#Perler Court
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Perler Courtroom No. 4 (DD Edition)
made some Dual Destinies-themed additions to my Perler court :)(templates below the cut)
the templates above are all original (feel free to use/adapt them however you want)
Phoenix, Athena, Blackquill, and the Judge were adapted from this pixel art template that cronchy_croissant posted on Reddit
#glasses remain super cursed looking in this style#so Fulbright has bug eyes now I guess lol#Ace Attorney#Perler#Perler beads#Perler Court#Dual Destinies#Apollo Justice#Athena Cykes#Phoenix Wright#Juniper Woods#Simon Blackquill#Taka#sC original#Misadventures#Misadventures in Perler Crafting
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ran out of bracelets at the orlando show bc everyone was so sweet so i pivoted to perler beads for court law-derdale! if you see a beverly running around handing out little guys, come say hi!!
[ID: an assortment of perler bead creations. There are a large number of paw-paws in various colors, as well as pendergreens, bukvars, fosters, “2” coins, mushrooms, and weapons. There are also a variety of player characters: onyx, moonshine, fia, and the entire duck team.
#naddpod#hanbles#the frog sols were my friend’s design and they’re so cute#she didn’t know he wore a tracksuit at first so the first one she made doesn’t have clothes lmao#also the melting popsicle pawpaws might be my favorite they’re so stupid#anyway come get a little guy from me if you see me i have so many
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im in my friends court of honor for her quinceanera and shes dropping off my dress and shoes for me to try on but i only know what the dress looks like and not the shoes but shes also bringing me a little gojo perler bead thing she made me one night when we were on call at like 5am i love her
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C'est un de ces soirs où je me sens particulièrement seule. Pourtant la solitude est ma meilleure amie, je l'apprécie et la recherche en permanence. Elle est ma plus douce compagne. Mais ce soir, elle est cruelle. Elle pique mon cœur avec ses fines aiguilles et regarde perler le sang. Elle me fait douter d'avoir un jour eu une quelconque importance. D'avoir été un jour était aimé. Adorée. Encore pire : et si personne ne m’avait un jour réellement vue ?
Mais je sais que demain matin, je me souviendrai. Demain matin, je me souviendrai des poèmes sur mes cheveux bruns et la douceur de ma peau pâle, des lettres enflammées essayant de traduire le désir que j’avais su susciter, des romans dont les personnages portent mon prénom (ou mon apparence). Et surtout, je me souviendrai des chansons. Des chansons qui n'étaient là que pour me séduire, m'apprivoiser et parfois juste me dire : " je te sais".
Peu importe ce qui arrivera, je dois toujours faire l'effort de me souvenir que tout cela est là. Que cela existe bel et bien. Cela témoigne qu’un jour, parfois même l’espace d’un court instant, on m’a vue ou aperçue et on m’a adorée.
Je ne dois absolument pas oublier sinon je vais sombrer. Sans ça je ne crois pas être capable d'exister.
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As above, so below
the girl you were 1
Content Warning : narrateur décédé
Ma soeur perd religieusement son temps. Chaque fois que je l'observe, ses pieds sont relevés sur une chaise, et sa jambe raide est recouverte d'un plaid qu'il fasse quinze ou trente degrés. Elle pianote ses doigts maigres sur les boutons de sa console, un machin en plastique blanc qu'elle a passé une soirée à customiser. Je m'en rappelle. J'avais soupiré de la même manière que je le fais maintenant : avec une exaspération folle. Un peu malgré moi, car je n'aime pas me mettre en colère contre elle.
Son activité initiale avait été de se vernir les ongles, mais elle avait vite abandonné car aucune couleur ne lui plaisait. Le soleil de fin d'après-midi brillait avec indulgence par la fenêtre, entre les hauts pins qui bordaient le jardin. J'avais trouvé le projet étrange, mais je n'avais pas encore contemplé les heures passées devant son miroir à s'observer curieusement comme un chat l'aurait fait dans une vitre. Elle tentait de comprendre quelque chose.
Elle voulait lever le voile qu'elle avait posé sur son apparence, espérant saisir son portrait dans le regard des autres. Cherchant, scrutant, agrippant l'angle inatendu qui la restituerait à elle-même.
Emma ne s'était vue que de l'intérieur. Elle sortait le nez de la caverne pour la première fois, peut-être attirée par une lumière dont je ne connaitrais jamais la source, mais qui avait fait naître chez elle une audace que nous pensions n'être simplement pas présente chez elle.
C'était comme si soudain, elle s'était dit qu'elle voulait être jolie. Ce qui n'avait pas de sens de mon point de vue. Personne ne pouvait être aussi beau que ma grande-soeur. Et dans ce laps de jugement, elle avait pris cette nouvelle lubie à bras le corps et s'était appliquée à poser sur ses ongles courts, rongés par l'anxiété, des couleurs qui n'avaient rien avoir avec elle. C'était notre mère qui les lui avait acheté petit à petit, au fil des ans. Elle a longtemps cherché un moyen d'atteindre Emma. Mais je crois qu'elle était paralysée par les différences entre elles, son goût pour les palettes Sephora et les habits colorés faisant face au dédain (apeuré, j'étais le seul à le comprendre) de ma soeur concernant son apparence. Je ne l'avais connue que dissimulée sous des vêtements les plus simples possibles, des sortes de capes d'invisibilité qui lui permettaient de se fondre dans la masse. Elle se maquillait un peu. Assez pour ne pas que l'on note la fatigue de ses nuits passées devant les écrans, mais pas suffisament non plus pour se démarquer. A cette époque elle refusait de prendre sa canne au lycée, elle préférait se contenter de boiter vaillamment d'un cours à un autre et passait le reste du temps assise.
Le panier en osier contenant un camaïeu de roses et de rouges ne pouvait pas lui convenir. Leur existence traduisait cette relation mère-fille bancale à laquelle elle était ne savait pas participer. Elle culpabilisait. Elle avait été incapable de faire un pas vers elle. Et maintenant qu'elle la comprenait un peu mieux, qu'elle avait enfin un intérêt qui puisse les réunir, elle se voyait... inadéquate. C'était moins que les vernis n'étaient pas à son goût, mais plutôt que son goût lui-même était impropre à ce que la personne aimée attendait d'elle.
Alors, Emma recouvrait ses ongles de couches de topcoat (j'aimais observer ma mère mettre ses doigts dans la machine de l'esthéticienne, le processus me fascinait), d'une base claire, puis d'une teinte pailletée, dont elle débordait malgré son admirable application, laissant sécher en secouant ses mains, s'impatientant, et, insatisfaite, effaçant tout. La fille qui porte des jolis ongles, la Emma qu'elle voulait devenir et la Emma assise en vieux short dans sa chambre d'enfance n'arrivaient pas à s'entendre. Je savais qu'elle essayait de tout son coeur d'adolescente d'aimer ce cadeau de longue haleine. En étant incapable, le coin de ses yeux s'était mis à perler. Je la connaissais encore un peu, je savais qu'elle faisait un deuil anticipé de la fille parfaite qu'elle ne serait jamais. Elle avait faillit pleurer de frustration.
Si j'avais été là je lui aurais acheté un bleu foncé qu'elle aurait porté tous les jours. Elle aurait jugé qu'il s'agit d'un bon compromis, quelque part entre le nouveau standard inateignable qu'elle venait de définir et la personne au départ de ce chemin ténu qui paraissait se tracer depuis la sortie de la caverne. Cela l'aurait consolé.
La bouteille rose d'acétone se vidait dangereusement. Des piles de cotons tâchés s'éparpillaient autour d'elle en une sorte de demi-ciel ouateux. Elle essuyait frénétiquement son pouce, sa frange en désordre au-dessus de ses mains rougies, le nez plein de cette odeur d'alcool entêtante et remuant inconfortablement sa jambe invalide crispée depuis plusieurs heures sur la moquette marron. Puis son regard désespéré s'était posé sur une boîte en plastique transparent que nous nous partagions lorsque nos parents exigeaient un peu de silence quand nous étions enfants. Elle était pleine de pages de stickers en tout genre, des animaux aux fleurs en passant par une multitude de personnages de dessins animés dont nous étions friands. J'avais oublié son existence jusqu'à ce qu'elle la retire de sa place sous mon lit abandonné. Pourtant j'avais été le dernier à l'utiliser.
Séchant ses larmes du revers du poignet, elle s'était saisie d'une pince à épiler et d'un crayon. Précise, déterminée à réussir quelque chose avant que le soleil d'automne ne lui fasse faux bond, elle avait marqué chacun des emplacements qui acceuillerait un sticker. Dans sa tête elle dressait déjà un plan des éléments qu'elle utiliserait. Elle se consolait à sa manière. Pas à pas. Autocollant par autocollant.
Et moi je ne comprenais pas comment elle avait pu perdre un après-midi entier à des bêtises pareilles alors qu'il y avait tellement mieux à faire. J'aurais croulé sous l'ambition si l'on m'en avait donné la possibilité ! Pour la première fois de ma vie, parce que je ne pouvais pas lui parler, je ne l'avais pas comprise. Je m'étais senti trahi. Coléreux, même. Impuissant.
Les mécanismes à l'intérieur de la tête d'Emma me sont moins mystérieux que ceux des autres car nous avons grandit ensemble et que j'avais eu tout le temps du monde pour en explorer les rouages, les tester à la manière d'une vieille horloge. Elle avait toujours été une créature d'habitude. C'est pourtant la seule personne dont la vie m'intéresse encore. Je ne sais pas pourquoi.
C'est elle que je scrute en guettant dans son attitude les morceaux de son caractère que je connais déjà, dans l'espoir qu'ils me ramènent à la vie que nous partagions avant que je ne m'en aille. Je crois que je cherche mon souvenir dans chacun de ses gestes. Je ne la vois jamais pleurer. Je me demande si je lui manque autant qu'elle me manque.
Je ne viens ici que pour la voir s'ennuyer. D'après mes observations, elle comble le passage du temps entre ses obligations professionnelles et son sommeil avec un crépi inintéressant, mal appliqué, grâce à une truelle bossue qui me dégoûte autant qu'elle me fascine. Emma ne regarde pas les grains de sable du sablier. Alors je le fais pour elle et j'agite anxieusement le pied à ses cotés, invisible mais secoué d'un élan de vie par procuration, attendant qu'elle réalise qu'il n'y a pas de temps à perdre.
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Je suis moins anxieux quand elle est en appel avec des amis et elle joue à Donjons&Dragons. Elle ne m'a jamais laissé participer à ses parties ("c'est un jeu pour les grands" elle disait, tout cela pour me mettre à l'égard et garder jalousement ses amis pour elle).
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Tout ça là, ça me fatigue. Ça fait 10 ans que je le dis, 10 ans que rien ne change. J'oscille entre des états neutres et des états d'extrême tristesse. Et il n'y a rien qui semble ébranler ce côté néfaste qui continue de me ronger. J'ai mis des efforts dans des relations, dans ma façon de manger, dans ma boire de l'alcool, de fumer des joints, de faire du sport. Mais ça ne change rien. C'est ancré dans ma chaire. Chaque jour est une tare qui pèse toujours plus lourd. J'avance toujours à taton. Je pensais qu'en grandissant, les choses se preciseraient, le fait est qu'elles sont toujours aussi troubles. J'ai une existence trouble ponctuée de moments désagréables et d'autres moins désagréables mais jamais agréables. J'ai pris des "nouveaux départs" mais ils m'ont tous ramenée au point de départ. Quoique je fasse, je trouve toujours le chagrin logé au bord de la route, derrière un meuble, dans l'air, ou juste devant moi. J'ai toujours eu cette tristesse latente qui ne va jamais voir ailleurs. C'est bien le seul sentiment qui m'est toujours resté fidèle. J'ai les paupières lourdes. J'ai des absences. Souvent, je suis avec des gens et je réalise que j'ai aucun souvenir de ce que j'ai dit, ce que j'ai fait, ce que je peux bien penser. Ma tête me paraît creuse et pourtant si lourde. Je ne sais pas comment faire. À part rester silencieuse et attendre que le temps file. Il finit par filer c'est vrai, ça fait 21 ans que j'existe et pourtant j'ai l'impression d'être en vie depuis tellement plus de temps. Tout me paraît long. Les seuls moments qui sont toujours infiniment trop courts sont ceux où je dors. Je ne pourrais pas me souvenir du jour où je me suis réveillée en forme, ça me fait presque douter qu'il y en ait eu un. La vérité c'est que j'ai jamais autant hésité à repasser à l'acte que maintenant. J'ai une profonde et terrifiante envie de mourir. Je fais comme si elle n'existait pas, je regarde ailleurs mais je sens cette envie d'en finir peser si lourd sur moi. J'essaie de ne pas céder mais c'est d'autant plus difficile parce que je sais que si je me tue, moi j'aurais rien perdu. Ça fait trop longtemps que j'ai l'impression que je ne serai pas là perdante de l'histoire. Peut-être que fut un temps, j'aurais pu l'être, plus maintenant, pas avec ce que je pense, avec ce que je ressens. Je suis au bord du suicide et c'est une impasse d'ordre éthique. Je passe mes journées à me convaincre qu'il faut faire un jour de plus. On connaît tous le principe de la goutte d'eau et le vase laisser déjà perler des filets d'eau. C'est pas un appel à l'aide. Je n'ai pas besoin d'aide. J'ai besoin que ça s'arrête. Plus j'attends, plus je me réveillerai lourde de regrets et douloureuse de tous ces maux réprimés.
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Quirrel finally snaps. Royalty au. (He deserves it)
In Which Quirrel Has Enough :O
The morning started off just like any other. Waking up next to Ghost was always wonderful for Quirrel, especially in the big comfy nest gifted from Deepnest. It was like sinking into softness itself, something he and his spouse both appreciated, and there was plenty of room for cuddles. He yawned, stretching a little and turning to nuzzle his spouse to wake them.
“Morning, love.” He whispered, trying to gently wake them.
Usually they would be awake instantly and nuzzling back. Quirrel wasn’t sure if they actually slept now, having taken over the aspect of dreams. Even if they didn’t, they still made sure to be in bed every night to be with Quirrel, and stayed there until morning.
But today...they blearily blinked awake and didn’t nuzzle back right away. He instantly knew something was the matter.
“Dear, what is the matter? Are you alright?” He touched the side of their head and rubbed it in an effort to comfort them.
“Tired….” Came the soft quiet voice in the back of his head. Ghost had a measure of telepathy, but it was something they only did with friends and family. They tended to use sign language everywhere else, afraid of frightening their subjects. The Pale King had it as well, but used his to intimidate and issue orders. Ghost was doing everything in their power to be the complete opposite of their sire, even if it meant limiting their communication. Quirrel was trying his best to convince them otherwise, that their subjects loved them, but it’s taking a while to actually make Ghost believe it.
“You look tired. What where you doing last night?”
Ghost’s mental voice dissolved into a murmur of numbers and figures and laws hundreds of years old. The feeling Quirrel got along with it was an even measure of frustration, bafflement, and an extreme sense of mind numbing exhaustion.
“You were trying to rewrite the tax code last night, weren’t you?”
Ghost sank further into the pillows with a wheeze.
“You know I could have helped you, you silly thing.”
They sank further and didn’t look him in the eyes. He sighed and patted them gently, thinking about the situation to himself. For a long time, Ghost pretty much did everything, leaving Quirrel with the task of planning the rebuilding efforts once they took the throne officially. Ghost was the sole ruler, and the weight and pressure of that all had started to weigh down on them. Sure, they had their friends and allies to help them, but some things you just have to do yourself. Now that he was a king himself (something he still had trouble believing some days until he looks at the ring on his finger), he felt like he needed to do more to help his partner.
“Today, you are going to take the day off.”
They turned their head to look at Quirrel, a look of mild panic on their blank mask. Before they could ‘say’ anything, Quirrel beat them to the punch.
“Look at yourself dear. You are beyond exhausted. You haven’t had anytime for yourself in so long, you need a break. I’m your spouse, your equal now, let me help you take some of the load off yourself, please?”
“But...court? The new code…” They were too tired to properly argue, but Quirrel could feel their worry leak through their words.
“I can do them for once. It can’t be harder than what I usually do.” He thought of his duties, how much traveling he does to other parts of the kingdom to keep up good relations with their neighbors. Some ambassadors were pricks, to be frank. They seemed to enjoy trying to get a rise out of the Scholar King, but Quirrel used his wit to go toe to toe with them. It was fencing, but with words, a subtle dance where each tried to pick out weaknesses and use them to their advantage. Talking to the actual rulers though, was a lot more pleasant. In fact, he’s due to have a meeting with Herrah soon. Hornet would demand he spar with her, but she at least was completely honest with her desires. He thinks Herrah gets a kick out of watching her daughter beat the hell out of a King. She was at least kind enough afterwards to patch up his wounds.
Surely, sitting in a building and talking to the public won’t be that harder than having to actually fight someone every-time he needs to do his job.
Ghost gave them an incredulous look, and then sighed and nodded.
“Excellent, shall I make a pillow fort for you?”
They nodded excitedly, and Quirrel took all the extra pillows from the cabinets to add to the pile. After some time stacking and slinging blankets around, he had made a pillow fort that passed his personal inspection. Ghost retreated inside, and then promptly fell asleep, which vindicated his feeling that Ghost was too damn tired to do anything today. He made sure to put a note on the door for people not to disturb them and made his way through the palace.
It was not the White Palace, that one never came back from the realm of dreams. Ghost had told him that it was for the best, as no sane ruler would have that many buzzsaws. Quirrel inclined to believe them and not ask further questions. Instead, a new one was built, and it couldn’t quite consider it a ‘palace’. It was more of a government building and a place to house the knights of the kingdom. It was a hell of a lot more modest than the White Palace, but it was still nice. The citizens insisted after all and Ghost did not say no to them.
Quirrel would have to admit that the top floor where they both lived was really nice. Their friends and family had gotten their own rooms too, for them to live in or just stay in when visiting. Once Ghost had gotten their deserved family, they refused to be apart from them and was more than happy to have visitors around.
Quirrel made his way down to the ground floor, where court was held. It was just a simple room, decorated in shell wood and tapestries to give it a more calm feeling. A part of the room was dedicated to chairs and benches where petitioners could sit and wait their turn. There was a section where the workers would sit, such as the recorder and paperwork keeper, and next to that, was the thrones, sitting a bit higher than everyone else. Quirrel wasn’t too sure if it was required or not to have the thrones elevated, but just shrugged and went along with it.
Usually Ghost held court with at least two of the new knights of Hallownest keeping guard. In reality, Ghost really didn’t need guarding, but they appreciated some wranglers to deal with the public and the emotional support. It seemed today it was Tiso and Cloth.
“Heya Quirrel.” Tiso gave Quirrel a funny look. “Where’s the Squib?”
“I made them take a day off. They are in their pillow fort at the moment, resting.” He internally snickered. Tiso never stopped calling Ghost ‘Squib’, which would cause nobles to have a conniption whenever they heard it. If they complained, Tiso invoked ‘big brother rights’ and that was that.
“Good, they work too hard.” Cloth adjusted her club over her shoulder. “So you’re holding court today? By yourself?”
Quirrel nodded. “It shouldn’t be too hard. I mean, I will have to do it sooner or later. Why not now?”
Tiso and Cloth shared a look. They looked...apprehensive.
“Just be prepared, you get a mixed bag of people. Some are rather um…”
“Super fucking stupid. And spoiled.” Tiso finished for Cloth, gesturing to the still closed doors.
“They can’t be that stupid!” Quirrel took his seat on his throne (which is still completely unbelievable to him). There were two, the other was for Ghost, built side by side. There used to be just one, but well, now there was a need for two. At least they were comfy. For a moment he did want Ghost to be here by his side, but he was firm in the believe that his poor spouse was in dire need of a break. So, he will endure.
“They can and they are. Don’t get me wrong, most folks that come in are really nice, but you get a few every-time that cause trouble. We’ll be here to help you out, no worry.” Cloth gently patted Quirrel on the head. Cloth the Strong was the title given to her after she was knighted, and he was glad to have her here.
“Yeah if you want us to throw them out the windows, just say so.” Tiso of course, didn’t give too fucks. They couldn’t call him Tiso the Ant Who Doesn’t Give Two Fucks, so instead he became Tiso the Daring.
“Thanks guys.” Quirrel felt a little emboldened by the support of his friends. “Go ahead and open the doors, we’ll get set up and I think we can start court for the day.” Tiso flashed a thumbs up, opening the doors to let the various workers of the court come in to take their positions. Once settled, he nodded, and the first petitioner was called in. Quirrel sat up straight, making himself as approachable as he possibly could. He was a pillbug after all, they are usually considered cute, so it wasn’t like he had to try hard.
He smiled at the beetle who walked in and stood before him.
“Hello there, my friend, what can the court do for you today?”
The beetle took a breath before speaking. “I’m petitioning the court to ban nails entirely.”
Quirrel boggled as his brain ground to a halt, did he really hear what he just heard? It took him a moment for him to be able to speak properly.
“Ma’am, we use nails to protect the people and for individuals to defend themselves. Why in the world do you want to ban nails?”
She tutted “Well my little Perler keeps trying to pick up other people’s nails and he could get hurt! It’s dangerous to have those around anyone, let alone children!”
“Well then, if we do ban nails, how else would you expect the royal guard to defend you from threats? How do you expect travelers to protect themselves when alone? How do you expect the average citizen to defend themselves should they be attacked?” Quirrel tried to use logic, but to no avail.
She looked Quirrel straight in the eyes. “That’s for you to figure out, right?”
Quirrel sighed.
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It was official, he wanted to be anywhere but here. He kept glancing at the ornamental hourglass in the hall, watching the grains of sand fall one single piece at a time. It was like the sand wasn’t draining at all, that he was trapped in this one moment forever. This was officially torture.
Sure, a few legitimate bugs came in with reasonable requests. Asking for information to form a legal town militia? Sure go down the hall and to the left and there’s a bug to help you with that. Asking for funds to renovate an empty building for printmaking? That’s reasonable, we need all the books we can get. Asking for a possible sliding scale tax model for citizens based on income? Thank you for that idea, we will look into it when we can. Hell, some little kid somehow managed to make their way inside and asked Quirrel if he could make it illegal to deny dessert. He said he’d discuss it with his spouse but most likely they’d agree to make it a law. The kid left, skipping in glee and Quirrel felt himself smiling. He mused a bit of a possible ‘kids only’ court session just so they all can hear whatever these kids could come up with. It would be a welcome break, maybe a holiday? He’ll talk to Ghost later about it.
However, for every reasonable bug, came three that was dumber than a bag of hammers.
“I propose a tax cut for my business because making gold plated luxury monocles are essential to society.”
“Those Deepnest beast-folk are poisoning our society and corrupting our children! I request that they be deported entirely!”
“I’d like to propose a debate on lowering the age of consent.” (Quirrel had that one hauled off by the guard for questioning).
“I want this book banned because the author argued against the noble class and it hurt my feelings.”
On and on, it steadily got worse as the more opulent members of society came out to air their ‘concerns’. He had started to just dismiss them when they came at him with ridiculous requests, only prompting them to start whining. And boy, could they whine. He could feel his antenna vibrate under his hood with the shrill pitch of entitlement. He did his best to be polite, to gently let these people down. But they just kept coming, and coming.
When the next noble asked for him to tear down the local children’s playground because he wanted to build a second business there, Quirrel snapped.
“ENOUGH!”
He stood up from his throne, staring down at the weevil before him.
“No, I will not tear down a source of enrichment and enjoyment for our citizen’s children to satisfy your selfish desires!” Quirrel’s words were tense as he hissed them through clenched mandibles.
The weevil, that before was so bold, now cowered. Quirrel was someone who was rare to anger, that had a sense of calm and warmth that made most folks comfortable. But here, he had a dangerous aura about him, eyes glinting with chaos and the sense that he probably caused some destruction on purpose before. Here was a scientist, raised by Monomon the Teacher, a being known for her inability to take shit and being able to dish it back twice as bad. That was a terrible mix indeed.
Tiso and Cloth looked at each other, and then stepped back. Quirrel will let them know if he needs them, and they want to see what goes down.
“I want everyone, who’s court petition would only benefit themselves, to leave. This is not a place to fulfill your want for power and riches. This is a place to hear the concerns to the citizen and to help them with said concerns. This is a place for anyone, rich or poor, big or small, to bring awareness to how we, the court, can care for them.”
He glanced down at the weevil who was still cowering, and narrowed his eyes.
The weevil, had a smidgen of bravery to comment. “Okay, my liege, we can just come back later and ask Sov-”
“You will NOT, bother my spouse with your wretched and idiotic statements!” Oh, he was angry now. Children being told no asks another parent for a different answer, but not an adult. He could scarcely believe it. He has seen selfishness before, but not to this degree. “ESPECIALLY since you think you are above the happiness and joy of all the children in the city! And let me tell you, if you asked my spouse that question, you’d earn yourself a stint in the dungeon to rethink your priorities. They love children a hell of a lot more than arrogant pricks like you. Now get the hell out of my sight!”
The weevil booked it, a sizable portion of nobles scurrying after. It didn’t take long for the room to nearly clear out completely, leaving only a handful of bugs. As Quirrel took a deep breath to calm down, a spike of fear shot through his heart. He had lost his cool, here, in front of his subjects. Were they going to be afraid of him? Would they be afraid to come to court now and bring up legitimate problems?
He took a second look to see that most of them were in various fits of laughter.
He sighed in relief and slumped back in his throne.
Tiso leaned down to whisper “Nice one, nerd, I think you scared them off for a while.”
“Here’s hoping.” Quirrel sighed in return and rubbed his eyes. Once composed, he sat up again, and called the next petitioner to him with a smile.
“How can I help you, my friend?”
“Yeah um.” The ladybug looked back at the door where the group of nobles had fled. He recognized her to actually be one of the nobles that had stayed. “I propose a request to strip nobles of their titles should they prove that they do not have the best interests of the citizens in mind.”
Quirrel grinned. “You know what, that is a fine idea!”
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Being a king was exhausting. Quirrel barely dragged himself up to his bedroom, the day had turned to night and finally, all the work was done. All he wanted to do was not have to think at all for the rest of the night. How the hell did Ghost manage this every day? Especially before when it was just them doing most of everything? Quirrel now had a better appreciation for what his spouse does, and is still determined to lighten their load and share the burden equally.
He barely made it in the room before he was snatched up by Ghost, who was instantly purring and nuzzling his face. “Ah! Ghost!” He couldn’t help but laugh, feeling a little better as the love of his spouse seeped into him. It was wonderful. “Hello to you too, my darling.”
Ghost chuffed and gave one last head bonk, and carried him to the still stable pillow fort. They crawled inside, dragging them within where a few lumaflies fluttered about to provide light. It was warm and cozy, and Quirrel sank into their arms with a sigh. Ghost snuggled up, making them comfortable in their little nest. “Today was...interesting.”
Ghost touched their mask to his and felt the quiet voice in the back of his head. “Yes. Tiso told me when his shift ended.”
Quirrel groaned. “Did he now?”
Ghost nuzzled him affectionately. “He told me you handled court splendidly.”
“I don’t know, I lost my cool. I should have been able to deal with it all like an adult, not by loosing my temper like a child.”
“Sometimes you have to fight fire with fire.” Ghost leaned back, pulling Quirrel down with them so they can sink into the various pillows. “I am also sure you have just endeared yourself to our subjects doing that.”
“Are they always that bad?” He asked, sighing. He snuggled up to Ghost, who rested their head on his. “The nobles?”
“Yes. But that just gives us some...amusement.”
“Amusement? I felt like someone was digging into my brain with a pickaxe!”
“Think about it. The opportunity for pranks. Like how father and your mother took them out during the coronation ball. It was splendid.” They chirped softly in laughter. Quirrel couldn't help but smile at that. Indeed, that was absolutely hilarious. Especially when Oro punted those stuck nobles out of the door and sent them flying. He could deal with a bit of a headache here and there to see that sort of thing again.
“You know what?” He said, grabbing a blanket and pulling it up around the both of them. Ghost sighed sleepily and Quirrel knew he won’t be far behind.
“What?”
“I could get used to this.”
Ghost was both delighted, and terrified.
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Préquel : Soirée de fin d’année - Partie 3
Suite de la longue préquel de juin. Pour lire la partie 1, c’est par là, et pour lire la partie 2, c’est par ici.
Pour un rappel de mes affreux jojos et de leurs relations, c’est par là.
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La soirée avait lieu dans le grand gymnase. Pas celui du lycée; le public et destiné aussi au divers clubs de sports de la ville. Le directeur l’avait choisit parce qu’il lui permettait de contenir plus de monde. C’était bien pour ce soir. Pour donner l’impression que tout allait bien, que le BAC se déroulerait normalement. Tout le monde se doutait que ce n’était pas le cas, mais pour l’instant, c’était plus simple de faire semblant. Et plus rassurant. Les choses étaient déjà bien assez compliquées comme ça.
Maël dessera sa cravate. Il était affreusement mal à l’aise dans ce genre de tenues. Et dans ce genre de situations. Il venait de rentrer avec Alexia et ça grouillait déjà de monde. Les gens, collés pour le discours, sentait la sueur et la chaleur de juin ajoutait une atmosphère moite à la pièce. Il sentit lui même une goutte perler dans son cou. Dégueulasse. Il détestait ça. Il détestait ce genre de cérémonie. Et le monde. Et en plus il était sûr de croiser ce connard de Milo. Ca le fatiguait d’avance. Alexia lui sourit, du haut de ses deux bonnes têtes de plus que lui. Elle était vraiment belle. La chemise lui allait bien mieux à elle qu’à lui, qui flottait dedans. Elle avait aussi maquillé sa bouche, déjà assez foncée au naturel. Ca lui allait bien. Il avait envie de l’embrasser. Et de se casser de cette fête à la con.
“Alors, vous êtes un peu en retard, dis donc !”
La voix braillarde qui avait prononcé ces mots lui était familière. Il se retourna et vit Marina, dans une robe grise sobre qui lui arrivait au genou. Ses ongles étaient nickels, sans vernis noir écaillés, et elle avait soigneusement coiffé sa tignasse rebelle. Il l’aurait difficilement reconnu, sans ce sourire sardonique accroché au visage. Elle l'attrapa par l’épaule pour lui ébouriffer les cheveux.
“Ça fait plaisir de te voir ! C’était quand la dernière fois ? Le Bac ?”
Maël acquiesça. C’était bon de la revoir aussi. Son caractère entier avait vraiment quelque chose d’agréable quand on était avec elle. Elle en faisait trop, des fois, mais elle semblait sans filtres. Il savait bien que c’était une carapace, à force de l’avoir côtoyée des années. Mais c’était une carapace rassurante.
Elisa l’avait vue à l’instant où elle était entrée. Elle avait détourné les yeux, assez rapidement pour ne pas être vue, espérait-elle. C’était con, de retarder le moment. C’était inévitable. Elle soupira et chercha désespérément quelqu’un des yeux. Une touffe de cheveux rouquin. Parfait, ça devait être Maël. Elle avança dans la foule de lycéens qui se poussaient pour entrer dans le gymnase et rejoint son couple d’amis dans la foule. Alex était là, à côté de son copain. Elle avait mit une tenue de soirée top, une chemise blanche aux manches retroussées, qui laissait voir ses bras musclés et une jupe noire. Elisa était tellement heureuse de la voir, elles n’avaient pas réussi à se croiser depuis le Bac, si bien qu’elle lui tomba dans les bras. Elle avait envie de pleurer, de s’effondrer là maintenant, mais ce n’était pas le moment. Alexia aurait aussi ses problèmes ce soir. Et puis elle n’aimait pas les larmes. Elle renifla un peu, frottant nerveusement son nez. Ça allait le faire.
Martin détestait déjà cette putain de soirée. Un gymnase, vraiment ? Déjà quelle idée, et quelle galère. Tout le monde se comprimait autour de lui, lui y compris. Il avait déjà le souffle court, et le discours n’était même pas prononcé. Un bip le fit sortir de ses pensées. Il attrapa avec peine son portable, malgré la foule autour et jeta un œil. Message de Selim “Retourne toi, petit malin”. Martin fit volte face, d’autant qu’il le pouvait à cause du monde et vit son ami lui faire un petit signe de main avant d’arriver à le rattraper.
“Mais quelle galère pour arriver ici…”
Martin hocha la tête. Il commençait presque à voir flou. Selim lui pris le bras doucement pour l’emmener hors de la foule, sur un des côté du gymnase. Il commençait à le connaître.
“Tiens, qui voilà…”
Martin releva la tête et vit Selim en train de saluer Daniel, qui venait d’arriver. Dan avait une tenue assez indescriptible ce soir, un espèce de pull coupé aux épaules qui était encore trop grand pour lui et un nœud papillon. C’était assez bizarre, mais il s’abstint de tout commentaire. Dan était bien trop susceptible sur les fringues. Dan était susceptible sur tout pour faire court. Mais il était content de le voir. Cette pensée se fanât quand il croisa le regard de ce dernier. Merde. Il voyait bien qu’il était en souffrance. Le sourire de Dan était putain de forcé, et ça c’était de sa faute. Et il savait bien pourquoi. Putain, mais putain, pourquoi il était venu ce soir ?
Ça va être gênant, pensa Selim au moment où il avait vu Dan arriver. Ce n’était pas sans mauvaise pensée, juste un constat. Il avait été ce gars là. Encore trop accroché. Et il l’était peut être encore. Est ce qu’il en voulait à Dan ? Même pas. Ça n’aurait surement pas duré avec Myriam de toutes façons. En fait il n’en savait rien. Mais il n’arrivait pas à lui en vouloir. Dan était dans la même situation de merde, après tout. Et puis, il comprenait un peu Myriam. Quand il faisait sa tête de chien battu, il était adorable. C’était le cas à l’instant, car Daniel venait de reporter son attention sur Martin. Selim grimaçât. Il se sentait déjà de trop. Il prétexta des gens de sa classe pour s’éloigner. C’était totalement faux. Ils étaient tous de droite. Il hésita à s’approcher de Marina et de Maël, mais ils étaient en plein discussion et il ne voulait pas faire encore le pot de fleur. En marchant au hasard, il cogna dans quelqu’un.
“Désolé, putain, je suis trop c…”
Putain, il avait fallu que ce soit elle. Il avait déjà remarqué sa nouvelle couleur. Rose flashy, pas ouf, mais tout lui allait de toutes façons. Elle se frottait le nez et faisait sa petite mine renfrognée. C’était dur de ne pas craquer, elle était vraiment jolie dans sa petite robe noire trop lâche. Ses doigts maigres tenaient déjà une clope. Rien de bien étonnant. Elle aussi devait redouter la soirée. Il ne devait plus y penser. Il y avait quelqu’un d’autre maintenant. Bien que ça risquait d’être bien bancal aussi. Mais au moins ce n’était plus peine perdu. Il aurait aimé lui dire que même si c’était bizarre, ça allait. Qu’il n’avait pas trop envie de l’embrasser. Qu’il avait envie de danser avec quelqu’un d’autre. Il n’arriva qu’à bredouiller :
“Si tu veux rejoindre Dan et Martin, ils sont par là”, en esquissant un bref mouvement.
Quel con.
#selim#dan#martin#dan & martin#martin & dan#selim & myriam#myriam#myriam & selim#soirée de juin#wrtiting#writing#écriture#écrit#Mael#alexia & mael#mael & alexia#alexia#elisa#elisa & claire#marina#mael & marina#marina & mael#projet correspondants#Projet Europa#préquel
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Day 36 // Find My Shade by the Moonlight, Why My Thoughts Aren’t So Clear
“Voodoo” - Godsmack
Husband and I had a wonderful date day today. We went for tea (I had two tea lattes, a London Fog and a Cherry Vanilla rooibos), played Unstable Unicorns, went to a local ramen and sushi place (we had MORE sashimi, takoyaki, edamame, and yes I had a spicy salmon roll), then went to a brewery (I had a kombucha and popcorn), and then to finish it all off, Husband thought it would be a great time to start teaching me how to drive a manual... I do NOT like it. Nope.
When we got home, I worked on my box (I’m about 2/3 of the way done with my last panel), and then Istarted getting a pain in my right mid back. It got worse. Much worse. I have no idea what triggered it or what exactly it is (I’m thinking weird muscle spasm), but I ended up very nauseated and curled up into a ball moaning.
Needless to say, the promise of going to the gym was NOT fulfilled.
I managed to get laundry done (well, darks and brights/colors, but not whites), shower, and now I’m laying in bed with a heat pad on my pain. It didn’t get really bad until AFTER Urgent Care closed, of course 🙄 Otherwise I would’ve happily gone in just to know for sure what’s wrong and to see if taking my cyclobenzaprine would be a good idea (I have an old Rx as I had horrible spasming in my back last April, but this feels a bit different). I just hate how my body HAS to have something wrong with it lately. I start getting over my ear infection (cold still present but much more livable), and as soon as I reintroduce myself to society, this happens. Being/getting old sucks.
I know I haven’t journaled lately; being sick has kicked my ass, and honestly, there’s been too much going on lately. Husband’s family has more/added drama lately; SIL is home from the hospital and is stable and doing decently well, but Husband’s uncle was hit by a car (in a parking lot, woman who hit him changed her story after talking with her husband and now it’s going to court), and there’s some other sensitive family drama that isn’t mine to share at this time, but it’s giving Husband a really rough go. I overheard him talking to a friend tonight and said I was a “godsend” through all of this. As his wife (and best friend), I do my best to support him, and it’s always good to know he’s receiving the support I’m sending, but I still need to recharge myself and cleanse the ambiance around us. Full moon may be a chaotic time for many, but it also gives me some needed energy so I can harmonize that chaos.
Last night with the full moon, I did a couple card spreads (one with tarot and one with oracle cards), did some smudging, mostly just trying to get more positivity in our home. I also decided, in my infinite wisdom, that while perler beads are fun, my newest hobby is going to be rock tumbling. I’ve been getting more into crystals and rockhounding lately (maybe over the last six months or so), and I decided that instead of buying my crystals and rocks one at a time, I should just bulk buy raw rocks and then tumble them. I mean, if I can get a pound of raw wholesale stone online for the price of one local polished/tumbled stone... why not?? Then I can give them as gifts too! So I spent way too much money buying a tumbler and grit... and then too much money on like 20 different types of stones 🙃 no shame though. My hobbies always start off expensive... and I spend more on makeup anyway.
Hopefully tomorrow my back will feel better and by Tuesday I will feel well enough to go to the gym again. 🤞
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Le drapeau
Basé sur ce prompt de @visualwritingprompts2
En écartant le papier fin qui le protégeait, des larmes coulèrent de ses yeux noirs, glissèrent le long de ses joues roses pour tomber sur le carton brun et le drapeau multicolore. Elle le porta à ses lèvres, à son visage, sentant une nouvelle fois des gouttes chaudes perler de ses yeux. Mais un éclat échappe de sa gorge toujours serrée et elle entend son propre rire étouffé par le tissu, lui tirant un sourire de ses lèvres pâles.
C’est trop, ce n’est pas assez. Elle s’élance dehors avant d’avoir compris ce qu’elle faisait, le drapeau flottant derrière elle comme une cape de super héros.
Il n’y a que la forêt, derrière, pas une grande avenue pleine de soleil. Pas des foules de gens pour l’accueillir à bras ouverts et lui expliquer ce qu’elle doit faire maintenant qu’elle est enfin sortie du placard.
C’est tout aussi bien. Elle n’aurait pas su quoi faire d’autre de toutes manières. Alors, elle sautille et court le long du chemin familier, sautant des ruisseaux et des racines, l’air frais entrant librement dans ses poumons, plus librement qu’il ne l’a jamais fait.
Elle se sent comme une princesse dans sa forêt, comme un chevalier avec sa cape.
Comme elle-même.
Enfin.
#mes écrits#french writeblr#writeblr#j'écris des prompts#french writer#short story#court texte#histoire courte#short fiction#original writing#happy pride 🌈#pride#le drapeau
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Perler Courtroom No. 2
Made a perler version of the AA courtroom :)
(I adapted most of the (human) characters from this pixel art template by cronchy croissant on Reddit)
#Perler#Perler beads#Crafts#Ace Attorney#Food#<-(to be safe)#Phoenix Wright#Miles Edgeworth#Maya Fey#Judge#AA Judge#Perler Court#Misadventures#Misadventures in Perler crafting#sC original#I had a bunch of beads leftover so now I'm working on a PLvPW version :3
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Dakjuk
Le Dak Juk (닭 죽) est la recette coréenne parfaite pour se réconforter quand on ne se sent pas bien. A base de juk, le porridge de riz coréen, on en sert souvent aux malades pour les nourrir sainement avec ce plat facile à digérer.
RECETTE
Préparation : 30 min Cuisson : 1 h 30 min
Type de plat : Plat principal Cuisine : Corée
Portions : 5 personnes Calories : 250 kcal
EQUIPMENT Cocotte Casserole
INGRÉDIENTS 200 g riz court 1.3 kg poulet 8 gousse d'ail 10 g gingembre 3 oignon vert 25 ml Huile de sésame 1 carotte 1/2 oignon 1/2 courgette Sel fin Graines de sésame Eau
INSTRUCTIONS Mettre le riz à tremper 1 heure, puis bien égoutter.
Mettre dans une cocotte, pendant ce temps, le poulet entier ou en morceaux, 6 gousses d'ail, le gingembre, la partie blanche des oignons verts et 2 litres d'eau froide. Faire bouillir puis couvrir pour cuire doucement à l'étouffée pendant environ 45 minutes. Vérifier que le poulet est bien cuit en le piquant : il ne doit pas perler de jus rosé.
Sortir le poulet et le laisser tiédir pour pouvoir le travailler. Pendant ce temps, filtrer le bouillon. Vous pouvez réutiliser les ingrédients solides récupérés pour cuisiner une soupe par exemple. Chauffer l'huile de sésame dans une grande casserole à feu moyen. Y ajouter le riz égoutté et faire cuire environ 3 minutes en remuant jusqu'à ce que le fond de la casserole soit collant. Ajouter la courgette, la carotte et l'oignon. Ramollir les légumes quelques minutes en remuant bien. Les grains de riz doivent devenir légèrement translucides. Ajouter 1,5 litres du bouillon de poulet. Bien gratter le fond de la casserole pour décoller le film collant. Faire bouillir environ 30 minutes en remuant régulièrement pour qu'il ne se reforme pas de film au fond de la casserole. Les grains de riz doivent devenir bien tendre et le bouillon doit épaissir.
Pendant que le riz cuit, effilocher le poulet en retirant les os et la peau. Ajouter 2/3 des morceaux de poulet, les 2 dernières gousses d'ail émincées et la partie vert des oignons verts au Juk.
Laisser mijoter le temps que le poulet réchauffe. Si le juk est trop épais à votre gout, vous pouvez le diluer avec le reste de bouillon ou garder celui ci pour faire une soupe par exemple. Saler au besoin le juk à votre gout. Présenter le juk dans des bols individuels avec le restant de poulet effiloché en garniture, un peu de la partie verte des oignons verts ciselée et/ou des graines de sésame.
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Halloween
L’itinéraire est le même que d’habitude. Depuis bientôt vingt ans, Adrien quitte son bureau au musée d’histoire à la même heure, il descend la pente de la Grande rue et se dirige chez lui en flânant un peu dans le quartier. Le vendredi, il s’arrête au café, salue les clients qu’il côtoie depuis des années, toujours les mêmes. Puis, il reprend son chemin, toujours le même. C’est encore la routine aujourd’hui, il est juste un peu plus tard.
L’atmosphère est toutefois différente. Ce soir, c’est Halloween. Les rues sont davantage éclairées, les gens plus nombreux et les bonsoirs plus enthousiastes, mais c’est à peine si cela pourra retarder son retour à la maison.
Tout à coup, tout d’un coup, le tonnerre éclate dans son oreille. Le vent le transperce, il sent l’air froid le pénétrer jusqu’aux os. La pluie le détrempe. Il y a une minute encore, le ciel était clair et voilà que l’eau s’écoule sur son dos, sur ses jambes, jusque dans ses chaussures. Adrien ne comprend pas.
Il est transi, mais la pluie est chaude, trop chaude. Une poussée de fièvre fait perler la sueur sur son front. L’air s’éjecte de ses poumons. Des filets de salive rose suintent de ses lèvres. Adrien ne comprend toujours pas.
Il vacille. Une crevasse semble s’ouvrir sous son pied. La brèche s’élargit, et un ruisseau rouge foncé se forme en dévalant la pente au rythme des pulsations de son coeur.
Il relève la tête au moment où ses genoux touchent le sol. C’est alors que la douleur explose dans son dos. Enfin, il comprend qu’il a été frappé, que son corps est déchiré et que le sang qui s’écoule à ses pieds est le sien.
Tout entier concentré sur sa souffrance, Adrien tarde à remarquer l’homme derrière lui. L’homme s’avance sur lui en le dévisageant, dominateur, victorieux. En un autre temps, Adrien aurait dit un guerrier médiéval sorti des voutes de son musée.
Comme dans une chorégraphie, le guerrier prend la pose qu’on a souvent vue au cinéma. Il pointe son sabre vers le ciel, les coudes parallèles au sol à la hauteur de la poitrine. Un court instant, les lumières de l’Halloween se reflètent sur le côté de la lame. Adrien a le temps de croire à une mise en scène, à un théâtre de rue.
Ce soir, il aurait pu être à Nice, à Paris, ou à Londres. Il a plutôt choisi son paisible quartier, la sécurité de sa vieille ville et la routine de son trajet entre le musée, les amis et la maison. Il sait pourtant que la folie peut frapper partout, et surtout n’importe quand. Ce soir, à cette heure, il est simplement au mauvais moment.
Alors que le son de la lame fendant l’air atteint ses oreilles, des fragments de ville apparaissent soudain devant ses yeux. Le château, les remparts, les ruelles et leurs pavés arrondis. Il est au bon endroit, là où il avait espéré être aux derniers instants de sa vie.
Benoit Bolduc/novembre 2020
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#repost HALLOWE’EN de Laurel Geiss Auteur , Ariel I-s, Anais Blandin-Mony , Nelly BOUTCHOKI. 4ème de couverture: UNE NOUNOU D’ENFER par Anaïs Mony "Jamais je n’ai ressenti pareille excitation, pareil désir. Cette douceur, cette alchimie qu’il y a entre nous me rassure, me fait dire que j’ai bien fait de tenter l’expérience. Camille est hors norme, dans tous les sens du terme." BAS LES MASQUES par Nelly Boutchoki "Alors, quand Yann me propose de poursuivre notre discussion dans son loft qui se trouve à deux pas de là, je m'imagine dans un remake de Cendrillon des temps modernes – rapport au prince charmant rencontré dans une soirée costumée." HALLOWEEN FATAL par Laurel Geiss "Qui est derrière tout ça? Qui peut vouloir s'en prendre à sa famille? À la pensée de sa petite Léna seule et sans défense, très sûrement apeurée, Mathias sent sa mâchoire se crisper et une larme perler. D'un geste, il l'efface." LA LUNE D’OPALE par ArieL I.S "Oscar scrute l’obscurité à la recherche des doigts aux ongles empoisonnés. Il guette un bruit ou un souffle. Mais rien ne vit dans ce bois. Pas même le vol d’une libellule." Mon avis: Ce livre nous propose quatre histoires courtes écrites chacune par une autrice différente. Ces quatre nouvelles ont comme point commun Halloween. On retrouve un plaisant mélange de récits angoissants, drôles ou touchants. C'est dans l'ensemble assez rafraîchissant. On découvre des styles différent, tant dans le genre que dans la plume. Le tout est finalement assez homogène et se lit facilement. Un seul petit regret d'ordre technique, la typographie est différente d'un texte à l'autre. Certes, cela ne gâche pas le plaisir de découvrir les histoires, mais dans un même livre, il est plaisant de retrouver des codes identiques du début à la fin. Même si plusieurs autrices/auteurs ont participé à l'élaboration de l'oeuvre. Globalement, une belle petite lecture qui fait passer un bon moment et une découverte d'autrices bien sympathique - je ne connaissais la plume que de Laurel Geiss jusqu'à présent. #deslysdemots #Hallowe'en#Halloween @laurelgeiss_auteure @ariel.i.s.autrice @la_plume_de_nelly @auteuranaismony Merci pour ce retour❤️❤️❤️ https://www.instagram.com/p/B3O4dvan_la/?igshid=1apu2a2sk56e5
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Pour avoir des vitres autonettoyantes en un coup de chiffon!
Oui, oui, le printemps est enfin arrivé! On regarde par la fenêtre le changement de saison. Cependant, si vos vitres sont sales, l’effet « magique » est quelque peu gâché par de vilaines traces. Et que dire de notre solarium qui est l’une des pièces les plus agréables de la maison. En hiver, elle permet de profiter de la lumière tout en restant au chaud.
Comment nettoyer des vitres sales ? Vous recherchez une solution efficace pour vos vitres ? Non pas que vous soyez négligent, mais il est vite fait de les salir : animaux de compagnie qui se collent contre la vitre, traces de doigts, pluie fine ou abondante, poussières/pollutions extérieures, etc. La liste est longue! Pour redonner la brillance et éclat aux vitres, rien de tel que notre nettoyant verre & céramique dont la formulation unique et hyper-concentrée nettoie le verre en profondeur : il permet de désincruster la moindre impureté afin de laisser une surface nette et impeccable. De plus, c’est notre produit de préparation de surface avant d’appliquer la NanoProtection! Découvrez notre traitement protecteur pour vitres! Nettoyer ses vitres sans laisser de traces, c’est bien, mais les conserver dans cet état, c’est encore mieux.
Notre objectif chez NanoProtection Canada, c’est de protéger les surfaces et par conséquent de faciliter le nettoyage des vitres. Ainsi, notre traitement pour vitres autonettoyantes est un produit innovant. Il s’agit d’un revêtement si fin qu’il en est invisible, mais si solide qu’il protège la surface pendant de nombreuses années, 5 à 6 ans. Quand même! Ce revêtement comporte des propriétés adaptées à la protection des vitres : il est hydrophobe, c’est-à-dire qu’il repousse l’eau et la laisse perler en surface – et anti-adhérent, les saletés ne peuvent plus s’incruster en profondeur. Les impuretés (poussières, traces de calcaire, etc.) sont alors très faciles à enlever : un simple chiffon doux humide suffit pour les faire disparaître, car le revêtement est en réalité un bouclier protecteur qui les empêche de pénétrer dans la matière. Et laisser l’eau de pluie se charger du reste!
Constatez par vous-même sur cette courte vidéo. Vendu en ensemble ou séparément ! Pour l’ensemble complet, c’est ici!
Vitres autonettoyantes
Fiche technique - NANO
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honestly I’m not sure how I’m still surprised by the absurdity of my weird video game crossover dreams but I am
anyway I was on a cruise ship and bought this little metroid perler bead thing from a gift shop but wooo spooky when I went by the next day the shop NEVER EXISTED
anyway boring regular things happened for a bit and then at some point I guess I thought I lost the metroid thing because I no longer had it. More boring realistic stuff happens, I go for dinner, partway through I go to the washroom and while I’m there, disaster strikes etc, things are on fire also exploding and fucking surprise the perler bead thing was actually composed of space bird science that has integrated itself with my biology and I am now the proud owner of a power suit except it’s the fusion suit.
after a few moments of confusion I use my newfound awesome to just straight up carry this old guy (who is my substitute dad or something I guess) and lead everyone to safety and evacuate them from the disaster ship.
I also discover that I have evacuated everyone off the ship right next to a convention that’s starting so of course I go heck yes let me in I can totally win some cosplay comp. After some difficulty with the sign up forms I get in and wander a bit and stop off at the food court. I begin playfully hassling a wight reaper cosplayer except I manage to piss him off a little and surprise again it’s ACTUALLY REAPER so he just straight up grabs me by the throat and does his spooky teleport thing and we end up in a warehouse and he just puts me back down like ‘lol sorry gotta keep up appearances wanna play some xbox’ and sombra just pops out of the woodwork like 'yes’
Anyway for some reason we never actually play xbox and they start signing me up for the group which is this weird alternate version of talon where they have mccree instead of widow, but also they’re all just undercover good guys and incredibly chill. They start poking fun at me for both being the shortest member of the group and also the youngest and then I woke up
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