#Société Française de chirurgie plastique reconstructrice et esthétique
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ebeautyplanetfrance-news · 5 years ago
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Le tourisme médical et ses risques
Si vous faites vos valises et partez à l’étranger avec l’espoir de vacances et d’une cure de jouvence, sachez que la (SOFCPRE) Société Française de Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique vous dira que ce n’est pas une entreprise sûre. Le tourisme médical, comme l’appelle la SOFCPRE est une tendance croissante, et les consommateurs qui envisagent cet … Tags : ASPS, Chirurgie, Corps, Isaps, Procédure, Sécurité, Société Française de chirurgie plastique reconstructrice et esthétique, SOFCPRE, Soins de la peau, Tourisme médical, Voyage Cliquez ici pour lire l'article complet : https://www.ebeautyplanet.fr/le-tourisme-medical-et-ses-risques/
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Chirurgien esthétique à Genève
Depuis 30 ans à l’écoute de ses patients, le Docteur Jean Rahme vous reçoit dans son cabinet de Genève et réalise des interventions en chirurgie esthétique plastique et réparatrice dans une clinique genevoise.
C’est avec une attention particulière apportée à l’écoute de ses patients que le Dr Rahmé est à même de conseiller au mieux en apportant des solutions novatrices avec pour mission d’obtenir un rendu au plus proche du­­ naturel afin de sublimer votre beauté.
Le docteur Rahme est ancien assistant des hôpitaux, diplomé d’un doctorat en médecine, diplômé de carcinologie cervico-faciale, diplômé du collège de chirurgie plastique reconstructrice et esthétique.
Membre du collège de chirurgie plastique de France, de la société française de la chirurgie plastique, de l’international society of aesthetic plastic surgery (ISAPS), ainsi que de la société libanaise de chirurgie plastique et esthétique (LSPRAS). L’ordre national des médecins lui a attribué une qualification en Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique et en chirurgie maxillo-faciale.
 En dehors de son cabinet, le docteur Rahmé fait part de son expérience en intervenant au cours de nombreux congrès, il est également présent à l’international, sur des sessions de formation où il pratique des techniques novatrices de chirurgie esthétique et initie des confrères chirurgiens à des solutions de pointe dans l’évolution médicale. Il est notamment pionnier dans l’utilisation de la technologie Elasticum développée par le Docteur Sergio Capurro qui révolutionne la pose de fils tenseurs lors d’interventions en chirurgie du visage. Cette Technique s’opère par le moyen d’un fil suspenseur élastique en silicone et polyester venant agir dans la durée comme un ligament naturel, elle constitue une solution alternative à mi-chemin entre les chirurgies lourdes et les méthodes médicales. Les interventions pratiquées concernent la chirurgie des seins, de la silhouette et du visage.
Les opérations de chirurgie des seins. Elle interviens pour remodeler, reconstruire, augmenter ou réduire la poitrine.
La Chirurgie de la Silhouette Que ce soit pour retendre le ventre, pratiquer la liposuccion, le lifting des bras, ou encore le lifting des cuisses, vous bénéficiez d’un conseil de spécialiste pour vous accompagner.
La Chirurgie du visage Elle permet de donner un coup d’éclat et de sublimer l’harmonie des traits, toujours dans le respect des proportions. Les soins proposés couvrent la chirurgie des oreilles décollées lothoplastie, la chirurgie esthétique des paupières, la liposculpture du visage, la chirurgie du profil facial la chirurgie correctrice du nez, le comblement du visage ou filler, le lifting facial, ainsi que la pose de fils tenseurs.
Le Docteur Rahme pratique également la chirurgie intime avec la plastie de réduction des petites lèvres, la nymphoplastie. Les consultations sont réalisées dans la ville de Genève en Suisse, au 10 route de Florissant 1206 - Genève. Prenez contact avec le cabinet genevois pour une consultation.
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azveille · 6 years ago
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L'ANSM interdit les implants mammaires macrotexturés et ceux en polyuréthane
L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) interdit l'utilisation et demande le retrait des implants mammaires macrotexturés et de ceux en polyuréthane, en raison d'un risque accru de lymphomes anaplasiques à grandes cellules.
L'ANSM doit annoncer cette décision lors d'une conférence de presse jeudi matin dans ses locaux à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).
La décision de police sanitaire, qui date de mardi et entre en vigueur vendredi, a été dévoilée mercredi par Radio France et Le Monde, deux médias membres du consortium à l'origine de l'enquête internationale sur les dispositifs médicaux baptisée Implant files (cf dépêche du 26/11/2018 à 10:39 et dépêche du 27/11/2018 à 10:24).
Ce document, qu'APMnews a pu consulter, concerne 13 produits: 11 implants texturés à enveloppe de silicone des fabricants Allergan, Arion, Sebbin, Nagor, Eurosilicone et Polytech, et deux implants recouverts de polyuréthane de Polytech.
Dans la décision, l'ANSM justifie l'interdiction de mise sur le marché, de distribution, de publicité et d'utilisation, ainsi que le retrait de ces produits, par "l'augmentation significative depuis 2011 des cas de lymphomes anaplasiques à grandes cellules associés au port d'implants mammaires" (LAGC-AIM), une "pathologie cancéreuse rare mais susceptible de conduire au décès des patientes".
L'agence rappelle que cette pathologie diagnostiquée uniquement chez des femmes porteuses d'implant mammaire a été détectée chez 56 femmes, dont 70,5% portaient un implant texturé et 1,1% un implant polyuréthane. "S'agissant des 28,4% restant, la texturation de l'enveloppe de l'implant mammaire est inconnue", mais "rien ne permet d'exclure à ce stade que des implants mammaires macrotexturés y soient également représentés".
Trois décès consécutifs à la survenue d'un LAGC-AIM ont été signalés, pointe l'agence.
Elle souligne que selon le comité scientifique spécialisé temporaire (CSST) qu'elle a réuni en février (cf dépêche du 11/02/2019 à 10:24), les implants texturés "déclenchent des réactions tissulaires plus importantes que les implants lisses" et les experts ont confirmé "à l'unanimité" que ces réactions inflammatoires chroniques constituent "un facteur de risque de survenue d'un LAGC-AIM".
En décembre 2018, l'ANSM avait déjà procédé au rappel des prothèses Biocell* d'Allergan, suite au retrait de leur marquage CE, rappelle-t-on (cf dépêche du 19/12/2018 à 10:36). Ce type de prothèse est présent dans 58% des LAGC-AIM, précise l'ANSM dans sa décision.
L'agence cite aussi en appui de sa décision une recommandation de la Société française de chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique (SoFCPRE) citant les implants macrotexturés mais aussi ceux en polyuréthane (cf dépêche du 21/11/2018 à 18:01), et plusieurs publications associant les implants macrotexturés et les LAGC-AIM dans différents pays.
Il y a deux semaines, des craintes d'une telle décision d'interdiction avaient suscité une réaction des sociétés savantes représentant les chirurgiens plastiques, qui s'inquiétaient d'"un retour en arrière de 30 ans", le résultat esthétique des prothèses lisses étant moins bon, et estimaient que le risque de LAGC-AIM était gérable avec une bonne surveillance des patientes (cf dépêche du 25/03/2019 à 08:01).
Actuellement, 83% des implants mammaires utilisés sont texturés, rappelle-t-on.
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azveille · 6 years ago
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Les chirurgiens plastiques s'inquiètent d'une volonté de l'ANSM d'interdire tous les implants mammaires texturés
Les spécialistes en chirurgie esthétique et plastique s'inquiètent d'une volonté de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), et selon eux du ministère de la santé, d'interdire tous les implants mammaires texturés, ce qui constituerait "un retour en arrière de 30 ans pour nos patientes".
"J'ai été alerté il y a une dizaine de jours: l'agence convoque tous les fabricants d'implants mammaires pour dire qu'elle va réévaluer la situation pour sortir des recommandations finales", a indiqué à APMnews Sébastien Garson, président de la Société française des chirurgiens esthétiques plasticiens (Sofcep). Recommandations qui iraient à l'encontre de celles du comité scientifique spécialisé temporaire (CSST) réuni en février par l'ANSM, car selon les échos qui lui sont parvenus, "les implants texturés seraient sortis du marché français".
Interrogée par APMnews, l'ANSM a déclaré qu'elle ne "commente pas les rumeurs". "Il y aura bien sûr des suites aux consultations du mois dernier" sur les implants mammaires, mais c'est encore en réflexion et il n'y a pas de date de remise de conclusions sur ce dossier, indique-t-on à l'agence.
C'est le dernier épisode sur ce sujet, lié à la découverte de cas de lymphome anaplasique à grandes cellules (LAGC) chez des femmes ayant eu des implants mammaires, à visée esthétique ou reconstructrice. A ce jour, il y a eu en France 58 cas de LAGC, répertoriés par le réseau Lymphopath, à raison d'une dizaine de cas par an; une complication qui reste très rare, face aux 67.000 implants vendus en moyenne annuellement (cf dépêche du 05/03/2019 à 15:33).
Les investigations ont conduit à mettre en évidence une responsabilité de l’implant macro-texturé Biocell* d'Allergan dans la majorité des cas et celui-ci a été retiré du marché européen (cf dépêche du 19/12/2018 à 10:36).
Fin novembre 2018, l'ANSM a recommandé d'utiliser de préférence des prothèses à enveloppe lisse (cf dépêche du 21/11/2018 à 18:01), ce qui allait à l'encontre de l'avis du directoire de chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique -regroupant les composantes professionnelles de la spécialité- qui avait préconisé de ne plus poser d'implant Biocell* mais restait favorable à une utilisation, avec prudence, des autres implants texturés.
L'ANSM a réuni en février un CSST qui a recommandé de réserver "la plus grande prudence aux implants mammaires de texture équivalente" à Biocell* et à ceux en polyuréthane, et donc ne recommandait pas de retirer tous les implants texturés.
Actuellement, 83% des implants mammaires utilisés sont texturés, rappelle-t-on.
Le président de la Sofcep estime que les recommandations du CSST, sans être identiques, étaient proches de celles du directoire de chirurgie plastique et cela avait rassuré les chirurgiens plasticiens. Mais il s'inquiète des rencontres entre l'ANSM et les fabricants, en absence de nouvelles données scientifiques, et des échos sur le possible retrait de tous les implants texturés ou au moins de tous les implants macrotexturés.
Il pense également qu'il y a là une volonté du ministère des solidarités et de la santé. Il rappelle que la ministre Agnès Buzyn, qui présidait l'Inca à l'époque du scandale des prothèses PIP, a participé à la décision qui a conduit à explanter "30.000 prothèses en 3 ans", la France étant le seul pays à avoir pris une telle décision. Et il souligne ironiquement que certaines patientes ont dû être réimplantées... avec une prothèse Biocell*.
Il note que lors d'une interview par la journaliste de France Télévisions Elise Lucet, à une question sur "recommande-[t-elle] de ne plus implanter de prothèses texturées ?", la ministre a répondu "oui absolument".
La Sofcep n'a toutefois pas eu de contact direct avec le ministère.
"Il y a un risque à supprimer toutes les prothèses texturées" (président de la Sofcep)
En défense des implants texturés (autres que celui retiré du marché), Sébastien Garson avance plusieurs arguments. D'abord, concernant l'analyse des cas de LAGC français, il estime que "deux tiers des dossiers sont exploitables, les autres n'ayant pas tout l'historique des prothèses implantées aux patientes". Et sur les dossiers exploitables, tous mentionnaient l'implant Biocell*, soit parce que c'était le seul, soit parce que parmi les différents implants que les patientes avaient eus au cours de leur vie, il y avait Biocell*. Un argument visant à montrer la responsabilité spécifique de cet implant, et à suggérer que les autres n'auraient pas ou très peu de risque.
Ensuite, "il y a un risque à supprimer toutes les prothèses texturées", selon le président de la Sofcep. Les implants lisses, plus anciens, ont une durée de vie moyenne de 6 ans, contre 11-12 ans pour les implants texturés. Ne garder que les implants lisses multipliera les interventions de changement d'implant au cours de la vie des femmes implantées, et il rappelle que toute intervention chirurgicale comporte des risques (anesthésiques, d'hématome, infectieux).
Et en termes de qualité de la chirurgie esthétique, réduire le choix et n'utiliser que des prothèses lisses et rondes pour toutes les femmes constituerait "un retour en arrière de 30 ans" car le résultat esthétique est moins bon. "Cela sera compliqué de répondre au niveau d'exigence actuel des patientes."
Quant à l'argument avancé par certains qu'aux Etats-Unis, ce sont presque exclusivement des prothèses lisses qui sont implantées, c'est lié selon lui au fait que pendant très longtemps seules ces prothèses étaient disponibles, les texturées n'étant arrivées sur ce marché que récemment.
Enfin, le spécialiste estime que les chirurgiens plastiques français, qui "ont l'expérience", sont capables de gérer le risque "extrêmement rare" de LAGC. Toutes les patientes sont informées et si elles sont suivies régulièrement par leur chirurgien pour contrôle, les lymphomes sont détectés au stade in situ et il y a "100% de guérison".
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azveille · 6 years ago
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Prothèses mammaires : les chirurgiens veulent éviter un moratoire sur les implants texturés "préjudiciable aux patientes"
Les chirurgiens plasticiens ont appelé à éviter un moratoire sur les implants mammaires texturés, lors d'une conférence de presse organisée en marge de la réunion qui a eu lieu jeudi et vendredi à l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) sur ce sujet.
L'agence réunissait jeudi et vendredi un comité scientifique spécialisé temporaire (CSST) sur la place et l'utilisation des implants mammaires texturés en chirurgie esthétique et reconstructrice (cf dépêche du 06/02/2019 à 12:16).
Depuis fin novembre 2018, l'ANSM recommande aux professionnels de santé d'utiliser de préférence des implants mammaires à enveloppe lisse plutôt que texturée en raison d'un sur-risque de lymphome anaplasique à grandes cellules (LAGC) qui concerne en particulier ceux commercialisés par Allergan, rappelle-t-on (cf dépêche du 21/11/2018 à 18:01 et dépêche du 06/07/2016 à 16:31).
Le directoire de chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique, qui regroupe deux sociétés savantes, le collège et le syndicat, avait en parallèle publié des recommandations différentes. Les professionnels y préconisaient de ne plus poser d'implants à surface macro-texturée de type Biocell* d'Allergan et rappelaient la nécessité d'une surveillance annuelle de toutes les patientes porteuses d'implants mammaires.
Depuis décembre 2018 et le non-renouvellement de leur marquage CE, les prothèses texturées d'Allergan Microcell* et Biocell* ont été rappelées et ne sont plus commercialisées (cf dépêche du 19/12/2018 à 10:36).
La mission du CSST réuni par l'ANSM est de conseiller l'agence sur la possibilité d'interdire les implants mammaires texturés en France. Le CSST doit rendre un avis dans "les jours qui suivent les auditions" et l'agence se décider "dans les semaines suivantes".
Actuellement, 57 cas de LAGC sont recensés par le réseau Lymphopath mis en place en 2015, ont précisé les chirurgiens vendredi lors de la conférence de presse qu'ils ont organisée à la suite de leurs auditions devant le CSST. Sur ces 57 cas, les deux tiers ont des données exploitables qui révèlent un trait commun: les prothèses texturées Biocell*. Dans la moitié des cas, la prothèse avait été posée dans le cadre d'une reconstruction mammaire, alors que les reconstructions représentent 20% des chirurgies du sein.
Le LAGC associé aux implants mammaires est une "entité nouvelle" reconnue par l'Organisation mondiale de la santé depuis 2016, et qui reste "extrêmement rare", probablement de l'ordre 1/20.000, ont-ils avancé.
Ils ont expliqué craindre un moratoire sur les implants mammaires texturés, qui serait selon eux un "drame", "très anxiogène pour les patientes qui en sont porteuses et qui vont bien".
Le Dr Richard Abs, président du Syndicat national de chirurgie plastique reconstructrice et esthétique (SNCPRE) a fait un parallèle avec l'affaire PIP. Ce médecin, qui est l'un des lanceurs d'alerte de cette affaire, a rappelé comment il avait été difficile de mobiliser l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps, devenue ANSM). A l'époque, les chirurgiens avaient préconisé de surveiller les patientes et d'enlever les prothèses qui posaient problème. "L'affaire s'est emballée et l'agence est alors allée bien au-delà de nos recommandations en préconisant d'explanter toutes les femmes, alors que dans 90% des cas il n'y avait pas de problème", a rapporté le chirurgien. Selon lui, cette décision a été à l'origine de complications chez les patientes.
Il a dit craindre une "décision hâtive", comparable de l'agence pour les prothèses texturées.
Lors de cette conférence de presse, les chirurgiens ont rappelé leur attachement aux choix des techniques, afin de pouvoir s'adapter au mieux à chaque patiente. Toutes les patientes ne souhaitent pas un lambeau et cette technique n'est pas possible chez toutes les femmes et elle nécessite plus d'interventions que la pose d'implants. En outre, ils estiment que sans implants texturés en France, il sera plus difficile d'avoir des résultats anatomiques chez toutes les patientes.
Ils souhaitent que l'ANSM suive les recommandations de leur directoire d'un suivi régulier des patientes, y compris celles porteuses d'implants texturés Biocell* parce que le risque de LAGC, qui est rare, peut être "bien contrôlé".
Si les symptômes sont découverts tôt et le diagnostic de LAGC posé précocement, "le geste est simple" et permet de guérir les patientes, a pointé Sébastien Garson, président de la Société française des chirurgiens esthétiques et plasticiens (Sofcep). Si l'épanchement est négligé et que les patientes sont perdues de vue, des soins supplémentaires sont nécessaires.
Les spécialistes ont également mis en cause la légitimité du CSST constitué par l'ANSM qui est présidé par une historienne et compte une minorité de chirurgiens et oncologues. Ils dénoncent une démarche "démagogique" de l'agence. "C'est comme si après un crash d'avion on demandait à des personnes de la société civile de l'analyser", dénonce Richard Abs, qui considère nécessaire de fonder la décision avec des spécialistes du domaine.
Par ailleurs, les chirurgiens ont annoncé qu'ils seraient prochainement en mesure de lancer leur registre français des implants, prêt depuis 3 ans, mais qui était en attente d'un feu vert de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) depuis 3 ans. La situation est en train de se débloquer, ont-ils rapporté.
Ils ont également fait savoir qu'un groupe de travail européen sur les LAGC associés aux implants mammaires allait être mis en place pour collecter l'ensemble des cas européens et formuler des recommandations. Toutes les sociétés savantes européennes ont répondu présentes, ont souligné les spécialistes français.
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