#Précaires
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Nus en place publique... et puis ?
Les salaires des modèles vivants des Ateliers Beaux-Arts de la Ville de Paris (ABA), premier employeur de modèles de France, n’ont pas augmenté depuis 2009, si ce n’est de quelques centimes. Ils stagnent depuis 15 ans à 15E net/h (congés payés inclus), quand ce n’est pas 11E dans les autres écoles de la Ville de Paris. Et en outre les retards de paiement s’accumulent. Dans ce laps de temps, les enseignants des ABA, qui émargeaient en moyenne à 50E net en 2017 (pour donner une idée de l’écart), ont été augmentés. L’absence d’augmentation pour les modèles ne découle donc pas simplement de restrictions budgétaires. Cette date de 2009 n’est pas anodine. C’est très exactement la période qui suivit la manifestation de décembre 2008, qui avait vu les modèles se déshabiller en plein hiver dans la cour de la Direction des Affaires Culturelles de la Ville de Paris pour alerter sur leur situation. Il s’en était suivi un important battage médiatique et une amélioration sensible de leurs conditions de travail dans les ABA, dont une augmentation salariale. Il semble toutefois que la dite augmentation ne fût pas entièrement à porter au crédit de la manifestation mais tout autant au fait que Christophe Girard, alors adjoint à la Culture, s’était montré suffisamment méprisant et maladroit vis-à-vis des modèles pour se mettre dans une situation inconfortable et se sentir obligé de consentir à cette rallonge. Mais le fait que, depuis tout ce temps, aucune nouvelle réactualisation de leur salaire n’ait été effectuée est la meilleure illustration possible du déséquilibre des forces au sein du salariat des ABA et de tous les gros établissements. Un statut protecteur pour les modèles n’ayant toujours pas été mis en place, il ne reste pour consolider la place de ces travailleurs dans les établissements que l’estime qu’on peut témoigner pour leur métier, d’une part et leur pouvoir économique d’autre part. Or, si la première s’est peut-être (légèrement) développée dans les établissements, le deuxième est inexistant car, comme nous l’avons déjà dit et redit, les modèles restent une masse de journaliers interchangeables dont la qualité éventuelle de travail et l’implication comptent pour zéro dans les recettes d’un gros établissement. Tous les modèles revendicatifs peuvent claquer la porte demain, cela ne changera rien pour le bilan de la structure, contrairement aux équipes enseignantes. Donc les modèles aujourd'hui n’ont pas de pouvoir économique à part dans le cas d’une grève massive, soit un événement hautement improbable. Voilà pourquoi les revendications des enseignants sont un peu écoutées aux ABA alors que celles des modèles sont soigneusement dédaignées. Malgré le retentissement médiatique de l’action de 2008, rien n’a vraiment changé. Subsequemment, les modèles vivants devraient-ils à nouveau montrer leur intimité en place publique pour obtenir une augmentation ? Ce serait sûrement changer un principe efficace en gimmick pour voyeurs puisque, dès que les modèles organisèrent une manifestation par la suite, il était perceptible que la question première des journalistes et du public était : seront-ils nus ?
Voilà pourquoi ils n’ont pas recommencé.
#beaux-arts#modèle vivant#life models#histoire des modèles vivants#life drawing#modèle d’arts plastiques#travailleurs invisibles#précaires#Ville de Paris#anatomie#luttes sociales#arts plastiques
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Equilibre précaire Toutes les cartes sont dispo sur @tire-une-carte / English version is at @play-my-game Bon jeu !
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oh wow ! c'est beaucoup moins que ce que je pensais...
#bee tries to talk#upthebaguette#french#je connais tellement de gens friqués irl et online ça a faussé ma perception#ça me rassure et en même temps ben merde la france est vachement précaire mine de rien
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No Plot, Only Landscape
While walking in the forest, through an abandoned village.
People moved out. something was left behind.
Left them deep inside, Those were sorrow.
Slowly picked them out carefully that they would not break. Laid them down on the floor.
The sound of sorrow that touched with the ground making a specific sound.
The Night covered, lighted a fire. Sound of the night insects, Sound of the wind. No one except you and the number of sorrow. Those sadness connected with your sadness. Became a soft light shining in the middle of the room. Insects wanted to fly in but got stuck at the window. Some unknown creatures stared behind the shadow.
released May 28, 2023
recorded during february - july 2022, bangkok and some other places.
objects, field recording by tossapol
mastered and cover art stamp by anne-f jacques
youtube
#tossapol#no plot only landscape#presses précaires#bangkok#field recording#sound art#experimental#bandcamp#youtube
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J'ai envoyé des photos de certaines de mes aquarelles à mes collègues pour qu'ils choisissent un style pour que je fasse les cartes de fin d'année et :
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Jean-Louis Bernard, Au précaire du seuil, Cahiers du Loup bleu, éditions Les Lieux-Dits, 4e trimestre 2023.
Une chronique de Nicole Hardouin Jean-Louis Bernard, Au précaire du seuil, Cahiers du Loup bleu, éditions Les Lieux-Dits, 4e trimestre 2023 “Arrivé à la fin de ce que tu dois savoir, tu es au seuil de ce que tu devras ressentir.” Khalil Gibran C’est au précaire du seuil, lorsque l’équilibre vacille dans les songes avec quelques ombres déchues/ pour peindre l’attente que la raison devient un…
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#Au précaire du seuil#éditions Les Lieux-Dits#Cahiers du Loup bleu#Jean-Louis Bernard#Nicole Hardoin
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SOS AIDEZ MOI A REALISER MON REVE A LAISSER UNE TRACE ICI BAS A RECONTRER A ACCEUILLIR KENDJI GIRAC CHANTER ET COMPOSER POUR LUI MERCI SOS
#SOS INTERNOTS TWETTER X Google fesbook tic tok instagram#je suis avancé en age sante précaire cardiac handicapé s'il vous plait je vous implorent prient suplient a [email protected]#coste hubert 3 ALLEE DE CALVIé21OOO DIJON TEL O3 8O 41 O O O6 ENVOYER MOI L ADRESSE MAIL DE KENDJI GIRAC POSTALE S'il vous plait
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C'est une attraction magnétique, celle qui danse invisible entre les âmes sœurs : un rappel silencieux, presque imperceptible, où chaque touche voilée et chaque sourire volé allume un désir qui ne cherche pas de tollé, mais qui brûle en silence, dans un équilibre précaire entre l'innocence et le péché........💞✨🥀
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Sur la place bondée, tu prenais une photo de l'église San Marco. Moi je ne voyais que toi au milieu de la foule. De tes talons-aiguille, l'équilibre précaire, j'ai capturé l'instant. Tu as souris voyant que mon attention n'était pas touristique. Regardant nos photos dans l'album de nos vies, nous nous demandons qui ce jour-là captura l'âme de l'autre.
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A l'approche Miraculous Spécial Londres et de la très attendue saison 6, j'ai trouvé très intéressant de partager cette opinion dite "impopulaire " sur le final de la saison 5
Traduction !!!
" Gabriel ne s'est pas racheté. Honnêtement, cela me rend vraiment confus de voir comment les gens peuvent regarder ce qui s'est passé dans la saison cinq et dans la finale et dire sérieusement qu'il a été racheté. Il n’a jamais reconnu que ce qu’il avait fait était mal, et au contraire, il a redoublé sa conviction qu’il avait raison. Marinette lui a juste donné une seule chance de faire enfin ce qu'il fallait à Adrien et d'abandonner sa quête, mais il ne l'a pas fait. En gros, il s'est simplement suicidé pour pouvoir éviter la responsabilité de ses propres actes, et il l'a attaquée, lui a pris les miraculi et a fait son vœu. Il a ensuite également procédé à un chantage émotionnel pour qu'elle n'en parle à personne. En parlant de la décision de Marinette, j’ai aussi quelques réflexions à ce sujet. En fait, je ne pense pas que ce soit aussi grave que les gens le prétendent et je pense qu’il y a quelques facteurs atténuants supplémentaires que davantage de gens devraient garder à l’esprit. Le statut actuel du papillon miraculeux est incroyablement précaire et à ce stade, ils ne savent pas ce qui lui est arrivé, ni s’il est potentiellement entre les mains de quelqu’un de pire. Nous, le public, savons que c’est entre les mains du rejeton préféré de Satan, mais ce n’est pas le cas. Adrien étant un senti Marinette sait maintenant qu'Adrien est un sentimonstre, et par conséquent, elle doit maintenant être très attentive pour s'assurer qu'il ne peut pas être akumatisé. Si le mauvais objet est infecté, cela peut très bien entraîner sa mort et elle ne peut absolument pas prendre ce risque. La sécurité d’Adrien si les gens savaient que Gabriel était monarque. Ce point en particulier me laisse perplexe car de plus en plus de gens n’y pensent pas davantage. Les gars, réfléchissez vraiment à ça. Comment pensez-vous que la ville traiterait l’enfant de la personne qui a terrorisé la ville pendant Dieu sait combien de temps ? Dans le meilleur des cas, Adrian serait un paria social, à cause de ce que son père a fait, dans le pire des cas, il aurait en fait une énorme cible sur le dos. Quant au sujet de l'absence de Chat Noir, je pense que de plus en plus de gens oublient que dans les épisodes précédents comme Chat Blanc et Ephemeral, il était assez clair que la présence de Chat aurait été une MAUVAISE idée. Chaque fois que Gabriel découvrait que son fils était Chat Noir, il en profitait IMMÉDIATEMENT. Il a immédiatement utilisé cette information pour l'akumatiser et a gagné le combat avec cette connaissance."
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Se plonger dans l’histoire des modèles vivants, c’est aussi se rendre compte de choses comme cela (clin d’œil à l’actu sur la réforme des retraites).
#pénibilité#histoire des modèles vivants#modèle d’arts plastiques#travailleurs invisibles#précaires#droits sociaux#beaux-arts#life models#maladies professionnelles#life drawing#anatomie#artists models
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Le présent est une prison sans barreaux, un filet invisible, sans odeur et sans masse, qui nous enveloppe de partout. Il n'a ni apparence ni existence, et nous n'en sortons jamais. Aucun corps, jamais, n'a vécu ailleurs que dans le présent, aucun esprit, jamais, n'a rien pensé qu'au présent. C'est dans le présent que nous nous souvenons du passé, c'est dans le présent que nous nous projetons dans l'avenir. Le présent change tout le temps et il ne cesse jamais d'être là. Et nous en sommes prisonniers. Passagère et précaire, affreusement temporaire, coincée entre un avenir qui l'envahit et un passé qui la ronge, notre vie ne cesse jamais de se dérouler dans un présent éternel - ou quasi éternel - toujours en train de s'évanouir et toujours en train de renaître.
Jean d' Ormesson
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« La fin du monde a bien eu lieu. Elle n’a pas eu lieu un jour précis, mais s’est étalée sur plusieurs décennies. Le monde qui a disparu était un monde où la plupart des enfants savaient lire et écrire. Où l’on admirait les héros plutôt que les victimes. Où les appareils politiques n’étaient pas encore devenus des machines à broyer les âmes. Où l’on avait plus de modèles que de droits. Un monde où l’on pouvait comprendre ce que voulait dire Pascal quand il affirmait que le divertissement nous détourne d’être vraiment hommes. Un monde où les frontières garantissaient à ceux qui y vivaient une façon d’être et de vivre qui leur appartenait en propre. C’était un monde qui avait aussi ses défauts et qui fut même parfois horrible, mais la vie quotidienne du plus grand nombre y était au moins réglée par des dispositifs de sens aptes à dispenser des repères. Par le truchement des souvenirs, ce monde reste familier à beaucoup. Certains le regrettent. Il ne reviendra plus. Le nouveau monde est liquide. L’espace et le temps y sont abolis. Délivrée de ses médiations traditionnelles, la société est devenue de plus en plus fluide et de plus en plus segmentée, ce qui facilité sa marchandisation. On y vit sur le mode du zapping. Avec la disparition de fait des grands projets collectifs, autrefois porteurs de visions du monde différentes, la religion du moi -un moi fondé sur le désir narcissique de liberté inconditionnée, un moi producteur de lui même à partir de rien- a abouti à une « détraditionnalisation » généralisée, qui va de pair avec la liquidation des repères et des points fixes, rendant l’individu plus malléable et plus conditionnable, plus précaire et plus nomade. Depuis un demi-siècle, l’ « osmose idéologique de la droite financière et de la gauche multiculturelle » (Mathieu Bock-Côté) s’est employée, sous couvert de « modernisation » émancipatrice, à faire confluer libéralisme économique et libéralisme sociétal, système du marché et culture marginale, grâce notamment à la récupération marchande de l’idéologie du désir, capitalisant ainsi sur la décomposition des formes sociales traditionnelles. L’objectif général est d’éliminer les communautés de sens ne fonctionnant pas selon la logique du marché… »
Robert de Herte
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TW — drogue inventée (légère mention), oppressions (mention).
LES CATACOMBES
Il y a eu la cruauté, les discriminations ; et devant la haine, on s'est organisé là où on ne nous trouvera pas. Les communes altérées se construisent comme des oasis, cachés des non-altéré·es, où on peut vivre en paix. La plus connue, Providence, se dresse en cathédrale géante au-dessus du Point Némo. Elles sont, toutes, autogérées ; c'est-à-dire que les altéré·e·s les composant en prennent les décisions ensemble. En France, il en existe deux : une perdue dans les Alpes, l'autre située dans les Catacombes de Paris. Les galeries ne s'ouvrent que pour nous. Les non-altéré·es ont leur partie, on a la notre. Nos catacombes sont aménagées. Il y a des échelles pour les explorer, des appliques au mur pour les éclairer. Sur les carrefours, des pancartes ; mieux vaut quand même y descendre avec quelqu'un qui s'y connaît déjà pour éviter de se faire avaler tout rond.
POINTS NÉVRALGIQUES
C'est comme des lieux de rencontres ; des endroits où les galeries finissent par déboucher. Ils forment des petits villages, avec une bonne hauteur sous plafond, où l'on se sent presque pas sous terre. Certains cultivent même de la végétation ; c'est le cas du Refuge de Bescel.
LA COUR DES MIRACLES Zone de non-droit où on fait la loi. L'endroit où ta mère t'interdit d'y aller. Non, mais ; il y a des petites boutiques sympa à côté des boites de nuit et des bars. La nuit, tout le monde s'y rend pour s'éclater le crâne, se bruler les sinus, se percer les tympans. La journée, tout est fermé : la cour des miracles reste vide jusqu'à la tombée de la nuit, elle se remet de sa gueule de bois. Là-bas, t'y trouves tes meilleurs potes, des gens qui fêtent toutes sortes de choses ; des types recherchées par la loi, en cavale depuis 40 ans. Il y a plein d'histoires qui se racontent là-bas, plein d'histoires qui s'écrivent aussi. C'est aussi le paradis parfait pour l'Érythryle et pour celles et ceux qu'organisent une révolution sans paillettes, mais avec beaucoup d'artifices.
LES THERMES Des galeries inondées ; où l'eau, purifiée et chauffée, permet de s'y baigner. C'est bas de plafond, mais bien éclairé. Des altéré·es y vivent, dans des alvéoles, mais c'est surtout l'endroit où celles et ceux qu'ont besoin de flotte pour respirer peuvent se reposer. On s'organise, comme on peut, pour aller les voir, leur parler ; faire des soirées. On commence à y faire pousser des plantes, à décorer l'endroit, mais ça reste bien sommaire : on en est qu'au début.
LE REFUGE DE BESCEL Le bâtiment, en Art déco, serpente dans les galeries, les ouvrent, les embellit. Il y a une partie à la surface, un dôme de verre pour laisser passer la lumière sur les jardins. Ses bras sont bâtis de vieilles pierres, l'acier se rouille, se fait vieux. Mais il y a un odeur de confort dans la poussière qui s'y repose. À l'intérieur, il ressemble à un orphelinat bloqué dans le temps. Il y a des rires, des pleurs quelques fois, mais tout le monde essaie de rendre l'endroit joli. C'est un effort commun, de toute la communauté, pour qu'il tienne debout. Et putain qu'il est précaire son équilibre. Certain·es altéré·es se la jouent profs, d'autres toubibs ; certains sont payés, travaillent jour et nuit là-dedans, d'autres viennent lorsqu'iels ont le temps. Ça arrive que des gens malintentionnés essaient de s'en prendre à la bâtisse. Et pour ça, t'as des types de la Cour des Miracles qui en assurent sa protection.
Il y a beaucoup d'animaux dans le refuge : des chats et des chiens, surtout. Le Refuge de Bescel a un partenariat avec la SPA. Les cabots aident souvent les altéré·es, il est pas rare d'en dresser certains pour qu'ils deviennent de véritables alliés. Les chats, eux, permettent à certains pensionnaires de trouver un peu de calme. Ça apporte un soutien, de la vie et un peu de réconfort.
À NOTER : Pour les altéré·es handi·es, on a creusé des galeries pour elleux. Elles sont sans échelles, avec des pentes plus abordables et des aides pour s'y déplacer. Si ça reste trop compliqué, on s'organise. Il y a des altéré·es spécialement formé·es à descendre celles et ceux qui peuvent pas le faire seul·es. Ça s'organise entre les concerné·es, c'est plutôt bien foutu et c'est dans l'écoute du respect et des besoins de chacun.
#projet forum#projet rpg#forumactif#rpg city#rpg fantastique#rpg forum#rpg francophone#rpg faceclaim
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LE CONTEXTE
╰─ - ̗̀ CITATION Les étoiles nous ont offert un pouvoir illimité. Mais au lieu de nous unir, elles nous ont divisés. Désormais, une guerre silencieuse façonne notre avenir.
╰─ - ̗̀ AN 3087 Au cœur d’un monde fracturé, New Astralis est la capitale mondiale, une mégapole titanesque où les contrastes atteignent leur paroxysme. Dans les hauteurs vertigineuses, les élites vivent parmi les étoiles, dans des gratte-ciels qui transpercent les nuages, baignés d’une lumière artificielle parfaite. En bas, sous un ciel permanent de néons et de pluies acides, les masses survivent dans des bidonvilles labyrinthiques, entre gangs violents et désespoir palpable.
L’apparition des Failles Cosmiques, ces portails célestes mystérieux, a transformé New Astralis en épicentre mondial de la lutte pour le contrôle de l’Ether, une énergie aussi fascinante que destructrice. Cette ressource a redéfini la ville, la rendant à la fois l’objet de toutes les convoitises et le théâtre d’une guerre silencieuse.
Deux forces principales façonnent l’avenir de New Astralis :
𝐓𝐇𝐄 𝐇𝐄𝐋𝐈𝐗 𝐂𝐎𝐍𝐆𝐋𝐎𝐌𝐄𝐑𝐀𝐓𝐄
Progression ou extinction. Depuis ses tours fortifiées, Helix contrôle la ville d’une main de fer. Ils dominent l’approvisionnement énergétique, supervisent une armée cybernétique et imposent un ordre brutal au nom du progrès.
𝐓𝐇𝐄 𝐄𝐓𝐇𝐄𝐑𝐄𝐀𝐋 𝐂𝐎𝐋𝐋𝐄𝐂𝐓𝐈𝐕𝐄
L’Ether ne se possède pas, il se ressent. Dans les sanctuaires cachés de la ville, le Collectif Ethéré rassemble ses adeptes. Ils voient en l’Ether un don sacré, à protéger et à respecter, et se battent pour libérer New Astralis de l’industrialisation oppressante.
Entre ces deux superpuissances, les bas-fonds grouillent de vie, d’opportunités et de dangers. Les mercenaires, gangs, et citoyens ordinaires prospèrent dans un équilibre précaire, jouant tantôt Helix, tantôt le Collectif, pour tirer leur épingle du jeu.
Sabotages, espionnage, assassinat : les rues de New Astralis sont devenues un champ de bataille invisible où chaque acteur, qu’il le veuille ou non, a un rôle à jouer. Dans cette ville où tout est à vendre et où la loyauté est une denrée rare, une seule certitude demeure : l’Ether est roi.
#rpg#forum rpg#forumactif#rp#roleplaying#projet forum rpg#rpg français#rpg francophone#aesthetic#icons aesthetic#icons#avatar 200x320#avatar 400x640#ethernal divide
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Les âmes sensibles portent en elles un souffle fragile, une vibration douce qui résonne à chaque instant de leur existence. Elles sont traversées par des vagues d'émotions, parfois tumultueuses, parfois douces, mais toujours intenses. Leur cœur, souvent déchiré, sait aussi guérir avec une tendresse infinie. Elles s'épanouissent dans l'invisible, là où les autres ne voient que l'ombre. Elles sont celles qui voient les détails cachés, les lueurs dans les tén��bres, les frissons dans l’air. Leur monde est une palette de nuances subtiles, un équilibre précaire entre la douleur et la beauté. Parfois, elles se perdent dans des silences lourds, parfois elles s’envolent dans des éclats de rire, imprévisibles et soudains. Elles savent transformer une simple caresse en un poème, un regard furtif en un univers entier. Elles vivent à la frontière du rêve et de la réalité, là où les mots manquent mais où tout est dit dans le silence d’un geste. Leur vulnérabilité est leur force, et leur tendresse, leur arme. Elles sentent la vie plus fort que tout, et chaque respiration devient un acte de résistance face à l’indifférence du monde. Parce qu'elles vivent avec le cœur ouvert, toujours prêt à s’embraser.
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