#Sebastien Tagano
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#foot 2 rue#foot 2 rue extreme#extreme football#street football#f2rx#sebastien tagano#sketch#myart#fanart#illustration#drawing
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4ever babbiessss 🙈❤️
This one’s kinda old, i drew it on my iphone back in my ipad-less days, so excuse the mistakes ples,,,,,thanks u heart eyes emoji!!!
I’ve been busy wiz finals, and tmrw’s my last one, can’t wait to go back into drawing more angsty orphan kid x edgy rich girl stuff 🥰
(Psst, @teloisstuff...it’s ur turn to do the thing now 👀)
#foot 2 rue#Street Football#sebastien tagano#eloïse riffler#f2r tag#f2r eloïse#teloïse#digital art#fanart#what if instead of Sebastien Tagano it’s Sebastien balls?#TEAM BALLS OH YEAH
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I wanted to reposte the drawings of Eloise and Tag from the show which I thought were cute!
I know some of these have gotten lost over the internet, but I am at peace with it.
(if anyone wants to use these please be my guest but credit me.)
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La zone industrielle
(J'avais prévu d'écrire ça en guise de suite à ma fanfic Je viens de là, mais vu que j'aurai plus la motiv de la continuer je pense, je pose ça là mdrr)
Fandom : Foot 2 Rue
Personnages : Requin et Tag
Résumé : Requin confie quelque chose de difficile à Tag. (Se passe quelques temps après Je viens de là, mais avoir lu la fic n'est pas une obligation)
Tags : Nostalgie, peur de l'abandon, discussion à coeur ouvert, peur de l'avenir.
Nombre de mots : 2317
De lourds nuages gris pèsent sur le ciel.
L’ambiance est étrange, dans cet endroit que Tag n’a jamais arpenté avant. Il a l’impression que des cris de mouettes devraient transpercer le ciel et les nuages, plutôt que le vol des avions et des pigeons ; l’impression qu’à tout moment, au détour d’une rue, ils vont tomber sur un pont reliant les bordures d’un fleuve gris. Mais non ; à la place, toujours plus de panneaux, de silhouettes d’horizons inatteignables coupées par plus et plus de préfabriqués.
Le temps est simplement lourd, et les passants aussi rares que le passage des voitures. Requin, à côté de lui, observe l’une des grues qui les cernent, l’air ailleurs.
Tag a beau connaître par cœur l’ambiance du chantier de Port-Marie, qui représente une miniature fidèle de zone de reconstruction, ce lieu le déstabilise : il n’a rien de semblable au terrain sablonneux qui a été témoin de tant de matchs spectaculaires. S’ils sont comparables en quelque chose, c’est en la façon qu’a la zone industrielle d’écraser le petit terrain par sa taille et son ampleur ; de là où ils se trouvent, ils peuvent apercevoir, à ce qui semble des kilomètres entiers, se dresser le nom d’une grande ligne de magasin. Il y a là-dedans quelque chose de désolant et de profondément mélancolique.
Le capitaine des Bleus a un sentiment de malaise et de tristesse, en laissant voguer ses yeux sur les mêmes masses grises et géométriques qui se dressent comme des matériaux grossiers sur leur chemin. Il y a en lui une mauvaise nostalgie, la nostalgie qu’il ressent en pensant à ses parents, le soir dans son lit, ou lorsque Gabriel et les Teknos évoquent les leurs. La même nostalgie de l’approche des vacances, de la perspective de rester seuls à l’internat pendant des journées entières. Une nostalgie pleine d’amertume et d’un sentiment froid d’échec. Le genre que les plus grandes victoires au Foot 2 Rue sont incapables de consoler bien longtemps.
- C’est pas terrible, hein ? l’interpelle Requin.
Tag se tourne vers lui, déconcerté ; le regard de son ami a quitté la grue pour suivre le sien en direction des commerces. Il faut une brève seconde à Tag pour se reprendre et s’essuyer les yeux pendant que Requin regarde ailleurs.
- Bah, c’est… C’est-à-dire que c’est… C’est un endroit comme un autre, dit-il, la boule au ventre.
Il reporte son attention aux grands oiseaux de métal, rouges, gris ou jaunes. Il comprend la fascination qu’elles exercent sur Requin ; lui-même a le vertige en les regardant :
- Qu’est-ce que tu crois qu’ils vont fabriquer avec toutes ces grues ?
- Plus de magasins foireux, pour plus de clients débiles, qui viendront là depuis leurs banlieues à trente ou cinquante kilomètres, Tag.
Ses yeux ont la même expression de flegme souriant qu’il lui a toujours connue, mais il y a quelque chose dans son ton cynique qui est dissonant de l’habitude. Tag se sent étrange à mesure que Requin poursuit :
- Je te dis ça, mais la vraie clientèle, je la connais pas, hein. Tout ce que je sais, c’est que le chiffre d’affaire doit pas être phénoménal.
Il pousse un soupir et se remet à marcher. Tag lui emboîte le pas ; un léger vent se lève, apaisant l’atmosphère étouffante, et le capitaine des Bleus en profite quelques secondes, avant d’enfin l’interroger :
- Pourquoi est-ce que tu m’as amené ici ?
- Il fallait que je te dise un truc. Heh, j’devais être plus inspiré tout à l’heure, je pensais que revenir là allait m’aider à trouver les bons mots, mais on dirait pas…
Tag baisse les yeux. Il a un poids indéfinissable sur la poitrine.
- T’essaie de me dire quoi, là… ?
La réponse, il l’a déjà.
Requin va partir.
Ben avait raison. Le dirigeant du vieux port ne lui ferait pas toute cette mise en scène s’il ne voulait pas lui parler d’un sujet capital, et qu’aurait-il d’autre à lui dire que l’évidence ? Tag a beau y être sans doute plus préparé que Requin ne le pense, il n’est pas prêt pour autant. Il a mal. Il se sent trompé, abandonné et trahi. Il a l’impression d’être le dernier informé d’une grande mise en scène – dans le fond, ce n’est pas vrai et il en a parfaitement conscience, c’est une surprise pour tous. Les autres membres de l’équipe du port le lui ont expliqué. Mais ce n’est pas moins amer, définitif et… en quelques sortes, injuste. Il le sent, quelque chose va changer si Requin les quitte. Si les Requins les quittent. Rien ne sera plus jamais comme avant.
C’est perdre des gens bien trop importants pour lui, dans le peu qu’il possède. Et Tag n’y est tout simplement pas prêt.
- Faut que je vous avoue un truc. J’suis…
- Je n’ai pas envie que tu partes.
Il a l’impression d’être capricieux comme un gamin, mais surtout, en saisissant l’expression de Requin, il a l’impression de faire fausse route. Mais le visage de l’autre ne tarde pas à se fermer :
- Ah… ils te l’ont dit aussi, alors.
- Ben nous a dit ce que tu lui as raconté. Mais je sais que Ben fait toujours des coups fourrés, alors j’aimerais bien comprendre ta version. C’est vrai que tu veux t’en aller ?
- Tag, si je t’explique tout, tu voudras bien m’écouter ? Et essayer de comprendre ?
Tag se tait. Il baisse les yeux ; il a un mauvais pressentiment, mais tel qu’il le voit face à lui, Requin n’a pas l’air de lui vouloir de mal. Il n’a pas l’air de trafiquer, pas l’air distant – non, il est juste fatigué. Rien à voir avec la marche, ou la maladie, ou la lourdeur de l’atmosphère. Ce que voit Tag, c’est le silence après les nuits d’embrouille, ou le parfum de nuit sur le port, où l’accompagnait Requin, ce sont tous les échecs et les moments à la con, des instants indécis.
Rien ne s’est jamais résolu dans les malentendus et les colères. Rien que pour ça, il essaie de se calmer un peu. Ce que lui demande Requin, ce n’est pas plus que ce que le capitaine des Bleus a pu demander de lui avant. Tag finit par hocher la tête, et pose une main sur son épaule :
- Ouais. Ouais je pense que je peux faire ça.
- Merci, Tag…
L’aîné lui sourit, un soupçon de bouleversement dans les traits, que Tag fait mine de ne pas voir. Au détour d’un trottoir, c’est effacé d’un revers de manche, et ils marchent lentement. Il a l’impression que le temps s’étire, qu’ils ne cesseront jamais d’avancer entre ces hangars et ces préfabriqués, et c’est une idée qui ne lui pose pas de problème. Il peut patienter un peu. Ils s’arrêtent près d’un banc, sur lequel ils s’assoient, Tag en tailleur, Requin perché sur le dossier, et il leur faut encore quelques minutes à regarder le Bricorama en face d’eux avant que Requin ne desserre sa mâchoire :
- Tu sais, ces trucs, c’était bien, à la base. Les magasins d’ici, j’veux dire. Ça avait son petit succès chez les banlieusards. T’imagine, avoir ça à portée, des gros commerces, alors que d’habitude t’as rien, ici ? Rien. Que des marchés et des baraques, ça en finissait pas… Ce genre de trucs, là, ajoute-t-il en désignant le Bricorama, j’ai passé ma vie quand j’étais môme à traîner à côté, à juste baver devant les gens qui ressortaient avec leurs caddies chargés à bloc. Je sais pas ce que ça t’inspire, à toi, mais pour moi c’était le cœur du monde. Pour Cartoon aussi, d’ailleurs, j’pense. Vous, vous rêvez d’être champions du monde de Foot 2 Rue, nous, on voulait juste dévaliser le Leclerc ou se retrouver enfermés une semaine à l’intérieur. Ou être proprios… T’imagine le bazar qu’on aurait mis là-dedans ?
Il rit, et l’image arrache un sourire attendri au Bleu.
- Bref, tout ça pour dire que… je sais pas… Ces trucs, aujourd’hui, c’est un peu dépassé. C’est pas la même allure qu’avant, tu vois ? On peut dire ce qu’on veut mais je vois rien, là-dedans, perso… Tu trouve pas ?
- Un peu, reconnaît Tag.
- Des centres commerciaux dans des zones industrielles, ça fait pas… ça fait pas plus envie que ça, hein ? Quand tu compare aux quartiers magnifiques dans les grandes villes, à leur équivalent ailleurs, aux endroits plus propres, plus jolis, qu’est-ce que c’est, ça ? Des espèces de tas de je sais pas quoi. C’est implanté, ça va rester encore un peu, parce que des gens connaissent et aiment bien, mais qu’est-ce que ça aura comme avenir ? Dans dix ans, vingt ans, tu les vois encore, ces trucs-là, ici ?
Il marque une pause, une expression étrange sur les traits, puis sourit. Puis il ricane, et doucement, il lève le bras, et embrasse les grues, le ciel gris, les commerces, les maisons, les pigeons qui devraient être des mouettes et les rares passants, comme pour en former un grand et unique tableau :
- Eh bah tout ça, Tag… Tout ce que je viens de décrire, ce dont j’viens de te parler, tout ça, c’est ma vie. C’est moi. Je suis paumé. Paumé, dépassé, sans avenir… Low-cost… une espèce de… d’excroissance nécessaire dont on sait pas quoi fiche.
- Requin, t’es pas…
- Laisse-moi finir. Ce que je veux dire, c’est que comme ces trucs, j’ai eu les yeux plus gros que le ventre. Je pensais que tout ce que je faisais, mes prétentions, ça allait quelque part, que j’étais capable. Tout…
- Tout ce que tu faisais ? répète Tag sans comprendre.
- Gérer.
L’expression du Bleu se perd dans des songes, alors que Requin enchaîne, morose :
- Gérer ma vie. Gérer celle de mes frangins. Puis gérer la rue. Et gérer les matchs, et le mondial, et c’est… (il se gratte la nuque, embarrassé) C’est dur à faire, Tag. Fallait que je sois honnête avec toi. Je peux assurer, je pourrai encore assurer longtemps, en soi, ça va, mais je veux juste continuer d’avoir la foi. D’avoir la foi, et de…
Il fait un geste, et sa main s’abat dans le vide.
- Et puis j’ai peur, merde. J’ai peur pour moi, j’ai peur pour mon équipe. J’ai peur que tout ce que j’ai pu faire, et essayer de garder debout, et construire… Tout le progrès, tout ça, vlan ! Du jour au lendemain, ça passe à la trappe, parce que j’ai pas fait gaffe ou je sais pas quoi. J’ai peur que Port-Marie soit plus sûr pour nous, un jour. J’ai peur que tout redevienne comme avant.
Tag ne sait pas quoi dire. Une nouvelle fois, sa main vient trouver l’épaule de Requin, alors qu’il digère tout ça, toutes les pensées dont son ami ne lui avait jamais parlé avant, et qui font sens. Toutes choses qui éclatent le confort de sa propre expérience, de sa façon de voir le mondial. Mais évidemment, que les choses ne sont pas simples pour tous. Il se perd dans son ressenti, entre ses émotions personnelles et celles de Requin, qu’il essaie de déchiffrer.
- J’ai pas envie de tout perdre. J’ai pas envie de partir, non plus. Le Foot 2 Rue, et vous, et la vie à Port Marie, c’est devenu immense, pour moi, je veux pas juste… vous lâcher et même pas avoir l’occasion de voir jusqu’où vous allez. J’veux être là le jour où vous gérez, ou le jour où vous gérez pas, j’veux pas juste… apprendre des trucs de loin.
Il marque un autre temps, plus bref.
- J’suis désolé, Tag. Je suis juste en vrac. Ça fait des jours que j’essaie d’en parler à quelqu’un, mais… dès que j’évoque ça, tout le monde pense que je veux juste vous laisser en plan, alors que non… Non. Tu comprends, hein ? Vous êtes… merde, Tag, vous êtes importants, pour moi.
Cette fois-ci, le silence est plus long.
Ils restent assis l’un à côté de l’autre, et le capitaine des Bleus fait de son mieux pour trier ses pensées.
Ce qu’il ne s’attendait pas à ressentir, après une conversation pareille, c’est cette espèce de soulagement qui semble avoir brisé les chaînes de l’étau de sa poitrine. Quand rien n’était dit, il peinait à respirer, et il lui semblait qu’il ne pourrait pas se détendre, que ça allait être la fin de son monde dès que Requin ouvrirait la bouche. Maintenant que tout est dit… Il se sent bien plus en paix et heureux que ce que son ami semble appréhender.
Requin veut s’en aller, oui. Ou en tout cas, c’est un possible qu’il faut maintenant que Tag envisage, et que les autres membres du Foot 2 Rue vont devoir accepter à leur tour, lorsqu’ils recevront la nouvelle. Ou sa confirmation, pour certains. Et pour être honnête, il aurait pensé se sentir plus révolté que ça. Au début, alors que leur discussion n’avait pas commencé, c’est ce qui bouillonnait au fond de lui, prêt à sortir après la tristesse. L’indignation. Il se souvient d’avoir pensé, après que Ben leur ait tout dit, que ce n’était pas possible. Qu’ils n’avaient pas le droit de les abandonner, qu’ils ne pouvaient pas les lâcher comme ça. Qu’ils étaient amis. Il ne comprenait pas, et encore maintenant, sa gorge se serre à l’idée de perdre contact et ne plus jamais se revoir.
Il aurait pu hurler, et refuser d’entendre. Il aurait pu éclater en sanglots, partir, s’isoler. Il aurait pu lui balancer à la figure qu’il n’avait pas le droit de partir, lui aussi. Il sait maintenant qu’il a bien fait de rester là, et d’attendre. Bras ballants, en silence, il a encaissé la nouvelle.
Parfois, mieux vaut se prendre un grand coup plutôt que d’essayer toujours d’éviter la douleur.
#foot 2 rue#f2r#foot 2 rue tag#f2r tag#f2r requin#foot 2 rue requin#sébastien tagano#f2r fanfiction#fanfiction#foot 2 rue fanfiction#foot 2 rue fanart#f2r fanart#requin et tag#sebastien tagano#street football
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YOOOOOOOO
This is GLORIOUS AS HEEECK FRIEEEEEND
YOUR COLORING MY GOD! GIMME UR HANDS!
LOOK AT THEM! LOOK! YEEES!!
Brothers reuniting after a few long, long years
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[Foot 2 Rue] -Tag and Ben-
J’avoue j’ai bâclé le décor après parce que manque de patience
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Tag doing casual tag stuff 😎
i tried to draw him more so i can get used to him and stop friggin’ making him look inconsistent, because good gracious his hair is so weird it’s driving me INSANE
same goes to jeremys hair, specifically his dumb hairline 💔
#Football boy i love youuuuu 𝓰𝓪𝓰𝓼#foot 2 rue#F2r tag#Sebastien tagano#Doodles#digital art#artists on tumblr
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A bit of snuggling to keep the cold away ♥ ♥
#foot 2 rue#street football cartoon#teloise#tag x eloise#sebastian tagano#sebastien tagano#eloise riffler#Teloise content
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sorry for the christmas hiatus. spend time with loved ones, it’s important!!
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Felt like justifying and ranting so hm 1x14, at 14 min 10
Tag: it's just..
Requin: it's just what?
Tag: Zanguezinho. He's really, really good, you know [at football].
Requin: [paraphrasing here] you're [plural, as in his whole team] not half bad either, you haven't reached the final by sheer dumb luck.
Tag: Maybe. But he is a really great guy: he plays well, he's nice, he's generous, and on top of that he's rather good-looking. I mean, he's attractive...
Requin: wait, what are you saying about Zanguezinho? What's all this?
Tag: Me? *looks half panicked* Nothing I swear!
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This was played out as jealousy but you can't tell me this was only from low self-esteem. Sure, he was upset at the thought Eloise might leave him but really, he goes on and on multiple times about how cute Zanguezinho is and how he understands if Eloise dumps him for Zanguezinho. Literally, he didn't sleep a wink because he was thinking about him. You can't tell me Tag is straight and expect me to believe you. So I'll say it again. Tag is bi and he has a crush on Zanguezinho. That's it, thank you.
(the polyam and shippy bit is my personal headcanon tho lol)
Anyway Tag is bi and polyam and he, Eloise and Zanghezino are dating. There’s nothing you can do about it, he told me himself.
#i say all that but do i know how crushes work?#not even in the slightest#sébastien tagano#foot 2 rue#yeah I change the spelling every time I talk about him but I'm gonna stick with that now owo#do they have a ship name?#teloisezinho
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yeah so here is a rough WIP that i did in haste and that i felt like sharing ^^
Felt the need to rush-doodle these two while listening to:
https://www.youtube.com/watch?v=dzuMjcbLSFo&ab_channel=DaddyYankee
I’m so full of hcs regarding the fact that Tag now speaks spanish and Eloise english. that Brazilian feel to his later designs (in F2RX) kills me.
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heeyy so I already posted this on VK, but i felt like it has it’s place here. inspired by miraculous fanart ^^
I might just dump unfinished stuff here too from time to time.
anyway these two break dancing and reggae-ton is definitely my weakness.
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OMYGOSH HE IS SO CUTE!!! ♥️♥️♥️
Tag doing casual tag stuff 😎
i tried to draw him more so i can get used to him and stop friggin’ making him look inconsistent, because good gracious his hair is so weird it’s driving me INSANE
same goes to jeremys hair, specifically his dumb hairline 💔
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