et enlevée, europe, comme les femmes entre les anciens royaumes étaient monnaies d’échange, le délire suit europe dont le nom sera seul à la fin révélé, europe de salles en salles passe, pousse les portes, comme d’époques en époques passe et revient, revient-on jamais sur nos pas dans l’ermitage, n’est-ce pas fuite en avant sur ce bateau dont il faudra bien atteindre les bords ?, quoiqu’il soit possible de ne jamais les atteindre ?, de demeurer à toujours contemplant telle ou telle oeuvre ?, la rencontre de telle et telle personne ?, je ne comprends pas l’attaque contre pouchkine, je ne comprends pas que pouchkine soit si blanc, si petit, lui décrit au teint olivâtre et aux boucles noires, d’ascendance africaine pouchkine là petit et ratatiné et vieux, lui mort à trente-sept ans, à saint-petersbourg précisément, qu’est-ce que sokourov attaque de pouchkine ?, qu’est-ce que je défends de lui, ses vers, eugène onéguine, tout va trop vite, quelle analyse possible de chacun des moments, vite et virtuose, ça glisse, comme les doigts de cette femme aveugle qui épouse les arabesques mamorréene d’une main levée, et qui emmenée dos à une peinture est moquée, et plus tard encore une femme, une femme qui murmure un secret à une toile, et confie qu’est confiée un secret au diplomate, leur danse, à deux dansent dans la galerie, dansent devant les toiles du greco, le glacis des toiles parfois reflètent trop la lumière, trop haut accrochées, d’où faudrait-il les embrasser, on embrasse l’absence de visage d’isaac, le fils sacrifié disparaît sous la main de son père, tous les fils sacrifiés pourront se reconnaître sous cette main, le film de cette main écrasant le visage et déjà on passe une porte, on passe ailleurs, la voix, la place de la voix de qui regarde, qui regarde, on regarde, on est qui regarde, on ne peut qu’être qui regarde ?, c’est ce que nous offre sokourov avec son plan séquence, on regarde et on commente, on est poussé ou tiré par la longiligne silouhette noire, qui parfois disparaît, revient, comme reviennent d’autres figures, les deux femmes, toilette violette et blanche, qui craignent de ne pouvoir entrer, assister au bal, elles entrent et ce sont elles qui nous fait rencontrer, dans un décor de théâtre, le diplomate, derrière un carreau comme chez lui, décor de théâtre comme l’ermitage est décor de cinéma, l’ermitage n’a-t-il été pensé que comme fastueux décor d’apparat, politique, cinématographique, telles assiettes de sèvres dont est attentivement regardé le détail, d’une couleur le détail, un bleu turquoise, on ne pourra y toucher que lorsqu’on y mangera, diplomate invité-écarté, part ailleurs europe, quel est cette histoire rejouée d’un excuse publique de l’empire ottoman face aux massacres de citoyens russes ?, est-ce même ça l’histoire ici rejouée, je ne la connais pas cette histoire, je ne sais de quel point de vue elle est racontée, je vois les costumes, la profusion des figurant,es, je pense au délire d’organisation que ce film a du être, cette pensée m’envahit et me replonge dans le film, le délire dans le délire, je et comme pour autant tout glisse, tout passe, tout plonge et disparaît pour renaître ailleurs, on retrouve catherine, et des espaces vides avec des enfants autour d’elle, dehors il neige, il ne neigeait pas ailleurs, il faisait beau, et la vieille catherine laisse les enfants face aux coussins perdus jetés sur le marbre froid, dehors il neige, il y a pelisse fourure et course dans la neige et son corps vieux qui doit s’appuyer sur un autre corps, la nécessité de ce corps-ci, le corps de qui les figures puissantes et riches de ce monde serve, ce corps est miroir de celui qui, on est attirée de nouveau dedans, des gardes interdisent, miroir au corps qui soutenait celui croulant, droits, les gardes aux corps droits sont déjà passés, et des figures masquées, un masque aux cristaux enfilés sur fils qui pendent qui brinquebalent miment larmes, profusion et richesse de qui ici a vécu est-ce qui fascine sokourov, me fascine tout autant ?, profusion et richesse choisie au détriment de ce qui souffre, célébration de la richesse encore et encore ou dénonciation de celle-ci avec pour outil critique une machinerie tout aussi fastueuse, l’un dans l’autre ?, avec, pas tout à fait décollé ?, c’est un suspend ce film, tout vole et se diffracte, il y a ce bal à la toute fin, filmer qui joue et le délitement du bal, ça filme la musique, ce sont des plans improbables, filmer les musicien,nes, ce n’est pas la première fois, mais ces plans sont les plus improbables, les plus vacillants, c’est un surplomb, la musique et par qui est joué la musique permet de voir qui dominerait en bas, valsant au gré de, et qui ne valseront plus, la fête est finie, malgré la demande de qui veut danser, les applaudissements, les musicien,nes se retirent, cela entraîne un flot dans les grands escaliers, je me dis enfin réhabités ces grands escaliers, enfin, là pour des corps qui enfin habitent cet espace comme cet espace a été pensé pour autant de corps : vraiment pensé ainsi pour autant de corps ou pour imposer une idée de grandeur, les deux ?, je pense à p.m., à bolo’bolo, aux espaces réinvestis par d’autres, de toutes autres formes de vie qui ne respectent pas, plus, qui changent les lieux hors la pseudo-normalité d’un respect du à la conservation d’un patrimoine ne faisant que faire survivre par entretien, sans plus de fonction, je ne cesse de penser aux biens culturels, sauverles personnes avant les biens, et les biens culturels, cela même pour lesquels encore aujourd’hui, contre un libéralisme dément, se battre ?,
je ne distingue pas les habits des corps : est-ce que je ne déconstruis pas assez l’hisoire, m’emporte-t-elle celle de sokourov, sur ces marches il n’y a que des personnes et blanches et riches, c’est l’histoire, c’est encore une représentation de l’histoire pourtant, c’est ce qui a été, et sokourov s’attache à ce qui a été pas ce qui aurait pu, ou ce qui sera, pas ici, ici et de manière générale, c’est, la déchéance ?, la déchéance de hitler, de staline, de hiro hito, montrer leur déchéance ou figurer qui souffre, a souffert des politiques de ces figures historiques ?, l’arche russe c’est un délire, une profusion, c’est un poulailler avec ors et dentelle, c’est un regard sur la peinture, ce sont des portraits, d’individus, c’est un cri effroyable sur un homme qui regarde la peinture pour ce qu’elle représente et non ce qu’elle figure, avec en sous-jacence un cri effroyable sur l’inconnaissance du christianisme, de l’inconnaissance tout court ?, c’est ce jeune homme écrasé et libéré d’un même mouvement par les deux faces de sokourov et c’est cet homme qui prépare le cercueil de qui parle, qui parle ?, qui lui prépare son cercueil dans les flocons de neige qui encore entre, est-ce la seule figuration de la seconde guerre mondiale ?, et cette porte aussi refermée, la terreur, c’est une terreur qui fait refermer cette porte somptueusement ouvragée, l’arche russe portrait d’individus et de groupes, multiples groupes et, portraits de peinture, portrait d’un musée et d’un lieu qui fut celui de vie, dans la profusion, le délire d’une reconstitution historique en costume, une richesse, est-ce que la richesse de la mise en scène de ce plan séquence est syndecoque de l’histoire elle-même, quatre heures pour filmer, des heures et des heures de répétition, un film de quatre-vingt seize minutes, c’est cela qui reste : que reste-t-il de l’histoire, aujourd’hui’hui, si ce ne sont ses fastes et ses ors, ses tableaux, et ce qui a été écrit et véhiculé par qui le peut ?, est-ce la folie de ce film-ci, une critique à cet endroit, de l’histoire par les puissant,es ou est-ce encore le même vertige, j’ai été happée par ce vertige, le vertige flamboyant de l’arche russe, dans cette arche avec un couple de chaque époque, de chaque époque ?, jamais de chaqe classe sociale de chaque époque pourtant, des époques possibles de l’ermitage, de certaines époques de l’ermitage, par quelles réponses ont été dirigés les choix ?, il y a ce malaise peut-être dans l’enchantement de ce film, comme dans tout vertige, peut-être un instant la nausée, ou dans toute fièvre, l’adhésion aux visions qui peuvent surgir, jusqu’à plonger dans l’eau glacée, se débarrasser de, rien, ou tout, tout à la dérive dans les eaux de la neva, un bateau qui demeurera fantôme sur les eaux glacées, une embarcation à la dérive, comme a dérivé la caméra, c’est un bateau fantôme qui reste et qui se vide, qui reste plein de ses fantômes, et la neva, c’est la neva qui restera,
#alexander sokourov#l'arche russe#film#russe#l'ermitage#plan-séquence#bolo#bolo bolo#pm#p.m.#the russian ark#poésie critique#anne kawala
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https://www.youtube.com/watch?v=Rs3qvvfvrXI
http://lemiroirdesfantomes.blogspot.com/2019/05/francofonia-alexandre-le-bienheureux.html?view=magazine
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Le cinéma dit "adulte" (à savoir, des films un peu sérieux gravitant autour de thèmes suffisamment forts et matures pour convaincre votre papa et votre maman de lever leurs culs du canapé et de délaisser Netflix et ses docu-séries sur des serial-killers blancs et assez sympatoches au fond (les serial-killers, hein. Pas les docu-séries...) pour aller payer un ticket à 12,86 euros de moyenne dans le multiplexe le plus proche) se voit opposer la concurrence toujours plus redoutable des plate-formes de streaming et de ces petits salopiauds de grand-huits numériques, j'ai nommé les blockbusters Marvel. Pour rester relevant dans ce marketplace disrupté, il a fallu procéder à des benchmarks, reseter le mindset et rebrander le turnover (je suis pas très sur du dernier...). La solution : Mais ! Les films d'auteur aussi peuvent constituer des expériences ! Voyons !
J'ai déjà dit par le passé mon aversion, non, le mot est trop fort, attendez... circonspection quant à ces parti-pris parapluies (ici, 1917 se compose uniquement de longs plan-séquences collant le plus possible à l'enfer vécu par deux petits troufions des tranchées), souvent plus paralysant que libérateurs créativement. Mais rassurez-vous, en tant qu'objet filmique, 1917 s'en sort trrrrès bien. Il faut dire qu'il y a que des numéros 10 dans la team. Thomas Newman à la bande-son, au top de sa forme, flirtant délicieusement avec l'abstraction concrète (c'est bien simple, je l'ai mise dans ma playlist pour faire les carreaux). Roger Deakins à la photo, bien sûr, qui désormais cannibalise de sa maestria tous les projets auquel il prend part. Même le monteur, Lee Smith, est un pointure ! Débauché de chez Nolan, on lui a confié la tâche ardue d'assembler 11 raccords et demi. On espère qu'il a fait ses heures, le pauvre chou. Des bisous. Tout ce petit monde, chapeauté par la science du cadrage franchement pas dégueu de Mendes, allie son savoir-faire tel un aréopage de Power Rangers acculés par un énième auxiliaire de l'infâme Rita Repulsa pour un remarquable effort commun qui trouve son apogée dans une sublime séquence nocturne dans un village ch'ti dévasté. Éclairages à la bougie, ombres portées et violence sourde à la clé.
Cependant, en tant que "film" à proprement parler, 1917 peut laisser dubitatif. Dans ses meilleurs moments, le bidule évoque une version coupée à l'eau des errances métaphysiques et cradingues de Sokourov ou Guerman (qu'Aronofsky par exemple, malgré ce qu'on peut penser de lui, émule avec autrement plus de guts) et manufacture bon an mal an le vertige qu'on peut ressentir chez Cuaron et Nolan, les deux maîtres indépassables du film d'auteur d'attraction contemporain. Mais dans ses moments les moins inspirés, comme piégé par son propre hubris, Mendes rame un peu, panotant laborieusement d'un pan de réalité à l'autre, tentant de caser un découpage classique au sein d'un dispositif qui exigerait une refonte totale de son approche. On entend souvent que le film évoque un jeu vidéo. Il ne faut pas l'entendre dans le sens le plus flatteur : on pense à un GTA par exemple, pour ces moments un peu lunaires qui voit votre avatar lentement marcher d'une étape à l'autre de sa mission pendant que, pour combler le vide, son N+1 de la bratva lui fait douloureusement la conversation à coups de small talk ragoteux ("Il est pas un peu sur les nerfs, Dimitri, en ce moment ?").
Il s'agit d'une approche au final très américaine : penser qu'il y a UNE meilleure façon de raconter une histoire donnée. Mais on est pas obligés de verser dans le temps réel pour espérer communiquer l'expérience des tranchées. Le génie de Nolan avec Dunkerque l'a fait partir d'une pure construction temporelle et intellectuelle (la définition d'un film, quoi) pour toucher à une vérité qu'aucun autre médium n'aurait pu retransmettre. Avec un zèle presque contre-productif, Mendes, s'imaginant probablement s'inspirer de son prédécesseur, achève l'exact inverse, rabaissé à prospecter benoîtement quelques (beaux) instants de grâce au sein d'un réel artificiel et toc.
#film#1917#oscars#oscars2020#oscars 2020#parasite#movie#moviies#critique#ciritiques#lescritiqueschelous#les critiques chelous#cinema#sam mendes#james bond#wwg1wga#World War I#disneyworld#france#french#tranchées#roger deakins
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Quels sont les cinéastes contemporains que vous jugez novateurs ?
Il faudrait savoir ce qu’on entend par « novateur ». Pour ma part, le cinéaste novateur associe proposition formelle et contenu problématique, c’est-à-dire qui pose des questions plutôt qu’il ne donne La réponse. Je cite encore une fois le Danois Lars Von Trier mais aussi Nicolas Winding Refn, les Français Philippe Grandrieux, Bruno Dumont et Bertrand Mandico, le Russe Alexandre Sokourov, le Catalan Albert Serra, les Mexicains Carlos Reygadas, Amat Escalante et Michel Franco. Ce qui se fait du côté de la Corée du Sud (avec les Bong-Joon Ho, Kim Ki-duk, Kim Jee-woon) est également très stimulant. Concernant une « nouvelle vague » du cinéma d’épouvante américain, trois cinéastes retiennent particulièrement mon attention dans leur volonté de déconstruire les codes du genre en proposant de nouvelles explorations thématiques : Jordan Peele (Get Out, 2017 ; Us, 2019), Ari Aster (Hérédité, 2018, et le futur Midsommar, 2019) et Robert Eggers (The Witch, 2015, et le prochain The Lighthouse, 2019). Du côté de l’Afrique, des cinéastes issus de la diaspora africaine comme les franco-sénégalais Alain Gomis (Aujourd’hui, 2013 ; Félicité, 2017) et Mati Diop (nièce du cinéaste sénégalais Djibril Diop Mambéty, à qui l’on doit Touki Bouki : le voyage de la hyène, 1973) me paraissent également très intéressants.
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Солдатский сон / Rêve d'un soldat (Alexandre Sokourov, 1995)
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Faust, Alexander Sokurov, 2011
#do watch list#faust#sokourov#alexander sokurov#movie#movies#movie stills#movie rec#movie recommendation
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Toute l'humanité s'est lancée tête première dans le progrès. Nous le promouvons depuis quatre siècles, depuis les Lumières. Or, de facto, à l'échelle de l'humanité, nous récoltons le vide spirituel. Et le développement technologique ? Le seul qu'ait connu la civilisation, les biens de consommation, à présent, Internet. Un torrent d'informations vous submerge, vous étouffe. Et l'âme se vide. L'âme se vide, la mort effraye, l'homme ne se trouve plus de place. La moralité ne s'acquiert pas par le savoir mais par l'éducation, celle reçue en tant qu'enfant d'abord, puis par auto-éducation. Elle s'acquiert par l'expérience de la vie. Partout et toujours, tout est affaire de conscience et de morale. Mais il faut l'éduquer en soi et en autrui.
Alexandre Soljenitsyne, 1998, documentaire d’Alexandre Sokourov
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Moscow Metro to Equip 1,500 Train Cars With Facial Recognition By 2021
The Moscow metro will spend 1.4 billion rubles ($20 million) on the controversial cameras and software.
The Moscow metro will spend 1.4 billion rubles ($20 million) on the controversial cameras and software. Sergei Savostyanov / TASS
The Moscow metro plans to equip around 1,500 subway cars with facial recognition technology by the end of 2020, BBC Russia reported Tuesday.
A public contract posted earlier in July states that the metro system will spend 1.4 billion rubles ($20 million) on the controversial cameras and software. The Moscow metro announced trials of facial recognition cameras on trains and in stations in 2018.
Around one-quarter of all Moscow metro cars will each be equipped with eight facial recognition cameras by year-end, according to BBC Russia.
Each of the 12,300 cameras linked to 398 servers will be able to identify 15 faces per second, according to the Kommersant business daily.
Cameras with neural network image processing capacities are currently installed at entrance turnstiles at metro stations, but not inside the subway cars themselves.
Authorities in Moscow have already deployed facial recognition technology across a network of almost 200,000 surveillance cameras to identify criminal suspects.
The Russian capital deployed its “Safe City” facial recognition surveillance program earlier this year to track and order into self-isolation potential carriers of the coronavirus.
Critics have accused the authorities of violating citizens' privacy with the technology and have staged protests by painting their faces to throw off the cameras.
Research published by human rights activists last week suggested that Russia’s massive surveillance campaign rolled out during the pandemic could remain in use long after the outbreak ends.
— The Moscow Times | July 22, 2020
Yuri Dmitriev: Gulag Historian Handed Three-and-a-Half Year Jail Term
His supporters say the case is an attempt to silence Dmitriev, who has spent nearly 30 years compiling a list of the 40,000 people deported or executed under Joseph Stalin in Karelia, a Russian region bordering Finland.
— By Chris Harris & AFP • 07/22/2020
Yuri Dmitriev - Copyright Victoria Ivleva/International Memorial
Gulag historian Yuri Dmitriev has today been handed a three-and-a-half-year jail term, his lawyer confirmed.
The sentence was for "violence of a sexual nature" against his adopted daughter.
But his supporters say the case is an attempt to silence Dmitriev, who has spent nearly 30 years compiling a list of the 40,000 people deported or executed under Joseph Stalin in Karelia, a Russian region bordering Finland.
Dmitriev, 64, was first arrested in 2016 on accusations he had produced "pornographic" images of his adopted daughter.
He was acquitted in 2018 but the Supreme Court of Karelia overturned this decision two months later and ordered a second trial, this time for "sexual violence against a minor".
"Dmitriev himself does not admit any of the accusations," said the human rights NGO Memorial before the verdict. "Memorial is sure of his complete innocence.
"The obvious reason for the historian's persecution is his many years of work to find the burial places of people killed during the Great Terror, to establish lists of victims, to preserve memory in places of Stalin's executions."
In recent years, Dmitriev has also been behind the discovery of one of the largest mass graves in Karelia, at Sandarmokh, where the remains of 7,000 to 9,000 people executed during the Stalinist era have been found.
Numerous Russian and international figures have denounced unjustified prosecutions against Yuri Dmitriev. At a press conference in early July, director Alexandre Sokourov said the historian's conviction would constitute "a turning point" in Russia.
Meanwhile, Nobel Prize winners, Belarusian writers Svetlana Alexievitch and German Herta Müller have asked the Council of Europe, a pan-European organization of 47 states, to react. They believe that Dmitriev's findings in Sandarmokh were a "bone in the throat of the authorities" who, according to the two authors, seek to "rewrite history".
— EuroNews
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nktober & cinéma !
17 // GRACEFUL // w. The Russian Ark (Alexander Sokourov, 2002)
youtube
Inktober (& .... not cinema for today!)
18 // FILTHY // w. Félipe
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Faust : L'oeuvre de <b>Dieu</b>, <b>la part</b> de l'Homme
Pour parachever notre rétrospective consacrée aux années 2010, intéressons-nous aujourd'hui au remarquable Faust d'Alexandre Sokourov. from Google Alert - la Part Dieu https://ift.tt/35AkXI8
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