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#Seiches-sur-le-Loir
diemelusine · 1 month
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The Château of Brignac, Seiches-sur-le-Loir, France. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Brignac01.JPG
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enchantedtigress · 7 years
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Fleurs - Explore (26/06/2017)
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Fleurs by david49100
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hayatliliana · 7 years
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Le passage
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Le passage por david49100
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Great memories happen when you don't know where you're going www.travelhotelsdeals.com #sunset #travelporn #travelhub (at Seiches-Sur-Le-Loir, Pays De La Loire, France) https://www.instagram.com/p/B-Fnd_oJx1S/?igshid=1xggbwmr8gkl6
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reflexionsnouvelles · 7 years
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Territoire zéro chômeur longue durée : « Personne n’est inemployable »
SÉRIE – Pendant plusieurs mois, nous allons suivre l’expérimentation Territoire zéro chômeur longue durée en allant à la rencontre de ses différents acteurs. Pour ce premier article, nous avons interrogé Patrick Valentin, président du fonds d’expérimentation de l’initiative de lutte conter le chômge. Il nous explique comment est né et fonctionne le dispositif.
Depuis janvier dernier, dix territoires français expérimentent le dispositif Territoires zéro chômeur longue durée (TZCLD), initié par ATD Quart Monde, à laquelle se sont jointes d’autres association comme Emmaüs France ou le Secours catholique. Le principe : créer des entreprises dites à but d’emploi dont le rôle est de recruter tous les chômeurs longue durée de leur territoire en CDI, à temps choisi. Les activités de cette ou ces entreprises sont développées en fonction des compétences, des souhaits du personnel embauché, mais aussi des besoins de la population locale, sans qu’elles ne rentrent en concurrence avec des activités déjà existantes sur le territoire. Ce dispositif original est financé par le transfert des aides dont ces personnes bénéficiaient jusque-là (allocations, formation, CMU, manque à gagner fiscal). Fin août, l’association TZCLD annonçait l’embauche de 280 personnes.
Comment est né ce projet ?
Patrick Valentin – Le projet est né d’un triple constat. Personne est inemployable, sous réserve que les conditions de travail soient adaptées aux capacités de chacun. Il y a plus de travail que de temps de travail disponible chez les chômeurs de longue durée. Ce n’est pas le travail qui manque et ce, quelle que soit la qualification. Enfin, jusqu’à lors, aucune proposition pour « activer les dépenses passives » n’a eu de succès. Nous avons alors proposé de le faire par le biais du calcul du coût de la privation d’emploi [allocations diverses, manque à gagner fiscal…, ndlr]. L’idée étant de pouvoir transférer ces coûts pour en faire des recettes permettant de financer l’emploi. Nous savons bien qu’une personne au RSA reçoit de l’argent alors que ce qu’elle demande c’est travailler. La personne se voit cantonnée dans un statut d’allocataire, un peu mendiant, alors qu’elle demande du travail, que du travail il y en a et que cela coûte de la priver d’emploi.
La première expérimentation menée en 1994 à Seiches-sur-le-Loir a été un échec. Pourquoi ?
Elle a été un succès pour ce qui est de la mobilisation des demandeurs d’emploi touchés par le chômage de longue durée et l’exclusion sociale, notre cible. En revanche, l’expérimentation a été un échec car nous n’avons pas pu utiliser les allocations destinées à des personnes privées d’emploi pour créer des emplois. C’était illégal. Puis, en 2003, une loi constitutionnelle a été votée, donnant aux élus le droit de créer des lois expérimentales, pouvant s’appliquer à quelques territoires, ce qui n’était pas le cas jusqu’ici. En 2012, nous avons repris le travail et en 2016 nous avons obtenu la loi d’expérimentation pour le programme Territoires zéro chômeur longue durée.
Comment le dispositif fonctionne-t-il ?
Sur chaque territoire, un comité local est élu. Ce comité reçoit, par convention avec le fonds d’expérimentation, le pouvoir de recruter tous les chômeurs longue durée de son territoire, sans aucune sélection, et de façon exhaustive. Pour cela, le comité est chargé de créer la ou les entreprises à but d’emploi. Nous n’en sommes actuellement qu’à la moitié de l’opération. J’avais espéré qu’on arriverait à recruter toutes les personnes concernées en six mois, mais ça va être plus long – au moins un an, car nous n’avons pas eu les fonds nécessaires.
Qu’est-ce que sont ces entreprises à but d’emploi ?
Nous appelons, avec un certain humour, ces entreprises des entreprises à but d’emploi, en référence au terme « entreprises avec ou sans but lucratif ». Nous ne demandons pas à ces entreprises de créer des profits financiers, mais de créer des emplois supplémentaires. Et j’insiste, nous nous différencions de tous les mécanismes connus jusqu’ici en matière de développement économique. Plutôt que faire du développement économique pour avoir des emplois, nous faisons des emplois pour avoir du développement économique. Cela inverse les priorités. Et ces emplois sont financés par transfert des dépenses passives, ce qui est un souhait de notre population.
Crédit : Morgane Gaillard
Comment sont définies et choisies les activités qui seront développées par les entreprises d’emploi et exercées par les personnes recrutées ?
C’est un très gros travail d’ingénierie de projet qui demande beaucoup de temps de préparation. Dans un premier temps, il faut mettre autour de la table toutes les parties prenantes de la question de l’emploi des personnes au chômage de longue durée : les entreprises, les administrations, les chômeurs, les associations. Puis, chaque demandeur d’emploi est accueilli individuellement. Leur sont posées trois questions : que savez-vous faire, que voulez-vous faire aujourd’hui, qu’acceptez-vous d’apprendre ? Bien entendu, on ne s’intéresse pas aux diplômes, mais au vécu des personnes et à leurs désirs. Il s’avère, et fort heureusement d’ailleurs, que beaucoup d’entre eux sont polyvalents. Une fois ces deux étapes réalisées, nous sommes en mesure d’interroger la population sur les besoins du territoire. Nous retenons les réponses qui conviennent au personnel à  employer. Il y a tellement de choses utiles que peuvent faire les gens, que l’on filtre et qu’on arrête quand il y a plus d’activité que de temps de travail.
Quel genre d’activité ont-elles été créées depuis le début de l’expérimentation ?
C’est un véritable inventaire à la Prévert. Lombriculture, compostage, services d’aide à la personne, offres culturelles, entretien de friches, remise en état de patrimoine, création d’un garage solidaire… c’est aussi diversifié que l’économie elle-même.
Quel est l’objectif au terme des cinq ans d’expérimentation ? Obtenir une loi qui permette à tous les territoires qui le souhaitent de pouvoir mettre en place ce dispositif ?
Pour le moment, nous visons un objectif intermédiaire avec l’extension de l’expérimentation pour en confirmer les méthodes. Déjà, 25 à 35 territoires, que nous accompagnons, souhaiteraient rejoindre l’expérimentation.  
Et puis comme vous le disiez plus tôt, il s’agit de développer une économie complémentaire…
Exactement. Ce que nous proposons est une économie complémentaire et anti-gaspi. Il s’agit d’arrêter de faire du gaspillage de personnes, en utilisant de l’argent pour faire de l’assistance, alors que les personnes demandent du travail. C’est de l’écologie humaine. La question ensuite est de savoir comment cette économie complémentaire et l’économie principale vont collaborer. Le problème n’est pas d’insérer mais de vivre ensemble, tous, en emploi.
Existent-ils des dispositifs de ce type à l’étranger ?
Alors ailleurs en France non. D’ailleurs, nous sommes très sollicités par l’Autriche, la Belgique, l’Allemagne. Les pays qui s’en sortent avec l’emploi, sont parvenus à obtenir un taux de chômage inférieur à celui de la France, mais ils n’ont pas résolu le problème des personnes très peu productives. Parce qu’il faut bien voir que la sélection qui aboutit au chômage de longue durée, est une sélection tout à fait rationnelle par rapport aux objectifs lucratifs de l’entreprise. C’est une question de système.
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tvmainesarthe · 5 years
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Le Mans - Bloquage du Dépot Pétrolier from TVMaine Sarthe on Vimeo.
Dépôts pétroliers : Le Mans, Lorient, Brest toujours bloqués par les professionnels du BTP. A une semaine du mouvement national contre la réforme des retraites, des professionnels du BTP bloquaient vendredi des dépôts pétroliers pour défendre leur avantage fiscal sur le gazole, emboîtant le pas aux routiers mobilisés contre la hausse du carburant. Les dépôts pétroliers de Lorient et de Brest étaient toujours bloqués.Celui du Mans est bloqué depuis jeudi après-midi.
« La fin du Gazole Non Routier (GNR) va nous coûter 10 % d’impôts supplémentaires.
france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/sarthe/le-mans/depots-petroliers-mans-lorient-brest-vern-seiche-toujours-bloques-1756675.html#xtor=EPR-521-[france3regions]-20191130-[info-bouton2]&pid= Le 30/11/2019
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bourgoinmarion · 6 years
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Mariage Aurélien - Juliette (à Seiches-Sur-Le-Loir, Pays De La Loire, France) https://www.instagram.com/p/BomZ-XRh65L/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1txqz83t2g3lh
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gourmetsandco · 6 years
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[author] [author_image timthumb=”on”]http://www.gourmetsandco.com/wp-content/uploads/2011/03/patrick2.jpg[/author_image] [author_info]
Bistrot des Plantes
Paris (XIVème)
par Patrick Faus
[/author_info] [/author]
[learn_more caption=’ ‘] : cuisine sans intérêt
: cuisine correcte
: cuisine intéressante
: cuisine enthousiasmante
: cuisine exceptionnelle[/learn_more]
Original, passionné, exigeant… un chef à suivre de très près.
  Le chef, Aurélien Juchet, est un passionné. Comprendre cela c’est déjà s’ouvrir au style et à la philosophie de l’homme. Dans son Eure & Loir natal, un jour l’envie lui prit de devenir chef, de rentrer dans une brigade, de travailler à ne plus en dormir la nuit et à ne penser qu’à ca. Il commence fort et haut chez Le Grand Monarque à Chartres. Il travaille d’arrache-pied, apprend, regarde, comprend, et se forme déjà une opinion sur ce qu’il voudra faire. Il continue en Suisse au Beau Rivage, revient en France, flirte un temps avec Le Grand Pan, pour devenir son propre chef, dans son propre restaurant, et faire sa cuisine en toute liberté et en toute créativité.
C’est chose faite avec Le Bistrot des Plantes. Un vrai de vrai, un pur jus, un petit bar à droite en entrant, des tables et chaises en bois, une baie vitrée sur la rue, quelques tables sur le trottoir à la fraiche les beaux jours venus, vaisselle dépareillée, ambiance détendue mais gourmande et attentive aux créations du chef.
La courte carte s’exprime différemment chaque jour et même à chaque service. Elle bouge, change, intéresse par l’originalité des propositions. Menus en trois temps ou menu en cinq temps. Seul en cuisine, le chef travaille, créé, construit des assiettes originales et personnelles à partir des produits arrivés le matin ou pris au marché du coin. Une cuisine fraiche dans tous les sens du terme, vive, mouvante, pensée et fondée. Bancale parfois, mais toujours passionnante.
L’amuse-bouche, pratiquement un premier plat, était particulièrement soigné ce jour-là… comme tous les jours. Ceviche de merlu et algues, frais, agréable et léger. Une vraie mise en bouche qui aiguise les goûts et les envies.
Quand le chef va chercher les petits pois chez son petit producteur de la Sarthe, il ne jette rien. Pour lui, tout est bon dans le petit pois. Il sert les pois bien sûr, parfaitement cuits et bien verts, les pousses en décoration, et les cosses dont il fait un sorbet glacé. Les trois textures s’harmonisent avec en prime un accompagnement original de blancs de seiche en purée. Un plat très réussi et plein de saveurs.
Aurélien Juchet a une technique de construction des assiettes qui est le plus souvent verticale, ce qui est ni très esthétique ni très pratique. Ainsi de son Cabillaud. Une belle pièce, simplement pochée, pour en conserver la pureté virginale et le blanc laiteux, montée sur un demi cœur de fenouil goûteux et moelleux, et surmontée de quelques feuilles de tétragone. Le tout baignant dans un bouillon fin, léger et aromatique. Un coup de fourchette, tout s’écroule, et l’ensemble devient alors très « sploush ». Il n’empêche que les saveurs sont là même si ce type de cuisson et de présentation ne donnent pas le meilleur du poisson.
Un dessert qui pourrait être une entrée au Maroc ou au Moyen Orient. Des aubergines (début mai ??) dans un miel vanillé, du citron, et des chips de pain. Discutable, rustre, et pas désagréable à la fois. Le chef dans ses œuvres…
Hugo est en charge de l’accueil et de la salle et il le fait fort bien. Il a sélectionné quelques vins de belles origines, des vignerons qu’il connait et qu’il aime, dont le travail est exclusivement en biodynamie ou nature. Ses propositions d’accord mets et vins sont judicieuses et peu onéreuses (vins au verre de 3 € à 7 €). Petit plus mais qui en dit long, il tiédit légèrement le pain avant de le servir. Délicate attention.
Un bistrot pas comme les autres et c’est un compliment. Un chef original, fou de cuisine et qui aime le communiquer à ses clients. Il est atypique, exigeant, et un poil dirigiste, mais on pardonne tout quand on aime. C’est le cas avec ce chef à suivre de très prés.
34, rue des Plantes 75014 Paris Tél : 01 45 43 16 50 Réservations souhaitées M° / Alésia Fermé lundi Jusqu’à 23h le soir
Formules déjeuner : 17,50 € (2 plats) – 21,50 € (3 plats) Menus du soir En 3 temps : 32 € – en 5 temps : 48 €
Accord mets et vins : 15 € (2 verres) – 20 € (3 verres)
  [box][/box]
Bistrot des Plantes Bistrot des Plantes Paris (XIVème) par Patrick Faus
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pangeanews · 7 years
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Quella volta che Gabriele d’Annunzio fece spogliare ‘Spadò’ nel giardino del Vittoriale. Una storia inedita scoperta da Marco Travaglini
Marco Travaglini meriterebbe una medaglia per meriti alla cultura. Ha votato la vita a studiare la vita dello zio, Alberto Spadolini, figura eccentrica, micidiale, sconosciuta (prima del suo lavoro) di artista, ballerino, pittore, esteta, divo… spia. Nato ad Ancona nel 1907 e morto a Parigi nel 1972, Spadolini, detto ‘Spadò’, ha attraversato il secolo incontrando personaggi di prestigio, da Anton Giulio Bragaglia ad Alberto Moravia, da Paul Valéry a Marlene Dietrich – che lo adorava – da Picasso – che lo detestava, perché gli ‘rubò’ Dora Maar – a Jean Cocteau e Roberto Rossellini, tutti, in diverso modo, suoi ammiratori. Il lavoro, preziosissimo, di Travaglini, precipita, in parte, in un sito specifico, questo, e in alcuni libri come “Spadò il danzatore nudo” e “Bolero-Spadò”. Ora. Quest’anno scoccano gli 80 anni dalla morte di Gabriele d’Annunzio. E Travaglini, in un testo specifico, ricco di documenti, “Alberto Spadolini alla scuola di Gabriele d’Annunzio”, ricostruisce l’incontro tra il grande poeta e il divo ‘Spadò’. Con vertiginose risonanze. Dello studio pubblichiamo, per gentile concessione, uno stralcio.
*
La contessa Yvette de Marguerie custodiva nel Castello di Brignac (Seiches-sur-le-Loir) una busta contenente alcune pagine della biografia dedicata a “D’Annunzio” da Philippe Jullian (Librarie Fayard, Paris, 1971), scrittore e giornalista de “Le Figaro Littéraire”. Nella prima pagina Jullian ringrazia la regina Maria José, la principessa Bibesco, André Malraux e “Spadolini, il celebre ballerino, che mi ha raccontato il soggiorno, fatto da giovanissimo, al Vittoriale”. Alberto Spadolini ha 16 anni quando giunge sul Garda al seguito di Duilio Cambelotti, scenografo del Teatro Reale di Roma, chiamato dallo stesso Gabriele d’Annunzio per allestire, nel Principato in costruzione, lo spazio in cui tre anni dopo – l’11 settembre 1927 – sarebbe stata rappresentata la sua più famosa tragedia pastorale, La figlia di Iorio, ambientata in quell’Abruzzo magico e mistico che lo aveva sempre affascinato. Il racconto di Philippe Jullian è confermato dal ritrovamento negli Archivi del Vittoriale di un appunto scritto nel 1924 da Gabriele d’Annunzio all’architetto Gian Carlo Maroni in occasione dell’arrivo di Cambellotti al Vittoriale.
Alberto ‘Spadò’ Spadolini: amato da D’Annunzio, odiato da Picasso, adorato da Marlene Dietrich… una storia da scoprire
Il giovane Spadolini è talmente concentrato da non sentire le suppliche del maestro Cambellotti: “Alberto, ti scongiuro, canta sottovoce o finirai per infastidire il Poeta!”. Sfoggiando un magnifico completo parigino, dal boschetto appare la ieratica figura di d’Annunzio: “Duilio, da quando in qua per fare un’opera d’arte se ne deve offendere un’altra?”. Artista dal cuore d’oro, Cambellotti difende il suo apprendista: “Principe, perdona il ragazzo, non aveva intenzione di disturbare il tuo riposo!”. “Non sono qui per sgridare l’apprendista, ma lo ‘stregone’ che ha interrotto la più ardente delle canzoni napoletane!”, scherza il Poeta. Duilio agita le braccia: “Ricordiamoci che se c’è uno stregone, sei tu che ti metti a volare dalle finestre!”. D’Annunzio accenna un sorriso: “E voi con i piedi ben piantati nella melma cosa state combinando?” Cambellotti si pone comicamente sull’attenti: “Dal dottor Maroni abbiamo ricevuto l’ordine di predisporre il teatro all’aperto!”. Soddisfatto d’Annunzio comanda ad Alberto: “Fammi strada! Vedrai che al tuo maestro sarai di maggior aiuto dall’altra parte del Cargnacco!” Duilio inizia una serie di riverenze: “Grazie, grazie, le nostre orecchie non ne potevano più della tua ‘Vucchella’!”. Gabriele posa la mano sulla spalla del ragazzo che sbalordito s’incammina. Assorto nel suo mondo poetico egli si lascia docilmente accompagnare lungo i viottoli del parco, fermandosi giusto ad odorare un fiore o una particolare essenza. L’aria è limpida e carica di freschezza. Dopo aver percorso un vialetto costeggiato da betulle il Poeta interroga il giovane: “Cosa ne pensi di questa dorata prigione?” Spadolini con ardore: “Volete che vi aiuti a fuggire?” D’Annunzio è rattristato: “E per andare dove? Alla storia ho ampiamente donato l’immagine dell’Eroe; ora voglio finire i miei giorni semplicemente come Frate Gabriel dell’Ordine del Vittoriale!” Alberto: “Allora permettetemi di diventare vostro novizio!” E il giovane fu invitato a restare al Vittoriale e poi a trascorrervi parecchi soggiorni. D’Annunzio confidava al suo compagno tutto ciò che gli passava per la testa: “I visitatori sono importuni, ma, come le mosche serali, fanno parte della mia vita… Tutto ciò che è felice è per gli imbecilli, per noi la perfezione non è che nella nostra immaginazione… La maggior parte delle persone non hanno bisogno che di cacare, il resto non conta…”. Gli citò più di una volta questa frase di Nietzsche: “Un uomo virtuoso (si potrebbe dire normale) è un essere di specie inferiore per questa sola ragione: che non è una persona poiché il suo valore consiste nell’essere conforme ad uno schema di uomo fissato una volta per tutte”. Comunque D’Annunzio non incoraggiava la familiarità: “Chiamami Poeta e non più Maestro, ma non per nome: il mio nome è come una lacrima nella mia anima…” Infine nel corso di una passeggiata, durante la quale aveva a lungo parlato di bellezza delle statue greche, il Poeta ordinò al suo compagno di spogliarsi: “Ma… i giardinieri…” “I giardinieri non vedranno quello che io vedo, io solo conto. Guardami in faccia. Il peccato è guardare se ci guardano, poiché in questo caso tu ti associ alla bassezza degli altri. Alza le braccia… che bellezza!”.
Spadolini mantiene indelebile il ricordo dell’incontro nel nascente Vittoriale e in un’intervista del 1933 esprime il desiderio di danzare accanto alla grande Ida Rubinstein il poema sacro di Gabriele d’Annunzio Le martyre de Saint Sébastien, musicato da Claude Debussy, pubblicato a Parigi nel marzo 1911 dall’editore Calmann-Lévy. Dopo poche settimane esordisce al Théâtre du Châtelet, grazie anche al finanziamento della stessa protagonista Rubinstein; la stampa annuncia l’evento con grande anticipo, informa delle prove alle quali partecipano gli stessi autori, d’Annunzio e Debussy, suscitando grande attesa negli ambienti più raffinati; inoltre la corte russa ne racconta le meraviglie nei salotti parigini contribuendo al successo.
Secondo Philippe Jullian il giovane Spadolini ritrova D’Annunzio a Roma nel 1924, nei pressi di Santa Maria degli Angeli, al funerale di Stato per la morte di Eleonora Duse, suo tempestoso amore. Nel 1930 Alberto emigra in Francia, ma ne viene espulso perché non ha un lavoro fisso. Lui non si arrende, si reca al Vittoriale per chiedere aiuto a d’Annunzio. Il Comandante gli dona oltre alla mandragola dai poteri magici, una busta gonfia di quaranta mila lire in biglietti nuovi, e alcune lettere, fra cui una per raccomandarlo al suo amico scrittore Maurice Rostand, poeta e drammaturgo omosessuale tra i più noti della capitale francese, e una per Emilienne d’Alençon che nella Belle Époque aveva spopolato come una delle tre più rinomate prostitute parigine. È l’inizio della straordinaria carriera di Spadò!
Marco Travaglini
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nepca-blog · 8 years
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En marche pour un nouvel Elan (vidéos)
Le Conseil d’Administration de Nouvel élan pour une citoyenneté active, réuni le 16 Janvier 2017 a décidé de s’engager avec « En Marche » d’Emmanuel MACRON.
Dans ce cadre, un Comité a été créé à l’initiative de Claude Eas. Ce Comité est intitulé En Marche pour un Nouvel Élan, il est basé à Seiches sur le Loir mais rayonne plus largement en participant à des actions de terrain à Angers, Segré, Durtal…
Ce Comité est également à l’origine d’une initiative originale pour aider à mieux connaitre le programme d’Emmanuel MACRON. Le Comité a produit une série de vidéos qui met en scène deux militants qui dialoguent autour d’un des thèmes du programme. Ces courtes vidéos sont diffusées sur la page Facebook de Claude Eas ainsi que sur Youtube où une chaîne spécifique a été mise en service « Emmanuel Macron, demandez le programme ».
Les vidéos traitent de sujets très divers : « Egalité femmes/hommes », « Sécurité », « Agriculture », « la Santé », « la formation »…
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gourmetsandco · 6 years
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[author] [author_image timthumb=”on”]http://www.gourmetsandco.com/wp-content/uploads/2011/03/patrick2.jpg[/author_image] [author_info]
Bistrot des Plantes
Paris (XIVème)
par Patrick Faus
[/author_info] [/author]
[learn_more caption=’ ‘] : cuisine sans intérêt
: cuisine correcte
: cuisine intéressante
: cuisine enthousiasmante
: cuisine exceptionnelle[/learn_more]
Original, passionné, exigeant… un chef à suivre de très près.
  Le chef, Aurélien Juchet, est un passionné. Comprendre cela c’est déjà s’ouvrir au style et à la philosophie de l’homme. Dans son Eure & Loir natal, un jour l’envie lui prit de devenir chef, de rentrer dans une brigade, de travailler à ne plus en dormir la nuit et à ne penser qu’à ca. Il commence fort et haut chez Le Grand Monarque à Chartres. Il travaille d’arrache-pied, apprend, regarde, comprend, et se forme déjà une opinion sur ce qu’il voudra faire. Il continue en Suisse au Beau Rivage, revient en France, flirte un temps avec Le Grand Pan, pour devenir son propre chef, dans son propre restaurant, et faire sa cuisine en toute liberté et en toute créativité.
C’est chose faite avec Le Bistrot des Plantes. Un vrai de vrai, un pur jus, un petit bar à droite en entrant, des tables et chaises en bois, une baie vitrée sur la rue, quelques tables sur le trottoir à la fraiche les beaux jours venus, vaisselle dépareillée, ambiance détendue mais gourmande et attentive aux créations du chef.
La courte carte s’exprime différemment chaque jour et même à chaque service. Elle bouge, change, intéresse par l’originalité des propositions. Menus en trois temps ou menu en cinq temps. Seul en cuisine, le chef travaille, créé, construit des assiettes originales et personnelles à partir des produits arrivés le matin ou pris au marché du coin. Une cuisine fraiche dans tous les sens du terme, vive, mouvante, pensée et fondée. Bancale parfois, mais toujours passionnante.
L’amuse-bouche, pratiquement un premier plat, était particulièrement soigné ce jour-là… comme tous les jours. Ceviche de merlu et algues, frais, agréable et léger. Une vraie mise en bouche qui aiguise les goûts et les envies.
Quand le chef va chercher les petits pois chez son petit producteur de la Sarthe, il ne jette rien. Pour lui, tout est bon dans le petit pois. Il sert les pois bien sûr, parfaitement cuits et bien verts, les pousses en décoration, et les cosses dont il fait un sorbet glacé. Les trois textures s’harmonisent avec en prime un accompagnement original de blancs de seiche en purée. Un plat très réussi et plein de saveurs.
Aurélien Juchet a une technique de construction des assiettes qui est le plus souvent verticale, ce qui est ni très esthétique ni très pratique. Ainsi de son Cabillaud. Une belle pièce, simplement pochée, pour en conserver la pureté virginale et le blanc laiteux, montée sur un demi cœur de fenouil goûteux et moelleux, et surmontée de quelques feuilles de tétragone. Le tout baignant dans un bouillon fin, léger et aromatique. Un coup de fourchette, tout s’écroule, et l’ensemble devient alors très « sploush ». Il n’empêche que les saveurs sont là même si ce type de cuisson et de présentation ne donnent pas le meilleur du poisson.
Un dessert qui pourrait être une entrée au Maroc ou au Moyen Orient. Des aubergines (début mai ??) dans un miel vanillé, du citron, et des chips de pain. Discutable, rustre, et pas désagréable à la fois. Le chef dans ses œuvres…
Hugo est en charge de l’accueil et de la salle et il le fait fort bien. Il a sélectionné quelques vins de belles origines, des vignerons qu’il connait et qu’il aime, dont le travail est exclusivement en biodynamie ou nature. Ses propositions d’accord mets et vins sont judicieuses et peu onéreuses (vins au verre de 3 € à 7 €). Petit plus mais qui en dit long, il tiédit légèrement le pain avant de le servir. Délicate attention.
Un bistrot pas comme les autres et c’est un compliment. Un chef original, fou de cuisine et qui aime le communiquer à ses clients. Il est atypique, exigeant, et un poil dirigiste, mais on pardonne tout quand on aime. C’est le cas avec ce chef à suivre de très prés.
34, rue des Plantes 75014 Paris Tél : 01 45 43 16 50 Réservations souhaitées M° / Alésia Fermé lundi Jusqu’à 23h le soir
Formules déjeuner : 17,50 € (2 plats) – 21,50 € (3 plats) Menus du soir En 3 temps : 32 € – en 5 temps : 48 €
Accord mets et vins : 15 € (2 verres) – 20 € (3 verres)
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Bistrot des Plantes Bistrot des Plantes Paris (XIVème) par Patrick Faus
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