Tumgik
#Parole de Flic
topicsfromatoz · 1 month
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ALAIN DELON PASSED AWAY AR THE AGE OF 88
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Alain Delon, a legendary figure in French cinema, has passed away at the age of 88, according to reports from French media, citing his three children. The iconic actor died at his home in Douchy, near Paris. Delon was a dominant force in French and international cinema, especially during the 1960s and 1970s. He first gained widespread recognition with his role in Luchino Visconti's The Leopard (1963), but it was his portrayal of a solitary hitman in Jean-Pierre Melville's Le Samouraï (1967) that cemented his status as a cinematic icon. His cool, enigmatic persona, combined with his striking good looks, made him a staple in numerous crime and adventure films. Among these were La Piscine (1968), a tense psychological thriller, and Borsalino (1970), where he starred alongside Jean-Paul Belmondo. Delon also made an impact in later years with films like Parole de Flic (1985), showcasing his enduring appeal. In 2019, he was awarded the prestigious Palme d'Or for lifetime achievement at the Cannes Film Festival, honoring his decades-long contribution to cinema. Delon’s passing marks the end of an era in French cinema, leaving behind a legacy of unforgettable performances.
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UNE DIGNE EPOUSE DE GENDARME !
LA VIE D'UN FLIC D'UN GENDARME ne compte pas POUR LA REPUBLIQUE CORROMPUE !
Temps de lecture = 2 minutes Son intervention fera date… Par Marianne Cheremetieff  UNE DIGNE EPOUSE DE GENDARME ! belle soirée ! La très digne Madame Comyn, jeune veuve de 42 ans de l’adjudant Comyn tué suite à un refus d’obtempérer, a pris la parole aujourd’hui à Mougins lors d’une cérémonie d’hommage pour son mari. Elle a dit ce qu’elle avait sur le cœur sans le prêchi-prêcha habituel.…
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lepartidelamort · 3 months
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Le leader antifa candidat à Avignon pour le Front rouge !
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Le front rouge met toutes ses forces dans la balance en prévision de l’explication de texte finale qui nous attend tous.
Le leader antifa Raphaël Arnault devrait théoriquement devenir député d’Avignon.
Lyon Mag :
Lui rêvait de se représenter dans la 2e circoncription de Lyon, comme en 2022. Mais Raphaël Arnault a dû se résoudre à faire une croix sur la capitale des Gaules, et même sur le Rhône. Nouveau protégé de Jean-Luc Mélenchon, le porte-parole de la Jeune Garde n’a toutefois pas été oublié.
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Et LFI a décidé de le parachuter sur un territoire favorable : la circonscription d’Avignon dans le Vaucluse. Sauf que les forces de gauche présentes sur place ne sont guère emballées par l’arrivée tonitruante du leader antifa, qui veut lutter pour empêcher le Rassemblement national de faire le grand chelem dans le département du sud de la France. Selon la Provence, un recours a même été déposé par le Parti socialiste qui veut absolument récupérer la circonscription et renvoyer Raphaël Arnault à Lyon.
La rapport de force est plutôt favorable au front rouge, mais ce sont les bourgeois macronistes qui feront l’élection. Un profil antifa est de nature à faire hésiter ces gens-là.
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L’idée derrière cette désignation est d’offrir l’immunité parlementaire à ce terroriste pour piloter tous les groupes d’ultra-gauche en France.
Ces gens s’apprêtent à une vague de violence politique sans précédent dans toutes les villes du pays et ce dans la durée.
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Malgré les apparences les rouges sont des gens sérieux. Ils sont sérieux dans leur haine destructrice et leur volonté absolue de détruire tout ce qui se trouve en face d’eux.
Ces bandes, prises en elles-mêmes, ne sont rien. Mais le système entend bien organiser une insurrection antifa de longue durée en cas de victoire du RN. Les antifas seront protégés par les médias, peu importe les circonstances. Les juges les aideront.
Le gouvernement RN pense très certainement que la police le protègera.  La réalité est que la police ne fera pas spécialement de zèle, et certainement pas suffisamment pour écraser le front rouge dans les rues.
Sans milices noires pour tenir les rues – et nous parlons ici de véritables milices, encadrées par des hommes déterminés – nationalistes, militaires ou ex-policiers – physiquement aptes et compétents, le front rouge sèmera le chaos dans les rues avec l’aide de la vermine ethnique.
Les choses sont très sérieuses, beaucoup plus sérieuses que ce que ne pense les gens du RN.
Les JO obligeront les flics à concentrer toutes les forces de police et de gendarmerie à Paris. La Calédonie en fixe déjà 3,000. Bref, pendant des semaines les villes françaises seront sans défense face à la violence rouge déchaînée.
Les nationalistes ne doivent plus perdre de temps et mettre en place des comités de quartier pour protéger la population des bandes marxistes et allogènes. C’est une question de semaines, au maximum.
Le 8 juillet, ce sera de l’ultra-violence dans les rues des grandes villes.
Dans vos départements, rapprochez-vous des groupes de droite que vous connaissez, peu importe lesquels. Les étiquettes n’ont plus d’importance. Les camarades doivent tous s’unir face à la violence rouge et allogène qui va s’abattre contre les Français et leurs biens.
Mais n’hésitez pas à provoquer les rouges avec nos symboles.
Nous voulons des drapeaux à croix celtique, nous voulons des totenkopfs, nous voulons des runes, beaucoup de runes.
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Mort au marxisme !
Mort à la gauche !
Mon honneur s’appelle fidélité !
Le drapeau haut, les rangs bien serrés La S. A. marche d’un pas calme et ferme Les camarades abattus par le front rouge et les réactionnaires Marchent en esprit dans nos rangs avec nous
Les rues libres pour les bataillons bruns Les rues libres pour l’homme de la S.A. Des millions de personnes regardent la croix gammée avec espoir Le jour pour la liberté et du pain arrive
Pour la dernière fois, l’appel a sonné Pour le combat, nous sommes déjà tous prêts  Bientôt, les drapeaux hitlériens flotteront dans toutes les rues. Sur les barricades, la servitude va bientôt se terminer
Le drapeau hait, les rangs bien serrés La S. A. marche d’un pas calme et ferme Les camarades abattus par le Front rouge et les réactionnaires Marchent en esprit dans nos rangs avec nous
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Démocratie Participative
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exutoiredepenser · 4 months
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"Papa m'reniera jamais, j'suis ni flic ni pd"
À 18 ans, je flottais entre les ombres des rues, sans ancrage ni abri. C'est dans ce tumulte que résonné ce son, tel un phare dans l'obscurité. Chaque note, chaque parole, était une étincelle dans ma nuit sans fin. Avec sa voix rocailleuse et ses récits bruts, il a tissé des ponts entre ses combats et les miens, faisant de ses histoires une trame où je pouvais me retrouver.
La mélodie s'infiltrait dans mon esprit, apaisant les tempêtes intérieures, m'accordant des instants de répit. Les rythmes sombres et profonds étaient le battement de mon cœur, me rappelant que je n'étais pas seul dans cette traversée. Ses mots, gravés dans la réalité la plus dure, étaient les miens, des cris étouffés de douleur et d'espoir.
À travers "A7", SCH me tendait la main, m'invitant à danser avec mes démons, à transformer mes blessures en force. Son récit de survie, entre rage et résilience, m'a offert une lueur d'espoir, un fil d'or dans la toile sombre de mes jours. Il chantait la possibilité d'une renaissance, d'un avenir arraché à la fatalité.
Chaque écoute était une immersion, une communion avec l'âme d'un autre errant, un rappel que même dans la nuit la plus noire, il y a toujours une chanson qui peut allumer une étincelle. Il m'a accompagné, m'a soutenu, m'a élevé. Grâce à lui, j'ai trouvé la force de continuer à marcher, à rêver, à croire qu'un jour, le soleil se lèverait pour moi aussi.
"On s'en ira, ils nous ont ni aimés ni aidés."
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fandisney1 · 4 months
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Tome 1 – L’école des monstres
Chapitre 1 – Louane
Lectour était réputée pour être une petite ville calme et sans problèmes, où les vacanciers venaient régulièrement pour profiter du silence et du soleil qui étaient là durant toute l'année.
Mais ce soir là du jeudi 24 du mois de Février, on pouvait apercevoir un groupe d'adolescents traverser les rues, se dirigeant tout droit en direction de la vieille décharge abandonnée. Ce groupe était composé de deux filles et de trois garçons.
Kevin, 21 ans était le chef du groupe. Il avait des cheveux court noirs, des yeux gris-bleu et une peau très pâle. Kevin était le genre de personne à éviter si on ne voulait ne pas avoir d'ennuis.
Alicia, 17 ans avait de longs cheveux Blonds, des yeux pistaches et une peau blanche. C'était la petite amie de Kevin et elle le faisait bien comprendre à la plus jeune du groupe.
Hassen et Omar étaient des jumeaux âgés de 16 ans, d'origine tunisienne qui avaient tout deux des cheveux mi longs, la peau basanée et les yeux marrons. La seule façon de les distinguer étaient que Omar portait des lunettes.
Kevin prit la parole - Alors je vous l'avait dit que ce serait sympa. La plus jeune, un peu suspicieuse lui répondit - Euh, ouais plutôt sympa dans le genre vielles voitures abandonnées remplies de rouille. Seulement... La jeune fille prit quelques instants pour réfléchir à sa question et reprit – Seulement, tu ne penses pas qu'on devrait partir, là ? Je veux dire on a pas vraiment le droit d'être ici et si les flics arriv...
Tout le groupe commença à la fusiller du regard. Omar, d'un ton agacé lui dit - Oh ! Lou, il faut toujours que tu casse l'ambiance avec tes doutes. Profite de l'instant présent pour une fois !
J’essayais de cacher sa tristesse, et répondit d'un ton fâché - D'accord ! J'ai compris, je vous ennuis !
Soudain, le groupe entendit un bruit de sirène. La police était en train d'arriver. Le gardien de la décharge avait dû les appelés en entendant le groupe parler. Tout les adolescents foncèrent tout droit en direction de la forêt, pour échapper au bruit strident des voitures de police. Au bout d'un moment ils tombèrent sur une impasse, qui tout en haut, avait un petit chemin. Il était quasiment impossible pour une seule personne, de pouvoir grimper la colline sans l'aide de quelqu'un d'autre. Les garçons, avec leur grande taille, montèrent en premiers, puis Alicia monta avec l'aide des garçons. La plus jeune était la seule à n'avoir pas réussi à grimper en raison de sa taille, mais personne dans le groupe semblait sans soucier. Désormais toute seule, elle entendit une voiture de police s'arrêter. De cette voiture en sorti une policière ayant le visage rouge de colère puis dit – On ne bouge plus !
La jeune fille se retourna et d'une voix blasée répondit à la policière – Salut, Maman.
Cette jeune fille c’est moi et il est peut être temps que je vous révèle mon vrai nom, car je ne me suis pas encore présenté. Je m’appelle Louane ou plus précisément Louane Faur, mais mes amis et ma famille préfèrent m’appeler Lou. Si je devais me décrire, je suis une adolescente, plutôt turbulente, de 16 ans ayant les yeux noisettes et des cheveux court, bruns et ondulés avec un petit dégradé de violet partant des pointes. J’ai une peau couleur caramel avec des tâches de rousseurs sur le visage, que je tiens de mon père mais vous n’avez pas besoins de connaître cette partie de mon histoire. En général je suis souvent habillée avec des jeans déchirés, des sweats portant des citations comme « Black is not sad. Black is poetic » et porte toujours les mêmes chaussures, des converses avec un motif écossais rouge.
À ce stade de ma vie, j’avais l’impression que tout partait en l’air mais je ne pouvais rien changé, j’en avais presque fait une routine, alors lorsque ma mère et moi montâmes dans la voiture de police, un climat glacial régnait entre nous deux et aucunes ne semblaient vouloir entamer une conversation, mais comme je le disais, c’était la routine.
Ma mère s'appelle Natasha, c’est une femme de 42 ans ayant les yeux bruns, les cheveux blonds en coupe carré et la peau blanche. Elle est considérée comme une très bonne policière, toujours prête à aider les gens et compatissante. En somme, tout le contraire de moi.
Je resta sur mon téléphone et ma mère continuait de fixer la route. Au bout d'un moment ma mère prit la parole et d'un ton fâchée, me dit – Bravo, Encore une chose de plus à ajouter à ton dossier judiciaire avec le vol des écouteurs à la Fnac et la dégradation des bouches d'incendies et tout ça en deux semaines ! Si tu crois que j'ai pas des choses plus importantes en ce moment.
Je faisais semblant de ne rien entendre tout en fixant mon téléphone.
Ma mère encore plus en colère par mon attitude continua d’un ton plus haut - Lâche ton téléphone, et écoute moi ! Tout en essayant de prendre mon téléphone.
En ayant assez des remontrances de ma mère j lui répondit - Si tu arrêtais de m'engueuler avant même que je puisse te répondre à chaque fois, je pourrais peut-être t'écouter !
- Déjà tu ne me parle pas comme ça ! Ensuite si je fais ça c'est parce que c'est les seul moyen que j'ai trouvé pour attirer ton attention ! Tu ne penses pas que j'ai des meilleures choses à faire que de te courir après ? Ou que j'en ai assez d'entendre les gens me dire, « t'as fille à volée ceci ou cela, elle s'est encore échappée de son internat ou tu devrais plus t'en occuper ». Je te ferais remarquer que pour une adolescente de 16 ans, tu as un dossier déjà très gros. Tu imagines comment ton grand-père penserait de toi maintenant ? Cette simple phrase, changea mon expression et le calme revint. Plus personne ne se parlait.
Il n’y avait pas trop de choses au monde qui pouvait me faire flancher à part peut-être mon grand-père Archibald. Après tout j’avais passé un long moment chez lui, pratiquement toute mon enfance et à partir de mes huit-ans, nous devions partir de chez lui et je ne pouvais lui parler que par téléphone. Ma mère ne m’en a jamais expliqué la raison. En tout cas vers mes onze ans, mon univers s’est effondré lorsque j’appris la mort de mon grand-père lors d’un accident de voiture. L’affaire a été classé comme étrange pour les policiers qui s’était trouvé sur les lieux, car certains éléments ne concordaient pas. Par exemple, un deuxième téléphone qui ne lui appartenait pas, Quelques traces de griffes sur l’une des portes ou la météo qui était assez clémente laissant une belle visibilité pour un conducteur.
« Peut-être un suicide » pensez-vous ? Je vous répondrais que cela est impossible, car ce soir là, juste avant sa mort, il m’appela et m’annonça qu’il allait rejoindre ma mère et moi pour que nous puissions vivre ensemble comme avant. Si il voulait se suicider ce serait étrange de me dire ça avant de mettre fin à ses jours.
En pensant à cela je reçu un message d'Alicia disant : « C'était génial ce soir ! on se refait ça une autre fois ? » Je lui répondit : « Ouais trop ! » Avec un smiley qui tire la langue, mais au fond de moi, je me sentait triste de savoir que personne n'avait demandé si ça avait été avec sa mère, alors que j’avais tout pris pour les autres.
Finalement la voiture arriva à notre appartement. Nous montâmes les escaliers en continuant de ne pas se parler. J’allais directement dans ma chambre et ma mère s'assit dans le canapé et regarda la télé pour oublier notre discussion.
Ma chambre ressemblait a une chambre d'adolescente typique. Les murs étaient recouvert d'un papier peint turquoise avec des motifs de fleurs blancs. Mon lit avait une couette et des oreillers avec un motif d'un attrape rêve dessus et se trouvait en face de la porte. Juste à côté du lit on y trouvait la table de chevet avec une lampe et un chargeur de téléphone. Enfin à l'opposé du lit il y avait la commode blanche où était posé des bijoux, du maquillage et un miroir.
Je m'allongea sur mon lit et commença à lire ce qu'il y avait d'écrit sur l'affiche posée en haut du mur à la tête du lit où on y voyait un chat se tenant sur une branche, Je relu le slogan de l'affiche : « Accroche, toi ! » et remarqua la date de fabrication de l'affiche et en soupirant dit – Cette affiche date de 1983 ? Le chat doit être mort depuis longtemps. En disant cela je fus encore plus abattu qu'au début, puis je me plongea dans les bras de Morphée.
Le lendemain matin, je me réveilla en me disant que cette journée allait être comme toutes les autres depuis que j’avais onze ans, à savoir : moi qui allait sécher les cours, ensuite aller rejoindre mon groupe « d'amis » et enfin ma mère qui viendrait me rechercher à la fin de la journée. Je ne savais pas vraiment pourquoi je faisait ça ? Peut-être que mon attitude avait un rapport avec mon passé, mais comment le savoir ? Ce n'était pas vraiment le genre de chose dont je voulais partager avec mon entourage.
Mais cette journée allait être différente. Quand j’eus le courage de sortir du lit, je me dirigea vers la cuisine pour préparer mon petit déjeuné. Je fus très surprise quand je vis ma mère dans la cuisine semblant m'avoir attendu depuis un certain moment. Je ne prêta pas trop attention à ma mère et alla directement me chercher un bol de céréales et parti, mais avant d'atteindre le palier de la porte de la cuisine, ma mère prit la parole – J'ai quelque chose d'important à t'annoncer Lou. Ça fait un certain moment que j'y pense et ce qui s'est passé hier, m'a convaincu que je devais le faire. Nous allons retourner à Villeneuve.
À ces mots, cela me remémora quelques souvenirs. Villeneuve était l'endroit où mon grand-père, moi et ma mère vivions. Quand j’étais jeune, j’adorais passer du bon temps avec mon grand-père, mais tout ça c'était il y a cinq ans et plus important, c'était avant l'accident. Je lui répondit – Fait comme tu le sens. De toute façon même si je ne voulais pas, tu le ferais quand même. Puis je reparti dans ma chambre, attendant que la vie reprenne son rythme habituel.
3 mois avaient passés quand fut le jour du déménagement. Moi et ma mère nous dirigeâmes en voiture vers Villeneuve, une petite ville d'environ deux-mille-cinq-cent habitants où tout le mondes se connaissaient plus ou moins. La ville était surtout connue pour des phénomènes paranormaux. Nombre de fois des habitants disaient que des objets disparaissaient, que l’on pouvait entendre des bruits étranges, certains parlait même de créatures paranormales qui venaient la nuit, mais pour la majorité des habitants ce n'étaient que des histoires pour attirer plus de personnes dans la ville.
Nous arrivâmes enfin à l'entrée de Villeneuve. Ma mère remarqua en regardant sur le GPS que la ville n'était pas indiquée et m’en fit la remarque – Tu as vu le GPS ? Cette ville est tellement perdue au milieu de rien que même le GPS ne la trouve pas.
Je ne répondis pas. Ma mère essayait juste de communiquer avec moi, sans que l’une d’entre nous ne finisse par crier sur l’autre.
Nous parvînmes devant la maison de mon grand-père et ouvrîmes la porte. La maison avait une façade en bois. La première chose qu'on voyait en entrant était le salon avec le canapé, la télé, la petite table basse et une grande lampe. Le salon partageait la pièce avec la cuisine, les deux étaient séparé par un petit muret en brique rouge. Il y avait aussi un couloir où sur chaque côtés se trouvait deux portes. Sur le côté gauche, il y avait l'ancienne chambre de ma mère et la mienne juste à côté. Sur le côté droit se trouvait l'ancienne chambre et le bureau de mon grand-père. Au fond du couloir se trouvais un tableau où l'on y voyait un château du style gothique et des personnes marcher dans la cour.
Je me disais que rien n'avait vraiment changé en cinq ans, hors mis que les meubles étaient recouvert de draps blancs. J’allais dans mon ancienne chambre et déballa mes cartons de déménagement.
Ma mère fit la même chose dans la cuisine.
Après avoir déballée quelques cartons, Ma mère reçut un appel de l'unité de la police de Villeneuve. Elle alla me voir et me dit – La police à besoin de moi pour un remplacement. Je vais rentrer tard ce soir et si tu as faim j'ai acheté de la pizza, elle est dans le frigo. Je faisait comme si je n'écoutais rien, ce qui déçu ma mère qui parti juste après, sans un « au revoir » de ma part.
Après que ma mère fut parti, j’eus un léger regret, mais à peine pensais-je à ce qu'il venait de se passer qu'une panne d'électricité est survint dans la maison. Mon téléphone n'étant pas chargé, je chercha à m'occuper et fouilla dans les cartons de déménagement. Dedans, je ne trouva rien de bien intéressent, hors mis les livres que mon grand-père avait écrit il y a bien longtemps, s'intitulant L'école des Monstres, en le prenant dans mes mains je me disait tout haut « J'ai rien de mieux à faire de toute façon », tout en en commençant a entamer le premier tome et lu tout haut :
Tome 1 : Chers lecteurs, chères lectrices il y aura toujours un moment dans ta vie où tu sera jugé comme étrange par les autre,  pourtant il existe  un lieu où tu pourrais te sentir en sécurité, à l'abri des regards indiscrets. Cet endroit s'appelle L'école des monstres, tu pourrais y faire la rencontre de personne ayant la même particularité que toi ou des créatures encore plus incroyables comme les trolls, les dragons, des loups-garous... Là-bas tu seras accueilli par Méduse, la directrice de cette école, Elle te tendras la main et fera en sorte que tu t'intègre bien avec les autres élèves. Ne pense surtout pas que le mot « Monstre » soit péjoratif. En fait il s'agit d'un anagramme représentant toutes les catégories de monstres existantes : M, les maudits O, les oracles N, les natifs S, les sous-marins T, les transformistes R, les rares E, les expérimentaux S, les spectres Si tu te demande comment y entrer ? C'est très simple, il te suffit de réciter l'incantation : " Bonum de ente te semper est"
En récitant cette incantation je sentais que quelque chose d'étrange était arrivé dans la maison mais j’oubliai très vite ma pensée en voyant que le courant était revenu au même moment. Je reposa le livre et me remit sur mon téléphone dès que la première barre de chargement ne fut arrivée.
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taroneledopeemcee · 5 months
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Yow, je sais bien que vous allez vous jeter sur le Isha/Limsa (moi aussi) et peut-être d'autres trucs car ce vendredi est riche en belles sorties. Mais avant tout ça, consacre un peu moins de 3 petites minutes au duo que t'ignorais qu'il te fallait ! Passe-passe ciselé rempli à rabord de bonnes phases. On n'est pas tout seuls, en plus de @sixomasterflow et moi au micro, retrouve une prod boom bap lourdissime (et Mix/Master) de @crystalcaminobeats , des scratches assassins de la machine à skillz @djbust , et Dope cover de @daex ! Écoute/partage/like/commente, tsé bien on en a plus besoin que l'autre super duo du jour. Let's go !!!
>>>>> Tar One Ft Sixo Master Flow - Omerta sur YouTube ou les plateformes de streaming
Tar One ft Sixo Master Flow - Omerta Lyrics
J'me suis baigné dans toutes les rivières mais c'est dans un verre que j’vais finir par me noyer
Là j’suis en feux ça y est, je n'ai plus le temps, j’ai pas de montre au poignet
Plutôt du côté cailleras et voyous que flics et douaniers
Balancez moi des lacrymo j'adore le poivre de Cayenne
Du Rap ils s’amourachent, moi accro comme à la samouraï
Trouve ça pourrave qu’il soit dans les mains de Saroumanes
Ils saoulent comme Sambuca mais on les graille comme Samoussa
Ce game est comme toi si tu testes : plein d’sales trous d’balles !
Avant c'était NTM ou c'tait IAM
Maintenant c'est MDR tous des swagg man
Tu m'déçois grave comme un vegan qui craque et s'bouffe des toast de foie gras
Mon arme est linguistique tout comme les malfrats
Quand j’fais ça j’me marre bien
Cracheur de feu mais pas genre Punk à chien
Dans le cahier gratte, comme Diego marque de la main
Comme mes sapes, l’arrogance me va bien
Très Gros tatane à la Jason Statham
Toujours en feux toujours chaud patate
Trop badass trop ratal OH l'bâtard
J'ai ma cons ma came ma grosse matraque
Retournerai pas ma veste comme Marlène Schiappa
Me relève malgré la poisse comme Boogie, Klay, Isiah
On met ta team à l’amende, surplombe comme Himalaya
Pour la fraternité on milite mais c’est pas l’Hymne à la Joie
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Tu t’avances si tu t’avances, j’m’en branle, fais de même
Si je recule, c’est pour te mettre un fade away
Vrai de vrai, mets tas d’claques avec élégance
Comme éléphant j’attaque même avec mes défenses
J'porte pas d'or ma caille
pas de bling bling mais j'big up mes gars qui porte des portacath
Fin d'soirée faudra qu'on me porte à 4
J'porte mes couilles comme Batman porte sa cape
Rimes, patterns, Big Faya, divine Vibe, ça j’aime
Passe-passe, on s’passe parole comme Frisbie, Yves Van Laetem
Big Beat, kickage, pas d’thème
Évite les pièges comme Bip-Bip, j’kiffe ça Gaddamn !
Ici pas de costard cravate, pas de grosse star, sauf Rapsat et Green Montana
Donc on brise ton cadenas
Fiston pars là-bas
Évitons l'carnage
Vire ta zik de carnaval
On est la crème de Verviers et de tout c’merdier
J’suis fier du p’tit frère, un killer comme Berthier
Tue comme grosse Bertha, on fait la paire, fils : Homer-Bart
Te réduit au silence comme Omerta
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verver · 10 months
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TUMEURS URBAINES
Épisode 25
Le lendemain dans la salle de réunion au commissariat, un collègue de Ray lui dit :
- ça ne m'étonne pas que tu fasses équipe avec Ginette
- pourquoi ? demanda Ray
- Elle est pas mal Ginette !!
- peut-être mais Blotin est en congés
Puis les collègues prirent la parole pour faire le point sur leurs enquêtes.
Un des flics exposa clairement les résultats sur l'université et la salle des ordinateurs.
Il nous a fallu remonter plusieurs mois en arrière pour trouver des activités sur ces postes , des mouvements intenses sur ces deux ordinateurs que les contacts et des échanges entre une personne et des hommes mariés ou célibataires sur un site de rencontres dont le but était d'avoir des relations sexuelles.
Un étudiant qui avait prit des selfies dans la salle leur avait montré les photos . Sur celles-ci, les flics avaient repéré une fille qui correspondait aux signalements donnés par les témoins, ils firent circuler les photos de l'individue.
Un autre groupe que Ginette avait délégué, revenait avec des clichés des caméras de la gare et du parking , il s'agissait bien d'une fille.
Ray soulagé souffla .
- enfin des résultats murmura Ray à l'oreille de Ginette
- il était temps ! dit-elle
Elle lui pressa la main discrètement. Ray intervint pour les remercier et les felicita pour leurs résultats d'enquête et qu'il prenait la suite avec sa collègue pour cueillir la fille.
Le divisionnaire intervint pour leurs indiquer que toutes ces heures seraient payées en heures supplémentaires.
Applaudissements dans la salle . Santenax n'était pas mécontent de son effet.
Ray assis derrière son bureau lisait une fiche où figurait le nom et l'adresse de la suspecte, une photo de celle-ci venant d'une arrestation antérieure ainsi qu'une précision assez curieuse, cette jeune femme quelques temps auparavant avait eu la visite de ses collègues pour le décès de son ami Michel ,décédé au domicile suivait une adresse et évènement encore plus curieux, les parents de ce jeune homme étaient ceux qui avaient été assassinés sauvagement quelques temps après.
Ray se fit confirmer toutes ces nouvelles puis il téléphona à Ginette.
Enthousiasme, elle lui dit qu'ils avaient le temps de lui rendre une petite visite.
- ouais ! il faut battre le fer pendant qu'il est chaud
Ils s'installèrent dans la bagnole, Ray embrassa sa collègue avec fougue et démarra en trombe.
Ray se gara devant une résidence cossue , ce genre d'immeuble tranquille, pas haut , pas grand et situé dans une rue calme.
Sur le palier deux portes , des petites tables ornées de vases avec des fleurs coupées. Ginette appuya sur un bouton , une légère sonnerie brisa le silence feutré qui régnait dans le couloir.
La porte s'ouvrit , une jeune femme qui n'était manifestement pas Ava apparue,
- oui ?
ils se présentèrent en montrant leurs cartes de police.
Ils demandèrent à voir Ava.
- Elle n'est pas là !
- Elle est où ? demanda Ray
- à l'université
- On peut entrer ? dit Ginette on à quelques questions
La jeune femme les fit entrer, assis dans un canapé dans un vaste salon , Ray lui demanda ce qu'Ava faisait comme études.
- psycho- criminologie
Ray siffla et lui demanda à quelle heure elle revenait , la jeune femme ne savait pas.
Ils s'informèrent du nom et prénom d'Ava et si elle avait bien eu un ami nommé Michel...
La jeune femme avait répondu par l'affirmative.
Ils posèrent des questions sur ses fréquentations, si elle connaissait les hommes du site , si Ava en avait rencontré beaucoup.
Anna ne connaissait que Michel. Ils prirent congé d'Anna en la remerciant. Sitôt les flics sur le trottoir, Anna appela Ava via une messagerie cryptée.
- qu'est-ce que tu as foutu ? les flics sortent d'ici ils m'ont questionné pendant plus d'une heure
- j'ai rien fait ! rétorqua Ava
- ces qui tous ces mecs ?
- rien ! je les ai buté !
- t'appelles ça rien !
- qu'est-ce que t'as dit aux flics ?
- rien ! j'ai dit qu'on partageaient l'appartement et que chacune s'occupait de ses affaires.
- t'as bien fait...
- qu'est-ce que tu vas faire ? lui demanda Anna
- je vais me tirer ! je ne veux pas finir en prison
- Pourquoi les parents de Michel ?
- écoute Anna ! pour moi ils étaient responsables si Michel avaient des problèmes
- Oui ! mais de là à les buter !
- cela m'a pris comme ça !
- je ne te juge pas ! tu aurais pu m'en parler
- je sais Anna ...j'aurais dû
Elle reprit d'une voix chevretante et visiblement émue :
- Tu sais Anna je pars et si l'on ne se revoit pas , sache que je t'apprécie beaucoup Anna ...quand ça ira mieux je te donnerai de mes nouvelles ... enfin s'il y'en a !
- Ava...murmura Anna en pleures
- raccroche Anna ! ne pleure pas !
- ...
- ne pleure pas ! je raccroche
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belifii · 1 year
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Un commissariat de police de Val-de-Marne attaqué au mortier d'artifice (France). Une Image tirée d'une vidéo postée sur le compte Twitter @LeCapricieux94 montrant le commissariat de Champigny-sur-Marne cible de tirs de mortiers d'artifice dans la nuit du 10 au 11 octobre 2020. L'attaque d'un commissariat en banlieue parisienne samedi soir par une quarantaine de personnes qui ont tiré des mortiers d'artifice, sans faire de blessés, a déclenché un vif émoi chez les policiers français et les foudres de l'opposition de droite qui appelle à la fermeté. Commissariat de police attaqué au mortier d'artifice Deux agents étaient devant le commissariat de Champigny-sur-Marne en train de fumer lorsqu'une quarantaine de personnes, visages dissimulés et armées de barres de fer, sont arrivées, cassant notamment des vitres de véhicules de police et la porte vitrée de l'entrée, selon une source policière. Les deux fonctionnaires ont tout juste eu le temps de se mettre à l'abri dans le sas de sécurité de l'entrée du commissariat. Les incidents ont débuté peu avant minuit et se sont achevés une heure plus tard. Huit mortiers ont été retrouvés non loin, a indiqué la préfecture de police de Paris. Le commissariat a été "attaqué parce qu'il y a une guerre de territoire sur le sol de la République et parce que nous sommes en reconquête: nous imposons la présence de la police partout (...), qui doit notamment lutter contre les trafics de stupéfiants", a déclaré le ministre de l'Intérieur, Gerald Darmanin. Il a dénoncé "des actes d'une grande sauvagerie", de la part de "caïds", de "voyous", venus pour "casser les symboles de la République" et "casser du flic". A lire aussi  Indignation en Tanzanie après un accouchement dans un Commissariat Un syndicat de police, Alliance, a aussitôt dénoncé cette attaque. "Il est grand temps que le gouvernement se saisisse des violences commises contre les forces de l'ordre (...) Plus personne ne respecte les forces de l'ordre et le gouvernement n'a pas réussi malheureusement à inverser cette tendance", a réagi son délégué général, Frédéric Lagache. Cette attaque survient alors que le pays est sous le choc de l'attaque très violente, mercredi soir, dont ont été victimes deux policiers passés à tabac et blessés par balle en région parisienne alors qu'il étaient en mission. D'après une source proche de l'enquête, le policier le plus gravement blessé est dans un état stable mais toujours en coma artificiel. Le président Emmanuel Macron recevra jeudi les syndicats de policiers. En avril, ce commissariat, le seul de cette commune de plus de 77.000 habitants, avait déjà été la cible, à une moindre échelle, de tirs de mortiers d'artifice mais "c'était juste des jeunes qui avaient du mal à vivre le confinement", selon le maire de la ville Laurent Jeanne (droite). un commissariat de police attaqué au mortier d'artifice "Là, on est sur quelque chose de complètement différent: on a voulu attenter à l'intégrité physique de deux policiers", a estimé l'édile, disant sa "sidération" face à ses actes. Les mortiers d'artifice, des engins pyrotechniques utilisés par les professionnels des feux d'artifice, sont de plus en plus souvent détournés par des délinquants pour s'en prendre aux forces de l'ordre. Ils sont composés d'un cylindre en carton et d'une charge explosive. "En utilisation normale, il est planté au sol et tiré en l'air. Mais les voyous s'en sont emparés pour faire une arme par destination. A tir tendu, il peut blesser quelqu'un et en pleine figure", explique à l'AFP Rocco Contento, porte-parole du syndicat Unité SGP. Le ministre de l'Intérieur a affirmé dimanche sa volonté d'interdire par la loi leur vente au public. L'opposition de droite a demandé une réaction forte du gouvernement. "Ces scènes de guerre sont intolérables", pour Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France. La présidente du Rassemblement national (extrême droite) Mar
ine Le Pen a, elle, appelé à "un tour de vis absolument considérable sur la criminalité" et à "réarmer moralement" les policiers. Une série de faits divers violents visant des policiers a réancré depuis cet été la question de l'insécurité dans le débat politique français, à environ 18 mois de l'élection présidentielle. Selon une étude publiée en novembre 2019 par l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), la police nationale française a recensé 12.853 agents blessés en 2018, en hausse de près de 16% par rapport à 2017. Dans 11% des cas (contre 8% en 2017), les blessures ont été faites à l'aide d'une arme (à feu, blanche ou par destination).
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topicsfromatoz · 1 month
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ALAIN DELON È MORTO ALL'ETÀ DI 88 ANNI
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Alain Delon, una figura leggendaria del cinema francese, è morto all'età di 88 anni, come riportato dai media francesi, citando i suoi tre figli. L'iconico attore è morto nella sua casa di Douchy, vicino a Parigi. Delon è stato una forza dominante nel cinema francese e internazionale, soprattutto negli anni '60 e '70. Ha raggiunto una vasta fama con il suo ruolo ne Il Gattopardo (1963) di Luchino Visconti, ma è stato il suo ritratto di un solitario sicario in Le Samouraï (1967) di Jean-Pierre Melville a consacrarlo come icona cinematografica. La sua persona fredda ed enigmatica, combinata con il suo aspetto affascinante, lo ha reso una presenza costante in numerosi film polizieschi e d'avventura. Tra questi La Piscina (1968), un thriller psicologico teso, e Borsalino (1970), dove ha recitato accanto a Jean-Paul Belmondo. Delon ha continuato a brillare anche in film successivi come Parole de Flic (1985), dimostrando il suo fascino duraturo. Nel 2019 è stato insignito della prestigiosa Palma d'Oro alla carriera al Festival di Cannes, in riconoscimento del suo contributo al cinema lungo decenni. La scomparsa di Delon segna la fine di un'era nel cinema francese, lasciando un'eredità di interpretazioni indimenticabili.
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Alain Delon, star del cinema francese, attore di Le Samouraï, Il Gattopardo, cinema degli anni '60 e '70, vincitore della Palma d'Oro, Festival di Cannes, icona francese, film polizieschi, storia del cinema, cinema europeo, Douchy vicino a Parigi, media francesi, La Piscina, Borsalino, Parole de Flic, eredità cinematografica, Jean-Pierre Melville, Luchino Visconti, figura seducente, persona solitaria, morte di Alain Delon, attore leggendario, cinema del XX secolo,
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lesombresdeschoses · 1 year
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KISS YOU IN THE RAIN
Une pluie diluvienne abreuvent les rues de Londres, depuis plusieurs heures. Sans répit. Les lumières nocturnes jouent avec les multiples gouttes d’eau, leur donnant l’aspect d’une nuée de petits diamants, rubis et saphirs perlant l’atmosphère du ciel au sol. Law sort du taxi, puis court vers une rangée de maisons mitoyennes en briques rouges. Elle sonne à la porte. Une voix féminine se fait entendre :
— J’ouvre, chéri ! lance la jeune femme, joignant le geste à la parole.
Une belle plante d’un mètre soixante-quinze, à demi-nue, des cheveux roux ondulés tombant sur les épaules, se tient devant l’ex-flic.
— C’est pour toi, je pense, mon chou, crie-t-elle en scrutant Mortensen, des pieds à la tête. Trempée, tel un chat de gouttière aspergé par une voiture passant dans une flaque d’eau. Mac apparaît aux côté de la nymphette.
— En effet, c’est pour moi, Candice.
— Bon, bah, je vous laisse. Soyez pas trop long, on n’a pas fini notre séance de massage, lance la belle, lui faisant un clin d’œil lascif.
Law entre en le poussant.
— Et tu restes planté là comme un con ! Tu veux que je me noie ? Aboie-t-elle, passablement agacée : toujours à sortir avec des strip-teaseuses qui me ressemblent, t’as jamais pensé à consulter ?...
Elle se rend dans la cuisine. L’inspecteur la suit, habitué à ses piques et sa mauvaise humeur :
— Un whisky ? demande-t-il.
— Volontiers, très cher.
— Pour que tu passes à l’improviste comme ça, c’est que la fin du monde est proche. Qu’est-ce qu’il y a de si urgent ?
Law sort l’agenda rouge de l’intérieur de sa veste, le pose sur la table, puis en profite pour se déshabiller.
— Je laisse le jean, on va pas refaire la même connerie, lance-t-elle, impassible. T’as un T-shirt à me prêter ?
— Attends.
Mac file dans sa chambre. Il revient avec une chemise kaki.
— T’as ce genre de trucs dans ta garde robe ? Ah, bah merde, qui l’eut cru ? s’esclaffe-t-elle, un brin ironique.
— Accouche, maintenant.
— Oui, c’est vrai, tu as un massage spécial qui t’attend, elle prend une gorgée de whisky : alors, voilà. Cet agenda rouge, c’est celui de ma grand-mère.
— Quoi ? s’exclame l’inspecteur, abasourdi, pensant que l’enquêtrice lui parlerait de l’affaire.
— Oh là, attends la suite ! Y’a pas que Nana qu’a écrit dedans ! Et là, tu vois, mon imagination n’arrive plus à suivre. Je ne percute pas comment plusieurs personnes peuvent tenir le même journal intime.
Mac se frotte le menton nerveusement. Law reprend le carnet pour le tendre à son collègue :
— J’ai tout lu, à toi maintenant. Je pense qu’un œil neuf pourra jeter la lumière sur cette foutue énigme. On sait que Siobhan à été reliée à notre affaire par BlackHole. Et je trouve ce bouquin dans son appartement. J’ai l’impression que le gars s’approprie cette disparition pour qu’on n’arrive pas à trouver comment il fait. Une vingtaine de victimes et seulement deux cadavres ! Deux morts naturelles. Votre légiste à du boulot en dehors des miettes que nous laisse de BlackHole, au moins ?
— Ne t’inquiète pas pour lui. Il y a assez de crimes à Londres, pour combler ses nuits, lance Mac, pensif. Tu veux que je le lise, ensuite que je te dise ce que j’en pense par rapport à l’enquête, c’est ça ?
— Exact. Je savais que tu avais un cerveau sous ces beaux cheveux blonds !
Law enlève la chemise, puis remet ses fringues mouillées.
— Tu pouvais garder la chemise.
— Pour qu’elle finisse trempée ? Inutile, il pleut toujours autant, fait-elle en regardant par la fenêtre. Je vais appeler un taxi. Un dernier pour la route ?
La détective tend son verre. Mac lui verse une bonne dose et fait de même pour lui. L’attente n’est pas longue, Lawrina prend congé de son coéquipier d’infortune, sans demander son reste. Mac referme lentement la porte.
— Ça y est, elle est partie ? s’écrie Candice de la chambre à coucher.
L’inspecteur retourne dans la cuisine récupérer l’agenda rouge, puis s’installe dans le canapé du salon.
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mysteriis-moon666 · 2 years
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MASSGRAV - Slowly We Rock
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Les rois du räwk'n'roll de Suède reviennent secouer la powerviolence avec un surf atomique !!
« Slowly We Rock », mais purée de petit pois sec, ce clin d’œil cynique au «  Slowly we rot » d'Obituary n'est que la surface immergé de l’iceberg. La secousse de Massgrav c'est «  Fuck D-Beat play fast »
Voici un putainnnnnnnn de skeud avec le sang du Black n' Roll/Speed Metal  du duo de l'ohio Midnight, et l'avalanche des maîtres nageurs du grind Napalm Death.
Quelle est la différence entre un thermomètre anal et un thermomètre buccal ?
Le goût !
Massgrav lance son choc sonique et bestial avec le désir d’invoquer le rock’n’roll comme première saveur à ses secousses. Ce disque vient se glisser par l'embrasure de tes fortifications, se faufile dans les douves et remonte par des ondes violentes d'émotion agressives et intimes. Tu trouveras ce souffle de violence pure via les labels Selfmadegod Records et Vinyl chez Lixiviat Records.
Depuis plus de 20 ans, MASSGRAV est une constante sur la scène musicale extrême suédoise. Enraciné dans la tradition hardcore scandinave des années 80 et du début des années 90, le groupe a avancé pour tracer son art brut armé de punk hardcore stop-and-go plus rapide qu'une baise défouloir.
Enregistré par Robert Pehrsson au Studio Humbucker et masterisé par Dan Randall de Mammoth Sound, le cœur de MASSGRAV sera toujours un pétage de plomb électrisant, avec toute la férocité scandi-thrashy qui s'électrocute, et les paroles traiteront toujours de problèmes comme les patrons, les politiciens de droite, les flics, les riches et la soi-disant « scène ».
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lazyrebel · 2 years
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Acharné, me faut des sous, bosser j’suis pas fou, je passe mes journées au poste dans un spot écarté de la commune, caché derrière un clavier tâché de graisses, mes doigts tapent ma frustration du jour sans cesse, 3 ans que mes espoirs baissent comme un gratin au four, j’ai l’air cool ouais frère dans ma tête c’est la galére, 50 ans et plus savoir quoi faire avec une vie de fonctionnaire, vie de merde pour un beau salaire, de l’argent sale en somme, j’achète et je consomme pour ne pas penser des dés au lendemain, faut laisser-donner et rester pur et serein, enfin... l’homme de la comm, jamais de téléphone, l’ennuie d’automne, manque de sucre, pas de pitié pour les putes, zut, merde, fuck, shit, damn, besoin d’une nouvelle énergie, dans cette putain de vie faut que tu gardes ton esprit positive pendant que les flics ils tuent, les politiques ils puent et les paroles, ah les paroles, ça veut plus rien dire maintenant, pendant que la terre se fait polluer et la publicité continue à te vendre des voitures fabriqués en Chine, les mille et une puits de carbon, feu au charbon, tout est noir mais je vois des blancs partout, plus rien à dire, plus rien à vivre, deux jours sans alcool et je vire dans des délires de 4, 5, 6, 7 verres chaudes au gingembre-citron par jour, c’est bon mais pas encore assez, à franc-parler mon body change mais mon cœur a toujours ce besoin de s’évader, partir loin de cette sosie-société, ou juste prendre deux jours de congé, qui sait, faut tenir le coup dans ce game… Faut tenir le coup dans ce game ou tout laisser tomber? Quinze minutes avant la fin, dans un quart d'heure j'irais pointer pour ne pas rater mon rendez-vous journalier avec ma mémoire d’eau, ma maitresse, la piscine froid ou chaud, elle m’attends et elle s’appelle FLOW.  🎭 🍌 #pierrecitron #lazyrebel (at Ixelles) https://www.instagram.com/p/CnhbMv4tkcWtOJ5DSkrK_Q2SQ4OwK77iGHyQ5g0/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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semena--mertvykh · 2 years
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Où notre héroïne a un gros béguin
Samedi soir à boire des mojitos avec Valérie, à Savigny-sur-Orge, en pleine vague de froid.
Savigny, ses richesses architecturales, son rayonnement culturel.
On a trottiné dans la nuit et les néons laiteux jusqu'au seul bar un peu classe du coin, pour le plaisir de se répéter la vanne immortelle de Lolita : "Heureusement qu'il y a du brouillard, çà cache un peu les crétins qui vivent ici".
Je voulais lui parler de cette histoire avec les boulets de la classe, qui me tombe sur le pied au moment où j'en ai le moins besoin ; et puis finalement, on s'est retrouvées à parler de Prof Sexy toute la soirée. Elle est heureuse en ménage et les fixettes de célibataires doivent lui rappeler des souvenirs.
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Le calcul que je traînais dans les reins, depuis l'après-midi, irradiait d'heure en d'heure, et elle m'a proposé de rouler un spliff en sortant. Elle a insisté pour qu'on le fume dans la voiture - "Thierry va me prendre la tête sinon" - alors on est restées devant son pavillon, dans sa petite rue transie, à attendre que çà fasse effet et que je puisse reprendre la route. On voit bien que ce ne sont pas des pavillons riches qu'il y a dans sa rue, certains ressemblent même plutôt à de petits immeubles mitoyens ; mais enfin, c'est déjà quelque chose. Une jardinière sur la façade de devant, un jardinet-couloir derrière : le début de l'accession à la propriété. On déglutissait, chaque fois qu'on tirait sur le cône, parce qu'elle l'avait bien chargé, et on soufflait la fumée par les vitres entrouvertes.
On essayait d'imaginer avec quel genre de fille Sexy était maqué. Val le voyait avec une bourge toute refaite de partout, le genre "Grande connasse, blonde en carton, les nichons sous le menton et le chihuahua dans les bras, genre le clébard il pose jamais les pattes par terre". J'ai dit que je le voyais bien cerné par des tas de doctorantes jeunes et sexy qui se battaient à coup de tablettes, en mode Matrix, pour obtenir une audience avec lui. Je sais pas si c'est les mojitos ou le THC, mais visualiser la scène nous a bien fait marrer. On a convenu ensuite que la réalité devait être un mix des deux.
Après, on a essayé de se mettre d'accord sur la chanson à lui envoyer pour lui faire comprendre mes intentions - des chansons de Q, évidemment. Les grandes idées humaines ne naissent jamais après un verre de jus d'orange. Elle voulait que je lui donne son mail pour lui envoyer le clip de Fatal Bazooka
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Je lui ai dit que c'était un message subtil mais que, si elle voulait coller à ma réalité, il valait mieux lui envoyer les paroles de Hey Lover, de LL Cool J.
Elle m'a encore proposé de dormir chez eux, mais je savais que j'allais être réveillée à 7h par leur bouledogue - rebaptisé le Chien Le Plus Con De La Planète depuis qu'il avait essayé de s'accoupler avec un kilo de pommes de terre en filet ; et encore après, à 7h30, par Enzo, leur fils de cinq ans. Je n'avais pas envie que : "Vas-y casse-toi le chien" sois la première phrase qui sorte de ma bouche un dimanche matin. Je ne sais pas pourquoi tout ce qui est en état de marche, à 7h, dans cette maison, n'a rien de mieux à faire que de venir étaler ses jouets gluants sur mon oreiller.
En rentrant, j'ai reçu le sms de Valérie qui me demandait si j'avais croisé des flics sur la route. Je lui ai écrit que tout était ok, que je gardais mon permis. Sa réponse m'a collé le sourire d'une oreille à l'autre :
"NEVER EVEN THOUGHT. MURRAY HEAD !!! "
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La Sorgue - Paroles et musique de Léo Ferré
La Sorgue – Paroles et musique de Léo Ferré
LA SORGUE – PAROLES ET MUSIQUE DE LÉO FERRÉ Je suis le tapin de la luneSur le macadam à GreenwichEt mes jupons troués de lunesSe retroussent devant l’anglich Je suis la copine à radarCe curieux ce flic ce voyeurEt chaque fois qu’il est de quartJe me mets à poil sans pudeur Je suis la plage d’océanOù je compte des grains de sableQue je refile à un marchandEn société avec le diable Je suis la…
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arvernois · 2 years
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Marc WASTERLAIN Paroles de la chanson Le Mauvais Sujet Repenti Elle avait la taill' faite au tour, les hanches pleines, Et chassait l' mâle aux alentours de la Mad'leine... A sa façon d' me dir' : "Mon rat, est-c'que j' te tente ?" Je vis que j'avais affaire à une débutante... L'avait l' don, c'est vrai, j'en conviens, l'avait l' génie, Mais sans technique, un don n'est rien qu'un' sale manie... Certes, on ne se fait pas putain comme on s' fait nonne. C'est du moins c' qu'on prêche, en latin, à la Sorbonne... Me sentant rempli de pitié pour la donzelle, J' lui enseignai, de son métier, les p'tit's ficelles... J' lui enseignai l' moyen d' bientôt faire fortune, En bougeant l'endroit où le dos r'ssemble à la lune... Car, dans l'art de faire le trottoir, je le confesse, Le difficile est d' bien savoir jouer des fesses... On n' tortille pas son popotin d' la même manière, Pour un droguiste, un sacristain, un fonctionnaire... Rapidement instruite par mes bons offices, Elle m'investit d'une part d' ses bénéfices... On s'aida mutuellement, comme dit l' poète. Elle était l' corps, naturellement, puis moi la tête... Un soir, à la suite de manoeuvres douteuses, Elle tomba victim' d'une maladie honteuses... Lors, en tout bien, toute amitié, en fille probe, Elle me passa la moitié de ses microbes... Après des injections aiguës d'antiseptique, J'abandonnai l' métier d' cocu systématique... Elle eut beau pousser des sanglots, braire à tue-tête, Comme je n'étais qu'un salaud j' me fis honnête... Sitôt privé' de ma tutelle ma pauvre amie Courut essuyer du bordel les infamies... Paraît qu'ell' s' vend même à des flics, quelle décadence ! Y a plus d' moralité publique dans notre France... GEORGES BRASSENS https://www.youtube.com/watch?v=IhqKkWJXOu0
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peregrinaworld · 2 years
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ALAIN DELON PAROLE DE FLIC EXTRACTOS (LAY DOWN ON ME - MIGUEL BOSE)
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