#Perler Court
Explore tagged Tumblr posts
Text
Perler Courtroom No. 4 (DD Edition)
made some Dual Destinies-themed additions to my Perler court :)(templates below the cut)
the templates above are all original (feel free to use/adapt them however you want)
Phoenix, Athena, Blackquill, and the Judge were adapted from this pixel art template that cronchy_croissant posted on Reddit
#glasses remain super cursed looking in this style#so Fulbright has bug eyes now I guess lol#Ace Attorney#Perler#Perler beads#Perler Court#Dual Destinies#Apollo Justice#Athena Cykes#Phoenix Wright#Juniper Woods#Simon Blackquill#Taka#sC original#Misadventures#Misadventures in Perler Crafting
69 notes
·
View notes
Text
ran out of bracelets at the orlando show bc everyone was so sweet so i pivoted to perler beads for court law-derdale! if you see a beverly running around handing out little guys, come say hi!!
[ID: an assortment of perler bead creations. There are a large number of paw-paws in various colors, as well as pendergreens, bukvars, fosters, â2â coins, mushrooms, and weapons. There are also a variety of player characters: onyx, moonshine, fia, and the entire duck team.
#naddpod#hanbles#the frog sols were my friendâs design and theyâre so cute#she didnât know he wore a tracksuit at first so the first one she made doesnât have clothes lmao#also the melting popsicle pawpaws might be my favorite theyâre so stupid#anyway come get a little guy from me if you see me i have so many
15 notes
·
View notes
Text
im in my friends court of honor for her quinceanera and shes dropping off my dress and shoes for me to try on but i only know what the dress looks like and not the shoes but shes also bringing me a little gojo perler bead thing she made me one night when we were on call at like 5am i love her
1 note
·
View note
Text
C'est un de ces soirs oĂč je me sens particuliĂšrement seule. Pourtant la solitude est ma meilleure amie, je l'apprĂ©cie et la recherche en permanence. Elle est ma plus douce compagne. Mais ce soir, elle est cruelle. Elle pique mon cĆur avec ses fines aiguilles et regarde perler le sang. Elle me fait douter d'avoir un jour eu une quelconque importance. D'avoir Ă©tĂ© un jour Ă©tait aimĂ©. AdorĂ©e. Encore pireâŻ: et si personne ne mâavait un jour rĂ©ellement vue ?
Mais je sais que demain matin, je me souviendrai. Demain matin, je me souviendrai des poĂšmes sur mes cheveux bruns et la douceur de ma peau pĂąle, des lettres enflammĂ©es essayant de traduire le dĂ©sir que jâavais su susciter, des romans dont les personnages portent mon prĂ©nom (ou mon apparence). Et surtout, je me souviendrai des chansons. Des chansons qui n'Ă©taient lĂ que pour me sĂ©duire, m'apprivoiser et parfois juste me dire : " je te sais".
Peu importe ce qui arrivera, je dois toujours faire l'effort de me souvenir que tout cela est lĂ . Que cela existe bel et bien. Cela tĂ©moigne quâun jour, parfois mĂȘme lâespace dâun court instant, on mâa vue ou aperçue et on mâa adorĂ©e.
Je ne dois absolument pas oublier sinon je vais sombrer. Sans ça je ne crois pas ĂȘtre capable d'exister.
1 note
·
View note
Text
As above, so below
the girl you were 1
Content Warning : narrateur décédé
Ma soeur perd religieusement son temps. Chaque fois que je l'observe, ses pieds sont relevĂ©s sur une chaise, et sa jambe raide est recouverte d'un plaid qu'il fasse quinze ou trente degrĂ©s. Elle pianote ses doigts maigres sur les boutons de sa console, un machin en plastique blanc qu'elle a passĂ© une soirĂ©e Ă customiser. Je m'en rappelle. J'avais soupirĂ© de la mĂȘme maniĂšre que je le fais maintenant : avec une exaspĂ©ration folle. Un peu malgrĂ© moi, car je n'aime pas me mettre en colĂšre contre elle.
Son activitĂ© initiale avait Ă©tĂ© de se vernir les ongles, mais elle avait vite abandonnĂ© car aucune couleur ne lui plaisait. Le soleil de fin d'aprïżœïżœs-midi brillait avec indulgence par la fenĂȘtre, entre les hauts pins qui bordaient le jardin. J'avais trouvĂ© le projet Ă©trange, mais je n'avais pas encore contemplĂ© les heures passĂ©es devant son miroir Ă s'observer curieusement comme un chat l'aurait fait dans une vitre. Elle tentait de comprendre quelque chose.
Elle voulait lever le voile qu'elle avait posĂ© sur son apparence, espĂ©rant saisir son portrait dans le regard des autres. Cherchant, scrutant, agrippant l'angle inatendu qui la restituerait Ă elle-mĂȘme.
Emma ne s'Ă©tait vue que de l'intĂ©rieur. Elle sortait le nez de la caverne pour la premiĂšre fois, peut-ĂȘtre attirĂ©e par une lumiĂšre dont je ne connaitrais jamais la source, mais qui avait fait naĂźtre chez elle une audace que nous pensions n'ĂȘtre simplement pas prĂ©sente chez elle.
C'Ă©tait comme si soudain, elle s'Ă©tait dit qu'elle voulait ĂȘtre jolie. Ce qui n'avait pas de sens de mon point de vue. Personne ne pouvait ĂȘtre aussi beau que ma grande-soeur. Et dans ce laps de jugement, elle avait pris cette nouvelle lubie Ă bras le corps et s'Ă©tait appliquĂ©e Ă poser sur ses ongles courts, rongĂ©s par l'anxiĂ©tĂ©, des couleurs qui n'avaient rien avoir avec elle. C'Ă©tait notre mĂšre qui les lui avait achetĂ© petit Ă petit, au fil des ans. Elle a longtemps cherchĂ© un moyen d'atteindre Emma. Mais je crois qu'elle Ă©tait paralysĂ©e par les diffĂ©rences entre elles, son goĂ»t pour les palettes Sephora et les habits colorĂ©s faisant face au dĂ©dain (apeurĂ©, j'Ă©tais le seul Ă le comprendre) de ma soeur concernant son apparence. Je ne l'avais connue que dissimulĂ©e sous des vĂȘtements les plus simples possibles, des sortes de capes d'invisibilitĂ© qui lui permettaient de se fondre dans la masse. Elle se maquillait un peu. Assez pour ne pas que l'on note la fatigue de ses nuits passĂ©es devant les Ă©crans, mais pas suffisament non plus pour se dĂ©marquer. A cette Ă©poque elle refusait de prendre sa canne au lycĂ©e, elle prĂ©fĂ©rait se contenter de boiter vaillamment d'un cours Ă un autre et passait le reste du temps assise.
Le panier en osier contenant un camaĂŻeu de roses et de rouges ne pouvait pas lui convenir. Leur existence traduisait cette relation mĂšre-fille bancale Ă laquelle elle Ă©tait ne savait pas participer. Elle culpabilisait. Elle avait Ă©tĂ© incapable de faire un pas vers elle. Et maintenant qu'elle la comprenait un peu mieux, qu'elle avait enfin un intĂ©rĂȘt qui puisse les rĂ©unir, elle se voyait... inadĂ©quate. C'Ă©tait moins que les vernis n'Ă©taient pas Ă son goĂ»t, mais plutĂŽt que son goĂ»t lui-mĂȘme Ă©tait impropre Ă ce que la personne aimĂ©e attendait d'elle.
Alors, Emma recouvrait ses ongles de couches de topcoat (j'aimais observer ma mÚre mettre ses doigts dans la machine de l'esthéticienne, le processus me fascinait), d'une base claire, puis d'une teinte pailletée, dont elle débordait malgré son admirable application, laissant sécher en secouant ses mains, s'impatientant, et, insatisfaite, effaçant tout. La fille qui porte des jolis ongles, la Emma qu'elle voulait devenir et la Emma assise en vieux short dans sa chambre d'enfance n'arrivaient pas à s'entendre. Je savais qu'elle essayait de tout son coeur d'adolescente d'aimer ce cadeau de longue haleine. En étant incapable, le coin de ses yeux s'était mis à perler. Je la connaissais encore un peu, je savais qu'elle faisait un deuil anticipé de la fille parfaite qu'elle ne serait jamais. Elle avait faillit pleurer de frustration.
Si j'avais été là je lui aurais acheté un bleu foncé qu'elle aurait porté tous les jours. Elle aurait jugé qu'il s'agit d'un bon compromis, quelque part entre le nouveau standard inateignable qu'elle venait de définir et la personne au départ de ce chemin ténu qui paraissait se tracer depuis la sortie de la caverne. Cela l'aurait consolé.
La bouteille rose d'acĂ©tone se vidait dangereusement. Des piles de cotons tĂąchĂ©s s'Ă©parpillaient autour d'elle en une sorte de demi-ciel ouateux. Elle essuyait frĂ©nĂ©tiquement son pouce, sa frange en dĂ©sordre au-dessus de ses mains rougies, le nez plein de cette odeur d'alcool entĂȘtante et remuant inconfortablement sa jambe invalide crispĂ©e depuis plusieurs heures sur la moquette marron. Puis son regard dĂ©sespĂ©rĂ© s'Ă©tait posĂ© sur une boĂźte en plastique transparent que nous nous partagions lorsque nos parents exigeaient un peu de silence quand nous Ă©tions enfants. Elle Ă©tait pleine de pages de stickers en tout genre, des animaux aux fleurs en passant par une multitude de personnages de dessins animĂ©s dont nous Ă©tions friands. J'avais oubliĂ© son existence jusqu'Ă ce qu'elle la retire de sa place sous mon lit abandonnĂ©. Pourtant j'avais Ă©tĂ© le dernier Ă l'utiliser.
SĂ©chant ses larmes du revers du poignet, elle s'Ă©tait saisie d'une pince Ă Ă©piler et d'un crayon. PrĂ©cise, dĂ©terminĂ©e Ă rĂ©ussir quelque chose avant que le soleil d'automne ne lui fasse faux bond, elle avait marquĂ© chacun des emplacements qui acceuillerait un sticker. Dans sa tĂȘte elle dressait dĂ©jĂ un plan des Ă©lĂ©ments qu'elle utiliserait. Elle se consolait Ă sa maniĂšre. Pas Ă pas. Autocollant par autocollant.
Et moi je ne comprenais pas comment elle avait pu perdre un aprĂšs-midi entier Ă des bĂȘtises pareilles alors qu'il y avait tellement mieux Ă faire. J'aurais croulĂ© sous l'ambition si l'on m'en avait donnĂ© la possibilitĂ© ! Pour la premiĂšre fois de ma vie, parce que je ne pouvais pas lui parler, je ne l'avais pas comprise. Je m'Ă©tais senti trahi. ColĂ©reux, mĂȘme. Impuissant.
Les mĂ©canismes Ă l'intĂ©rieur de la tĂȘte d'Emma me sont moins mystĂ©rieux que ceux des autres car nous avons grandit ensemble et que j'avais eu tout le temps du monde pour en explorer les rouages, les tester Ă la maniĂšre d'une vieille horloge. Elle avait toujours Ă©tĂ© une crĂ©ature d'habitude. C'est pourtant la seule personne dont la vie m'intĂ©resse encore. Je ne sais pas pourquoi.
C'est elle que je scrute en guettant dans son attitude les morceaux de son caractÚre que je connais déjà , dans l'espoir qu'ils me ramÚnent à la vie que nous partagions avant que je ne m'en aille. Je crois que je cherche mon souvenir dans chacun de ses gestes. Je ne la vois jamais pleurer. Je me demande si je lui manque autant qu'elle me manque.
Je ne viens ici que pour la voir s'ennuyer. D'aprÚs mes observations, elle comble le passage du temps entre ses obligations professionnelles et son sommeil avec un crépi inintéressant, mal appliqué, grùce à une truelle bossue qui me dégoûte autant qu'elle me fascine. Emma ne regarde pas les grains de sable du sablier. Alors je le fais pour elle et j'agite anxieusement le pied à ses cotés, invisible mais secoué d'un élan de vie par procuration, attendant qu'elle réalise qu'il n'y a pas de temps à perdre.
___
Je suis moins anxieux quand elle est en appel avec des amis et elle joue à Donjons&Dragons. Elle ne m'a jamais laissé participer à ses parties ("c'est un jeu pour les grands" elle disait, tout cela pour me mettre à l'égard et garder jalousement ses amis pour elle).
0 notes
Text
Tout ça lĂ , ça me fatigue. Ăa fait 10 ans que je le dis, 10 ans que rien ne change. J'oscille entre des Ă©tats neutres et des Ă©tats d'extrĂȘme tristesse. Et il n'y a rien qui semble Ă©branler ce cĂŽtĂ© nĂ©faste qui continue de me ronger. J'ai mis des efforts dans des relations, dans ma façon de manger, dans ma boire de l'alcool, de fumer des joints, de faire du sport. Mais ça ne change rien. C'est ancrĂ© dans ma chaire. Chaque jour est une tare qui pĂšse toujours plus lourd. J'avance toujours Ă taton. Je pensais qu'en grandissant, les choses se preciseraient, le fait est qu'elles sont toujours aussi troubles. J'ai une existence trouble ponctuĂ©e de moments dĂ©sagrĂ©ables et d'autres moins dĂ©sagrĂ©ables mais jamais agrĂ©ables. J'ai pris des "nouveaux dĂ©parts" mais ils m'ont tous ramenĂ©e au point de dĂ©part. Quoique je fasse, je trouve toujours le chagrin logĂ© au bord de la route, derriĂšre un meuble, dans l'air, ou juste devant moi. J'ai toujours eu cette tristesse latente qui ne va jamais voir ailleurs. C'est bien le seul sentiment qui m'est toujours restĂ© fidĂšle. J'ai les paupiĂšres lourdes. J'ai des absences. Souvent, je suis avec des gens et je rĂ©alise que j'ai aucun souvenir de ce que j'ai dit, ce que j'ai fait, ce que je peux bien penser. Ma tĂȘte me paraĂźt creuse et pourtant si lourde. Je ne sais pas comment faire. Ă part rester silencieuse et attendre que le temps file. Il finit par filer c'est vrai, ça fait 21 ans que j'existe et pourtant j'ai l'impression d'ĂȘtre en vie depuis tellement plus de temps. Tout me paraĂźt long. Les seuls moments qui sont toujours infiniment trop courts sont ceux oĂč je dors. Je ne pourrais pas me souvenir du jour oĂč je me suis rĂ©veillĂ©e en forme, ça me fait presque douter qu'il y en ait eu un. La vĂ©ritĂ© c'est que j'ai jamais autant hĂ©sitĂ© Ă repasser Ă l'acte que maintenant. J'ai une profonde et terrifiante envie de mourir. Je fais comme si elle n'existait pas, je regarde ailleurs mais je sens cette envie d'en finir peser si lourd sur moi. J'essaie de ne pas cĂ©der mais c'est d'autant plus difficile parce que je sais que si je me tue, moi j'aurais rien perdu. Ăa fait trop longtemps que j'ai l'impression que je ne serai pas lĂ perdante de l'histoire. Peut-ĂȘtre que fut un temps, j'aurais pu l'ĂȘtre, plus maintenant, pas avec ce que je pense, avec ce que je ressens. Je suis au bord du suicide et c'est une impasse d'ordre Ă©thique. Je passe mes journĂ©es Ă me convaincre qu'il faut faire un jour de plus. On connaĂźt tous le principe de la goutte d'eau et le vase laisser dĂ©jĂ perler des filets d'eau. C'est pas un appel Ă l'aide. Je n'ai pas besoin d'aide. J'ai besoin que ça s'arrĂȘte. Plus j'attends, plus je me rĂ©veillerai lourde de regrets et douloureuse de tous ces maux rĂ©primĂ©s.
7 notes
·
View notes
Note
Quirrel finally snaps. Royalty au. (He deserves itïżŒïżŒïżŒ)
In Which Quirrel Has Enough :O
The morning started off just like any other. Waking up next to Ghost was always wonderful for Quirrel, especially in the big comfy nest gifted from Deepnest. It was like sinking into softness itself, something he and his spouse both appreciated, and there was plenty of room for cuddles. He yawned, stretching a little and turning to nuzzle his spouse to wake them.
âMorning, love.â He whispered, trying to gently wake them.
Usually they would be awake instantly and nuzzling back. Quirrel wasnât sure if they actually slept now, having taken over the aspect of dreams. Even if they didnât, they still made sure to be in bed every night to be with Quirrel, and stayed there until morning.
But today...they blearily blinked awake and didnât nuzzle back right away. He instantly knew something was the matter.
âDear, what is the matter? Are you alright?â He touched the side of their head and rubbed it in an effort to comfort them.
âTiredâŠ.â Came the soft quiet voice in the back of his head. Ghost had a measure of telepathy, but it was something they only did with friends and family. They tended to use sign language everywhere else, afraid of frightening their subjects. The Pale King had it as well, but used his to intimidate and issue orders. Ghost was doing everything in their power to be the complete opposite of their sire, even if it meant limiting their communication. Quirrel was trying his best to convince them otherwise, that their subjects loved them, but itâs taking a while to actually make Ghost believe it.
âYou look tired. What where you doing last night?â
Ghostâs mental voice dissolved into a murmur of numbers and figures and laws hundreds of years old. The feeling Quirrel got along with it was an even measure of frustration, bafflement, and an extreme sense of mind numbing exhaustion. Â
âYou were trying to rewrite the tax code last night, werenât you?â
Ghost sank further into the pillows with a wheeze.
âYou know I could have helped you, you silly thing.â
They sank further and didnât look him in the eyes. He sighed and patted them gently, thinking about the situation to himself. For a long time, Ghost pretty much did everything, leaving Quirrel with the task of planning the rebuilding efforts once they took the throne officially. Ghost was the sole ruler, and the weight and pressure of that all had started to weigh down on them. Sure, they had their friends and allies to help them, but some things you just have to do yourself. Now that he was a king himself (something he still had trouble believing some days until he looks at the ring on his finger), he felt like he needed to do more to help his partner.
âToday, you are going to take the day off.â
They turned their head to look at Quirrel, a look of mild panic on their blank mask. Before they could âsayâ anything, Quirrel beat them to the punch.
âLook at yourself dear. You are beyond exhausted. You havenât had anytime for yourself in so long, you need a break. Iâm your spouse, your equal now, let me help you take some of the load off yourself, please?â
âBut...court? The new codeâŠâ They were too tired to properly argue, but Quirrel could feel their worry leak through their words.
âI can do them for once. It canât be harder than what I usually do.â He thought of his duties, how much traveling he does to other parts of the kingdom to keep up good relations with their neighbors. Some ambassadors were pricks, to be frank. They seemed to enjoy trying to get a rise out of the Scholar King, but Quirrel used his wit to go toe to toe with them. It was fencing, but with words, a subtle dance where each tried to pick out weaknesses and use them to their advantage. Talking to the actual rulers though, was a lot more pleasant. In fact, heâs due to have a meeting with Herrah soon. Hornet would demand he spar with her, but she at least was completely honest with her desires. He thinks Herrah gets a kick out of watching her daughter beat the hell out of a King. She was at least kind enough afterwards to patch up his wounds.
Surely, sitting in a building and talking to the public wonât be that harder than having to actually fight someone every-time he needs to do his job.
Ghost gave them an incredulous look, and then sighed and nodded.
âExcellent, shall I make a pillow fort for you?â
They nodded excitedly, and Quirrel took all the extra pillows from the cabinets to add to the pile. After some time stacking and slinging blankets around, he had made a pillow fort that passed his personal inspection. Ghost retreated inside, and then promptly fell asleep, which vindicated his feeling that Ghost was too damn tired to do anything today. He made sure to put a note on the door for people not to disturb them and made his way through the palace.
It was not the White Palace, that one never came back from the realm of dreams. Ghost had told him that it was for the best, as no sane ruler would have that many buzzsaws. Quirrel inclined to believe them and not ask further questions. Instead, a new one was built, and it couldnât quite consider it a âpalaceâ. It was more of a government building and a place to house the knights of the kingdom. It was a hell of a lot more modest than the White Palace, but it was still nice. The citizens insisted after all and Ghost did not say no to them.
Quirrel would have to admit that the top floor where they both lived was really nice. Their friends and family had gotten their own rooms too, for them to live in or just stay in when visiting. Once Ghost had gotten their deserved family, they refused to be apart from them and was more than happy to have visitors around.
Quirrel made his way down to the ground floor, where court was held. It was just a simple room, decorated in shell wood and tapestries to give it a more calm feeling. A part of the room was dedicated to chairs and benches where petitioners could sit and wait their turn. There was a section where the workers would sit, such as the recorder and paperwork keeper, and next to that, was the thrones, sitting a bit higher than everyone else. Quirrel wasnât too sure if it was required or not to have the thrones elevated, but just shrugged and went along with it.
Usually Ghost held court with at least two of the new knights of Hallownest keeping guard. In reality, Ghost really didnât need guarding, but they appreciated some wranglers to deal with the public and the emotional support. It seemed today it was Tiso and Cloth.
âHeya Quirrel.â Tiso gave Quirrel a funny look. âWhereâs the Squib?â
âI made them take a day off. They are in their pillow fort at the moment, resting.â He internally snickered. Tiso never stopped calling Ghost âSquibâ, which would cause nobles to have a conniption whenever they heard it. If they complained, Tiso invoked âbig brother rightsâ and that was that.
âGood, they work too hard.â Cloth adjusted her club over her shoulder. âSo youâre holding court today? By yourself?â
Quirrel nodded. âIt shouldnât be too hard. I mean, I will have to do it sooner or later. Why not now?â
Tiso and Cloth shared a look. They looked...apprehensive.
âJust be prepared, you get a mixed bag of people. Some are rather umâŠâ
âSuper fucking stupid. And spoiled.â Tiso finished for Cloth, gesturing to the still closed doors.
âThey canât be that stupid!â Quirrel took his seat on his throne (which is still completely unbelievable to him). There were two, the other was for Ghost, built side by side. There used to be just one, but well, now there was a need for two. At least they were comfy. For a moment he did want Ghost to be here by his side, but he was firm in the believe that his poor spouse was in dire need of a break. So, he will endure.
âThey can and they are. Donât get me wrong, most folks that come in are really nice, but you get a few every-time that cause trouble. Weâll be here to help you out, no worry.â Cloth gently patted Quirrel on the head. Cloth the Strong was the title given to her after she was knighted, and he was glad to have her here.
âYeah if you want us to throw them out the windows, just say so.â Tiso of course, didnât give too fucks. They couldnât call him Tiso the Ant Who Doesnât Give Two Fucks, so instead he became Tiso the Daring.
âThanks guys.â Quirrel felt a little emboldened by the support of his friends. âGo ahead and open the doors, weâll get set up and I think we can start court for the day.â Tiso flashed a thumbs up, opening the doors to let the various workers of the court come in to take their positions. Once settled, he nodded, and the first petitioner was called in. Quirrel sat up straight, making himself as approachable as he possibly could. He was a pillbug after all, they are usually considered cute, so it wasnât like he had to try hard.
He smiled at the beetle who walked in and stood before him.
âHello there, my friend, what can the court do for you today?â
The beetle took a breath before speaking. âIâm petitioning the court to ban nails entirely.â
Quirrel boggled as his brain ground to a halt, did he really hear what he just heard? It took him a moment for him to be able to speak properly.
âMaâam, we use nails to protect the people and for individuals to defend themselves. Why in the world do you want to ban nails?â
She tutted âWell my little Perler keeps trying to pick up other peopleâs nails and he could get hurt! Itâs dangerous to have those around anyone, let alone children!â
âWell then, if we do ban nails, how else would you expect the royal guard to defend you from threats? How do you expect travelers to protect themselves when alone? How do you expect the average citizen to defend themselves should they be attacked?â Quirrel tried to use logic, but to no avail.
She looked Quirrel straight in the eyes. âThatâs for you to figure out, right?â
Quirrel sighed.
---
It was official, he wanted to be anywhere but here. He kept glancing at the ornamental hourglass in the hall, watching the grains of sand fall one single piece at a time. It was like the sand wasnât draining at all, that he was trapped in this one moment forever. This was officially torture.
Sure, a few legitimate bugs came in with reasonable requests. Asking for information to form a legal town militia? Sure go down the hall and to the left and thereâs a bug to help you with that. Asking for funds to renovate an empty building for printmaking? Thatâs reasonable, we need all the books we can get. Asking for a possible sliding scale tax model for citizens based on income? Thank you for that idea, we will look into it when we can. Hell, some little kid somehow managed to make their way inside and asked Quirrel if he could make it illegal to deny dessert. He said heâd discuss it with his spouse but most likely theyâd agree to make it a law. The kid left, skipping in glee and Quirrel felt himself smiling. He mused a bit of a possible âkids onlyâ court session just so they all can hear whatever these kids could come up with. It would be a welcome break, maybe a holiday? Heâll talk to Ghost later about it.
However, for every reasonable bug, came three that was dumber than a bag of hammers.
âI propose a tax cut for my business because making gold plated luxury monocles are essential to society.â
âThose Deepnest beast-folk are poisoning our society and corrupting our children! I request that they be deported entirely!â
âIâd like to propose a debate on lowering the age of consent.â (Quirrel had that one hauled off by the guard for questioning).
âI want this book banned because the author argued against the noble class and it hurt my feelings.â
On and on, it steadily got worse as the more opulent members of society came out to air their âconcernsâ. He had started to just dismiss them when they came at him with ridiculous requests, only prompting them to start whining. And boy, could they whine. He could feel his antenna vibrate under his hood with the shrill pitch of entitlement. He did his best to be polite, to gently let these people down. But they just kept coming, and coming.
When the next noble asked for him to tear down the local childrenâs playground because he wanted to build a second business there, Quirrel snapped.
âENOUGH!â
He stood up from his throne, staring down at the weevil before him.
âNo, I will not tear down a source of enrichment and enjoyment for our citizenâs children to satisfy your selfish desires!â Â Quirrelâs words were tense as he hissed them through clenched mandibles.
The weevil, that before was so bold, now cowered. Quirrel was someone who was rare to anger, that had a sense of calm and warmth that made most folks comfortable. But here, he had a dangerous aura about him, eyes glinting with chaos and the sense that he probably caused some destruction on purpose before. Here was a scientist, raised by Monomon the Teacher, a being known for her inability to take shit and being able to dish it back twice as bad. That was a terrible mix indeed.
Tiso and Cloth looked at each other, and then stepped back. Quirrel will let them know if he needs them, and they want to see what goes down.
âI want everyone, whoâs court petition would only benefit themselves, to leave. This is not a place to fulfill your want for power and riches. This is a place to hear the concerns to the citizen and to help them with said concerns. This is a place for anyone, rich or poor, big or small, to bring awareness to how we, the court, can care for them.â
He glanced down at the weevil who was still cowering, and narrowed his eyes.
The weevil, had a smidgen of bravery to comment. âOkay, my liege, we can just come back later and ask Sov-â
âYou will NOT, bother my spouse with your wretched and idiotic statements!â Oh, he was angry now. Children being told no asks another parent for a different answer, but not an adult. He could scarcely believe it. He has seen selfishness before, but not to this degree. âESPECIALLY since you think you are above the happiness and joy of all the children in the city! And let me tell you, if you asked my spouse that question, youâd earn yourself a stint in the dungeon to rethink your priorities. They love children a hell of a lot more than arrogant pricks like you. Now get the hell out of my sight!â
The weevil booked it, a sizable portion of nobles scurrying after. It didnât take long for the room to nearly clear out completely, leaving only a handful of bugs. As Quirrel took a deep breath to calm down, a spike of fear shot through his heart. He had lost his cool, here, in front of his subjects. Were they going to be afraid of him? Would they be afraid to come to court now and bring up legitimate problems?
He took a second look to see that most of them were in various fits of laughter.
He sighed in relief and slumped back in his throne.
Tiso leaned down to whisper âNice one, nerd, I think you scared them off for a while.â
âHereâs hoping.â Quirrel sighed in return and rubbed his eyes. Once composed, he sat up again, and called the next petitioner to him with a smile.
âHow can I help you, my friend?â
âYeah um.â The ladybug looked back at the door where the group of nobles had fled. He recognized her to actually be one of the nobles that had stayed. âI propose a request to strip nobles of their titles should they prove that they do not have the best interests of the citizens in mind.â
Quirrel grinned. âYou know what, that is a fine idea!â
---
Being a king was exhausting. Quirrel barely dragged himself up to his bedroom, the day had turned to night and finally, all the work was done. All he wanted to do was not have to think at all for the rest of the night. How the hell did Ghost manage this every day? Especially before when it was just them doing most of everything? Quirrel now had a better appreciation for what his spouse does, and is still determined to lighten their load and share the burden equally.
He barely made it in the room before he was snatched up by Ghost, who was instantly purring and nuzzling his face. âAh! Ghost!â He couldnât help but laugh, feeling a little better as the love of his spouse seeped into him. It was wonderful. âHello to you too, my darling.â
Ghost chuffed and gave one last head bonk, and carried him to the still stable pillow fort. They crawled inside, dragging them within where a few lumaflies fluttered about to provide light. It was warm and cozy, and Quirrel sank into their arms with a sigh. Ghost snuggled up, making them comfortable in their little nest. âToday was...interesting.â
Ghost touched their mask to his and felt the quiet voice in the back of his head. âYes. Tiso told me when his shift ended.â
Quirrel groaned. âDid he now?â
Ghost nuzzled him affectionately. âHe told me you handled court splendidly.â
âI donât know, I lost my cool. I should have been able to deal with it all like an adult, not by loosing my temper like a child.â
âSometimes you have to fight fire with fire.â Ghost leaned back, pulling Quirrel down with them so they can sink into the various pillows. âI am also sure you have just endeared yourself to our subjects doing that.â
âAre they always that bad?â He asked, sighing. He snuggled up to Ghost, who rested their head on his. âThe nobles?â
âYes. But that just gives us some...amusement.â
âAmusement? I felt like someone was digging into my brain with a pickaxe!â
âThink about it. The opportunity for pranks. Like how father and your mother took them out during the coronation ball. It was splendid.â They chirped softly in laughter. Quirrel couldn't help but smile at that. Indeed, that was absolutely hilarious. Especially when Oro punted those stuck nobles out of the door and sent them flying. He could deal with a bit of a headache here and there to see that sort of thing again.
âYou know what?â He said, grabbing a blanket and pulling it up around the both of them. Ghost sighed sleepily and Quirrel knew he wonât be far behind.
âWhat?â
âI could get used to this.â
Ghost was both delighted, and terrified.
#hollow knight#fanfiction#terra lumina canon#ruler ghost#king quirrel#quirrel#ghost#quirrel/ghost#tiso#cloth#the new palace has no buzzsaws#ruler au#terra lumina#doctor prescribed pillow forts#yes hornet beats up quirrel everytime he's in deepnest#but to be fair he beats her up right back#herrah thinks it's great#hollow-kin#royalty au#my writing
60 notes
·
View notes
Text
PrĂ©quel : SoirĂ©e de fin dâannĂ©e - Partie 3
Suite de la longue prĂ©quel de juin. Pour lire la partie 1, câest par lĂ , et pour lire la partie 2, câest par ici.Â
Pour un rappel de mes affreux jojos et de leurs relations, câest par lĂ .
youtube
La soirĂ©e avait lieu dans le grand gymnase. Pas celui du lycĂ©e; le public et destinĂ© aussi au divers clubs de sports de la ville. Le directeur lâavait choisit parce quâil lui permettait de contenir plus de monde. CâĂ©tait bien pour ce soir. Pour donner lâimpression que tout allait bien, que le BAC se dĂ©roulerait normalement. Tout le monde se doutait que ce nâĂ©tait pas le cas, mais pour lâinstant, câĂ©tait plus simple de faire semblant. Et plus rassurant. Les choses Ă©taient dĂ©jĂ bien assez compliquĂ©es comme ça.Â
MaĂ«l dessera sa cravate. Il Ă©tait affreusement mal Ă lâaise dans ce genre de tenues. Et dans ce genre de situations. Il venait de rentrer avec Alexia et ça grouillait dĂ©jĂ de monde. Les gens, collĂ©s pour le discours, sentait la sueur et la chaleur de juin ajoutait une atmosphĂšre moite Ă la piĂšce. Il sentit lui mĂȘme une goutte perler dans son cou. DĂ©gueulasse. Il dĂ©testait ça. Il dĂ©testait ce genre de cĂ©rĂ©monie. Et le monde. Et en plus il Ă©tait sĂ»r de croiser ce connard de Milo. Ca le fatiguait dâavance. Alexia lui sourit, du haut de ses deux bonnes tĂȘtes de plus que lui. Elle Ă©tait vraiment belle. La chemise lui allait bien mieux Ă elle quâĂ lui, qui flottait dedans. Elle avait aussi maquillĂ© sa bouche, dĂ©jĂ assez foncĂ©e au naturel. Ca lui allait bien. Il avait envie de lâembrasser. Et de se casser de cette fĂȘte Ă la con.Â
âAlors, vous ĂȘtes un peu en retard, dis donc !â
La voix braillarde qui avait prononcĂ© ces mots lui Ă©tait familiĂšre. Il se retourna et vit Marina, dans une robe grise sobre qui lui arrivait au genou. Ses ongles Ă©taient nickels, sans vernis noir Ă©caillĂ©s, et elle avait soigneusement coiffĂ© sa tignasse rebelle. Il lâaurait difficilement reconnu, sans ce sourire sardonique accrochĂ© au visage. Elle l'attrapa par lâĂ©paule pour lui Ă©bouriffer les cheveux.Â
âĂa fait plaisir de te voir ! CâĂ©tait quand la derniĂšre fois ? Le Bac ?â
MaĂ«l acquiesça. CâĂ©tait bon de la revoir aussi. Son caractĂšre entier avait vraiment quelque chose dâagrĂ©able quand on Ă©tait avec elle. Elle en faisait trop, des fois, mais elle semblait sans filtres. Il savait bien que câĂ©tait une carapace, Ă force de lâavoir cĂŽtoyĂ©e des annĂ©es. Mais câĂ©tait une carapace rassurante.Â
Elisa lâavait vue Ă lâinstant oĂč elle Ă©tait entrĂ©e. Elle avait dĂ©tournĂ© les yeux, assez rapidement pour ne pas ĂȘtre vue, espĂ©rait-elle. CâĂ©tait con, de retarder le moment. CâĂ©tait inĂ©vitable. Elle soupira et chercha dĂ©sespĂ©rĂ©ment quelquâun des yeux. Une touffe de cheveux rouquin. Parfait, ça devait ĂȘtre MaĂ«l. Elle avança dans la foule de lycĂ©ens qui se poussaient pour entrer dans le gymnase et rejoint son couple dâamis dans la foule. Alex Ă©tait lĂ , Ă cĂŽtĂ© de son copain. Elle avait mit une tenue de soirĂ©e top, une chemise blanche aux manches retroussĂ©es, qui laissait voir ses bras musclĂ©s et une jupe noire. Elisa Ă©tait tellement heureuse de la voir, elles nâavaient pas rĂ©ussi Ă se croiser depuis le Bac, si bien quâelle lui tomba dans les bras. Elle avait envie de pleurer, de sâeffondrer lĂ maintenant, mais ce nâĂ©tait pas le moment. Alexia aurait aussi ses problĂšmes ce soir. Et puis elle nâaimait pas les larmes. Elle renifla un peu, frottant nerveusement son nez. Ăa allait le faire.Â
Martin dĂ©testait dĂ©jĂ cette putain de soirĂ©e. Un gymnase, vraiment ? DĂ©jĂ quelle idĂ©e, et quelle galĂšre. Tout le monde se comprimait autour de lui, lui y compris. Il avait dĂ©jĂ le souffle court, et le discours nâĂ©tait mĂȘme pas prononcĂ©. Un bip le fit sortir de ses pensĂ©es. Il attrapa avec peine son portable, malgrĂ© la foule autour et jeta un Ćil. Message de Selim âRetourne toi, petit malinâ. Martin fit volte face, dâautant quâil le pouvait Ă cause du monde et vit son ami lui faire un petit signe de main avant dâarriver Ă le rattraper.Â
âMais quelle galĂšre pour arriver iciâŠâ
Martin hocha la tĂȘte. Il commençait presque Ă voir flou. Selim lui pris le bras doucement pour lâemmener hors de la foule, sur un des cĂŽtĂ© du gymnase. Il commençait Ă le connaĂźtre.Â
âTiens, qui voilĂ âŠâ
Martin releva la tĂȘte et vit Selim en train de saluer Daniel, qui venait dâarriver. Dan avait une tenue assez indescriptible ce soir, un espĂšce de pull coupĂ© aux Ă©paules qui Ă©tait encore trop grand pour lui et un nĆud papillon. CâĂ©tait assez bizarre, mais il sâabstint de tout commentaire. Dan Ă©tait bien trop susceptible sur les fringues. Dan Ă©tait susceptible sur tout pour faire court. Mais il Ă©tait content de le voir. Cette pensĂ©e se fanĂąt quand il croisa le regard de ce dernier. Merde. Il voyait bien quâil Ă©tait en souffrance. Le sourire de Dan Ă©tait putain de forcĂ©, et ça câĂ©tait de sa faute. Et il savait bien pourquoi. Putain, mais putain, pourquoi il Ă©tait venu ce soir ?Â
Ăa va ĂȘtre gĂȘnant, pensa Selim au moment oĂč il avait vu Dan arriver. Ce nâĂ©tait pas sans mauvaise pensĂ©e, juste un constat. Il avait Ă©tĂ© ce gars lĂ . Encore trop accrochĂ©. Et il lâĂ©tait peut ĂȘtre encore. Est ce quâil en voulait Ă Dan ? MĂȘme pas. Ăa nâaurait surement pas durĂ© avec Myriam de toutes façons. En fait il nâen savait rien. Mais il nâarrivait pas Ă lui en vouloir. Dan Ă©tait dans la mĂȘme situation de merde, aprĂšs tout. Et puis, il comprenait un peu Myriam. Quand il faisait sa tĂȘte de chien battu, il Ă©tait adorable. CâĂ©tait le cas Ă lâinstant, car Daniel venait de reporter son attention sur Martin. Selim grimaçùt. Il se sentait dĂ©jĂ de trop. Il prĂ©texta des gens de sa classe pour sâĂ©loigner. CâĂ©tait totalement faux. Ils Ă©taient tous de droite. Il hĂ©sita Ă sâapprocher de Marina et de MaĂ«l, mais ils Ă©taient en plein discussion et il ne voulait pas faire encore le pot de fleur. En marchant au hasard, il cogna dans quelquâun.Â
âDĂ©solĂ©, putain, je suis trop câŠâ
Putain, il avait fallu que ce soit elle. Il avait dĂ©jĂ remarquĂ© sa nouvelle couleur. Rose flashy, pas ouf, mais tout lui allait de toutes façons. Elle se frottait le nez et faisait sa petite mine renfrognĂ©e. CâĂ©tait dur de ne pas craquer, elle Ă©tait vraiment jolie dans sa petite robe noire trop lĂąche. Ses doigts maigres tenaient dĂ©jĂ une clope. Rien de bien Ă©tonnant. Elle aussi devait redouter la soirĂ©e. Il ne devait plus y penser. Il y avait quelquâun dâautre maintenant. Bien que ça risquait dâĂȘtre bien bancal aussi. Mais au moins ce nâĂ©tait plus peine perdu. Il aurait aimĂ© lui dire que mĂȘme si câĂ©tait bizarre, ça allait. Quâil nâavait pas trop envie de lâembrasser. Quâil avait envie de danser avec quelquâun dâautre. Il nâarriva quâĂ bredouiller :Â
âSi tu veux rejoindre Dan et Martin, ils sont par lĂ â, en esquissant un bref mouvement.Â
Quel con.Â
#selim#dan#martin#dan & martin#martin & dan#selim & myriam#myriam#myriam & selim#soirée de juin#wrtiting#writing#écriture#écrit#Mael#alexia & mael#mael & alexia#alexia#elisa#elisa & claire#marina#mael & marina#marina & mael#projet correspondants#Projet Europa#préquel
5 notes
·
View notes
Text
Day 36 // Find My Shade by the Moonlight, Why My Thoughts Arenât So Clear
âVoodooâ - Godsmack
Husband and I had a wonderful date day today. We went for tea (I had two tea lattes, a London Fog and a Cherry Vanilla rooibos), played Unstable Unicorns, went to a local ramen and sushi place (we had MORE sashimi, takoyaki, edamame, and yes I had a spicy salmon roll), then went to a brewery (I had a kombucha and popcorn), and then to finish it all off, Husband thought it would be a great time to start teaching me how to drive a manual... I do NOT like it. Nope.
When we got home, I worked on my box (Iâm about 2/3 of the way done with my last panel), and then Istarted getting a pain in my right mid back. It got worse. Much worse. I have no idea what triggered it or what exactly it is (Iâm thinking weird muscle spasm), but I ended up very nauseated and curled up into a ball moaning.
Needless to say, the promise of going to the gym was NOT fulfilled.
I managed to get laundry done (well, darks and brights/colors, but not whites), shower, and now Iâm laying in bed with a heat pad on my pain. It didnât get really bad until AFTER Urgent Care closed, of course đ Otherwise I wouldâve happily gone in just to know for sure whatâs wrong and to see if taking my cyclobenzaprine would be a good idea (I have an old Rx as I had horrible spasming in my back last April, but this feels a bit different). I just hate how my body HAS to have something wrong with it lately. I start getting over my ear infection (cold still present but much more livable), and as soon as I reintroduce myself to society, this happens. Being/getting old sucks.
I know I havenât journaled lately; being sick has kicked my ass, and honestly, thereâs been too much going on lately. Husbandâs family has more/added drama lately; SIL is home from the hospital and is stable and doing decently well, but Husbandâs uncle was hit by a car (in a parking lot, woman who hit him changed her story after talking with her husband and now itâs going to court), and thereâs some other sensitive family drama that isnât mine to share at this time, but itâs giving Husband a really rough go. I overheard him talking to a friend tonight and said I was a âgodsendâ through all of this. As his wife (and best friend), I do my best to support him, and itâs always good to know heâs receiving the support Iâm sending, but I still need to recharge myself and cleanse the ambiance around us. Full moon may be a chaotic time for many, but it also gives me some needed energy so I can harmonize that chaos.
Last night with the full moon, I did a couple card spreads (one with tarot and one with oracle cards), did some smudging, mostly just trying to get more positivity in our home. I also decided, in my infinite wisdom, that while perler beads are fun, my newest hobby is going to be rock tumbling. Iâve been getting more into crystals and rockhounding lately (maybe over the last six months or so), and I decided that instead of buying my crystals and rocks one at a time, I should just bulk buy raw rocks and then tumble them. I mean, if I can get a pound of raw wholesale stone online for the price of one local polished/tumbled stone... why not?? Then I can give them as gifts too! So I spent way too much money buying a tumbler and grit... and then too much money on like 20 different types of stones đ no shame though. My hobbies always start off expensive... and I spend more on makeup anyway.
Hopefully tomorrow my back will feel better and by Tuesday I will feel well enough to go to the gym again. đ€
2 notes
·
View notes
Text
Le drapeau
Basé sur ce prompt de @visualwritingprompts2
En écartant le papier fin qui le protégeait, des larmes coulÚrent de ses yeux noirs, glissÚrent le long de ses joues roses pour tomber sur le carton brun et le drapeau multicolore. Elle le porta à ses lÚvres, à son visage, sentant une nouvelle fois des gouttes chaudes perler de ses yeux. Mais un éclat échappe de sa gorge toujours serrée et elle entend son propre rire étouffé par le tissu, lui tirant un sourire de ses lÚvres pùles.
Câest trop, ce nâest pas assez. Elle sâĂ©lance dehors avant dâavoir compris ce quâelle faisait, le drapeau flottant derriĂšre elle comme une cape de super hĂ©ros.
Il nây a que la forĂȘt, derriĂšre, pas une grande avenue pleine de soleil. Pas des foules de gens pour lâaccueillir Ă bras ouverts et lui expliquer ce quâelle doit faire maintenant quâelle est enfin sortie du placard.
Câest tout aussi bien. Elle nâaurait pas su quoi faire dâautre de toutes maniĂšres. Alors, elle sautille et court le long du chemin familier, sautant des ruisseaux et des racines, lâair frais entrant librement dans ses poumons, plus librement quâil ne lâa jamais fait.
Elle se sent comme une princesse dans sa forĂȘt, comme un chevalier avec sa cape.
Comme elle-mĂȘme.
Enfin.
#mes Ă©crits#french writeblr#writeblr#j'Ă©cris des prompts#french writer#short story#court texte#histoire courte#short fiction#original writing#happy pride đ#pride#le drapeau
0 notes
Text
Perler Courtroom No. 2
Made a perler version of the AA courtroom :)
(I adapted most of the (human) characters from this pixel art template by cronchy croissant on Reddit)
#Perler#Perler beads#Crafts#Ace Attorney#Food#<-(to be safe)#Phoenix Wright#Miles Edgeworth#Maya Fey#Judge#AA Judge#Perler Court#Misadventures#Misadventures in Perler crafting#sC original#I had a bunch of beads leftover so now I'm working on a PLvPW version :3
160 notes
·
View notes
Text
Dakjuk
Le Dak Juk (ë ìŁœ) est la recette corĂ©enne parfaite pour se rĂ©conforter quand on ne se sent pas bien. A base de juk, le porridge de riz corĂ©en, on en sert souvent aux malades pour les nourrir sainement avec ce plat facile Ă digĂ©rer.
RECETTE
Préparation : 30 min Cuisson : 1 h 30 min
Type de plat : Plat principal Cuisine : Corée
Portions : 5 personnes Calories : 250 kcal
EQUIPMENT Cocotte Casserole
INGRĂDIENTS 200 g riz court 1.3 kg poulet 8 gousse d'ail 10 g gingembre 3 oignon vert 25 ml Huile de sĂ©same 1 carotte 1/2 oignon 1/2 courgette Sel fin Graines de sĂ©same Eau
INSTRUCTIONS Mettre le riz Ă tremper 1 heure, puis bien Ă©goutter.
Mettre dans une cocotte, pendant ce temps, le poulet entier ou en morceaux, 6 gousses d'ail, le gingembre, la partie blanche des oignons verts et 2 litres d'eau froide. Faire bouillir puis couvrir pour cuire doucement à l'étouffée pendant environ 45 minutes. Vérifier que le poulet est bien cuit en le piquant : il ne doit pas perler de jus rosé.
Sortir le poulet et le laisser tiédir pour pouvoir le travailler. Pendant ce temps, filtrer le bouillon. Vous pouvez réutiliser les ingrédients solides récupérés pour cuisiner une soupe par exemple. Chauffer l'huile de sésame dans une grande casserole à feu moyen. Y ajouter le riz égoutté et faire cuire environ 3 minutes en remuant jusqu'à ce que le fond de la casserole soit collant. Ajouter la courgette, la carotte et l'oignon. Ramollir les légumes quelques minutes en remuant bien. Les grains de riz doivent devenir légÚrement translucides. Ajouter 1,5 litres du bouillon de poulet. Bien gratter le fond de la casserole pour décoller le film collant. Faire bouillir environ 30 minutes en remuant réguliÚrement pour qu'il ne se reforme pas de film au fond de la casserole. Les grains de riz doivent devenir bien tendre et le bouillon doit épaissir.
Pendant que le riz cuit, effilocher le poulet en retirant les os et la peau. Ajouter 2/3 des morceaux de poulet, les 2 derniÚres gousses d'ail émincées et la partie vert des oignons verts au Juk.
Laisser mijoter le temps que le poulet réchauffe. Si le juk est trop épais à votre gout, vous pouvez le diluer avec le reste de bouillon ou garder celui ci pour faire une soupe par exemple. Saler au besoin le juk à votre gout. Présenter le juk dans des bols individuels avec le restant de poulet effiloché en garniture, un peu de la partie verte des oignons verts ciselée et/ou des graines de sésame.
0 notes
Text
Halloween
LâitinĂ©raire est le mĂȘme que dâhabitude. Depuis bientĂŽt vingt ans, Adrien quitte son bureau au musĂ©e dâhistoire Ă la mĂȘme heure, il descend la pente de la Grande rue et se dirige chez lui en flĂąnant un peu dans le quartier. Le vendredi, il sâarrĂȘte au cafĂ©, salue les clients quâil cĂŽtoie depuis des annĂ©es, toujours les mĂȘmes. Puis, il reprend son chemin, toujours le mĂȘme. Câest encore la routine aujourdâhui, il est juste un peu plus tard.
LâatmosphĂšre est toutefois diffĂ©rente. Ce soir, câest Halloween. Les rues sont davantage Ă©clairĂ©es, les gens plus nombreux et les bonsoirs plus enthousiastes, mais câest Ă peine si cela pourra retarder son retour Ă la maison.
Tout Ă coup, tout dâun coup, le tonnerre Ă©clate dans son oreille. Le vent le transperce, il sent lâair froid le pĂ©nĂ©trer jusquâaux os. La pluie le dĂ©trempe. Il y a une minute encore, le ciel Ă©tait clair et voilĂ que lâeau sâĂ©coule sur son dos, sur ses jambes, jusque dans ses chaussures. Adrien ne comprend pas.
Il est transi, mais la pluie est chaude, trop chaude. Une poussĂ©e de fiĂšvre fait perler la sueur sur son front. Lâair sâĂ©jecte de ses poumons. Des filets de salive rose suintent de ses lĂšvres. Adrien ne comprend toujours pas.
Il vacille. Une crevasse semble sâouvrir sous son pied. La brĂšche sâĂ©largit, et un ruisseau rouge foncĂ© se forme en dĂ©valant la pente au rythme des pulsations de son coeur.
Il relĂšve la tĂȘte au moment oĂč ses genoux touchent le sol. Câest alors que la douleur explose dans son dos. Enfin, il comprend quâil a Ă©tĂ© frappĂ©, que son corps est dĂ©chirĂ© et que le sang qui sâĂ©coule Ă ses pieds est le sien.
Tout entier concentrĂ© sur sa souffrance, Adrien tarde Ă remarquer lâhomme derriĂšre lui. Lâhomme sâavance sur lui en le dĂ©visageant, dominateur, victorieux. En un autre temps, Adrien aurait dit un guerrier mĂ©diĂ©val sorti des voutes de son musĂ©e.
Comme dans une chorĂ©graphie, le guerrier prend la pose quâon a souvent vue au cinĂ©ma. Il pointe son sabre vers le ciel, les coudes parallĂšles au sol Ă la hauteur de la poitrine. Un court instant, les lumiĂšres de lâHalloween se reflĂštent sur le cĂŽtĂ© de la lame. Adrien a le temps de croire Ă une mise en scĂšne, Ă un thĂ©Ăątre de rue.Â
Ce soir, il aurait pu ĂȘtre Ă Nice, Ă Paris, ou Ă Londres. Il a plutĂŽt choisi son paisible quartier, la sĂ©curitĂ© de sa vieille ville et la routine de son trajet entre le musĂ©e, les amis et la maison. Il sait pourtant que la folie peut frapper partout, et surtout nâimporte quand. Ce soir, Ă cette heure, il est simplement au mauvais moment.
Alors que le son de la lame fendant lâair atteint ses oreilles, des fragments de ville apparaissent soudain devant ses yeux. Le chĂąteau, les remparts, les ruelles et leurs pavĂ©s arrondis. Il est au bon endroit, lĂ oĂč il avait espĂ©rĂ© ĂȘtre aux derniers instants de sa vie.
Benoit Bolduc/novembre 2020
0 notes
Photo
#repost HALLOWEâEN de Laurel Geiss Auteur â, Ariel I-sâ, Anais Blandin-Mony â, Nelly BOUTCHOKI. 4Ăšme de couverture: UNE NOUNOU DâENFER par AnaĂŻs Mony "Jamais je nâai ressenti pareille excitation, pareil dĂ©sir. Cette douceur, cette alchimie quâil y a entre nous me rassure, me fait dire que jâai bien fait de tenter lâexpĂ©rience. Camille est hors norme, dans tous les sens du terme." BAS LES MASQUES par Nelly Boutchoki "Alors, quand Yann me propose de poursuivre notre discussion dans son loft qui se trouve Ă deux pas de lĂ , je m'imagine dans un remake de Cendrillon des temps modernes â rapport au prince charmant rencontrĂ© dans une soirĂ©e costumĂ©e." HALLOWEEN FATAL par Laurel Geiss "Qui est derriĂšre tout ça? Qui peut vouloir s'en prendre Ă sa famille? Ă la pensĂ©e de sa petite LĂ©na seule et sans dĂ©fense, trĂšs sĂ»rement apeurĂ©e, Mathias sent sa mĂąchoire se crisper et une larme perler. D'un geste, il l'efface." LA LUNE DâOPALE par ArieL I.S "Oscar scrute lâobscuritĂ© Ă la recherche des doigts aux ongles empoisonnĂ©s. Il guette un bruit ou un souffle. Mais rien ne vit dans ce bois. Pas mĂȘme le vol dâune libellule." Mon avis: Ce livre nous propose quatre histoires courtes Ă©crites chacune par une autrice diffĂ©rente. Ces quatre nouvelles ont comme point commun Halloween. On retrouve un plaisant mĂ©lange de rĂ©cits angoissants, drĂŽles ou touchants. C'est dans l'ensemble assez rafraĂźchissant. On dĂ©couvre des styles diffĂ©rent, tant dans le genre que dans la plume. Le tout est finalement assez homogĂšne et se lit facilement. Un seul petit regret d'ordre technique, la typographie est diffĂ©rente d'un texte Ă l'autre. Certes, cela ne gĂąche pas le plaisir de dĂ©couvrir les histoires, mais dans un mĂȘme livre, il est plaisant de retrouver des codes identiques du dĂ©but Ă la fin. MĂȘme si plusieurs autrices/auteurs ont participĂ© Ă l'Ă©laboration de l'oeuvre. Globalement, une belle petite lecture qui fait passer un bon moment et une dĂ©couverte d'autrices bien sympathique - je ne connaissais la plume que de Laurel Geiss jusqu'Ă prĂ©sent. #deslysdemots #Hallowe'en#Halloween @laurelgeiss_auteure @ariel.i.s.autrice @la_plume_de_nelly @auteuranaismony Merci pour ce retourâ€ïžâ€ïžâ€ïž https://www.instagram.com/p/B3O4dvan_la/?igshid=1apu2a2sk56e5
0 notes
Text
Pour avoir des vitres autonettoyantes en un coup de chiffon!
Oui, oui, le printemps est enfin arrivĂ©! On regarde par la fenĂȘtre le changement de saison. Cependant, si vos vitres sont sales, lâeffet « magique » est quelque peu gĂąchĂ© par de vilaines traces. Et que dire de notre solarium qui est lâune des piĂšces les plus agrĂ©ables de la maison. En hiver, elle permet de profiter de la lumiĂšre tout en restant au chaud.
Comment nettoyer des vitres sales ? Vous recherchez une solution efficace pour vos vitres ? Non pas que vous soyez nĂ©gligent, mais il est vite fait de les salir : animaux de compagnie qui se collent contre la vitre, traces de doigts, pluie fine ou abondante, poussiĂšres/pollutions extĂ©rieures, etc. La liste est longue! Pour redonner la brillance et Ă©clat aux vitres, rien de tel que notre nettoyant verre & cĂ©ramique dont la formulation unique et hyper-concentrĂ©e nettoie le verre en profondeur : il permet de dĂ©sincruster la moindre impuretĂ© afin de laisser une surface nette et impeccable. De plus, câest notre produit de prĂ©paration de surface avant dâappliquer la NanoProtection! DĂ©couvrez notre traitement protecteur pour vitres! Nettoyer ses vitres sans laisser de traces, câest bien, mais les conserver dans cet Ă©tat, câest encore mieux.
Notre objectif chez NanoProtection Canada, câest de protĂ©ger les surfaces et par consĂ©quent de faciliter le nettoyage des vitres. Ainsi, notre traitement pour vitres autonettoyantes est un produit innovant. Il sâagit dâun revĂȘtement si fin quâil en est invisible, mais si solide quâil protĂšge la surface pendant de nombreuses annĂ©es, 5 Ă 6 ans. Quand mĂȘme! Ce revĂȘtement comporte des propriĂ©tĂ©s adaptĂ©es Ă la protection des vitres : il est hydrophobe, câest-Ă -dire quâil repousse lâeau et la laisse perler en surface â et anti-adhĂ©rent, les saletĂ©s ne peuvent plus sâincruster en profondeur. Les impuretĂ©s (poussiĂšres, traces de calcaire, etc.) sont alors trĂšs faciles Ă enlever : un simple chiffon doux humide suffit pour les faire disparaĂźtre, car le revĂȘtement est en rĂ©alitĂ© un bouclier protecteur qui les empĂȘche de pĂ©nĂ©trer dans la matiĂšre. Et laisser lâeau de pluie se charger du reste!
Constatez par vous-mĂȘme sur cette courte vidĂ©o. Vendu en ensemble ou sĂ©parĂ©ment ! Pour lâensemble complet, câest ici!
Vitres autonettoyantes
Fiche technique - NANO
youtube
0 notes
Text
honestly Iâm not sure how Iâm still surprised by the absurdity of my weird video game crossover dreams but I am
anyway I was on a cruise ship and bought this little metroid perler bead thing from a gift shop but wooo spooky when I went by the next day the shop NEVER EXISTED
anyway boring regular things happened for a bit and then at some point I guess I thought I lost the metroid thing because I no longer had it. More boring realistic stuff happens, I go for dinner, partway through I go to the washroom and while Iâm there, disaster strikes etc, things are on fire also exploding and fucking surprise the perler bead thing was actually composed of space bird science that has integrated itself with my biology and I am now the proud owner of a power suit except itâs the fusion suit.
after a few moments of confusion I use my newfound awesome to just straight up carry this old guy (who is my substitute dad or something I guess) and lead everyone to safety and evacuate them from the disaster ship.
I also discover that I have evacuated everyone off the ship right next to a convention thatâs starting so of course I go heck yes let me in I can totally win some cosplay comp. After some difficulty with the sign up forms I get in and wander a bit and stop off at the food court. I begin playfully hassling a wight reaper cosplayer except I manage to piss him off a little and surprise again itâs ACTUALLY REAPER so he just straight up grabs me by the throat and does his spooky teleport thing and we end up in a warehouse and he just puts me back down like âlol sorry gotta keep up appearances wanna play some xboxâ and sombra just pops out of the woodwork like 'yesâ
Anyway for some reason we never actually play xbox and they start signing me up for the group which is this weird alternate version of talon where they have mccree instead of widow, but also theyâre all just undercover good guys and incredibly chill. They start poking fun at me for both being the shortest member of the group and also the youngest and then I woke up
1 note
·
View note