#Rue de Lappe
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federer7 · 5 months ago
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Un Bar Rue de Lappe (La Bastoche) Paris. Circa 1932
Photo: Brassaï (Gyula Halasz)
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troquets · 5 months ago
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Brassaï, Au Bal musette, les Quatre Saisons, rue de Lappe, Paris, 1932
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fidjiefidjie · 10 months ago
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Bonjour, bon Dimanche à tous ☕️ 🥐 🥭
Couple au bal musette des Quatre-Saisons, rue de Lappe🗼Paris 1932s
Photo de Brassaï
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meta-holott · 1 year ago
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2023 Paris, rue de Lappe
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parisies · 1 year ago
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Après les noceurs,
Et après les éboueurs,
La rue de Lappe paraît
Si paisible, qu’on dirait
Une mignonne endormie
Des faubourgs.
Mais vers le soir,
Roulement de tambour
Cafés, boîtes et bars
Donnent le tempo
C’est l’heure
Du Balajo !
Presque comme au temps
De la java et du tango.
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sealedintime · 29 days ago
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Photo by Brassaï. La Bastoche, Rue de Lappe 1930′s
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seventh-victim · 2 years ago
Photo
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Madesmoiselle Anita, La Boule Rouge, Rue de Lappe ,  Paris, France 1951  (photo: Robert Doisneau)
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edgarmoser · 2 years ago
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la bastoche, c. 1932, rue de lappe, paris
youtube
deprince et son orchestre - à la bastoche
1936
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needtowriteaf · 1 year ago
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🗼Parisian Love
Après m’être faufilée difficilement parmi la masse d’individu compacte, irréductible, slalomant dans les couloirs étroits du métro parisien, j’ai réussi à m’extirper quelque peu de la foule, et avancer plus librement. 
Je rejoignais paisiblement mon destin, le sourire aux lèvres, contrastant violemment avec l’aigreur ambiante des transports en communs.
J’ai grimpé ces quelques marches, dernier élément physique qui me séparait encore de toi. 
À la croisée de la ligne 9 et de la 5 
Arrêt république.
On s’est rejoint. 
Là, près des portes métalliques automatiques, menant vers l’extérieur, 
Vers le monde.

Les bouches du métro laissaient outrepasser ces quelques rayons de soleil du mois de mai..
C’est vrai, nous étions en plein cœur d’une journée de printemps de l’année 2022, et rien ne pouvait nous le laisser présager, sous le sol de la capitale. Rien, mise à part cette chaleur écrasante, qui finissait d’épuiser les âmes déjà affaiblies par le rythme effréné de la ville.
Moi, j’étais là, à dérober ces quelques minutes de toi, précieuses, celles que tu pouvais bien m’offrir.
Soudainement, sans que je m’y attende, tu m’as embrassé. 
Devant les gens 
Devant Paris, 
On ne faisait pas cela, toi et moi. 
On vivait dans le noir, caché, on ne montrait rien au monde.
Et pourtant, 
Cette fois-là, si. Je n’ai pas compris. 
Ça m’a bouleversée. 
Et j’en frissonne encore aujourd’hui.

Ce n’était pas un baiser langoureux et gênant, comme s’en font les jeunes amants, aux yeux de tous, sans filtre ni retenue. Ni même l’un de ceux que s’échangeraient des amoureux transits et un peu éméchés, à un croisement de la rue de Lappe, un samedi soir, en plein Bastille. Ce n’était pas ce genre de débordement affectif, impudique. On ne faisait pas cela, toi et moi. Ce n’était pas non plus une embrassade, tristement froide et sans saveur, que les vieux couples se font, mécaniquement, inconsciemment.

Non. Ce fut bref, mais beaucoup trop éloquent. Je sentis alors l’ensemble de mes cellules se connecter aux siennes, les unes après les autres, traversant nos deux corps de bout en bout. Court, mais débordant d’intensité. D’une façon instantanée, je fus saisi du sentiment, qu’à elle seule, cette connexion figea le monde, le temps et puis l’espace. Qu’elle enferma cette image là, dans une faille intemporelle, pour que l’on puisse sans relâche et pour toujours, revenir à elle. Mémoire dites photographique, j’ai cru l’immortaliser dans mon esprit. Et pourtant, la seconde d’après, l’on aurait presque pu douter, qu’elle eut un jour été tangible.
C’était l’un de ces baisers-là, tu vois ? Un de ceux dont on se souvient.
C’est effrayant, comme ce genre de chose me marque et s’ancre profondément dans ma chair. 
Tandis que toi, tu l’as sûrement oublié. 
Ou peut être simplement que tu ne t’es même pas aperçu de la puissance de ton geste, ni de la force de l’impact, de tes lèvres frappant les miennes. Était-il involontaire, ce baiser ? Pathétiquement anodin, à tes yeux.. Aurais-tu pu le concevoir ? Ne serait-ce qu’un seul instant, qu’il puisse me renverser le cœur, une nouvelle fois.. Je dois t’avouer que cette pensée m’est monstrueuse.
Mais pourrais-je même t’en vouloir ?
Moi, j’en rêve toujours. Après maintes tentatives demeuré vaines, je n’ai jamais rien su gommer, de nous. Alors je gratte ces quelques lignes dans mon IPhone. Pour sauvegarder ces souvenirs-là, autre part que dans ma tête. Je crois que j’espère qu’en faisant cela, peut-être, se détacheront-ils de mon être.
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metaphore-s · 2 years ago
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Une dame du soir rue de Lappe
Brassai
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rmmvr · 1 month ago
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Brassai (Hongrois - Français, 1899–1984), Querelle d'amoureux, Bal des Quatre Saisons, rue de Lappe, Paris, circa 1932.
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federer7 · 5 months ago
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Le Bal de Quatre-Saisons. Rue De Lappe, Paris. 1932
Photo: Brassaï (Gyula Halasz)
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troquets · 4 months ago
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Un bistrot rue de Lappe à Paris, en 1938.
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fidjiefidjie · 1 year ago
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Bonjour, bonne journée ☕️ 🌞
Le Balajo ,rue de Lappe🗼Paris
Photo de Brassaï 1936s
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cannedbluesblog · 3 months ago
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Brassaï - La Bastoche, rue de Lappe. 1932
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enkeynetwork · 7 months ago
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