#Sacré raté !
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Bascule déjà légendaire
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Quand tu te rends compte qu'ils ont raté un sacré jeu de mot l'équipe COM avec "En direX du comeX"
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Ramsès
La passion des français pour l'ancienne Egypte, ses Pharaons, et sa civilisation, complexe à en être compliquée et souvent incompréhensible, est un phénomène étonnant. (NB : En admettant que d'autres nations partagent cet engouement, cela ne changerait rien à l'intensité de celui qui nous anime). Penser que Bonaparte, en plein chaos révolutionnaire, est parti aussi loin de ses ''sources normales'' d'intérêt, emmenant une escouade de savants est à peine croyable... Et ça a l'air de durer...
En 1797, lorsque le futur Empereur a pris cette décision étrange –aujourd'hui vue comme un fantastique coup de génie de cet homme qui en a pourtant eu tellement-- on ne connaissait l'Egypte des Pharaons qu’à travers les récits des historiens et voyageurs grecs de l’Antiquité. Sous la férule ottomane, ses monuments étaient à l’abandon, enfouis dans le sable... d'où ils allaient surgir soudain, par la vertu d’une expédition française, à la fois militaire et scientifique, où le nombre de ''savants'' était une grande première : 169 ‘’cerveaux’’ dont Monge, Saint-Hilaire ou Berthollet, tous placés sous l’autorité de Vivant Denon, dessinateur et graveur talentueux, dans un ‘’Institut d'Égypte’’ d'où allait naître une science nouvelle, l’Egyptologie.
En 1802, Vivant Denon publia 300 dessins et croquis dans un livre ''Voyage en basse et Haute-Égypte'' qui répandit aussitôt la passion de l'égyptologie dans les cercles cultivés et les ''Sociétés Savantes'' et valut à son auteur d'être nommé directeur général du Musée central des Arts (futur musée Napoléon, puis musée royal, aujourd'hui musée du Louvre). Les résultats complets parurent en 1809 sous le titre peu avenant de ''Description de l'Égypte ou Recueil des observations et des recherches qui ont été faites en Égypte pendant l'expédition de l'Armée française''.
Le 15 juillet 1799, le lieutenant français Bouchard découvrit à Rosette, dans le delta du Nil, une pierre en basalte noir d'un mètre de longueur, sur laquelle était gravé un décret de Ptolémée V, pharaon de l'époque hellénistique, rédigé en trois versions : en hiéroglyphes, (l'écriture sacrée des premiers pharaons), en démotique (une écriture égyptienne tardive datant du 1er millénaire av. J.-C.), et en grec ancien. (NB. Par ''époque hellénistique'', on désigne le temps qui va de la mort d'Alexandre le Grand à la défaite de Cléopâtre VII-Ptolémée à la bataille d'Actium, début de la domination romaine sur le monde grec, c’est-à-dire de –323 à -- 31, avant JC, ).
Une copie de cette pierre de Rosette arriva, en 1808, entre les mains de Jean-François Champollion qui entreprit de déchiffrer les hiéroglyphes, ces si jolis idéogrammes aux formes stylisées d'animaux, d'humains ou d'objets, conçus au IVe millénaire, et qui étaient alors une énigme absolue. C'est de cet enchaînement de hasards heureux que provient sans doute la ''passion égyptienne'' du peuple français (1,6 millions de visiteurs pour ''Tout-Hank-Amon'', en 2019, record jamais égalé... le précédent record étant détenu par... ''Tout-Hank-Amon 1967'', avec 1,24 million de visiteurs. Parions que Ramsès fera mieux, d’ici le 6 septembre...
Même si Howard Carter fut un british à 100%, il serait vain de nier le lien réel entre ''nous'' et ''eux''. (Petite incise sans intérêt, avant de revenir sur notre vieille amitié avec la momie de Ramsès II : nos bons maîtres savaient nous faire partager leurs enthousiasmes et les richesses programmatiques de MM. Mallet & Isaac, et je dois avouer une égyptomanie chronique qui me tient depuis la classe de 6 ème , et a mis ce pays juste derrière mon cher Maroc et la Grèce, qui est ma troisième patrie culturelle et… touristique (NDLR : Je vous parle d'un temps que les moins de ''tant'' d'ans ne peuvent pas connaître, avant les hordes qui piétinent sans les voir des beautés éternelles … dont ils ne garderont qu'un selfie raté où on aperçoit un bout de monument, mais caché par le chapeau criard de bobonne... Quel intérêt ?).
Si nous parlons aujourd'hui,de l'Egypte, c'est à cause, bien sûr, de l'arrivée à Paris, le 7 avril, de Ramsès II, ''en visite officielle''. Cet immense Roi trouve naturellement sa place ici, après notre réflexion récente sur les grands empires et leur fin : la civilisation égyptienne, impériale s'il en fut, a perduré plus de 3000 ans (''naissance'' vers l'an –3150, et fin officielle en l'an --30, quand Rome en fait une province de l'Imperium romanum). L'historiographie retient cinq siècles de prospérité (dits : le Nouvel Empire) et sept siècles de périodes plus troublées. La réalité est plus subtile et moins tranchée, ne serait-ce que parce qu’il s’agit de trois millénaires, durée unique dans l'Histoire ! Depuis leur origine –qui se confond avec les tout débuts de l’histoire écrite-- jusqu'à leur fin –résultat du triomphe du christianisme-- les grands principes de la culture égyptienne se sont maintenus, et le mode de vie au bord du Nil a très peu évolué, toujours rythmé par les crues, les dieux et les impôts (déjà !).
Pour Hérodote, ''l'Égypte est un don du Nil'', ce qui est exact, même si l'Egypte pharaonique se limitait à une mince bande de ''terre noire'' le long du Fleuve Sacré : quelque 30 000 km² (= 3 départements français) portant entre 0,5 et 4 millions d'habitants. Le régime des crues ''lissait'' les aléas météorologiques, même si les poteries les plus anciennes montrent un climat bien moins aride qu'aujourd'hui, comparable aux actuelles savanes kényanes, ce dont on pourrait déduire, en étant aussi cons que nos climato-dingos, que les cultures le long u Nil et les transports à dos d'âne ont produit de sacrés amas de leurs ‘’ gaz à effet de désert’’’ ! Passons...
Mais au moment où tant de français vont s'extasier sur les merveilles artistiques, sur les réalisations et sur les faits d'armes d'un Roi (de son vrai nom Ousirmaâtrê Setepenrê, Ramessou Meryamon, ce qui veut dire, m'assure-t-on, ''Puissant par l'harmonie de Rê, par Rê, issu de Rê, aimé d'Amon'', ce qui est un joli nom, facile à porter et pratique pour parapher des textes. Je pense que E. Macron devrait s'en inspirer : son règne laisserait peut être un souvenir moins négatif, devant l'Histoire !), il est bon de rappeler que, ayant régné pendant 66 ans, il se trouve à la 12 ou 15 ème place seulement parmi les Rois ayant eu les règnes les plus longs...assez loin derrière ''notre'' Louis XIV (72 ans), et le recordman Bernard VII de Lippe (1428-1511) et ses 81 années de règne sur un royaume confidentiel, en des époques où l'espérance de vie tangentait les 25 ans. En conclusion, je pense que personne ne va aller chercher les détails énoncés dans cet ''édito'' : ils sont tout-à-fait inutiles !
Un dernier point : on rappelle que le calcul de l'espérance de vie à la naissance est gratuitement fourni en appliquant –tout simplement-- cette formule, bien connue : L(x) = l(x+1)*1 + d(x)*0.5, --ce qui est, simplement aussi, la somme de ’’ i ‘’ à l'infini des L(i), et e(x) = T(x) / l(x).. (NDLR : on peut se demander si Elisabeth II –70 ans de règne), ou K'inkch Janaal Pakel 1er, le très célèbre roi de Palenque, au Mexique (68 ans) –par exemple-- auraient pris le risque d'un règne aussi long s'ils avaient connu cette formule. Mais ceci appartient à une autre lecture de notre Histoire...)
H-Cl.
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Nos fautes seront marquées sur un tableau. C'est pas pour toi cette histoire éternelle
.
Mais je n'écris pas dans ton dos
.
Un jour
Un homme de chez nous
Nous dit
Qu'est-ce que la sorcellerie
Il faut lire des œuvres entières
Pour comprendre
Alors on hypothèque tout
Et on lui dit demande au génie
Et il avait 20 masques africain sur son mur
À l'époque il ne savait pas ce qu'était le mot génie
Alors il demande au masque
Alors que ce sont eux les génies
.
Et puis il demande
Dans une nuit tardive
Complètement saoul
.
Il entend en lui
En croyant que c'était lui qui parlait à lui-même
Alors que c'était les masques
.
Tu n'as qu'à devenir sorcier et tu verras bien
.
C'est là qu'il y a eu un bug
.
On n'a pas rempli le contrat
.
La mort la vie la mort la vie la mort la vie
.
Tous ces masques sacrés africains ont fini dans une grande poubelle
.
On a raté une ligne
.
.
.
La sorcellerie ça veut dire créer un contre-courant humain
. C'est de l'Abomination
.
.
Mais attention
La contrainte la contradiction l'esprit de contradiction l'esprit de critique
Dans sa construction ou ce qu'elle apporte
. Ce n'est pas une abomination
. Ça devient même parfois une liberté d'expression
Apprendre avec des pincettes
Parce qu'il y a une logique à ça
.
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Une sélection parmi les prompts pour un vieil Inktober, car il y eut de sacrés ratés x)
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𝐡 𝐢 𝐬 𝐬 𝐭 𝐨 𝐫 𝐲 ;
Jinho aurait dû voir se défiler devant lui une vie parfaite. Tout semblait lui sourire, cadeau heureux d’une mère aimante et d’un père parfois strict, mais qui était excité de voir son enfant naître. Seong Minho voit en son fils à naître un digne successeur, la consécration de sa famille. Psychologue de renom, il ne voit même pas à quel point sa femme finit par souffrir de la grossesse, trop préoccupé par l’idée d’avoir un héritier. Mais l’homme, qui était pressé, perd bien vite son excitation, quand Jinho naît. Mal placé dans le ventre de sa mère, qui doit être déclenchée pour accoucher, il naît avec une grande difficulté.
Quand il pousse son premier cri, lors de sa venue au monde, sa mère, elle, expire son dernier souffle.
Jinho n’a donc jamais connu sa mère, n’en a vu que des photographies où elle semble radieuse - et dès son plus jeune âge, il cultive une sorte de culpabilité vis-à-vis de sa mort. Et son père ne fait rien pour le convaincre du contraire. La mort de sa femme le transforme, et il n’a plus une once de joie quand il voit son fils, qui ressemble de plus en plus à sa mère, quand ce dernier commence à s’intéresser à celle qu’il n’a jamais connu. Minho ne répond jamais aux questions de son fils, et tout psychologue qu’il est, lui aussi s’effondre. Il est en colère contre le monde, et sa colère, il la reporte contre Jinho, avec qui il devient véritablement violent psychologiquement avec le temps. Le père de Jinho lui répète en permanence que sa mère est morte par sa faute, qu’il mérite à peine de vivre. Jinho, abattu par les mots de son père, cherche à tout faire pour le contenter. Il veut être parfait - ça n’est pas comme si son père lui laissait d’autres choix. Il se bute à l’école, accepte toutes les activités extrascolaires que son père l’oblige à suivre. Jinho, peu importe ce qu’il fait, n’est intéressé que par la première place - mais ça n’est pas par arrogance, uniquement par peur. Si Jinho rate une note au piano, ses doigts sont battus par l’infâme bâton. Si Jinho n’obtient pas la meilleure note à l’école, s’il obtient autre chose que la perfection, il est enfermé des heures durant dans le noir, dans le placard du premier étage, développant une sacrée claustrophobie. Il en a passé, des heures à frapper contre la porte, à supplier son père de le laisser sortir - mais il a fini par comprendre que plus il suppliait, plus la punition durait. C’est trop de pression pour lui, et à douze ans, il se voit diagnostiquer un trouble anxieux généralisé, par son propre père, qui ne réalise pas qu’il est la source du problème. Et l’anxiété, ça sera une nouvelle corde sensible sur laquelle son père s’amuse à tirer. Ça dure ainsi toute son adolescence, même si aux yeux de tous, Jinho semblait parfait. Délégué de sa classe, présent aux conseils des représentants des élèves, premier de classe, tout semble pouvoir contenter son père. Mais rien n’y fait.
Et Jinho est seul.
Ça n’est pas comme si une quelconque vie sociale l’intéressait de toute façon - il a bien compris, lui, que les filles, ça n’était pas tellement son truc, mais il ne peut pas vraiment en parler à son père. Obsédé par l’idée de la perfection que son père instille dans son cerveau, il en vient même à se haïr quand il échoue, retourne les mots de son père contre sa propre personne. Il finit, finalement, par y croire. Il quitte le lycée avec les honneurs, s’apprête à entrer dans des études de psychologie, mais Jinho n’est que l’ombre de lui-même. Son père, enfin, s’est décidé à faire quelque chose pour son anxiété - il le bourre de cachetons, qui donnent l’impression à Jinho de ne pas être lui-même. Certains jours, il déteste ça, et d’autres jours, il ne veut que ça - parce que dans le fond, Jinho donnerait tout pour ne plus être lui-même.
Ça dérape, alors qu’il a vingt ans. C’est la pression de trop, l’examen raté qui le pousse au bord du précipice, alors qu’il vide les boîtes d’anxiolytiques avec une facilité déconcertante. Il n’a même pas conscience qu’il est en train de commettre l’impensable, parce qu’il est à la recherche de cette sensation agréable dans son cerveau, qui le coupe de tout. Jinho a vingt ans, donc, et il ne réalise même pas qu’il essaye de mourir. C’est son père, ironiquement, qui le sauve. Et ça, ça fait plus mal que tous les autres sévices. Maintenant, il est obligé de lui être reconnaissant.
Après l’incident des médicaments, son père semble de moins en moins enclin à le laisser vivre avec lui - et Jinho doit envisager de trouver un nouvel appartement, pour lui qui n’a jamais vécu seul. Qui n’a jamais vraiment vécu, à vrai dire. La chance, quelque part, lui tombe dessus par hasard. Il est au café, le même café auquel il s’est rendu tous les jours de ses deux premières années d’études, et il cherche les annonces d’appartement abordables. Et c’est Mingyu, un des baristas, qui le voit faire, et qui le renvoie vers Jingyi, qui cherche un colocataire. Ça semble moyennement compatible, parce que Jingyi est un véritable maniaque du rangement, et Jinho est… Jinho. Dépassé par sa propre existence, il n’est probablement pas le colocataire rêvé. Il a toujours son traitement d’anxiolytiques avec lui, même si Jingyi le surveille strictement, parce qu’il sait comment est Jinho, sous l’effet de ses crises d’angoisse.
La nouvelle méthode de décontraction préférée de Jinho, c’est le cannabis, à tel point qu’il est rare de ne pas le voir défoncé. Mais désinhibé, c’est aussi un autre Jinho qui fait surface, parce qu’enfin, pour la première fois, il sort de sa carapace. C’est sûrement dû à l’influence positive de ses amis dans sa vie - ses tout premiers amis. Indirectement, c’est grâce à eux qu’il fait la rencontre de Namgi, sous le charme de qui il tombe.
Et tomber, il continuera, certes, mais toujours pour Namgi.
𝐡 𝐢 𝐬 𝐭 𝐫 𝐢 𝐯 𝐢 𝐚 ;
⁕ Jinho ne parle que très peu de son enfance, et de ce qu’il a vécu avec son père - mais les stigmates sont toujours là. Preuve en est, Jinho souffre encore de violentes crises d’angoisse, et il ne supporte pas de dormir dans le noir, sous peine de faire des terreurs nocturnes.
⁕ Bien qu’il garde constamment sa chevalière; symbole de la fierté de son père quand il a terminé sa maîtrise, il finira par la retirer quand il sera plus stable dans sa relation avec Namgi, et qu’il se sentira capable de tourner la page.
⁕ Etonnamment, Jinho n’a jamais vraiment fait de coming-out : il a simplement commencé à sortir avec des hommes une fois qu’il a quitté la maison familiale comme si de rien n’était.
⁕ Jinho a commencé à s’intégrer dans le crew, parce qu’il fréquentait énormément le café avant de s’y faire des amis. Il fait définitivement partie du crew une fois qu’il commence à cohabiter avec Jingyi. Jinho est le parfait exemple du jeune adulte toujours défoncé, et il fournit régulièrement à ses amis en soirée, même si, la plupart du temps, ça lui vaut des remontrances de la part de Yoori et d’Haneul. Sa consommation de cannabis est par ailleurs souvent hors de contrôle, à tel point que désormais, Jinho ne sait plus s’endormir sans avoir fumé un joint auparavant.
𝐚 𝐩 𝐩 𝐞 𝐚 𝐫 𝐚 𝐧 𝐜 𝐞 ;
Physiquement, Jinho, même s’il est dans une taille standard, n’est pas si musclé que cela. Il apparaît fin de corps, même si son visage est plutôt rond, ce qui est le résultat d’une sous-alimentation régulière. Il a toujours été brun, et n’envisage pas de changer, de la même façon qu’il refuse de se faire tatouer ou percer, de peur d’altérer la perfection qu’il cherche à atteindre. Jinho a des cicatrices sur ses phalanges, due aux coups répétés de son père - et il porte toujours ses lunettes, ses yeux fatiguant très vite.
𝐩 𝐞 𝐫 𝐬 𝐨 𝐧 𝐚 𝐥 𝐢 𝐭 𝐲 ;
Jinho est quelqu’un de généralement dynamique. Il est même plutôt séducteur, surtout quand il est sous influence, et il est extrêmement bon public, surtout quand il s’agit de ses amis. Jinho est naturellement anxieux, et il est perfectionniste à tel point qu’il en est excessivement ponctuel, et rigoureux sur de nombreux points. Jinho se considère comme plutôt lâche, parce qu’il est effrayé facilement, et il a tendance à fuir le conflit. Il est également sacrément crédule, probablement parce qu’il cherche encore la validation de ceux qui l’entourent.
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Qui sera sacré meilleur buteur de l’Euro 2024 ?
À en croire les cotes moyennes proposées par les sites de paris sportifs en ligne, que ce soit en France ou un peu partout dans le monde, deux grands favoris se dégagent, mais également deux outsiders. Bien évidemment, ces joueurs font partie de trois nations favorites pour le sacre, à savoir la France, l’Angleterre ou encore le Portugal. Kylian Mbappé, favori naturel L’attaquant et capitaine des Bleus, qui vient de signer officiellement au Real Madrid, va changer de dimension cet été et sera sous le feu des projecteurs durant l’Euro 2024. Si tout le monde a hâte de le voir évoluer sous la tunique madrilène, il pourrait débarquer dans son nouveau club avec le statut de champion d’Europe, mais également comme meilleur buteur de la compétition ? Après une Coupe du Monde 2018 pleine de promesses, le sacre et le titre de meilleur jeune de la compétition, Kylian Mbappé était très attendu à l’Euro 2020, joué en 2021 à cause du covid. Et, là, on peut dire que ce fut une grosse déception. Aucun but, des ratés incroyables et notamment le penalty éliminatoire, stoppé par le gardien Yann Sommer, lors du huitième de finale face à la Suisse. Mais le joueur formé à Monaco ne s’est évidemment pas laissé abattre, et a répondu de la meilleure des manières lors du Mondial 2022, en terminant meilleur buteur avec 9 réalisations, dont un triplé lors de la malheureuse finale perdue aux tirs au but. Et c’est bien évidemment ce Mbappé là que tout le monde espère du 14 juin au 14 juillet en Allemagne, lui qui a passé un cap en devenant le capitaine de sa sélection et en rejoignant le meilleur club du monde. Et les bookmakers en font évidemment leur grand favori pour le titre de meilleur buteur de ce Championnat d’Europe, mais également les sites de prévisions comme on peut en croire le pronostic Euro 2024 de Wincomparator ! Harry Kane bien entouré On ne présente plus l’attaquant anglais Harry Kane. Après des années à planter en Premier League du côté de Tottenham, ce dernier a rejoint le Bayern Munich l’été dernier. Si, du point de vue collectif ce fut un véritable échec avec 0 trophée remporté, d’un point de vue individuel, Kane a encore cartonné. Avec 44 buts inscrits entre la Bundesliga et la Ligue des Champions, le numéro 9 n’a en effet pas perdu de sa superbe en passant de la PL au championnat allemand. Et, fort logiquement, il est le concurrent numéro 1 de Kylian Mbappé pour le titre de meilleur buteur de cet Euro 2024. Alors qu’il évolue dans une équipe faisant partie des deux favoris pour le sacre, il tire en plus les pénaltys avec sa sélection, et sera entouré d’excellents passeurs. Entre les Jude Bellingham, Phil Foden, Bukayo Saka ou encore Cole Palmer, tous excellents cette saison avec leurs clubs respectifs, de nombreux caviars pourraient bien être distribués tout au long de la compétition à Harry Kane… lire aussi : Saudi Pro League : Koen Casteels débarque à Al-Qadisiya Jude Bellingham et CR7 en embuscade Juste derrière les deux grands favoris annoncés, Kylian Mbappé et Harry Kane, deux joueurs totalement opposés font office d’outsiders à en croire les cotes proposées par les bookmakers. On retrouve en effet Jude Bellingham, jeune milieu de terrain anglais qui a explosé cette saison du côté du Real Madrid (23 buts, 11 passes décisives et 3 trophées remportés) d’un côté, et Cristiano Ronaldo de l’autre. Du haut de ses 39 ans, la légende portugaise continue d’affoler les compteurs en Arabie Saoudite, avec 35 buts et 11 passes décisives en 31 matchs de Saudi Pro League. Ajoutez à cela ses 9 buts inscrits en coupe et en Ligue des Champions asiatique, et vous obtenez un superbe bilan pour un joueur de cet âge. Et, puisqu’il ne faut apparemment jamais le sous-estimer, il est le 3e favori des bookmakers pour le titre de meilleur scoreur de ce Championnat d’Europe, avec une cote de 13.00 en moyenne, derrière Mbappé (5.00), Kane (5.50) mais devant Bellingham (15.00) ! Alors, qui va remporter le titre honorifique de meilleur buteur 2024 ? L’attaquant français a en tout cas, à quelques jours du coup d’envoi de la compétition, l’avantage sur le papier ! Read the full article
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Compte rendu de Dortmund Real Madrid ... Le compte-rendu de Dortmund-Real Madrid (0-2). Malmené par Dortmund, le Real Madrid remporte la Ligue des champions. Compte rendu de Dortmund Real Madrid (0-2) Real Madrid sacré pour la 15e fois face à Dortmund ! Fantomatique en première période, le Real Madrid s'est réveillé après la pause pour remporter sa 15e Ligue des champions (2-0). Le match : 2-0 quinzième sacre en C1 pour le Real Si Carlo Ancelotti se sentait « comme un lion » après avoir dormi une heure dans l'après-midi, la sieste de ses joueurs a été bien plus longue en ce jour de 69e finale de Ligue des champions. Immenses favoris face au Borussia Dortmund, les Madrilènes ont été totalement invisibles en première période (0.09 xG, 2 tirs, aucun cadré, pire bilan du Real cette saison). Les Allemands, eux, ont suivi leur plan à la lettre : isoler Bellingham, alterner pressing haut sur les relances de Courtois et repli pour mieux contrer avec un grand nombre de joueurs. Le résultat a été épatant. quinzième sacre en C1 pour le Real 1 →A lire aussi Le film du match En dix ans, jamais une équipe n'était rentrée aux vestiaires en finale de C1 avec 1,68 xG. Le BvB a notamment trouvé le poteau sur un tir de Füllkrug (23e). Adeyemi a raté son duel tout seul face à l'excellent Courtois (21e), qui a aussi sorti son tir croisé de la 28e. D'une naïveté confondante, ouvert aux quatre vents entre ses lignes, le Real a atteint la pause sans être mené. Un exploit. Une condamnation, aussi, pour Dortmund. 9/9 rythme est en train de retomber à Wembley. Niclas Le Real a remporté ses neuf dernières finales de Ligue des champions (1998, 2000, 2002, 2014, 2016, 2017, 2018, 2022 et 2024). Car le Real, qui disputait sa 18e finale, n'est jamais aussi fort que dans ces situations. Carlo Ancelotti, un des plus grands entraîneurs de l'histoire, n'a pas paniqué. La deuxième période lui a donné raison. Un coup franc de Kroos, qui disputait le dernier match de sa carrière en club, a été sorti de la lucarne par Kobel (49e), qui s'est employé sur un tir enroulé de Camavinga (81e) et une tête de Nacho (82e). L'envolée de Kobel 49' →A lire aussi Toutes les infos sur la Finale 2024 Ligue des champions Le gardien suisse n'a rien pu faire sur la tête de Carvajal, plus haut que Fülkrug à la 74e, ni sur la frappe de Vinicius, heureux de voir Maatsen donner une passe en retrait insensée (83e). Après Leipzig en 8es et le Bayern en demies, c'est Dortmund qui est tombé face au Real Madrid, son authentique bête noire (seulement trois victoires en quinze duels). publié le 1 juin 2024 à 20h57 mis à jour le 1 juin 2024 à 21h00
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En cette période de carême, temps où l'exigence du jeûne et de l'aumône le dispute à la fougue sacrée des conférenciers enseignant depuis l'église Saint-Germain-l'Auxerrois, le prochain, Emmanuel Godo, montera en chair d'ailleurs dimanche 18 mars pour évoquer Léon Bloy.
Alors que s'ouvre aux Archives nationales une exposition sur le sacrilège, sans doute n'est-il pas inutile de se souvenir de l'instructive et fracassante figure de Serge Berna, à qui les éditions du Sandre viennent de consacrer un remarquable album illustré.
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Poète et voyou, il est condamné à six mois de prison en 1949 pour vol de livre, peine qu'il n'effectuera qu'en 1952.
Né à Venise en 1924 et disparu corps et bien à sa sortie de la prison des Baumettes à Marseille en novembre 1960, Berna est resté célèbre pour un certain nombre de hauts faits d'armes qu'il nous faut rappeler.
Fondateur du Club des ratés en 1950, club dont le grand meeting rassembla à la salle des sociétés savantes la fine fleur des incapables et des oisifs. Ami de Guy Debord avec qui il fonde l'Internationale lettriste, crée la revue Ion, un seul numéro, et travaille à son film Hurlements en faveur de Sade. Celui qui se définissait comme un travailleur de force dans le néant, ou encore tel un soldat de fortune du scandale, est resté surtout fameux pour ce que l'on a appelé, et appelle toujours, le "Scandale de Notre-Dame".
À l'origine du "Scandale de Notre-Dame"
Le dimanche 9 avril 1950, alors que la grand-messe de Pâques était en train d'être dite à Notre-Dame de Paris, Serge Berna, flanqué de quelques camarades de lutte, fait monter en chaire l'un d'entre eux, Michel Mourre qui, revêtu de l'habit dominicain, se livre alors à la profération publique d'un discours inouï où le nietzschéisme le plus radical le dispute à l'athéisme le plus intempérant.
Extrait : "Aujourd'hui, jour de Pâques de l'année sainte, ici, dans l'insigne basilique Notre-Dame de Paris, j'accuse l'Église catholique universelle du détournement de nos forces vives en faveur d'un ciel vide. J'accuse l'Église catholique d'infecter le monde de sa morale mortuaire d'être le chancre de l'Occident décomposé. En vérité, je vous le dis, Dieu est mort."
Écrit sur une table de bistrot de Saint-Germain-des-Prés, ce discours déclenche la panique que l'on imagine. Mourre manque d'être lynché par les paroissiens avant d'être exfiltré par la police. Il sera condamné à six jours de prison et 2000 francs d'amende. Le scandale fut de portée internationale.
Serge Berna, sauveur d'un manuscrit d'Artaud
Autre événement important dans la vie et l'œuvre de Serge Berna, le sauvetage — hors la poubelle où il avait été jeté — et l'édition, en 1953, d'un manuscrit important d'Antonin Arthaud : Vie et mort de Satan le feu. Texte important dont la préface de Berna éclaire sans doute au mieux le scandale de Notre-Dame.
Je cite : "Quant à Dieu, nom donné un système de vie et de connaissance de la vie, il s'est éboulé en un simulacre incapable de remplir la fonction à lui dévolue : faire circuler dans les organismes et non seulement dans le concept cet ébranlement à partir d'un centre qui pénètrerait aussi bien la pensée que l'action."
Mort de Dieu ou invention d'une nouvelle forme de sacré au travers du corps et du langage, telle fut sans doute la mission que s'était donnée Serge Berna.
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Ce qui change à la trentaine
Chers lecteurs, pardon de vous avoir délaissés.
Ces derniers temps je n'ai eu l'esprit qu'au montage de mon projet au détriment de ma vie sociale et sentimentale.
"Les charos fouttez-moi le camp" j'aurais pu inscrire sur ma bio Tinder.
Et en même temps on a pas vraiment envie de s'engager avec n'importe qui n'importe quand surtout quand on connaît la valeur de sa liberté et qu'on a pleinement conscience de son potentiel de partenaire.
Si vous êtes aussi dans la team de ceux qui donnent beaucoup d'eux-même, vous savez de quoi je parle.
Donc la tendance générale était plutôt à "pas envie".
Du prof de crossfit qui vendrait sa mère pour essayer de te mettre dans son lit à l'artiste torturé qui menace de débarquer dans ta cuisine te préparer à manger si tu sautes un repas - flemme.
Je pense très sincèrement qu'il n'y a rien de mal à se dire quand on le ressent comme ça que c'est un temps où on se concentre sur nous-même (this is me time).
Alors hier soir, quand après un nombre incalculable de shots de Jack Fire, l'ami d'une amie m'a filé son casque et fait grimper sur sa bécane façon Top Gun pour terminer la soirée chez lui, je n'ai pas plus réfléchi que ça.
En arrivant il a passé un peu de son latino et on s'est mis à danser tous les deux dans son salon le plus naturellement du monde.
Ce matin quand je me suis réveillée, persuadée d'être chez moi, j'ai ri.
D'avoir tellement lâché le contrôle que j'en ai raté mon précieux entrainement de cerceau aérien.
De ne pas me souvenir de la moitié de la soirée, ni d'avoir décidé de rester dormir chez lui au milieu de l'after avec ses potes.
D'être rentrée chez moi à l'ouest dans un walk of shame digne des plus grandes comédies romantiques.
Les extensions dans le sac à main, les boutons de ma chemise arrachés dans l'engouement du jeune homme à me montrer à quel point il me trouvait magnifique, et un smokey eye encore étonnamment impeccable.
Premier réflexe?
Les potins aux copains, bien entendu.
Deuxième réflexe ?
La fameuse question que toutes les filles se posent après une nuit torride "ça voulait dire quoi ?".
Personnellement, catégoriser mes relations, ça me rassure vachement.
Ici, un très bon feeling, une nuit incroyable, de l'humour, et la perception d'avoir eu à faire à quelqu'un de bien, de droit.
Mais je n'ai pas ressenti le besoin de lui laisser mon numéro ni de guetter un potentiel message ce midi du coup.
Aucune honte, aucune peur de se faire prendre pour une fille de petite vertu pour dire ça poliment, et aucun plan d'aucune sorte.
De manière générale je n'ai jamais été trop "plans d'amitié améliorée" dans le sens où je préfère m'abstenir que de toucher quelqu'un qui ne m'attire pas complètement (mental inclus) et que si quelque chose ne colle pas je n'ai aucune envie de donner de ma personne.
Là on sortait quand même d'un bon trois mois d'abstinence d'ailleurs.
Alors en en parlant avec une amie ce matin, je me suis rendue compte que la force de s'écouter, et d'assumer ses besoins, c'est l'une des grosses évolutions de la trentaine vs la vingtaine.
Pourquoi regretter quelque chose qui nous a fait du bien et qui était destiné à se passer ?
C'est assez marrant en fait quand on y pense, de ne pas vouloir de séducteurs en série, de rejeter en bloc toute proposition de "service câlins à domicile" de garçons plus beaux et athlétiques les uns que les autres, mais en même temps ne pas vouloir s'engager avec qui que ce soit en ce moment.
Le paradoxe humain à son paroxysme.
Ca ne laisse que peu de place à l'imprévu, et pourtant l'imprévu arrive toujours à se faire un chemin.
Quelque part je trouve ça beau.
Ce qui doit se passer se passe, et notre énergie reste à sa place.
Ca fait un sacré tri aussi, on apprend à repérer ceux qui s'intéressent sincèrement à toi, et qui sont prêts à t'attendre.
Après tout on a toute la vie devant nous, alors pourquoi se presser de choisir un partenaire quand on sait ce qu'on veut?
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Une mineure de 13 ans relayée par un étudiant, un footballeur et un rappeur. Une affaire de viol sur une mineure de 13 ans éclabousse un étudiant, un footballeur et un artiste rappeur. Ils sont entre les mains des gendarmes de Tivaouane Peulh. Mineure de 13 ans relayée par un étudiant, un footballeur et un rappeur nuit de noce vire au cauchemar tailleur bat violemment sa nouvelle épouse après une tentative avortée de rapport sexuel L’étudiant N. D. (33 ans), le footballeur T. Mb. (27 ans) et l’artiste rappeur C. M. B. (23 ans) avaient transformé une fille mineure de 13 ans en objet sexuel. Arrêtés, ils sont en garde à vue à la gendarmerie de Tivaouane Peulh. Ils sont poursuivis pour viols sur mineure suivis de grossesse. Un jeune homme, kidnappé et violé par trois femmes à Sacré Cœur, se confie → A LIRE AUSSI Près de 3 tonnes de cocaïne saisies : l’identité des personnes arrêtées révélée D’après Libération, les mis en cause habitent tous à la Cité Namora. Selon la victime âgée seulement de 13 ans, elle a fait connaissance avec l’étudiant N. D. l’année dernière et a eu une seule fois une relation sexuelle avec lui. Ensuite, N. D. lui a présenté son ami T. Mb. Ce dernier l’a amené chez lui et a couché avec elle à plusieurs reprises pendant toute la nuit. anniversaire qui s’est transformé en scène de viole à Cameroun-Douala2 → A LIRE AUSSI Sierra Leone : Le gouvernement dénonce une « tentative ratée de coup d’Etat » C’est le lendemain matin que T. Mb. a appelé lui aussi un de ses amis du nom de Ch. B. qui a couché avec la fille âgée de 13 ans. Quelques semaines plus tard, T. G. a eu un malaise. Evacuée à la clinique par sa mère, cette dernière est informée que sa fille est enceinte de 11 semaines. mineure de 13 ans rélayées par un étudiant, un footballeur et un rappeur → A LIRE AUSSI Ameth Fall Braya poursuivi pour menaces et violence par son locataire Pressée de questions, T. Guèye a tout raconté à sa mère.
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En direct La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, a affirmé que son voyage prévu d'une semaine dans la région indo-pacifique avait dû être annulé grâce à problèmes mécaniques répétés avec son avion gouvernemental. « Nous avons tout essayé : malheureusement, il est logistiquement impossible de continuer mon voyage Indo-Pacifique sans l'avion défectueux. C'est plus qu'ennuyeux », a tweeté Mme Baerbock sur X, anciennement connu sous le nom de Twitter. Lundi, l'avion avait tenté de faire le voyage depuis Abou Dhabi à deux reprises mais avait été contraint de revenir pour des raisons de sécurité en raison d'un dysfonctionnement technique des volets d'aile, a affirmé un porte-parole du ministère des Affaires étrangères sur X. Un vol commercial vers Sydney était prévu, mais le voyage a été annulé à court terme. "Nous avons vérifié et planifié jusqu'à la dernière minute, mais malheureusement, il n'était plus possible de présenter logistiquement les escales prévues du voyage Indo-Pacifique avec les choix encore disponibles après la panne de l'avion de préparation", a affirmé un ministère des Affaires étrangères. porte-parole mardi. Mme Baerbock devait se rendre en Australie, en Nouvelle-Zélande et aux Fidji. Pendant sa visite inaugurale en Australie, Mme Baerbock prévoyait de se rendre à Canberra et à Sydney, où elle devait rencontrer la ministre des Affaires étrangères Penny Wong. L'Allemagne devait aussi restituer des objets culturels de l'époque coloniale au peuple indigène Kaurna, dont les terres traditionnelles comprennent les plaines d'Adélaïde. Les objets culturels du musée Grassi de Leipzig – une épée en bois, une lance, un filet de pêche et une massue – ont une valeur sacrée, culturelle et identitaire pour les Kaurna. Ce n'est pas la première fois que des problèmes d'avions font dérailler la diplomatie allemande. À la mi-mai, Mme Baerbock s'est retrouvée bloquée à Doha en raison d'une crevaison sur son avion gouvernemental. L'année dernière, elle a aussi dû annuler un voyage pour rencontrer son homologue britannique, James Cleverly, en raison du mauvais temps. En 2018, l'ancienne chancelière Angela Merkel a raté l'ouverture du sommet du G20 en Argentine en raison d'un "grave dysfonctionnement" qui a forcé son avion gouvernemental à effectuer un atterrissage imprévu. -avec DPA
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La golden list / film d'enfance
Le pari
Les trois frères
Le diner de cons
Les sous doués passent le bac
Les bronzés font du ski
Le père Noel est une ordure
Bridget Jones 1 - 2 & 3
Le collector des Inconnus
Le Grinch
Les valseuses
Astérix et Obélix mission cléopatre
La tour montparnasse infernale
l'ail ou la cuisse
La soupe au chou
Le grand restaurant
Maman j'ai raté l'avion
Podium
Shrek 2
Les choristes
Qui a volé la peau de Roger rabbit
Space Jam
Maman j'ai raté l'avion 1 et 2
Le premier jour du reste de ta vie
Films fav
Gone Girl
I love you Philip Morris **(best romcom)
I care a lot
Little miss sunshine
The Lobster
Mise a mort du cerf sacré
N'importe quel Bacri / Jaoui
The truman show
Le premier jour du reste de ta vie
Vise et versa
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Atelier Lydie & Suelle 1 - Nagi 0 (à suivre…)
Atelier Lydie & Suelle est le dernier opus de l'arc Mysterious, censé être le bouquet final des aventures de Sophie, Plachta et Firis, tout en introduisant le duo des jumelles Lydie et Suelle. Avant de rentrer en détails dans cet épisode, je voudrais préciser qu'au moment où j'écris ces lignes, je n'ai parcouru que 8 chapitres sur les 12 disponibles, car oui, le jeu m'est lamentablement tombé des mains… mais pas définitivement je pense.
Nouvelles rencontres et retour d'anciens
Je vais repartir sur les trois critères que j'avais exposé dans mon test sur Atelier Firis (personnages/histoire, système de combat et alchimie) pour décortiquer ce jeu et expliquer en quoi il m'a fallu prendre une pause forcée, sans pour autant fermer la porte à un éventuel retour… ou pourquoi j'ai pensé être burn de la série alors qu'en fait pas du tout !
Tout d’abord, si vous souhaitez vivre mes aventures en VOD sur le début du jeu, c’est par ici :
twitch
Lydie et Suelle sont deux jumelles apprenties alchimistes, vivant avec leur père dans la ville de Merveille. Père qui semble d'ailleurs un peu dépassé par les événements et le caractère vif et curieux des filles, en particulier depuis le décès de leur mère. Les petites se sont mises en tête de devenir les meilleures alchimistes du royaume pour respecter la promesse qu'elles ont fait à feu leur maman.
Et je m'arrête là car on touche déjà au point qui m'a lourdement déçue : il y a du background, il y a moyen de faire ressentir de sacrées émotions, mais l'écriture se montre de suite déficiente. Ok, les gamines sont un peu insupportables, peu disciplinées, mais rien d'anormal jusque là ; elles sont jeunes et je suis plus attachée à l'évolution des personnages au fil du jeu qu'à leur état au départ. Gardons en tête que je n'ai fait que deux tiers du jeu, mais à ce stade, on n'a toujours pas eu droit à plus de détails sur la mère des jumelles. J'aurais aimé qu'on me fasse ressentir de l'empathie pour elles, qu'on m'explique comment la maman était décédée, pourquoi les filles lui ont fait tant de promesse différentes, que ce soit par des flashback, ou même juste des petites anecdotes de-ci de-là. Mais rien du tout… On sait juste que le père a du mal à gérer et est un alchimiste raté, mais c'est tout. L'exposition est plantée, mais on dirait que ces personnages n'ont pas existé avant le début du jeu, et cela me pose un véritable problème pour tenter de me rapprocher d'eux.
Niveau personnages secondaires, on retrouve toute une tripotée de gens des anciens épisodes : Firis, Sophie, Plachta et d'autres qui révèlent aux passages leurs liens de parentés avec surprise. Comme d'habitude, Sophie brille tout particulièrement, pour mon plus grand plaisir ! Mais ça ne suffit plus cette fois, car les projecteurs sont réellement braqués sur Lydie et Suelle. Comme je le disais sur mon test d'Atelier Firis, je joue aux Ateliers avec mon coeur, et pour le coup… mon coeur bat difficilement pour ce setup.
Atelier Lydie & Suelle a une structure très claire et très balisée : on doit monter les échelons du système de classement des alchimistes en remplissant diverses missions dans les environs de la ville principale, et chaque réussite débloque un tableau magique dans lequel on peut rentrer pour explorer un monde à thème et découvrir de nouveaux matériaux pour notre alchimie. Pour gagner accès à l'examen d'échelon, il faut remplir divers critères du journal de réputation, qui indique précisément de nouvelles mini-épreuves à remplir. La tâche est parfois fastidieuse, mais on est toujours bien guidé et c'est quelque chose que j'apprécie particulièrement après la (trop) grande liberté donnée dans Atelier Firis !
Malheureusement, ce déroulement comprend un handicap de taille : un énorme tutoriel qui dure environ 3h30 ! Il faut le savoir… Ca parle beaucoup, c'est très long, mais une fois cette barrière dépassée, le jeu s'ouvre enfin.
Aux armes !
Le système de combat est très proche de ce qu'on a pu voir dans Atelier Firis, système qui me laissait particulièrement froide, malheureusement. On a du tour par tour relativement classique, avec un système de protection à activer pour éviter des dégats aux jumelles qui bien sûr, sont un peu en carton, et un principe de personnages support derrière chaque perso de première ligne fait son entrée, permettant de réaliser des combo selon les actions des combattants principaux. On sent bien que le système avant/arrière de Sophie 2 commence à se dessiner, mais timidement et assez maladroitement. Je suis actuellement en train d'avancer sur Atelier Lulua (on en reparlera plus tard !) et le principe de support est repris mais bien plus agréablement. Bref, il faut aussi tenir compte de l'évolution des systèmes mis en place au cours de la série, et là eh bien… on sent que ça tâtonne.
Ou pour le dire autrement : c'est mieux que dans Atelier Firis, mais pas vraiment poli.
Le retour du Tetris alchimique
En ce qui concerne l'alchimie, on retrouve le gimmick vu tout au long de l'arc Mysterious : le mini-jeu type Tetris pour empiler les composants et tenter de repousser les limites des objets. A la base, j'étais très excitée de toucher à ce système d'alchimie car à première vue, il semblait très proche de celui d'Atelier Sophie 2, qui avait particulièrement résonné avec moi. Et… même constatation que pour le combat : c'est mieux par rapport à Sophie 1 et Firis, mais beaucoup moins évolué que dans Sophie 2 (et c'est un reproche assez injuste car cette conclusion est totalement logique vu les dates de sorties de chaque jeu).
Même remarque que pour l'alchimie d'Atelier Sophie et Firis : je n'ai ressenti aucune impression d'évolution, aucune satisfaction à avancer dans les recettes et les divers systèmes qui s'ouvraient à moi. Là où la mécanique de catalyst est pratique et récompensante dans Sophie 2, elle est lourde et pénible dans Lydie & Suelle. Pour tout dire, j'en viens même à détester ce mini-jeu de tetris, tellement j'ai l'impression d'y perdre mon temps lorsque je veux créer plusieurs objets à la suite. De petit ajout sympathique permettant de se creuser la tête, il est passé à étape inutile et ralentissante.
Je crois que le point important est là, au final : dans Sophie 2, fignoler le placement des pièces et des liens pouvaient grandement améliorer un objet, alors que dans Lydie & Suelle, j'ai l'impression que peu importe la réflexion que j'y mets, je n'arrive à rien. C'est donc le retour de la frustration…
Mais je vous vois venir, vous allez me dire “mais attends, sur 4 jeux avec le même gimmick d'alchimie, tu en as détesté 3 ? Ce qui signifique que…” Ce qui signifie que oui, j'aurais essayé, mais on peut en conclure que le système d'alchimie Mysterious ne me convient pas. Et ça n'est pas grave ! Mais c'est au moment de cette réalisation que je me suis avouée que, peut-être, je commençais à être burn de la série des Ateliers. Peut-être que j'en avais trop fait d'affilé, peut-être qu'il était temps de passer à autre chose… ou de retourner aux sources.
Le temps de faire une pause… ou pas
Après 25 heures sur Atelier Lydie & Suelle, n'ayant toujours pas réussi à vraiment rentrer dedans, j'ai décidé de faire une pause. Si on doit découper la chronologie de la série, on se retrouve avec 3 périodes en particulier :
Le début de la série : à partir de 1997 et sur les générations de console PS1 et PS2
l'époque moderne : à partir de 2009 et Atelier Rorona, sur PS3
l'époque moderne + : à partir de 2019 et Atelier Ryza
Tous les Ateliers m'ayant le plus plu sont de la période moderne + : Atelier Ryza 1 et 2 et Atelier Sophie 2. Mais au détour de quelques recherches, j'ai découvert qu'il existait un autre épisode “moderne +”, dont je vais tenter de vous expliquer le positionnement dans la série de la façon la plus simple possible (mais attention, va falloir suivre !).
La période moderne se compose de 3 arcs : Arland, Dusk et Mysterious.
Sophie 2 fait partie de l'époque moderne + (2022), mais a été rajouté à un arc “moderne” (Mysterious).De la même façon, Atelier Lulua, sorti en 2019 (moderne +) a été ajouté à la fin de l'arc Arland (le premier de la période moderne).
Evidemment, l'arc Arland est sur ma liste de jeux à faire car les fans de la série le tiennent en haute estime, mais je ne me sentais pas forcément de repartir sur du très vieux, vu mon attachement aux épisodes modernes +. J'ai donc sauté le pas pour tester Atelier Lulua : un Atelier “à l'ancienne”, sans mini-jeu pour l'alchimie, avec un vrai retour aux sources et à l'essentiel, mais avec un niveau de polissage digne des épisodes récents.
Mais ça… C'est une autres histoire :)
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