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Promenades d’été
Joseph Mallord William Turner. The Blue Rigi: Lake of Lucerne - Sunrise, 1842.
Hier c’était l’anniversaire de la naissance de Judith Gautier.
En feuilletant ses critiques d’art pendant les dernières années, je suis tombé sur ses Promenades d’été en Suisse qui ont paru chez La Liberté et Le Parlement. J’aime particulièrement les fragments II et III du 24 août 1869 (d’où le partage). Il s’agit d’une description fort jolie (et assez fantaisiste) de Lucerne plus une super anecdote sur la fête fédérale de tir à Zoug avec le cher Villiers de l’Isle Adam.
II. Lucerne
Vous est-il jamais arrivé de regarder le soleil en face et de vouloir ensuite lire votre journal ? Une flamme s’interpose entre vos yeux et le papier, les caractères se mettent à gambader et les lignes s’embrouillent si adroitement qu’il vous est impossible de savoir lequel, de M. Rochefort ou de M. Devinck, n’a pas été élu.
Nous avons éprouvé quelque chose d’analogue dès notre arrivée sur les bords du lac des Quatre-Cantons. Une préoccupation unique s’est emparée de nous et s’est continuellement dressée entre nos yeux et le paysage; de sorte qu’après avoir passé quinze jours à Lucerne, nous ne connaissons pas plus cette villa que nous ne connaissons Pékin.
Lorsque nous considérons la chaîne du Righi, c’est l’inaccessible et brillant mont Salvat que nous croyons voir. Si nos regards se tournent vers le rocheux Pilate, son faite étrangement découpé nous semble le château où sont conduits les héros morts en combattant la divine Walhalla taillée par les géants; et le vieux pont de Lucerne, avec ses peintures bariolées, nous paraît être l’arc en ciel, courbé d’un mont à l’autre, sur lequel marcha le dieu Votan pour atteindre sa nouvelle demeure. Si, étendu dans une mince gondole, nous regardons glisser sur l’eau claire du lac un cygne qui rôde amicalement autour de nous, il nous est impossible de ne pas voir sur ses ailes de neige un cordon d’or qui tire une nacelle, et dans la nacelle apparaît sous sa cuirasse étincelante, Lohengrin, chevalier du Saint-Graal, champion de l’innocence. Lorsque, dans les brumes du lointain, se montrent la proue et le mât d’un steamer, nous rêvons aussitôt d’Iseult conduite par Tristan vers les rivages de Cornouailles; et dès que l’incendie du couchant flamboie sur les montagnes, nous nous souvenons du fleuve de feu répandu, pour protéger son sommeil, autour de Brünnhilde, la Walkyrie superbe, pour longtemps endormie dans son armure.
Donc nous avons une idée très inexacte des choses que nous avons vues et nous ne pourrions en parler sans de graves dangers d’erreur, frappé d’éblouissement comme nous le sommes. Cependant, si on nous demandait notre avis sur Lucerne, nous affirmerions que cette ville n’a pas son égale au monde !
Les lignes qui précèdent sont peut-être une énigme ? Mais nous savons le lecteur trop intelligent pour craindre un instant qu’il n’en devine pas le mot.
III. Trente mille carabines
Zug ! Nous crûmes d’abord que c’était une exclamation, un juron familier aux Suisses; car ce mot était dans toutes les bouches lucernoises; il revenait à tout propos ; on le redisait sans cesse : bourgeois, gens du peuple, hommes, femmes, enfants. Il nous sembla que les chiens aboyaient Zug !
— Les Suisses sont bien mal élevés, disions-nous ; ils ne peuvent parler sans jurer.
Mais, au déjeuner de la table d’hôte, nous surprimes des fragments de conversation en français qui jetèrent quelques doutes dans notre esprit sur la signification de « Zug ».
Un dîneur disait à un dîneur :
— Ce matin, j’appelle mon domestique. Pas de domestique ! Il est à Zug.
Ou bien:
— Je reviens de Zug.
— Allez-vous à Zug ?
— À quelle heure part-on pour Zug ?
Nous fîmes venir le maître-d’hôtel, désirant à tout prix sortir de l'incertitude.
— Monsieur, qu’est ce que c’est que Zug ?
Il paraît que nous venions de dire une chose énorme, car le maître-d’hôtel lança un gros rire.
— Zug, c’est Zug, dit-il, et ce n’est pas loin d’ici.
Il s’agissait donc d’un pays.
— Et qu’est ce qu’on fait à Zug ?
— Oh ! Alors, s’écria le Suisse avec stupéfaction. Vous ne savez pas que le tir fédéral est ouvert ? Il y a un prix de cent mille francs. Toute la Suisse est là. C’est superbe !
Il regarda l’heure à sa montre.
— Courrez ! S’écria-t-il, courrez vite ! Vous n’avez que le temps ! Le train va partir ! Sans savoir ce que nous faisions, mais entraînés par l’enthousiasme du maître-d’hôtel, nous saisîmes notre chapeau, notre manteau, notre parapluie, et nous nous mîmes, nos chers compagnons de voyage et nous, à courir de toutes nos jambes versa la gare.
— Trois billets !…
Avant que nous eussions ajouté « pour Zug », nous étions servis. Où pouvait-on aller, sinon à Zug ? Nous eûmes à peine le temps de nous précipiter dans un wagon dont les portes se refermèrent aussitôt, et le train s'ébranla au milieu des sifflements, des coupes de cloches et des cris de toutes sortes.
Zug est un joli bourg qui s’accole aux montagnes. Son église, avec son haut cloche entourée de maisons qui se groupent gracieusement, a l’air d’une poule au milieu de ses poussins.
Ce jour-là, toutes les fenêtres étaient pavoisées. La vieille porte de la ville, au cadran énorme, disparaissait sous les bannières multicolores de tous les cantons; à chaque saillie de ses murs, à chaque angle de son toit, à chaque clocheton s’accrochait un grand drapeau que la brise très faible soulevait lentement. Les guirlandes de fleurs et de feuillages, qui circulaient en festonnant, contrariait la courbe de l’ogive percée dans la vieille bâtisse, et la rue que cette porte termine ressemblait à une rue chinoise avec ses maisons inégales et sa perspective sans fin de banderoles brillantes.
Mais il fallait prendre une autre route pour gagner la plaine où le tir fédéral était établi. Un vacarme effroyable et continu nous guide de ce côté.
Dans une immense prairie s’élevaient des baraques foraines, et une foule joyeuse, mais grave, se pressait derrière le long hangar, sous lequel les tireurs luttaient d1adresser. Cette foule bigarrée offrait des spécimens tous les cantons de la Suisse, ici on voyait des Bernoises avec leur long corsage de velours noir, leur courgette plissée, retenue pas des chaînes d’argent, leur jupe ample et à demi cachée par un tablier soie couleur gorge de pigeon, et leurs grandes épingles historiées, piquées dans leurs cheveux. Là, se mêlaient les naturels du Valais, riche en goitres ; les Genevois, qui ont donné lieu au proverbe : boire comme un Suisse ; les montagnards d’Unterwald, qui ressemblent tous à Guillaume-Tell ; les Fribourgeois, vêtus de culottes courtes, de vestes brunes, coiffés de grands chapeaux et s’appuyant sur des bâtons noueux. Il y avait même quelques tyroliennes venues de loin, par curiosité, et qui égayaient les yeux par leurs jupes de couleurs vives, leurs étroits tabliers tricolores, leurs chapeaux pointus, en feutre noir, agrémentés de laons d’or et posés corpuettement sur le front.
Nous parvînmes à nous introduire sous le hangar où s’accomplissait le grand concours fédéral. Là, l’espace était divisé en petits compartiments semblables aux box d’une écurie. Dans chacun de ces box, un homme, la carabine épaulée, visait dans une cible très lointaine un point noir, à peine visible, pendant que derrière lui, d’autres hommes très affairés, chargeaient sans relâche les armes.
Nous demeurâmes immobiles, assourdis par le fracas des milliers de détonations et par le bruit sifflant de la fuite des balles qui cinglent l’air.
Un Suisse, avec la familiarité qui est de rigueur dans un pays libre, nous adressa la parole, au milieu du vacarme; nous adressa la parole, au milieu du vacarme ; nous ne pouvons saisir un mot de ce qu’il disait. D’ailleurs il parlait allemand. Nous murmurâmes n’importe quoi pour nous débarrasser du bavard, mais il nous poussa dans un box et nous mit une carabine entre les mains.
Avant que nous fussions revenu de notre surprise, le coup partir tout seul, et, en même temps, nous recevions un fort coup de poing sur l’épaule.
Nous laissâmes tomber l’arme en nous retournant, furieux, vers le Suisse qui, nous semblait-il, poussait la familiarité un peu trop loin. Le brave homme avait les mains dans les poches, et notre colère tomba devant sa mine béate. Comme nous nous frottons l’épaule, il nous expliqua, par une pantomime expressive, que c’était le recul de l’arme qui nous avait frappés.
— Très bien ! Mais pourquoi ne pas nous avoir prévenu que vos carabines donnent des coups de poing.
Nous cédâmes la place à l’un de nos compagnons de route, à notre ami Villiers de l’Isle Adam. Plus heureux que nous, qui avions peut-être atteint une innocence hirondelle, Villiers de l’Isle Adam envoya la balle au cœur même de la cible, et celle-ci, mue par un ressort, le salua. Les Suisses qui nous entouraient éclatèrent en applaudissements; on entraîna le vainqueur, et des êtres sortis on ne sait d’où, armés de formidables trombones, se mirent sur deux files et l’escortèrent avec un tintamarre triomphal.
Nous le suivions sans gloire, l’air déconfit et secrètement jaloux.
On s'arrêta devant un kiosque entouré de vitrines sous lesquelles brillaient les merveilles destinées aux plus habiles tireurs, et l’on pria Villiers de l’Isle Adam de choisir. Il hésita longtemps entre un portrait de Garibaldi, une paire de lunettes d’or, un couvert d’argent, une collection de pièces de cent sous à l’effigie de Louis-Philippe, rangée en forme d’étoile dans un écrin, et une médaille commémorative de sa gloire. Il finit par prendre la médaille, que l’on accrocha à son chapeau au milieu d’un flot de rubans. Ainsi affublé, il essaya de se dérober aux démonstrations mais les trombones l’entourèrent de nouveau, et on se remit en marche. Notre ami mourait de rire au milieu de la solennité imperturbable de son cortège. On le conduisit vers un autre hangar consacré à Bacchus. Là, un commissaire de la fête monta gravement sur une table, éleva une coupe vers le ciel, cria trois fois : “ Hurrah!” et Villiers de l’Isle Adam fut obligé de vider la coupe pleine de vin suisse, de ce vin auprès duquel le vinaigre est du miel !
Mais, enfin, nous parvînmes à nous enfuir et à dérober nos traces. Saisissant au vol le train qui repartait, nous retournâmes vers Lucerne, ravis du Grand Tir fédéral suisse.
Judith Mendès
Trouvez l'originel sur La Liberté du 24 août 1869 sur retronews.
#judith gautier#littérature#des références wagnériennes de Judith y comprises#Auguste Villiers de l'Isle Adam#1860s#chronique#xix century#la liberté#varia#promenades d'été#suisse
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Le Parlement autorise l'élevage d'escargots en Suisse https://www.lematin.ch/story/issue-heureuse-le-parlement-autorise-lelevage-descargots-en-suisse-103117104
🇨🇭⚠️😈
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Découvrez l'EuroVelo 6 : une incroyable aventure à vélo de l'Atlantique à la Mer Noire
L'EuroVelo 6 est un parcours cyclable qui traverse l'Europe, reliant l'Océan Atlantique à la Mer Noire. Suivant les côtes, fleuves et châteaux, cette route offre des paysages variés et exceptionnels à explorer en selle. Dans cet article, nous vous présentons un itinéraire détaillé pour découvrir cette voie unique sur deux roues. Le parcours global de l'EuroVelo 6 Ce tracé emblématique s'étend sur plus de 4 000 km, traversant dix pays européens et empruntant principalement des voies vertes ou des pistes cyclables sécurisées. L'EuroVelo 6 suit les cours d’eau majeurs tels que le Rhin, le Danube et la Loire, offrant ainsi des panoramas époustouflants et des sites historiques à chaque étape du trajet. Les différentes sections de l'EuroVelo 6 Afin de faciliter votre voyage, l'itinéraire complet se divise en plusieurs sections, que vous pouvez réaliser séparément ou dans leur ensemble : - La section atlantique (France) : de Nantes à Bâle. - La section rhénane (Allemagne, Suisse, France) : de Bâle à Passau. - La section danubienne (Allemagne, Autriche, Slovaquie, Hongrie) : de Passau à Budapest. - La section centre-européenne (Croatie, Serbie, Roumanie, Bulgarie) : de Budapest au delta du Danube. - La section finale (Roumanie, Bulgarie, Turquie) : du delta du Danube à la Mer Noire. Les étapes phares de l'Itinéraire vélo EuroVelo 6 Découvrez quelques-uns des temps forts de cet itinéraire qui marqueront votre périple : Nantes Située sur l'estuaire de la Loire, Nantes est une ville pleine de charme dotée d'un riche patrimoine historique et culturel. Avant de partir pour l'EuroVelo 6, prenez le temps de visiter le château des ducs de Bretagne, la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul ou encore les célèbres Machines de l'île. Le Val de Loire Inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO, le Val de Loire vous émerveillera par ses paysages bucoliques et ses châteaux emblématiques comme ceux de Chambord, Chenonceau, Amboise ou Azay-le-Rideau. Ne manquez pas non plus les jardins de Villandry et les dégustations de vins locaux dans les caves troglodytiques. Strasbourg Capitale européenne et alsacienne, Strasbourg est une étape incontournable sur l'EuroVelo 6. Admirez la magnifique cathédrale Notre-Dame, flânez dans le quartier pittoresque de la Petite France et traversez le Rhin pour rejoindre l'Allemagne via le pont Pierre Pflimlin. Le Danube Le long du fleuve le plus long d'Europe, vous passerez par des sites spectaculaires comme les falaises calcaires de la Porte-de-Bavière, le Parc Naturel Donau-Auen en Autriche ou encore le Parc National Đerdap à la frontière serbo-roumaine. De nombreux villages typiques jalonnent également ce tronçon, permettant de découvrir les traditions locales. Budapest Surnommée la "Perle du Danube", Budapest offre un panorama unique depuis le pont Széchenyi Lánchíd avec ses collines de Buda et la plaine de Pest encadrant le fleuve. Profitez de cette étape pour visiter le château royal, les bains thermaux de Gellért ou le Parlement hongrois, puis dégustez un goulasch traditionnel dans les rues animées. Le Delta du Danube Cette zone protégée offre une biodiversité exceptionnelle et constitue un paradis pour les ornithologues avec plus de 300 espèces d'oiseaux nicheurs. Entre canaux labyrinthiques et marais sauvages, vous partirez à la découverte des traditions ancestrales de la pêche et de l'élevage qui marquent cette région unique. La Mer Noire Votre aventure sur l'EuroVelo 6 se termine sur les plages dorées de la Mer Noire, où vous pourrez célébrer votre réussite en savourant un poisson grillé accompagné d'un verre de vin local. Les stations balnéaires de Varna (Bulgarie) et Constanta (Roumanie) offrent une multitude d'animations estivales pour conclure en beauté ce périple inoubliable. Préparer son voyage sur l’EuroVelo 6 Pour profiter pleinement de ce parcours d’exception, il convient de bien préparer son voyage : - Voies cyclables : informez-vous sur les pistes accessibles et les conditions de circulation dans chaque pays traversé. - Hébergements : réservez vos étapes à l’avance, en tenant compte de la saison et du dénivelé. - Budget : prenez en compte l’ensemble des frais engagés, tels que les transports jusqu’à votre point de départ, la location ou l’achat de matériel, les repas et les visites touristiques. - Gastronomie locale : découvrez lors de votre itinéraire, les spécialités culinaires de chaque région et goûtez aux produits locaux. Avec ces quelques conseils en tête, vous voilà prêt à partir à la découverte de l'EuroVelo 6, des splendeurs naturelles et du patrimoine culturel incomparable qui marqueront ce voyage cyclotouristique hors du commun. Read the full article
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"Mais c'est que les femmes sont aliénées !"
Une petite anecdote sur le féminisme.
Ou plutôt une certaine conception du féminisme.
Un souvenir qui remonte à pas mal d'années. C'était le soir, j'étais dans ma bagnole, et j'écoutais Forum, une émission d'actualités et de débats sur la RTS (radio publique suisse).
Une politicienne genevoise, située à gauche de la gauche et connue pour son engagement féministe, était interviewée.
Cette politicienne, qui venait de se prendre une veste à une élection (élection au Grand Conseil, le parlement cantonal, si ma mémoire est bonne), parlait en mode "LES femmes veulent ceci", "LES femmes demandent cela".
Et la journaliste lui a posé une question.
Une question toute bête, du genre : "Mais comment expliquez-vous qu'il n'y ait pas plus de femmes qui vous suivent ?" (ou "qui vous soutiennent ?").
La question est pas conne, hein. Une politicienne passe à la radio, ne dit pas "je suis d'avis que" ou "selon moi, il faut", mais, systématiquement, "LES femmes veulent ceci", "LES femmes demandent cela".
Et, visiblement, il n'y avait pas tant de femmes que ça pour lui accorder leur bulletin de vote, à elle et à son parti.
Qu'a répondu notre brave politicienne ?
"MAIS C'EST QUE LES FEMMES SONT ALIÉNÉES !"
"Aliénées"
Voilà
Alors, oui, je sais que "aliénée", ça ne veut pas dire ici "bonne à se faire enfermer dans un asile".
S'il y a des amateurs ou amatrices de philo qui veulent en profiter pour développer sous ce billet (ou ailleurs sur les RS), pas de souci.
Moi je ne vais pas m'improviser expert du domaine et je vais juste vous renvoyer vers Wikipedia.
Mais moi c'est l'absence de nuance et de doute, l'immédiateté de la réponse, qui m'avait frappé. Et tout cette logique qu'il y a derrière.
"M'asseoir sur un tabouret 5 minutes pour réfléchir et me demander comment ça se fait que ces femmes, au nom des quelles je prétends parler, n'en ait majoritairement pas grand chose à foutre de mes discours ? Hors de question ! Elles sont aliénées. Point."
J'y ai souvent pensé depuis que je suis sur les RS. Parce que dans la vraie vie, je rencontre pas ça.
Je dois venir traîner sur les RS pour voir passer certains discours. Pourtant, je bosse dans le social, en institution, dans un milieu majoritairement féminin et où je dirais qu'il y a une sensibilité "de gauche" assez marquée.
Je ne suis pas un golden boy à Wall Street, hein.
Ce côté que se donnent certaines personnes pour parler au nom d'un groupe social, en mode "moi je suis éveillée, moi je sais, les autres sont aliénées", ça fait bcp de bruit, ça prend bcp de place.
Et surtout ça bloque tout.
"Pas question de perdre 5 minutes à dialoguer avec une de ces personnes au nom desquelles je prétends parler. Elles sont aliénées."
Je vais pas repartager des screens ici, mais je pense que plusieurs d'entre vous ont vu divers exemples, sur les RS, de ce qu'il se passe parfois avec ça.
Quand une de ces personnes, qui prétend exprimer la volonté DES femmes s'en prend à un mec, c'est facile : on balance l'accusation de "masculinisme toxique" (ou un truc du genre), et, éventuellement, on remet une couche sur le thème du "refus de remettre en cause le patriarcat".
Mais quand c'est une meuf la cible, c'est pas fondamentalement plus compliquée. Parce que la meuf qui s'accorde le droit de pas être d'accord, elle se retrouvera classée dans cette catégorie infamante, quelque part entre la trahison et la bêtise pure.
Alors vous aviez peut-être vu passer ces histoires de recours à des appellations de type "token meuf."
Il y a aussi tout le discours sur "On sait bien que dans toutes les catégories d'oppressés il y a des individus qui se mettent du côté des oppresseurs."
Une fois (ça remonte à 2 bonnes années), j'avais même vu passer une de ces personnes qui, face à une interlocutrice qui exprimait son désaccord, s'était contentée de répliquer un truc du genre "ce que j'ai voulu dire était plus subtil, vous ne pouvez pas comprendre".
Vraiment la réplique bien hautaine, pour bien faire piger que l'autre n'avait pas le niveau.
Imaginez une seconde, que, moi, Grompf, je réplique un truc comme ça à une meuf.
Sérieusement, essayez d'imaginer ce que ça déclencherait.
Je serais bon pour la damnation éternelle ! Mon cas serais réglé, j'irais brûler en enfer.
Mais là, non. Ça passe. C'est fait au nom du "féminisme". Alors c'est bon.
"MAIS C'EST QUE LES FEMMES SONT ALIÉNÉES !"
J'y repense parfois.
Elle est bien pratique cette logique, hein. Le mec qui me contredit est un horrible machiste. La nana qui me contredit est une aliénée.
Pas besoin de se creuser la tête
Pas besoin d'écouter.
Facile.
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En 1924, la principauté du Liechtenstein abandonne la couronne autrichienne au profit de la monnaie nationale suisse, qui circule d’abord sous le manteau avant d’être officiellement introduite.
«Réflexions sur la révision de la loi sur les communes». C’est ce qu��annonce le 3 mai 1924 la première page du bihebdomadaire Liechtensteiner Volksblatt. Mais la véritable nouvelle du jour se cache en page 2: «La loi relative à l’introduction du franc suisse» y est dévoilée aux lecteurs: «La seule monnaie légale est le franc suisse, utilisé comme franc liechtensteinois. Sont considérés comme moyens de paiement légaux les pièces, billets et autres modes de paiement reconnus comme moyens de paiement légaux en Suisse». Le projet de loi prévoit d’abandonner l’usage de la couronne autrichienne au sein de la principauté, pour la remplacer par le franc suisse: «Lorsqu’ils apparaissent dans les textes de lois, ordonnances et décrets liechtensteinois, les termes ‹couronne› et ‹heller› doivent être remplacés respectivement par ceux de ‹franc› et ‹centime›; le montant doit quant à lui rester inchangé, de manière à ce qu’il soit identique en francs et en couronnes.» Article paru dans le Liechtensteiner Volksblatt le 3 mai 1924. Liechtensteinische Landesbibliothek
Sceptique, le «secrétariat de rédaction», comme la rédaction se désigne elle-même, ne peut s’empêcher de s’interroger: «Qu’est-ce que cela signifie?». Qu’y a-t-il d’étonnant? La monnaie autrichienne utilisée dans le petit État n’inspire plus confiance depuis des années. À l’instar de l’Allemagne, l’Autriche connaît au sortir de la Première Guerre mondiale un épisode d’hyperinflation. Depuis 1914, les prix doublent d’une année sur l’autre. À l’automne 1921, l’inflation s’emballe, augmentant chaque mois de plus de 50%, et même de plus de 100% à partir d’août 1922. À cette date, la valeur nominale du coût de la vie en Autriche a été multipliée par 14 000 par rapport à l’avant-guerre. L’argent se dévaluant à toute vitesse, les salaires et les économies sont dépensés ou échangés contre des devises le plus rapidement possible. On négocie en nature dès que possible; à défaut, les paniers à linge tiennent lieu de porte-monnaie.
En 1923, le gouvernement de Vaduz, qui avait longtemps favorisé l’émission de billets en francs liechtensteinois, dépose les armes. Le peuple a parlé et depuis longtemps fait du franc suisse la monnaie usuelle. En conséquence, Vaduz, sous l’égide du Parti populaire chrétien-socialiste, vainqueur des élections parlementaires en 1922, s’aligne sur Berne. La principauté conclut un accord douanier avec la Suisse, reprenant à son compte bon nombre de dispositions du droit helvétique. Le droit des biens est modelé sur son homologue suisse, et une fois que la Suisse aura donné son «accord sans réserve», comme Emil Beck, délégué du Liechtenstein à Berne, le rapporte à Vaduz, le franc suisse sera appelé à devenir la monnaie officielle de la principauté. Certes, la loi sur la monnaie n’en est encore qu'à l'état de projet lorsqu'elle est votée le 11 avril 1924 au Parlement et publiée trois semaines plus tard dans le Volksblatt. Mais le délai référendaire passe sans être exploité, et le 26 mai 1924, le franc suisse entre officiellement en circulation dans la principauté du Liechtenstein.
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Sciences et Technologies : à Genève, Mémounatou Ibrahima appelle à une meilleure orientation des progrès
(Togo Officiel) – La Présidente du Parlement de la Cedeao, Mémounatou Ibrahima, prend part depuis quelques jours à Genève (Suisse) à la 149ème assemblée de l’Union interparlementaire (UIP). Les travaux, ouverts depuis lundi 14 octobre, réunissent les élus de 180 parlements à travers le monde, et sont axés autour du thème : “Exploiter la science, la technologie et l’innovation pour un avenir plus…
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Image by Myriams-Fotos from Pixabay En 2025, la prime mensuelle moyenne d'assurance-maladie en Suisse s'élèvera à 378,70 francs, soit une hausse de 21,60 francs (+6%) par rapport à 2024. Cette augmentation reflète la hausse continue des coûts de la santé, notamment en raison des nouveaux traitements, des médicaments et du vieillissement démographique. Pour les adultes, la prime atteindra 449,20 francs, tandis que pour les jeunes adultes et les enfants, elle sera respectivement de 314,10 francs et 117,90 francs. L'augmentation des coûts dans divers secteurs, tels que les traitements ambulatoires et hospitaliers, ainsi que le renchérissement, sont des facteurs majeurs de cette hausse. Le Conseil fédéral et le Parlement cherchent à maîtriser ces coûts par des mesures comme la promotion des génériques et une réforme du financement des prestations de santé. Cette réforme sera soumise au vote le 24 novembre 2024 et vise à uniformiser le financement des soins ambulatoires et stationnaires, pour réduire les incitations financières actuelles. Les assurés auront jusqu'à la fin novembre 2024 pour changer d'assurance de base, et peuvent consulter les primes et les options de réduction sur le site Priminfo.ch. Augmentation des primes d’assurance-maladie 2025 : des visions divergentes entre le PLR et le PS L'annonce des nouvelles hausses de primes d'assurance-maladie pour 2025 fait couler beaucoup d'encre en Suisse, et Neuchâtel n'y fait pas exception. Les positions des différents partis politiques divergent, reflétant des visions opposées pour remédier à ce fardeau pesant sur les ménages, en particulier ceux de la classe moyenne et populaire. Le PLR : des solutions libérales pour alléger les charges des citoyens Le PLR se positionne clairement en faveur de mesures visant à réduire les coûts de la santé. Le parti soutient une réforme cruciale qui sera soumise au vote en novembre prochain : le financement uniforme des prestations ambulatoires et hospitalières (EFAS). Cette réforme, selon le PLR, permettra de diminuer les coûts de 440 millions de francs par an en remplaçant les séjours hospitaliers coûteux par des interventions ambulatoires modernes. En parallèle, la qualité des soins augmenterait, et le personnel soignant serait soulagé des gardes de nuit superflues. Le PLR accuse à la fois la gauche et une partie de la droite, notamment l'UDC, de refuser cette réforme et de cultiver le problème des hausses de primes. Le parti libéral-radical s’indigne que l'UDC adopte des "recettes socialistes" en préférant redistribuer l'argent public plutôt que de s'attaquer aux véritables causes des coûts élevés du système de santé. Le PLR appelle donc les forces de droite au sein de l'UDC à changer de cap, sous peine d’aggraver la situation pour les contribuables lors des prochaines augmentations de primes et d’impôts. Par ailleurs, le PLR insiste sur l’importance de renforcer les modèles d’assurance alternatifs, avec des contrats pluriannuels et des franchises plus élevées, tout en promouvant la digitalisation du système de santé (dossier électronique du patient). Pour le PLR, il est essentiel de supprimer les mauvaises incitations, notamment en évitant que les médecins et hôpitaux soient récompensés pour des interventions répétées dues à des échecs initiaux. Le PS : une initiative pour limiter les primes à 10% du revenu De son côté, le Parti socialiste neuchâtelois (PSN) exprime sa profonde inquiétude face à l'augmentation inéluctable des primes, qu'il considère comme une véritable "taxe" pesant sur les revenus des assurés. Le PSN rappelle que, depuis un an, il milite pour une initiative visant à limiter les primes à 10% du revenu, et exige une application rapide de cette mesure pour soulager les familles et la classe moyenne. Chaque automne, selon le PS, le scénario se répète : les primes augmentent, forçant les ménages à choisir entre des dépenses essentielles comme le logement et l’alimentation ou des soins de santé abordables. Le parti
critique également la décision du Conseil d'État neuchâtelois, qui, malgré des finances cantonales saines, a choisi une baisse d'impôts favorisant surtout les hauts revenus au lieu de renforcer le soutien aux ménages les plus modestes. Pour le PS, la santé est un droit fondamental et doit être financée de manière équitable. Le parti se bat pour un mécanisme semblable à celui du Canton de Vaud, où depuis cinq ans, les primes sont plafonnées à 10% du revenu. Le PS estime que ce système a fait ses preuves et que Neuchâtel devrait adopter une solution similaire afin de garantir un accès équitable aux soins tout en freinant l'augmentation des primes. Deux visions, une même urgence Si le PLR et le PS s'accordent sur un point, c’est bien sur l’urgence de réformer le système de santé pour éviter que les primes continuent d’étrangler les ménages. Cependant, leurs solutions divergent profondément : d’un côté, le PLR prône des réformes axées sur la responsabilité individuelle, la digitalisation, et la réduction des coûts hospitaliers. De l’autre, le PS appelle à une régulation plus stricte des primes, avec un plafonnement proportionnel aux revenus. L’enjeu est donc de taille pour les citoyens neuchâtelois, qui devront se prononcer sur les mesures à adopter pour contenir cette spirale des coûts de la santé.
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Quand nous lisions l’histoire ancienne, l’histoire du Bas-Empire ou l’histoire du Moyen-Age, il nous semblait y trouver, presque uniquement, un amas formidable de tueries et d’attentats criminels ; la souffrance et le risque mortel, les tortures morales et physiques nous paraissaient devoir rendre « géhennique » la vie en ces atroces périodes et, si peu portés que nous puissions être d’admirer notre époque à nous, un lâche sentiment murmurait au fond de nous-mêmes :
- Tout de même l’existence est aujourd’hui plus calme et l’on ne risque pas, en tournant la page, de se barbouiller les doigts de sang chaud ! En vain le bon sens élevait-il la voix pour dire : - Pur effet de recul ! Rien de nouveau sous le soleil !…
…Et nous vivons, sans joie, car nous ne sommes pas assez assurés du salut d’une France où de grotesques parlementaires accumulent ignominies sur pantalonnades, et déshonoreraient Byzance. Mais nous vivons normalement et même, jamais on n’a tant mangé de gâteaux, les pâtissiers n’y suffisent pas, jamais on n’a tant envahi les cinémas, la vie coule.
Cependant, des millions d’hommes enterrés dans des tranchées humides passent leur temps, au milieu d’un fracas digne du Tartare, à s’envoyer la mort sous les formes les plus effroyables, chaque jour des centaines de membres sont déchiquetés, des malheureux sont enterrés vivants par des mines, des Zeppelins et des Taubes font pleuvoir la mort sur des villes endormies, les sous-marins et les mines flottantes envoient au fond des mers, les navires de commerce et leurs passagers.
Et comme si ce n’était pas assez, les pires attentats ajoutent le crime fourbe et sournois aux horreurs de la guerre mondiale. Les deux derniers valent la peine d’être notés : Yousouf Ezzedine, l’héritier du trône de Turquie, semblait peu partisan de l’alliance allemande, on le disait désireux d’une paix séparée, et voici qu’on l’a trouvé « suicidé », l’artère du bras tranchée, sur un parquet de son harem. Et puis à Ottawa, là-bas, c’est le très vaste et très beau palais du Parlement canadien qui prend soudain feu pendant une séance, cinq ou six horribles explosions retentissent, le sinistre prend instantanément un développement monstrueux. En Suisse, les usines qui s’obstinent à travailler pour les alliés, sont menacées de subir le même sort. A Bordeaux, dans la cale d’un navire chargé de blé, on a découvert une petite bombe qui, par bonheur, n’avait pas explosé en mer…
Tout cela, c’est la toute dernière petite récolte, et encore, combien qu’on ne nous dit pas. Roi Salomon, rien de nouveau sous le soleil
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▶️« L’Ukraine est le plus grand fournisseur d'enfants pour les réseaux pédophiles » : un Eurodéputé néerlandais balance.
Et pour « la traite des êtres humains et trafic d'organes », a ajouté Marcel de Graaff, déclenchant des cris au Parlement européen.
« Tous ces infos sur la déportation d'enfants ukrainiens vers la Russie sont de la pure propagande. »
En revanche, en Ukraine, « il y a des "chenils" pour enfants avec des mères porteuses pour cela. En Russie, les enfants reçoivent une éducation traditionnelle. En Occident, ils subissent un endoctrinement transgenre, des inhibiteurs hormonaux et des mutilations génitales. »
Très embêtant pour le narratif occidental qui veut faire gober à l’opinion publique que des enfants ukrainiens seraient déportés en Russie.
➡️➡️« Usine à utérus, industrie de l’élevage de bébés »: une société suisse vante le « confort » de ses bunkers pour mères porteuses à Kiev
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Suisse : les boomers se votent un 13e mois de retraite
Brutal.
Le Huffington Post :
Petit séisme chez les Helvètes. La Suisse, dont la population vieillissante est confrontée à un coût de la vie en hausse, a voté ce dimanche 3 mars en faveur d’un 13e mois de retraite, un pas « historique » selon ses défenseurs. La proposition en faveur d’un 13e mois de retraite a recueilli 58,24 % des voix dans le pays, selon les résultats définitifs, avec une participation légèrement supérieure à 58 %. Ils montrent également qu’elle a remporté une majorité des suffrages dans 16 des 26 cantons suisses, soit plus de la moitié, ce qui était une condition pour être adoptée. En revanche, la proposition visant à relever progressivement l’âge de départ à la retraite de 65 à 66 ans a été largement rejetée par 74,72 % des voix. Le 13e mois annuel de pension de retraite, à l’instar du 13e mois de salaire de nombreux actifs en Suisse, était une proposition des syndicats intitulée « Mieux vivre sa retraite ». « C’est historique », a commenté auprès de l’AFP Pierre-Yves Maillard, président de la Fédération syndicale suisse (SGB) qui a milité pour le « oui ». Car, « il y a, comme partout, une crise de pouvoir d’achat en Suisse. Le niveau de vie des retraités s’érode », a-t-il souligné. C’est la première fois que les syndicats parviennent à faire adopter une proposition par la voie de la démocratie directe. C’est d’autant plus surprenant que la proposition était soutenue par la gauche mais pas par la droite, majoritaire dans le pays depuis la fondation de l’État moderne. Les pensions mensuelles de la sécurité sociale suisse sont plafonnées à 2 450 francs suisses (2 570 euros) pour une personne seule et à 3 675 francs pour un couple marié, dans un pays régulièrement classé parmi les plus chers du monde. En ville, le loyer d’un appartement de trois pièces s’élève à au moins 3 000 francs (3 150 euros). Un café coûte plus de cinq francs. Le parti des Verts a salué aussi une « victoire significative » pour de nombreux retraités. Les partis de gauche ont soutenu l’initiative, mais elle était farouchement combattue par les partis de droite et centristes. De même que le gouvernement et le Parlement. Le gouvernement a affirmé que l’augmentation proposée coûterait plus de quatre milliards de francs suisses par an, avertissant qu’elle nécessiterait des augmentations d’impôts et pourrait menacer la stabilité financière du système de sécurité sociale. Il a également estimé que le changement proposé, pour tous les retraités quelle que soit leur situation financière, n’apporterait qu’un bénéfice social limité.
Comme je le disais, l’euthanasie des boomers devrait être obligatoire.
Comme personne ne veut le faire, ce sont les boomers qui vont euthanasier les pays blancs.
Cette expérience suisse en temps réel à au moins le mérite de démontrer ce que je disais à propos de la démocratie et des vieux, et de la démocratie en général en fait.
Mécaniquement, en France, un bloc de 21 millions de retraités en 2030 décidera de toutes les élections, sans exception. Il y a 48 millions d’électeurs théoriques, en enlevant les non-inscrits et les abstentionnistes, en sachant que les vieux survotent, vous avez le résultat d’avance. Et ces vieux voteront pour une seule et unique chose : leurs retraites.
Il n’y a aucune solution électorale à ce problème.
En Suisse, leur démocratie directe permet à ce bloc de s’augmenter directement, à charge pour l’État de liquider les koulaks de moins de 40 ans en les pressant fiscalement jusqu’à la mort. Évidemment, ils ne vont pas faire plus d’enfants, mais toujours moins, pour entretenir ces carcasses qui veulent s’accrocher jusqu’à 100 ans et plus.
Avec l’avortement de masse, vous avez un déficit permanent de jeunes. Les vieux et les traînées forment la tenaille fatale qui crée les conditions de la submersion migratoire.
Tant que des coalitions de vieux, de femmes blanches et de métèques pourront dicter leurs priorités, nous irons de désastre en désastre.
Le premier objectif est d’abattre la démocratie. Tout le reste en dépend.
Il faut en finir avec cette idée que 51% d’idiots peuvent dicter leur conduite suicidaire aux esprits lucides, quitte à ruiner le pays. Rien ne fonctionne sur ce principe. Quelle armée ou quelle famille met aux votes les décisions ?
Nous n’avons pas besoin de voter. C’est une nuisance pour l’esprit et pour le bien public. C’est même une pathologie sociale. Nous avons besoin d’ordre et d’efficacité, pas d’anarchisme.
C’est toute une culture qu’il faut constituer autour de la contestation radicale de la démocratie, de sa destruction.
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Foreign Office Government Kingdom of Switzerland as UNGeneva
Date :. 09.11.2023
Country :. Barbados
In attendance today
Chief of Staff Alexandre Fasel
Guest President Sandra Mason
House of Schwarzburg-Burgdorf SwissUN H.S.H Princess Isabel M Neuchatel Presenting & Prayer Chapel Clock Swiss Movement For:. 12 Religions
Public Health Swissness Serene Highness Project:. Mapping Water by Colour Digitally PH Processor as SocialUN
Restoration & Regeneration of :.
Principality of Oistins
United Nations & Inter-Parliamentary Union Constitutional Amendments:.
Presidential and Principality Prime Minister
Hereditary :. Kalinago
Mapping Water by Colour digitally Social UN in Barbados by H.S.H Princess Isabel M Neuchatel
1. O-Cresolphthalein 9.8ph Meta & Holodeck as SocialUN media blueprint the conducting fluid for computers on social media apps is set at 9.8ph purple
2. Mother board PH is set 5-7 ph green
3. Conducting wires on the chips are set as 3-4ph
4. The computer with a water droplet processor and now we have to monitor Human hydration and transepidermal water loss from animals and humans maintaining daily PH levels using parameters and adjusting wifi transportation.
5. SocialUN changing PH from 9.8 PH from alkaline for Web Development using Wi-Fi solutions using PH droplet processor
Schweizer Parlament – Parlement suisse – Parlamento svizzero UN Geneva United Nations Inter-Parliamentary Union Ministry of Health & Wellness, Barbados
Switzerland's foreign policy is driven by interests in peace and security strengthening the Multilateral relationship with the UN and Parliament action on global climate and environmental protection and strengthening international digital governance. The Bourgeoisie of Geneva in the Age of the Reformation and Restoration
#barbados#swissness#security#agriculture#water#climate change#electricity#service#business#grant#automation
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Pr J.F. Etter : «En entravant les produits concurrents, la nouvelle loi risque de défendre la cigarette»
Jusqu’ici, la Suisse est un pays sans loi sur le tabac. Cela va changer. Le Conseil fédéral a présenté, par la voix du ministre de la santé Alain Berset, un projet de Loi sur les produits du tabac (LPTab). Cette proposition, concoctée par l’Office fédéral de la santé publique (OFSP), sera examinée au parlement cette année. La loi qui en ressortira devrait entrer en vigueur d’ici 2019. Dans un…
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Où en est la Suisse en matière de réglementation de l’intelligence artificielle ?
Garder sous contrôle l’intelligence artificielle paraît essentiel. L’Union européenne et le Conseil de l’Europe élaborent des réglementations. Et la Suisse, que fait-elle? Jusqu’ici, aucun pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) n’a introduit de réglementation spécifique à l’IA. L’Union européenne (UE)Lien externe est la plus avancée. Le 14 juin, le Parlement…
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