#Pavillon de l’Horloge
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margotbelin · 2 years ago
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soirée nuageuse ☁️ 🕰️ vue du pavillon de l’Horloge dans la Cour Carrée du Louvre. Nom donné car il y a tout simplement une horloge. Sur les quatre entrées de la Cour Carrée c’est la plus majestueuse ;) 🎠 c’est une copie d’une statue équestre de Louis XIV. L’original se trouve au Château de Versailles et il y a une autre copie dans le parc de ce château :) #chateaudeversailles #louvreanecdotes #museedulouvre #louis14 #louisxiv #night #picoftheday #night #paris #visites #anecdotes #art #culture #architecturelovers #courcarree #visiteslouvre #architecture #icart #lecompteestintercatifyoupi (à Cour Carrée) https://www.instagram.com/p/CpgAENAsiKs/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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iphoneographymundial · 8 years ago
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Pavillon de l’Horloge (Pavillon Sully), Cour Carrée, Palais du Louvre, Paris, France
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empiredesimparte · 4 years ago
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Le Salon des Maréchaux, visite du palais des Tuileries (I)
Stéphane Bernard : “Dans le pavillon de l’Horloge, le Salon des Maréchaux s’élève sur deux étages. Il présente portraits, objets et scènes de guerres de l’Empire.” “In the Clock Pavilion, the Salon des Maréchaux is on two floors. It presents portraits, objects and war scenes from the Empire.”
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Stéphane Bernard : “La pièce a vu de nombreuses transformations. Depuis le Second Empire jusqu’à aujourd’hui, c’est l’une des plus brillantes salles de réception des empereurs de Francesim. En son centre, le portrait de l’Empereur Napoleon I veille sur les siens.” “The room has seen many transformations. From the Second Empire to the present day, it’s one of the most brilliant reception rooms of the Francesim emperors. In its centre, the portrait of Emperor Napoleon I watches over his own people.”
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archimaps · 5 years ago
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Partial section of the Pavillon de l’Horloge and the grand staircase of the Louvre, Paris
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alexar60 · 4 years ago
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Le vélo
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Malgré son jeune âge, Jules était passionné de mécanique. Hélas, sa famille n’avait pas les moyens d’acheter une voiture. Alors, il se contentait de son vélo, l’améliorant comme il pouvait en ajoutant tantôt des pneus de meilleure adhérence tantôt un câble plus solide. Il avait trouvé sa passion et avait décidé de devenir mécanicien quand il sera en âge de travailler. Mais avant, il dut s’instruire, partir à l’école ; utilisant son vélo pour y aller que ce soit en hiver ou en été, sous la neige, la pluie ou sous un soleil caniculaire. Il pédalait tout le temps, grimpant, descendant, sprintant parfois. D’ailleurs il connaissait la ville comme sa poche et tout le monde le connaissait comme le gamin au vélo.
Durant un cours de physique, il découvrit  l’électricité. Son professeur s’intéressait fortement à cette nouveauté qui n’existait pas encore dans la région en cette année 1890. Ici, tout était au gaz ou au bois. Il avait expérimenté une dynamo grâce au ruisseau passant au bout de son jardin, et obtint des résultats prometteurs. Alors, il eut la bonne idée d’apporter sa dynamo dans le but d’expliquer à ses élèves comment produire facilement cette ressource encore inexistante et ainsi épater les parents. Jules posa une question pertinente qui captiva la curiosité du maitre : Est-ce que cela pourrait faire avancer un vélo ? Le professeur réfléchit dans le silence, les élèves respectueux l’observèrent impressionnés de le voir ne pas répondre de suite alors qu’il avait toujours réponse à tout. Puis, il dit tout simplement : « C’est à essayer » avant de proposer à Jules de passer chez lui le dimanche  afin de travailler dessus.
La recherche intrigua aussi deux autres camarades de Jules. Ainsi, le prof et les trois élèves purent s’amuser à inventer un procédé nouveau et après trois mois, ils créèrent le premier prototype de la bicyclette électrique. Fonctionnant à l’aide d’un générateur relié au pédalier ainsi qu’aux freins, le système était simple. Il suffisait de pédaler pour faire de l’électricité et ainsi avancer plus vite. Jules fut excité à l’idée de commencer un parcours se limitant au pâté de maison. Il grimpa sur sa machine après avoir été photographié par l’épouse du professeur tel un pionnier des temps modernes, puis il avança tout en tremblotant, de peur de casser le système électrique. Tout foutre en l’air à cause d’un stupide accident l’énerverait éperdument. Toutefois, encouragé par ses amis, Jules accéléra après une vingtaine de mètres et retrouva une cadence classique. Il fit un premier tour avant de lever les pieds et laisser sa récolte électrique  continuer à tourner le pédalier.
Il passa une seconde fois devant l’effarement ravi de ses copains, du professeur, son épouse, ses enfants et de quelques voisins curieux. Ils applaudirent en voyant Jules, raidissant les jambes volontairement afin de montrer que leur projet fonctionne. Mais, sentant que le vélo ralentissait, il se remit à pédaler plus vite… accélérant de plus en plus à chaque cadence. Avec l’électricité encore présente dans le pédalier, il n’arriva plus à contrôler la vitesse, n’osant pas freiner d’un coup sec car il ne voulut surtout pas chuter la tête la première. Il avait en esprit un accident rapporté dans le journal par sa mère toujours inquiète. Un jeune homme s’était fracassé le crane en tombant d’un vélo. L’anecdote suffit à traumatiser la maman qui imagina le blessé grave comme étant son fils. Alors, Jules voulut arrêter de pédaler et laisser le vélo s’arrêter de lui-même mais ce n’était pas possible. Ses jambes étaient comme ensorcelées, elles réclamaient plus de vitesse ou peut-être son inconscient voulait connaitre ses limites. Et puis, il y avait cette atmosphère soudainement orageuse autours de lui.
Quoi qu’il en soit, le petit groupe devant la maison de l’enseignant s’inquiéta de ne pas voir Jules revenir. Un de ses amis, prit sa bicyclette et chercha Jules en pensant qu’il soit tombé. Mais après un tour, il admit qu’il semblait avoir disparu. Dès lors, la panique prit le dessus, on chercha à savoir où il pouvait être passé. On fouilla les jardins, on appela Jules partout dans les rues adjacentes, on interrogea les résidents sortis pour savoir de quoi il s’agissait. Mais personne ne put répondre et dire où il était passé. Cela faisait une bonne heure lorsqu’un cri retentit soudainement : « Le voilà ! »
Jules n’était pas essoufflé malgré son apparence fatiguée et ses cheveux en bataille. Ils étaient même  pleins d’électricité statique collant à une feuille de papier déposé sur sa tignasse par son meilleur pote. On lui demanda ce qu’il avait fait. Il parut surpris et répondit simplement avoir fait le parcours prévu. Toutefois, la femme du prof insista afin de moraliser Jules au sujet sa conduite inquiétante. Elle persista sur sa disparition qui dura près d’une heure. Le garçon, ne comprenant pas, fit ses excuses et insista sur le fait qu’il n’avait fait que le tour du quartier avec le même temps qu’au premier tour.
Le professeur sortit sa montre à gousset de sa poche et affirma qu’il était déjà plus de quatre heures de l’après-midi. Ainsi, pour calmer tout le monde, il proposa aux élèves de rentrer chez lui prendre un goûter mérité. Un gâteau en train de refroidir sur la table de la cuisine attendait patiemment. Contents de cette invitation, les jeunes ne se firent pas attendre. Seul Jules resta encore dehors pendant un instant. Il regarda son vélo et chercha à comprendre ce dernier tour. Il avait encore en tête cette espèce de bulle noire qui l’avait encerclé quand ses pieds refusaient de s’arrêter. C’était une sorte de mini-orage autours de lui, il avait vu des éclairs, juste devant ses yeux mais cela ne dura que quelques secondes. Il se souvint avoir vu l’heure sur l’horloge de l’église au coin de la rue juste avant cet étrange événement. Elle indiquait trois heures cinq. C’était il y a dix minutes ! Il n’osa pas l’avouer, mais ils avaient raison : qu’a-t-il fait pendant tout ce temps ? Ou plutôt, où était-il passé ? Lui-même n’en savait rien.
A sa demande, il voulut conserver son vélo en état, proposant de continuer de travailler sur une autre bicyclette. Le professeur accepta au plus grand plaisir d’un de ses camarades dont le vélo devenait le nouveau prototype. Durant la collation, Jules ne parla pas de cette heure perdue, se contentant d’hocher la tête ou de sourire bêtement dès que quelqu’un blaguait. Puis, le soir, il quitta le groupe et s’élança sur son vélo électrique après avoir salué tout le monde. Il pédala à fond pendant quelques secondes, puis sentant le générateur se mettre en marche, il profita de l’arrivée de l’électricité pour accélérer tout à coup. Il espérait revoir cette bulle sombre et fut soulagé son apparition. D’abord, petite et flou, elle emprisonna vite Jules et sa bécane. A ce moment, il augmenta la cadence, heureux de revoir les éclairs devant lui, rassuré de sentir des picotements sur sa peau au point de dresser les quelques poils fins de ses bras. Il était content car il n’avait pas rêvé. Alors, il continua encore plus vite, plus déterminé. Il se sentait bien dans cette boule qui se remplissait de brume et d’étincelles. Il ne vit plus rien du paysage, il ne vit rien des rues ni des façades qu’il connaissait par cœur. Il devina se situer entre le parc et le pavillon en brique d’une amie de sa mère.
Alors, il ralentit en arrêtant de pédaler. Petit-à-petit, le brouillard se dissipait et déjà il reconnut le kiosque à journaux, étonné de n’avoir fait qu’une cinquantaine de mètres. Le vélo avançait tout seul de plus en plus lentement, jusqu’à presque faire du surplace. Jules recommença à pédaler mais plus lentement. La bulle avait entièrement disparut, il passa une main sur ses cheveux pour ressentir l’énergie électrique au-dessus de sa tête. C’était comme faire pression sur un aimant. Puis, il repensa à cette heure perdue, se demandant encore ce qu’il avait fait. Pendant le trajet, il ne remarqua pas de suite un homme en train de se promener devant le parc le fixant du regard avec étonnement. Par contre, il se retourna lorsqu’il hurla : « Mais c’est lui ! ». L’homme, le montrait du doigt tout en regardant une affiche placardée sur le portail.
Contrarié par ces appels qui agitèrent les autres passants, Jules fit demi-tour, saluant le monsieur au visage ébahi. Il tenait en laisse un bulldog à la mine pathétique et aux yeux désintéressés. L’homme l’observa de nouveau, regarda l’affiche et affirma en la montrant du doigt: « Mais oui, c’est bien toi, petit ! ». Jules descendit de son cycle et fut horrifié de voir son portrait imprimé sur l’affiche. C’était une photo qu’il n’avait jamais vue et prise, en début d’après-midi avant l’expérience, par l’épouse de son professeur. Son cœur se mit à battre fortement lorsqu’il lit sous la photo qu’il était porté disparu depuis deux mois. Il ne sentit pas la main du propriétaire du chien se poser sur son épaule, ni l’entendre dire : «Tu vas venir avec moi ». Il n’entendit pas non plus, les réactions des autres témoins mêlant stupeur, joie et interrogations. Il ne répondit à aucune question. Il ne comprit qu’un chose : En utilisant son vélo, il avait avancé dans le temps. Dès lors, il prit sa précieuse bicyclette et accompagna l’homme au chien jusqu’au commissariat. Pendant que l’un imaginait ce qu’il allait faire de sa récompense, l’autre se demandait si en pédalant en arrière, il était possible de remonter le temps.
Alex@r60 – juin 2020
Photo : Jeune inconnu et son vélo, Suède, 1916
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jacofalltravels · 4 years ago
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The Pavillon de l’Horloge, also known as the Pavillon Sully, is a prominent pavilion located in the center of the west wing of the Cour Carrée of the Palais du Louvre in Paris.
(at Pavillon de l'Horloge du Louvre) https://www.instagram.com/p/CANQR7apKBY/?igshid=1xmmor9rrn286
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historyofartdaily · 6 years ago
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Louvre, Pavillon Mollien, Pavillon de Flore, Pavillon de l’horloge (1, 2, 3)
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melchior42 · 5 years ago
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A gauche du pavillon de l’horloge, Henri II deux H entrelacés d’un double C pour Catherine de Médicis, que l’on peut aisément confondre avec un double D comme Diane de Poitiers sa maîtresse. Côté Seine, à droite : Charles IX, un K couronné et deux K entrecroisés l’un dans l’autre. Sur le pavillon de l’horloge et à droite : L et LA entrelacés pour Louis XIII et sa femme Anne d’Autriche, ou encore LB pour Louis de Bourbon Louis XIV, double lambda pour Louis XIII, deux L dos à dos pour Louis XVIII, N couronné pour Napoléon premier. Les initiales des souverains sur les murs du Louvre
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escapades-planetaires · 6 years ago
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Cours et jardins du Château de Fontainebleau
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                                                   La Cour d’Honneur
Depuis le XIIe siècle, le château de Fontainebleau a vu passer dans ses murs tous les souverains français, des Capétiens, à l’exception des quatre premiers, aux Bonaparte.
Il a été classé au Patrimoine mondial de l’Unesco en 1981.
Photos Nathalie (2,4,7) et Bertrand (1,3,5,6,8-11) Donadille, 29 décembre 2018
Depuis Louis VI le Gros, qui aurait construit un premier château fort (attesté en 1137), dont il reste le donjon dans la Cour Ovale, jusqu’à Napoléon III, c’est la seule demeure royale où ont habité les 34 rois et empereurs ayant régné sur la France pendant ces huit cents ans.  
En août 1816, à Sainte-Hélène où il était exilé, Napoléon Ier disait du château : “Voilà la vraie demeure des rois, la maison des siècles.”  
Des cinq cours de Fontainebleau, la Cour d’Honneur est la plus vaste et la cour principale depuis le XVIIe siècle. C’était auparavant une basse-cour (où étaient les écuries et les dépendances).  
Elle est aussi appelée Cour du Cheval blanc (une statue de cheval en plâtre y avait été érigé aux environs de 1563-1626) ou encore Cour des Adieux, en référence au départ de Napoléon Ier pour l’île d’Elbe le 20 avril 1814.
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Dans cette Cour d’Honneur, on peut admirer l’escalier en Fer-à-Cheval  bâti à la demande de Louis XIII entre 1632 et 1634, à la place d’un premier escalier datant de 1559.
A partir de 1528, François Ier a fait reconstruire un château dans le style Renaissance sur les fondations de l’édifice féodal qu’il venait de faire démolir. 
C’est de cette période que date l’aile Est où l’on peut voir, à droite de la Tour de l’Horloge, la Chapelle de la Trinité dont les travaux ont commencé sous son règne (après 1540), et se sont terminés sous celui de son fils, Henri II. Elle a remplacé les bâtiments d’un couvent-hôpital fondé par Saint-Louis en 1259, le Couvent des Trinitaires.
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Accolée à l’extrémité nord (à gauche) de cette aile Est (mais à peine visible ici), on distingue la salle de Jeu de paume (1601) du roi Henri IV, la plus grande du monde. Elle a été détruite par un incendie en 1702, puis reconstruite en 1732, avant d’être rénovée en 1812. Elle est toujours en activité. Ce jeu est l’ancêtre des sports de raquette actuels.
A droite de l’escalier se situe l’aile des Reines-Mères et du Pape depuis que Pie VII y a séjourné en 1804 et en 1812-1814. 
A l’angle sud, le Gros Pavillon de 1750 est prolongé par l’aile Louis XV (à droite) édifiée en 1739-1740, puis 1773-1774 à la place de la Galerie d’Ulysse qui existait depuis la Renaissance.
Enfin, l’aile nord, en face, abrite l’aile des ministres (construction vers 1530), ci-dessous également.
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Dans le prolongement vers l’est de l’actuelle Cour d’Honneur et reliée à cette dernière par la Galerie François Ier (à partir de 1530), la Cour Ovale est  l’ancienne cour principale. Elle se trouve à peu près à l’emplacement de l’édifice féodal.
Les bâtiments qui l’entourent ont été élevés autour du donjon, seul vestige médiéval, par François Ier - le premier véritable bâtisseur du château tel qu’on peut le voir aujourd’hui - et Henri IV. 
C’est de cette cour que rayonnent tous les autres bâtiments du Château de Fontainebleau.
La Porte du Baptistère (au fond)) permet de rejoindre la Cour des offices ou Cour des Cuisines. C’était un espace de communs où était logé le personnel qui avait un office à la cour royale. Elle s’ouvre sur la Place d’Armes de la ville. Elle est aussi nommée, Quartier Henri IV, car elle date de la période 1606-1609.
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Le Jardin de Diane, au nord du domaine, est l’ancien jardin du Couvent des Trinitaires dont on sait qu’il avait un jardin de simples ou jardin médicinal (herbularius en latin, de herba, herbae : herbe). On y cultivait des plantes aux vertus médicinales appelées “simples” ou “plantes officinales”.
Après 1528, il est devenu Jardin du Roi quand François Ier a décidé de faire de Fontainebleau son palais, puis Jardin de la Reine (ou Jardin des Buis) aux alentours de 1559 lorsque Catherine de Médicis (épouse d’Henri II et mère de trois futurs rois : François II, Henri III et Charles IX)  en a fait son jardin personnel.
Il a été réaménagé sous Henri IV avec la construction de la Grande Galerie (ci-dessous) commencée en 1600 qui comprend, au rez-de-chaussée, la Galerie des cerfs et au premier, la Galerie de Diane.
Le roi a fait ajouter la Fontaine de Diane en 1603. Le bronze que l’on voit vient du Château de Marly et date de 1684. Il a remplacé en 1813 celui d’origine qui avait été volé à la Révolution.
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Pendant les années 1645-1646, Anne d’Autriche, la mère du futur Louis XIV, alors régente, a fait redessiner le jardin Renaissance par André Le Nôtre qui l’a transformé en jardin à la française.
En 1647, la volière d’Henri IV est transformée en orangerie. C’est de cet endroit que proviennent les plus beaux orangers de Fontainebleau que Louis XIV a fait transporter dans la nouvelle orangerie de Versailles en 1663.
Sous Napoléon Ier et Louis-Philippe, le jardin a été agrandi, réagencé et clôt par un mur côté ville.
Avec Napoléon III, ce mur d’enceinte a été remplacé par les grilles actuelles.
Le Jardin de Diane est séparé de la Cour de la Fontaine (en contrebas sur la photo) par la Galerie François Ier. Son nom a pour origine la fontaine du XVIe siècle, surmontée de la figure d’Ulysse, qui s’y trouve.
Depuis la galerie, on peut apercevoir l’aile des Reines-Mères et du Pape ainsi que le Gros Pavillon qui donne au sud sur l’Etang aux Carpes.
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Cet étang de 6 hectares a été aménagé dès le Moyen-âge. 
Le pavillon en son centre, de forme octogonale, remonte à 1660 (règne de Louis XIV). Napoléon Ier l’a fait restaurer et modifier entre 1811 et 1813.
Mais sous Louis XIII, il y aurait eu un “petit pavillon rond couvert en terrasse et environné d’une balustrade de pierre” selon le Pére Dan, un historien du XVIIe siècle.  
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Outre les carpes, de magnifiques cygnes glissent sur l’eau.
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A l’est de l’étang s’étend le Grand Parterre (le plus grand d’Europe), un immense jardin à la française de 11 hectares, principal aménagement du Roi Soleil à Fontainebleau, créé par Le Nôtre et Le Vau de 1660 à 1664.
De l’autre côté du plan d’eau, le Jardin Anglais (16 hectares) était planté de pins sous François Ier. Son aspect actuel remonte au Premier Empire.
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La Grotte des Pins est la première grotte artificielle construite en France (1541-1543). A l’époque elle se trouvait au rez-de-chaussée d’un pavillon situé au bout de la Galerie d’Ulysse détruite en 1739.
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Le parc du Château de Fontainebleau a une superficie totale de 130 hectares. 
De quoi faire de belles balade !
A suivre :  Le Musée Napoléon Ier du Château de Fontainebleau
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memolands · 3 years ago
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Louvre - The home of one of the most impressive art collections in history in Paris
Louvre – The home of one of the most impressive art collections in history in Paris
The museum is housed in the Louvre Palace, originally built in the late 12th to 13th century under Philip II of France. In 1682, Louis XIV chose the Louvre as a place to display the royal collection, including, from 1692, a collection of ancient Greek and Roman sculpture. The Pavillon de l’Horloge, is a prominent architectural structure located in the center of the western wing of the Cour Carrée…
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toutenphotonbis-blog · 3 years ago
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Au pied du Pavillon de l’Horloge (Sully), près de la pyramide du Louvre en construction #sergesautereauphotographe #sergesautereau #louvre #pyramidedulouvre #toutenphoton #photographieargentique #photoargentique #muséedulouvre #museedulouvre #architecture #photoarchitecture #paris #museelouvre #cournapoleon #MuséeDuLouvre #ieohmingpei #ieohmingpeipyramids #pritzkerprize #chantier #grandstravaux #chantierparisien #noiretblanc #noiretblancphotographie #noiretblancphoto #blackandwhitephotography #constructiondestruction #béton #ferraillage #contreplongée #coffrage (à Musée du Louvre) https://www.instagram.com/p/CTBsE2yM6SM/?utm_medium=tumblr
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photosansapp · 6 years ago
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Des alcôves du passage du Pavillon de l’Horloge dépassent une mitraillette et un violoncelle.
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serafino-finasero · 7 years ago
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Le Pavillon de l’Horloge (à gauche / left), et le Pavillon Mollien (à droite / right), Palais du Louvre, Paris, 1859 | photo Gustave Le Gray (photographe français / French photographer, 1820--1884)
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netlex · 7 years ago
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Bruno Braquehais (1823 – 1875)
Auguste Bruno Braquehais was a French photographer active primarily in Paris in the mid-19th century.
Paris Commune
Commune de Paris, 1871 : A barricade on Rue Voltaire, after its capture by the regular army during the Bloody Week (Semaine sanglante)
Vendôme, 16 May, 1871
Vendôme, 16 May, 1871
Commander of the Place Vendôme under the Commune, 1871
Castiglione, 1871
Place Vendôme; Barricade in the Rue Castiglione
Tuileries Palace; Main Hall, Garden Side. 1871
Hôtel de Ville. Pavillon de l’Horloge, 1871
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lescapsulesdecora · 5 years ago
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Belvédère
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En entrant dans ce pavillon, l’histoire les embrassa. La décoration années '60 a figé la pièce et les mosaïques louant le travail ouvrier et le labeur agricole laissait entrevoir le passé communiste et leur ex-leader. Assis sur la terrasse, face à une vue imposante, il la regardait tendrement. Son sourire lui procurait un doux sentiment de bonheur. La vue du balcon était imprenable. On pouvait compter chaque marche menant au porche. On distinguait chaque détail de l’horloge du campanile. Les touristes allaient et venaient au loin, comme au ralenti. Le temps s’est figé un moment. La chaleur se transforma petit à petit en grondements lointains. Les nuages commencèrent à protéger les sommets. La lumière changea. Et en bas, le bal des touristes continuait. Il la regardait profiter de la vue ; il scrutait chaque sourire se dessinant sur ses joues rosées. Ils avaient tant à partager et si peu de temps ensemble. D’aigue-marine, le lac devint de plus en plus émeraude. La pluie carressa, d’abord délicatement, sa surface avant de s’intensifier. Captivés par la beauté du moment, ils se laissèrent emporter dans l’instant. Le vent se leva, les arbres s’agitèrent. Un couple en kayak tentait de s’abriter sous les quelques branches couvrant la berge de l’ile. La surface du lac, si calme, était la fenêtre vers son agitation intérieure. Ils y apercevaient tous les courants se mouvant et transformant le lac en palette de peintre, mélangeant à grand coup de pinceaux vert et bleu pour obtenir un ensemble délicat de variations chromatiques. Elle partagea dans un soupir son amour pour ce moment. À l’abri de la pluie torrentielle mais sentant son odeur sur la pierre chaude, ils profitaient de la magie du lieu. Quelques gouttes arrivaient sur eux, prétexte pour quelques regards complices. La pluie se calma. Le pointillisme de l’image se lissa, la vallée derrière l’ile était désormais baignée de soleil. Les barques récupéraient les visiteurs et se remirent à caresser la surface. Les berges s’étaient vidées. Leur café fini, ils respirèrent la vue une dernière fois. D’un accord tacite, ils se prirent la main pour quitter le belvédère royal. Reposés, ravis, amoureux. 
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clicfrance · 6 years ago
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[IL Y A 2 ANS] Avec de nouvelles salles équipées d’outils numériques et une nouvelle application mobile, le musée du Louvre se réinvente –
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Le 6 juillet 2016, le nouveau Pavillon de l’Horloge ouvre ses portes afin de répondre aux questions des visiteurs sur le palais, ses collections et ses missions. Quelles sont les traces encore visibles des grandes périodes de construction du Palais ? Quels souverains ont vécu au Louvre ? Pourquoi est-il devenu un musée ? Quels sont les grands projets du Louvre…
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