#Prix de la Gare
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PRIX D'AUTEIL. - LE SAUT DE LA RIVIÈRE DE HUIT.
AUTEIL. - PRIX MARIGNAN (GENTLEMEN).
AUTEIL. - PRIX DES GLACIS.
AUTEIL. - LE PRIX DE LA GARE.
PRIX DU RANELAGH. - KABYLE.
PRIX DU RANELAUGH.
PRIX DES TRIBUNES. - RIVIÈRE DES TRIBUNES (SOLITAIRE AU REVOIR).
Le Sport Universel Illustré, 15 Mars 1896
#chevaux de course#course de cheval#steeplechasing#racehorses#Prix d'Auteil#Prix Marignan#M. R. Cavailhon#M. Beynoguet#M. de la Roberdière#M. de Nancy#M. Clément Duval#Prix des Glacis#Prix de la Gare#Frocourt#Fra Bartolomeo#Prix du Ranelagh#Kabyle#Capitan II#Centauresse#Prix des Tribunes#Le Sport Universel Illustré#1896
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Train bleu ... Orient Express
Se prendre pour Hercule Poirot, c'est possible, mais cela coûte cher. La société Orient Express propose à quelques privilégiés de voyager dans un wagon qui a servi de décor au Crime de l'Orient Express, film adapté du roman d'Agatha Christie. 38 passagers quittent tous les soirs la gare Saint-Jean à bord de deux wagons pour un repas gastronomique, proposé au prix de 530 euros. Au menu, des plats imaginés par le chef étoilé Yannick Alléno et des desserts du pâtissier Yann Couvreur. Mais c'est surtout l'occasion d'apprécier le cadre du repas, avec deux wagons datant des années 1920. Si le wagon-restaurant a réellement fait partie de l'Orient Express, le second a appartenu au Train bleu, qui reliait Paris à Vintimille.
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Être né dans un pays qui avait des services publics relativement fonctionnels avec des parents fonctionnaires, s'orienter vers la recherche et la fonction publique, et devenant adulte voir l'accélération de l'exécution de ces services. Des centaines de millions d'euros annulés pour l'éducation nationale. Des milliers de postes supprimés à l'enseignement supérieur et la recherche. Le service national des rails qui réduit les trains, ferme des gares, limite le nombre de bagages et triple ses prix alors que tout le monde veut prendre le train. Moitié moins de médecins que ce qu'il faudrait pour la prochaine décennie. Avoir vu ce qu'on pouvait avoir et le voir être réduit en cendres par le libéralisme ça me laboure le cœur.
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Le Petit écho de la mode, no. 8, vol. 18, 23 février 1896, Paris. 1. Nos chapeaux à 8 fr. 95 et à 6 fr. 45. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Nous donnons en prime à nos lectrices deux charmants chapeaux de demi-saison: (1.) La forme en tulle brodé est bordée de jais fin. Le fond coquillê en même tulle retombe légèrement sur la passe, qui est ornée tout autour de bouquets de violettes russes, teinte naturelle, gentiment posés de distance en distance. Derrière, cacbe-peigne de mêmes fleurs d'où s’élance une véritable aigrette Paradis. Son prix est de 8 fr. 95 rendu franco en gare française 2° La forme en tulle uni bordée de velours forme trois godets derrière, agrémentés de chrysanthèmes, de roses ou de violettes, selon le choix. Le fond en velours formant coques est environné de dentelle. La passe est garnie tout autour d’un coquillê très fourni en dentelle Devant, boucle acier. Derrière, deux coques élevées en velours donnent à ce chapeau un cachet sans précédent Son prix est de 6 fr. 15 rendu franco en gare française. Ces chapeaux ne se font absolument qu’en noir, seules les chrysanthèmes ou roses sont au choix entre rubis, rose, mauve, jaune ou crème.
Pour accompagner ces deux jolis chapeaux, nous avons choisi; (1.) Un col en mousseline de soie et guipure crème, à 7 fr 75. (2.) Un tour de cou en mousseline de soie froncée, terminé par des pans serrés en bourse. Ce qui enrichit cette parure, c’est que la bordure est ornée de petites rayures de satin simulant des rubans. Prix 6 fr, 75. Ces parures “sont laissées au choix entre noir, crème, rose, bleu pâle et mauve. Seule, la guipure reste crème. Pour recevoir ces gracieuses primes, adresser mandat-poste à M. Orsoni, 44, rue de la Chaussée-d’Antin, Paris. Les frais d’envoi sont compris dans les prix désignés ci-dessus. A chaque chapeau, nous ajouterons un paquet de lessive iris offert gratuitement à nos lectrices.
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We are giving our readers two charming mid-season hats as a bonus: (1.) The embroidered tulle shape is lined with fine jet. The shell background in the same tulle falls slightly on the pass, which is decorated all around with bouquets of Russian violets, natural shade, nicely placed from distance to distance. Behind, a comb of the same flowers from which a real Paradise egret soars. Its price is 8 fr. 95 delivered free to French station 2° The shape in plain tulle lined with velvet forms three cups behind, decorated with chrysanthemums, roses or violets, depending on your choice. The velvet bottom forming cups is surrounded by lace. The pass is garnished all around with a very rich lace shell. Front, steel buckle. Behind, two high velvet shells give this hat an unprecedented character. Its price is 6 fr. 15 delivered free to French station. These hats are absolutely only made in black, only chrysanthemums or roses are available to choose from ruby, pink, mauve, yellow or cream.
To accompany these two pretty hats, we have chosen; (1.) A collar in silk chiffon and cream guipure, at 7 fr 75. (2.) A choker in gathered silk chiffon, finished with tight purse-string panels. What enriches this set is that the border is decorated with small satin stripes simulating ribbons. Price 6 fr, 75. These sets “are left to choose between black, cream, pink, pale blue and mauve. Only the guipure remains cream. To receive these generous bonuses, send a postal order to Mr. Orsoni, 44, rue de la Chaussée-d’Antin, Paris. Shipping costs are included in the prices designated above. To each hat, we will add a packet of iris detergent offered free to our readers.
#Le Petit écho de la mode#19th century#1890s#1896#on this day#February 23#periodical#fashion#fashion plate#cover#color#description#Forney#dress#hat#collar#bodice
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Le gage de solidité d'un positionnement, d'une marque, d'un produit, d'un business-model, est l'abondance de clientèle anglo-saxonne. Exemple dans la restauration à Paris : quel est l'indice infaillible qui marquait le potentiel du nouveau marché du bistro-cantine modèle "Bouillon" début 2000? C'était la soudaine abondance de clients anglo-australo-américains. Le référencement tardif de Chartier dans les guides de voyage anglo-saxons fit exploser l'affluence. Les premiers bouillons parisiens remontent à 1860. Chartier fondé en 1896 était la seule enseigne du genre encore existante début 2000, c'est-à-dire que cette cantine a mis 110 années pour percer vraiment la glace et voir la floraison en 15 ans des nouvelles cantines populaires: Chartier Montparnasse et Chartier Gare de l'Est, Bouillon Pigalle, Bouillon République, Brasserie des Prés, Brasserie Dubillot, Bellanger… Et leurs versions bistronomies plus pointues Le Baratin, L'Ami Jean, Le Comptoir, Quedubon, Le Verre volé, le Repaire de Cartouche, Racines et surtout Le bistro Paul Bert. Ce modèle va désormais s'exporter dans le monde entier. Au moment de la généralisation des pizzerias dans les années 80 si propice au "déjeuner de trente minutes chrono", la cuisine française a souffert de cette image statufiée Bocuse, Escoffier, Le Bec Fin. Nous n'avons jamais mangé de "canard à l'orange et au sang" et n'en voulons à aucun prix. C'est cette cuisine proudhonnienne populaire toute d'intelligence, de vitesse et de simplicité qui rendra justice au pays. Le Français met longtemps à comprendre qui il est par rapport aux autres, mais quand il le comprend et reste loyal il rencontre de beaux succès.
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Un petit rockeur gueule de démon me demande si j'écoute du hardcore mais je ne réponds rien. Il renifle, j'ai envie de sniffer de la coke sur sa bite, et il le sait. Ses yeux noirs me transpercent. Finalement, sa langue sur mon ventre découpe mes tatouages et sa salive dans ma bouche a le goût du verre brisé, lavé à la javel. Mes tripes hurlent un autre prénom, la louve intérieure souffre en silence. Je sais qu'il est temps de changer de lieu parce que je commence à avoir envie de péter des verres sur des crânes et d'édenter les fils de pute qui essayent de me la mettre à l'envers. 4am c'est l'heure de rejoindre la gare à pattes, veste en jeans moite d'alcool et de sueur sur le dos. L'odeur de la transpiration d'un inconnu collée dans ma nuque me donne envie de dégueuler. Mon esprit ressace ses derniers mots : "Ton ex avait des problèmes d'alcool ? Bah putain j'ai jamais autant bu que depuis que je te connais" Je tire sur ma cigarette à m'en cramer les alvéoles. Dead inside j'ai perdu mon casque Marshall hors de prix dans les allées de la nuit. Pas de musique pour matraquer mes pensées. Souffle au cœur, poumons en vrac, j'ai trop fumé toute la nuit donc je crache, les notes médiocres d'une partition que j'ai répétée trop souvent. Le vernis craque, mes mains ont touché des vices et je me lèche les doigts, virus dans la gorge; l'appétit ne reviendra pas. J'arrive à la station, marcher sur les rails, le premier train sera le dernier
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Dimanche 14 juillet 2024
Cat Power under the thunder : soirée de loser
Je n'étais plus aussi chaud qu'avant concernant ce concert de Cat Power. Je ne sais pas, enfin, peut être que la flemme jouait un rôle là dedans. L'idée de prendre le bus et d'aller me fourrer dans un hôtel à deux heures de chez moi ne m'enchantait guère trop. Mais, hé, après tout c'était gratuit, j'aurais été bête d'y renoncer et en plus mon frère n'aurait pas apprécié que je n'y aille pas, si je lui avait fait faux bond pour ce concert et l'article qui devait suivre, il aurait mit un moment à me le pardonner.
Le trajet ne me paru pas bien long, occupé que j'étais à écouter Bruce Springsteen et à lire ce bouquin tout juste entamé, passionnant, « Bukowski, une vie », par Neeli Cherkovski. Dans lequel j'ai appris des nombreuses choses comme par exemple le fait que Bukowski n'était nullement homophobe, une prouesse, pour un mec de son temps, ça ne me le fait que l'aimer encore plus... j'aime aussi beaucoup sa haine du conformisme. Je me retrouve en lui, qui n'a jamais su garder un travail et qui ne vivait que pour l'écriture...longue vie à son œuvre !
Une fois arrivé à Perrache, voilà que, exactement comme la dernière fois et malgré le fait que j'y sois allé trois ou quatre fois, j'ai manqué de ne pas trouve mon chemin pour accéder à ce foutu hôtel Victoria qui est pourtant situé à environ 3 minutes de marche de la gare. Je suis finalement arriver à bon port, transpirant déjà bien trop.
J'ai réglé le prix d'une nuit et j'ai filé au 4ème étage retrouver ma modeste chambre.
Il faisait très chaud, j'ai dû prendre une douche dans une minuscule salle de bain, ça n'a pas rendu la tâche particulièrement facile. Et puis je me suis posé sur mon lit, j'avais des heures à tuer avant d'aller au concert alors j'ai repris ma lecture sur la vie de mon écrivain alcoolique préféré, tournant les pages avec une passion non feinte. Le temps passe vite quand on a de quoi lire !
Le moment venu, je suis parti prendre un Uber (je me déplace toujours en Uber, vous le savez si vous me lisez régulièrement, je hais les transports en commun) et je fut vite amené à bon port.
Je me suis dirigé vers l'entré des invités, loin de l'entrée de la plèbe où les gens faisaient la queue, queue qui me semblait interminable, j'étais fatigué rien qu'en voyant sa longueur.
Et puis je me suis dirigé vers ce comptoir où les gens invités annonçaient leur nom pour récupérer un précieux ticket.
Devant moi, une dame assez âgée qui semblait ne plus avoir toute sa tête, ne cessait de parler de Bob Dylan. « Bob Dylan, Bon Dylan c'est pas Bob Dylan, quoi ? Mais c'est marqué Bob Dylan ?! C'est qui Cat Power ?» (il était indiqué sur le ticket « Cat Power chante Bob Dylan »). Elle semblait très déçue.
Pendant ce temps j'ai annoncé mon nom, « Yann Pinguet pour Slowshow », et on m'a donné le ticket. J'ai pensé « ouf, je suis vraiment sur la liste, j'ai toujours du mal à y croire décidément! ».
Après ça j'ai foncé vers les stands de nourriture et j'étais le tout premier client. J'avais très faim mais ils n'avaient que de la nourriture exotique à me proposer, alors que moi je ne demandais qu'à engloutir un hot-dog de base, voir un burger., ce genre là... Faute de quoi j'ai décidé de me contenter d'une gaufre au chocolat que j'ai arrosée avec un Pepsi, à défaut de Coca Cola.
Après ça j'ai filé rejoindre ma place. La place en question était pas mal, j'étais pas loin et en face de la scène.
Les ennuis ont commencés à ce moment là. Il faisait gris et l'application météo de mon téléphone annonçait un orage imminent. Par chance, je portais un grand imperméable parce que ma mère me l'avait conseillé à plusieurs reprises jusqu'à que je finisse par lui faire confiance. Il a commencé à pleuvoir et j'ai mis ma capuche, en pensant « quelle bonne idée, cet imper ! ».
Il s'est mis à pleuvoir avec une intensité de plus en plus forte et au moment du début de la première partie du concert je commençais à m'inquiéter parce que mon imper ne couvrait que le haut de mon corps et mes genoux s'en trouvés progressivement trempés.
Sur scène, l'artiste nommé Blumi assurait un show que je commençais à trouver intéressant, lorsque la dernière chanson fut jouée. A ce moment là, je me suis mis debout, totalement hébété, j'avais tout le pantalon trempé et mes chaussures étaient dans le même état. J'ai songé à me casser de là tout de suite, je n'avais qu'une envie, c'était d'être au sec quelque part. Mais je suis resté et le concert a finit par commencer.
A ce moment la le ciel s'était assombrit. Deux musiciens sont arrivés sur la scène, suivis de celle qu'on attendait tous, Chan Marshall, alias Cat Power.
Premier constat : la dame a pris de l'âge, c'est évident,et la personne qui s'installait devant le micro était loin de l'image que je me faisais de Cat Power, à savoir une jolie brune aux cheveux longs coiffés d'une fameuse franche.
A la place se tenait une femme aux contours épais et aux cheveux courts.
Mais après tout, ces considérations esthétiques ne sont pas très importantes, l'important c'est la voix et quand elle a entonné la première chanson, j'ai constaté qu'elle l'avait conservée et en bon état, malgré la clope qu'elle avait cru bon de s'allumer en plein milieu de la chanson.
J'ai ainsi pu écouter cette première chanson, de Dylan, donc. C'était « She Belongs To Me ».
Merveilleux, j'en oubliais presque le fait que j'avais le cul mouillé et les pieds qui pataugeaient dans l'eau. La nuit était tombé et des premières éclairs se faisaient entendre.
Débuta ensuite la seconde chanson, « Fourth Time Around ».
Et là, la chanteuse a interrompu le concert une première fois, pour nous dire qu'elle était effrayé par l'orage, que ce n'était peut être pas prudent de continuer.
Elle a fini par déguerpir une première fois et les gens ont commencés à râler, à siffler... un responsable est arrivé sur la scène, bien embêté, pour nous dire qu'il ne savait pas trop comment allait se dérouler la suite, ce fut la confusion, et puis Cat Power est revenue, et puis elle a repris la chanson exactement là où elle l'avait arrêté, mais l'orage était toujours présent et après quelques éclairs elle a définitivement foutue le camp.
A ce stade là les gens étaient mécontents et ils ont commencés peu à peu à partir, toujours sous la pluie.
Je n'ai pas perdu de temps et je me suis cassé au plus vite, je n'avais qu'une idée en tête, me mettre à l'abri au plus vite, et pour ça il fallait rejoindre mon hôtel.
Tâche ardue, il faisait nuit et pleuvait de plus belle.
Je ne savais même pas quel chemin prendre, alors j'ai suivi des gens et j'ai rejoins une vieille rue étroite qui descendait très bas, et j'ai marché ainsi pendant un bon kilomètre. J'avais ces vieilles rues en souvenir, de l'époque où j'y étais passé avec Marz, mon ex amoureuse mexicaine... c'était beaucoup moins romantique désormais, la rue n'en finissait plus et j'ai fini par retrouver une route et donc, la civilisation, je pouvais enfin appeler un Uber. C'est ce que j'ai fait et je suis parti m'abriter sous un porche en attentant le véhicule.
Finalement j'ai pu enfin rentré à l'hôtel, avec le bas de mon corps totalement trempé.
Résultat des courses, je me suis retrouvé en caleçon sur le lit de ma modeste chambre d'hôtel, sans avoir la possibilité de porter des affaires de rechange et je me suis dit que, vraiment, il était désormais peu probable que je m'aventure un jour à aller revoir un concert de Cat Power !!!
Bande son : Born To Run, Bruce Springsteen
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Aujourd’hui, dimanche 29/09/24, 5e Journée internationale de sensibilisation aux pertes et gaspillages de nourriture 🇺🇳 et Journée mondiale du cœur 🫀
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Les Virades de l'Espoir aujourd’hui : cet évènement annécien est rythmé par deux temps forts : à 11h, un relai des familles (venez courir entre amis ou en famille par équipe) et à 15h, une course autour du Pâquier ouverte à tous et à toutes (venez déguisé pour pimenter le tout) 🙏
Et toute la journée sur le Pâquier, un village avec de nombreuses animations : ateliers créatifs, clowns, structures gonflables et des ateliers du souffle proposés par une équipe d’apnéistes. Sans oublier la paëlla géante pour se restaurer 👌
Et vu que la pluie a “plombé” le premier jour hier : la forêt est à l’honneur pour la 6e édition de la Fête du bois et de la forêt, portée par le Grand Annecy et l’association J’aime la forêt de Haute-Savoie qui rassemble les principaux acteurs de la forêt privée et publique 🌳
Fête du bois et de la forêt : animations, conférences,démonstrations, course d’orientation, jeux, parcours pédagogique, etc. durant tout le week-end. Totalement gratuit (à part l’éveil culinaire avec Jean Sulpice mais ça doit déjà être complet) 🪵
Et puis des navettes directes et gratuites sont proposées toutes les heures au départ de la gare routière d’Annecy entre 9h et 15h et un retour est programmé toutes les heures entre 10h et 18h au départ de la station du Semnoz 🚌
Dernier jour du High Five Festival qui se tient place François de Menthon. Pendant trois jours, les sports de montagne sont célébrés à travers des projections de films en avant-première, des concerts, des compétitions, des conférences et des animations 🏂
3️⃣
🧺 Trois marchés le dimanche matin à Annecy ➡️ Marché de la vieille ville 📍 Rue Sainte Claire ➡️ Marché des Teppes 📍 Place des Rhododendrons ⌚️ 7h-13h tous les deux ➡️ Marché du quartier du Vallon 📍 Place Jean Moulin ⌚️ 8h-12h 🍴
👟 Triathlon de Menthon ➡️ Le défi ? Format Superleague Triple XS : seul ou en équipe trois triathlons XS à la suite, chaque triathlon comprenant 350 m de nage, 10,2 km de vélo, et 2 km de course à pied (une expérience sportive inspirée par la Super League Triathlon) ℹ️ Podium et remise des prix à 15h 🎫 Accès libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️7h30-15h 📍 Plage municipale, Menthon-Saint-Bernard, Grand Annecy 🏊🚴🏃
🪦 Installation : Cavités habitées de Sarah Battaglia ➡️ Explorez la biodiversité visible et invisible au sein de cet espace refuge qu’est le cimetière. Cette proposition artistique multi-matériaux offre un espace évolutif d’observation et d'expérimentation autour de la symphonie du vivant ℹ️ Avant-dernière semaine (jusqu’au sam. 05/10/24) 🎫 Accès libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 7h30-20h 📍 Cimetière des Glaisins (rue de la Frasse) 👍
👀 Farfouille d'automne ➡️ Le vide-grenier automnal de Veyrier-du-Lac ℹ️ Parking gratuit, vous pouvez vous restaurer aux Crêpes des Brunes ou au restaurant Le Pêcheur 🎫 Accès libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 8h-17h 📍 Veyrier-du-Lac (quai du Général Doyen, port, Grand Annecy) 🗿
⛵ Régate voile : Solitaire d'automne ➡️ Compétition sportive : course pour des skippers seul à bord de leur croiseur ou de leur quillard ℹ️ 3e Solitaire et dernière de la SRVA cette année 🎫 0€ 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️9h-17h 📍 Club de voile (31 rue des Marquisats) 🌅
🏄 Paddle rose ➡️ Mobilisation pour la lutte contre le cancer du sein ℹ️ Inscription à 10h, Briefing joyeux à 10h45, départ sur l’eau à 11h (boucle de 3,5 km) et retour pour un pique-nique canadien à 12h15 🎫 10€ 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️10h 📍 Plage des Marquisats (58 rue des Marquisats) 🙏
🥰 Virades de l'Espoir ➡️ Journée nationale de loisirs, de mobilisation, de collecte et de solidarité ayant pour objectif de permettre à tous et à toutes de lutter contre la mucoviscidose 🎫 Accès libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️10h-18h 📍 Pâquier 🙏
☕ Coup de cœur annécien : un lieu d’accueil et d’échange ouvert quatre fois par semaine et géré par des bénévoles ℹ️ Boissons sans alcool, livres, jeux 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 10h-12h30 📍 Café du curé (6 quai de l’Évêché, vieille ville) ❤️
🥳 49e Fête d'automne et des associations ➡️ Près de 50 associations sont présentes : des animations gratuites (poneys, magicien, ateliers enfants avec tonton carton, tournage de poterie, manège, gratiféria ℹ️ Jusqu’au dim. 29/09/24 🎫 Accès libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 10h-18h 📍 Place Chorus 🥰
🥳 6e Fête du Bois et de la Forêt ➡️ Objectif : informer et sensibiliser le grand public sur les enjeux liés à une gestion forestière durable et multifonctionnelle ℹ️ Jusqu’au dim. 29/09/24 🎫 Accès libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 10h-18h 📍 Station du Semnoz, Grand Annecy 🌲
👀 Dernier jour❗️Salon habitat, jardin et décoration ➡️ 150 professionnels de la construction, de la rénovation et du jardin ℹ️ Jusqu’au dim. 29/09/24 🎫 5€ & 0€ (mineur·es) 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 10h-19h 📍 Arcadium (32 boulevard du Fier) 🛋️
🥳 Fête de la pomme ➡️ Au programme : tartiflette géante, boudin, beignets de pommes, pains et tartes cuits à l’ancienne, bidoyon, jeux insolites et vélos rigolos 🎫 Accès libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 11h-17h30 📍 Argonay (salle Polyvalente, 535 route du Parmelan, Grand Annecy) 🍎
🖼️ Troisième jour❗️ExpO : Au fil de la nature - Émotions et créations ➡️ Découvrez l'univers captivant de Hayat Chebah, où la nature prend vie à travers des sculptures et œuvres plastiques uniques en matériaux recyclés ℹ️ Du 27/09 au ven. 18/10/24 🎫 Entrée libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 13h-18h 📍 Forum Exposition Bonlieu 👨🎨
🧒 ExpO : Illusions, quand notre cerveau nous joue des tours ➡️ Plus d’une trentaine de dispositifs interactifs ℹ️ L’enfant doit être accompagné d'un adulte (inscrit lui aussi) 🎫 5€, 3€ & 0€ (- de 12 ans) 🎟️ Réservation en ligne 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 14h-16h & 16h-18h 📍 La Turbine sciences (Place Chorus) 🧠
📚 Grande braderie de La Turbine ➡️ Déballage : tous les documents à 1€ pièce (livres et CD retirés des collections), pour tous les goûts et tous les âges ℹ️ Jusqu’au dim. 29/09/24 🎫 Entrée libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 14h-18h 📍 Médiathèque la Turbine (place Chorus) 🛒
🖼️ ExpO : Imagined Landscapes de Yang Yongliang ➡️ Artiste shanghaïen inspiré par la peinture traditionnelle chinoise le Shanshui ℹ️ Jusqu’au dim. 15/12/24 🎫 Accès libre 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 14h-19h 📍 L’Abbaye (15 bis chemin de l'Abbaye) 👨🎨
🧒 Ateliers scientifiques : menés par les médiateurs du lieu, ils font appel à la manipulation, à la démarche scientifique et à l’apprentissage par la pratique ℹ️ Spécial adolescent·es 🎫 5€ & 3€ 🎟️ Réservation en ligne �� Dim. 29/09/24 ⌚️ 14h15-15h45 📍 La Turbine sciences (Place Chorus) 🥼
🗣 Visite commentée❗️ExpO : Imagined Landscapes de Yang Yongliang ➡️ Visite commentée, gratuite et sans réservation, de l'exposition par une médiatrice d'Imagespassages ℹ️ Jusqu’au dim. 15/12/24 🎫 0€ 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 15h 📍 L’Abbaye (15 bis chemin de l'Abbaye) 😍
�� Ciné-concert qui nous ramène aux débuts du cinéma, où la musique jouait un rôle essentiel dans la création d'ambiances et d'émotions ➡️ Avec le pianiste, Pascal Wintz et la conteuse Pascale Porcherot ℹ️ Dans le cadre du festival des Empreintes Sonores ⏱️ 1h 🎫 7€ & 5€ (jeunes) 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 16h 📍 La Turbine Cinéma (Place Chorus) 🎥
👨👩👧👦 Rendez-vous des familles : un monument à portée de mains ⏱️ 1h 🎫 3 €, 2 € & 0 € (- de 8 ans) 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 16h 📍 Plateau des Glières (Accueil Mémoire du maquis, Thorens-Glières, Fillière, Grand Annecy) ⛰️
👨👩👧👦 Rendez-vous des familles : La vie quotidienne des Français·es dans les années 40 (jeu de plateau) ℹ️ En cas de vigilance météorologique orange (pluie, orage, vent), la visite est annulée 🎫 3 €, 2 € & 0 € (- de 8 ans) 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 16h 📍 Site de Morette, Route de Thônes, La Balme-de-Thuy 🎲
🎭 Théâtre: La porte à côté ➡️ Une comédie drôle et piquante qui donne envie de tomber amoureux de son voisin... ou pas 🎫 18€, 16€ (+65 ans) & 12€ (enfants jusqu'à 12 ans) 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 17h 📍 Théâtre Les Têtes de l'Art (36 avenue de Chambéry) 🤣
🎭 Comédie musicale : Grease is the word ➡️ Les amours tourmentés de Danny Zuko, chef du gang des T-Birds et de Sandy, son amour d’été ℹ️ C’est coloré, joyeux, pétillant… et un brin décalé, sortez vos robes à volants et vos blousons en cuir 🎫 20€ & 13€ (-12 ans) 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 19h30 📍 Salle Pierre Lamy (12 rue de la République) 🎶
🎼 Concert chorale ➡️ Organa : Chœur des Rives du Lac de Saint-Jorioz & Ensemble Vocal Ugine-Albertville (œuvres de Liszt, Gounod, Saint-Saëns, Franck et Gontran Dessagnes) 🎫 10 € & 0 € (-15 ans) 📆 Dim. 29/09/24 ⌚️ 20h30 📍 Temple protestant (14 rue de la Poste) 🧑🎤
4️⃣
Qualité de l’air à Annecy : si les averses se font plus rares que les jours précédents, le ciel demeure voilé et les températures fraîches 🌡 Les concentrations d’ozone devraient peu évoluer et l’indice ATMO attendu reste moyen dans toute la région 💨
Dans la cité lacustre et ailleurs, au niveau de vos déplacements, privilégiez vélo, trottinette, marche à pied, etc. et au niveau de vos activités physiques, privilégiez les parcs, les zones piétonnes et les rues peu circulantes pour vos activités de plein air 🌬️
L’indice de risque pollinique à Annecy est faible (niveau 1) ➡️ Ambroisies, graminées : niveau 1 ; saule, cupressacées, armoise, autre : niveau 0 ➡️ Indice communal valable du 28/09 au vendredi 04/10/2024 inclus 🤧 Personnes allergiques : aérez le matin tôt ou tard le soir car les pollens sont moins présents 😷
5️⃣
Whaou, il existe au moins deux dictons pour la saint Gabriel : « La saint Gabriel apporte de bonnes nouvelles. » et « S'il gèle à la saint Gabriel, l'hiver part pour un long rappel. » 👍
Pour celles et ceux qui aiment les anges : « À la saint Michel, regarde le ciel. Si l’ange se baigne l’aile, il pleut jusqu’à Noël. » et plus subtil « À la saint Michel regarde le ciel, s’il se baigne l’aile, il pleut jusqu’à Noël. » 👼
Pour celles et ceux qui aiment le ciel : « À la saint Michel, la chaleur remonte au ciel. », « À la saint Michel, la graine de lin s'en retourne au ciel. », « À la saint Michel, la neige est au ciel. » et « Pluie de la saint Michel, ne demeure pas au ciel. » ☁
Pour celles et ceux qui aiment le ciel bis : « À la saint Michel, le goûter monte au ciel. », « Il n'est plus après la saint Michel de goûter qu'au ciel. » et « À la saint Michel, le lait de vache monte au ciel ; en avril, il descend comme une rivière. » 🌈
Pour celles et ceux qui aiment les fruits : « À la saint Michel, cueille ton fruit tel quel. », « À la saint Michel, on cueille chaque fruit. » et « Ne manque jamais d’avoir cueilli tous tes fruits avant la saint Michel. » 🍏
Pour celles et ceux qui aiment les hirondelles : « À la saint Michel, départ d'hirondelles. », « Des hirondelles à la saint Michel, I'hiver s'en vient après Noël. » et « Quand l'hirondelle voit la saint Michel, l'hiver ne vient qu'à la Noël. » 🐦
Pour celles et ceux qui aiment semer, le jardinage et/ou l’agriculture : « À la saint Michel, jette le blé au ciel. », « À la saint Michel sème ton seigle. » et « Pour la saint Michel, pour semer il est assez tôt. » 🌱
Pour les parieurs et parieuses : « Entre saint Michel et saint François (04/10), prends ta vendange telle qu’elle est, à saint Denis (09/10), prends-la si elle y est encore. » 🎲
Pour celles et ceux qui ont horreur des paris : « Entre la saint Michel et la saint François (04/10), prends ta vendange telle qu'elle est. » ou « Entre la saint Michel et la saint François (04/10), prends ta vendange qu’elle qu’elle soit. » 😉
Pour les scientifiques : « Pour la saint Michel, la neige est au ciel. Pour la saint Luc (18/10), elle est au suc (éminences volcaniques). Pour la Toussaint (01/11), elle est en chemin. Pour la saint André (30/11), elle est sous le pied. » 🧐
6️⃣
Je vous souhaite une très bonne journée annécienne et un excellent automne à Annecy, dans les 33 autres communes du Grand Annecy, en Savoie ou ailleurs 🍂
Bonne fête aux Michel et Gabriel (je ne sais pas du tout pourquoi mais parfois il y a deux prénoms le même jour dans le calendrier) et aux Jérôme 😘
Bon septième et dernier jour de la semaine à tous et à toutes 🪐
📷 JamesO PhotO à Annecy le 15/09/24 📸
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Errances
J'aimerais siroter un café sur une terrasse parisienne, dessiner des cœurs cabossés à volonté. J'ai envie de revisiter la tour Eiffel, de griffer mes genoux sur le sol et d'en rire, de me moquer de ma légendaire maladresse ! Je veux que mon verre de vin soit mon verre de fin, voir les lumières se refléter sur la Seine, râler sur le prix de l'addition puis partir sans payer. Avoir les joues douloureuses, lever les bras si haut que je pourrais presque toucher le soleil, ou la lune, ou un nuage noir rempli d'orage. Être à l'arrière d'une Vespa et fuir les vagues qui s'écrasent le long des rochers. Fumer, puis regretter, accumuler des objets inutiles, les vendre, devenir riche. Prendre le train avec une impatience palpitante. Partager un dessert, déguster des macarons géants du 4e arrondissement, chasser mes vieux démons, courir autour d'un feu de joie, laisser mon cœur sur le quai de la gare, revenir le chercher. Danser. Stop. Encore danser ! Voir le monde flou, retirer un caillou de ma botte. Attendre au feu rouge avec mille pensées qui fourmillent. Soupirer, confectionner une robe avec le rideau d'un hôtel. Débattre de la couleur de mes yeux ; sont-ils verts, sont-ils bleus, vert-bleu, bleu-vert... Toujours croire que je peux toucher le soleil, ou la lune, ou ce nuage... Mettre mon réveil, l'entendre sonner, et ne pas me lever à l'heure... Oh et puis tant pis ! Vivre.
#ecriture#writer#creative writing#creativity#mood#mood today#quoteoftheday#writing#writing life#french poetry#paris france#paris#parislife#parisian vibe
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Quelques jours, peut-être même quelques semaines, portées par un vent du sud les rumeurs du Printemps avaient envahi les coeurs et les conversations. On leur trouva des noms de fleurs pour en faire des bouquets de liberté, généreux, audacieux, sans réserve...
Comme un rêve qui s'attrape si l'on veut bien y croire, il semblait alors que le mouvement des idées en cavale prenait de l'ampleur, ça faisait envie et si lui il réussissait à ouvrir sa cage "pourquoi pas moi" disait l'Homme-orchestre et tout autant oiseau ..
Une autre fois, après sa toilette bisannuelle la machine s'arrêta. Sans prévenir, sans crier gare, ni train, ni ouf, on aurait mieux fait de ne toucher à rien dit la voix-off et l'expert qui justement présent diagnostiqua quelque chose de terrible -ou pas- mais alors précisa t-il , dans ce cas il faudrait comprendre cela comme un signe-avant-coureur d'une future catastrophe annoncée et dans l'autre...Soupir! Pour tenter le tout pour le tout on décida d'aller lui changer sa mémoire à l'animal électrique. Qui sait, peut-être qu'en effaçant de trop mauvais souvenirs qui fatiguaient inutilement un appareil déjà bien essoufflé... Chez le vendeur de mémoire en barrettes, l'expert opta pour un plus grand modèle et... de retour sur le théâtre des opération, la machine avait reprit son ronronnement comme si de rien n'était et même avec une respiration plus légère mais là... A force de croire ou d'espérer, on se fait des idées qui ne ressemblent pas toujours ni souvent à la réalité, des idées toutes chiffonnées.
Un autre jour, les machines tombent du ciel emportées par les vagues de l'Histoire, des machines infernales déguisées en courants-d'air. Et comme au loup si elles te touchent t'es mort mais des fois tu le sais pas encore.
Aujourd'hui, j'ai vu que le fleuriste pas très loin du cimetière faisait des prix sur le jasmin. Les fleurs de la révolution ne se conservent pas si longtemps sans doute. Mais, a t-on bien coupé les tiges, changé leur eau?
L'expert est reparti chez lui , en bas de la carte où l'on annonce de fortes précipitations.On a rangé le jeu de tarot et les dés. Tout est sous contrôle.
En sommes.
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Samedi 28 janvier 2012.
La salle d’attente de la gare de Spisska nova Ves est un peu triste. Vendredi soir il y a quelques personnes qui sont venus y chercher un refuge contre le froid. A minuit elles devront aller voir ailleurs. C’est sans doute la même chose dans toutes les gares de Slovaquie, de République tchèque et de tous les autres pays.
Les couchettes du train qui nous emmène vers Prague sont assez simples, vieillottes et me font penser à nos vieux trains de nuit. Le train s’arrête souvent, grince, fait toutes sortes de bruits. Épuisé, je trouve enfin le sommeil. C’est à ce moment, au petit matin, que le contrôleur nous annonce l’arrivée prochaine en gare de Prague.
De chaque côté de la voie ferrée, des cheminées se dressent telles des vestiges d’un temps révolu. A la fin des années 80, un peu avant les bouleversements qui secouèrent le monde communiste, j’étais venu faire un reportage sur l’église souterraine en Tchécoslovaquie. Dans un hôtel où nous étions descendus, des peintures au réalisme socialiste étaient accrochées sur les murs. On y voyait des usines avec des cheminées qui crachaient de la fumée noire, ce qui fit dire à mon chauffeur "plus il y a de fumée, plus c’est socialiste". Les cheminées sont toujours là, mais au moins ce matin la fumée a disparu. Et le socialisme aussi !
Deux cafés pour me réveiller, puis un autre convoi nous emmène vers une petite ville du sud où ce soir est organisé un bal avec une tombola dont le prix est un sanglier. L’endroit où la soirée aura lieu est une espèce de bar un peu bizarre tenu par l’ami de Lenka.
La fatigue est toujours présente chez moi et l’inspiration se fait rare. Je vais faire une sieste. Si jamais je dois courir après la bête !
Vous pouvez retrouver ces histoires dans le livre "Un voyage en hiver" publié aux éditions de juillet en 2021.
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Un Trésor national voir Mondial : redécouvert dans une cuisine, un rarissime tableau de Cimabue entre au musée du Louvre
A National treasure or more a World treasure: found in a kitchen , a painting of Cimabue on a wood panel is coming in the Louvre Museum (Paris) !!!!!
Par Anne-Sophie Lesage-Münch le 02.11.2023 Connaissance des Arts
Cimabue, Le Christ moqué (détail), 25,8x 20,3 cm, peinture à l'oeuf et fond d'or sur panneau de peuplier, Actéon Senlis, vente 27 octobre 2019.
Après trois années d’attente, La Dérision du Christ de Cimabue, petit panneau de bois du XIIIe siècle devenu le tableau primitif le plus cher du monde, rejoint les collections nationales.
Une bien discrète annonce pour une acquisition extraordinaire. En ce premier jeudi de novembre, où la tempête Ciaran occupe tous les esprits, le ministère de la Culture a diffusé sans crier gare un communiqué que beaucoup attendaient. Voilà en effet près de trois ans que la question ressurgissait de loin en loin : mais que devient le Cimabue sauvé d’une cuisine ? On apprend donc officiellement aujourd’hui que La Dérision du Christ, petit chef-d’œuvre miraculé classé Trésor national, rejoint les collections du musée du Louvre.
Ceci n’est pas une icône
Dans la famille des chefs-d’œuvre perdus et fortuitement redécouverts, ce petit panneau de bois peint d’à peine 25 cm de haut tient une place plus que remarquable. Son histoire récente débute en juin 2019 lorsque Philomène Wolf, commissaire-priseur pour la maison de vente Actéon, travaille sur l’inventaire de la maison d’une nonagénaire à Compiègne. Elle remarque alors, accroché dans la cuisine au-dessus des plaques de cuisson, ce que jusqu’alors la famille considérait comme une simple icône russe. De fait, l’art de Cimabue s’ancre dans la tradition de la peinture byzantine dont il s’affranchit cependant (et c’est là tout son génie) pour développer une nouvelle esthétique à l’orée de la Renaissance.
Classé Trésor national en 2019, le tableau La Dérision du Christ de Cimabue rejoint les collections du musée du Louvre. ©Actéon
L’œuvre est alors soumise à l’expertise du cabinet Turquin qui l’attribue finalement, après des mois de recherche, au fascinant peintre florentin, maître de Giotto, dont on ne connaît à ce jour qu’une quinzaine de réalisations. Cette étude permet également de comprendre que le panneau appartient à un diptyque (un objet de dévotion privée) composé de huit scènes de la Passion du Christ, datant de 1280, dont seulement deux autres panneaux nous sont parvenus : La Flagellation du Christ, conservé à la Frick Collection de New York depuis 1950, et La Vierge à l’Enfant, acheté par la National Gallery à Londres en 2000.
Reconstitution du diptyque auquel a appartenu le Christ moqué de Cimabue ©Actéon
Une exposition exceptionnelle en 2025
Estimée entre 4 et 6 millions d’euros, l’œuvre est présentée aux enchères le 27 octobre 2019 où elle atteint le prix de vente record de 24 millions d’euros, devenant ainsi le tableau primitif le plus cher du monde (et accède également au 8e rang des tableaux anciens les plus chers jamais vendus). Le musée du Louvre, qui souhaitait se porter acquéreur, n’a alors pas encore pu réunir la somme nécessaire à sa préemption. Quelques semaines plus tard, la veille de Noël, on apprend que l’œuvre est finalement classée « Trésor national », un label qui exclut de fait toute autorisation de sortie du territoire français durant une période de 30 mois. Cette manœuvre va alors laisser le temps à l’administration de réunir les fonds pour l’acquisition du chef-d’œuvre.
Cimabue, La Vierge et l’Enfant en majesté entourés de six anges (Maestà), vers de 1275 à 1300, tempera et fond or, musée du Louvre ©Wikimedia Commons
Aujourd’hui le musée du Louvre peut se féliciter de l’entrée dans ses collections de cette œuvre insigne qui, comme l’explique Laurence Des Cars, présidente-directrice du musée « constitue un jalon crucial dans l’histoire de l’art, marquant la fascinante transition de l’icône vers la peinture ». La Dérision du Christ met déjà en œuvre des questions qui deviendront centrales dans les arts de la Renaissance, en particulier la représentation de l’espace, de la lumière ou encore des sentiments humains. Elle rejoint la monumentale Maestà, autre chef-d’œuvre du peintre florentin qu’abrite l’institution parisienne, et qui fait actuellement l’objet d’une campagne de restauration. Les deux tableaux, qui à grande comme à petite échelle font la démonstration du caractère révolutionnaire de l’art de Cimabue, seront au cœur d��une exposition au printemps 2025.
#cimabue#louvre#museedesbeauxarts#artists on tumblr#france#artistsoninstagram#artistsupport#meet the artist#painter#aesthetic#kunstdruck#kunstmuseum#kunst und kultur#kunstgalerie#statens museum for kunst#museum
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19 décembre :
Hélas la fin de mon séjour au Brésil arrive déjà. Avant de rentrer en Argentine je visite le barrage d'Itaipu situé sur le fleuve Paraná qui sépare le Brésil du Paraguay. Mais je devrais plutôt écrire "qui unit", puisqu'il s'agit d'un site "binacional" où l'on se situe à la fois au Brésil et au Paraguay en même temps. Cette centrale énergétique est tout autant une prouesse technique que diplomatique; chaque pays détenant 50% de l'énergie produite et toute l'administration étant divisée entre les deux pays (2 PDG). 2e plus gros barrage au monde après celui des trois gorges en Chine, les installations sont impressionnantes; j'ai même visité une turbine en fonctionnement dont on ne voyait "que" l'arbre qui reliait la turbine à l'alternateur (!!!). De retoure à Puerto Iguazu en Argentine j'enchaîne avec un bus de 4h jusqu'à San Ignacio. Arrivé en fin de soirée je me couche direct.
20 décembre:
Si je suis dans ce village c'est parce qu'il se situe dans la région où les Jésuites se sont implantés à partir du XVIe siècle. De véritable cités monastiques en autarcie exclusives aux guaranis se sont ainsi développées pendant à peu près 2 siècles avant que l'ordre ne se fasse expulser par les couronnes espagnol et portugaise. Puis les guerres entre les nouveaux pays formés de nouveau monde on finit d'achever ce qui restait des missions. Du coup il ne reste que des ruines qui sont aujourd'hui plus nettoyées que restaurées et classées patrimoine mondiale Unesco. BREF, j'ai visité celle de San Ignacio, j'étais tout seul, et ça m'a fait pensé un peu à Angkor Wat, des ruines dans la jungle qui sortent d'un temps perdu et mystiques. On a envie de se téléporter dans le temps et faire revivre cette société "communiste" (mais aussi esclavagiste, rien n'est parfait finalement avec cette doctrine). Puisque je suis dans la jungle autant profiter de cet enfers vert. Je loue donc un vélo (tout aussi pourri que la VW que j'avais loué) pour me rendre au parc Teyucuaré et admirer des points de vue sur le Paraná. Il fait trop chaud; 38° et 1000000% d'humidité. J'ai mon 1er accident de drone quand je le fais décoller direct sur un arbre... il se casse la gueule devant moi (une torture à regarder) mais j'arrive à le faire revoler malgré un bras disloqué que je n'arrive plus à replier. Il s'en sort... l'après midi je prends un bus de 1h pour Posada, la grande ville de la région.
21 décembre :
Je continue donc ma visite des missions Jésuites à partir de Posada, à la frontière Paraguayenne, que je franchi pour visiter Trinidad. Tout autant en ruine que San Ignacio, je prends autant de plaisir à m'y balader. Je passerai 4h à faire l'AR depuis Posadas pour 40min de visite mais j'ai mon tampon du Paraguay sur mon passeport, et ça, ça n'a pas de prix. Puis je refais le grand saut du retour vers Córdoba avec un bus de 18h. Mention spéciale à Yuri, un Paraguayen que j'aurai croisé 2 fois et qui m'expliquera comment il est poursuivi par les mafias, comment Dieu exterminera ses ennemis avec des éclairs, et comment il a le droit d'user de la forces d'ici là. Aucune idée comment je me suis retrouvé à papoter avec lui mais j'ai vite pris mes distance avec ce fou furieu.
22 décembre :
Arrivé à 9h à Córdoba que je connais déjà, je m'occupe comme je peux jusqu'à prendre mon bus de 23h30 pour Mendoza. Je fais entre autre un musée d'art moderne puis un musée d'art contemporain dont je ne comprends absolument rien. Vivement retrouver les Andes, ça fait 2 nuits de suite que je rêve (littéralement) de randonnée.
23 décembre :
Arrivé à 09h00 à la capitale viticole d'Amerique du sud, je découvre la ville surtout pendant mon trajet à pied de la gare routière à mon hostel. La ville a été détruite pendant un tremblement de terre et il n'y a pas vraiment d'attraction touristique. Par contre elle a été reconstruite avec de larges trottoirs sous de gros arbres abritant les piétons du soleil; c'est très agréable. Journée logistique : lessive, achat camping gaz, transfert vidéos sur le cloud, courses en prévisions de mes prochains bivouacs, apero (je respecte le région et ça sera du vin cette fois).
24 décembre :
Sans émotions de m'éloigner de la civilation en ces jours où les relations sociales sont de coutume, je pars m'isoler dans la montagne. Que Mendoza soit réputée pour son vin, c'est comme l'eau sur les plumes d'un canard, ca glisse (ballec), qu'elle soit située au pied de l'Aconcagua (6990m !!!), sommet des Amériques, le canard s'est pris un obus dans la gueule. Du coup, bus jusqu'au lieu dit "las cuevas" juste avant le tunnel qui mène au Chilie (officiellement je suis d'ailleurs ni en Argentine ni au Chilie, étant entre les 2 postes frontière). Puis, ENFIN, je randonne jusqu'à un lac gelé situé dans une vallée aux couleurs incroyables, ça ressemble un peu aux Alpes mais en plus austère, toujours ces touches rougeâtres qui doivent être du à l'immersion de cette chaîne de montagne gigantesque dans l'océan, et qui doit être à l'origine de tous ces matériaux donnant des couleurs originales. Je voulais camper au lac mais c'est assez exposé au vent et je ne n'avais pas prévu qu'il soit gelé, je risque de passer une sale nuit dans le froid (pourtant je ne suis "que" à 3700m). Je plante ma tente plus bas à 3500m, ce qui ne m'empêchera pas d'avoir un peu froid. J'ai une vue panoramique sur la vallée, je suis complètement seul, la "presque" pleine lune prend le relais au soleil donnant un spectacle de lumière.
Bilan: 10km, 600m d+
25 décembre :
Grosse journée au programme. Je reviens sur la ruta 7, qui relie Buenos Aires à Santiago, pendant le réveil du soleil. Puis je monte au Pico del Cristo Redentor, marquant la frontière avec le Chili. Belle vue mais pas aussi impressionnante que décrit par le routard. Puis stop jusqu'au sentier qui mène à la Laguna Horcones, dans le parc provincial Aconcagua, et que je dois donc payé (3eur). Belle vue sur l'Aconcagua. Parenthèse ouverte sur ce parc: ça aurait été un pure bonheur que d'essayer (restons humble) de monter au sommet de l'Aconcagua. Il n'est pas du tout technique (moins que le Huyana Potosi en Bolivie) et le "seul" challenge, c'est l'altitude. Sachant que j'ai fait un sommet à 6300m sans ressentir aucun effet d'altitude, j'avais très envie de tester mes limites. MAIS, s'y aventurer coûte 5000e, rien que le permis pour y accéder c'est 1000e. On est loin des 40eur que j'ai payé pour le Parinacota (6300m). Donc j'y fais l'impasse et je me ballade hors de ce parc. L'accès à la nature doit être un bien publique et je refuse de participer à sa commercialisation. Parenthèse fermée. Puis stop jusqu'à la puente del Inca ou je fait le début de la randonnée menant au Cerro Penitentes. La nuit je sors ma tête de la tente et je vois que toute la vallée est éclairée par la pleine lune. J'en suis émus tellement c'est merveilleux.
Bilan: 23km, 1100m d+
26 décembre :
C'est parti pour finir le (gros du) travail entamée la veille. Day pack et je grimpe 1400m d+, traverse 4 gués dechaussé, pour arrivé à 4400m d'altitude sur un plateau aux falaises verticales et qui domine mon bivouac. Le paysage me fait toujours penser aux Alpes, mais en tellement plus impressionnant... pour commencer j'ai une vue directe et dégagée sur le mythique Aconcagua, et tout autour sur 360°, plein de monts blanc (oui au pluriel), des vallées, un lac turquoise, des cours d'eau (c'est le debut de l'été et la montagne perd toute ses eaux). J'ai l'impression d'être au sommet du monde, noyé dans un univers qui, littéralement, me dépasse. Je redescends, reprend mon gros sac au bivouac, et reviens sur la ruta 7. L'autostop sera infructueux et je médite sur comment l'humain peut être naturellement bon lorsque le contact est direct, et naturellement un gros connard lorsqu'une barrière nous sépare; ici un pare-brise. Donc je marche jusqu'à un bled et attends 1h le bus qui m'amène au village d'Uspallata où je dormirai au camping.
Bilan: 22km, 1500m d+
27 décembre :
Ah j'oubliais: Feliz Navidad! Sans festivité, je prends le bus du retour pour Mendoza où je me repose jusqu'à l'heure de l'apero mais surtout du dîner. Mendoza étant réputé pour sa gastronomie je me fais un bon resto. Et bien les argentins n'ont obsolument rien à envier à nos vins, ils sont excellents et surtout très bon marché. Un (gros) verre ne coûte que 1,5eur. La viande est sans surprise dionisiaque, fondante dans la bouche, et le rhum Barceló Gran Anejo (République dominicaine) d'une douceur qui manque je trouve aux rhums Martiniquais (ma seul référence).
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la gare flixbus de bercy va fermer??? non mais c'est pas possible elle est vitale pour aller n'importe où sans avion. je suis censé faire quoi, prendre les trains? faudrait que la sncf en mette, déjà.
Sa fermeture est repoussée "courant de l'année prochaine" paraît-il mais oui sa mort est programmée, et c'est plutôt catastrophique malgré son état déplorable. Outre la présence des trains, leur prix est franchement rédhibitoire je trouve, moi je paye régulièrement plus de 200€ pour faire des allers-retours chez mes parents sur les longs weekends, ça pique sévère.
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Le Petit écho de la mode, no. 40, vol. 18, 4 octobre 1896, Paris. Jaquette Salomé à 22 fr. Toque Tite à 5 fr. 95. Cravate écossaise de l'Oural à 20 fr. 95. Manchon assorti à 41 fr. 95. Vêtement Samson à 19 fr. 95. Canotier en feutre à 8 fr. 95. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Nous offrons en prime à nos charmantes lectrices deux vêtements qui, par leurs prix très avantageux, vont faire leurs délices.
We are offering as a bonus to our charming readers two items of clothing which, with their very advantageous prices, will delight them.
—
(1.) Jaquette Salomè dernière création, en drap anglais très chaud et très souple au prix de 22 fr. 95 non doublée et 28 fr 95 doublée, polonaise de couleur ou noire. Cette magnifique jaquette se fait en tabac, gris clair et gris ardoise.
(1.) Salomè jacket, the latest creation, in very warm and very soft English cloth at the price of 22 fr. 95 unlined and 28 fr 95 lined, colored or black polonaise. This magnificent dust jacket is made in tobacco, light gray and slate gray.
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(2.) Collet Samson, façon tailleur en drap cuir, qualité supérieure, orné de baguettes piquées, au prix de 19 fr 95 non doublé, à 23 fr. 95 doublé polonaise de couleur ou noire. Ce collet se fait en noir et marine. Peur accompagner ces vêtements nous donnons: 1. Une gentille toque Tite en feutre orné de choux de velours en biais. Sur le côté gauche est posé un mignon petit oiseau noir. Les formes se font en noir, marine, tabac, beige et gris. Le velours est noir, marine, grenat, tabac, héliotrope, crème, rubis, vert d’eau, vert foncé et émeraude au choix. Prix: 5 fr. 95. — 2. Canotier en feutre, orné sur le côté d’un gros chou en beau ruban de satin soie et plumes couteaux. La calotte, entourée d’un biais de satin crème ou assorti au ruban, est bordée de velours noir en haut et en bas. Le ruban est, au choix, noir, marine, grenat, tabac, gris clair, héliotrope, vert foncé et crème. Les plumes sont assorties aux formes. Prix 8 fr. 95.
(2.) Samson cape, tailor-style in leather cloth, superior quality, decorated with stitched baguettes, priced at 19 fr 95 unlined, at 23 fr. 95 lined polonaise colored or black. This cape is done in black and navy. To accompany this item we give: 1. A nice felt Tite hat decorated with velvet puffs on the bias. On the left side is a cute little black bird. The shapes are in black, navy, tobacco, beige and gray. The velvet is black, navy, garnet, tobacco, heliotrope, cream, ruby, sea green, dark green and emerald to choose from. Price: 5 fr. 95. — 2. Felt boater, decorated on the side with a large cabbage in beautiful silk satin ribbon and knife feathers. The crown, surrounded by a bias of cream satin or matching the ribbon, is lined with black velvet at the top and bottom. The ribbon is available in black, navy, garnet, tobacco, light gray, heliotrope, dark green and cream. The feathers match the shapes. Price 8 fr. 95.
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(3.) Magnifique cravate écossaise en martre de l'Oural avec tête et flot formé par 5 queues. Prix 20 fr. 95. Manchon assorti 41 fr. 95.
(3.) Magnificent Scottish tie in Ural marten with head and flow formed by 5 tails. Price 20 fr. 95. Matching sleeve 41 fr. 95.
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Aucun envoi n’est fait contre remboursement; adresser mandat-poste à M. Orsoni, 3, rue de la Sablière, Paris. Les frais d’envoi en gare française sont compris dans les prix désignés ci-dessus. Pour la différence de frais de port, ajouter 0 fr. 50 pouf la Corse, l’Algérie, la Tunisie, la Suisse, la Belgique et l’Allemagne, 1 franc pour l’Espagne, le Portugal, la Hollande, l’Autriche et l’Angleterre, 1 fr. 50 pour la Roumanie et l’Egypte. Un délai de huit jours nous est nécessaire pour la bonne exécution des commandes de chapeaux et douze jours pour les vêtements. Mesures à donner: Pour la jaquette, 1. largeur du dos; 2. longueur du dos, prise du pied du col à la taille; 3. largeur du devant; 4. contour sous les bras, pris au plus fort) de la poitrine; 5. contour des hanches; 6. épaule; 7. tour de taille. Pour le collet: 1. encolure sur le col de la robe; 2. contour de poitrine en passant par dessus les bras.
No shipment is made against reimbursement; send money order to Mr. Orsoni, 3, rue de la Sablière, Paris. Shipping costs to French stations are included in the prices designated above. For the difference in shipping costs, add 0 fr. 50 pouf Corsica, Algeria, Tunisia, Switzerland, Belgium and Germany, 1 franc for Spain, Portugal, Holland, Austria and England, 1 fr. 50 for Romania and Egypt. We need eight days for the proper execution of orders for hats and twelve days for clothing. Measurements to be given: For the jacket, 1. width of the spine; 2. back length, foot take from collar to waist; 3. front width; 4. contour under the arms, taken at the fullest) of the chest; 5. hip contour; 6. shoulder; 7. waistline. For the cape: 1. neckline on the dress collar; 2. chest contour going over the arms.
#Le Petit écho de la mode#19th century#1890s#1896#on this day#October 4#periodical#fashion#fashion plate#cover#color#description#Forney#dress#jacket#gigot#cape#collar
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Dans les yeux des femmes y a des gares
Des trains de retour, des fanfares
Des hommes qui agitent des mouchoirs de soie
Des ´je t´aime´ plein la voix
Dans les yeux des femmes y a des ´bon gré mal gré´
Des remords, des regrets
Des ´J´aurais dû´, ´si j´avais su´
La peau d´homme, quel joli tissu!
Dans les yeux des femmes y a des amants
Qui tuent leur ennui par moment
Romans d´amour à l´eau de vaisselle
Des écailles qu´elles prennent pour des ailes
Elles ont compris
Elles ont compris
Qu´elles étaient belles
Elles ont compris
Qu´elles étaient celles
Qu´on voulait à tout prix
Dans les yeux des femmes y a des Carmen
Des putains à la petite semaine
Qui ont le corps cigale où le cœur fourmi
A placer ses économies
Dans les yeux des femmes y a des erreurs
Des maquereaux, des maîtres-nageurs
Remords d´avoir mis leurs nageoires
Dans des mers qui étaient qu´des baignoires
Dans les yeux des femmes y a des chanteurs
Qui ont leur discothèque dans le cœur
Chansons harpons pour thés dansés
Qui jusqu´au sang les ont blessées
Elles ont compris
Elles ont compris
Qu´elles étaient belles
Elles ont compris
Qu´elles étaient celles
Qu´on voulait à tout prix
Dans les yeux des femmes y a des enfants
Qui poussent des cris triomphants
Enfants qui seront meilleurs en tout
Qui les vengeront de leurs époux
Dans les yeux des femmes la petite maison
L´amour sur le gaz, le gazon
Strictes et peignées, sorties de l´école
Finies les idylles, les idoles
Dans les yeux des femmes y a surtout
Ce qu´on y met quand on en est fou
Ces temps-ci si j´ai pas l´air gai
C´est que les yeux d´une femme m´ont flingué
Elle a compris
Elle a compris
Qu´elle était belle
Elle a compris
Qu´elle était celle
Que je voulais à tout prix❤️
Guisi ❣️
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