#Romeo Vedette
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Character outfit lineup,,,,,,,,, my little gnc icon
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Mercedes-Benz GLA 35 AMG
Le 5 juillet 2024
Il n’y a rien de plus embarrassant que lorsqu’une connaissance, un passant ou un voisin me dit : « Savez-vous, vous avez le job que tant de gens rêveraient avoir? » OK! C’est un beau job (ou « une belle job » dans mon patelin) mais ça reste une job ! Oui, j’ai l’opportunité de conduire des voitures spectaculaires (pour les amateurs de bagnoles…). Et, j’ai eu, au cours de ma carrière, la chance de me déplacer vers des endroits intéressants sur notre continent (ou dans le monde dans le cas des pneus) ce qui n’est pas donné à tout le monde. J’ai aussi rencontré des vedettes de divers niveaux et de diverses appartenances (dont Carroll Shelby…et quatre fois plutôt qu’une!).
Mais j’ai aussi eu certaines périodes moins faciles (rappelez-vous, c’est une job!) où je devais faire des recherches et surtout des comparatifs (surtout dans le domaine des pneus…ce qui est encore moins facile!). Quand aux véhicules, si ça vous semble « le fun » conduire des bolides qui consomment ou qui sont plus capricieux à conduire dans la circulation ou sur de longues distances…ça fait encore partie de « la job ».
Mais, ce que je trouve le plus difficile, c’est de conduire des autos ou camionnettes qui sont en fin de vie utile malgré qu’elles soient toujours aussi spectaculaires. Ce fut le cas lors des deux dernières semaines alors que j’ai accepté un VUM Mercedes-Benz GLA 35 AMG au lieu d’un « performance car » qui m’aurait mieux servi dans mes travaux suivi d’un VUS Alfa Romeo Stelvio Quadrifoglio qui est en fin de carrière (il devrait être abandonné sous peu, s’il ne l’est pas encore, au profit d’une version électrique ou hybride branchable en 2025) mais que j’aurais tant voulu conduire il y a déjà quelques années! Et dire que ces deux véhicules sont vendus à des prix si élevés que c’en est presque ridicule!
Dans le cas du GLA35, il s’agit d’un modèle reconduit auquel le constructeur a apporté des retouches esthétiques comme des phares au LED et une calandre à la AMG. Toutefois, pour l’amateur de Mercedes, le plus important est le remplacement de l’emblème de la marque par un médaillon frappé aux « armoiries » d’AMG. « Mais alors, auraient dit les amateurs de Mercedes AMG, pourquoi ne pas avoir essayé une version AMG 45? » Parce que celle-ci (de 382 chevaux) n’existe plus! La version GLA35 en est le remplacement!
Le petit VUM Mercedes-Benz GLA 35 AMG retouché pour 2024. (Photo Éric Descarries)
Non pas que le GLA35 soit une tortue, au contraire. Son quatre cylindres turbocompressé de 2,0 litres appuyé d’un moteur électrique à 48 volts de 13 chevaux additionnels (qui sert à relancer le moteur lors de longs arrêts aux feux rouge qui le font arrêter) permet des accélérations de 0 à 100 km/h en moins de six secondes (avec le Launch Control) grâce à une boîte auto à double embrayage de huit rapports. Mais il n’est pas aussi convaincant que l’engin du GLA 45 ! Notons, au passage, que mon GLS 35 d’essai est à fonction 4MATIC, la traction intégrale qui sera un atout sur nos routes hivernales!
Le VUM Mercedes-AMG GLA 35 vu d’arrière. (Photo Éric Descarries)
Malgré tout, ce petit VUM de Mercedes est agréable à conduire grâce à sa tenue de route remarquable (et réglable pour plus de confort ou plus de fermeté selon votre style de conduite). Ses larges pneus Continental contribuent aussi à ce comportement exemplaire. Toutefois, même si le conducteur place le mode de suspension à la position la plus confortable, le véhicule trahit une suspension (à réglages électroniques) trop ferme. Bon pour la tenue de route…moins pour le confort! Surtout en déplacements urbains sur les « belles » rues de Montréal (Drolet et autres).
L’emblème AMG (une marque qui appartient désormais à Mercedes) remplace la flèche à trois pointes sur le capot. (Photo Éric Descarries)
Évidemment, sur l’autoroute, le GLA semble plus confortable alors qu’il est moins sujet à des variations de contrôle. La direction est ferme mais précise (avec un volant un peu trop chargé de commandes à mon goût) et le freinage solide! Le comportement routier sur les routes les plus sinueuses devrait vous impressionner! En ce qui a trait au tableau de bord simple, il est quand même très techno…peut-être même trop. Il peut rendre le conducteur fou si ce dernier veut des informations précises trop rapidement. En fait, certaines commandes demandent trop de recherches au point où le conducteur pourrait perdre son attention à la route. Je ne sais pas ce qui incite les constructeurs à faire des tableaux de bord si complexes à manipuler, même pour des indications de base, mais je suggère à tout automobiliste aux commandes d’un GLA 35 AMG d’étudier avec soin toutes les données disponibles car certaines sont très difficiles à trouver!
Le tableau de bord peut sembler simple mais son instrumentation peut aussi exiger plus d’attention du conducteur pour la comprendre. Les palettes de changement de rapports au volant aident à rendre la conduite plus excitante! (Photo Éric Descarries)
En passant, le reste de l’intérieur est bien aménagé avec des matériaux de qualité et une facture irréprochable. Les places avant sont généreuses et celles d’arrière accueillantes même pour les passagers plus grands. Quant au coffre, il devrait s’avérer logeable pour, au moins, les deux passagers principaux qui veulent voyager.
Les places arrière sont accueillantes, même pour des passagers adultes. (Photo Éric Descarries)
Le coffre est nettement suffisant pour deux passagers en voyage. Et si l’on rabat les dossiers des sièges d’arrière, ce GLA devient plus utiles en cas de transport d’objets encombrants. (Photo Éric Descarries)
En ce qui a trait à la consommation, j’ai obtenu une moyenne de 10,0 l./100 km pour une semaine de déplacements surtout urbains ce qui ressemble à la mention d’une moyenne de 9,9 du constructeur. Enfin, le prix de base d’un VUM Mercedes-AMG GLA 35 est de 61 800 $. Dans le cas de mon véhicule d’essai, il faudra lui ajouter les 2150 $ pour la sellerie de cuir, les 1750 $ pour la finition Exclusive, les 1365 $ pour le volant unique AMG, les 1100 $ pour la chaîne stéréo Burmester, les 100 $ pour la finition Night Package, les 975 $ pour la peinture Bleu Spectre, les 850 $ pour l’ensemble de conduite AMG, les 780$ pour la caméra 360, les 250 $ pour l’illumination intérieur en étoiles et les 4835 $ pour le transport, la préparation, la taxe du climatiseur et les multiples autres frais(?!?), le tout totalisant 76 810 $...plus taxes. Les concurrents à ce GLA35 seraient plutôt des Porsche Macan GTS. Mercedes-Benz GLC, BMW X3 ou X4…et autres.
Le moteur quatre cylindres turbo du GLA 35 AMG est plutôt performant sans être trop gourmand! (Photo Éric Descarries)
Recommandable, le VUS GLA 35 AMG? Certainement! Mais à un prix relativement élevé alors que certains concurrents soient capables de le battre facilement…à bien meilleur prix! Comme on dit, on paie pour le nom…et la suspension que je trouve nettement trop ferme!
Et l’Alfa Romeo Stelvio, lui ?
L’autre VUS compact que j’ai récemment conduit, c’est l’Alfa Romeo Stelvio dans sa version Quadrifoglio de performance (nom qui, selon l’histoire, célèbrerait sa centième année d’existence). Dans le cas de celui-ci, c’est dommage que je l’aie eu si tard dans sa carrière surtout que cette version tirera sa révérence à la fin de l’année pour faire place, semble-t-il, à des versions électrifiées. J’ai bien hâte de voir cela!
Toutefois, ce Stelvio m’a plus impressionné. Et, lorsque j’ai pensé de vous parler des deux véhicules dans le même article, je me suis rendu compte qu’il y avait plus à dire que je pensais sur le VUM italien. Il en sera donc question la semaine prochaine dans un autre texte plus approprié!
Enfin le Kia Tasman, lui?
Changement de sujet, les photos officielles du pick-up Tasman du constructeur sud-coréen Kia commencent à circuler sur le Net. Toutefois, les communiqués du constructeur ne mentionnent pas l’Amérique du Nord comme points de vente éventuels. Surprenant! Surtout qu’il s’agisse d’une véritable camionnette pick-up intermédiaire (à l’américaine) avec cabine d’équipe monté sur un châssis-cadre rigide traditionnel (vraiment un concurrent au Jeep Gladiator). Les publications américaines mentionnent l’avoir vu camouflé en Arizona (essais en température chaude) et même en version électrifiée en Californie. J’ai bien l’impression que Kia nous prépare une surprise qui…pourrait ne pas en être une…
Le Kia Tasman dévoilé en photo anticipée pour le reste du monde…mais pas en Amérique…(Photo Kia)
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Liverpool a vu trois piliers de son équipe partir cet été, avec Jordan Henderson, Fabinho et Roberto Firmino se déplaçant vers la Saudi Pro League. Alisson Becker est le dernier nom lié à un départ d'Anfield. Al-Nassr est désormais prêt à déménager pour Alisson Becker Alisson Becker "tenté par ce nouveau défi" D'après un rapport de Footmercato, le gardien de Liverpool Alisson est une cible pour l'équipe saoudienne d'Al-Nassr. Le gardien de Liverpool a déjà vu son ex-coéquipier des Reds Sadie Mane rejoindre le club saoudien, qui compte aussi dans ses rangs la légende portugaise Cristiano Ronaldo. A rapporté le rapport de Footmercato, le gardien brésilien est "tenté par ce nouveau défi", Al-Nassr étant très intéressé par le gardien de Liverpool après la performance décevante de son gardien actuel (Nawaf Al-Aqidi) après sa défaite 2-1. à Al-Ettifaq de Steven Gerrard. PDJ: Milieu de terrain avec une clause de libération de 32 millions de livres sterling sur le radar de transfert de Liverpool après la perte de Caicedo Après avoir perdu de manière inattendue les milieux de terrain expérimentés Fabinho et Henderson, perdre potentiellement leur gardien vedette serait un coup dévastateur dans une fenêtre de transfert qui les a déjà vus manquer Moises Caicedo et apparemment Romeo Lavia. Regardez: Nos prédictions de Premier League pour la nouvelle saison Récapitulation de la carrière d'Alisson Liverpool Alisson, qui a déménagé à Anfield pour 67 millions de livres sterling en 2018, pourrait rejoindre l'exode de Liverpool et passer à la Saudi Pro League. Le Brésilien, décrit comme "spécial" par Jurgen Klopp, a joué 232 fois pour la moitié rouge du Merseyside, remportant le plus mémorablement la Premier League et la Ligue des champions durant son séjour dans le Merseyside. Le projet saoudien Si Alisson devait quitter Anfield, cela laisserait Klopp avec Caoimhin Kelleher en changement – ��forçant sûrement le manager allemand sur le marché des transferts. PDJ: Andre, milieu de terrain de Liverpool Target Fluminense La Saudi Pro League a été inondée de grands joueurs nommés cet été, dont Neymar, qui a terminé son transfert à Al-Hilal pour 77,6 millions de livres sterling. La superstar brésilienne gagnera 129,2 millions de livres sterling par an. Al-Hilal a aussi fait une offre record du monde de 258 millions de livres sterling pour Kylian Mbappe à cause de son avenir incertain au Paris Saint-Germain. Alisson rejoindrait Alex Telles et le milieu de terrain croate Marcelo Brozovic s'il rejoignait Al-Nassr. Crédit photo principale : Cchana, CC BY-SA 2.0
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Famille Beckham : Des turbulences au sein de la famille ?
David Beckham et Victoria Beckham sont très heureux et passent du bon temps avec leur famille. Victoria souhaiterait organiser un déjeuner entre la nouvelle épouse de son fils Brooklyn et la petite amie mannequin de Roméo. Toutefois, des rumeurs font état de tensions entre Nicola Peltz et Mia Regan, la petite amie de Romeo. Il semblerait que les deux jeunes femmes ne soient pas sur la même longueur d'onde. Elles n'ont pas encore été photographiées ensemble. Les succès de Peltz Peltz et Regan, qui se reconnaissent rarement sur Instagram, ont passé du temps ensemble lors d'occasions familiales. Elles se sont croisées récemment lors du mariage de Brooklyn et Nicola à Palm Beach le mois dernier. Regan, 19 ans, et Peltz, 27 ans, ont des carrières et des aspirations différentes. Cela expliquerait pourquoi elles ne se voient pas d'un bon œil. La chérie de Brooklyn s'est fait un nom dans le monde de la comédie. Elle est surtout connue pour son rôle de Bradley Martin dans Bates Motel. Nicola Peltz a également obtenu des rôles dans The Last Airbender en 2010. On peut citer aussi Transformers : Age of Extinction de 2014 et Holidate de 2020. Elle est passée derrière la caméra pour son dernier film, Lola James, qu'elle a écrit et réalisé en plus d'en être la vedette. Lire aussi : David et Victoria Beckham : Les dessous d'une fortune incroyable ! Le talent de Regan De son côté, la chérie de Romeo a signé avec la prestigieuse agence Storm Models. Elle est décrite comme "la muse millénaire par excellence. Mia Regan a une approche unique de la mode et de la beauté par la génération Z". Mia a travaillé avec de nombreuses marques de luxe telles que Balmain, Gucci Beauty et British Vogue. Elle a par ailleurs été mannequin pour la collection VVB, la marque de Victoria Beckham. Selon le Mail Online, l'héritière milliardaire Nicola a une valeur nette de 50 millions de dollars. Son père, Nelson Peltz, est l'une des personnes les plus riches du pays. Il possède environ 1,8 million de dollars en banque, mais la valeur nette de Nicola provient de ses rôles au cinéma. Il existe des rapports contradictoires sur la valeur nette de Mia. Elle est estimée entre 600 000 et 1 million de livres sterling, en raison de ses campagnes de mannequinat et de ses publicités. La source et la nature du conflit entre les deux jeunes femmes ne sont pas encore connues. Lire aussi : David Beckham offre à sa femme un sextoy à 2 millions d'euros 🤣 Read the full article
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Maximum Impact - Bande-annonce US
Maximum Impact - Bande-annonce US #BandeAnnonce #MaximumImpact #AlexanderNevsky #MarkDascascos
Le réalisateur Andrzej Bartkowiak (Romeo Must Die) est de retour avec la comédie d’action Maximum Impact mettant en vedette Alexander Nevsky (Showdown in Manila), Kelly Hu (The Scorpion King), William Baldwin (The Purge), Tom Arnold (True Lies), Mark Dacascos (John Wick 3: Parabellum), Matthias Hues (Dark Angel) et Danny Trejo (Machete).
Le long-métrage débute alors que la petite-fille du…
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#Alexander Nevsky#Andrzej Bartkowiak#Danny Trejo#Eric Roberts#Kelly Hu#Mark Dacascos#Matthias Hues#Tom Arnold#William Baldwin
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[L'industrie c'est fou] Au salon Rétromobile, une Alfa Romeo de 1939 veut faire grimper les enchères
Amal El Rhazi, [L'industrie c'est fou] Au salon Rétromobile, une Alfa Romeo de 1939 veut faire grimper les enchères. Artcurial organise une vente de voitures de collection le 8 février à l'occasion du salon Rétromobile. La vedette du catalogue est un véhicule de 1939. L'Alfa Romeo 8C 2900B Touring Berlinetta est un modèle rare produit en seulement cinq exemplaires. Elle est estimée au bas mot à 16 millions d'euros. Les vieilles mécaniques sont […] Lire l'article
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Un musée dans une cage d’escalier, pourquoi pas ! Belle imitative de @romeosgin mettant en vedettes 24 artistes de Montréal ! @ponymtl @antoinetava @fonkiworld @monosourcilone @dalkhafine @stikki_peaches @roxyperoxyde @chezmeka @whatisadam et plusieurs autres encore. #mileend #romeosgin #museeromeos #montreal #montrealartist #montrealart #art #arturbain #mural #muralart #painting #mtlart (à Musée Romeo’s) https://www.instagram.com/p/BoUsTMAlNz2/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=q6aga6nomeue
#mileend#romeosgin#museeromeos#montreal#montrealartist#montrealart#art#arturbain#mural#muralart#painting#mtlart
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Dividendo, divisor y comunicación
Varios amigos y familiares me escriben, más espantados que la mayoría de argentinos que veo a diario. Un escalofrío recorre las espaldas de aquellos que tienen frescos, días y noches de violencia, humo y cañonazos.
La comunicación y el Social Media se convierten en escudo a la vez que espada. En herramienta de libertad y en instrumento de adoctrinamiento.
¿Qué pasa en Argentina? He visto algunos vídeos, no se ve buena la cosa... me preguntan. La mayoría parece querer saber, pero la verdad es que ya sabe. Y ese saber está atravesado por la intención del que cuenta, como lo está todo acto comunicativo.
¿La verdad? La verdad no existe, me convencí hace mucho. Es relativa, construida y temporal. Existen datos, claro está: hechos, indicadores y estadísticas que nos dicen cosas sobre el mundo.
Pero todos esos números son inocuos sin una interpretación y un significado humano. Y dicho significado varía entre subjetividades. Un mismo hecho puede significar la muerte o la salvación.
Este no es un posteo sobre la verdad de lo que pasa en Argentina, siquiera tiene muchos datos de lo que ocurre. Es un posteo sobre las consecuencias de la(s) verdad(es). Sobre la antítesis y la ausencia de síntesis.
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El segundo o tercer día de protestas en Argentina por la reforma previsional, no lo puedo precisar, reviso las redes sociales con una intención clara: tener algunas respuestas.
Lo que encuentro me pone los pelos de punta.
No encontré opiniones, ni noticias, ni reflexiones. Encontré dos grandes discursos. Bien diferenciados. Bien polarizados. Cargados de animadversión e intolerancia mutua.
Macri forro, le quitás la plata a nuestros viejos para tus cuentas offshore era la bandera opositora.
A estos villeros (gente de barrio, en venezolano) de mierda hay que detenerlos, no es represión cuando lanzas piedras y botellas era la retórica oficialista.
Podían leerse los mismos mensajes, con pequeñísimas variantes, entre una variopinta cantidad de gente: de origen, educación y nivel socio económico diverso, incluso las redes sociales donde esto pasaba tenían poco que ver entre sí.
Era una misma narrativa que lo teñía todo.
Y muchas cosas sin duda no son nuevas. La famosa grieta ha venido haciéndose más profunda con cada llamado a las urnas y ha venido atravesando cada vez más esferas de la cotidianidad del argentino, alimentada por una dolorosa carga histórica que nutre los sentires de cada nuevo ciclo político.
Es tal dicha transversalidad, que ya no sorprende leer en una aplicación de citas titulares como: cero K o si votaste a Macri ni me hables. Mi lado romántico no puede evitar pensar en una versión moderna de Romeo y Julieta, pero con un destino menos favorecedor que el de la inseparable pareja que termina muriendo por amor.
¿Los discursos oficiales? Con más o menos parafernalia legal, apoyan sendas versiones. El gobierno afirma que la medida beneficiará a los viejos a la larga pero oculta que cometieron errores en sus cálculos fiscales. La oposición afirma que es un retroceso ya que en el cambio entre una ley y la otra, el ajuste de las prestaciones sociales significaría un aumento menor al que recibirían con la ley actual.
El discurso opositor reza que el retrasar la edad de jubilación es una clara muestra de que el gobierno de Macri es un gobierno de ricos que gobierna para las empresas. Algunos pro-derecha hablan de promover una vejez más activa y por supuesto rechazan todo acto de violencia, menos la institucional.
¿La verdad?
La verdad nos será clara dependiendo del lugar del emisor. Depende del periódico que hayas leído. Del programa de radio que escuchas camino a tu trabajo. De tu vedette favorita. Pero de nuevo, este no es un posteo sobre la verdad. A esa verdad deberá llegar cada uno.
La verdad sobre la que escribimos es que seas quien seas, estás en medio de un entramado comunicativo. Y como ya dijimos, toda comunicación tiene una intención. Esa maravillosa cosa que nos diferencia de las bestias salvajes y nos eleva a un punto de logro evolutivo tal, también nos hace enfrentarnos a causa de intangibles simbólicos que poco entendemos bien.
Es la comunicación -y sus medios- la que nos sitúa en un lado u otro de una fractura social que enfrenta a 40 millones de personas. O 39.9, si sacamos a esos pocos que a la larga, desde cualquier bando, se benefician lo suficiente para no preocuparse por su futuro.
Eso es cosa de nosotros los mortales. Los que repetimos discursos ajenos, los que arriesgamos la vida, los que desaparecemos, los que nos convertimos en banderas o en urnas. Los que hacemos las filas a diario. Los que nos odiamos sin conocernos. Los que olvidamos. Los que nos enfrentamos.
De pequeño tuve una educación muy cristiana. Blanda, pero creyente. Durante mucho tiempo creí con profundo fervor que todos éramos hermanos antes los ojos de Dios. Me agradaba el pensamiento de que algo mayor nos unía a todos, tan diferentes en apariencia. A medida que crecía y conocía el daño que podemos infringir a otros, me preguntaba confundido ¿cómo pueden hacerse tales cosas los hermanos?
Entendí entonces que el concepto de hermandad, no era tan popular en la práctica.
Me preguntan, de nuevo: ¿qué onda Argentina? y la pregunta vuelve a paralizarme, como la detonación de un arma al dispararse.
Porque mi respuesta, implica elegir un bando, elegir una realidad y todo su discurso, enfrentándome a la otra parte de manera negadora y despiadada. Implica deshumanizar al otro y pensar que yo estoy bien y tengo la razón en todos los aspectos. Que los ideales que defiendo son mayores y -esto les causará gracia - que aquellos que gobiernan defienden esos ideales, y no unos propios, bastante diferentes.
Y claro que debería enfrentarme a esos que no piensan como yo, a esos que no ven lo que yo veo, que no conocen mi historia, mi dolor, aquellos que no entienden lo que yo entiendo o escuchan lo que yo escucho.
Claro que podría, sí que podría...
¿Podría?
Así que me callo. Me callo porque a nadie le gustan los tibios. Porque “depende” es una respuesta odiosa a cualquier pregunta. Porque nos molestan los grises y las complejidades. Porque contar todo esto es muy largo y muy poca gente tiene interés. Porque es más fácil dividir el mundo en dos, elegir un lado y negar todo lo que ponga en duda nuestra adhesión al grupo.
Pero sobre todo eso, me callo porque ese silencio es una suerte de tiempo muerto, donde todavía no tengo que elegir un bando ni emprender una infinita campaña política de mis valores fundamentales - porque una vez que la inicie es trabajo que debo tomar en serio.
Mi país todavía vive resquebrajado, entre cientos de pedazos donde se puede distinguir los restos de un muro discursivo. Un país que sufre en su mayoría, seas del color que seas, pero un país enfrentado al fin. Porque la estrategia de esa minoría poderosa que nos vende discursos de diversa índole, de hacernos elegir un bando y atrincherarnos, funcionó en mí y me arrinconó en un lugar donde no quería estar, pero estoy.
Me callo paralizado de pensar que Argentina, será el lugar donde reviva todo eso, esta vez por elección. Me callo paralizado por la idea de que no hay lugar donde esté exento de ello.
Me callo porque aún no me siento con derecho de opinar. Me callo porque tendría tanto para decir que no sabría por donde empezar. Me callo porque todos hablan repitiendo lo mismo y siento que en mi pensamiento, podría estar repitiendo discursos que no son míos y que más vale la pena no perpetuar.
Pero, la verdad es que también me callo, guardando esos gramos de esperanza que impulsan a los románticos a creer que la historia del mundo será distinta esta vez.
Me callo ahora porque no podré hacer silencio mucho tiempo más. Pues ya siento como un deber meterme en cada estado de algún compañero venezolano, que a buenas y primeras lanza juicios fáciles a favor de lo que cree correcto y en contra de lo que cree aborrece. Esa es mi verdad, por ahora.
Este escrito fue editado el 22 de diciembre del 2017, luego de intercambiar ideas con un par de compañeros argentinos que me hicieron ver que muchas de mis ideas no estaban claras. A ellos gracias.
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Un one-off Alfa Romeo en vedette à Salon Privé http://dlvr.it/PXGjKz
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Pour les mordus de l’auto: comment survivre la période de confinement
Par Éric Descarries
Il n’est pas surprenant de voir tant de gens s’ennuyer durant cette période de confinement. Et je crains bien qu’elle doive se poursuivre encore plusieurs semaines, surtout pour les gens de la région métropolitaine de Montréal.
Pour les amateurs de musique, il y a toujours des «shows» de grandes vedettes à la télé. Pour les amateurs de politique, ce ne sont pas les «analyses» qui manquent. Pour les mordus d’actualité…pas besoin de vous faire un dessin, il y en a pour tous les goûts et pour toutes les allégeances. Pour les amateurs de cinéma, pas de problème…il y a même Netflix! Mais pour les amateurs de voitures…pas fort! À moins que vous aimiez les reprises de reprises à la télé et … En fait, il n’y a pas grand-chose…
Si vous êtes un amateur de courses automobile, peut-être vous contenterez-vous de reprises de courses de F1 à un grand r��seau de sports ou à d’anciennes courses de NASCAR à des postes spécialisés comme Fox Racing. Ce même poste vous fera revoir (et revoir) des courses d’accélération alors qu’au poste américain MAVTV, il y aura de vieilles courses sur terre battue ou sur circuit routier…plus ou moins intéressantes vu qu’il n’y a pas grand monde que l’on y connaisse.
Mais en ce qui a trait aux véritables nouveautés de l’industrie automobile, y a-t-il vraiment plusieurs lecteurs de l’actualité automobile qui sont vraiment intéressés à savoir que l’industrie a dû fermer plusieurs usines et que les ventes ont chuté de plus de 70 % en avril? Malheureusement, malgré le nombre impressionnant de sources qui sont mises à notre disposition pour souligner toutes les nouveautés qui apparaissent dans cette industrie…il n’y a pas grand-chose qui nous captive. Peut-être que la dernière nouvelle le moindrement importante fut celle du dévoilement de la Mustang Cobra Jet électrique d’il y a quelques semaines? Oh! Il y a bien quelques rares photos qui nous parviennent de site super-spécialisés illustrant une super bagnole bien camouflée devant être commercialisée d’ici quelques mois en Europe ou une des centaines de «photos-espion» des prochaines Ford Bronco et Bronco Sport (ou Maverick, maintenant) qui devraient nous arriver en été. Mais rien de plus! Pas facile pour les chroniqueurs d’autos de trouver des sujets intéressants ou percutants!
Même les pneus!
Normalement, en ce temps-ci de l’année, il devrait être question de pneus toutes saisons pour l’été. Mais, même ce sujet semble passer sous les radars, plusieurs automobilistes considérant conserver leurs pneus d’hiver tout l’été vu que, si la tendance se maintient, ils n’iront pas bien loin durant la belle saison (et ce, malgré le prix plus abordable de l’essence). Juste au cas où cela vous intéresserait, sachez que j’ai produit deux dossiers sur les nouveaux pneus pour autos et camionnettes sur le site Auto123.com…
«- Le confinement, c’est le temps de revenir à la lecture. Oui, les livres, ça existe toujours! Peut-être y verrons-nous un regain de popularité. Parce que, lire sur un écran n’est pas toujours des plus reposants. Je suis de la vieille école ce qui explique ma collection de quelques centaines de livres sur l’automobile. Mon livre le plus précieux, c’est celui-ci, ce reportage photographique des trois Grand Prix qui ont eu lieu à La Havane soit de 1957, 1958 et 1960 (oui, le troisième s’est déroulé sous le règne de Fidel!). Malgré que les photos soient en noir et blanc, on y voit d’uniques images de La Havane, une de mes villes préférées. Incidemment, ce livre n’est disponible qu’en anglais et il coûte très cher (plus de 200 $ il y a déjà plus dix ans). Vous comprendrez pourquoi je ne le prête pas!»
Dans mon cas…
En ce qui me concerne, je continue d’essayer de me documenter sur ce qui peut se passer en arrière-scène. Pendant que l’on attend de nouvelles voitures et camionnettes, certains constructeurs d’outre-mer sont à étudier la possibilité de fabriquer des pièces majeures en Amérique alors que d’autres soient à réviser leur plan d’attaque. Saviez-vous que Honda s’associe encore une fois avec GM (ces deux comparses ont souvent créé des véhicules ensemble), cette fois pour la création de véhicules électriques? Saviez-vous que Ford et Volkswagen continuent leurs recherches dans la même veine? Et que FCA travaille avec Alfa Romeo pour d’autres contributions…C’est loin d’être fini…à moins que vous soyez excités à l’idée d’apprendre que Land Rover pourrait injecter un V8 fait par Ford ou un moteur semblable fait par BMW sous le capot des tout nouveaux Defender…à production très limitée…ou encore que FCA ait fait enregistrer de nouveau le nom de Dakota soit pour raviver ce pick-up intermédiaire en Amérique ou pour remplacer son Fiat Fullback (né Mitsubishi) dans d’autres continents…
- « Ce livre tout en français a été écrit il y a déjà quelques années. Je l’ai découvert grâce à un article dans Road and Track qui y soulignait les dessins uniques. Les chapitres sont tous consacrés à des voitures qui n’ont pas nécessairement été commercialisées chez nous alors que l’auteur y raconte ses aventures (et surtout mésaventures). Je me suis procuré ce livre l’année dernière via Amazon.fr et ce, à un prix raisonnable. Recommandé aux mordus de voitures classiques surtout européennes.»
Durant cette période de confinement, j’en profite pour reprendre un peu de temps perdu dans mes lectures. Malheureusement, pour mes amis de langue française, il n’y a pas tant de livres sur le sujet que je pourrais vous suggérer sauf, bien entendu, les fameux «guides» québécois. Mais pour ceux qui se «tannent» vite des traditionnels «essais routiers» (dans lesquels on sent un peu de favoritisme) si on veut lire sur de l’histoire et du spectaculaire, il faut savoir maîtriser l’anglais. Oh! Il existe de «beaux» livres en français. Mais, la plupart sont orientés que sur le marché européen avec des évènements et des véhicules qui sont inconnus ou presque chez nous. Il en va de même pour certains magazines en langue française. Ils ne parlent que de voitures qui ne sont pas disponibles en Amérique! Et ils deviennent de plus en plus coûteux et surtout plus difficiles à trouver. Il en va de même pour plusieurs magazines américains bien connus. Avec la fermeture de tant de petits commerces ou d’établissements «non essentiels», ils ne sont plus disponibles à moins que vous fassiez comme moi et que vous vous abonniez aux versions numériques de ces publications (qui commencent aussi à manquer de sujets…lisez l’éditorial de Car and Driver paru cette semaine).
- « Le livre le plus sympathique de ma collection (et peut-être un des plus originaux) est certainement celui-ci, Flywheel. Il a été écrit par des soldats britanniques prisonniers dans un camp allemand. Pendant leur détention, ces mordus de l’auto ont eu l’idée géniale de se créer un «magazine» sur l’auto tout écrit à la main et illustré par des dessins originaux. Heureusement, quelqu’un a eu la brillante idée de le conserver et il fut repris et publié longtemps après la guerre. Intéressant à lire pour celui (qui sait lire l’anglais et…) qui aime les sportives d’avant-guerre surtout britanniques. Il devrait être disponible en quelque part sur Amazon…»
Sinon, je me replonge dans certains de mes «vieux livres» (et des tout neufs) qui, pour la majorité des cas, sont axés vers l’histoire de l’automobile et des courses, des sujets intarissables qui pourraient détrôner, du moins pour un certain moment, l’actualité automobile. J’en possède plusieurs, des centaines…Et je les aime tous. Mais encore une fois, pour la très grande majorité, ils sont en anglais. Se pourrait-il que l’intérêt pour l’automobile soit condamné au Québec?
- « Ceux qui me connaissent savent que j’ai une passion pour tout ce qui est Cobra et Carroll Shelby (que j’ai déjà rencontré quelques fois dans ma vie…). Vous ne serez donc pas surpris que je possède un bon nombre de livres sur le sujet tant en français qu’en anglais dont ce tout récent volume qui nous explique comment un ancien haut-placé de Ford, Chris Théodore, a réussi à retrouver l’étude de style Cobra de Ford du début des années 2000 alors qu’il soit à le retaper pour qu’il soit fonctionnel (malgré qu’il ne pourra jamais le «plaquer»). C’est fort possiblement la dernière Cobra que Shelby a pu conduire dans sa vie. On l’a même vu à la télé. J’ai lu ce livre de Cobra à moteur V10 en deux (longues) soirées. Pas un chef d’œuvre de littérature mais très intéressant. Je l’ai trouvé à la librairie Chapter’s à Dorval et il y est toujours disponible ne serait-ce qu’en le commandant par la poste via le site de Chapter’s.»
Si l’on se tourne vers les sujets automobile à la télé, sauf pour les courses du passé et deux ou trois productions québécoises (qui seront rapidement dépassées par l’Internet), il n’y a que quelques émissions véritablement intéressantes sur «le câble» qui, malheureusement, deviendront rapidement désuètes et qui repasseront en boucle «ad nauseam» comme «FantomWorks», les innombrables épisodes de remorquage et j’en passe. J’aime toujours «Chasing Classic Cars» et «Cars That Rock»…mais que ces émissions sont reprises si souvent!
- Si vous êtes mordus des courses d’endurance et surtout du légendaire circuit du Mans, voici une collection de six livres sur l’évènement annuel des 24 Heures du Mans avec des détails incroyables mais à un prix assez élevé (autour des 80 $ chacun et disponible par Internet chez Chapter’s ou Amazon).
Toutefois, je ne lâche pas prise. J’espère visiter éventuellement quelques ateliers québécois qui réparent, préparent ou restaurent toutes sortes de véhicules afin de vous en faire part. Puis, il y a toutes ces autos de collection extraordinaires qui tardent à se montrer le bout du nez parce que leurs propriétaires n’osent pas les sortir (mais encore, pour aller où ?). La «vie automobile» existe encore chez nous. Elle n’est que léthargique pour le moment. Et avec quelque quarante ans de reportages de tout genre «derrière la cravate», j’ose espérer que je trouverai, pour les amateurs de voitures, de camionnettes et d’autres sujets automobile, des sujets intéressants à lire et à visionner. On ne lâche pas!....
- « Voici un livre assez inusité. C’est un volume en français sur un pilote de stock-car en France! Je l’ai trouvé sur Internet et je l’ai reçu très rapidement. Au début, on se croirait en Amérique avec des stock-car des années cinquante, soit des coupés Ford à moteur V8 Flathead. Mais plus tard dans sa carrière, notre héro s’est retrouvé avec un coupé Jaguar XK150, celui que l’on voit en page couverture.»
- « Enfin, je me suis donné la liberté de vous montrer un de mes premiers livres qui m’a fortement incité à débuter une collection. Ce livre sur les camions Ford de tous gabarits fait partie de l’ancienne collection Crestline qui sont remplis à craquer de photos en noir et blanc (quelque 3000 à 4000 par livre) et qui sont encore très recherchés. Allez fouiller sur Internet et vous verrez.»
Vous souvenez-vous de Gilles?
Il y a déjà 38 ans que le héros de bien des Québécois se tuait au Circuit de Zolder en Belgique. On était le 8 mai 1982 et vous aurez deviné que je parle de Gilles Villeneuve. Il aurait tellement pu être notre premier champion mondial en Formule Un. Heureusement, Gilles nous a légué son fils, Jacques, qui, lui, a réussi à la faire et, en même temps, nous remémorer Gilles. Mais le temps passe et Jacques fait maintenant partie de la grande famille NASCAR (Euro). Espérons que ses exploits continueront de nous rappeler son père, un des pilotes les plus spectaculaires de l’histoire de la Formule Un.
Salut Gilles!
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Escape Plan 3 - Bande-annonce américaine
Escape Plan 3 - Bande-annonce américaine #EscapePlan3 #SylvesterStallone #DaveBautista
Nous avons aujourd’hui un nouvel aperçu d’Escape Plan 3, actuellement en post-production.
Affreusement nommé Escape Plan: The Extractors, le divertissement met en vedette Sylvester Stallone (Creed) et Dave Bautista (Guardians of the Galaxy), Jamie King (Sin City), Devon Sawa (Final Destination), Max Zhang (Ip Man 3), Russell Wong (Romeo Must Die) et Daniel Bernhardt (Atomic Blonde).
Escape Plan…
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Escape Plan 3 - La bande-annonce !!!
Escape Plan 3 - La bande-annonce !!! #BandeAnnonce #EscapePlan3 #SylvesterStallone #DaveBautista #MaxZhang
Nous avons aujourd’hui un premier aperçu d’Escape Plan 3, actuellement en post-production.
Affreusement nommé Escape Plan: The Extractors, le divertissement met en vedette Sylvester Stallone (Creed) et Dave Bautista (Guardians of the Galaxy), Jamie King (Sin City), Devon Sawa (Final Destination), Max Zhang (Ip Man 3), Russell Wong (Romeo Must Die) et Daniel Bernhardt (Atomic Blonde).
Escape…
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Maximum Impact - Date de sortie nord-américaine
Maximum Impact - Date de sortie nord-américaine #BandeAnnonce #MaximumImpact #MarkDacascos #AlexanderNevsky
Le réalisateur Andrzej Bartkowiak (Romeo Must Die) est de retour avec la comédie d’action Maximum Impact mettant en vedette Alexander Nevsky (Showdown in Manila), Kelly Hu (The Scorpion King), William Baldwin (The Purge), Tom Arnold (True Lies), Mark Dacascos (John Wick 3: Parabellum), Matthias Hues (Dark Angel) et Danny Trejo (Machete).
Le long-métrage débute alors que la petite-fille du…
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#Alexander Nevsky#Andrzej Bartkowiak#Danny Trejo#Eric Roberts#Kelly Hu#Mark Dacascos#Matthias Hues#Tom Arnold#William Baldwin
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Nissan Titan et Pathfinder, Légendes, NASCAR et Mustang GT
Le 11 juillet 2017
Je suis un passionné de voitures et de camions, peu importe la marque, le modèle ou l’année de fabrication. Vous l’avez certainement constaté depuis les quelques dernières semaines. Récemment, je suis passé de Wildwood à Indianapolis, j’ai couvert des évènements de Montréal sous la pluie et ainsi de suite. Depuis les quelques derniers jours, je me suis envolé vers Toronto et surtout la (superbe) région de Muskoka au nord de la métropole canadienne (voulez-vous savoir où l’argent est au Canada?...Allez jeter un coup d’œil dans cette région!), je suis monté au circuit de Tremblant puis, je me suis rendu de Laval à Mirabel pour des courses de circuit routier et à l’Autodrome Saint-Eustache pour des courses en circuit ovale. Faut-y aimer l’auto et les courses pour cela? Ah oui! J’oubliais de mentionner…une grande partie de ces déplacements se sont faits en Mustang GT!
Nissan fait des vagues…
Par ordre chronologique, mon aventure «automobile» a débuté par un programme de Nissan au nord de Toronto. Le constructeur d’origine japonaise avait organisé une excursion dans la superbe région de Muskoka (deux heures au nord de Toronto où il y a d’incroyables lacs dont ceux de Saint-Joseph et Muskoka où les plus fortunés de la grande ville canadienne y ont de maisons d’été fabuleuses valant des millions de dollars…) dans laquelle nous étions invités à conduire des camionnettes Nissan tirant des remorques avec des bateaux.
Mon premier choix fut celui d’un grand Titan avec le V8 turbodiesel Cummins d’abord sans charge, puis avec une remorque sur laquelle était assise un bateau-ponton Legend de dimensions respectables. Vous vous doutez qu’avec ses 310 chevaux et 555 li-pi de couple avec boîte automatique Aisin à six rapports lui permettant une capacité de remorquage de 12 1010 livres, cet ensemble ne demandait aucun effort au Titan. J’ai donc conduit la première portion du trajet sur la 400 vers Barrie sans la remorque et la suite avec la remorque et le bateau sur une route de campagne plus sinueuse mais plus lente sans que je n’y constate quelque différence d’effort que ce soit. Le seul gros problème que j’ai pu y constater fut la dimension trop réduite de l’écran de marche arrière qui m’aurait plus aidé à aligner l’attache de remorquage à la remorque en manœuvre d’arrimage.
Le grand Nissan Titan XD n’a éprouvé aucune difficulté à tirer cette remorque chargé d’un ponton Legend. (Photo Éric Descarries)
L’évènement de Nissan m’a aussi permis de faire connaissance avec plusieurs marques de bateaux dont Mastercraft qui nous a permis d’essayer un modèle 23T, un yacht de performance mû par un très puissant V8 Ilmor (né GM) de 6,2 litres qui permettait à l’embarcation de filer à quelque 40 m/h (65 km/h).
Ce Titan à essence a servi à la mise à l’eau d’un superbe bateau Mastercraft. (Photo Éric Descarries)
Pour le retour, j’ai eu droit à un Nissan Pathfinder à traction intégrale dont la capacité de remorquage était de 6 000 livres. Son nouveau V6 de 284 chevaux et 259 li-pi de couple lui permettait de tirer un autre bateau impressionnant pesant plus de 4 000 livres. Toutefois, contrairement au Titan diesel, le Pathfinder exprimait plus d’effort sur les routes sinueuses de la Baie Georgienne. Mais, il s’est quand même acquitté facilement de la tâche. Notez que Nissan avait aussi mis à notre disposition un grand VUS Armada V8 avec une capacité de remorquage de 8500 livres (contre 6400 pour le Chevrolet Tahoe, 7100 pour le Toyota Sequoia et 6500 pour le Ford Expedition). Cet Armada, rappelons-le, est basé sur le Nissan Patrol de production mondiale. Mais je n’ai pas eu le temps de le conduire avec une remorque attachée.
J’ai conduit ce Pathfinder avec cette remorque pour le retour. (Photo Éric Descarries)
Voilà un véhicule qui m’a échappé et que j’aurais aimé conduire, le tout récent Armada avec remorque. (Photo Éric Descarries)
Nissan avait organisé cet évènement avec BOATsmart afin de souligner l’entente entre les deux entreprises. BOATsmart est un organisme qui met de l’avant la sécurité aux commandes de toute embarcation au Canada et Nissan en est un de ses supporters et commanditaires. D’ailleurs, le constructeur fournit trois véhicules à BOATsmart dont deux pick-up Titan complètement lettrés aux identifications de l’organisation.
Le Sommet des Légendes
Étant mordu de l’automobile, je suis aussi un fana des courses automobile dont, bien entendu, les épreuves de «Vintage». C’est pourquoi je me suis rendu, vendredi dernier, à la journée de pratique et de qualifications du Sommet des Légendes au Circuit Mont-Tremblant. Je regrette vraiment que si peu de publicité ait été faite sur cet évènement car, malgré le fait qu’il n’y ait eu que 80 véhicules d’inscrits, le déplacement en valait la peine. D’ailleurs, en voici quelques images :
Voir ces vieilles Lotus et Porsche en action sur piste à Tremblant est un vrai régal pour un amateur de voitures de course anciennes. (Photo Éric Descarries)
Le Britannique devenu californien Peter Giddings revient année après année au Sommet des légendes. Cette fois il conduisait un de ses Alfa Romeo P3 1931. (Photo Éric Descarries)
Qui ne reconnaîtrait pas la silhouette légendaire d’une Lola T70 à moteur Chevrolet? (Photo Éric Descarries)
Journée de courses à ICAR incluant NASCAR
Puis, samedi, je me suis rendu au Circuit ICAR à Mirabel pour le Grand Prix ICAR Ecko Unlimited qui mettait en vedette les voitures de la série canadienne CTCC, les voitures québécoises SCP (Super Production Challenge et une manche du championnat canadien NASCAR Pinty’s, le tout sur un circuit plus court que dans le passé ce qui devait relever la compétition et ajouter au plaisir des spectateurs.
C’est ce qui s’est passé alors que Kurt Wittmer, le «p’tit dernier» de la famille en course a gagné les grands honneurs de la SCP tandis que les Kwok, Sahakian, Dargis, Kingsley et autres se sont distingués en CTCC.
Les autos de la série SCP en action sous la pluie à ICAR. (Photo Éric Descarries)
Trois de large sur une piste détrempée. (Photo Éric Descarries)
Kurt Wittmer, vainqueur à ICAR. (Photo Éric Descarries)
La course NASCAR Pinty’s a débuté très lentement sur le circuit de 1,57 kilomètre alors qu’Alex Tagliani menait le peloton à la queue leu-leu. Mais vers la fin de l’épreuve, les évènements se sont mis à changer (un peu «aidés» par le pilote local Kevin Lacroix) tandis que Marc-Antoine Camirand prenait la tête. Malheureusement, un drapeau jaune et une relance sont venus lui compliquer la vie pour sa première course de la saison et le drapeau à damier est finalement tombé sur Lacroix dont les légères bousculades ne viendront pas l’aider à se faire des amis!
Tagliani et Lacroix ont ouvert le bal en NASCAR à ICAR. (Photo Éric Descarries)
C’est Kevin Lacroix qui a finalement remporté l’épreuve. (Photo Éric Descarries)
N’écoutant que mon courage (!) je me suis rapidement rendu à l‘Autodrome St-Eustache pour voir les dernier tours de la course de l’ACT qui, elle aussi, a connu sa part de bousculades ce qui a enlevé une victoire qui semblait assurée à Jean-François Déry (il n’était pas content après la course, comme il l’a démontré envers Donald Theetge). C’est finalement Patrick Laperle qui a remporté l’épreuve de 100 tours. Une autre épreuve de 100 tours, pour les Sportsman NASCAR de la piste, celle-là nous aprouvé pourquoi le jeune Steve Côté est une des vedettes montantes du sock-car au Qébec. Alors qu’il se battait pour la deuxième place lors des 20 premiers tours de la course, il a été bousculé et il a dû repartir à la fin du peloton de 23 voitures. Il a quand même réussi le tour de force de gagner l’épreuve encore une fois!
Patrick Laperle (no 41) a gagné l’épreuve ACT de St-Eustache. (Photo Éric Descarries)
L’atmosphère était aussi tendue qu’excitante en NASCAR Sportman samedi soir à St-Eustache. (Photo Éric Descarries)
Une semaine en Mustang GT
Je ne refuse jamais une Mustang lorsqu’on m’en propose une. Curieusement, lorsque j’étais jeune, je préférais d’autres types de Ford alors que mes jeunes frères utilisaient des Mustang. Ce n’est que depuis quelques années que j’ai vraiment découvert le plaisir de conduire les Mustang, surtout celles des dernières générations qui ont su s’illustrer en course automobile (il faut que j’avoue que les Mustang ont toujours connu une belle réputation en compétition, débutant en rallye en 1964...)
J’ai donc utilisé un coupé Mustang GT 2017 pour mes récents déplacements. C’est fou ce que le son d’un puissant V8 peut avoir comme effet sur tout amateur de voitures. Le V8 de 5,0 litres à arbres à cames en tête de cette auto est devenu une véritable légende. Il est identifié sous le nom de Coyote. Il fait 435 chevaux et 400 li-pi de couple et ça paraît, surtout combiné la boîte manuelle à six rapports. La version 2017 est difficile à reconnaître des autres années sauf pour quelques options. Ce ne sera qu’en 2018 que certaines options mécaniques disparaîtront dont le moteur V6! Il n’y aura que le quatre cylindres turbocompressé Ecoboost de 2,3 litres et le V8 de 5,0 litres au catalogue. J’ai bien hâte d’y essayer la boîte auto à dix rapports mais, quant à moi, la manuelle demeurera ma préférée. La voiture qui me fut confiée avait des options importantes comme la peinture jaune triple (550 $), l’ensemble audio avec 12 haut-parleurs (2000 $), les bandes noires sur le toit et le capot (600 $), le régulateur de vitesse adaptatif (1600 $) et surtout l’ensemble de performance avec roues peintes de 19 pouces et leurs pneus Pirelli P Zero, et rapport de pont de 3,73 (3600 $). Si le déflecteur arrière a été éliminé, l’auto a reçu un ensemble décoratif «Premium» (500 $), le système de détection en marche arrière (350 $), le système de navigation avec reconnaissance de la voix et surtout des sièges de cuir Recaro avec ajustements manuels (1800 $). Toutes ces options en plus de la (toujours aussi ridicule) taxe d’accise sur le climatiseur (100 $) et des frais de livraison (1650 $) ajoutées au prix de base de 44 398 $ font grimper la facture à pas moins de 58 898 $ ! Me semble que les Mustang étaient moins coûteuses que cela dans le passé…
La Mustang GT est dans son élément à un circuit comme celui du Mont-Tremblant. (Photo Éric Descarries)
L’ensemble de performance fait que le déflecteur arrière de la Mustang disparaît. (Photo Éric Descarries)
Outre le fait de demeurer un voiture de très haute performance, il faut admettre que la Mustang GT est aussi une grande routière avec un comportement étonnant, une direction précise et des freins puissants. Croyez-le ou non, la Mustang est devenue la «voiture sport la plus vendue au monde» dépassant même les ventes de certaines Porsche en Allemagne! Mes déplacements se sont donc surtout déroulés dans mon patelin et sur l’autoroute 15. À un certain moment donné, j’ai même atteint une consommation de 10,5 L/100 km à une vitesse de croisière de 110 km/h! Pas si mal pour un «gros V8». Autrement en ville, on doit s’attendre à quelque 16 L/100 km. Selon mes calculs à la pompe, j’ai obtenu une moyenne de 12,2 L/100 km (le compteur marquait 11,9).
Le tableau de bord de la Mustang est à la fois d’un design classique et moderne. (Photo Éric Descarries)
Pour les places arrière, disons que l’on réserve cela aux enfants. (Photo Éric Descarries)
Le sub-woofer de la sonorisation optionnelle prend beaucoup de place dans le coffre de la Mustang GT. (Photo Éric Descarries)
Le V8 Coyote de la Mustang 5,0 litres.
Ce que j’aime des Mustang GT, c’est leur performance, le son du V8, le comportement routier et surtout leur «look» (d’ailleurs, le légendaire Bob Lutz qui a été administrateur chez Ford, BMW, Chrysler et finalement GM affirmait récemment dans un magazine que si les Mustang étaient plus populaires que les Camaro, c’était surtout dû à la superbe apparence de la Ford). Ajoutez à cette liste un coffre plus logeable que celui de la Camaro mais dont le sub-woofer optionnel prend trop de place.
Ce qu’il y a à réviser? Pas toujours facile à garer. Les sièges arrière ne sont utiles que pour les petits enfants alors que la version à boîte manuelle émet un son sourd chaque fois que l’on presse sur la pédale d’embrayage. Prêtez moi une Mustang n’importe quand…mais si je devais en acheter une, ce serait un cabrio!
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Dodge Charger SXT Rallye AWD et Salon de l’Auto Sport de Québec
Lorsqu’on m’a proposé une grande berline Dodge Charger SXT Rallye à traction intégrale, je me suis rendu compte qu’elle arrivait au moment même où je comptais voyager un peu incluant une excursion d’une journée de Laval à Québec. À bien y penser, voilà le véhicule idéal pour une telle ballade. Je ne l’ai pas regretté.
Ce n’est pas la première fois que je conduis des Dodge Charger. La dernière, c’était une de ces folles versions Hellcat avec moteur de 707 chevaux. Mais, malgré la réputation féroce de ces voitures aux allures, avouons-le, plutôt agressives, la plupart des acheteurs iront du côté du moteur V6 Pentastar au lieu d’un des multiples V8 HEMI au catalogue. Dans le cas qui nous intéresse ici, alors que toutes les Charger ont une boîte automatique à huit rapports et, de base, la propulsion, la traction intégrale optionnelle (AWD) n’étant disponible qu’avec le V6 en 2017.
La Charger a été récemment retouchée et elle a perdu cette massive calandre avec une croix au centre remplacée par une calandre moins évidente et surtout des phares plus aérodynamiques. Au début, j’étais un déçu de ces changements mais avec le temps, je me suis réconcilié avec ce nouvel avant. Le reste de la caisse demeure pareille à celle des Charger (modernes) de la deuxième génération (2011). Sous la voiture se retrouve la même plateforme (ou presque) que celle qui fut utilisée comme base pour cette auto en 2005. Vous vous souvenez qu’à l’époque, Chrysler était combiné à Daimler Benz et que ce fut une plateforme déjà abandonnée par le constructeur allemand qui fut choisie pour les nouvelles grandes voitures LX de Chrysler (Chrysler 300, Dodge Charger et ultimement, Dodge Challenger). Malgré tout, cette technologie a bien passé l’épreuve du temps et il semble que les acheteurs de Charger-300-Challenger l’aiment bien puisque la Charger est la grande berline la plus vendue au Canada, dépassant les Ford Taurus et Chevrolet Impala concurrentielles. Plus encore, FCA (le nouveau nom de Chrysler) en a adopté la version à traction intégrale sous sa nouvelle Challenger GT. Toutefois, pas de V8 (sauf pour les Charger Enforcer de police)! Espérons qu’elle continuera de plaire aux consommateurs puisque FCA a l’intention de la conserver encore deux ou trois ans, le temps de laisser les ingénieurs adapter la plateforme de la nouvelle Alfa Romeo Giulia sous le nouveau design à venir de la future Charger.
Malgré les récentes retouches, la Charger conserve un look agressif. (Photo Éric Descarries)
L’arrière de la Charger se distingue par des feux LED très visibles de nuit. (Photo Éric Descarries)
Revenons donc à la Charger qui me fut confiée. Comme écrit plus haut, elle avait pour moteur le V6 Pentastar de 3,6 litres de Chrysler, un moteur qui a été si souvent vanté pour son efficacité et sa consommation d’essence raisonnable. Il fait 300 chevaux et 264 livres-pied de couple ce qui, combiné avec l’automatique à huit rapports, suffit grandement à déplacer cette grande berline (sportive?) de plus de 4 000 livres avec aisance. La traction intégrale est des plus transparentes car, en général, la puissance est transmise aux roues arrière. Lorsque le système constate que les roues arrière commencent à manquer d’adhérence, une partie de cette puissance est relancée aux roues avant, un système idéal pour notre climat hivernal! Pour plus d’efficacité, FCA Canada avait changé les pneus d’origine Hankook pour des Goodyear Ultra Grip Ice (que je connais très bien puisque ce sont les mêmes pneus qui chaussent notre Ford Freestar…). Heureusement, il n’a pas neigé cette semaine mais il a plu. Les Ultra Grip sont un peu bruyants sur pavé sec mais le son n’est pas si envahissant. La direction avec assistance électrique n’est peut-être pas aussi rapide que celle d’une voiture de sport mais elle permet une conduite relativement précise. La voiture qui m’a été prêtée avait une commande Sport au centre du tableau de bord qui, une fois pressée change certaines fonctions de la boîte automatique et de la traction intégrale mais qui, selon ce que j’ai pu constater, le change en rien la fermeté de la suspension.
Le moteur le plus populaire des Charger est le V6 Pentastar de 3,6 litres. C’est d’ailleurs le seul disponible avec la traction intégrale. (Photo Éric Descarries)
FCA avait installé de très efficaces pneus d’hiver Goodyear Ultra Grip Ice WRT (Winter Reactive Technology)
L’intérieur des Charger est vaste à souhait avec beaucoup d’espace pour les jambes des occupants avant et arrière et suffisamment de débattement pour la tête de ceux d’avant…un peu moins pour ceux d’arrière s’ils sont un peu grands. Les sièges (chauffants) à l’avant sont confortables mais seul celui du conducteur a des accessoires de confort comme la pompe lombaire. Le tableau de bord est d’un design simple et efficace avec une instrumentation facilement lisible (et des choix de pages d’information facilement choisie par les commandes au volant). J’ai surtout bien aimé le grand écran au centre (8,4 pouces) dont l’image de la caméra de recul est d’une grande clarté. Le système UConnect révisé est encore plus facile que jamais à utiliser et j’ai bien apprécié certaines informations utiles avec la navigation dont la distance entre les rampes d’accès des autoroutes et plus encore. Et si vous vous y connaissez, sachez que le système est compatible Apple CarPlay et Android Auto. Le seul point négatif, c’est que la commande du chauffage des sièges n’est disponible que par toucher à l’écran du centre ce qui peut distraire le conducteur. Quant au coffre, vous constaterez qu’il est assez grand malgré l’intrusion des pentures.
Le tableau de bord utilise une instrumentation commune à plusieurs produits Chrysler. (Photo Éric Descarries)
Les designers de FCA ont inclus de petits détails amusants à l’intérieur de la Charger. (Photo Éric Descarries)
Les places arrière sont relativement grandes mais le toit peut être un peu bas pour les grandes personnes. Remarquez le tissu pied-de-poule sur les sièges. (Photo Éric Descarries)
Le coffre est grand même s’il y a de l’espace rongé par le «sub-woofer» et par l’intrusion des grandes pentures. (Photo Éric Descarries)
Sur la route
J’ai bien utilisé cette Charger tant en condition urbaine que sur grand-route. Malgré ses dimensions supérieures à celles d’une voiture compacte, la voiture se manie assez facilement en toutes circonstances. Seule note négative, le déflecteur avant est très bas et il risque de s’endommager contre les butoirs de ciment en se garant. La visibilité n’est pas si mauvaise sauf pour la vue trois-quarts arrière légèrement compliquée par l’angle des vitres. Les accélérations sont impressionnantes pour un moteur V6 dans une caisse si lourde (moins de sept secondes pour passer du point mort à 100 km/h) et les reprises sont rassurantes. Le conducteur peut mieux profiter de la boîte de vitesses automatique soit en la maniant au levier ou en utilisant les palettes au volant. Moi, ce que j’aime, c’est de rétrograder avec les palettes pour ralentir sans freiner dans les sorties d’autoroute. Toutefois, avec huit rapports, l’effet est un peu moins convaincant. La tenue de route est surprenante de précision encore une fois malgré le poids élevé…quoiqu’il impose sa présence provoquant un certain sous virage ! Le freinage ne m’a pas causé de surprises.
Toutefois, ce que j’ai beaucoup aimé, c’est le silence de roulement et la stabilité de la voiture sur autoroute. J’aime les grandes voitures, je l’avoue. Mais celle-ci m’impressionne beaucoup. Oui, elle est un peu gourmande en ville (FCA Canada en annonce une consommation moyenne de 12,8 L/100 km) mais sur la route, elle fait aussi bien sinon mieux que les 8,7 du constructeur. En ce qui me concerne, j’ai obtenu une moyenne de 11,7 L/100 km alors que l’indicateur au tableau de bord affichait 10,1. Quant à la moyenne sur autoroute, j’ai réussi à la faire baisser à 9,2 en roulant 112 km/h avec le régulateur de vitesse. La consommation pourrait être encore moindre à quelque 100 km/h.
En ce qui a trait aux prix, FCA nous indique que le prix de base d’une Charger SXT Rallye à traction intégrale débute à 41 145$. Ajoutons-y le tissu pied-de-poule optionnel des sièges (40$), l’ensemble «Commodité conducteur» (incluant la caméra de recul, surveillance des angles morts, rétroviseur auto-atténuant, etc…) (995$), le système de navigation (avec CarPlay/Android Auto) (875 $), l’ensemble Rallye (incluant le becquet arrière et les jantes de 19 pouces, l’amplificateur de 552 watts de la radio et les palettes de changement de vitesse au volant) et l’incroyablement ridicule taxe d’accise de la climatisation (100$), on en arrive, avec les frais d’expédition de 1795 $, à un total de 46 345 $.
Cette Charger pourrait avoir pour concurrentes les Ford Taurus, Chevrolet Impala, Nissan Maxima, Toyota Avalon et quelques autres voitures. Notons, toutefois, que si l’on regarde du côté européen, les prix ne peuvent plus se mesurer. Et je n’aurais pas peur de tester cette Dodge face à ces voitures…
Le 48e Salon de l’auto-Sport de Québec
Comme annoncé dans ce blogue la semaine dernière, le 48e Salon de l’auto-Sport de Québec s’est déroulé le week-end dernier à l’Expo-Cité de la Capitale Nationale. C’est toujours le rendez-vous annuel des amateurs de voitures modifiées, de voitures de course et d’autres véhicules d’exception. Ce qui est remarquable, c’est que ce salon met en vedette surtout des autos de la région de Québec. Soulignons que l’animateur Martin D’Anjou a repris la direction de ce légendaire évènement et qu’il l’a même agrandi!. En voici quelques images :
Ce que les amateurs du Salon de l’Auto-Sport de Québec veulent voir, des «hot-rod»! (Photo Éric Descarries)
Le Salon de l’Auto-Sport de Québec accueille aussi plusieurs voitures de course locales. (Photo Éric Descarries)
Cette Plymouth Valiant 1961 était presque originale! (Photo Éric Descarries)
Les anciennes Bronco sont de plus en plus recherchées et elles affichent un prix de plus en plus élevé. (Photo Éric Descarries)
Une véritable découverte, une Frontenac 1928 construite en Ontario. La marque n’aura survécu que deux ans! Celle-ci a été découverte complète et elle est la propriété d’un collectionneur de la région de Québec. (Photo Éric Descarries)
Fidèle au rendez-vous, mon bon ami André Larue (fondateur de l’entreprise qui construit les souffleuses Larue) exposait au Salon de Québec deux de ses camions anciens, l’un d’eux avec une de ses autos de collection, un cabriolet Barracuda. (Photo Éric Descarries)
La vedette du salon était cette Buick Riviera rebaptisée Rivision. C’est l’œuvre du «customizer» Jean-François Lausnier qui a débuté avec une carcasse de 400 $. Il y a mis 20 000 heures de travail et elle aurait été récemment vendue 290 000 $. Il y a même l’histoire complète de la construction de cette spectaculaire auto dans Klassic Plus no 3 d’Adrenaline (toujours disponible au http://www.klassicplus.com/)
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