#Parfum de peau
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Parfums de peau
Que sont les parfums de peau ? Narciso Rodriguez Comment sont créés, par les parfumeurs, les parfums de peau ? A partir de muscs, notes poudrées, ambrette, fleurs, bois… Parfums de peau Les parfums de peau, une véritable tendance, une véritable obsession ? En parfumerie, il est possible de tester des parfums sur une mouillette, mais on sait tous qu’un parfum se teste sur la peau. Car chaque peau…
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𝖆 𝖛𝖆𝖒𝖕𝖎𝖗𝖊 𝖘𝖚𝖒𝖒𝖊𝖗𝖎𝖓𝖌 𝖆𝖙 𝖙𝖍𝖊 𝖈𝖍𝖆𝖙𝖊𝖆𝖚 𝖒𝖆𝖗𝖒𝖔𝖓𝖙 (requested by @icylilacgardens) | saint laurent black bodysuit in silk satin lace and feathers, vivienne westwood red brocade coat, ruslan baginsky wide-brimmed straw canotier hat in black, d'accori "belle" disco platform sandals in red kiss, oriza l. legrand "peau d'espagne" eau de parfum, ora-c "focalis shrine" mother-of-pearl and carnelian golden ring, alexander mcqueen gold heart bracelet choker, alexander mcqueen dark gem bar ear cuff, vivienne westwood broken pearl necklace, marni "laughing waters" geometric dark tortoiseshell sunglasses, victorian sterling silver and diamond chatelaine mesh purse, chanel black leather and chain-link belt (s/s 1993)
#not me seeing 'intellectual' in your request after the fact._.#apologies bc the aim was 70s-80s#like the height of rockstars falling off of balconies at the marmont but#who knows how this reads i can't see it anymore lol#icylilacgardens#chateau marmont#vampire#outfit#mine#red#black#green#gold#request#summer#hollywood#retro#saint laurent#chanel#alexander mcqueen#vivienne westwood#ruslan baginsky#d'accori#oriza l. legrand#ora-c#marni#queue
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L'Art et la mode, no. 48, vol. 17, 28 novembre 1896, Paris. Corsage de théâtre en satin vert pâle. Bibliothèque nationale de France
Corsage de théâtre en satin vert pâle. Petit empiècement de dentelle en transparent sur la peau. Cuirasse de grosse guipure rebrodée d’or. Ceinture velours Parme et touffe d’orchidées.
Pale green satin theater bodice. Small transparent lace insert on the skin. Plastron of large guipure embroidered with gold. Parma velvet belt and tuft of orchids.
(Parfum “Bouquet Lippia”, de Jones)
#L'Art et la mode#19th century#1890s#1896#on this day#November 28#periodical#fashion#fashion plate#description#bibliothèque nationale de france#dress#cape#theatre#collar#corsage
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Chacun de nous a un point spécial sur la peau. Sur le cou. Très près de la gorge. Un abri protégé du reste du monde où des miracles se produisent.
Nous le gardons à l'abri des regards indiscrets, caché, fermé, inaccessible à la plupart. Seules quelques personnes ont l'honneur de rentrer en contact avec cette partie sacrée de notre être.
Les enfants s'y réfugient pour trouver un refuge, du soulagement, de l'amour.
Et les amoureux, pour s'y parler silencieusement en se touchant l'âme.
Nous ne choisissons d'ouvrir cette porte magique qu'en levant les yeux vers le ciel.
Nous nous immergeons dans le cou de ceux que nous aimons pour imprégner nos cœurs du parfum de leur peau. Et là, nous sommes bercés par leur chaleur corporelle et la merveilleuse mélodie de leurs battements de coeur qui, comme un tambour, scande notre rencontre d'âmes.
Il n'y a pas de contact plus tendre, plus doux et plus profond que de nous abandonner dans le cou des autres.Tout peut arriver dans ce lieu mystérieux.
Les bébés le savent bien eux qui se blottissent dans ce trou d'amour pour regarder le monde. Et l'on s'y sent tellement bien qu'on ne veut plus le quitter.
Se nicher dans le cou de quelqu'un, c'est comme entrer en son âme, respirer son essence, carresser sa douceur. Le temps passé entre nos cous est le plus beau. À accueillir et à recevoir l'amour. Le Vrai !
Elena Bernabé
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J’aime l'éclat de ton sourire, la fragrance de ton parfum, j’aime chacun de tes soupirs et puis la courbure de tes reins, j’aime ton ventre doux et chaud, le frisson courant sur ta peau, j’aime quand je reçois cette lumière qui brille en toi…
V. H. SCORP
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C’est une dame en noir au baiser envoûtant
Qui livre ses douceurs à nos lèvres gourmandes;
Sa peau a quelquefois le parfum des amandes
Ou, selon qui la veut, celui du rhum brûlant
Sous son habit foncé, la neige frémissante
Octroie à nos papilles sa tendre volupté
Légère et vaporeuse, elle nous fait rêver
A de tendres contrées aux passions grandissantes
Cette dame est en fait un dessert délicieux
Que j’aime préparer et aussi partager;
J’y mets mon savoir faire afin de lui donner
Le goût fin d’un nectar venu du fond des cieux.
Brabantia ** (2007)
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Entre les traits, l'antre du désir,respire étouffé, un souffle de plaisir, à chaque lettre, un murmure,l'être d'étoiles nous dévoile sa peinture.....💕✨✨
Alors que l'imaginaire dense,la ronde de parfums secrets,s'envole l'oiseau,bruisse l'air et tremble la peau....💕✨
L'extase humide de désirs timides,ton cou s'attend, aux troubles envoutés,aux petites morsures, aux traces dedans,mais quand l'enfer se dissipe, reste le carcan....💕🔥✨✨
Suspendue à ces lignes de vie,n'entends-tu l'écrit une fois la nuit venue ....?!!
Ces hurlements sourds que le feu consume,et que nul cœur de papier n'assume.....🪶🔥💕✨
N'as-tu point de légèreté, autre que celle de ta plume habitée...?!!
Car quand s'élève la mélopée des vanités,claque le temps sur les chairs dépouillées......💞🥀🪽✨✨
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Tiède est le vent..Chaud est le temps..Fraîche est ta peau Doux, le moment…Odeurs de mer…Embruns, senteurs Parfums de terre…D’algues, de fleurs…Joli mois de Juin
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lost soul au 2(french)
C’était un jour agité sur la montagne de fleurs et de fruits. Pour une raison quelconque, tous les singes étaient très bruyants aujourd’hui ; et c’est sans doute cela qui a forcé le roi à quitter sa réflexion pour regarder la porte depuis le confort du lit de la chambre de Macaque.
-Je pense que ce n’aurais pas été ton jour. Les singes sont bruyants aujourd’hui.
Wukong n’a pas osé se mettre sous les couvertures. Il n’avait pas envie de mettre du désordre dans la chambre de son ancien ami. Alors il s’était simplement allongé là, sachant parfaitement qu’il ne trouverait pas le sommeil. L’endroit était resté tel qu’il l’avait trouvé à son arrivée sur la montagne. Des feuilles de papiers étaient même restés sur le sol et prenaient la poussière. Quelques dessins à l’effigie de Wukong pouvaient être aperçus sur dans un des tiroirs à moitié fermé du bureau de Macaque. Certaines poudres reposaient gentiment sur la commode du singe de l’ombre, le placard où il cachait ses déguisements était fermé ; et l’un de ses coffres débordait toujours de rouleaux, tissus, et trésors en tout genre. La chambre était bien trop rangée malgré les quelques affaires qui dépassaient du rangement implacable de Macaque. Wukong s’aimait à penser que ce petit grain de désordre était une habitude que le macaque à six oreilles avait pris de lui avec le temps. La seule chose que Wukong avait touché était les senteurs que Macaque utilisait pour parfumer sa chambre. Une odeur de vieux papier et de fruits sucrée dans lequel Wukong se plongeait les quelques fois où il venait ici.
Wukong ne put pas rester bien longtemps à penser, car les cris de ses sujets lui cassaient les oreilles. C’était devenu insupportable. Qu’est ce qui pouvait bien les mettre dans un état pareil ? Wukong essaya au mieux de comprendre ce qui était dit ; mais ce qu’il se disait était dit et mélangé tant que Wukong ne put mettre le doigt sur aucun mot propre.
-Il semblerait que je doive te quitter bourgeon. Mon royaume m’appelle.
Aussitôt dit, Wukong sauta du lit et sortit de la chambre. Immédiatement, dans le couloir, une foule de singe se tournèrent vers leur roi au moment où il ferma la porte derrière lui. Il se passa une seconde où tout le monde sembla s’assurer que c’était bel et bien leur roi qui sortait de la chambre du décédé qui était presque considéré comme le second roi de la montagne. Puis, la foule de singe lui sauta dessus. Petit comme grands, démons singes comme singes normaux. Tous ce qui se trouvait dans le couloir l’écrasèrent de soulagement, enfouissant leur roi sous une montagne de singe.
-Hey les gars. Vous allez me tuer là. Se moque le roi.
Personne ne trouva ça drôle. Wukong fit de son mieux pour se dégager avant de demander plus d’explications. Pourquoi diable y avait-il autant d’agitation dehors et à l’intérieur ? La réponse lui fut donné par un singe étranger que Macaque avait ramené à la montagne. Wukong se souvient de lui car Macaque l’avait présenté lui-même, lorsque Wukong était rentré après avoir été chassé par le moine.
« Il te ressemble un peu » avait rit Macaque à l’époque. « Il est très bruyant. »
Wukong se souvient qu’il n’a pas aimé l’attention que portait Macaque à ce nouveau venu, et les deux amis s’étaient disputés pour une raison dont Wukong ne se souvient même plus après.
-Mon roi, vous avez disparu depuis trois jours et trois nuits, et vous n’aviez averti personne d’un quelconque départ. Tout le monde s’inquiétait de votre absence. Nous avons pensé le pire.
Wukong écarquilla les yeux. Les cernes sous ses yeux semblaient tirer sur sa peau. Et ses orbites étaient un peu trop sèches. Le roi ferma les yeux et se les frotta pour les humidifier un peu, sous le regard inquiet de ses sujets en première ligne devant lui.
-Je vais bien. Annonce le roi en clignant plusieurs fois des yeux sous l’inconfort d’avoir les yeux secs.
Il ne s’était pas rendu compte qu’ils l’étaient jusqu’à ce qu’il écarquille les yeux. Combien de temps ne les avait-il pas fermés ? Combien de temps était-il resté à perdre son regard dans le plafond de la chambre de son ami ?
-Je vais bien. Répète le roi en continuant de cligner des yeux. Mais, trois jours ? Vraiment ?
Les singes hochèrent la tête. Dehors, le vacarme s’était arrêté. Quelqu’un a dû les prévenir que leur roi était retrouvé. Wukong cligna encore plusieurs fois des yeux. Des larmes coulèrent avant de finalement laisser une vue floutée par les larmes à Wukong.
-Woah…euh… Un dernier clignement pour chasser l’eau de ses yeux, et sa vue fut de nouveau claire. Désolé de vous avoir inquiété les gars. J’ai juste fait une super grosse sieste.
C’était un mensonge. Cela faisait des lustres que Wukong n’arrivait pas à dormir, à moins que l’un des petits singe ne vienne se reposer sur lui. Un frisson familier parcourut Wukong. Il l’ignora et se pressa de rassurer son peuple. Il attrapa quelques petits dans une main, pris la main de quelques petits démons singes de l’autre, et laissa le reste de ses sujets, le suivre hors du temple.
À l’extérieur, le reste de son peuple s’était réuni autour du temple. Ils formaient un mur immense de singe qui entourait l’entrée du temple. Wukong se rendit compte alors, à quel point son peuple était inquiet. Il n’y avait pas eu de telles assemblées depuis longtemps. Il soupira et murmura dans sa barbe.
-J’ai vraiment le dont d’inquiéter tout le monde, hein bourgeon ?
Il était évident que Macaque ne lui répondrait pas. Mais il aimait penser que le singe de l’ombre aurait pu l’entendre peu importe où il se trouvait. Comme cela a toujours été le cas lorsque Macaque était de ce monde.
- Ah…on dirait que j’ai fait peur à tout le monde hein ?
Comme un seul singe, le mur de primate hocha la tête plusieurs fois. Puis, un murmure fort commença à parcourir la foule. Wukong suivit le son inquiet de là où il a commencé, et le suivit se propager dans la foule en vague. Chacun voulait donner son avis. Wukong ne dit rien. Il laissa un temps s’écouler avant de demander le silence, et demander à une personne de se charger de représenter la troupe. Un chuchotement bref se fit entendre avant que la troupe ne donne un nom.
« Shi Luo »
Le même singe que Wukong avait vu plus tôt ; celui que Macaque avait ramené sur la montagne, s’écarta du lot. Maintenant que Wukong le voyait, il pouvait remarquer à quel point le singe était jeune. Il allait certainement atteindre sa maturité dans quelques années, mais il était encore assez jeune. Sans doute un peu plus jeune que lui et Macaque l’étaient la première fois qu’ils s’étaient croisés. Il avait une fourrure aussi claire que les nuages, qui virait au noir au niveau de la queue. Sa peau était un peu plus grise que celle de Macaque, et un masque bleu recouvrait ses yeux. Le jeunot se rapprocha au plus proche de Wukong avant de s’incliner de la même façon que le faisait Macaque lorsque ce dernier se mettait à agir comme son vassal devant des étrangers de la montagne. Le geste pinça le cœur de Wukong. Il serra sa prise sur ses vêtements.
-Qui es-tu ? Demande Wukong.
Le singe au marquage bleu leva les yeux vers Wukong, et les cligna plusieurs fois avant de s’empresser de répondre le plus poliment possible.
-La vieille Lune m’a donné le nom de Shi Luo. Je suis le premier protégé de la veille Lune, votre altesse. Je serais celui qui vous offrira la voix de votre peuple aujourd’hui.
Wukong ne savait pas que Macaque avait des protégés. Il savait que lui et le singe de l’ombre trouvaient souvent des singes en difficulté, et les ramenaient à la montagne. C’était un quelque chose que Wukong était sûr que Macaque avait continué à faire après son départ ; mais les appeler protégés était excessif. Cela donnait un mauvais goût dans la bouche de Wukong. La voix de Macaque le gronda dans sa tête. Comme si Macaque avait deviné que les prochaines actions de Wukong allaient être stupides. Wukong décida de ne rien faire. Il hocha lentement la tête, il interrogerait de Shi Luo plus tard.
-Parle.
Ordonne-t-il enfin. Shi Luo ne se fit pas prier.
-Nous sommes inquiets pour vous votre altesse. Des sifflements positifs s’élevèrent de la foule, encourageant le singe les représentants, à parler. Vous êtes restés des années à pleurer une personne qui n’existe plus. La montagne à besoin de leur roi. Nous pleurons avec vous la perte de la vieille Lune, mais vous ne pouvez pas vous laisser dépérir ainsi. Encore une fois, nous avons besoin de vous. La montagne n’a pas connu de véritables beaux jours depuis que vous avez cessé de sourire. Certains des fruits que la vieille Lune adorait ne donnent plus de fruits, comme si vous l’aviez commandé. Les humains et les démons s’aventurent un peu plus près de la montagne à chaque jour qui passent, et nous craignons que, si le chagrin ne vous tue pas, ce sera la prochaine attaque à l’encontre de la montagne qui prendra vos immortalités.
Wukong émit un rire moqueur à la dernière phrase du jeune singe. S’il pouvait mourir de si peu, il serait déjà parti depuis longtemps. Son immortalité le condamnait ainsi, à vivre sans Macaque.
-Ne vous en faites pas. Je ne mourrais pas de si peu. Et je m’occuperais de vous.
Shi Luo leva les yeux vers la foule qui s’était remise à murmurer en désordre. Wukong réussit à retenir quelques mots. Mais visiblement, Shi Luo réussit mieux que lui à assimiler ce qui intriguait tout le monde dans la troupe. Il arrivait certainement à démêler les inquiétudes de tout le monde par ce qu’il avait les mêmes préoccupations. C’est comme cela qu’il démêlait si bien le charabia de mot si fermement gribouillé.
-Nous vous croyons mon roi. Mais nous tenons à vous. Nous aimerions que vous puissiez vivre à nouveau malgré le départ de la vieille Lune.
Le jeune homme sembla vouloir dire quelque chose. Il hésita une seconde, jeta un regard à la troupe, demandant s’il pouvait parler du sujet délicat que tous, semblaient avoir pensé, avant d’ouvrir à nouveau la parole.
-Nous pensons que vous devriez peut-être chercher un nouveau compagnon.
La fourrure de Wukong se hérissa de colère. Il ignora même le fait que le plus jeune impliquait que son amitié avec Macaque était plus que cela. Ses griffes s’enfonçaient dans ses paumes pour essayer de ne pas tuer le jeunot tout de suite. Les petits qui étaient sur lui, descendirent en sentant la tension monter. La gorge de Wukong se serra, il fit de son mieux pour retenir la boule de rage au fond de son œsophage. Ignorant le danger, Shi Luo continua.
-La vieille Lune est, et restera irremplaçable. Mais… nous pensons que peut-être, si vous trouviez quelqu’un pour combler le vide qu’elle… qu’il a laissé ; vous seriez capable de passer à autre chose. Il n’est pas bon de s’attarder sur le même problème indéfiniment. Nul ne peut vaincre la mort, une fois qu’il l’a traversé.
-J’ai vaincu la mort. Grinça Wukong. Je suis allé aux enfers et ai retiré mon nom de la mort elle-même. Rien ne m’est impossible. Je suis Le grand roi singe égal au ciel. Et je le dis aujourd’hui et maintenant. Rien ni personne ne remplacera Macaque.
-Ce n’est pas ce que je voulais dire… Nous pensons…
-Alors ne pensez plus.
Wukong se tourna directement vers sa troupe, les crocs à découvert.
-Alors c’est ça ? Vous voulez que je trouve un remplaçant à Macaque ?
Un brouhaha se fit entendre. Shi Luo repris la parole pour pouvoir retranscrire ce que la foule pensait et que Wukong avait déjà compris.
- Nous ne voulons pas de remplaçants à la vieille Lune. Nous souhaitons seulement votre bonheur, grand-père Sun. Shi Luo hésita avant de dire ce qu’il pensait personnellement. La vieille Lune était une personne logique. Elle serait d’accord avec cette décision.
-Assez !
Le cri de Wukong se répercuta dans toute la montagne. Chacun se tût.
-Je ne veux plus jamais vous entendre, ne serait-ce qu’évoquer cette idée stupide. C’est un ordre. Si jamais l’un d’entre vous le fait, je l’écorcherais vif, moi-même.
Suite à ses mots, Wukong s’enfonça dans la forêt. Les singes ne le retinrent pas. Ils attendirent que leur roi parte avant de chuchoter.
-Notre roi a perdu la raison.
Entendait-on.
-La perte de grand-mère Lune l’a brisé.
Se chuchotait entre les parois.
-Notre roi ne pourra plus être le même.
Les murmures résonnèrent encore et encore, reflétant la panique du peuple. Tout le monde aimait Macaque. Mais même eux savaient que la mort était définitive, et qu’ils ne pouvaient rien faire à ce sujet si ce n’est aller de l’avant. Il n’était pas question d’oublier le passé. Mais on ne devait non plus être ralenti par ce dernier. Ceux qui avaient survécu à l’incendie de la montagne de fleur et de fruits comprenaient certainement le mieux le roi singe. Mais même eux savaient que le roi devait agir comme tel. Macaque ne reviendrait pas. Tout comme les morts de ce jour-là. Cela faisait des mois, des années, quelques siècles, que le roi pleurait Macaque. Il ne pourrait pas le faire pour l’éternité. Il devait se ressaisir. Mais Wukong restait le même enfant têtu qui avait sauté dans la cascade. Et il ne voulait pas voir la réalité en face.
chapitre 1 _ chapitre 2_ Chapitre 3
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Il y a ce moment où j'ai juste envie de me refermer dans ce câlin que je ne connais pas, d'écouter les battements du cœur, le souffle, le bruit du silence..
Là où la peau se touche et les parfums se mélangent..
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2019
Je pense que nous sommes juste passés à côté de quelque chose de bien
Son amour pour moi avait fait ses cartons
Tout était soigneusement disposé, rangé dans les pièces et les couloirs de sa mémoire ...
Des souvenirs, des moments, des instants, des photos ...
Éparpillés partout sur le sol,
une vie , nos corps à corps , la tempête qui nous avait encore plus soudés l’un à l’autre et qui nous avait, ironie de la vie, au final séparés ... nos rêves de balades, de voyages ... nos éclats de rire, nos peurs, des chansons , nos quelques espaces tel un couple normal , nos prises de bec , nos fantasmes et nos jeux érotiques , nos quotidiens entremêlés... nos pas de deux ...
Tout notre fouillis d’amour était désormais bien rangé, empilé, répertorié, prêt à recevoir la poussière des années ...
Je restais là... seul ... à vouloir tout garder d’elle : sa force, son humanité, son romantisme, sa sincérité, sa sensibilité, son museau de petit lapin, sa chevelure , sa force érotique, sa sensualité... mes doigts gardaient en eux le contact de sa peau ... j’avais la mémoire de son corps dans mes bras... son poids sur moi ...
nous nous étions tombés dessus ... la soudaine rencontre de deux âmes et de deux corps, une cohésion inattendue qui se transforme parfois en terreur et en détresse car elle libère trop d’énergies inconnues ...
La pluie et le froid tombait sur ma vie, je contemplais l’océan où j’allais errer, la plage immense où j’allais y chercher le petit grain de sable qu’elle disait être...
Me lever le matin désormais sera avec un vide dans la poitrine, j’étais imprégné d’elle,ce n’était pas la force de gravité qui me maintenait au sol c’était elle; là où elle était je voulais être , respirer le même air , bouger si elle bougeait ...
Il me restait mes chansons, mes livres, les petits vices de la vie comme disait le colonel Lawrence dans le désert , de simples plaisirs tel le café brulant à l’odeur de cannelle, une douche brûlante pour dénouer les muscles , courir ... m’enivrer le corps pour que l’esprit ne pense pas ... plus ... au-delà des responsabilités qui étaient les miennes ...
J’avais essuyé de trop nombreuses tempêtes et traversé assez de batailles pour savoir que l'amour était presque une maladie, une notion issue des temps anciens, d'une époque où le monde était à la fois plus jeune et plus sage.
Le chemin du jardin de mon cœur en était caché, perdu pour ne plus laisser une autre me séduire, me conquérir, s’installer dans ce lieu .
Elle était mon dernier amour ... celui que je cherchais depuis ... que ce mot avait planté ses racines en moi ...
Je ne sais pas si je pourrais
De nouveau tout recommencer
Elle aurait du mal la prochaine
A comprendre ce qui m’enchaîne
Une autre peau, une autre odeur, une autre personnalité ... changer de lit changer de corps ... à quoi bon ...
Il ne me restait plus qu’à plonger en moi-même pour aller au bout de la douleur, espérer qu’avec le temps ... va ... je pourrais contenir la brûlure de l’absence .
Comment l’évacuer de ma vie ... comment lui barrer le chemin de mes pensées... Cette petite chaîne en or, ce pull, cette dernière bouteille de parfum qu’elle m’a ramené de voyage ... ces tout petits riens qui impitoyablement la faisaient surgir ... elle avait façonné une part de ma vie... sans doute bien plus grande qu’elle ne pouvait l’imaginer ... je pouvais parler d’intrication assurément ... elle avait réussi ce tour de force de s’immiscer partout ... elle avait été telle l’eau qui gèle dans le rocher et le fait éclater ... elle était allée là où personne n’avait pu aller avant , elle avait même réussi à apposer une fissure tout au fond ...
J’étais tel Narcisse devant la glace de la salle de bain à chercher son image ... plus d’une fois l’idée que nous étions frère et sœur était venue aux gens... elle était non seulement mon âme sœur mais bien plus ... si j’étais né fille j’aurais aimé être elle ...
Elle avait beau tenir mordicus que nous étions différents... je ne pouvais que sourire ... à croire qu’elle essayait de se convaincre ... c’était sans doute ce qu’elle faisait d’ailleurs ... pour pouvoir se détacher de moi ... Elle ne voyait pas que nos différences se reflétaient ...
Pourquoi est-elle partie...
Elle disait qu’elle était une sale gamine ... oui je crains qu’elle n’eut été lucide envers elle-même ... bien qu’il m’en coûte de le reconnaître ...
Les vides, les espaces entre les lignes, les non-réponses, les non-dits ... éparpillés dans nos échanges épistolaires quelque soit le support ... me laissent exsangue.
Je suis comme un marin devant l’océan à qui on reprocherait la tempête qu’il a traversé ... elle n’a pas supporté ... et la voilà elle dans sa propre tempête et je sais au fond de moi que je ne peux rien faire ...
Certains chemins s’arpentent seul ... elle a fait des choix et les conséquences la submergent ... nonobstant la peur desdites conséquences, possibles ou probables , bien que ce que l’on désire ou ce à quoi on aspire se trouve juste de l’autre côté de la peur ... il y a aussi elle, elle avec elle-même ... telle une lame de fond ... mais oui hélas c’était bien une lame de fond de son passé qui remontait ... dont je ne connaissais que trop bien la force ...
Elle avait aimé celui que j’étais ...
J’aurais voulu être lui encore ... rester moi ... cet autre moi que je n’étais plus ... du moins plus complément ... j’étais sorti de ma tempête et je pouvais dire qu’elle m’enveloppait comme un manteau que j’acceptais comme une évidence ... je savais que j’allais voyager en solitaire ... mais en y réfléchissant je l’avais toujours été... quand à elle, elle était trop sauvage ... il lui fallait faire la paix avec elle-même ... On ne pouvait rien changer au cours des choses; autant jeter des pierres à la lune ...
je me sentais comme une maison qui se chercherait son fantôme et qui l’avait trouvé ... je me sentais hanté de sa présence ...
Quelle ironie , la vie redevenait supportable et se transformait en une chose qui méritait d’être vécue avec passion, énergie et un espoir dont le plaisir ne dépendait plus de la simple fatalité ... et elle me laisse ... là... presque comme si elle avait été qu’un rêve ...
Une vieille légende raconte que quand les dieux veulent vous punir ils exaucent vos prières ... je désirais trouver celle qui me ferait toucher ce qui se cachait au sein des vieilles histoires telles Tristan et Iseut, Lancelot et Guenièvre ... même malgré la morale des autres ...
Elle ne l’aime plus
C’est du passé
N’en parlons plus
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Le Figaro-modes, no. 37, janvier 1906, Paris. L'Art de la coiffure. Vitrine de Mm. Gilbert Frères, Coiffeurs. 8, Boulevard des Moulins, Monte-Carlo — 10, Rue de Casino, Aix-les-Bains. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
L'art de la coiffure consiste à faire d'une jolie femme une beauté, d'une femme aux traits ordinaires une jolie femme, et d'une femme laide une presque jolie!
Il y a un tour de main spécial dans l'ondulation, une bouclette à faire bouffer selon les règles de cet art, toute une combinaison de ce génie que Gilbert a décidément atteint: aussi ses salons de Monte-Carlo l'hiver et d'Aix-les-Bains l'été sont-ils bondés de toutes les grandes élégantes qui attendent patiemment leur heure de coiffure.
Il a aussi ses fameuses teintures blondes, brunes et rousses trompant par leur réalité l'œil le plus expert!
Il a aussi… que sais-je encore? des secrets de parfums grisant comme son dernier "Monte-Carlo Caprice" et son adorable parfum des "Blondes"; il a aussi des brillantines spéciales, des crêmes pour le teint!
Ah! ces crèmes, quel délice sur la peau qu'elles adoucissent, rafraîchissent et embaument! Toutes en veulent! Toutes en ont!!!
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The art of hairdressing consists in making a pretty woman a beauty, a woman with ordinary features a pretty woman, and an ugly woman an almost pretty one!
There is a special trick in waving, a curl to be fluffed according to the rules of this art, a whole combination of this genius that Gilbert has definitely achieved: so his salons in Monte-Carlo in winter and Aix-les-Bains in summer are crowded with all the great elegant ladies who patiently await their hairdressing hour.
He also has his famous blond, brown and red dyes deceiving the most expert eye by their reality!
He also has… what else do I know? secrets of intoxicating perfumes like his latest "Monte-Carlo Caprice" and his adorable perfume of "Blondes"; he also has special brilliantines, creams for the complexion!
Ah! These creams, what a delight on the skin that they soften, refresh and perfume! Everyone wants some! Everyone has some!!!
Le Gérant: Quintard. Imprimerie Lahure, 9 Rue de Fleurs, Paris. Clichés Ruckert.
#Le Figaro-modes#20th century#1900s#1906#periodical#fashion#fashion plate#advertisement#Forney#hair#one color plates#this month#January#fav january
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Un dimanche matin sur la terre...
Rien n'est plus merveilleux que de se réveiller sur le cœur de son bien-aimé, laisser les bras de la tendresse se faire caresse et dans un peau à peau, respirer le parfum de l'amour. Dans un halo de bonheur, l'instant devient tout simplement magique !
La vie est une belle aventure, l'amour en est sa source.
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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Et partout où je vais, j’ai toujours en mon cœur le parfum de ta peau, la douceur de tes mains, la cambrure de ton dos, la rondeur de tes seins, la chaleur de tes reins, et toute la tendresse qui guide nos caresses…
V. H. SCORP
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J'ai pris de l'or au bout des doigts (de l'or bleu, de l'or des océans ou des ciels infinis, je ne sais) - un or hespéridé, tout de reflets d'agrumes, d'essences citronnées... du bout des doigts... et l'eau enjambait mon ventre - prestement.
Il a fondu à mes hanches, ennuagé mes cuisses, s'est mêlé à la nuit, s'est perdu dans mon propre ciel... personnel. Et j'expirais ma vie. Sous ton regard brûlant. Soleil pâle, reflux calmes...
J'ai flatté les mystères, sur ma peau traînée d'or, marbrée de liqueurs fortes.
De mon ventre à mes seins, à mes épaules, depuis mes reins.
Les marbrures ont coulé.
Et les granulés d'or crissaient sous mes doigts qui étiraient la soie comme pour cacher mon corps - mais les parfums ne voilent rien - et j'étais nue.
Sinon vêtue de mes mains passagères, de mes coulures premières que mes paumes étalaient. À mes aisselles - l'écume naissait - et tout au long de mes bras.
(Que mes joues rougissaient... puisque tu étais là !)
Mes mains flattaient mon corps - et j'allais jusqu'au bout.
Du bas de mon dos à mes épaules retorses - et ton regard livide, amoureux, clandestin, invité au festin par nos amours communs - je ranimais la mousse qui se voulait mourante égarée, tout à l'heure, à mes flancs, mes forêts... mes filets. Et mes fesses aussi ont été égayées - et ravies.
Il me fallait des ciels - et j'y mettais les doigts - englués de parfum surnageant sur mes jambes et s'arrogeant mes cuisses, mes chevilles et mes pieds.
Je me suis oubliée - penchée et encensée, ruisselante et lustrée - à mes orteils - intensité trouvée sous ton amour lâché - dans mes champs. (I-ma-gi-na-ti-on qui te cherche et t'atteins, sans cesse te prends la main, te mène à mes pensées, te baise les joues et puis t'étreins).
9Et l'eau coulée a disparu la mer et ses aurores - en allées sous mes talons - et j'ai souri, en dernière pluie, à notre amour partagé.
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