#Quai de Valmy
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Dreaming on Quai de Valmy on the bank of the Canal Saint Martin (photo by Ann Jeanne in Paris)
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Liberty Leading the People (1830) 🎨 Eugene Delacroix 🏛️ The Louvre 📍 Paris, France
Perhaps Delacroix’s most influential and most recognizable paintings, Liberty Leading the People was created to commemorate the July Revolution of 1830, which removed Charles X of France from power. Delacroix wrote in a letter to his brother that a bad mood that had been hold of him was lifting due to the painting on which he was embarking (the Liberty painting), and that if he could not fight for his country then at least he would paint for it. The French government bought the painting in 1831, with plans to hang it in the room of the new king Louis-Philippe, but it was soon taken down for its revolutionary content. Lady Liberty was eventually the model for the Statue of Liberty, which was given to the United States 50 years later, and has also been featured on the French banknote.
Peint de septembre à décembre 1830 dans l'atelier loué par Eugène Delacroix au 15 (actuel n°17 ?) quai Voltaire, à Paris ; envisagé pour la deuxième Exposition au profit des blessés de Juillet 1830, galerie de la Chambre des Pairs (palais du Luxembourg), Paris, janvier 1831 (n° 508 du livret sous le titre "Une Barricade"), en réalité non prêté ; admis par le jury le 13 avril 1831 et exposé au Salon de 1831 (ouvert du 1er mai au 15 août), Paris, Musée royal (Louvre), n° 511 du livret sous le titre "Le 28 juillet. La liberté guidant le peuple" (n° 1380 du registre d'entrée des ouvrages au Salon, sous le titre "La Liberté guidant le peuple au 29 juillet" [sic], aux dimensions de "293 x 358 cm" cadre compris) ; envisagé comme achat de la Liste civile du roi Louis-Philippe Ier, en juillet 1831, au prix de 2 000 francs, finalement acheté à l'artiste par le ministère du Commerce et des Travaux publics en août 1831, au prix de 3 000 francs (en remplacement de la commande à Delacroix, au même prix, d'un tableau d'histoire ayant pour sujet "Le roi Louis-Philippe Ier visitant la chaumière où il logea près de Valmy, le 8 juin 1831", annulée suite au désistement de Delacroix) ; présenté au musée du Luxembourg, Paris, en 1832 et en 1833 (n° 160 du supplément au catalogue du musée) ; mis en réserve vers 1833-1834 ; confié à l'artiste vers 1839 qui le met en dépôt au domicile de sa tante, Félicité Riesener, et de son cousin Léon Riesener, à Frépillon (Val-d'Oise) ; réclamé à l'artiste par la direction des Musées nationaux (ministère de l'Intérieur) en mars 1848 (Delacroix demande à cette occasion une augmentation du prix de 7 000 francs, soit un total de 10 000 francs ; cette augmentation lui est refusée) ; prêté par Delacroix au peintre et entrepreneur lyonnais Alphonse Jame entre mai 1848 et mars 1849, en vue d'être exposé à Lyon, contre 1000 francs (payés en deux versements de 500 francs, le 11 septembre 1849 et le 8 mars 1850) ; rentré à Paris et restitué à l'administration en mars 1849 ; possiblement présenté au musée du Luxembourg, Paris, à partir de juin 1849 jusqu'en 1850 (mais absent du catalogue du musée) ; mis en réserve dans les magasins du musée du Louvre de 1850 à 1855 ; présenté à l'Exposition universelle, Palais de l'Industrie et des Beaux-arts, Paris, 1855, n° 2926 du livret ; mis en réserve dans les magasins des Musées impériaux de 1856 à 1863 ; présenté au musée du Luxembourg, Paris, de 1863 à 1874 ; déplacé du musée du Luxembourg au musée du Louvre en novembre 1874 ; inventorié pour la première fois, sous le n° "R.F. 129", en 1875 et présenté à partir de cette date dans la salle des États au musée du Louvre ; mis en sécurité pendant la Première Guerre mondiale au couvent des Jacobins, à Toulouse (Haute-Garonne) de 1914 à 1918 ; restauré par Lucien Aubert (nettoyage et réintégration de la couche picturale) à Paris en 1920 ; mis en sécurité pendant la Seconde Guerre mondiale au château de Chambord (Loir-et-Cher) en 1939, puis déplacé au château de Sourches, Saint-Symphorien (Sarthe), le 29 septembre 1943 ; rentré du château de Sourches au musée du Louvre, Paris, le 16 juin 1945 ; restauré par Raymond Lepage et Paul Maridat (rentoilage) et par Georges Zezzos (allègement et réintégration de la couche picturale), au musée du Louvre durant l'été 1949 ; présenté au musée du Louvre dans la salle Mollien d'octobre 1949 à 1969, puis en salle Daru de juin 1969 à juin 1994, puis en salle Mollien depuis décembre 1995 ; restauré par David Cueco et Claire Bergeaud (remplacement du châssis, pose de bandes de tension sur les bords de la toile) au musée du Louvre en janvier-février 1999 ; restauré par Bénédicte Trémolières et Laurence Mugniot (nettoyage et réintégration de la couche picturale) au musée du Louvre, d'octobre 2023 à avril 2024.
#Liberty Leading the People#Eugene Delacroix#Romanticism#1830#oil on canvas#painting#oil painting#The Louvre#Paris#France#Musée du Louvre#La Liberté guidant le peuple#french#art#artwork#art history
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Quai de Valmy by Jean-Pierre Gibrat
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André Vigneau (1892-1968)
Le canal Saint-Martin, Quai de Valmy
Paris 1950
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"Vive le vol à l'étalage"
Quai de Valmy, Paris (Xe), 1er mai 2024
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67 quai de Valmy
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Comment on s’organise concrètement contre l’extrême-droite?
Pour en parler ensemble, rdv ce jeudi 13 juin 19h au Point Éphémère, 200 Quai de Valmy, 75010 Paris
Soyons solidaires
La lutte continue.
How do we organize concretely against the far-right?
To talk about it together, meet this Thursday June 13 at 7 p.m. at Point Éphémère, 200 Quai de Valmy, 75010 Paris
Let's stand together
The struggle continues.
#june 13#2024#june 2024#Point Éphémère#france#paris france#paris#organise#organize#signal boost#signal b00st#signal boooooost#class war#161#1312#antiauthoritarian#anti colonization#anti cop#anti colonialism#anti capitalism#antinazi#antifascist#antifascismo#antifaschistische aktion#antifa#antifaschismus#eat the rich#eat the fucking rich#anarchism#anarchist
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Jardin Villemin Along the banks of the Canal Saint Martin, on the corner of Rue des Récollets and Quai de Valmy
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Restaurants africains : 6 bonnes adresses à Paris
Envie de goûter la cuisine des meilleurs restaurants africains de la capitale ? Allocos, Thieboudienne, Mafé, Fumbwa ou encore Gombo… Ô Magazine vous propose quelques adresses à tester absolument. Les gastronomies africaines s’installent de plus en plus à Paris. Une nouvelle génération de restaurateurs proposent des lieux afro-chic, culturels avec un beau design. Ainsi, ces restaurateurs mettent en avant des plats traditionnels de différents pays d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale principalement. C’est une véritable bouffée d’air frais dans le paysage gastronomique de Paris. Alors, découvrez sans plus attendre quelques adresses de restaurants africains dans la ville française. BMK Bamako-Paris : la cantine africaine de Paris C’est à la fois un restaurant et un lieu culturel de connaissances noires et africaines. Chez BMK Bamako-Paris, on retrouve les principaux plats traditionnels des pays d'Afrique de l’ouest. Mais aussi des créations à base de produits des terroirs africains afin de les revaloriser. Ce restaurant est le résultat d’un projet familial. Les frères Fousseyni et Abdoulaye Djikine proposent une cuisine familiale comme le faisait leur mère pendant leur enfance. D’où le nom d’un plat “Le Mafé de Maman”. En effet, on peut y manger des classiques de la cuisine malienne et sénégalaise comme le Mafé, le Yassa ou encore le Thieboudienne. Mais on retrouve également des plats plus originaux notamment pour les salades. Par exemple, la salade Veggie Luanda, en référence à la capitale du Rwanda, donne l’eau à la bouche. Elle est composée d’une crème d’avocat, d’attiéké, de salades et d’allocos (bananes plantains frits) accompagné d’une vinaigrette tamarin. Vous retrouverez leurs spécialités aux adresses suivantes : 14 rue de la Fidélité 75010 Paris ; Folie-Bamako au 40 rue Jean Pierre Timbaud 75011 Paris. New Soul Food : l’afrotruck et le maquis de Paris C’est le premier food truck qui propose des gastronomies afro-antillaises dans la capitale française. New Soul Food s’impose comme une adresse incontournable pour manger de bons plats. Les deux frères Ruddy et Joël Lainé, propriétaire du New Soul Food, sillonnent les rues de Paris dans le 13e arrondissement puis à La Défense. Ensuite, en 2019 les jeunes restaurateurs installent leur premier maquis (restaurant dans le langage populaire) dans le 10e arrondissement de Paris. Leur cuisine est à l’image de leur histoire : métissée. En effet, nés de parents guadeloupéen et camerounais, les deux frères proposent une cuisine à la fois caribéenne et africaine. On peut autant retrouver sur leur carte un curry au poulet antillais qu’un Yassa revisité ou de l’attiéké. En 2020, ils ont collaboré avec la chaîne de distribution Monoprix pour installer des “afrotrucks”. Ainsi dans tous les Monop’ parisiens, on peut retrouver un stand de cuisines afro-caribéennes pour le déjeuner. Le maquis afropéen se trouve à l’adresse suivante 177 quai de Valmy 75010 Paris. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Family concept (@newsoulfood) Villa Maasai : restaurant africain gastronomique Proche de l’Opéra de Paris, le restaurant Villa Maasai est un pur bonheur gustatif et musical. En effet, le restaurant propose à la fois des plats traditionnels d’Afrique de l’ouest et centrale mais fait également rayonner des musique africaines. On peut alors déguster un Ndolé, un plat d’origine camerounaise à base de légumes, et s’ambiancer sur de la rumba ou du seben congolais. Récemment de passage à Paris, on a vu le chanteur nigérian Burna Boy s’enjailler avec sa maman, en compagnie du rappeur Youssoupha dans la Villa Maasai. Sur la carte, on retrouve les classiques des gastronomies africain : Yassa, Thieboudienne, Mafé, dibi ou encore de la purée de patate douce. Il y a également une panoplie de grillades de viandes, poulet et poissons. Ce restaurant africain est également fondé par une famille et se veut afro-chic. Si vous voulez à la fois vous manger et danser, vous pouvez vous y rendre au 9 boulevard des Italiens 75002 Paris. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Villa Maasaï (@villamaasai) L’Afrodisiac Restaurant : l’afro-chic lounge Avec sa carte impressionnante, l’Afrodisiac Restaurant veut faire rayonner les gastronomies de différents pays d’Afrique dans un lieu afro-chic. C’est un lieu à la fois cosy, chic et intimiste. On peut déguster des plats traditionnels de huit pays d’Afrique de l’ouest et centrale. Ainsi, on retrouve les gastronomies du Congo, du Gabon, la Côte d’Ivoire, le Sénégal, la Guinée, le Cameroun, le Mali ainsi que le Togo. C’est une carte très diverse et profonde des plats traditionnels. Elle valorise les cuisines d’Afrique centrale qui sont beaucoup moins représentées dans la majorité des restaurants africains. Cela peut s’expliquer par le fait que sa fondatrice, Tiffany Kalema, est d’origine congolaise (République démocratique du Congo). On peut donc déguster des plats que l’on ne retrouve pas généralement dans les restaurants africains. Cela permet également de s'immerger complètement dans les gastronomies nationales. Par exemple pour le Congo, on retrouve les maboke (papillotes) de porc et de poissons ou encore le Fumbwa, feuille typique du pays mélangée dans une sauce arachide. L’Afrodisiac Restaurant a deux antennes dans Paris : l’une au 3 rue de Courcelles 75008 Paris et l’autre au 16 rue Thorel 75002 Paris. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par L’Afrodisiac Restaurant (@lafrodisiacrestaurant) A lire également : Restaurant le colimaçon, petit coin du sud ouest African Lounge Paris : Le famous lounge africain C’est sûrement le restaurant africain qui a vu défiler le plus de stars internationales. L’African Lounge Paris est installé dans les beaux quartiers du 16e arrondissement depuis sa création. Il apparait comme une adresse incontournable pour toutes les célébrités de passage dans la capitale française. En effet, la gérante a été prise en photo en compagnie des mannequins Jourdan Dunn et Winnie Harlow. Serena Williams, Maitre Gims ou encore le créateur de mode Olivier Rousteing se sont déjà attablés dans ce restaurant. Dans la carte sont présents des plats typiquement africains qu’on ne trouve pas ailleurs comme le Pépé Soup. Il est composé généralement de poisson cuit dans un bouillon avec des épices et du piment. On trouve également une variété de poissons proposée comme le capitaine, la dorade, le sole ou encore le tilapia etc. Le chef fait également ses propres créations en réinventant des plats typiques des cuisines africaines. Vous retrouvez le restaurant à l’adresse suivante : 2 rue de la Pérouse 75116 Paris. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par RESTAURANT AFRICAIN | PARIS (@africanloungeparis) Assinie Paris : un restaurant de gastronomie ivoirienne Le restaurant Assinie Paris se veut être un établissement chic, élégant et casual. Le nom du restaurant fait référence à la ville de pêcheurs dans le sud-ouest de la Côte d’Ivoire. Le cadre est cosy et calme. Le chef propose des plats originaires de la ville ivoirienne comme la soupe du pêcheur d’Assinie. On retrouve également sur la carte des plats d’autres pays d’Afrique notamment la partie anglophone. Ainsi, on peut déguster un plat typique du Ghana, le Dokonou. Il s'agit d’un plat composé de maïs fermenté servi avec du poisson et autres crudités. La carte prévoit également une variété de viandes : un choukouya d’agneau avec des épices provenant d’Assinie ou encore du gésiers de volaille. Le choukouya est une pratique effectuée dans plusieurs pays africains. En effet, la viande (bœuf, poulet, mouton, chèvre) est grillée et coupée en petits morceaux. Généralement, on en vend au marché. En accompagnement, on retrouve des produits uniques des terroirs comme l’igname, la banane plantain, le manioc ainsi que la patate douce. Le restaurant se trouve à l’adresse suivante 74 rue de Tocqueville 75017 Paris. Ce n'est qu'une petite sélection parmi les restaurants africains qui brillent dans la capitale française et qui réinventent les gastronomies africaines. Bon appétit ! Read the full article
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Wide Awake, 1st Official Limited Photography Edition
available in 6 places :
- Artazart, 83 quai de Valmy, 75010 Paris - Yvon Lambert, 14 rue des Filles du Calvaire, 75003 Paris - Harmonia Mundi, Philharmonie de Paris, 221 avenue Jean Jaurès, 75019 Paris - Parallèle librairie, 47 rue Saint-Honoré, 75001 Paris - La 25e Heure, 8 place du général Beuret, 75015 Paris - Just ask me
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Species find second nature in Lyon
The Gabiodiv' project (Gabion and Biodiversity), imagined by the association Des Espèces Parmi'Lyon (DEPL), is a new initiative which consists of the installation of vegetated modules on the mineralized quays of the main rivers of the Metropolis. Lyonnaise, in favour of the living environment of city dwellers and urban biodiversity.
In a city with largely artificial areas, the volunteers of the association Des Species parmi’Lyon[1] are betting on the renaturation of neighbourhoods and riverbanks to preserve urban biodiversity.
«Sous les pavés, la prairie.» [2]This is the leitmotif of the association of species among Lyon, which specialises in naturalism in urban areas and the renaturation of artificial spaces. Founded at the end of 2015 between Saône and Rhône[3] by two young enthusiasts, Quentin Brunelle and Victorine de Lachaise, it works to "democratise biodiversity in the city, because everyone can recognise species and contribute to preserving them", explains the latter, co-director of the structure. Fox, badger, deer, falcon, deadwood beetles, orchids, flowering rush: these are some of the 2,000 animal and plant species listed in Lyon by the association. There is still much more to discover throughout the inventories made up, a task that can be participatory in order to raise awareness among the inhabitants of different districts of the city. “It is important to show the biodiversity at the foot of buildings using lots of small tools to recognise species, understand their interactions”, underlines Victorine de Lachaise.
Life tanks
Ibn order to develop citizen involvement, the association has become an expert in the various challenges launched to its 300 volunteers and to occasional volunteers. Private gardens, lawns or vegetable gardens of collective habitats, green spaces of companies: a few square meters are enough to create islets for wild fauna and flora. There is the “Nature makes the wall” challenge dedicated to climbing plants, recommended for shops or public buildings such as schools (more than 400 m² of facades have been greened). The "Drip" has installed sixteen wetlands (ponds that are dense reservoirs of life) on the grounds of communities or condominiums. Finally, the “Lyon’haie” has made it possible to plant 3,200 shrubs to date.
Individuals who wish to carry out their project independently can download an accompanying booklet online and come and buy local seeds or plants sold at free prices each week in the association's nursery, at the Valmy metro station (9th arrondissement ).
Artificial river banks
In the Lyon metropolitan area, 80% of the river banks are concreted. Species among’Lyon has also developed its know-how in the ecological restoration of waterways, by conducting the Gabiodiv’ experiment. For two years, volunteers maintained and observed an artificial bank on the Rhône, along the quay in the Guillotière district (7th arrondissement). Metal cages (gabions) were connected, weighted with pebbles and immersed, before being covered with a mixture of earth, sand, pebbles and dead wood. Dragonflies, beavers, gray herons, wagtails: this strip of about sixty meters long now hosts more than 200 species, sometimes threatened. This successful experience will serve as a model for the revegetation of the unusual low port areas of the Saône quays, starting with the neighbouring town of La Mulatière[4], using aquatic plants grown on slabs submerged at a depth of 50 centimetres.
Source
Maïté Darnault, A Lyon, les espèces retrouvent une seconde nature, in : Libération, 14-05-2023, https://www.liberation.fr/forums/a-lyon-les-especes-retrouvent-une-seconde-nature-20230513_LTE7ODSCT5GU5LOQKBW4LNWA6Y/
[1] The association Des Espèces Parmi’Lyon (DEPL), is a naturalist association, created in 2015 by two young enthusiasts, who work in favor of Biodiversity in the city. This structure carries out various awareness-raising actions to involve citizens and supports local initiatives to preserve biodiversity in urban areas. At the same time, the association carries out naturalist expertise, offers appropriate management solutions and innovates in the rehabilitation of natural habitats in the city. https://desespecesparmilyon.fr/association
[2] “Under the cobblestones, the meadow.” De slagon refers to “Sous les pavés, la plage » This phrase became a symbol of the events and popular movement during the spring of 1968, when the revolutionary students began to build barricades in the streets of major cities by tearing up street pavement stone. As the first barricades were raised, the students recognized that the stone setts were placed on top of sand. The statement encapsulated the movement's views on urbanization and modern society in both a literal and metaphorical form.
[3] Lyon lies at the confluent of the rivers Saône and Rhône, the latter ending in the Mediterranean..
[4] La Mulatière is a French commune located in the metropolis of Lyon, in the Auvergne-Rhône-Alpes region.
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#murstreetart quai de Valmy sur les bords du #canalsaintmartin. #streetartcanalsaintmartin #paris10 #streetparis #parisstreetart
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C’était la der des der de @pumpkinisorange & @vinsdacuero avec des invités de qualité au @pointephemere avec en ouverture du show #djliryk aka @acatcalledfritz #concerthiphop #mentalowmusic (à Quai de Valmy) https://www.instagram.com/p/CmSeaphojn9/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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André Vigneau (1892-1968)
Le canal Saint-Martin, Quai de Valmy
Paris 1950
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Et je marche,
Souriant,
Quai de Valmy.
Presque personne.
Attendez ?
Si, des souvenirs.
Paris Queneau, Paris Prévert,
Paris sépia, Gabin-Morgan.
Que je t’aime,
Quand t’as ta gueule d’atmosphère !
Canal Saint-Martin, matin d’été.
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