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Plage de Saint Jean-de-Luz, Pays Basque
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La ballerine de Kiev
Après « Le gardien de Téhéran » Stéphanie Perez confirme son talent de conteuse et sa faculté à transformer son expérience d’envoyée spéciale en un roman éclairant, cette fois en mettant en scène un couple de danseurs de l’opéra national de Kiev.
En deux mots Svitlana et Dmytro, danseurs à l’opéra national de Kiev connaissant leur jour de gloire à la veille de l’entrée des chars russes dans le pays. Une guerre qui va bouleverser leur quotidien et les séparer. Dmytro part sur le front, Svitlana aide comme elle peut comme secouriste. Jusqu’au jour où on lui demande de reprendre la danse. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique Les danseurs…
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DIPLOME AVEC DES POINTS EN PLUS HUBERT COSTE CHAPITRE 8
#mon ami geoffrey est beau touchant samsible couraeux plein d'espoir -de dinamise magré ses changes et maladie de car#es changes molicare complets pour hommes et eni fuites et petes fécales mode confortables#absorbant#ONT ME MET UNE DOUBLE COUCHE SECOURISTE COSTE HUBERT CROIX ROUGE#tous aidons la recherche
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Joséphine Baker portant son uniforme de l’Armée de l’Air française – Paris – 1948
©Studio Harcourt
En 1939, Joséphine Baker devient agent du contre-espionnage à Paris. Elle participe en tant qu’infirmière pilote secouriste de l’air (IPSA), affectée à la Croix-Rouge à la réception de réfugiés belges et hollandais, et est officiellement engagée le 23 mai 1944 dans l'Armée de l'Air comme «officier de propagande» avec le grade de sous-lieutenant. Elle est Chevalière de la Légion d'Honneur et médaillée de la Résistance avec rosette et de la Croix de guerre 1939-1945.
#WWII#les femmes et les hommes de la guerre#women and men of war#armée de l'air#french air force#espionne#spy#joséphine baker#josephine baker#paris#1948
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JOYEUX ANNIVERSAIRE ZENDAYA
Happy Birthday à celle qui est devenue mon inspiration au quotidien Zendaya Coleman ! Je souhaite vraiment la rencontrer un jour lors d'un événement et pourquoi pas aux Emmys Awards si un jour ma carrière d'actrice décollera, why not?
Non en vrai elle est une femme incroyable et elle m'a donnée l'envie de devenir une actrice malgré mon anxiété et ma timidité j'ai envie de devenir une actrice, tourner dans des séries et films, faire des promotions et rencontrer des coeurs inconnus qui aiment mon travail et qu'ils me soutiennent. Commencer par le vlogging c'est vraiment un premier pas pour moi car j'ai déjà lancé mon premier vlog tour (qui est d'ailleurs pas très réussi mais au moins je l'ai publié) et me lancer ma carrière de vlogueuse sur Youtube c'est comme si je tournais ma propre série et que je joue un personnage principal, je deviens l'héroïne de ma série. Pour moi c'est mon premier pas de filmer et raconter une histoire de mon personnage principal.
Je remercie vraiment Zendaya pour ce qu'elle est et j'admire énormément son travail d'actrice et de productrice elle est incroyable et j'ai envie de travailler dans ce milieu tout comme elle. Alors moi je fais à ma version, je me lance dans le vlogging en tant que vlog character (personnage de vlog)... Je filmerai 24h/24 mon quotidien à Toronto au Canada, je parlerai de mon engagement à la santé mentale chez PSSM France en tant que secouriste pour aider les gens et de les rassurer qu'ils ne seront jamais seuls.
Encore un joyeux anniversaire à elle, elle m'a vraiment sauvée la vie concernant mon avenir et qui j'ai envie de devenir pour poursuivre mes rêves...
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L’armée d’occupation attaque le secouriste Ahmed Qandil lors de l’opération militaire en cours à Jénine.
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coste hubert
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Bien sûr, il est probable que nous tomberons plus bas encore. C’est même une évidence. Mais nous atteignons en ce moment précis un point intéressant dans la chute. À écouter l’ensemble des experts de plateau-téloche, à lire les pointures qui fourmillent sur les blogs géo-stratégiques, c’est une évidence : les Russes sont à genoux. On ne sait pas si ce sont les 24 chars Leopard ou les 8 Leclerc qu’on va leur prêter, mais sûr qu’ils vont bientôt rendre gorge et l’immonde Vladimir sera trainé dans le box des accusés d’une énième Cour pénale internationale en carton-pâte, où l’on pourra tranquillement prendre son tour de cou en vue d’un châtiment équitable. Qu’on fasse les comptes, nom d’un pope en plâtre ! Massacres de civils ukrainiens ou assimilés, certes compensés par l’exhibition nonchalante de leurs cadavres au devant des caméras du monde, exécution des combattants de la liberté grossièrement baptisés “mercenaires” par la Pravda, tortures sur des chats et même sur quelques chiens jaunes et bleus, rapt et déportation d’enfants sur le mode turco-argentin, conquête territoriale contre la volonté de moins d’un quart de la population concernée... Si ça c’est pas des fauteurs de guerre et des assassins professionnels, je veux bien endosser la responsabilité d’avoir percé les tuyaux du gaz.
Et avec tout ça, les Russes prennent les villes imprenables, grignotent, bombardent, grignotent encore, bombardent toujours et voilà : ils avancent. Oh, certes au prix de morts et d’amputés innombrables, mais ils s’en foutent, ce sont des Russes. Un coup de vodka sur la plaie, un autre dans le gosier, un sparadrap et hop, de retour sur le front, sans casque ni gilet pare-balles. On est comme ça chez les cosaques : rustres et durs à la peine. Du coup, sur les plateaux-téloche, ça perd un peu le fil du narratif poussif pondu par le service de presse de la Grande Alliance Atlantique :
“Oui, bien sûr, Stéphane, c’est évident que les assassins et les violeurs recrutés au goulag par Prigojine ont la part belle dans cette affaire puisque l’Europe tarde tant à envoyer ses chars !”, insiste l’argousin de service. “Oui, malgré les efforts d’Ursula von der Leyen, force est de constater que les coups de freins répétés de certains pays proches du Kremlin – comme la Hongrie, mais est-il encore utile de les citer – gênent la prise de décision de partenaires bien plus engagés sur la route de la défense des valeurs de la démocratie européenne, comme la Pologne ou l’Allemagne”, envoie le plumitif en second. “Oui tout à fait Stéphane, et n’oublions pas de rappeler le rôle trouble – pour ne pas dire équivoque – de la Turquie du néo-pacha Erdogan qui oppose son véto à l’ouverture de l’Otan à la Suède pour des raisons de basse politique. On a du mal à croire que le même Erdogan a été activement soutenu par les secouristes de l’Union Européenne lorsque récemment, son pays a été touché par des séismes. Peut-on parler d’ingratitude ? Au vu de son inflexibilité relative à la question kurde – une question qui relève des droits de l’homme, rappelons-le –, c’est sans doute possible.” Sur le plateau, six têtes de cons acquiescent. Là-bas, ailleurs, sur les radios, dans les journaux de la presse capitaliste subventionnée (qui l’eût cru ?), sur tous les canaux de la lucarne hertzo-câblée, le mot d’ordre est unique, catégorique et général : vaincre... le discernement !
Je fais confiance à la piétaille médiatique et à ses cohortes de supplétifs autorisés. Ce sont les révélateurs zélés du recul définitif de la composante intellectuelle du discours public. Le petit peuple, crédule, le cul ouvert par vocation, approuve tout en buvant son Coca. Les bourgeois – toujours prompts à se chier dessus – sont partants pour toutes les compromissions : “donnons-leur ce qu’ils demandent, nous gagnerons du temps !”. Même s’ils veulent votre semblant de liberté putative ? Vos illusions libérales ? Vos enfants wokisés ? “Mais oui, bien sûr ! Prenez tout ! Et pendant qu’on y est, remplacez-nous !” Affligeant, dégueulatoire, sans appel. Ne seriez-vous pas mieux dans un placard, entre la planche à repasser les Institutions, à côté de la macine à laver le linge sale, à l’abri des Lumières enfin éteintes et avec dans les oreilles la rumeur atténuée des prières du muezzin ?
Gueux éborgnés et notables dépossédés, pseudo-paysans et cadres au labeur domiciliaire, imbéciles endettés sur 25 ans ou déjà faillis à cinquante piges, fils de la rente plate ou pères du néant générationnel, le même vide, la même peur vous rassemble. Cette Trouille défécatoire, c’est celle du vide qui vous habite, la lumière crue du frigo vide, l’indigence du sapin sans cadeaux, la fin de non-recevoir du Monop’ rideau baissé. Tout file entre vos doigts : la santé, la sécurité, l’emploi, le revenu, le retraite, le cul, le carbone... Tout calanche ! Tout disparaît dans les cris d’orfraie et les moues indignées ! Pas de lendemain, plus de coq pour chanter l’aurore nouvelle et la France éternelle ! Bande de cons écouillés ! Cocus de basse-cour ! Depuis sa fusée, Elon Musk vous tweete que vous ne serez plus jamais censurés ! Vive la liberté, vive l’Union Européenne, niet pasaran ! J.-M. M.
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Les secouristes ont été surpris de constater sur place que seule la tête du pauvre animal dépassait du trou.
Une intervention inhabituelle. Les pompiers du Gard ont secouru vendredi matin un cheval tombé dans un puits près d’Alès, selon nos confrères de France 3.
Prévenus aux alentours de 8 heures, les secouristes ont été surpris de découvrir sur place que seule la tête de l’animal dépassait du trou.
Avec le concours de l’unité animalière des sapeurs-pompiers du Gard, l’équidé a été sanglé puis tiré hors du puits où il était bloqué depuis plusieurs heures. L’opération a mobilisé une dizaine de pompiers et trois véhicules de secours durant trois heures. {lire}
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Post in french, nothing important it's just about football.
De retour du stade, et bah c'était de la belle merde. Défaite de Reims 2-0 contre le LOSC, à 10 v. 11 pendant 85% du match (mérité le rouge), avec une grosse blessure et frayeur d'Angel Gomes. Choc à la tête, il est resté 35 minutes au sol, les secouristes qui sont venus sur le terrain en marchant alors que littéralement TOUT LE MONDE leur demandait de venir vite, c'est inadmissible franchement. Il y a eu une belle communion entre le parcage lillois et les supporters remois pour soutenir Gomes, c'était vraiment sympa.
Ensuite pour ce qui était sur le terrain, bah côté remois c'était merdique, même à 10 v. 11 ça n'excuse pas tout. Techniquement il y en a qui sont 0, des gars qui ont un Qqi football proche du néant, voir négatif, aucune frappe dangereuse, voir quasiment aucune frappe tout court mdr. Les longs ballons pour les attaquants qui font au mieux 1m75 face à des défenseurs qui font 1m85, top!
Je crois que la saison remoise va être très longue, et je vois pas l'objectif top 9 être atteint du tout. On a beaucoup trop de jeunes qui ont peut-être un certain potentiel, mais qui n'ont pas encore le niveau Ligue 1. On a prêté les saisons précédentes des joueurs mais pas pour les bonnes raisons j'ai l'impression. Il y a des joueurs qui sont parti en prêt mais que l'on ne voit plus quand ils reviennent, parce qu'ils sont vendus pour laisser partir libre. A un moment le trading va se retourner contre nous et on aura plus que les yeux pour pleurer.
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Ce matin c’est notre dernier matin à Durban, et il fait grand beau ☀️. On profite de notre petit déjeuner puis on fait nos sacs (qu’on voulait faire hier soir mais on s’est endormi 😂). Vers 9h30 on fait le check out et on confie nos bagages à la réception pour quelques heures. Comme il fait grand beau et qu’il n’y a pas de vent, on va profiter de notre matinée pour aller à la plage 🏖️. Il y a eu quelques orages alors la mer a rejeté pas mal de de déchets (organique et humain). Mais à notre grande surprise, des équipes de nettoyage s’activent pour la rendre à nouveau toute belle 👏🏻. Il n’y avait pas grand monde, d’ailleurs les quelques personnes qu’il y avait ne restaient pas sur la plage. Ils venaient, allaient dans l’eau puis repartaient. Nous on voulait poser nos linges. Bien sûr, le temps d’aller dans l’eau on prenait toutes nos affaires qu’on déposaient près d’un truc pour les secouristes, comme ça on les avait à l’œil et après on aller s’échouer sur le sable ! Et pas de requin en vue aujourd’hui, pour le plus grand soulagement de maman 😘😘.
À midi, nous nous dirigeons gentiment vers l’hôtel pour récupérer nos sacs et troquer notre maillot de bain contre un short, ce sera plus confortable pour notre vol pour Johannesburg. Arrivé à l’aéroport, un petit casse-croûte et on saute dans l’avion. Le temps de vol est estimé aujourd’hui à 50 minutes, c’est du rapide! Finalement l’aéroport était assez chargé alors on a fait quelques petits tours en l’air avant d’atterrir. Voilà, la boucle est bouclée, nous sommes à nouveau à Johannesburg, au même endroit qu’il y a deux semaines à notre arrivée 💫. Après avoir récupéré nos bagages, on va prendre pour la première fois le train en Afrique du Sud ! Le billet n’est pas trop cher pour nous, mais on pense que c’est pas donné pour les gens du coins, presque 250 Rand l’aller, soit un peu plus de 10CHF, mais c’est plus cher qu’un menu avec boisson au restaurant. D’ailleurs il n’y a pas beaucoup d’africain dans ce train. Parlons en du train; très moderne, assez confortable, une cadence toutes les 10 minutes…je suis assez impressionné. Bon c’est le train qui relie l’aéroport à la ville, il faut bien qu’il fasse bonne impression. Les trains de banlieue c’est autre chose. D’ailleurs on voulait en prendre un pour nous rendre à l’hôtel. C’était déjà un labyrinthe pour trouver où acheter le ticket et le guichetier nous a dit qu’il y a en fait pas de train pour rejoindre notre gare…bref on est sorti de la gare et j’ai commandé un Uber, l’application tournait un peu dans le vide lorsqu’un taximan est venu vers nous en disant que Uber ne fonctionne pas bien en Afrique du Sud. Il nous propose de nous emmener à l’hôtel pour 100R, soit environ 5CHF. On a excepté de suite tellement on voulais arriver à l’hôtel, sans compter qu’il commençait à faire nuit et que c’est pas très safe de se balader dans les rues de Johannesburg la nuit tombée. Les quartiers que l’on traverse ont l’air très pauvre et pas très bien entretenu. Ça change énormément de toutes les autres villes que l’on a visité lors de ce voyage où tout était assez propre, même dans une grande ville tel que Cape Town. Enfin on verra bien demain comment ça se passera. Le taxi nous dépose à l’hôtel. Très content de l’hôtel que nous avons réservé pas plus tard hier soir 😂. On ne va pas ressortir pour manger. Heureusement l’hôtel a un bar/restaurant dans lequel on a pris un ragoût de bœuf avec du mieliepap, une sorte de polenta locale. C’était hyyyyper bon !
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Gökşin Sipahioğlu/Sipa - 6 Mai 68 – Une etudiante blessee lors des affrontements du boulevard Saint-Michel est transportee par des secouristes de fortune. Rue de l’Ecole de Medecine, Paris.
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J5▪️Altenau - Sieber
15,0 km [106,8]▫️+390 m [+1 890]▫️19 °C
Hier soir, il pleuvait au dîner. Au petit déjeuner, il pleuvait encore. Heureusement, au partir, il ne pleuvait plus, mais il faisait quand même un peu frisquet (un petit et humide 12 degrés). Côté étape, ce n’est pas bien compliqué : on monte pendant six kilomètres puis on descend pendant neuf, avec comme direction tout droit plein sud.
Enfin, j’aurais plutôt dû écrire : on monte pendant six kilomètres au milieu des épicéas morts et des coupes sèches puis on descend pendant neuf parmi les épicéas morts car oui, c’est vraiment la cata ici. Enfin, pas pour tout le monde ! Les pics épeiches se régalent et les digitales pourpres pullulent, en bonnes pionnières des clairières acidophiles planitiaires-collinéennes, comme on dit dans les bonnes flores.
Pendant ce temps, au milieu de tout ce bois mort, j’ai trouvé moyen de choper une tique en allant faire une photo à la c.. et que vous ne verrez même pas devant une Hütte au bord du chemin qui n'avait comme seul intérêt de s’appeler Hubertus-Hütte et d’avoir ce nom écrit en bien grand au dessus de la porte. Bref, un petit kilomètre plus loin, on s’arrête pour boire un coup (le soleil est revenu) et, assis sur mon sac à dos, que sens-je ? Un truc qui dépasse sur le galbe glabre de mon mollet. Je pense à de la boue séchée mais étrangement ça ne part pas en passant la main. Je regarde et que vois-je ? Une petite tique famélique à l’abdomen tout plat et presque transparent. Ça fait longtemps qu’elle n’a rien mangé, la pauvre ! Mais mon doux attendrissement ne dure pas plus longtemps. Ni une, ni deux, je plonge dans mon sac à la recherche de mon couteau suisse qui possède, entre autres, une pince à épiler. J’entends déjà le chœur de nos lecteurs : « Non ! Non ! Pas une pince à épiler sinon la tête va rester et c’est la maladie de Lyme assurée ! ». Ouais, ouais, je sais, mais laissez-moi faire. Avec une précision d’horloger, je positionne la pince et avec une pression juste suffisante, j’extrais le petit parasite. Inspection visuelle. Oulala ! Une de ses pièces buccales est restée « et c’est la maladie de Lyme assurée !», ils me l’avaient bien dit ! Mais c’est oublier qu’en 1986, j’ai obtenu mon brevet de secouriste-charcutier. Je repars à l’assaut avec ma pince à épiler Victorinox et quelques minutes plus tard, je brandis triomphalement l’insidieux bout de tique. Non, ce n'est pas aujourd’hui que je fermerai boutique ! Puis je vide fiévreusement ma bouteille de Diaseptyl 0,5 % sur la plaie microscopique parce que si l’idée d’avoir la maladie de Lyme, ça m’use, celle d’attraper le tétanos, ça me tétanise !
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Regardez "Une vache épuisée est coincée dans un arbre ! Les secouristes doivent faire preuve de prudence" sur YouTube
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⚠️🍀🤞👍🏻👏🙌 BRAVO
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Le bateau prêt à repartir : nouvel étai largable, nouvelle gazinière qui s'est décrochée de ses cardans dans les violentes secousses de la traversée après 32 ans de bons et loyaux services, nouveau foc 1 qui donnait des signes de faiblesse et que j'ai toujours connu sur le Romarin depuis 1986 ! Nouvelle bande anti-UV pour le gênois, nouveau système efficace pour éviter que les lattes s'envolent de la grand voile en pleine navigation, réparation du bimini déchiré lors de la tentative de sauvetage en hélicoptère, bandes antidérapantes sur le plancher du bateau, il nous reste à recevoir 8 nouvelles cellules au lithium pour la propulsion. Mais nous ne serons pas au bout de nos peines. De nouvelles difficultés nous attendent : le passage du détroit de Gibraltar avec ses courants, ses vents forts, son trafic intense et les attaques d'orques toujours plus nombreuses entre Cadix et Gibraltar. Certains défenseurs des orques trouvent plus juste de parler d'interactions avec les orques plutôt que d'attaques. Les orques s'attaquent uniquement au safran, partie du gouvernail immergé, des voiliers, jamais aux hommes envers lesquels elles ne montrent aucun comportement agressif. Les attaques sont presque quotidiennes aux mois de mai et juin au large du cap Trafalgar, Elles semblent liées au passage des thons rouges qui remontent dans le détroit à cette période. Une autre hypothèse consiste à dire qu'une orque blessée par un bateau enseignerait à ses jeunes d'attaquer les safrans par vengeance. Ou encore, les voiliers apparaissent comme des concurrents dans la chasse au thon dont le nombre a beaucoup baissé avec la surpêche. Les orques sont des animaux intelligents et protégés qui communiquent entre eux. On en dénombre à peu près une soixantaine dans le détroit. Les équipages des voiliers qui ont subi ces interactions en sont quittes pour une bonne frayeur. Certains voiliers ont dû faire appel aux secouristes n'étant plus manoeuvrant. D'autres ont eu des voies d'eau importantes et ont coulé. Nous avons rencontré Sébastien Destremeau, skipper du Vendée Globe et deuxième à la Route du Rhum dans la catégorie Rhum Mono en 2018, en escale forcée à Puerto America à Cadix qui a eu son safran détruit, voici le récit de son interaction avec les orques : Alors qu'il convoyait un bateau et naviguait au large du cap Trafalgar, une dizaine d'orques se sont attaquées à son safran. « on les a vu arriver d'assez loin, j'ai cru que le vent se levait et on a compris que, cette fois, c'était pour nous. » Selon son récit, 20 orques ont nagé vers son bateau. Le groupe s'est ensuite scindé en deux et au moins 8 animaux ont commencé à viser le navire et notamment son safran. Comme le recommande la procédure en cas d'attaque du GTOA protocole, Sébastien met alors à l'arrêt le voilier et affale les voiles. Après cette expérience, je ne suis pas du tout convaincu qu'arrêter le navire soit la bonne stratégie, confie t'il à posteriori. Alors que le bateau de 15 tonnes est arrêté, les orques continuent à le viser jusqu'à endommager le safran. «Une heure sous les coups de boutoir, c'était très impressionnant et on avait très peur. C'est terrifiant de sentir un bateau de 15 tonnes se faire secouer comme une coquille de noix. On en menait pas large à bord. J'avais vraiment peur que le bateau coule. A bord de ces bateaux, il n'y a pas de cloison étanche, comme sur un bateau du Vendée Globe» Le navigateur raconte qu'il a finalement remis le moteur au bout de 20 minutes, avançant et reculant en fonction des orques pour les empêcher d'approcher le gouvernail. «Comme les orques n'en démordaient pas, j'ai commencé à faire des ronds très serrés avec la barre à fond et au bout de quelques minutes, ils sont partis.Mais j'ignore si c'est cette manœuvre qui a été utile ou s'ils seraient partis de toute façon. » a détaillé le double participant au Vendée Globe. «Ce qui est sûr, c'est qu'on est sur leur territoire » estimait-il, alors que de plus en plus d'attaques d'orques sont justement rapportées entre Gibraltar et les côtes portugaises et espagnoles. Durant l'incident, les services de secours ont été prévenus et se tenaient prêts à intervenir si la situation empirait. Finalement, les mammifères sont partis au bout d'une heure, laissant l'équipage secoué mais sain et sauf. Le skipper s'est néanmoins retourné un doigt pendant une manœuvre et une escale est prévu à Cadix en Espagne afin de réparer le safran endommagé. Sébastien précise que les orques ne semblent pas agressives envers l'homme et qu'elles tentent de nous transmettre un message, mais lequel ? On rencontre désormais beaucoup d'appréhension chez les marins qui doivent aborder ce parcours. Des stratégies se développent, plus ou moins efficaces : naviguer de jour, près des côtes pas au-delà de 20 m de profondeur, émettre des ondes répulsives à l'aide d'un pinger : inefficace et interdit : les orques sont en voie de disparition et sont protégées. Naviguer en convoi, à plusieurs bateaux pour se secourir mutuellement en cas d'attaques, d'autres envisagent même des mesures plus radicales inavouables, ...
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Ben quoi ? La France... >>>>>
"Macabre découverte ce samedi matin à Paris (XXe). C’est à deux pas de l’hôpital Tenon, au 7, rue de Chine, que le drame est survenu. Vers 7 heures une jeune femme, âgée de 29 ans, est trouvée agonisante dans le hall de l’immeuble par son conjoint. Le trentenaire prévient aussitôt les secours. Les pompiers, le Samu et la police investissent les lieux. « Son visage était tuméfié et malgré l’intervention des secouristes son décès a été déclaré à 7h20 », précise une source proche de l’affaire. Rapidement, les techniciens de la police scientifique investissent le hall. « Ils ont installé une tente blanche pour qu’on ne voie pas la scène, témoigne un voisin. C’est un jeune couple qui vivait au cinquième étage. Le compagnon était assis dehors et il était en pleurs. » Les fonctionnaires ont mené les constatations sur la scène de crime pour relever les traces et indices. Plus tard dans la journée, le corps a été conduit à l’institut médico-légal de Paris pour y subir une autopsie, qui devra déterminer les causes exactes de la mort." (Aussi sur Fb, 26 mars 2 023) Article du Parisien : “À Paris, une jeune femme retrouvée morte dans le hall de son immeuble : « Rien n’indique qu’il s’agit d’un homicide »“
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