#Restaurants Athènes
Explore tagged Tumblr posts
santorinetcrete2023 · 1 year ago
Text
Retour à Athènes pour quelques heures
Nous voici de retour à Athènes, là où notre voyage a commencé il y a deux semaines. Surprise en arrivant en ville, il y a énormément de trafic et le taxi avance à pas de tortue. On se dit que c’est peut-être normal, mais quand le taxi fait demi-tour dans une artère principale de la ville, en nous disant « strike », on comprend qu’il y a quelque chose d’anormal. On voit la police qui bloque la rue et on entend des sirènes. Tout ça dure un temps fou alors que le taxi franchit un barrage policier après avoir discuté avec un agent qui n’avait pas l’air content. Un moment donné, le chauffeur nous dit de descendre et de continuer à pied, car il ne peut plus avancer. Pas trop grave, car il nous reste pas une grande distance à marcher. Apparemment, tous les employés de tous les secteurs d’emploi sont en grève. Pas d’autobus, de métro, le chaos. Demain, ce sera ok pour notre retour, heureusement.
On a mangé des croissants pour dîner et après, on a découvert des coins qu’on avait pas encore visité. Le ciel était voilé, heureusement, car le soleil était un peu moins dérangeant.
Pour le souper, on a fait une transition en allant dans un restaurant italien. Comme on revient à Montréal, on délaisse lentement les mets grecs typiques mangés pendant deux semaines.
Pour digérer le tout, on s fait une promenade dans les rues à la tombée de la nuit. Magique!!
Demain, on nous prendra à l’hôtel à 8 h 45. Un vol d’une durée de 10 h 15 nous attend.
2 notes · View notes
savoir-entreprendre · 9 months ago
Text
Tumblr media
L'Europe est un paradis culinaire offrant une diversité de saveurs qui séduisent les amateurs de gastronomie du monde entier. Parmi les nombreux joyaux que le vieux continent propose, voici les 10 destinations gastronomiques incontournables en Europe. Barcelone, Espagne Barcelone est une ville où la cuisine méditerranéenne s'épanouit avec des tapas délicieuses, du jambon ibérique et des fruits de mer frais. Les marchés animés, tels que La Boqueria, regorgent de produits locaux et offrent une expérience culinaire authentique. Prague, République tchèque La cuisine tchèque traditionnelle, copieuse et délicieuse, est à l'honneur à Prague. Les plats comme le goulasch, les knedlíky (sorte de dumplings) et le trdelník (pâtisserie sucrée) vous plongeront dans une expérience gastronomique unique. Lisbonne, Portugal Lisbonne séduit par sa cuisine riche en saveurs marines. Des plats de poisson frais aux célèbres pastéis de nata, la capitale portugaise est un festin pour les sens. Les restaurants traditionnels, appelés tascas, sont parfaits pour déguster des plats authentiques. Madrid, Espagne La capitale espagnole, Madrid, est un paradis pour les amateurs de tapas. Des bars à tapas animés aux restaurants étoilés au Guide Michelin, la diversité des saveurs madrilènes est un voyage gustatif inoubliable. Paris, France Paris, la ville de l'amour, est également un épicentre de la cuisine raffinée. Des croissants fraîchement cuits aux plats gastronomiques dans les bistros élégants, Paris célèbre la cuisine française dans toute sa splendeur. Cracovie, Pologne Cracovie est réputée pour sa cuisine copieuse et savoureuse. Les pierogi (raviolis polonais), le kiełbasa (saucisse polonaise) et les plats à base de champignons sauvages sont des incontournables à découvrir dans cette ville historique. Budapest, Hongrie La cuisine hongroise, avec ses saveurs épicées et riches, trouve son apogée à Budapest. Le goulasch hongrois, les saucisses épicées et les pâtisseries sucrées sont quelques-unes des délices que la capitale hongroise a à offrir. Porto, Portugal Porto, la ville pittoresque au bord du Douro, est célèbre pour son vin de porto, mais également pour sa cuisine délicieuse. Les plats à base de poissons et fruits de mer sont particulièrement appréciés, tout comme les spécialités régionales. Berlin, Allemagne Berlin offre une variété de saveurs allant des classiques allemands tels que les saucisses et le schnitzel aux influences internationales dans les quartiers branchés de la ville. Les marchés alimentaires et les stands de street food ajoutent une touche moderne à la scène culinaire. Athènes, Grèce La cuisine grecque, avec ses saveurs méditerranéennes, est mise à l'honneur à Athènes. Des gyros aux salades grecques, en passant par le moussaka, la capitale grecque offre une expérience culinaire mémorable dans un cadre historique. Chaque destination de cette liste offre une expérience gastronomique unique, reflétant l'histoire, la culture et la passion culinaire de sa région. Que vous soyez un amateur de fruits de mer méditerranéens, de plats copieux d'Europe centrale ou de délices sucrés portugais, l'Europe a de quoi satisfaire tous les palais. Bon appétit !
0 notes
latribune · 11 months ago
Link
0 notes
solisjetflights · 1 year ago
Text
2023 Noël En Europe ? 3 Destinations Qui Vous Réchaufferont
À l’approche des fêtes de fin d’année, de nombreuses personnes commencent à planifier leurs vacances de Noël en Europe. Bien que l’Europe soit connue pour ses hivers froids, certaines destinations offrent une expérience de Noël chaleureuse et confortable. Dans cet article, nous allons explorer trois destinations européennes qui vous réchaufferont et vous feront passer un Noël mémorable en 2023.
Barcelone, Espagne : Une fête de Noël ensoleillée
Lorsque vous envisagez de passer Noël en Europe, une destination ensoleillée comme Barcelone n’est peut-être pas la première qui vous vient à l’esprit. Pourtant, cette ville espagnole dynamique offre une expérience de Noël unique et délicieuse.
Les marchés de Noël de Barcelone, connus sous le nom de « Fira de Santa Llúcia » et « Fira de Nadal a la Sagrada Família », sont à visiter absolument. Vous pouvez flâner dans ces marchés, savourer les délices traditionnels espagnols comme les churros et le chocolat chaud tout en parcourant les étals remplis d’artisanat et de cadeaux uniques. Le climat méditerranéen doux vous évite de vous emmitoufler dans de lourds manteaux d’hiver, et vous pouvez profiter d’activités de plein air comme le patinage sur glace dans le centre-ville.
L’un des points forts de Noël à Barcelone est l’atmosphère festive qui règne dans le quartier gothique. Les rues étroites et sinueuses sont magnifiquement décorées de lumières scintillantes et de crèches. Ne manquez pas l’occasion d’assister à la célèbre tradition catalane du « Caga Tió », une bûche qui fait « tomber » les cadeaux pour les enfants la veille de Noël.
En outre, Barcelone accueille de nombreux concerts, défilés et autres événements culturels pendant la période des fêtes. Vous pouvez assister à un concert de Noël au Palau de la Música Catalana ou à un spectacle de flamenco traditionnel.
Dans l’ensemble, Barcelone offre un mélange unique de traditions de vacances, un climat doux et une atmosphère vibrante qui réchauffera votre cœur pendant les fêtes de Noël en 2023.
Lisbonne, Portugal : Une escapade de Noël sur la Côte
Lisbonne, la capitale du Portugal, est une destination fantastique pour ceux qui recherchent une expérience côtière de Noël. Avec son magnifique littoral atlantique et ses températures hivernales douces, Lisbonne est un excellent choix pour une escapade de vacances relaxante et chaleureuse.
Les décorations de Noël de la ville sont un véritable spectacle, avec de grands arbres de Noël illuminés qui ornent les places principales. Les habitants prennent leurs traditions de Noël au sérieux et vous pourrez admirer de magnifiques crèches dans les églises et les espaces publics. N’oubliez pas de goûter au gâteau de Noël portugais traditionnel, le « Bolo Rei » (gâteau des rois).
L’un des moments forts de Noël à Lisbonne est le dîner de la veille de Noël. De nombreux restaurants proposent des menus spéciaux comprenant des spécialités portugaises telles que la morue et l’agneau rôti. Vous pouvez également vous joindre à la coutume locale en assistant à la « Missa do Galo », une messe de minuit célébrant la naissance de Jésus.
Si vous souhaitez vous échapper de la ville pour une journée, faites un petit tour dans la ville voisine de Sintra. Connue pour ses palais dignes des contes de fées et ses forêts enchanteresses, Sintra est un lieu magique à explorer pendant la période des fêtes.
Le climat doux de Lisbonne vous permet de faire un tour en tramway dans les quartiers historiques ou de vous promener tranquillement le long du front de mer pittoresque. Que vous sirotiez un porto ou que vous vous promeniez sur la plage, Lisbonne vous offrira une expérience de Noël chaleureuse et accueillante en 2023.
 
Athènes, Grèce : Un Noël Historique
Pour les voyageurs passionnés d’histoire et de culture, Athènes est une destination idéale pour Noël en 2023. Si la Grèce est réputée pour ses étés ensoleillés, Athènes revêt un charme unique pendant les mois d’hiver.
Commencez votre voyage de Noël en visitant des sites historiques célèbres tels que l’Acropole et l’ancienne Agora. Ces sites anciens sont magnifiquement illuminés pendant la période des fêtes, ce qui crée une atmosphère magique pour les visiteurs. Vous pouvez également explorer le musée archéologique national, qui abrite une remarquable collection d’objets anciens.
Les marchés de Noël d’Athènes, comme celui de la place Syntagma, proposent un large éventail de cadeaux, de décorations et de délicieuses spécialités grecques. Vous pouvez goûter aux sucreries traditionnelles comme le « melomakarona » et les « kourabiedes » tout en achetant des souvenirs uniques.
Les traditions grecques orthodoxes de Noël sont profondément ancrées dans la culture, et vous pouvez assister à la messe de minuit dans l’une des églises historiques de la ville. Les chants de Noël, connus sous le nom de « Kalanda », sont une tradition très prisée que vous entendrez dans toute la ville.
Malgré le temps frais, Athènes reste relativement clémente par rapport à de nombreuses destinations européennes en décembre. Cela vous permet d’explorer la ville confortablement et de vous imprégner de sa riche histoire et de sa culture vibrante.
Passer Noël à Athènes offre un mélange unique d’histoire, de culture et d’atmosphère festive qui réchauffera votre âme en 2023.
Alors que l’Europe est souvent associée à des Noëls froids et enneigés, ces trois destinations – Barcelone, Lisbonne et Athènes – offrent une expérience chaleureuse et mémorable. Que vous préfériez une fiesta espagnole ensoleillée, une escapade côtière au Portugal ou une célébration historique en Grèce, vous pouvez trouver une aventure de Noël unique qui vous réchauffera et vous laissera des souvenirs impérissables en 2023.
0 notes
infosisraelnews · 1 year ago
Text
Combien coûtera une nuit dans les nouveaux hôtels israéliens qui ont ouvert en Grèce et à Chypre ?
Deux nouveaux hôtels appartenant à la chaîne Fatal ont récemment ouvert en Grèce et à Chypre : le premier est le Palace, qui a ouvert ses portes à Athènes, en Grèce. L’hôtel à Limassol dispose de 189 chambres et est situé en face de la promenade du bord de mer, à distance de marche de la marina et de l’ancien port. Dans l’hôtel, vous trouverez quatre complexes de restauration, dont un bistrot…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
juristique · 2 years ago
Text
Modèle de lettre d’indemnisation si votre avion est en retard
New Post has been published on https://www.juristique.org/courriers/modele-lettre-indemnisation-avion-retard
Modèle de lettre d’indemnisation si votre avion est en retard
Si votre avion est parti en retard, la compagnie aérienne est responsable de ce retard. Mais, vous ne pourrez prétendre à être indemnisé que sous certaines conditions. Si celles-ci sont réunies, vous devez alors adresser une lettre de demande d’indemnisation à la compagnie aérienne selon le modèle proposé ci-dessous.
Les règles d’indemnisation qui s’appliquent pour un avion en retard
En principe, une compagnie aérienne est responsable du dommage résultant d’un retard. Elle ne peut y échapper que si elle prouve qu’elle a pris toutes les mesures nécessaires pour l’éviter ou qu’il lui était impossible de les prendre.
Cela dit, elle n’est tenue de vous indemniser que des conséquences dommageables que ce retard a pu avoir pour vous et non du retard lui-même, ce dont vous devez apporter la preuve.
Seul un retard anormal et important est de nature à justifier une indemnité. Ce critère s’apprécie par rapport à la durée et à la nature du vol. Les juges considèrent que la sécurité prime sur la ponctualité et exonèrent le transporteur lorsque le retard résulte d’un événement indépendant de sa volonté, tel un incident technique ou de mauvaises conditions météorologiques.
Par ailleurs, la réglementation européenne prévoit, pour tous les vols à partir d’un pays européen et ceux à destination d’un tel pays quand la compagnie est communautaire, que vous bénéficiez d’un service d’assistance au sol de type :
Communications téléphoniques (ou par fax, télex ou mail),
Services de restauration,
Hôtellerie,
Et, le cas échéant, de frais de taxi.
Télécharger un modèle de lettre de demande d’indemnisation si votre avion est en retard
Pour cela, il faut que le retard soit d’au moins :
2 heures pour un vol de moins de 1 500 km,
3 heures, de 1 500 à 3 500 km (y compris les vols intracommunautaires de plus 1 500 km vers les DOM),
4 heures pour les autres longs courriers.
Si le retard dépasse 5 heures, quel que soit le vol, vous avez droit au remboursement de votre billet ou au réacheminement vers votre point de départ si vous êtes en transit. Aucune indemnité financière automatique n’est prévue dans ce cas.
Vous pouvez aussi vous prévaloir de l’arrêt du 19 novembre 2009 (affaires C-402-07 et C-432-07) de la Cour de justice des communautés européennes (CJCE) qui a estimé que les passagers de vols subissant plus de 3 heures de retard doivent bénéficier des mêmes indemnités forfaitaires que celles prévues en cas d’annulation du vol.
Pour les vols non européens, vous pouvez prétendre à une indemnisation qui dépend de l’ampleur du préjudice. À ce titre, la convention de Montréal ne prévoit aucune indemnisation minimale forfaitaire et limite même la responsabilité du transporteur à environ 4 500 euros par passager.
Quelles sont les démarches à accomplir en cas de retard de votre avion ?
Si vous avez subi un préjudice résultant d’un retard important que vous pouvez justifier, vous devez adresser une demande d’indemnisation à la compagnie ou à l’agence de voyages qui vous a vendu le billet.
Exemple de lettre de demande d’indemnisation en cas de retard de votre avion à la compagnie aérienne
<Prénom et nom> <Vos coordonnées> <Téléphone fixe / mobile / courriel>
<Nom de la compagnie aérienne>
<Coordonnées de la compagnie aérienne>
À l’attention du service clients
<Ville>, le <Date du jour>
Par lettre recommandée avec accusé de réception, N° de l’AR : <A reporter>
Objet : lettre de demande d’indemnisation pour un retard d’un vol aérien
Madame, Monsieur,
Le <Date>, le vol <Numéro> Paris/Athènes est parti avec 4 heures de retard, sans aucune explication de votre part.
Par ce délai supplémentaire, je n’ai pas pu prendre mon avion en correspondance pour Santorin. J’ai finalement dû rattraper, 2 jours plus tard, à Naxos, la croisière à laquelle je devais participer.
En application de l’arrêt de la Cour de justice des communautés européennes (CJCE) du 19 novembre 2009 (n° C 402/07 et C 432/07), compte tenu de mon retard, je vous rappelle que je peux prétendre à l’indemnisation de <Montant> euros prévus par le règlement européen n° 261/2004 en cas d’annulation de vol.
En conséquence, je vous saurai gré de bien vouloir m’indemniser le plus rapidement possible.
Par ailleurs, je vous serais obligé(e) d’accuser réception de la présente lettre.
Dans l’attente d’un prompt règlement de ce litige, je vous prie de croire, Madame, Monsieur, à l’expression de mes sentiments respectueux.
<Prénom et nom> <Signature>
Foire aux questions (FAQ) en cas de retard de votre avion
"@context":"https://schema.org","@type":"FAQPage","@id":"https://www.juristique.org/courriers/modele-lettre-indemnisation-avion-retard","mainEntity":["@type":"Question","name":"Comment envoyer une lettre de demande d’indemnisation en cas de retard de votre avion à la compagnie aérienne ?","acceptedAnswer":"@type":"Answer","text":"Pour envoyer une lettre de demande d’indemnisation en cas de retard de votre avion à la compagnie aérienne ou l’agence de voyages, il vous suffit de faire un « <em>Copier-coller</em> » et de personnaliser le texte de la lettre proposée de l’article dans votre traitement de texte (<a href=\"https://fr.wikipedia.org/wiki/Microsoft_Word\"><em>Microsoft Word</em></a><em> ou </em><a href=\"https://fr.wikipedia.org/wiki/Writer_(traitement_de_texte)\"><em>Writer d’Open Office</em></a>).","@type":"Question","name":"Que faire si la compagnie aérienne tarde à vous répondre ou refuse de vous indemniser ?","acceptedAnswer":"@type":"Answer","text":"À défaut de solution amiable, y compris après avoir contacté la Fédération nationale des associations d'usagers des transports ou la direction générale de l'aviation civile, vous pouvez saisir le médiateur tourisme voyage. Si ces démarches n'aboutissent pas, vous devrez engager une action judiciaire (éventuellement par une action de groupe)","@type":"Question","name":"Faut-il envoyer la lettre de demande d’indemnisation par lettre recommandée ?","acceptedAnswer":"@type":"Answer","text":"Oui, il est fortement conseillé d’adresser sa demande d’indemnisation par lettre recommandée avec accusé de réception compte tenu des montants et du risque élevé de contestation dans ce type de dossier. Pour rappel, la lettre recommandée vous permet d’avoir une date certaine de votre envoi.","@type":"Question","name":"Quel est le règlement applicable aux compagnies aériennes en matière d’indemnisation ?","acceptedAnswer":"@type":"Answer","text":"Il s’agit du <a href=\"https://www.juristique.org/pratique/reglement-261-2004-parlement-europeen-conseil-11-fevrier-2004\">règlement européen (CE) n° 261/2004 du 11 février 2004</a>. Suivre le lien pour le consulter."]
Comment envoyer une lettre de demande d’indemnisation en cas de retard de votre avion à la compagnie aérienne ?
Pour envoyer une lettre de demande d’indemnisation en cas de retard de votre avion à la compagnie aérienne ou l’agence de voyages, il vous suffit de faire un « Copier-coller » et de personnaliser le texte de la lettre proposée de l’article dans votre traitement de texte (Microsoft Word ou Writer d’Open Office).
Que faire si la compagnie aérienne tarde à vous répondre ou refuse de vous indemniser ?
À défaut de solution amiable, y compris après avoir contacté la Fédération nationale des associations d’usagers des transports ou la direction générale de l’aviation civile, vous pouvez saisir le médiateur tourisme voyage. Si ces démarches n’aboutissent pas, vous devrez engager une action judiciaire (éventuellement par une action de groupe)
Faut-il envoyer la lettre de demande d’indemnisation par lettre recommandée ?
Oui, il est fortement conseillé d’adresser sa demande d’indemnisation par lettre recommandée avec accusé de réception compte tenu des montants et du risque élevé de contestation dans ce type de dossier. Pour rappel, la lettre recommandée vous permet d’avoir une date certaine de votre envoi.
Quel est le règlement applicable aux compagnies aériennes en matière d’indemnisation ?
Il s’agit du règlement européen (CE) n° 261/2004 du 11 février 2004. Suivre le lien pour le consulter.
Autres publications sur les litiges, règles d’indemnisation du transport aérien et modèles de lettres
.slick-slider#wpsp-97183 margin-left: 0px; .slick-slider#wpsp-97183 .wp-show-posts-inner margin-left: 1em; margin-right: 1em; #wpsp-97183.wpsp-card .wp-show-posts-single margin-bottom: 2em; .slick-slider#wpsp-97183 .wp-show-posts-single margin-bottom: 0px; #wpsp-97183 .wp-show-posts-inner:hover .wp-show-posts-image .wp-show-posts-image-overlay background-color: rgba(252,186,4,0.7) !important; #wpsp-97183 .wp-show-posts-entry-title a color: #1f2641; #wpsp-97183 .wp-show-posts-entry-title a:hover color: #e55934; .wp-show-posts-columns#wpsp-97183 margin-left: -2em; .wp-show-posts-columns#wpsp-97183 .wp-show-posts-inner margin: 0 0 2em 2em;
Modèle de lettre d’indemnisation si votre avion est en retard
Modèle de lettre d’indemnisation en cas d’annulation de votre vol
Modèle de lettre d’indemnisation en cas de surréservation de votre vol
Règlement (CE) n° 261/2004 du Parlement européen et du Conseil du 11 février 2004
Modèle de lettre de mise en demeure du voyagiste OPODO
Actions collectives pour les billets d’avion annulés en raison du covid-19
Modèle de courrier en cas de perte ou de vol de valise à l’a��roport à télécharger
Nouvelles règles sur les droits des passagers aériens au Canada
0 notes
manieresdedire · 4 years ago
Text
ROMAN-FEUILLETON : S’aimer n’est pas une petite entreprise
PREMIER ÉPISODE
Première partie
- I - Adrien
Le soleil d'été inondait la vaste cuisine aux murs et aux meubles blancs, jaunes paille et bleus pastel. Assis face à la fenêtre, songeur et détendu, Adrien buvait un café et s’apprêtait à savourer le beurre cru de baratte et la confiture d'abricots qu'il avait généreusement étalés sur des tranches découpées dans une grosse miche de pain frais.
La cloche de l'église du village venait de sonner une huitième et dernière fois. Le programme de sa journée n'était pas encore fixé. Sa nuit avait été douce et tranquille. Il se sentait de grandes possibilités.
Sa maison réclamait un peu de rangement. Du linge propre empilé patientait sur un guéridon. Des chemises, des polos, des sous-vêtements et des chaussettes, le tout déjà porté, jonchait le sol, le canapé et même un meuble ou deux. Des livres ouverts retournés ou fermés, qui auraient été davantage à leur place sur un chevet, une étagère ou le bras d'un fauteuil, étaient abandonnés n'importe où, au pied du lit, sur le parquet d'une chambre, les tomettes du séjour, le tapis du salon, le rebord de la baignoire. Des verres étaient posés ici et là, exactement aux endroits où ils s'étaient retrouvés définitivement vides. Des bouteilles de vin de Madiran, de Pacherenc et de Fronton, blancs et rouges, se dressaient honteuses et vides dans la cuisine, le salon, et même dans la salle de bain.
Il régnait dans la grande chambre un joyeux et coloré capharnaüm : draps froissés oranges, oreillers aplatis jaunes et bruns, traversin ocre tordu, tapis aux dessins kandiskyniens, coins rabattus, tout semblait sens dessus dessous, dans un fouillis presque esthétique.
Avant le grand ménage, Adrien pensait marcher à vive allure, deux ou trois heures, sur les sentiers des environs, à travers la prairie et les bois, le long de la rivière proche. Il déjeunera d'un casse-croûte qu'il composera dans les instants suivant sa toilette. Après quoi, en fin d'après midi, il se rendra à Marciac dans le Gers, chez Vincent, son ami de toujours, où tous les deux boiraient un peu de vin et iraient ensuite flâner dans la cohue du village des restaurants provisoires, traîner autour des manifestations “off”, puis assister aux deux grands concerts d’ouverture du festival de Jazz.
La semaine avait été inféconde du point de vue de son activité journalistique, mais riche de relations sociales. Sept jours durant, il avait reçu voisins, voisines et amis de fraîches dates, petits producteurs fermiers pour converser, approfondir sa connaissance des victuailles de la région : confits de canard, fois gras d'oie et fromages de brebis, légumes, charcuteries…
Il n'avait pu faire affaire sans goûter ni boire. Jamais seul. Un essai, un vin, une fricassée, une poêlée avaient succédé à d'autres et la petite maison de village qu'Adrien louait depuis un an était vite devenue, après quelques jours à ce régime, un foutoir sans pareil.
Une femme généreuse et accorte l’avait accompagné jusqu’au petit matin et lui avait laissé, avant de se retirer, vraisemblablement sur la pointe des pieds, ce petit mot charmant : "Tout fut à mon goût, particulièrement toi".
Le désordre n'était pas au nombre de ses tendances, mais depuis sa dernière liaison qui n'avait pas duré trois ans, il avait changé. Ses pratiques domestiques, ses habitudes de vie se modifiaient. Ses notions d'ordre et de désordre se confondaient sur un étroit nuancier.
Journaliste indépendant, il vivait de piges, faisait dans la culture et la chronique tous sujets. Il était l'auteur de cinq romans policiers qui avaient su trouver des lecteurs. Il lui arrivait de faire des reportages.
Depuis qu'il avait quitté Élisa avec laquelle il n'avait pas su vivre, il était sonné et s'en voulait. Il avait fui les querelles à propos de rien mais qui gâchaient trop d'heures passées ensemble, invariablement suivies de mises au point et de réconciliations sans souffle. Le conflit s’était installé, la conviction d’un avenir commun éclipsée.
Il ne parvenait pas encore à se persuader qu'il avait eu raison de rompre.
Au cours de petites séquences, il s'efforçait de s'intéresser à son avenir, tentait de refaire de petits projets.
Il était fort du temps présent et prenait ce qui passait à portée de sa vie qui filait, comme une chance d'échapper à la solitude et à la tristesse.
Copains d'un soir, amies fugaces, brèves amours, il ne perdait aucune occasion de faire connaissance, de tisser des liens, légers et éphémères, de faire de petites fêtes. En veillant à ne pas entamer sévèrement sa santé ni gâcher sa bonne forme physique. Il avait peur non tant de vieillir mais que lui-même remarquât qu'il se dégradait.
Il restait hanté par Élisa et ne pouvait avoir une nouvelle relation sans comparer. Plus leurs corps présentaient des ressemblances avec celui d’Élisa, plus forte était sa nostalgie. Si les différences étaient bien marquées et que la belle fût moins bien faite, ses regrets retardaient son excitation puis son plaisir, quand ils ne les empêchaient pas. Il la cherchait chez toutes. Les visages se succédaient sans qu'il lui fût permis d'y retrouver Élisa. Elle restait unique. Il n'avait pas rencontré femme plus aimable et affriolante, plus intelligente et cultivée.
Il avait quitté Paris qu'il ne supportait plus - la pollution, les embouteillages et surtout Elle, qui y vivait encore - pour un village de Haute Garonne qu'il avait découvert avec des copains étudiants, dix ans plus tôt.
Il s'était installé à Fronton, au Nord de Toulouse et avait choisi cet endroit parce qu'il était résolument au sud de la France
Après avoir vécu longtemps en Rhénanie puis en région parisienne, passé ses plus belles vacances des étés de sa jeunesse dans le Var et l’Hérault, avec deux incursions espacées en Corse, "Sud" et "Méditerranée" étaient restés des mots magiques qui mettaient en marche sa fabrique de rêves.
Deux noms qui n’avaient rien perdu de leur pouvoir de raviver les vieux souvenirs :  longs trajets jusqu’à Fréjus ou Propriano, jeux de plages, d’eau et de ballons, familles en roue libre, boîtes de nuit. Aujourd’hui, ils évoquaient davantage un climat, des végétations, une lumière éclatante, les brûlures du soleil, les fragrances des maquis, les fleurs innombrables du printemps, la rocaille rouge de l’Estérel, des apéritifs pris en groupe, en terrasses à l’ombre des platanes au centre de villages, de l'amour sans lendemains, des corps dévêtus, une liberté éphémère et illusoire. Sur le tard, sa perception imaginaire et excentrique de la planisphère s’était "enrichie" d’un invraisemblable chaos personnel de géographie planétaire, d’histoires et de cultures. "Mare Nostrum" devenait le centre du monde qu’il habitait et la Corse, sa région capitale, ses rivages et ses ports, de Nice à Menton - en faisant le tour par Sète, Barcelone, Gibraltar-Cueta, Tanger, Alger, Tunis, Tripoli, Alexandrie, Haïfa, Beyrouth, Mersin, Athènes, Durrës, Dubrovnic, Split, Rijeka, Trieste, Naples -, passaient pour des "spots" prodigieux d’où des hommes et des femmes hardis, éclaireurs de leurs civilisations et candidats emballés à tous les brassages, s’étaient élancés et avaient essaimé, faisant particulièrement de Marseille, un absolu et lumineux melting-pot. Tandis que ceux qui restaient sur tous les quais à la ronde, se disposaient à les bien accueillir. Bien sûr, nulle part la vie n’avait pris durablement la couleur rose ni la douceur d'une friandise, elle alternait le pire et le meilleur. Et ce, sans interruption depuis au moins les conquêtes romaines. Et, il y aurait fort à parier, bien avant.
Fronton donc, moins à la mode que de nombreux villages du Languedoc et du Roussillon - parce que, aussi, la proximité d'une grande ville à taille humaine, Toulouse, était en mesure de lui procurer ce qu'il avait aimé à Paris : concerts, cinémas, restaurants, promenades urbaines dans les vieux quartiers. L'on y mangeait et buvait bien, pas moins que dans le Gers qu'il retrouvera dans quelques heures.
Toulouse dont le cœur est plus petit que Paris n’était pas comme elle, "la capitale", blanche et grise. Plus orange sanguine que rose, ville lumière par excellence, le soleil se mirait dans ses briques, y résidait et son peuple savait prendre son temps aux terrasses des troquets, tard la nuit et faire la fête. Il lui manquait le calme, le bruit et la fureur des flots mais les littoraux des mers du sud étaient à portée des automobiles et des trains. Et les montagnes, proches. Ses cours intérieures et ses palais, ses vieux immeubles, ses hôtels particuliers, ses couvents et cloîtres ne ressemblaient pas à leurs homologues parisiens, mais impressionnaient. Et toujours ces couleurs. Il y avait moins de ponts extraordinaires au-dessus de la Garonne qu’il y en avait enjambant la Seine, ce qui n’empêchait personne d’aller d’une rive à l’autre et de s’y balader. Rien, cependant, ne rivalisait avec le Louvre ni avec les jardins publics parisiens et le Pont des Arts, la grandeur de Paris était inégalable. Mais la ville s’était, hélas, installée au nord.
Dans sa vie personnelle et professionnelle, Adrien n'avait pas toujours craint ni fuit les explications parfois difficiles où il ne cédait rien sur ses principes. Il pouvait parfois ramener de la voilure quand il estimait qu'il avait pu se tromper ou qu’il s’y était mal pris pour convaincre. Il était homme ordinaire, peu passionné par la rhétorique, ni têtu, ni non plus très facile à affronter dans les joutes verbales qu'il n'aimait pas, où souvent, même modestement, celui qui voyait l'autre rejoindre ses positions, triomphait. Il avait su œuvrer, parfois, à des synthèses qui faisaient l’unanimité, non qu'il cherchât à tout prix le consensus mais, souvent, il estimait que tous avait un peu raison et tort et que les désaccords naissaient quand les observations se faisaient sous des angles différents, non de l'ignorance ou de l'inintelligence d'un fait, d'un processus, d'un concept.
Dans ses relations amoureuses il tentait le plus souvent de fuir les explications rudes et franches qu'il estimait vaines dès qu'il s'agissait de l'auscultation du couple. "Couple", ce mot qu'il n'aimait pas, dont l’utilisation signifiait souvent qu'il fallait "sauver" l'entité en péril désignée par ce terme, en revenir à une relation qui s'était délitée et qu'il aurait fallu restaurer, redynamiser. Ou qu’il était naturel de le vanter niaisement.
Il savait qu'un premier malentendu en entraînait un second puis un autre, jusqu'à la rupture ou la folie. Et préférait mettre fin, voire, qu'on le quittât et esquiver ces échanges où s'étaient ensablées les relations entre ses parents, faites de disputes infinies où la mauvaise foi prévalait comme la conviction de chacun que l'autre était un monstre d'égoïsme.
Le seul contre-feu qu'il connaissait quand la mésentente vache menaçait, c'était la rupture. Il y avait perdu d'agréables compagnes - il ne dépréciait pas tout - et  des heures précieuses de sommeil, du poids, mais, à la longue, gagné en sérénité. Il n'était pas blasé et gardait la faculté d'enchantement de l'enfance. Il restait sujet aux coups de foudre de l’adolescence et pensait encore que l'aventure l'attendait au détour de son chemin.
- II - Vincent
Sept ans plus tôt, Vincent s'était retiré à Marciac, son gros village natal. Il avait exercé, pendant vingt ans le dur métier de "lignard" chez "PTT-France-Télécom" à Paris, plus souvent dans les égouts qu'au sommet des poteaux de surface.
Après avoir, un jour, tout envoyé promener - rats, eaux usées, boues, gaz toxiques, pestilences, obscurité, petits chefs acariâtres, astreintes, blessures, épuisements et "HLM" de banlieue -, il avait ouvert un commerce de vente de produits alimentaires du pays.
Tandis qu'il était encore fonctionnaire, son réseau d'amis, de collègues, de connaissances, lui avait d'abord assuré, de petits débouchés lucratifs et illégaux pour des foies gras, des magrets, des grattons de porc et de volaille, de l’Armagnac, qu'il achetait en quantités réduites à des gens du pays qui n'en espéraient pas tant. Puis le bouche-à-oreille avait fonctionné, désormais son fichier "clients" comportait près d'un millier de noms de personnes et de raisons sociales répartis dans plusieurs régions et particulièrement en Île de France. Ses plus gros marchés étaient constitués de comités d'entreprise qui passaient toujours des commandes importantes et auxquels il consentait des remises en proportion des volumes achetés. Il avait su concilier affaires et liens de cœur avec la CGT. Les seconds garantissant le succès des premières. Il payait encore ses cotisations syndicales.
Entiché de son bout d'Occitanie, et désireux de faire des émules, Vincent eut l'idée de composer un recueil de photographies commentées sur l'art alimentaire de sa "Province". Présentant semailles et plantations jusqu'à la vente de produit finis. Les champs, les élevages et les fermes puis les étals des marchés de plein air et les coquettes boutiques. Des agriculteurs, des éleveurs, déjeunant dehors ou évaluant la la croissance des végétaux, la récolte, l’état des bêtes. Un élevage de taureaux de combat, des fauves dans les collines de Saint-Mont. Des bottes de paille de blé disposées en ordre sur des champs récemment fauchés ou entassées sur des charrettes en partance vers les granges des éleveurs de bovins. Légumes dans les jardins et les vastes terres, fruits sur les arbres, oies et canards dans les basses-cours. Avec vues de villages de Midi-Pyrénées dans les cuisines desquels les plats traditionnels sont mitonnés, mis en scène pour séduire le promeneur, l'esthète du "bien manger", l'affamé, le gourmet, l'inquiet pour sa santé, le randonneur, les amoureux, les enfants et les anciens.
Il alternera gros plans et mise en exergue des environnements de proximité ou plus lointains, l'arbre qui porte le fruit, le champ qui accueille l'arbre, la plaine ou le coteau qui supporte la culture, le produit seul et ses partenaires possibles dans une belle cocotte émaillée, jusqu'à la façade d'un bâtiment du seizième siècle à l'ombre duquel le stand du fromager se tient les jeudis et samedis matins. Les gras pâturages, où paissent des animaux sains qui seront bientôt appelés à donner des laits crémeux ou des viandes persillées...
Ce sera aussi une manière de présenter une quinzaine de villages, qu'il aimait bien avec leur halle aux grains, aux vins, aux marchés multicentenaires, hebdomadaires, saisonniers, leur place grossièrement pavée au milieu de laquelle trône l'inévitable fontaine dont le bronze blanchit sous les dépôts de calcaire, les arcades abritant les trottoirs et encadrant l'espace rectangulaire ou carré, centre de vie administratif, avec sa mairie, son agence du Crédit agricole et son bureau de poste portant encore discrètement, en haut de sa façade, "Postes, Télégraphes et Téléphones" en lettres défraîchies, l'église se tenant en retrait de l'endroit où sont traitées les affaires strictement terrestres. Les rues, le long desquelles les éventaires des marchands débordent quand la place centrale est trop exiguë ou l'offre de produits sur-abondante.
Il fixera des gros plans de haricots de Tarbes dont les tiges s'enroulent en pointant vers le ciel et s'enchevêtrent autour des cannes de maïs leur servant de tuteurs, des pieds de tomates de Marmande d'un rouge écarlate, au moment où leur nombre fait ployer leur axe, des aubergines semblant vernies, des fèves, des poivrons, des piments doux ou assassins. L'aubépine mêlée aux mûriers qui bordent les champs d'orge à proximité desquels des paysans-rois se désaltèrent simplement. Des foies gras entiers protégés par un emballage qui ne cache rien de leur couleur. Des magrets fumés, des aiguillettes confites dans leur graisse jaune, du lard, des saucissons, des jambonneaux, du boudin noir et des andouillettes, des salades et des carottes. Des petits tas de champignons, de ceps, de bolets, de chanterelles, de rosés des prés et même de morilles en bien moins hautes pyramides. Des choux et des poireaux. Des légumes d'été et des légumes d'hiver, de printemps aussi. Des viandes à griller, à rôtir, à fondre dans une poêle, du gibier à préparer.
Vincent qui n'oubliait pas qu'il avait été ouvrier, se promettait de faire figurer dans son livre, des recettes anciennes, simples à réaliser, succulentes et à des prix abordables pour lecteurs à faible pouvoir d'achat. Un très gros bouquin. Sans doute, pour faire face à l'inflation des sujets, un premier tome suivi d'au moins deux autres. Il ne voulait pas d'un objet trop épais ni excessivement cher.
Adrien aura en charge l'élaboration d'un texte léger à connotations poétiques qui tiendra une place discrète en venant lier le tout, les couleurs - le blanc et les gris des pierres, le rouge orangé des briques, les bruns rougeoyants des colombages et des charpentes aperçues sous les avant-toits -, les lieux - plans zoom et vues distantes, étroites et grand-angle -, un village et un autre, une construction et une nature vierge... Lier, comme une sauce le ferait, des morceaux de viande d'un miroton cuit longuement à feux doux, sur un fourneau de grand-mère, dans une grosse marmite en fonte suspendue à une crémaillère dans l’âtre d'une cheminée. Ou un très riche cassoulet du pauvre. Adrien formulera des phrases courtes, avec des mots simples et éloquents qui feront passerelles entre les différentes photographies, comme on accompagne d'une main légère ceux que l'on souhaite amener dans une direction, sans les forcer, mais en les conduisant insensiblement au meilleur endroit pour voir, sentir, entendre. Les influençant sans rien leur imposer.
Quand Adrien vivait Paris, Vincent l'invitait chez lui tous les mois d'août, pour, bien sûr le revoir, mais aussi pour assister en sa compagnie au festival de jazz dont les affiches toujours aussi alléchantes drainaient un public nombreux qui venait là en voisin ou de très loin. Hors ces jours d’été, les deux hommes ne se téléphonaient ni ne s’écrivaient jamais. Alors, tous les ans, ils refaisaient invariablement le point sur leurs vies respectives. La répétition était leur rituel de reconnexion. Et puis, entre temps, des faits s’étaient produits qu’ils pouvaient se raconter.
Chaque année, il participait comme bénévole à l'organisation du festival d'été, à l'instar de la moitié des villageois. Il s'engageait pour une durée de quatre ou cinq  jours ; il était inenvisageable de faire une pause trop longue du fait son activité commerciale aussi, pendant cette "parenthèse", laissait-il la gestion de sa boutique à sa fille adorée.
- III - Jazz In Marciac
Ce deux août de l'année 2004,...
à suivre...
Yves Rebouillat
2 notes · View notes
coloursofmyroom · 5 years ago
Text
De retour de l’expo #11 : Paris romantique, 1815-1848 - Paris, Petit Palais
26 juin 2019
Il s’agit avant tout d’une déambulation dans le Paris de la Restauration et de la Monarchie de Juillet : le découpage des salles ne relève pas d’une logique chronologique, ni vraiment thématique, mais avant tout géographique, selon une progression centrifuge. La visite commence donc par le cœur de la ville, qui est aussi celui du pouvoir : le palais des Tuileries. Entre le Consulat et le Second Empire, il s’agit en effet de la résidence permanente du chef de l’Etat. Si la vie de cour y est plutôt atone, quelques figures sont populaires : c’est le cas du duc d’Orléans (le fils de Louis-Philippe) et de la duchesse de Berry, veuve du duc assassiné en 1820. Une fille de Louis-Philippe, Marie d’Orléans, se distingue par ses talents artistiques. Formée par Ary Scheffer, elle s’oriente vers la sculpture : elle est notamment l’auteure de statuettes figurant Jeanne d’Arc, dont on peut admirer trois exemples. Amatrice du Moyen Age, elle décore son appartement dans le goût néogothique, tandis que ceux de sa famille sont meublés dans un style beaucoup plus éclectique, où le goût pour le Grand Siècle côtoie le style rocaille ou néo-Boulle, sous l’influence du décorateur Eugène Lami. A noter aussi : une toile de Viollet-le-Duc représentant un somptueux dîner aux Tuileries.
Toute en longueur, la deuxième salle nous transporte au Palais Royal. Construit en 1628 pour Richelieu, il devient ensuite la résidence de la famille d’Orléans. Un premier réaménagement à la fin du XVIIIe siècle en fait un lieu vivant et prisé, avant une complète rénovation entreprise sous Louis-Philippe. La scénographie reproduit la disposition des boutiques de luxe le long de la galerie d’Orléans, édifiée alors à la place des galeries de bois. Une gravure et deux très belles maquettes d’époque restituent l’élégance de ce lieu lumineux et moderne, doté d’un verrière métallique et de l’éclairage au gaz. On y trouve les articles de luxe les plus divers, que le visiteur peut admirer dans les vitrines le long desquelles il déambule. On dispose ainsi d’un bel aperçu de la mode et du luxe de l’époque : sacs à main, très jolis éventails (dont l’un orné de girafes), incontournables châles et chapeaux, gilets, cols-cravates et cannes qui font la tenue du dandy. J’y ai appris que la canne de Balzac avait fait sensation par ses dimensions hors normes... Les arts décoratifs ne sont pas en reste : porcelaine de Paris de Jacob Petit, très colorée et un rien kitsch, couleurs claires et mates des coupes opalines, en vogue sous la Restauration (il s’agit de verres au plomb mêlés à des colorants), ou encore pendules et cartels dorés aux styles éclectiques (orientalisant, néogothique, renaissance ou rocaille). Le Palais Royal est également un haut lieu de la gastronomie parisienne, grâce aux restaurants Véry, Véfour et des Frères Provençaux, dont la carte pléthorique est exposée, comportant un grand nombre de potages, hors d’œuvres, entrées, plats de viande et de poisson, rôts, entremets, desserts, vins et liqueurs !
Cette scénographie « mimétique » se poursuit dans la troisième section, consacrée au Salon, qui se tient dans le Salon Carré du Louvre depuis 1725. Le charme de la salle (carrée, donc) tient notamment à l’accrochage des toiles, à touche-touche. Presque toutes été exposées à l’un des Salons organisés, chaque année, pendant cette période. L’ingrisme, notamment représenté par Amaury Duval, et les scènes de genre et d’intérieur côtoient toutes les nuances du romantisme : l’orientalisme, le style troubadour, le goût pour le sujet historique, notamment pour la Renaissance, François Ier et Henri IV (voir aussi Cromwell et Charles Ier (1831) de Paul Delaroche, qui connut un grand succès par ses formats monumentaux, ses sujets anecdotiques et spectaculaires – voire, ici, macabres...), le mysticisme dépouillé (et presque pré-symboliste) d’Ary Scheffer (Saint Augustin et Sainte Monique), inspiré par les peintres mystiques allemands, le sens du sublime (impressionnant Trait de dévouement du capitaine Desse du peintre de marine Théodore Gudin). Le Christ au jardin des Oliviers de Delacroix (1826) domine l’ensemble, où se distinguent aussi Mazeppa aux loups d’Horace Vernet (1826), le Roland furieux (1831) de Jehan Duseigneur, œuvre manifeste du romantisme en sculpture et, pour ma part, l’onirique Rayon de soleil (1848) de Célestin Nanteuil. Dans un sous-bois pailleté de lumière, trois nymphes se fondent dans la clarté surréelle d’un rai de soleil, suggérant ainsi le rêve du jeune écuyer endormi... Le Salon y apparaît ainsi comme un lieu ouvert aux innovations, à un nouveau langage plus libre, plus exalté, plus « sentimental » - mais finalement très divers.
L’exploration des goûts et de la production artistiques du temps se poursuit dans une salle consacrée au néogothique, et particulièrement à Notre-Dame de Paris. Une incroyable pendule reproduisant la façade de la cathédrale ouvre la salle, où figure l’édition originale du roman de Hugo (1831) à côté d’une toile de Charles de Steuben, La Esméralda (1839). On peut aussi y admirer un étonnant polyptyque d’Auguste Couder, Scènes tirées de Notre-Dame de Paris. Réalisé seulement deux ans après la parution du roman, il témoigne de son succès massif et immédiat. Ce serait un peu l’équivalent d’une adaptation cinématographique, de nos jours... Notre-Dame est aussi le personnage central des aquarelles de l’Anglais Thomas Shotter Boys, qui mêle l’intérêt pour les vieux monuments à l’observation du petit peuple de Paris. Autre lieu parisien : l’hôtel de Cluny, où Alexandre du Sommerand installe en 1832 sa collection d’objets d’art du XIIIe au XVIIe siècle, rachetée à sa mort par l’État qui y ouvre un musée en 1843. Un beau choix de papiers peints, de meubles (chaises du salon du comte et de la comtesse d’Osmond), d’horloges, de coffrets, de candélabres et de divers bibelots en bronze doré, met en lumière la vogue des motifs gothiques, entre les années 1820 et la moitié du siècle : ogives, rosaces, pinacles, clochetons et quadrilobes issus des cathédrales font irruption dans le quotidien. L’inspiration n’est pas seulement formelle : des thèmes sont également empruntés au Moyen Age. Charles VI est ainsi présent deux fois dans l’exposition : dans les bras de sa maîtresse Odette de Champdivers, chez le sculpteur Victor Huguenin (1839), et dans un bronze d’Antoine-Louis Barye, Charles VI effrayé dans la forêt du Mans, qui connaît un vif succès au Salon de 1833.
L’aspect politique est brièvement évoqué dans la cinquième section, organisée autour du plâtre du Génie de la Bastille, qui se trouve au sommet de la Colonne de Juillet, élevée pour le dixième anniversaire des Trois-Glorieuses. L’expo insiste d’ailleurs sur la volonté d’apaisement et de concorde nationale menée par Louis-Philippe qui, en outre, achève l’Arc de Triomphe et érige le tombeau de Napoléon aux Invalides. Il est vrai que cette politique du consensus et du juste milieu demeure assez peu problématisée. C’est oublier un peu vite, me semble-t-il, que les romantiques ne furent pas que des dandys amateurs de Moyen Age, de théâtre et de jolies femmes, mais aussi des acteurs engagés dans leur époque, et que le « romantisme » est aussi, au sens large, une option politique. Le parcours se clôturera d’ailleurs sur une très rapide évocation de la Révolution de 48, uniquement présentée sous l’angle de la caricature (le Gamin des Tuileries qui s’enfonce dans le trône du roi, de Daumier) et de la désillusion (les pages ironiques de L’Éducation sentimentale sur le sac des Tuileries).
Il est vrai que chaque section, ou presque, présente des « portraits-charges » : la période apparaît ainsi comme un premier âge d’or de la caricature. L’allure excentrique des « Jeunes-France » est moquée : cheveux longs, barbes, vêtements colorés (le gilet rouge porté par Théophile Gautier à la première d’Hernani). La célèbre tête de Louis-Philippe en forme de poire côtoie le dessin beaucoup plus amer de Daumier où, sortant de leur tombe, les martyrs de 1830 soupirent avec dépit : « C’était vraiment bien la peine de nous faire tuer ! », en voyant les espoirs déçus des Trois-Glorieuses. De manière plus légère, les artistes sont la cible des petits bustes satiriques de Jean-Pierre Dantan : le plus irrésistible est peut-être celui de Berlioz, à la chevelure démesurée...
Si l’aspect politique est donc abordé avec parcimonie, la question sociale est à peine effleurée dans la sixième section, consacrée au quartier latin. Un tableau de Claude-Marie Dubufe (pourtant élève de David) représente ainsi deux jeunes Savoyards ayant quitté leur région, le temps d’un hiver, afin de s’engager comme ramoneurs à Paris. Mais la jeunesse qui est à l’honneur ici est davantage estudiantine. Les jeunes étudiants, accompagnés des « grisettes », ces « jeunes filles qui ont un état, couturière, brodeuse, etc., et qui se laissent facilement courtiser par les jeunes gens » (Littré), déambulent dans le Quartier Latin et fréquentent les bals publics. Ils sont le sujet principal des chansons de Béranger, le « poète national », des Scènes de la vie de bohème d’Henri Murger, des romans très populaires de Paul de Kock, et, surtout, des dessins plaisants de Paul Gavarni. Quelques toiles et caricatures évoquent les bals et les carnavals (notamment une Scène de Carnaval, place de la Concorde (1834) d’Eugène Lami, folâtre et enjouée), ou commémorent la fièvre de la polka, danse osée qui suscita, en 1844, une véritable « polkamanie » chez les jeunes gens.
 Selon cette logique centrifuge, les deux dernières salles évoquent des quartiers plus neufs et périphériques, mais qui jouent un rôle central dans la vie intellectuelle et artistique. Si la Chaussée d’Antin est le quartier de la haute banque et des « nouveaux riches », la Nouvelles-Athènes (dans le 9ème arrondissement, là où se trouvent les musées de la Vie romantique et Gustave Moreau), plus récente, attire un grand nombre d’artistes. Géricault, Scheffer (dont une toile montre l’atelier, qui est justement aujourd’hui le musée de la Vie Romantique), Vernet, Isabey ou Delaroche s’y installent. Mais cette section est davantage consacrée à la musique. Deux alcôves dotées d’enceintes diffusent notamment des œuvres de Liszt, l’un des personnages principaux de cette salle. Il est aussi bien le sujet de portraits-charges caricaturant la virtuosité du pianiste, qui faisait courir tout Paris, que du portrait en pied d’Heinrich Lehmann, qui en capte la ferveur ascétique et l’aura toute romantique... Au milieu trône un piano Pleyel semblable à celui sur lequel jouait Chopin. Ainsi se dessine la géographie d’un Paris d’émigrés, celui de Chopin et de Liszt, mais aussi de Mankiewicz, de Heine et de la princesse Belgiojoso, patriote italienne dont le salon était l’un des plus courus. La section se clôt sur l’évocation de deux figures féminines très en vue dans le Paris de la Restauration et de la Monarchie de Juillet : Marie Duplessis (la Dame aux Camélias de Dumas fils, qui meurt en 1847) et Olympe Pélissier, maîtresse d’Eugène Sue et d’Horace Vernet (dont elle était aussi la modèle) et seconde épouse de Rossini.
De la Nouvelle-Athènes on passe aux Grands Boulevards, quartier des théâtres. On y apprend que cette longue artère présentait des visages divers. De la Madeleine aux alentours de la Chaussée d’Antin, le boulevard traversait un quartier cossu et tranquille. La Chaussée d’Antin marquait le début du «Boulevard» par excellence, cœur palpitant du Paris de la mode, formé des boulevards des Italiens et Montmartre. On y trouvait de riches magasins d’orfèvrerie ou de porcelaine, les cafés, restaurants et glaciers les plus réputés (Café de Paris, Maison Dorée, Café Riche, Café Anglais, Tortoni, Café Hardy) et les grands théâtres subventionnés (l’Opéra, le Théâtre-Italien, l’Opéra-Comique, le Théâtre-Français). La présence de huit théâtres populaires, spécialisés dans les mélodrames, vaut au boulevard du Temple le surnom de «boulevard du Crime», qui disparaîtra dans les travaux d’urbanisme haussmanniens du début des années 1860.
Caricatures, portraits et objets témoignent de cet incroyable engouement pour le théâtre. Les truculents tableaux de Louis-Léopold Boilly en témoignent d’une manière piquante : voir L'Entrée du théâtre de l'Ambigu-Comique à une représentation gratis (1819). plus particulièrement du succès (et, déjà, de la médiatisation) des grandes comédiennes (Mademoiselle Mars ou Marie Dorval) et des grands comédiens (Frédérick Lemaître ou Talma). Un tableau amusant figure L’acteur Bouffé représenté dans ses principaux rôles (1848) : Victor Darjou a démultiplié la silhouette de l’un des acteurs les plus populaires du temps, Hugues Bouffé, en le représentant dans une vingtaine de rôles. Le monde du spectacle recouvre aussi l’opéra (le docteur Véron dirige l’Opéra de Paris de 1831 à 1835, lançant la vogue de l’opéra à la française) et la danse. Là encore, quelque figures se détachent : les chanteuses Laure Cinti-Damoreau, Maria Malibran et Henriette Sontag, dont les portraits ornent une série de vases de la Manufacture Darte, ou Marie Taglioni, grande ballerine romantique, qui porte à la perfection la jeune technique des pointes.
L’exposition est donc surtout didactique : les œuvres exposées le sont davantage dans un but documentaire qu’esthétique. C’est parfois un écueil : ainsi, dans la salle consacrée à Notre-Dame, un petit portrait de Mérimée n’est là que pour illustrer le propos sur la naissance des Monuments Historiques. Mais soyons juste : la salle dédiée au Salon est exceptionnelle, les pièces d’arts décoratifs remarquables et j’ai découvert ces artistes qui se font, par le pinceau, le burin ou le crayon, chroniqueurs de la vie parisienne, dans de plaisantes scènes de genre ou de mordantes caricatures : Jean Pezous, Paul Gavarni, Jean-Pierre Dantan, Louis-Léopold Boilly... La remarquable, scénographie, ambitieuse et soignée (les couleurs et l’éclairage de chacune des salles évoquent le cours de la journée, du petit matin aux Tuileries à la soirée sur les Boulevards) fait agréablement passer un propos roboratif mais passionnant. Même s’il ne fait qu’effleurer les questions politiques et sociales (qui, une fois encore, relèvent des deux axes de l’exposition, l’histoire du romantisme et l’histoire urbaine), il dresse un portrait vivant et enthousiasmant, servi par un grand nombre d’œuvres variées et de qualité, du Paris de la première moitié du XIXe siècle.
2 notes · View notes
ventdeprintemps · 5 years ago
Text
Tumblr media
Parmi les innombrables idées et trouvailles pour occuper mon temps de confinée, je privilégie la cuisine. Une bonne raison à cela, nous confinons en famille avec notre fils, sa compagne et notre petite fille de 20 mois. Mais l'obligation de nourrir la famille devient l'opportunité de tester des recettes jamais essayées. Je m'inspire tout particulièrement d'un livre offert par Cléa (qui, elle confine à Athènes) : Taverna, recettes d'une chypriote grecque émigrée très jeune avec sa ribambelle de tantes toutes dépositaires d'une longue tradition culinaire et qui ont ouvert ensemble un restaurant lors de leur arrivée à Londres. Un bon guide pour aborder la créativité de la fameuse cuisine méditerranéenne (légumes, entrées, viandes, poissons, breakfast ..). Une partie consacrée aux Mezés, ces multiples petits plats que l'ont partage autour d'un ouzo. Attention : gardez les mezzés pour fêter la disparition du Coronavirus !
Ici Avocado Radish salad in a sesame dressing. Taverna de Georgina Hayden, Ed. Square peg. 2019. En anglais.
Ma maladie s'éloigne de mon esprit. D'autant que j'ai fini la chimio et c'est déjà un peu comme si c'était du passé. Je me sens très bien et je n'ai pas tellement le temps d'y penser. Une pause plutôt agréable
1 note · View note
travelwithalexita · 8 years ago
Text
L’hiver pointe encore le bout de son nez et on a qu’une envie que les beaux jours arrivent au plus vite. Pour palier à ce problème, rien de tel qu’une escapade à Athènes. Même si les températures ne sont pas si douces, le soleil apparaît souvent et les couleurs et les sourires des Grecs savent redonner de la joie aux sentiments tristounets de l’hiver.
Pour l’historienne que je suis ( ahaha ok j’ai juste une pauvre licence en sciences humaines) Athènes c’est un pur rêve. Je me souviens encore de mes cours d’histoire antique où je m’imaginais les rues d’Athènes à cette époque. Quand je suis sortie de l’arrêt de métro “Thiseio” j’ai eu ma première image d’Athènes et j’ai eu un sentiment incroyable à la vue d’une petite place tranquille qui donne vue sur l’acropole et où plusieurs personnes avaient décidé de se réunir pour discuter. G-E-N-I-A-L! C’est ça aussi le voyage, découvrir des sites que l’on avait imaginé toute sa vie, cela donne un sentiment vraiment incroyable. En tout cas, comme je l’avais prévu, j’ai adoré Athènes. Je me suis fait une promesse avant de la quitter: y vivre quelques mois dans le futur, je vais tout faire pour :) Athènes je ne te lâche pas! J’adore sa gastronomie, sa population, ses paysages. c’est une grande ville qui est vibrante et très dynamique. En plus elle est ensoleillée et regorge de terrasses et de café, la vie quoi!!
Suivez-moi pour une escapade à Athènes pendant trois jours. J’ai testé plusieurs adresses sympathiques. C’est vrai qu’avant de partir, j’ai fait beaucoup de recherches à travers les guides ou encore les blogs. Cependant, j’ai eu une grande aide de la part d’une locale. Je vous explique tout ça plus bas.
DORMIR À ATHÈNES
Effectivement, pour la première fois, j’ai décidé de tester le fameux site internet d’hébergement “Airbnb”. Je connaissais très bien son confrère “Homeholidays” que j’apprécie beaucoup et qui m’a toujours beaucoup aidé lors de mes déménagements divers à travers l’Europe. J’avais l’habitude de louer plusieurs semaines des logements le temps de trouver un logement provisoire. J’avais entendu beaucoup de choses sur “Airbnb” et je vous avoue que j’ai adoré. Premièrement la plateforme est juste super et simple. J’ai eu beaucoup de chance avec mon logement à Athènes de par la localisation, le type de logement avec une décoration que j’adore  et surtout avec Zaira, la propriétaire de l’appartement qui a su nous guider à Athènes et nous donner de véritables adresses de locaux que je partage avec vous gentiment aujourd’hui. Je suis gentille n’est ce pas? :)
Le logement se situé proche du métro “Thiseio” donc très bien placé. Il est situé à 500 mètres de l’entrée de l’Acropole et très proche du célèbre quartier de ��Monastiraki”, on ne peut pas être mieux placé. Cette fois-ci pour la localisation et le type de logement proposé, la plateforme offrait un meilleur qualité/prix qu’une auberge de jeunesse ou un hôtel. Il faut compter 30 euros la nuit pour ce type de logement. Nous avons adoré le logement et sa propriétaire.
  OÙ BOIRE UN CAFÉ OU PRENDRE UN BRUNCH À ATHÈNES
En voyageant, on apprécie tout particulièrement ne pas utiliser les transports en commun et marcher à droite à gauche jusqu’à trouver un endroit intéressant. Comme Madrid, Athènes, regorge de cafés fantastiques et de terrasses splendides. Difficile de faire un choix. Les grecs aiment être à l’air libre et la culture du café/terrasse est une religion. ça tombe, moi j’adore ça aussi. Je vous indique quelques adresses que j’ai particulièrement apprécie.
Je vous conseille de parcourir le quartier de “Koukaki” à pied. C’est un quartier résidentiel  mais si vous voulez voir un quartier sans touriste, c’est agréable. Il y a beaucoup de cafés et bars très sympas. Ne manquez pas la rue “Tsami Karatsou” et son super café “Lotte café bistrot” ( photo ci-dessous)
♥ Bel Ray: Petit café avec un design à tomber, on y mange apparement le meilleur brunch de la ville. Très bien aussi les soirs pour aller boire un petit cocktail.  Il faut compter 12 euros pour deux.
  ♥ Enastron:  Petit café/librairie très paisible où les gens vont normalement pour étudier ou lire au premier étage et pour converser au rez de chaussée. Les serveurs sont très gentils et proposent croque-monsieur ou gâteau fait maison. Les prix sont un peu plus élevés qu’ailleurs mais l’atmosphère est très sympathique et le quartier étudiant “Exarchia” vaut le détour pour son ambiance.
  ♥ Αγ. Φιλιππου 7 (Thesis 7 art café): Connu pour être un bar à vin, c’est le meilleur capucino que l’on a bu à Athènes! La terrasse ensoleillée est très sympa et elle est située dans le très agréable quartier de “Plaka“.
OÙ MANGER DES PLATS TRADITIONNELS GRECS À ATHÈNES
La cuisine grecque est un vrai régal. Même si vous êtes végétarien, vous trouverez toujours quelque chose à votre goût car il y a beaucoup de salades et de légumes. Je vous note ici deux adresses. La première est vraiment pour les gros mangeurs, et la deuxième si vous souhaitez tester les tapas grecques!
♥ Ρακοπωλειον:  
Petit local sans prétention mais accaparé de locaux le soir venu. Une bonne adresse avec des plats traditionnels sous forme de tapas. Petit prix et ambiance assurée dans une rue agréable remplie de restaurants intéressants. Proche le restaurant “Ivis” est aussi très bien et “L’Atlantico” est le meilleur spot si vous avez des envie de poissons et de crustacés. Ce sont toujours des lieux qui peuvent accueillir que très peu de clients mais la qualité est au rendez-vous. (Ivis: 105 54, Ivis 10, Athina 105 54, Grèce/Atlantiko: avliton 7; Athina/ Ρακοπωλειον:Navarchou Apostoli 4, Athina 105 54, Grèce)
  ♥ O Thanasis:( à la place de Monastiraki) 
Connu pour sa nourriture rapide et fraîche, elle propose surtout des kebabs et des salades. Endroit typique et fréquenté des touristes et des locaux.
OÙ BOIRE UN VERRE À ATHÈNES
♥ Six Dogs: (Avramiotou street)
C’est le bar par excellence pour les jeunes. Situé au centre prés de Monastiriaki, il est caché et seulement les locaux le connaissent. C’est un jardin arboré avec des centaines de lumières. Il y règne une atmosphère géniale et très artistique. Vous pouvez y déguster le café à la grec ou des boissons froides. Super adresses!
QUE VOIR À ATHÈNES
Je ne vais pas jouer le rôle touristique car les guides font cela beaucoup mieux que moi et vous savez comme moi les principales attractions d’Athènes. Je vais plutôt vous parler des quartiers de la ville.
♥ Exarchia:
Si vous aimez les quartiers artistiques et rebelles, Exarchia sera vous satisfaire. Quartier étudiant par excellente, vous pourrez y trouvez des cafés intellectuels et des boutiques de petits créateurs. Le tout parsemé de street art avec de nombreux graffitis revendicateurs. Il y a beaucoup de bars et magasins “bon marché” également. Le quartier mérite une visite.
♥ Plaka:
Le quartier où tous les touristes se rendent car souvent la plupart des auberges et des hôtels y ont leurs établissements. Le quartier se partout à pied, il est agréable le matin notamment avec le marché aux puces et les anciennes librairies. Ruelles escarpées et maisons ocre feront parties du paysage.
♥ Syntagma/ Kolonaki:
Pour aller voir le parlement et être à la frontière du très huppé quartier de Kolonaki. C’est l’Athènes riche et tendance des ambassades et des grecs revenus au pays et qui ont ouvert des bars et des restaurants au style de Milan ou de New York.
♥ Koukaki:
Quartier résidentielle, calme mais avec d’excellents restaurants et cafés. Proche de l’Acropole. Position stratégique pour y loger si vous voulez vous éloignez de la foule et être proche des musées et de l’Acropole.
♥ Monastiraki:
L’ancien bazar ottoman où s’enchevêtrent marché aux puces constant, terrasses de café. Il est le centre d’Athènes où tout le monde se retrouve.
♥ Anafiotika:
Petit quartier pittoresque avec d’anciennes maisons de couleurs. Pour vous évader d’Athènes et passer directement de l’acropole aux îles grecques il n’y a pas mieux mais il est très prisé des touristes car au pied de l’Acropole!
ASTUCES POUR UN WEEK-END RÉUSSI
–> Pour la visite de l’Acropole, je vous conseille si vous avez que très peu de temps et un budget serré comme nous de le visiter à la dernière heure de la journée. Pourquoi? Parce que vous économisez 2 euros pour le plein tarif adulte et pour étudiants, c’est gratuit!
–> Prenez le train de l’aéroport jusqu’à Monastiraki et essayer de vous loger proche de cette station de métro/train car vous pouvez tout faire à pied et cela vous évite de payer un taxi pour vous rendre  à l’aeroport.
–> Pour avoir une super vue sur l’Acropole le soir, allez boire un verre au bar  Thissio View“.( Quartier Thissio) Le bar est énorme, il fait 4 étages, au dernier étage, vous avez une vue splendide sur l’Acropole illuminé! A faire le dernier jour :)
Je vous laisse avec quelques photos d’Athènes!!
      Guide complet pour un voyage à Athènes L'hiver pointe encore le bout de son nez et on a qu'une envie que les beaux jours arrivent au plus vite.
0 notes
lessuricatesvoyageurs · 6 years ago
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
04/04/19 Athènes #1/3 La magnifique et l'historique Athènes
 La première chose qui marque tous les touristes à Athènes, et en Grèce plus largement, c'est les sites archéologiques à chaque coin de rue. En France, là où des lycéens boivent un verre après les cours dans un simple parc, les athéniens le font sur le site des premiers jeux olympiques de l'histoire! Grâce à nos anciennes cartes étudiantes, nous avons eu accès gratuitement à tous les principaux sites archéologiques de la ville. On a donc enchaîné les visites : le temple de Zeus, l'ancienne agora et l'agora romaine, la bibliothèque d'Adrien, le musée de l'Acropole, le lycée d'Aristote, le musée byzantin (incontestablement le meilleur pour reposer les bases historiques de la région), le musée archéologique, l'ancienne voie Keramikos, et bien évidemment l'Acropole. Cette dernière même en se levant le plus tôt possible reste un enfer touristique. Impossible de prendre une photo d'un monument sans une personne dans le plan (entrain de faire un selfie)… Vous connaissez notre amour des armes et de la guerre. On a été servis. Le 14 juillet de la Grèce se fête le 25 mai en référence à la date du début de l'insurrection contre l'empire ottoman en 1821. On a donc vu les chars et tout le tsointsoin.
Au-delà des sites historiques, on a vu la fameuse et comique relève de la garde des Evzotes, l'ancien quartier industriel Technopolis, la colline de la Pnyx avec la supposée prison de Socrate, la colline de l'église de Lycabette et le port de Pirée. Ce qui marque aussi dans les rues, c'est la politisation des grecs. Dès que l'on parle un peu, tout est politique. La mouvance anarchiste et libertaire est très présente. À tel point qu'un quartier entier s'est déclaré autonome : Exarcheia. Cette partie de la ville grouille d'initiatives pour les réfugiés et les SDF nombreux depuis la crise, mais aussi de squats en tous genres. C'est dans ce quartier qu'en 2008 un jeune anarchiste a été tué par la police. Depuis, les condés ne rentrent plus jamais dans les rues, mais délimitent en permanence la zone. À l'une de ces extrémités, nous sommes rentrés dans l'école polytechnique (majoritairement d'architecture) qui fut le berceau de la révolution de 1973 contre la dictature des colonels et qui reste le point d'achoppement constant lors des manifestations.
Dans l'un de ces squats, on a aussi rencontré Laszlo, un français d'Angers. Avec qui nous avons visité différents lieux et beaucoup discuté de politique. Puis, nous avons été hébergé via Couchsurfing par Mehdi un biterrois (Béziers), né à Clermont et d'origine algérienne. Faire sa rencontre a été génial car il a voyagé en stop dans toute l'Asie pendant 1 an! Grâce à lui, nous avons fait une petite rando dans la montagne proche d'Athènes en compagnie de bénévoles de différentes nationalités. Il nous a également emmenés au site des jeux olympiques par un accès seulement connu des locaux. Nous nous sommes autorisés un restaurant. Taverna typique dans une cave en sous-sol, les plats étaient traditionnels, à partager, avec un pichet de blanc, et le prix au bon vouloir du pépé qui grille ses sardines!
 Le départ d'Athènes a été laborieux. En guise de poisson d'avril, on a essayé le stop pendant 7h en testant différents endroits, sans avoir été pris… Déçus, nous avons décidé le prendre le train. Bien nous en a pris. Notre train a déraillé car le chauffeur, voulant rattraper son retard, a raté une gare en roulant trop vite. Il a donc freiné trop violemment. Il faut savoir que la SNCF locale subit le même processus (européen) qu'en France : privatisation, flexibilsation, bref destruc(tura)tion. L'accident, au-delà de nous faire flipper, nous aura permis de rencontrer Chris, un habitant de Patras avec qui on a sympathisé, et de gagner une nuit dans un motel tout pourri car l'auberge était fermée…
Actuellement, nous sommes chez Marie Jeanne, une greco anglaise de 70 ans au caractère bien trempé. On essaie de publier un article sur notre quotidien sous peu.
1 note · View note
santorinetcrete2023 · 1 year ago
Text
Arrivée en Crète
L’inconvénient d’aller dans les îles grecques, ce sont les traversiers. C’est toujours le chaos le plus total lors des embarquements et débarquements. Cette fois-ci n’a pas fait exception à la règle… après avoir attendu dans un hangar mal climatisé, un préposé a crié que nous devions changer d’hangar et que le traversier avait une heure de retard. Il faisait chaud et il y avait du monde qui ne sentait pas la rose… finalement, nous sommes arrivés sur l’île après le coucher du soleil.
Nous avons fait un stop à l’aéroport pour y déposer des collègues voyageurs qui venaient récupérer leur valise qui s’était perdue dans le transport Montréal Athènes.
Après 30 minutes d’autoroute, nous sommes arrivés à notre hôtel, qui est une sorte de complexe hôtelier, un peu comme dans le Sud. Belle surprise en arrivant, on nous a offert une chambre plus luxueuse au lieu de la chambre standard que nous aurions dû avoir. Elle est gigantesque!
Nous sommes partis en quête d’un endroit où manger. Moins évident quand il fait nuit et qu’il n’y a pas de lampadaires dans les rues. Nous avons opté pour le premier restaurant potable, qui s’est avéré un bon choix. Il faudra s’y habituer, les portions en Crète sont plus que généreuses. Et partout où nous sommes allés, on offre toujours un dessert…
Robert s’est arrêté dans une petite boutique à côté du restaurant pour y trouver de l’ouzo ou du raki. La dame lui a fait goûter du raki crétois, et Robert a beaucoup aimé. Nous sommes repartis avec de l’ouzo, finalement, et la dame lui a offert un sac de glace mis dans un sac à l’avenant, car Robert lui a mentionné qu’on avait pas de glace à l’hôtel. Jusqu’à maintenant, les Crétois semblent très gentils et très accueillants.
On a hâte à demain pour voir le décor à la lumière du jour.
2 notes · View notes
frenchbulletin · 2 years ago
Text
Nouvelles initiatives à Athènes pour la crise énergétique - Une lettre de Mitsotakis à Von der Leyen n'est pas exclue
Nouvelles initiatives à Athènes pour la crise énergétique – Une lettre de Mitsotakis à Von der Leyen n’est pas exclue
Par Dimitris Gatsiou ���Nous faisons beaucoup de démarches au niveau de l’Union européenne”. L’aversion spécifique du Premier ministre, lors d’une discussion qu’il a eue avec des journalistes en marge de la réception d’hier pour la restauration de la démocratie au Palais présidentiel, reflète non seulement le “non” clair d’Athènes à la proposition de la Commission d’une réduction horizontale des…
View On WordPress
0 notes
grece2018 · 6 years ago
Text
Départ de Paros sous la pluie
Finalement, on a réussi à quitter Paros en direction de Santorini par le traversier de midi.
On a eu un surclassement gratuit en classe Affaire sur le traversier. Sièges plus confortables, sofas et fauteuils individuels.
Arrivés à destination, c’était la pagaille. Des autobus et des autos étaient arrêtés sur la route en lacet qui descend vers le port. Ils ne pouvaient pas descendre, car il y avait trop de monde en bas. C’est du jamais vu, deux jours complets sans aucun transport dans les Cyclades en raison de la température.
On est arrivés à l’hôtel à 17 h 30. On a exploré les environs pour faire du repérage. Il y a plein de restaurants touristiques au bord de l’eau.
On en a choisi un un peu au hasard, avec une belle terrasse protégée au bord de la mer. Le vin était très bon, ce qui sort de l’ordinaire... mais le plat principal, infecte... je ne suis pas difficile et je n’ai jamais retourné un plat dans un restaurant. Mais la, je n’ai pu mangé. C’était un spaghetti aux crevettes. Les pâtes étaient grosses (trop cuites; en fait, pré-cuites et simplement réchauffées dans l’eau) et les crevettes aussi. Je n’ai rien mangé...
En plus, le grossiste a appelé Robert e provenance d’Athènes pendant qu’on mangeait. Il n’a pas répondu la première fois, car il ne voulait pas payer l’appel. Mais quand le grossiste a rappelé une deuxième fois, on s’est dit que ce devait être important...
En effet, il n’y aura aucun ferry pour le retour à Athènes dimanche en raison des conditions météo prévues. Ni demain samedi. On nous suggère de réserver un vol de Santorini à Athènes afin de ne pas rater notre vol international lundi...
Depuis, on cherche un vol à la chambre d’hôtel. On a encore rien trouvé.
A suivre!!!!
Tumblr media
Adieu Paros! Première pluie sur terrasse de notre hôtel
Tumblr media
Classe affaire sur traversier... 23 Euros pour traversée de 3 heures.... belle comparaison avec les Îles de la Madeleine
Tumblr media
Arrivée à Santorini... un peu chaotique....
Si vous regardez et zoomez dans la montagne, vous verrez des autobus qui montent en lacets.... Cela a pris 30 minutes pour monter
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
On a sussi un surclassement à l’hôtel... Une suite à deux chambre avec super salle de bain
4 notes · View notes
infosisraelnews · 2 years ago
Text
🔴 L'attentat iranien évité en Grèce : " Tuer autant d'Israéliens que possible » : de nouveaux détails sur l'empoisonement au gaz
Un jour après la révélation du complot d’attaque iranien à Athènes hier soir (mardi), de nouveaux détails sur les contre-mesures gréco-israéliennes ont été révélés dans les médias grecs . Les deux Pakistanais d’origine iranienne, qui avaient l’intention de commettre une attaque sous la direction de la Force Al-Qods des Gardiens de la révolution dans un restaurant casher à l’intérieur d’une maison…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
double-croche1 · 2 years ago
Photo
Tumblr media
[CANNES 2022] Le Festival de Cannes commence aujourd’hui ! Toutes les infos sur les 6 films et 2 séries de la sélection Cannes Première pour cette 75e édition du mardi 17 au samedi 28 mai sont à retrouver par ici. La liste par date de sortie : ‘Don Juan’ de Serge Bozon En 2022, Don Juan n’est plus l’homme qui séduit toutes les femmes, mais un homme obsédé par une seule femme : celle qui l’a abandonné… Date : Lundi 23 mai 2022 Bande-annonce : https://bit.ly/3kp6lok ‘Irma Vep’ d’Olivier Assayas (série) Mira, une star de cinéma américaine bouleversée par sa récente rupture, part en France pour jouer le rôle d'Irma Vep dans un remake du classique français du cinéma muet, ‘Les Vampires’ de Louis Feuillade, rôle campé autrefois par Musidora. Date : Mardi 7 juin 2022 (OCS) ‘La Nuit du 12’ de Dominik Moll Dans les couloirs de la Police Judiciaire, il se raconte que chaque enquêteur a un crime qui le hante. Un jour ou l’autre, il tombe sur une affaire qui lui fait plus mal que les autres, sans qu’il sache toujours pourquoi. Elle se met à lui tourner dans la tête jusqu’à l’obsession. Yohan vient d’être nommé chef de groupe à la Brigade Criminelle de Grenoble, c’est le meurtre de Clara. Pour son enquête Yohan fait équipe avec un dénommé Marceau. Date : Mercredi 13 juillet 2022 ‘As bestas’ de Rodrigo Sorogoyen Antoine et Olga, un couple de français, sont installés depuis longtemps dans un petit village de Galice. Ils pratiquent une agriculture écoresponsable et restaurent des maisons abandonnées pour faciliter le repeuplement. Tout devrait être idyllique sans leur opposition à un projet d’éolienne qui crée un grave conflit avec leurs voisins. La tension va monter jusqu’à l’irréparable. Date : Mercredi 20 juillet 2022 Bande-annonce : https://bit.ly/3slgXcg ‘Dodo’ de Panos H. Koutras Un dodo, oiseau disparu il y a 3000 ans, fait son apparition à Athènes dans la résidence luxueuse d’une famille au bord de la ruine pour laquelle le compte à rebours a commencé : les 38 heures cruciales et salvatrices qui la séparent du mariage de leur fille avec un riche héritier. Les frontières entre la raison et la folie seront mises à l’épreuve et la situation sera bientôt hors de contrôle. Date : Mercredi 10 août 2022 ‘Chronique d'une liaison passagère’ d’Emmanuel Mouret Une mère célibataire et un homme marié deviennent amants. Engagés à ne se voir que pour le plaisir et à n’éprouver aucun sentiment amoureux, ils sont de plus en plus surpris par leur complicité… Date : Mercredi 14 septembre 2022 ‘Nos frangins’ de Rachid Bouchareb Inspiré de l’affaire Malik Oussekine, une affaire de violence policière ayant provoqué la mort de Malik Oussekine, 22 ans, dans la nuit du 5 au 6 décembre 1986, après plusieurs semaines de contestation étudiante contre un projet de réforme universitaire. Date : Mercredi 7 décembre 2022 ‘Esterno Notte’ de Marco Bellocchio (série) L'assassinat d'Aldo Moro par les Brigades rouges en 1978. Bande-annonce : https://bit.ly/3EOxsm1 Date : Mardi 7 mars 2023 (DVD), mercredi 8 mars (arte.tv) et mercredi 15 mars - jeudi 16 mars (Arte) A&B
0 notes