#San Francisco Pied a Terre
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the-home · 2 years ago
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Heidi Caillier - San Francisco Pied a Terre
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herbaklava · 2 years ago
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A San Francisco pied-à-terre by Heidi Caillier.
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het-geheim · 1 year ago
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new collage/mix out on soundcloud w/ my bf, featuring the following tracks
Michael Pisaro - Hellgrün (Small New World) (2015) 5.4 Emerald Twilight Sjaella - Music For a While (comp. Henry Purcell) Huelgas Ensemble - Deo Gratias (comp. Johannes Ockeghem) Les pieds sur terre - Dessine-moi le bonheur The Monkees - Riu Riu Chiu Syzygys - Harimao Hunters Michel Chion - Le chant des heures Jeff Witscher - 2022 Call Option August For $11.75 VanillaThat Means $3,525 (11.75 * 3 Options [excerpt] Roedelius - Sonntags C'hantal - The Realm Tim Goss - Afterfly VI Donna Lewis - I Love You Always Forever Steve Roden - Forty Hands in Anticipation of a Word Steve Reich - Electric Counterpoint (Fast) E+E - Smile Klein - no more shubz Barbe & Liouba - You Look Ready for Everyday emrys - ah.ah.ah… Melaine Dalibert - windmill Matthew Sullivan - Zen Cab 2 Derek Baron - The Matrix [excerpt] Maxime Le Forestier - San Francisco Sunshine Has Blown - Muji Judith Wright Centre Brisbane 19th December 05 [excerpt] Gutevolk - Silo Liouba - Renault field recordings Liouba - Hugo Talking to Raffat Bill Wells & Maher Shalal Hash Baz - Tipsy Cat Vashti Bunyan - Rose Hip November Graham Lambkin - Aphorisms [excerpt] Graham Lambkin - Horse Play [excerpt] Yao Qingmei - Third verse of the Internationale, sung solo in Monaco (excerpt)
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int0design · 2 years ago
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georgianadesign:Nob Hill pied-a-terre, San Francisco. Leverone... https://georgianadesign.tumblr.com/post/721860509118447616
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pauline-lewis · 1 month ago
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Les romans cités dans ce texte :
Ton/Nom d'Esther Yi, traduit de l'anglais par Floriane Herrero (éditions Le Gospel)
Cérémonie d'orage de Julia Armfield traduit de l'anglais par Laetitia Devaux et Laure Jouanneau-Lopez (éditions La Croisée)
Les terres indomptées de Lauren Groff, traduit de l'anglais par Carine Chichereau (éditions de l'Olivier)
Carcoma de Layla Martínez, traduit de l'espagnol par Isabelle Gugnon, éditions Seuil
Uvaspina de Monica Acito, traduit de l'italien par Laura Brignon (éditions du Sous-Sol)
Francisco de Alison Mills Newman, traduit de l'anglais par Serge Chauvin (éditions Zoé)
Vies et morts de Sophie Bind de Susan Taubes, traduit de l'anglais par Jakuta Alikavazovic (éditions Rivages)
Terreur d'Ariane Jousse (éditions de l'Ogre)
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Il apprend qu'elle n'est pas grand-chose; elle se décrit elle-même comme une collection d'espaces vides prenant la forme d'un corps humain. (Ton/Nom, Esther Yi)
J'aime bien reparcourir les derniers livres lus et les ouvrir là où j'ai laissé un post-it ou une page cornée. J'ai l'impression qu'en cousant ensemble toutes ces phrases, toutes ces fictions, je peux reconstituer mes angoisses, mes espoirs, le rythme exact des battements de mon cœur. Je me souviens d'avoir pleuré à la fin de Ton/Nom d'Esther Yi parce que j'y avais trouvé quelque chose de moi, de personnel et d'intime — quelque chose de l'articulation bizarre entre le corps, l'écriture, l'amour et une fascination presque adolescente pour les autres dont je n'ai jamais vraiment guéri.
En fait j'ai beaucoup pleuré sur des livres en janvier, c'est un mois qui a épuisé l'espoir et les ressources. J'ai versé des larmes en découvrant Cérémonie d'orage de Julia Armfield qui disait avec une précision folle tout ce qui me faisait peur. Le dérèglement climatique. Le fascisme. La course folle du capitalisme. Cette façon dont l'angoisse nous étreint très lentement et douloureusement. J'ai eu une sympathie folle pour les trois sœurs du roman qui doivent continuer à travailler, à payer leurs factures, à faire leur deuil, dans un Londres complètement inondé et désespéré. J'ai regardé la pluie tomber par la fenêtre, la même que décrit Armfield. J'ai corné des pages et des pages, qui disaient :
Ce n'est pas simple, ces temps-ci, de savoir être au monde. Le phénomène n'est pas nouveau, bien sûr, mais le contexte lui confère une certaine urgence. Les gens manifestent, ou ils oublient de manifester. Les gens font des provisions de nourriture, de médicaments, ils les écoulent puis recommencent. Les gens s'accrochent, font leurs courses, travaillent, assistent à des conférences, se plaignent qu'il n'y a rien d'intéressant à la télé. Ils augurent qu'il reste moins de temps qu'annoncé, organisent des fêtes pour célébrer une fin sans fin, prétendent l'avènement d'une nouvelle ère. Les choses ont toujours été ainsi, de mal en pis. (Cérémonie d'orage, Julia Armfield)
Ces derniers temps, je me trouve attirée par les fictions qui explorent le futur et le dérèglement climatique avec une forme de radicalité. J'en avais discuté avec l'autrice de Girlfriend on Mars, Deborah Willis, et lui avais expliqué que la fiction était l'endroit, je crois, où j'acceptais de voir une certaine réalité en face, de remuer mon anxiété ad lib, de cheminer vers le pire. Parce que j'ai besoin qu'on me tienne par la main, et que c'est exactement ce que font les romans. M'accompagner dans les contrées sombres de mon cerveau.
Parfois j'aime aussi tourner mon regard vers le passé. J'ai adoré Les terres indomptées de Lauren Groff sur une jeune servante qui s'enfuit de la première colonie anglaise installée sur le sol américain. Ce roman trouve une manière profonde et forte de revenir sur l'Histoire, de la réécrire du point de vue des oubliées, de nous faire penser le futur en nous mettant en quelque sorte face au péché originel (la colonisation et la violence). C'est un texte sur le désespoir, la peur mais aussi sur la beauté du monde et de la nature — sur la façon dont il faut une certaine liberté pour pouvoir l'apprécier.
Marchant dans les dunes de Keremma en janvier je me retrouve moi-même à dire tout haut (étonnée par la naïveté de ma propre réflexion) — c'est dommage, c'est beau le monde quand même
À travers eux, l'éblouissant soleil passait ses longs doigts fins et il touchait le sol, et les arbres que la lumière tout à coup éclairait parmi les autres paraissaient si parfaits, si purs exemples de leur espèce, qu'elle se demanda comment elle avait fait pour ne pas voir cette beauté parfaite avant ce jour. C'est une faute morale de manquer la beauté du monde, dit une voix dans sa tête. (Les terres indomptées, Lauren Groff)
J'ai aussi ri, parfois, notamment quand Groff écrit que "même un homme bon était plus dangereux que le pire des ours". Il a beaucoup été question de cet ordre patriarcal dans mes lectures, aussi. Comme je lis beaucoup d'autrices (comme l'atteste, encore une fois, cette sélection subjective), la thématique revient sans cesse.
J'ai été attirée, volontairement ou non, par une certaine violence. Celle du Carcoma de Layla Martinez et de cette langue dans laquelle se mêle la poésie la plus pure et une vraie brutalité un peu argotique. En la lisant j'ai pensé à Shirley Jackson, à Carmen Maria Machado et à Mariana Enriquez (la holy trinity). C'est un roman qui dit beaucoup sur la violence de classe en mêlant l'histoire de deux familles sur quatre générations. Et d'une maison, rongée par le mysticisme, par les traumas et par l'histoire d'un pays.
La violence est aussi l'une des composantes du très beau premier roman de Monica Acito, Uvaspina, que j'ai lu presque d'une traite et qui m'a traînée dans les rues de Naples, dans des histoires d'amour et de familles dysfonctionnelles. J'ai du respect pour toutes celles et ceux qui savent dire ou montrer la mer (Ingmar Bergman en tête, évidemment). Acito est de celleux-là — il n'y a pas une métaphore maritime qui tombe à côté dans ce très beau roman de presque 500 pages.
Et ce que j'aime ça, tourner les pages frénétiquement, me sentir embarquée pleinement et simplement dans la ville d'une autre.
J'ai eu ce même sentiment de glisser dans une autre vie (à quoi peut-on aspirer d'autre en ce mois désespérant) en découvrant le récit d'Alison Mills Newman, Francisco, qui m'a enchantée par sa forme libre et presque insolente. Des fragments avec peu de ponctuation et de majuscules, qui donnent un rythme fou à son écriture. Ça m'a aussi fait du bien de lire ce texte presque entièrement tourné vers l'art. L'autrice raconte son amour pour Francisco, jeune réalisateur noir, leur arrivée dans le Hollywood des années 70, sa carrière d'actrice, la misogynoir qu'elle subit de toutes parts, les amitiés qu'elle tisse. Mais elle raconte aussi son propre éveil littéraire et l'émergence de sa formidable voix d'autrice.
Et puis je crois que j'ai cherché, en janvier, une fièvre, un rêve. Celle d'Esther Yi, donc, qui raconte une femme qui développe une fascination pour un jeune chanteur de k-pop. J'ai fouillé dans les romans pour trouver cette langue-là qui nous perd et nous retrouve, nous emmène très profondément en nous, celle qui nous fait nous dire que peu importe — peu importe si l'on comprend où l'on va ou non (une pensée pour David Lynch qui alimentait plus que quiconque ce trouble-là). On comprend quelque chose du voyage que l'on entreprend, main dans la main avec le roman.
Il faut peut-être des livres étranges pour comprendre un monde étrange.
J'ai retrouvé ce vertige si particulier chez Susan Taubes, autrice des années 60 qui a été redécouverte en 2020 outre-Atlantique. Son roman, Vies et morts de Sophie Bind est magnifiquement troublant. Elle y mélange sans cesse le rêve et la réalité pour dire un désir profond de liberté face au piège de la domesticité et j'y ai retrouvé cet état bizarre, entre la conscience paniquée et l'envie de plonger les deux pieds dans un autre monde (son mari dit à Sophie "Tu n'accepteras donc jamais le fait d'être une fiction !"), dans lequel je me trouve de plus en plus souvent.
Dans le rêve, on suppose que ce denier se poursuivra indéfiniment, comme la vie — illusion raisonnable fondée sur l'expérience : la vie continue indéfiniment jusqu'à la mort. Seuls les rêves s'achèvent. Et à cet égard les amours et les pièces de théâtre et les histoires sont comme des rêves : elles s'achèvent. (Susan Taubes, Vies et morts de Sophie Bind)
Je cherche toujours, je crois, à lire sur la fiction. Le roman d'Ariane Jousse, Terreur, raconte la fascination d'une femme pour une actrice blonde et mystérieuse. C'est un roman sur lequel on peut projeter toutes les stars qui nous hantent, de Marilyn Monroe à Monica Viti (en passant par Ingrid Bergman dans mon cas). J'ai beaucoup aimé sa narration qui nous mène volontairement dans des chemins de traverse et dans des jeux de regards multiples. Il y a la narratrice — celle qui regarde et ne cesse de mettre le film sur pause, de revenir en arrière, de craindre presque les passages qui la troublent — et l'actrice, celle qui est regardée, sans cesse fuyante, qui cherche à s'affirmer dans le récit, à s'extraire du piège de l'écran. Et puis il y a tous les autres : les spectateurices, les journalistes, les cinéphiles et les hommes. Chaque paire d'œil pose un enjeu différent. C'est un livre fascinant sur les mythes et ce que l'on en fait.
J'ai été bouleversée en janvier par le re-visionnage de Blue Velvet de David Lynch que je n'avais pas vu depuis des années. Le monologue de Laura Dern, en particulier, m'a touchée en plein cœur :
I don't know. I had a dream. In fact, the night I met you. In the dream the world was dark because there weren't any robins. you know, birds. Robins stood for love. And all of a sudden thousands of robins flew down and brought this blinding light of love. And it felt like that love would be the only thing that would make any difference. I guess until the robins come there is trouble.
J'ai eu la sensation étrange (et 100% fabriquée) que cette scène me parlait précisément du monde dans lequel nous vivons, comme si j'allais avoir une épiphanie extrêmement puissante. Et puis le film s'est terminé et il ne restait que le souvenir de cet espoir dans mon cœur. Et un rouge-gorge mécanique qui me chantait sa mélodie déformée.
Le souvenir de quelque chose qui n'est pas encore arrivé.
Je ne veux pas de la vraie vie. Je ne veux même pas de romance. Rien ne m'horrifie plus que l'idée de me marier avec Moon. J'ai besoin d'autre chose. Une reconnaissance violente. Métaphysique. L'éclat de l'iconographie byzantine. Je ne veux pas le rencontrer; je veux l'avoir connu durant des années et des années. (Esther Yi, Ton/Nom)
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saintmeghanmarkle · 2 months ago
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If Greg Peters is running Netflix now which is in LA why are his kids & wife in San Francisco? by u/Ruth_Lily
If Greg Peters is running Netflix now, which is in LA, why are his kids & wife in San Francisco? While I was researching info about Greg Peters, I came across info about his wife, Kimi (maiden last name unknown currently) Peters. And that they run an olive oil farm (I assume in the SFBA? Haven’t researched it this far), and she’s on the BoT for the private school their kids attend in SF on California Street.https://www.sfuhs.org/about-uhs/board-of-trustees🤔🤔🤔Netflix is located in LA. Of course Greg could be commuting via private jet 5 days a week to LA, but it’s just really interesting info. They have an olive oil farm, she obviously has a pied a terre in SF near the kids expensive private school.“Peters is the grandson of William Peters), a journalist and civil rights activist, and the nephew of Gretchen Peters, a singer and songwriter.\3])#citenote-:4-3)[\4])](https://ift.tt/fYWFSZx) He earned a BS degree in physics and astronomy from Yale University, where he was a member of Skull and Bones.[\5])](https://en.wikipedia.org/wiki/Greg_Peters(businessman)#cite_note-:2-5)”https://en.wikipedia.org/wiki/Greg_Peters_(businessman)) I’m just asking questions…..🤔I’ll get back to you guys when I have more info, like what is the name of the olive oil farm post link: https://ift.tt/3jzDAbW author: Ruth_Lily submitted: January 08, 2025 at 03:50AM via SaintMeghanMarkle on Reddit disclaimer: all views + opinions expressed by the author of this post, as well as any comments and reblogs, are solely the author's own; they do not necessarily reflect the views of the administrator of this Tumblr blog. For entertainment only.
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shalomelohim · 1 year ago
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Brilliant Time-Lapse of Alaska’s Northern Lights | Short Film Showcase
“Technicolour Alaska” by Alexis Coram, photographe, vidéaste et créateur de time-lapse basé à San Francisco.
Music : Out Of The Darkness / Hors de l’obscurité by James Everingham
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Un instant suspendu entre la terre et le ciel. Il y a les couleurs du Trône de YHWH dans les aurores boréales.
“ Aussitôt je fus ravi en esprit. Et voici, il y avait un trône dans le ciel, et sur ce trône quelqu'un était assis. Celui qui était assis avait l'aspect d'une pierre de jaspe et de sardoine ; et le trône était environné d'un arc-en-ciel semblable à de l'émeraude. ” (Apocalypse 4:3)
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“ Eternel, notre Seigneur ! Que ton nom est magnifique sur toute la terre ! Ta majesté s'élève au-dessus des cieux. Par la bouche des enfants et de ceux qui sont à la mamelle, Tu as fondé ta gloire, pour confondre tes adversaires, Pour imposer silence à l'ennemi et au vindicatif. Quand je contemple les cieux, ouvrage de tes mains, La lune et les étoiles que tu as créées : Qu'est-ce que l'homme, pour que tu te souviennes de lui ? Et le fils de l'homme, pour que tu prennes garde à lui ? Tu l'as fait de peu inférieur à Dieu, Et tu l'as couronné de gloire et de magnificence. Tu lui as donné la domination sur les oeuvres de tes mains, Tu as tout mis sous ses pieds, Les brebis comme les boeufs, et les animaux des champs, Les oiseaux du ciel et les poissons de la mer, Tout ce qui parcourt les sentiers des mers. Eternel, notre Seigneur ! Que ton nom est magnifique sur toute la terre ! “ (Psaume 8)
“ Louez l'Eternel ! Louez Dieu dans son sanctuaire ! Louez-le dans l'étendue, où éclate sa puissance ! Louez-le pour ses hauts faits ! Louez-le selon l'immensité de sa grandeur ! Louez-le au son de la trompette ! Louez-le avec le luth et la harpe ! Louez-le avec le tambourin et avec des danses ! Louez-le avec les instruments à cordes et le chalumeau ! Louez-le avec les cymbales sonores ! Louez-le avec les cymbales retentissantes ! Que tout ce qui respire loue l'Eternel ! Louez l'Eternel ! “ (Psaume 150)
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lookashiny · 2 years ago
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(via https://heidicaillierdesign.com/wp-content/uploads/2023/03/HCD-Casso-Gomez-17.jpg)
https://heidicaillierdesign.com/portfolio/san-francisco-pied-a-terre/
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comptrolls · 4 years ago
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homegrownclonecom · 4 years ago
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life-is-mused · 4 years ago
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thepaxtons · 4 years ago
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hillyviewscom · 5 years ago
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caleb-marquez · 7 years ago
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craig-tweek · 5 years ago
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tom-terry · 7 years ago
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