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#Poitrenaux
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“La Grande Magie” de et avec Noémie Lvovsky - librement inspiré de la pièce de théâtre éponyme d'Eduardo De Filippo (1948) - et avec Denis Podalydès, Sergi López, Judith Chemla, Rebecca Marder, François Morel, Damien Bonnard, Paolo Mattei, Micha Lescot, Philippe Duclos et les participations de Catherine Hiegel, Laurent Poitrenaux, Alexandre Steiger, Armelle, Dominique Valadié, Christine Murillo et Laurent Stocker, février 2023.
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genevieveetguy · 1 year
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Spare Keys (Fifi), Jeanne Aslan and Paul Saintillan (2022)
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movienized-com · 6 months
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5 hectares
5 hectares (2023) #EmilieDeleuze #LambertWilson #MarinaHands #LionelDray #AnneLiseHeimburger #LaurentPoitrenaux Mehr auf:
Cinq hectaresJahr: 2023 Genre: Comedy / Drama Regie: Emilie Deleuze Hauptrollen: Lambert Wilson, Marina Hands, Lionel Dray, Anne-Lise Heimburger, Laurent Poitrenaux … Filmbeschreibung: Franck gefährdet seinen Komfort, seine Karriere und seine Beziehung … Seine neue Leidenschaft ist ein 5 Hektar großes Grundstück in der Region Limousin, für das er einen Traktor braucht…
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mantaypeli · 2 years
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Los pasajeros de la noche
Los pasajeros de la noche
El camino al infierno está pavimentado de buenas intenciones. El aforismo viene al caso con motivo de la última cinta del realizador galo Mikhaël Hers (Montparnasse, Mi vida con Amanda), un drama familiar con apariencia de película pequeña, pero con ínfulas. Algo que en sí mismo no es ni bueno ni malo —hay docenas de realizadores conscientes de su talento y la calidad de sus trabajos— salvo que…
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juliopison · 9 months
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CINE Renoir (2012) Francia Dirección: Gilles Bourdos Idioma: Francés con Subtítulos en Español
Atención: Solo para ver en PC o Notebook Para ver el Film pulsa el Link: https://artecafejcp.wixsite.com/escenario-cafejcp/post/renoir-2012
Reparto: Michel Bouquet, Christa Theret, Vincent Rottiers, Thomas Doret, Michèle Gleizer, Romane Bohringer, Laurent Poitrenaux Género: Drama | Biográfico. Años 1910-1919
SINOPSIS: La Costa Azul, 1915. Auguste Renoir, en el ocaso de su vida, está atormentado por la pérdida de su esposa, los dolores artríticos y la noticia de que su hijo Jean ha sido herido en la guerra. Sin embargo, cuando una joven entra en su mundo, el pintor se siente dueño de una nueva energía. Radiante de vida, bellísima, Andrée se convertirá en su última modelo. Jean regresa a casa para reponerse y también cae bajo el encanto de la estrella pelirroja que brilla en el firmamento de la casona de los Renoir. A la vez que se enamora de la joven, empieza así mismo a desarrollarse el célebre cineasta que más tarde fue.
Crítica: "Una película luminosa, de enorme belleza plástica, muy inspirada por los cuadros del pintor, que habla de la alegría de vivir, de la creación artística, y de las relaciones familiares." -Boquerini: Diario ABC
"Un pequeño tesoro de palabras breves y multitud de momentos mágicos completados por una fotografía majestuosa, como pocas veces se ve en el celuloide." -José Manuel Cuéllar: Diario ABC
Premios: 2012: Festival de Cannes: Sección oficial a concurso (sección "Un Certain Regard") 2013: Premios César: Mejor vestuario. 4 nominaciones
Café Mientras Tanto jcp
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spryfilm · 1 year
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DVD review: “The Passengers of the Night” (2022)
“The Passengers of the Night” (2022) Drama Running Time: 111 minutes Written by: Mikhaël Hers, Maude Ameline and Mariette Désert Directed by: Mikhaël Hers Featuring: Charlotte Gainsbourg, Quito Rayon-Richter, Noée Abita, Megan Northam, Thibault Vinçon, Emmanuelle Béart, Laurent Poitrenaux and Didier Sandre Elisabeth: “I prefer to be understood.” “The Passengers of the Night” is a 2022…
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LOS PASAJEROS DE LA NOCHE
LOS PASAJEROS DE LA NOCHE
(RETABLO DE HUMANIDADES)DES País: Francia Año: 2022 Dirección: Mikhaël Hers Reparto: Charlotte Gainsbourg, Quito Rayon Richter, Noée Abita, Megan Northam, Thibault Vinçon, Emmanuelle Béart, Laurent Poitrenaux, Didier Sandre, Ophélia Kolb Kasapoglu, Calixte Broisin-Doutaz Sinopsis y comentario:  Es noche de elecciones en París (1981) y parece que habrá cambios en la política, así que los…
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filmsinayear · 4 years
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La chambre bleue, Mathieu Amalric, 2015
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deprotagonisten · 2 years
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La Place d'une Autre
Recensie La Place d'une Autre ★★★ - vanaf 5-5 in de bioscoop Een mysterieus kostuumdrama, waar menig bioscoopganger zich in kan verliezen.
De dramafilm La Place d’une Autre gaat over Nélie, die de identiteit van een jonge, welgestelde vrouw overneemt, nadat die komt te overlijden. De vraag is of niemand dat in de gaten heeft. Wat wij van La Place d’une Autre vinden, lees je in onze recensie. (more…)
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yeswecancan · 7 years
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Films in 2017 #108 Le ciel étoilé au-dessus de ma tête, 2017. Directed by Ilan Klipper
★★★★★★★ - - -
Other recommendable movies about quirky introverts: Amelie, Castaway on the Moon, The Wolfpack
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le-m-poireau · 5 years
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Thomas Bernard, discours lors de la remise du prix de littérature de la ville hanséatique libre de Brême :
«Mesdames et messieurs, je ne saurais m'en tenir aux contes évoquant les musiciens de votre ville, je ne veux rien raconter, je ne veux pas chanter, je ne veux pas prêcher, mais, une chose est vraie : le temps des contes est terminé.
Les contes des villes et les contes des états, et tous les contes scientifiques, celui des contes philosophiques aussi. Il n'y a plus de monde des esprits, l'univers lui-même n'est plus un conte. L'Europe, la plus belle Europe est morte, voilà la vérité et la réalité. La réalité, tout comme la vérité, n'est pas un conte et la vérité n'a jamais été un conte.
Il y a cinquante ans, l'Europe toute entière était encore un conte, le monde entier était un monde de contes. Aujourd'hui, il y en a beaucoup qui vivent dans ce monde de contes mais ils vivent dans un monde mort et d'ailleurs, il s'agit de morts. Celui qui n'est pas mort est en vie et il ne vit pas dans les contes, il n'est pas un conte. Moi-même, je ne suis pas un conte et je n'appartiens à aucun monde de contes. J'ai dû vivre durant une longue guerre et j'ai vu des centaines de milliers de gens mourir, et d'autres, enjambant leur cadavre, continuer à vivre. Tout a continué dans la réalité.
Tout a changé, en vérité. En cinq décennies au cours desquelles tout s'est révolté et tout a changé ; au cours desquelles un conte millénaire s'est transformé en LA réalité et en LA vérité. Je sens que j'ai de plus en plus froid, alors qu'un monde ancien s'est transformé en un monde nouveau, une nature ancienne en une nature nouvelle.
Il est plus difficile de vivre sans contes, c'est pour cela qu'il est si difficile de vivre au vingtième siècle : nous ne faisons plus qu'exister. Nous ne vivons pas, plus personne ne vit plus mais il est beau d'exister au vingtième siècle, d'avancer. Mais d'avancer vers quoi ?
Je ne suis, je le sais, sorti d'aucun conte et je n'entrerai dans aucun conte, c'est déjà un progrès et c'est déjà une différence entre le temps d'avant et le temps d'aujourd'hui. Nous nous trouvons sur le territoire le plus abominable de toute l'Histoire.
Nous sommes effrayés, effrayés en tant que substance profondément troublante dont est fait l'homme nouveau et dont est fait notre nouveau concept de nature, et de renouvellement de la nature. Tous, autant que nous sommes, nous n'avons été, au cours du demi-siècle écoulé, qu'une seule et grande douleur. Cette douleur, aujourd'hui, c'est nous. Cette douleur est aujourd'hui, notre état d'esprit.
Nous avons des systèmes tout nouveaux, une conception du monde toute neuve et même une conception toute neuve et absolument magnifique de ce qui entoure le monde. Nous avons une morale toute neuve et nous avons des sciences et des arts tout neufs. Nous avons le vertige et nous avons froid. Nous avons cru qu'étant des hommes, nous allions perdre l'équilibre mais nous n'avons pas perdu l'équilibre et nous avons fait ce que nous pouvions pour ne pas mourir de froid.
Tout a changé parce que NOUS l'avons changé. La géographie extérieure a changé au même titre que la géographie intérieure. Nous nous montrons désormais de plus en plus exigeants. Nous ne pouvons nous montrer assez exigeants. Aucune époque ne s'est montrée aussi exigeante que la nôtre. Notre existence même est empreinte de mégalomanie mais comme nous savons que nous ne pouvons pas tomber ni mourir de froid, nous nous risquons à faire ce que nous faisons.
La vie n'est plus que science, science issue des sciences. Nous nous sommes soudainement résorbés dans la nature. Les éléments nous sont désormais familiers. Nous avons mis la réalité à l'épreuve. La réalité nous a mis à l'épreuve. Nous connaissons désormais les lois de la nature, les lois de la nature éternelle et souveraine et nous pouvons les étudier dans la réalité et dans leur vérité. Nous n'avons plus besoin de nous en remettre à des suppositions.
Lorsque nous examinons la nature, nous n'y voyons plus des fantômes. Nous avons écrit le chapitre le plus téméraire du grand livre de l'Histoire du monde et nous l'avons tous écrit chacun pour soi, dans l'effroi et dans la peur de la mort ; jamais de notre plein gré, ni à notre goût mais en fonction des lois de la nature. Nous avons écrit ce chapitre dans le dos de nos pairs aveugles et de nos professeurs stupides, dans nos propres dos, après tant de chapitres interminables et fades, le plus court et le plus crucial.
Cette clarté dans laquelle nous apparait soudainement notre monde, notre monde de science, nous effraie. Nous avons froid dans cette clarté mais nous avons voulu cette clarté, nous l'avons provoquée. Nous n'avons donc pas le droit de nous plaindre du froid qui règne désormais. Le froid augmente avec la clarté. Ce sont cette clarté et ce froid qui règneront désormais. La science de la nature sera pour nous une clarté supérieure et un froid beaucoup plus sévère encore que ce que nous pouvons nous imaginer.
Tout sera clair, d'une clarté de plus en plus haute et de plus en plus profonde et tout sera froid, d'un froid de plus en plus effroyable. Nous aurons, à l'avenir, la sensation d'un jour toujours plus clair et toujours plus froid.
Je vous remercie de votre attention. Je vous remercie de l'honneur que vous m'avez fait aujourd'hui»
Extrait de «Mes prix littéraires» de Thomas Bernhard, traduit de l'allemand (Autriche) par Daniel Mirsky et publié chez Gallimard. A écouter lu par Laurent Poitrenaux —> https://www.franceculture.fr/emissions/avignon-fictions/mes-prix-litteraires-de-thomas-bernhard
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"OVNI(s) (Saison 1)" série créée par Clémence Dargent et Martin Douaire et réalisée par Antony Cordier (2021) avec Melvil Poupaud, Géraldine Pailhas, Daphné Patakia, Quentin Dolmaire, Michel Vuillermoz, Laurent Poitrenaux, Olivier Broche, Jean-Charles Clichet, Jonathan Lambert, Denis Mpunga, les jeunes Capucine Valmary, Alessandro Mancuso et Shyrelle Maï Yvart et la participation de Nicole Garcia, décembre 2022.
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genevieveetguy · 2 years
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The Passengers of the Night (Les passagers de la nuit), Mikhaël Hers (2022)
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byneddiedingo · 2 years
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Juliette Binoche and Guillaume Canet in Non-Fiction (Olivier Assayas, 2018) Cast: Juliette Binoche, Guillaume Canet, Vincent Macaigne, Christa Théret, Nora Hamzawi, Pascal Greggory, Laurent Poitrenaux, Sigrid Bouaziz, Lionel Drey, Nicolas Bouchaud. Screenplay: Olivier Assayas. Cinematography: Yorick Le Saux. Production design: François-Renaud Labarthe. Film editing: Simon Jacquet. If we learn anything about the French from watching their movies, it's that they love to talk. So many French films are made up of scenes at a table, in a bed, on a train, where the people are less interested in food or sex or travel than in batting ideas back and forth. In Non-Fiction the ideas are about literature and its relationship to life, to commerce, to truth. And yes, the phrase "post-truth era" makes its sullen appearance in the discourse. We begin with the meeting of the poised, groomed publisher Alain Danielson (Guillaume Canet) with the shaggy, bearded writer Léonard Spiegel (Vincent Macaigne), and we can tell from Leónard's slightly anxious manner and Alain's smooth control that things will not end the way Léonard wants: Alain, who has published his other books, is not going to publish his latest. Underlying the situation is something Alain may or may not know (Léonard isn't sure): that Léonard has been having an affair with Alain's wife, Selena (Juliette Binoche), and moreover that the affair is the subject of Léonard's novel. (Léonard has always written romans à clef, although this time he thinks he has thrown Alain off the track by having slept with a popular TV anchorwoman as well as with Selena.) Of course, Alain has been having his own affair with a young woman, Laure (Christa Théret), who works for the publishing company as a sort of "new media" adviser -- leading the talk into conversations about the death of print, the power of the Internet, and so on. Léonard has a wife, Valérie (Nora Hamzawi), who is a consultant to a leftist politician and is so busy that she barely has time for Léonard -- at one point, when she is leaving for an appointment, he goes in for a goodbye kiss and gets the door shut in his face. As for Selena, she's an actress trying to decide whether to commit to another season of the TV cop show she's currently appearing in, or to take an offer to appear in a stage production of Racine's Phèdre, a role she fears may be a sign that she's getting old. There's also a sly "meta" moment in the film when someone suggests that the publisher should hire Juliette Binoche to read the audiobook version of Léonard's novel and asks Selena if she knows her. Some may question whether the film is a satire that doesn't quite have the courage of its bite, or a commentary on the decline of the arts in an era of self-absorption. All of the relationships in the film eventually resolve themselves a little anti-climactically, but Olivier Assayas has such a light touch with the film that it's best to just relax and listen to the talk.
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aurorebnllogbook · 4 years
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ARCHITECTURE Text of Pascal Rambert  Directied by Pascal Rambert
with :  Emmanuelle Béart, Audrey Bonnet, Anne Brochet, Marie-Sophie Ferdane, Arthur Nauzyciel, Stanislas Nordey, Denis Podalydès, Laurent Poitrenaux, Pascal Rénéric, Jacques Weber
ARCHITECTURE depicts the tragic story of a family composed of virtuosos of Arts, Mathematics, music, science, phylosophy, right before the World War II. That play responds the important question: HOW INTELLECTUALS DID NOT PREVENT THE WORLD WAR II ? 
Through a black and white stage, tinted of ancient Greece references, the personages argue about the situation and the war looming. Theories follow each other, charges worsen, solutions are found. Meanwhile, the war brokes out, completely uncaring about the theories. I suddenly felt myself concerned : having myself many theories on how to make evolve the textile industries, feeling I own the truth, I have to admit I did not do anything for the moment. This moment was a good kick in the ass to take action as soon as possible: climate doesn’t wait ! 
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“La Collection” d’Harold Pinter mise en scène Ludovic Lagarde au Théâtre des Bouffes du Nord
L'étonnant paradoxe...Comme le philosophe Henri Maldiney, qui attachait beaucoup d'importance aux blancs que Cézanne laissait dans ses toiles, Ludovic Lagarde nous présente La Collection de Pinter en conservant les blancs voulus par l'auteur. Ce ne sont pas des non-dits, ils font partie du texte par leurs silences et lui apportent tout son relief. Nous sommes ici dans une production de haut vol menée avec tact et maestria.
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(c) Gwendal-Le-Flem
Tout se joue donc dans une espèce de ménage à quatre sous-entendu et pourtant explicite à la fois. Dans un quartier du Londres cossu, Bill habite chez Harry qui voit débarquer James accusant le premier d'avoir violé sa femme Stella. Les rôles sont distribués, chacun va s'y tenir dans un chassé croisé de versions différentes et contestées. Ce petit jeu de masques tombant tour à tour est mené comme un combat à fleurets mouchetés, où chacun, en rappelant Pirandello, aura sa vérité.
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(c) Gwendal-Le-Flem
Dans une scénographie remarquable d'Antoine Vasseur qui réunit les deux appartements londoniens dans un spéculaire face à face, Lagarde place ses comédiens et les laisse évoluer avec un pur bonheur pour le spectateur. Chaque réplique sonne et s'installe, en prenant son temps, en laissant l'espace de la résonance. Les scène s'enchaînent, les ellipses aussi...Tous les comédiens excellent à ce jeu du chat et de la souris, où chacun cherche à attraper l'autre et en faire sa proie. Mathieu Amalric et Valérie Dashwood, d'une félinité inquiétante tous les deux, sont parfaits dans leur scène tout en contrepoint. Micha Lescot et Laurent Poitrenaux sont également ambigus à souhait dans leur rapport séduction/répulsion. L'équivoque est ici toujours présente, le mensonge jamais très loin...
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(c)Gwendal-Le-Flem
La pièce est également extrêmement bien servie par une traduction d'Olivier Cadiot qui respecte le sens double de l'écriture de Pinter, tout en donnant aux mots un rythme et une accroche totalement actuels.
Cette Collection va bien au-delà de la référence haute couture. Comme dans son sens premier, elle réunit de drôles et étranges personnages, qui évoluent dans une dimension à la fois quotidienne et extra-ordinaire, ni tout à fait vraie, ni complètement vraisemblable... Un étonnant paradoxe qui nous séduit et nous interroge.
« La Collection » d'Harold Pinter mise en scène Ludovic Lagarde
Jusqu'au 23 mars 2019 au Théâtre des Bouffes du Nord
www.bouffesdunord.com
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