#Mixité sociale
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#Actualités#Société#crime quartier#mixité sociale#quartier sensible#rénovation urbaine#trafic de drogue
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Ces histoires et ces mouvement m’enchantaient, mais en voie générale on doit aussi faire ses devoirs, fardeau auquel j’étais devenu allergique. Au lieu de lutter, je m’étais fait une raison, après avoir appris que mes notes déjà médiocres me permettraient l’accès à la section technique. On pouvait aussi y obtenir un baccalauréat. De réputation, il ne nécessitait aucun effort et ne promettait aucun avenir.
Mokhtar Amoudi Les conditions idéales
L'auteur est né en 1988, et cette année-là, j'écoutais ça :
youtube
Cheb Khaled Kutché (1988)
#citation#mokhtar amoudi#livres#trepalium#école#mixité sociale#lycée technologique#aide sociale à l'enfance#cheb khaled#raï#chanson#musique#algérie
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Enseignement privé sous contrat : A. Oudéa-Castéra exigera de la mixité sociale
Quant à associer « l’ensemble de l’enseignement catholique » à une « démarche de mixité sociale »… on se croirait en 1792 ou en 1917. Par Arnaud Florac Nous avons besoin de votre soutien pour poursuivre notre combat face à la dictature qui s’en vient.Cliquer ICI Enseignement privé sous contrat : A. Oudéa-Castéra exigera de la mixité sociale On peut dire que c’est plutôt pas mal. Le ministre…
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#Amélie Oudéa-Castera#Arnaud Florac#éducation#boulevard voltaire#mixité sociale#Observatoire du MENSONGE#politique#politiue
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Elisabeth Borne et la "mixité sociale" : en indiquant qu'elle allait donner instruction aux Préfets de veiller à une "meilleure" répartition territoriale des profils des titulaires de logements sociaux, la Premier Ministre met en évidence sa méconnaissance des tissus locaux. C'est un problème majeur de la
Présidence Macron à l'exception de Jean Castex qui a eu l'expérience de la gestion d'une "petite" Commune. La politique sociale dans les Communes de moins de 2 500 habitants existe peu. Le budget du CCAS est souvent très faible, de l'ordre de 10 000 €. Changer la sociologie de ces Communes, c'est introduire une nouvelle donne financière majeure. Sans stigmatiser des "populations en difficulté", le réalisme c'est d'abord de constater qu'il faut avoir les moyens d'accompagner ces profils par des services publics et des aides qui souvent n'existent pas dans des Communes petites ou moyennes notamment dans le secteur rural. Il y a un environnement qui permet d'être efficace. Et d'autres environnements où la gestion sociale est très difficile. Ce n'est pas qu'il n'y a pas la volonté mais les moyens font défaut. C'est la réalité du terrain.
30/10/2023
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ÉLECTIONS CA SNCF | POUR UN MEILLEUR AVENIR : VOTONS LA CGT !
Tract du secteur fédéral CGT des cheminots de la région de Strasbourg aux cheminotes et cheminots concernant les élections au Conseil d'Administration SNCF.
➡️Lire, télécharger, diffuser (PDF) : https://drive.google.com/file/d/1J1augP9xS40ekGFuQPxgPXOwsrXT3X31/view
➡️Toutes les informations : https://www.renforcement-cheminotcgt.fr/
➡️Podcast audio : https://podcast.ausha.co/cgtcheminots/elections-ca-sncf-c-est-quoi-c-est-quand-pourquoi-voter-lacgt
#CGT#cheminots#elections#CA#conseil#administration#SNCF#keolis#geodis#revendications#service#public#salaires#retraite#droits#travail#sécurité#ferroviaire#fret#égalité#mixité#libertés#statut#social#union#action#vote#transport#tous#ensemble
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اخبار مترجمة :Faut-il remplacer le SNU par une conscription choisie en France ?
Le SNU, ou Service National Universel, lancé en 2019, a, parmi ses objectifs, d’améliorer la mixité sociale et le sentiment d’engagement auprès d’une jeunesse présentée, à tort ou à raison, comme de plus en plus éloignée de la vie de la Nation. Celui-ci vient de faire l’objet d’un rapport de la Cour des Comptes du plus préoccupant, jugeant le dispositif onéreux, mal planifié et, surtout, dont les…
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LE DERNIER JUIF - Une comédie sociale profonde et poétique, qui fera date.
D’abord par le sujet qui aborde avec tellement d’humour, de sensibilité, de drôlerie, de poésie, et d’humanité sur un sujet grave et complexe : l’intégration des communautés juives (sépharades), arabes, musulmanes, et noires, dans nos banlieues… Cette mixité victime de tant d'incompréhensions en interne, mais surtout de tant de préjugés de la part de ceux qui en ignorent tout.
A partir de cette thématique, la focale est mise sur les juifs de la loose, très peu représentés à l'écran. On avait déjà les Bling-Bling, les arnaqueurs, les victimes de la Shoa, les sionistes et les antisionistes, mais aux juifs à qui rien ne marche, personne n'avait encore imaginé leur écrire un scénario. Plus de voisins, plus de boucherie cacher, une maman malade, un fils au chômage, un immeuble en ruines, des affaires foireuses, une syna désertée, un bureau de la Alya désespéré, un père obscurantiste et absent, et pas même une chaise appropriée pour faire son deuil.
Et la juste mise en scène sans pathos de tout ceci, Noé Debré, grand scénariste, dont c’est le premier long métrage, la relève magistralement grâce au personnage de Bellisha. Le charisme de notre anti-héros tient dans la prouesse de jeu du comédien Michael Zindel, qui tient tout le film dans son corps, mélange de nonchalance et de vivacité d’esprit à s’adapter. Sans ce dernier, et le couple fils-mère incroyable qu’il réalise avec Agnès Jaoui, le film n'aurait jamais eu toute la saveur qu'il dégage.
Il faudrait aussi citer chacun des personnages secondaires qui ne sont pas en reste : Eva Huault, la délicieuse maitresse de Bellisha, Solal Bouloudnine, le cousin Asher, qui a la tchatche commerçante à saisir les bons coups, véritable contrepoint de l‘insouciante fausse-légèreté de Bellisha, et Youssouf Gueye, l’ami noir qui croit ne pas aimer les juifs.
Mais derrière ce cadre, se dessine l’autre sujet du film, plus profond : comment se séparer de sa mère quand on lui est attaché ? Cette (angoisse de) séparation court en filigrane à travers tout le film, s’intégrant à la séparation de l’Algérie, de la terre mère. Accepter de prendre sa valise, et d’explorer d’autres chemins, d’autres territoires.
Il n’y a pas de vie sans séparation.
La réussite à la fois discrète mais indiscutable du film tient encore aussi à deux choses : D’une part la voix off, un peu ampoulée, qui raconte le récit, et vous saisit dès les premières images du film. Comme si tout était écrit dès le départ du destin de Bellisha, pantin dans les mains du créateur, qui, l’air de rien, va savoir s’affranchir de ce destin, et d’autre part l’attitude clownesque du couple Zindael-Jaoui. C'est entre ces deux lignes que Michael Zindel, dont le personnage inouï, lunaire, toujours à côté de ses pompes, non sans une libido active, et laissant glisser sur lui les attaques et les coups de la vie, s’inscrit dans la droite lignée de Charlie Chaplin, Buster Keaton ou Jacques Tati.
Agnès Jaoui, nous étonne encore une fois de par se sensibilité. Puissante, burlesque, émouvante dans ses contradictions, ses angoisses, sa douleur; elle compose un incroyable duo avec Bellisha, dont on ne sait plus très bien qui est l’enfant et le parent…
NOTE 17/20 - Exceptionnel. Subtil, sensible, drôle, profond.
Touché par la grâce.
Les deux acteurs principaux, Agnes Jaoui au sommet de son art, et Michael Zindel génial. Entre La vie devant soi, ou Mangeclous, ce film est un chef d'œuvre d'humour, d'originalité et de légèreté.
Pour rendre drôles et légères les choses les plus graves.
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QUEER MTL THINGS TO DO: November 2023
The temperature may get colder in November, but Montréal’s LGBTQ+ scene continues to heat up! This month, Montréal is stuffed to the brim with events, parties and unique experiences painted in all the colours of the LGBTQ+ rainbow. From drag to community, circuit to underground, here’s some of our picks for the best LGBTQ+ things to do in the city. For further announcements, including those not announced at time of publication, follow QueerMTL on Instagram, Twitter, Facebook and Tumblr! Got an event coming up? DM it our way! En français : https://www.mtl.org/fr/experience/queer-mtl-quoi-faire
ÉVÉNEMENTS / EVENTS
Mercredi 1er novembre / Wednesday, November 1
🤡 CLOWN Playshop with Ander Wayne, Studio Mange Mes Pieds 💻 QueerTech hosts the QT Qonference, Cirque Éloize ✍️ HommeHomo presents Drink & Draw, Bar Le Cocktail ✍️ Queer Sip & Draw, Blue Dog Motel 🎶 P!nk with Grouplove, Centre Bell
Jeudi 2 novembre / Thursday, November 2
💻 QueerTech hosts the QT Qonference, Cirque Éloize 🎨 Art Battle Montréal, Bar La Shop 🎶 P!nk with Grouplove, Centre Bell
Vendredi 3 novembre / Friday, November 3
🎶 Blonde Redhead with Bibi Club, Le Studio TD 🎶 Depeche Mode with DIIV, Centre Bell
Samedi 4 novembre / Saturday, November 4
✊ Festival Jouissif Montréal hosts La Garçonnière Marché Kinky, L’Étage 🤗 À Corps Consentants—ÀCC hosts Nuances of Giving & Receiving—A Practice of Consent, White Wall Studio 🎤 Bareoke: Strip Karaoke, Café Cléopatra 📚 LGBTQ+ Books Celebration Event, L’Euguélionne
Dimanche 5 novembre / Sunday, November 5
🎉 La gailaxie ligue d’improvisation, Cabaret Mado 😆 A Very Pretentious Comedy Show #11 with Kyra Carleton, Brad MacDonald, Monica Hamburg, Estelle Davis, Carmina Berbari Daou, Leslie Simpliciano-Szigeti and Viveth K, The Diving Bell Social Club
Lundi 6 novembre / Monday, November 6
🤗 Jam d’impro contact, en mixité choisie, White Wall Studio ✍️ Trivia Mondays hosted by Bambi Dextrous, Diving Bell Social Club
Mardi 7 novembre / Tuesday, November 7
😆 Stand Up St. Henri Open Mic focusing on women, non-binary, queer and allied comedians, Impro Montréal
Mercredi 8 novembre / Wednesday, November 8
🤡 CLOWN Playshop with Ander Wayne, Studio Mange Mes Pieds ✍️ Queer Sip & Draw, Blue Dog Motel
Jeudi 9 novembre / Thursday, November 9
🎶 Jeremy Dutcher, Beanfield Theatre 🎭 Cabaret Queer with Tracy Trash, Pascale Picard, Ruby Doll, Grant Canyon, Rocio Vadillo et Luca “Lazylegz” Patuelli, Mimi Cherry, Derek Wood and Saffi Watson, Cabaret Mado
Vendredi 10 novembre / Friday, November 10
🎶 Hannah Georgas with Ten Kills the Pack, Petit Campus
Samedi 11 novembre / Saturday, November 11
📚 The Violet Hour Book Club reads Suzette Mayr’s The Sleeping Care Porter, Archives gaies du Québec 🛼 Rollerville MTL hosts the Cinquième Roll Out—Roller Disco, Arena St-Louis
Lundi 13 novembre / Monday, November 13
✍️ Trivia Mondays hosted by Bambi Dextrous, Diving Bell Social Club
Mardi 14 novembre / Tuesday, November 14
😆 Stand Up St. Henri Open Mic focusing on women, non-binary, queer and allied comedians, Impro Montréal
Mercredi 15 novembre / Wednesday, November 15
🫦 SASSITUDE Playshop with Ander Wayne, Studio Mange Mes Pieds ✍️ Queer Sip & Draw, Blue Dog Motel
Jeudi 16 novembre / Thursday, November 16
🎥 Image+Nation festival film LGBT2SQUEER Montréal, various locations (check program listings at image-nation.org)
Vendredi 17 novembre / Friday, November 17
🎥 Image+Nation festival film LGBT2SQUEER Montréal, various locations (check program listings at image-nation.org)
Samedi 18 novembre / Saturday, November 18
👠 The House of Old Navy presents The Candy Shop Kiki Ball, Location TBC 👚 Queer Clothing Swap, BMP Co-op 🏳️🌈 exChange: ingergenerational dialogue through making art, MAC Musée d’art contemporain de Montréal 🎥 Image+Nation festival film LGBT2SQUEER Montréal, various locations (check program listings at image-nation.org)
Dimanche 19 novembre / Sunday, November 19
🎥 Image+Nation festival film LGBT2SQUEER Montréal, various locations (check program listings at image-nation.org)
Lundi 20 novembre / Monday, November 20
✍️ Trivia Mondays hosted by Bambi Dextrous, Diving Bell Social Club 🎥 Image+Nation festival film LGBT2SQUEER Montréal, various locations (check program listings at image-nation.org)
Mardi 21 novembre / Tuesday, November 21
😆 Stand Up St. Henri Open Mic focusing on women, non-binary, queer and allied comedians, Impro Montréal 🎥 Image+Nation festival film LGBT2SQUEER Montréal, various locations (check program listings at image-nation.org)
Mercredi 22 novembre / Wedneseday, November 22
🎶 Pierre Lapointe, Théâtre de la Ville Longueuil ✍️ Queer Sip & Draw, Blue Dog Motel 🎥 Image+Nation festival film LGBT2SQUEER Montréal, various locations (check program listings at image-nation.org)
Jeudi 23 novembre / Thursday, November 23
🎥 Image+Nation festival film LGBT2SQUEER Montréal, various locations (check program listings at image-nation.org)
Vendredi 24 novembre / Friday, November 24
🎥 Image+Nation festival film LGBT2SQUEER Montréal, various locations (check program listings at image-nation.org)
Samedi 25 novembre / Saturday, November 25
🎤 Bareoke: Strip Karaoke, Café Cléopatra 🎥 Image+Nation festival film LGBT2SQUEER Montréal, various locations (check program listings at image-nation.org)
Dimanche 26 novembre / Sunday, November 26
🎥 Image+Nation festival film LGBT2SQUEER Montréal, various locations (check program listings at image-nation.org)
Lundi 27 novembre / Monday, November 27
✍️ Trivia Mondays hosted by Bambi Dextrous, Diving Bell Social Club
Mardi 28 novembre / Tuesday, November 28
😆 Stand Up St. Henri Open Mic focusing on women, non-binary, queer and allied comedians, Impro Montréal
Mercredi 29 novembre / Wednesday, November 29
🎶 Mariah Carey, Bell Centre ✍️ Queer Sip & Draw, Blue Dog Motel
Jeudi 30 novembre / Thursday, November 30
📚 Violet Hour celebrates 5 years with readings from Suzette Mayr, Daniel Allen Cox and Katia Grubisic, Casa d’Italia
FESTIVITÉS / PARTIES
Jeudi 9 novembre / Thursday, November 9
🥳 Dirty Pop Party with J-Line, Mosez Jones, Mint Simon and Alex Mick, Wheel Club
Vendredi 10 novembre / Friday, November 10
🥳 Cerise Noire with DJ JT, Bar Notre-Dame-Des-Quilles
Samedi 11 novembre / Saturday, November 11
🥳 MPU hosts Génération MPU ✨ 15e Anniversaire with Kiki Coe, Sisi Superstar, Petula Claque and DJs Montag, Frantastik and Jeffany, Le Belmont
Vendredi 24 novembre / Friday, November 24
🥳 Agent Malory presents ARMAGUIDOUNE, Cabaret Berlin 🥳 Psychedelic Babylon presents Equilibrium with AVALON and PHAXE, Secret Location
Samedi 25 novembre / Saturday, November 25
🥳 Virtualis presents CYBERCULT with Dopamyne, No Police, Corinita, Pretty Privilege, Haze, H1bou, Hotfit and more, Secret Location
DES SPORTS
🛼 Rollerville MTL hosts the Cinquième Roll Out—Roller Disco, Saturday, November 11, 2023, Arena St-Louis
💪 From the Ground Up: Strength Training for Newbs, Punks and Weirdos with Nadine Forde runs November 18-December 2, 2023, StudioEd
👯 Tango/Salsa Queer holds lessons every Saturday, visit queertangomtl.com for information or contact [email protected] or call +1 (438) 930-8529 for prices and signup information.
👠 Twice a month on every second Tuesday, Bring It! hosts an OTA night of ballroom and vogue with commentator and DJ. Follow their Instagram for dates and details.
🚲 Montréal Queer Bike Polo meet on Thursdays, with details on Instagram
🎾 Ligue de dimanche meet at the Parc Louis-Riel tennis courts every Sunday
🤠 Club Bolo—Danse Country Montréal meet on Fridays at the Association sportive et communautaire du Centre-Sud
🏐 Les Ratons-Chasseurs (Montréal’s LGBTA dodgeball group) holds regular events. Keep an eye on their Facebook for upcoming opportunities to join in and play.
🕹Montréal Gaymers hosts regular gatherings including board game nights and gaming gatherings. Check their Facebook for what’s next!
🏃🏾Join the Out-Run run and workout club for people relating to the queer / sapphic experience. Details on their Instagram!
🐦 Bird lovers should keep their eye on Queer Birders' regularly scheduled birdwatching events and excursions. Join the Facebook group and get those binoculars at the ready.
DRAG
Montréal’s vibrant drag community features several regularly-scheduled nights hosted by local luminaries, each featuring guest performers. Check venue websites for full line-ups!
Mercredi 1er novembre / Wednesday, November 1
👑 Queen of the Damned with Moxxi Hollow and Flex Ryder, Cabaret Mado 👑 Drag Race Brazil viewing party with Muz’Emma and Mob Dafok, District Video Lounge
Jeudi 2 novembre / Thursday, November 2
👑 Girls’ Night Out—Édition Cochonnes with Krystella Fame, Aizysse Baga, Celes and Rawxy, Cabaret Mado 👑 Butterfly de nuit with Miss Butterfly, Bar Le Cocktail
Vendredi 3 novembre / Friday, November 3
👑 Quebec City’s Les Vegans du Genre host Proud Bitch Party—Fièr.e.s Salop.e.s en fête with Aizysse Baga, Walter Ego, Lolita Stars, Val the Freak, Chris de Cave, Skandal, Nicky Gee, The Dramaqueer, Cismon Genderfuck and George-Édouard, Café Cléopatra 👑 Mado Reçoit with Mado Lamotte, Cabaret Mado 👑 Vendredi Fou with Michel Dorion, Bar Le Cocktail
Samedi 4 novembre / Saturday, November 4
👑 Bonne Fête Uma Gahd with Uma Gahd and Selma Gahd, Bar Le Cocktail 👑 Mado Reçoit with Mado Lamotte, Cabaret Mado 👑 Jimmy Moore personnifie Taylor Swift, Cabaret Mado 👑 Drôles de Drags with Miss Butterfly, Bar Le Cocktail
Dimanche 5 novembre / Sunday, November 5
👑 Le Tracy Show with Tracy Trash, Kiara, Bobépine and Velma Jones, Cabaret Mado
Mardi 7 novembre / Tuesday, November 7
👑 Full Gisèle with Gisèle Lullaby, Cabaret Mado
Mercredi 8 novembre / Wednesday, November 8
👑 Karma (1989 Version) with EmmÖtional Damage, Taylor De Vil, Kitana and Ad’horrible, Cabaret Mado 👑 Drag Race Brazil viewing party with Muz’Emma and Mob Dafok, District Video Lounge
Jeudi 9 novembre / Thursday, November 9
👑 Butterfly de nuit with Miss Butterfly, Bar Le Cocktail
Vendredi 10 novembre / Friday, November 10
👑 Mado Reçoit with Mado Lamotte, Cabaret Mado 👑 Vendredi Fou with Michel Dorion, Bar Le Cocktail
Samedi 11 novembre / Saturday, November 11
👑 Queb Drag Race 2 : DEMI FINALE, Théâtre La Comédie de Montréal 👑 Mado Reçoit with Mado Lamotte, Cabaret Mado 👑 Jimmy Moore personnifie Madonna, Cabaret Mado 👑 Drôles de Drags with Miss Butterfly, Bar Le Cocktail 👑 Dalida pour toujours with Michel Dorion, Bar Le Cocktail
Dimanche 12 novembre / Sunday, November 12
👑 Le Brunch aux folles with Misty Waterfalls, Lady Boom-Boom and Crystal Starz, Social Verdun 👑 Le Souper aux folles with Misty Waterfalls, Lady Boom-Boom and Crystal Starz, Social Verdun 👑 Le Tracy Show with Tracy Trash, Lady Boom Boom, Sasha Baga and EmmÖtional Damage, Cabaret Mado
Mardi 14 novembre / Tuesday, November 14
👑 Full Gisèle with Gisèle Lullaby, Cabaret Mado 👑 Coeur de velours, Bar Le Cocktail
Mercredi 15 novembre / Wednesday, November 15
👑 Drag Race Brazil viewing party with Muz’Emma and Mob Dafok, District Video Lounge
Jeudi 16 novembre / Thursday, November 16
👑 Unikorn Presents: Canada’s Drag Race Season 4 Premiere Viewing Party with Denim and Sisi Superstar, Le National 👑 Sashalicious with Sasha Baga, Velma Jones, Misty Waterfalls and La Drag On-Fly, Cabaret Mado 👑 Butterfly de nuit with Miss Butterfly, Bar Le Cocktail
Vendredi 17 novembre / Friday, November 17
👑 Mado Reçoit with Mado Lamotte, Cabaret Mado 👑 Vendredi Fou with Michel Dorion, Bar Le Cocktail
Samedi 18 novembre / Saturday, November 18
👑 Mado Reçoit with Mado Lamotte, Cabaret Mado 👑 Jimmy Moore personnifie Adele, Cabaret Mado 👑 Drôles de Drags with Miss Butterfly, Bar Le Cocktail 👑 Chouchoune presents Ginette Reno—La Quête, Bar Le Cocktail
Dimanche 19 novembre / Sunday, November 19
👑 Le Tracy Show with Tracy Trash, Pétula Claque, Kelly Torrieli and Misty Waterfalls, Cabaret Mado
Mardi 21 novembre / Tuesday, November 21
👑 Full Gisèle with Gisèle Lullaby, Cabaret Mado
Mercredi 22 novembre / Wedneseday, November 22
👑 Drag Race Brazil viewing party with Muz’Emma and Mob Dafok, District Video Lounge
Jeudi 23 novembre / Thursday, November 23
💄 BMP DRAG Workshop + Show, BMP Co-op 👑 Trashilaz with Aizysse Baga, Cabaret Mado 👑 Butterfly de nuit with Miss Butterfly, Bar Le Cocktail
Vendredi 24 novembre / Friday, November 24
👑 Mado Reçoit with Mado Lamotte, Cabaret Mado 👑 Vendredi Fou with Michel Dorion, Bar Le Cocktail
Samedi 25 novembre / Saturday, November 25
👑 Mado Reçoit with Mado Lamotte, Cabaret Mado 👑 Drôles de Drags with Miss Butterfly, Bar Le Cocktail
Dimanche 26 novembre / Sunday, November 26
👑 Le Tracy Show with Tracy Trash, Ruby Doll, Victoire de Rockwell and Marla Deer, Cabaret Mado
Mardi 28 novembre / Tuesday, November 28
👑 Full Gisèle with Gisèle Lullaby, Cabaret Mado
Mercredi 29 novembre / Wednesday, November 29
👑 Crystal Starz présente: Céline, encore un soir, Cabaret Mado 👑 Drag Race Brazil viewing party with Muz’Emma and Mob Dafok, District Video Lounge
Jeudi 30 novembre / Thursday, November 30
👑 Butterfly de nuit with Miss Butterfly, Bar Le Cocktail
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Voix plurielles 11.1 (2014) 355 Leclair, Didier. Le Complexe de Trafalgar. Ottawa : Vermillon, 2013. 237p. Auteur canadien vivant à Toronto, Didier Leclair est l’auteur de plusieurs œuvres dont Le Complexe de Trafalgar, un roman qui se caractérise par la multiplicité des intrigues, la prolifération des points de vue narratifs et l’enchevêtrement du réel et de l’irréel. En effet, même s’il est structuré autour de la vie du couple Boudreau et retrace leurs parcours professionnels et amoureux, le récit évoque des thématiques aussi variées que le « théorème du désir » fondé sur l’attraction interraciale , l’immigration et ses corolaires d’intégration et de désintégration, les politiques provinciale et fédérale, mais également la fragilité et l’interdépendance des destins humains dans une ville où la mixité sociale est un fait indéniable. Alors qu’ils se sont rencontrés au cours d’une manifestation étudiante à Vancouver, Victor et Helen d��cident de déménager à Toronto, cette métropole multiculturelle qui favorise l’épanouissement et la réalisation de tous les fantasmes, à condition d’être dans un mouvement perpétuel. Ainsi, Victor Boudreau, psychologue de son état, ouvre un cabinet de consultation dans la ville reine après avoir soutenu une thèse de doctorat sur ce qu’il a appelé « le complexe de Trafalgar », c’est-à-dire ce sentiment de supériorité qu’ont les anglophones vis-à-vis des francophones, par rapport à leurs compétences linguistiques. Car, pense-t-il, « l’anglophone canadien […] est trop confiant en ce qui concerne sa capacité de domination linguistique ». Quant à son épouse Helen, elle est agente immobilière, une activité à travers laquelle elle se réalise certes, mais qui ne lui laisse aucun moment de quiétude et de liberté pour se consacrer pleinement à la vie conjugale. Dès lors, Vic et Helen peineront à communiquer et verront les premières fissures dans leur couple. Mais Le Complexe de Trafalgar, c’est bien plus qu’un roman sur le destin de ce jeune couple, c’est aussi un questionnement sur la vie en communauté et les conditions de ce vivre ensemble dans une confédération fréquemment secouée par les velléités séparatistes du Québec francophone. En effet, le référendum de 1995, qui a failli faire éclater le pays et a créé un important questionnement dans tout le Canada, est un fil conducteur dans ce roman et permet à l’auteur de mener une réflexion sur le « bras de fer inconscient entre ce qu’on était et ce qu’on refusait de devenir, entre être ‘français’ et le refus de devenir ‘anglais’ ». Et à l’image du couple Boudreau, constate l’auteur, « une fois qu’on creuse pour détecter les fondements de cette fédération, qui se fait appeler ‘confédération’ par les historiens encore assujettis à une idée Voix plurielles 11.1 (2014) 356 erronée du Canada, on tombe sur un accroc de taille : les deux solitudes ». Alors comment sortir de ce dialogue de sourd ? Telle est la réflexion à laquelle nous invite Didier Leclair. Toutefois, l’examen minutieux et réaliste des relations humaines n’empêche pas le récit de se déployer dans les dédales du rêve et du fantastique, enjambant ainsi les limites entre ce qui est et ce qui est souhaité, entre l’onirique et le romanesque, entre le passé et le futur, en faisant fi du présent. Les consultations chez le psychologue offre à l’auteur une occasion toute particulière d’explorer, dans ce bouillonnement d’idées, ce qui relève de l’imaginaire collectif et du fantasme individuel, comme l’ouverture des archives de la Stasi en Allemagne de l’Est (chez Andreas et Anke) ou l’élaboration du théorème du désir par Akihito et Tchaka.
El hadji Camara, Université Brock
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La Cantine Populaire c'était "Manger bien à prix libre", un lieu inclusif qui prônait la mixité sociale. Mais le loyer étant trop cher et le chauffage inexistant, l'asso a dû quitter son local. Aux dernières nouvelles, elle n'aurait toujours pas de piste pour rouvrir sa cantine. N'hésitez pas à leur partager les plans dont vous auriez connaissance sur Aubenas. Contact : [email protected]
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Victime de l’expérimentation gauchiste de ses parents, un redditeur fait le récit de sa vie ruinée.
Rappel : Augusto Pinochet n'a rien fait de mal.
Voilà un moment Reddit fr particulièrement Reddit et particulièrement fr.
Reddit :
J’ai des parents de gauche. Plutôt éduqués. Ma mère a fait 2 ans de fac et a passé sa vie dans la fonction publique, mon père a lui passé la sienne dans l’industrie avec France Inter ou France Culture en arrière plan. On a eu des livres à la maison, mais on avait quand même droit à pas mal de télé. A la maison, nos parents n’étaient pas suuuper disponibles pour compléter notre éducation, en revanche. Ça casse un peu le mythe de la réussite scolaire héréditaire : papa rentrait claqué du travail à 20h30 pour mettre les pieds sous la table, maman s’occupait de la maison pendant ce temps, puis travaillait parfois jusqu’à minuit parce que, contrairement à mon père, elle ne pouvait pas « fermer la porte et éteindre la lumière. » Il fallait trimer à la maison aussi, parfois une partie des week-ends. Pour moi comme pour mes frères, le primaire s’est bien passé. Petite école de banlieue relativement paisible de Marseille, un peu piégée entre deux quartiers très, très chauds. Ce sera important pour plus tard.
Note : « très, très chauds » veut dire saturés d’Algériens, mais le redditeur étant une créature humainement médiocre et lâche, il préfère utiliser des euphémismes pour ne pas être maudit et banni par les autres redditeurs.
C’est pour notre entrée en 6e que les choses se sont gâtées. On n’avait beau ne pas avoir été des enfants bulle complètement déconnectés qui débarquent au collège avec un pull noué autour des épaules, mais mes frères et moi avons juste été… complètement inadaptés. Anti-intellectualisme, violence, harcèlement de quiconque franchissait le portail avec un livre dans le sac à dos (en pleines annees Harry Potter, j’étais littéralement le seul à lire). Un de mes grands frères a été tellement harcelé qu’il en a fait des dépressions. L’autre se battait à peu près une fois par semaine. J’ai été le seul à aller au lycée. Ce collège, donc, se trouvait dans un des quartiers chauds. Pas le plus chaud, et c’était loin d’être la misère, mais c’était loin d’être jouasse. Il ne se trouvait pourtant qu’à 1km de mon école primaire. Je n’ai découvert que très, très récemment que ce n’était pas mon collège de secteur. Ni celui de mes frères. Ils avaient demandé une dérogation. Sinon, nous aurions été envoyés dans un autre collège peu ou prou aussi glauque. Mais tant qu’à faire, pourquoi ne pas m’avoir envoyé au collège affilié au collège lycée où j’allais être reçu en seconde ? Il était infiniment, mais alors infiniment meilleur. Ma mère m’a répondu : à l’époque, on tenait beaucoup à la mixité sociale.
Ruine la vie de ses enfants par conformisme social et idéologique. Estime qu’ils doivent faire preuve de gratitude pour les avoir plongés dans un enfer quotidien. Conscience aussi légère qu’une plume et aussi dure que de l’acier trempé allemand. Votera à gauche quoi qu’il arrive pour les droits de l’homme et sa retraite. N’a pas envie de voir ses petits-enfants plus d’une fois par mois et seulement deux heures.
Alors, parlons de la mixité sociale. Ou plutôt, de la mixité des niveaux culturels et, par conséquence, des attentes des profs. Quand je suis arrivé au lycée, j’avais eu plus de 18 dans la plupart des matières, et même 20 en anglais. En seconde, au premier trimestre, j’ai eu une moyenne de 12. Et c’était un lycée normal, public, pas spécialement sévère. Sauf qu’il me manquait à peu près la moitié des acquis. En anglais on avait passé 4 ans à faire en boucle les 150 verbes irréguliers (j’ai découvert bien plus tard qu’il y en avait plus, de surcroît…). Rien sur les phrasal verbs , aucun travail de compréhension orale, on regardait Mr Bean (c’est MUET) avant Noël… n’importe quoi. En français, on a bien fait le programme de grammaire, à la marge, mais alors la culture littéraire… je suis arrivé au lycée avec pour seul bagage culturel Giono, Pagol (lus jusqu’à la nausée parce qu’on était en Provence), Harry Potter, et la collection de SF des années 50 que mon père avait accumulée dans sa jeunesse. Même les élèves les moins instruits connaissaient au moins un Flaubert, un Zola, et peut-être 2 ou 3 poètes classiques. Moi, nada. Même pas un Victor Hugo. Dans les autres matières, c’était mitigé. On finissait le programme ni en SVT, ni en histoire géographie à cause des problèmes de discipline. En seconde, donc, je me découvre si médiocre qu’on envisage de m’envoyer en lycée pro. Moi qui avais, l’année précédente, 17 de moyenne ! Je l’ai extrêmement mal vécu. Il a fallu que je convainque mes profs, de langues notamment, de me laisser une chance et de me faire passer en L. J’ai dû trimer comme un malade. Mais je n’ai jamais rattrapé mon retard en culture G. Une fois qu’on est derrière, on ne repasse jamais plus devant les autres. Toutes les bibliothèques du monde, même à 4 bouquins par mois, ne font pas en 3 ans ce qu’on aurait dû faire en 7. Je ne savais même pas qui étaient Balzac ou Maupassant. À la fac, j’étais toujours le clampin de province qui n’avait pas lu Sartre, Simenon, la Bible, Huysmans ou que sais-je. J’ai bien développé mon propre répertoire au gré de mes lectures plus personnelles, des noms un peu moins connus comme Troyat, N’Diaye, Zamiatine ou Gombrovitz qui m’ont permis de ne pas complètement passer pour une bille pendant mes partiels. Ma stratégie, c’était d’être au moins capable de me démarquer. S’il a fait de tels détours, c’est qu’il maîtrise bien ses fondamentaux.
Le type raconte un peu n’importe quoi pour justifier sa glande intellectuelle.
Une personne avec un cerveau fonctionnel peut s’astreindre à un programme de lecture solide et avoir une culture générale raisonnable au bout de deux ans, sans problème. Le plus complexe est de comprendre ce qu’on lit et surtout le contexte dans lequel il a été écrit, mais ce n’est pas surhumain.
Ceci dit, la culture générale n’a pas d’utilité en dehors de la navigation mondaine. On peut vouloir naviguer en société pour diverses raisons, bonnes ou mauvaises, mais la plupart des gens n’en a rien à faire. Certainement pas les gens du peuple en général. Après, certains veulent se dégager des horizons intellectuels, découvrir des champs de la pensée, mais ce n’est pas le cas de ce gars. On apprend pourquoi ensuite, mais c’est un détail.
Arrivé à la moitié de son récit, ce mec n’ose toujours pas parler de la raison pour laquelle les profs cultivent le sur place chez les élèves de son secteur, raison pour laquelle ça l’a rendu durablement inculte : les bicots et les nègres.
Ça relève de l’exploit mental.
Le déni reste intact, la peur de subir l’excommunication de son milieu social est toujours aussi forte.
Estimez-vous heureux d’être totalement dégagé de ce genre de prison psychologique, cher lecteur raciste.
Alors, quand ma mère m’a dit que tout cela, toutes ces épreuves, c’était un sacrifice sur l’autel de la mixité sociale, j’ai eu matière à réfléchir. Parce que sur le papier je ne suis pas contre.
Mais concrètement, ça a donné quoi ? À quoi ma présence dans ces classes a servi ? À donner aux autres un modèle « d’excellence » qui avait pour seul mérite de faire docilement ses devoirs sous le sifflement de la cocotte minute tous les soirs ? Quelqu’un qui apprenait avec plus d’application ses putains de 150 verbes irréguliers ? Quelqu’un qui lisait jusqu’au bout la version ultra abrégée de l’Odyssee qu’on a étudiée 2 fois en quatre ans ? Est-ce que j’ai tiré qui que ce soit vers le haut en m’ennuyant à mourir dans un bordel infernal ? En étant le seul à participer ? A attendre avec trépidation qu’on me donne quelque chose, n’importe quoi, à faire. Quelque chose de vaguement intéressant, de vaguement difficile. Non. Je n’ai servi rien. Mon sacrifice a été parfaitement vain et j’aurais pu aller beaucoup plus loin dans mes études. Aujourd’hui, une partie de mes amis qui n’ont eu aucun mal à faire prépa, ma femme y compris, s’étonnent tendrement de la différence de culture G. Parce que trop occupé à découvrir au moins superficiellement les russes, les penseurs des Lumières ou les grands philosophes et poètes antiques, c’est dans un café que j’entends parler pour la première fois de François Villon ou de Louise Michel ou de Gramschi ou du Futurisme ou de Primo Levi ou de Fitzgerald ou des sœurs Brontë.
Louise Michel, Gramsci, Primo Levi : ce gars est cerné de bourgeois de gauche qui cultivent leur judéo-marxisme dominical confortablement installés dans leur quartier écolo-décroissant.
Tu connais pas Louise Michel ?!
Il en a même épouser une.
Imaginez l’emprise mentale. Il n’en sortira jamais. C’est comme une secte.
Me voilà papa d’une petite fille de deux ans et demi qui baigne dans les livres, qui apprend sans effort les plus courts par cœur et qui les « lit » à ses poupées, qui utilise correctement la particule négative et la première personne du pluriel. Elle vit dans un appartement rempli de livres de tous genres, dans un quartier où, au milieu de chaque parcs, il y a des boîtes à livres remplies à ras bord de bouquins intéressants et originaux. Bref. Une enfant de presque trois ans qui, avec la mere qu’elle a, et dans une moindre mesure le père, aura dans sa vie un immense privilège en termes de culture générale. Et en mentionnant cela à ma mère, rebelotte. « Dommage, là où elle est, on aura moins besoin d’enfants comme elle. » C’est peut-être parce que c’est ma fille, ou parce que j’ai du recul sur ma propre expérience, mais je n’en peux plus de cette vision utilitariste de l’éducation des enfants. Ma fille n’est pas une goutte de javel à diluer dans l’eau la plus sale possible. Elle a le droit d’avancer au rythme qui lui convient dans la vie, et il m’est complètement contre-intuitif, en tant que parent, de la contraindre à la stagnation par idéologie. Pour moi, à ce stade, c’est comme essayer de nourrir un bébé avec un régime vegan.
Bref. Voilà. Je pose ça là, sans vraiment avoir de conclusions politiques ou sociétales, sans non plus avoir de solutions pour les milliers de gamins qui savent à peine lire en 4ème. La seule chose dont je suis à peu près certain, c’est que la « mixité sociale » sous la forme de « un ou deux enfants de bobos au premier rang qui essaient de se concentrer malgré les chaises qui volent » est loin d’être la solution.
Mais pourquoi ta fille a-t-elle un « rythme » bien supérieur à celui de Boubacar et Abdelkader ? Et pourquoi ta catin de mère qui a déjà ruiné ta vie veut absolument la noyer à son tour dans cette boue raciale ?
Notre redditeur n’est pas prêt pour ce saut qualitatif.
Quant aux redditeurs qui lui répondent, c’est nous qui ne sommes pas prêts à les calculer. Parmi les solutions offertes : « dispatcher » les bouègres partout.
Du Manuel Valls dans le texte.
Pour conclure ce sujet sans fin (en vue), une réponse à la hauteur de l’hypocrisie criminelle de ces gens.
Asseyez-vous :
Mon 2eme a failli vivre la même histoire que toi. Primaire en centre ville d’une ville huppée mais un découpage de la carte scolaire et un déménagement ont fait qu’il s’est retrouvé dans un collège à 150m de la cité la plus craignos de tout le département. Et lui qui était dans une bulle s’est retrouvé confronté à cette mixité sociale dont tu parles. En plus, c’était le seul de son école primaire à se retrouver dans ce collège. Au bout d’un mois de cours, ils avaient quasi un mois de retard dans à peu près toutes les matières d’après leur prof principal. Un tiers des gamins était « en grande difficulté scolaire » et foutait le bordel absolu, menaçait et insultait les profs. Après la première réunion parents-profs j’avais l’impression d’avoir échoué en tant que parent et d’avoir mis mon fils en danger. Mon fils rentrait terrorisé de l’école et y allait à reculons. Il n’a pas voulu qu’on prenne la photo de classe parce qu’il ne voulait garder aucune trace de son passage dans cette classe. En fin de 6eme, son prof de maths a donné 17 pages de trucs non vus en cours à cause de leur retard sur le programme. À la fin de la 6eme on pensait avoir trouvé la parade. « Tu feras Allemand LV2, mon fils. Et Latin. Comme ton papa. T’as pas le choix. Pourquoi ? Parce qu’il n’y a pas d’Allemand LV2 dans ton collège. Chat GPT nous a rédigé une très jolie lettre qui explique pourquoi l’Allemand est une langue importante dans ton éducation, déjà parce que tu es blond aux yeux bleus et qu’on aime bien l’Argentine comme pays, et donc pourquoi tu vas devoir changer de collège. » Mais… On en a parlé aux parents de son seul ami. Big Mistake. Eux en ont parlé à d’autres parents et la principale a donc trouvé la parade pour éviter la fuite de ses meilleurs élèves : elle a ouvert une classe d’Allemand LV2. Pour 8 élèves. Donc mail de remerciement à la principale. « T’as intérêt à cravacher en Allemand, mon fils. Ils ont ouvert la section à cause de nous. » La rentrée de 5eme avait l’air de bien se passer, les 10 premiers jours l’ambiance était calme dans sa classe mais en fait y’avait une raison. Les éléments les plus agités étaient rentrés en Algérie pendant l’été et ont fait leur rentrée plus tard. Grâce aux élections de délégués de parents d’élèves dont tout le monde se branle, moi le premier, la mère de l’élève le plus compliqué à gérer est devenue déléguée des parents et a fait la guerre aux profs. Les histoires que nous racontait mon fils en rentrant de l’école étaient ahurissantes. La proviseure du lycée de mon aîné nous a fait un laïus de 15mn sur les élèves qui arrivent de ce collège quand on lui a dit que notre 2eme y était.
L’élève « le plus compliqué à gérer » éternel
En fin de premier trimestre j’étais presque prêt à le mettre dans le privé, alors que ça allait à l’encontre de tout ce en quoi je croyais (mère et sœur profs dans le public) mais finalement la lumière est venue d’ailleurs. Une des pistes était de le mettre dans le collège de secteur de là où moi j’habitais (sa mère et moi sommes séparés) mais elle avait été écartée parce que le collège en question était situé à peu près de la même façon, pas loin d’un quartier tendu de la ville d’à côté. Mais après avoir parlé avec des parents d’élèves il s’est avéré que ce collège était infiniment plus calme parce que l’équipe pédagogique était extrêmement à cheval sur la discipline et avait une tolérance zéro. Dans le collège problématique c’était dingue à quel point l’équipe était laxiste sur la discipline. Donc changement de collège en pleine année en prétextant que mon fils habitait maintenant à temps plein chez moi, l’opération a pris très peu de temps entre la demande et le changement effectif et depuis mon fils revit. Ses notes qui avaient chuté en début de 5eme sont remontées en flèche, il était clairement en retard sur le programme dans certaines matières mais tout va bien, il va à l’école avec plaisir. Mais donc, au-delà de la mixité sociale elle-même, y’avait aussi clairement un souci dans la gestion des élèves pénibles dans son collège précédent. Le nouveau collège n’est pas spécialement moins mixte et pourtant il est beaucoup beaucoup plus calme. Y’a peut-être moins de cas désespérés scolairement, mon fils n’a pas l’air d’avoir d’élèves qui maîtrisent mal les bases de la lecture dans sa classe.
Ouf, tout va bien.
À présent que son gosse n’est plus bolossé par les bougnes, le père de gauche radicalisé va pouvoir reprendre sa vie normale d’électeur mélenchoniste et dénoncer le fascisme la conscience tranquille.
Et quand finalement tout le pays ne sera plus qu’un vaste « quartier prioritaire », ils prendront l’avion avec leurs gosses pour un pays sûr et sans Algériens. Là-bas, ils recommenceront le cycle en accusant les autochtones d’être racistes.
Aucun compromis n’est possible avec le Sentier Lumineux.
Seules les balades en hélicoptère peuvent résoudre ce problème.
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Démocratie Participative
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Les Avantages de Déménager dans une Grande Ville
Déménager dans une grande ville peut être une décision intimidante, mais les avantages sont nombreux et peuvent considérablement améliorer votre qualité de vie. Voici quelques raisons pour lesquelles de plus en plus de personnes choisissent de s'installer dans les métropoles.
Opportunités Professionnelles
Les grandes villes offrent une multitude d'opportunités professionnelles dans divers secteurs. Que vous soyez à la recherche d'un emploi dans la technologie, la finance, les arts ou les médias, les grandes villes comme Paris, Lyon ou Marseille disposent d'un marché du travail dynamique et en constante évolution. De plus, la présence de nombreuses entreprises et start-ups permet un réseautage plus facile et des possibilités de carrière accrues.
Accès aux Services et Commodités
Vivre dans une grande ville signifie avoir un accès rapide et facile à une multitude de services et commodités. Des centres commerciaux aux hôpitaux de renom, en passant par les écoles et universités de qualité, tout est à portée de main. Les services de transport en commun bien développés permettent également de se déplacer facilement sans avoir à dépendre d'une voiture.
Vie Culturelle et Sociale
Les grandes villes sont des foyers culturels. Elles abritent des musées, des théâtres, des galeries d'art et des salles de concert de renommée mondiale. Que vous soyez passionné par la musique, le cinéma, la danse ou la gastronomie, vous trouverez toujours quelque chose à faire. De plus, la diversité des événements et des festivals permet de découvrir de nouvelles cultures et de rencontrer des personnes de tous horizons.
Éducation et Formation
Les métropoles disposent souvent des meilleures institutions éducatives. Universités, écoles spécialisées et centres de formation continue sont nombreux et accessibles. Pour les familles, cela signifie offrir à leurs enfants une éducation de qualité avec des options variées. Pour les adultes, c'est l'opportunité de poursuivre des études ou de se perfectionner dans un domaine spécifique.
Santé et Bien-être
Les grandes villes proposent un large éventail de services de santé, incluant des hôpitaux de pointe, des cliniques spécialisées et un accès rapide aux soins médicaux. En cas d'urgence, la proximité de ces établissements peut faire une grande différence. De plus, les nombreuses infrastructures sportives et les parcs urbains encouragent un mode de vie actif et sain.
Diversité et Ouverture d'Esprit
Les grandes villes sont souvent des carrefours de diversité culturelle. Cette mixité enrichit la vie quotidienne, offrant des perspectives et des expériences variées. Vous aurez l'occasion de rencontrer des personnes venant du monde entier, d'apprendre de nouvelles langues et de découvrir des coutumes différentes. Cette ouverture d'esprit est un atout précieux dans le monde globalisé d'aujourd'hui.
Conclusion
Déménager dans une grande ville peut transformer votre vie de manière positive en offrant des opportunités professionnelles, un accès à des services de qualité, une vie culturelle riche et une meilleure éducation. Si vous envisagez un changement, les avantages de la vie urbaine méritent certainement d'être pris en considération.
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- Vous avez fait quoi, vous ? - ENS, IEP, EHESS. Ça te parle ? - Non, mais nous aussi on a des initiales, BEP, CAP, STMG. » Il changea d’humeur, ça se voyait. « Mais toi, tu n’es pas en voie générale ? - Pour la seconde. Après j’irais en technique. J’aurai pas la générale, ils vont pas me laisser. - C’est dommage, c’est là que ça se joue. - J’aurai quand même un vrai bac, ça sera déjà bien. Dans mon quartier, je serai le premier. Et puis ma mère et mon assistante sociale seront contentes. Je pourrai faire des études !
#citation#mokhtar amoudi#livres#trepalium#école#mixité sociale#lycée technologique#aide sociale à l'enfance
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le billet d'Aurane (Sarcelles, France)
Un corpus pour notre homard (2)
Aurane Claude est professeur d’EPS au lycée Maryse Condé de Sarcelles
J'ai lu le dossier du projet et j'ai pris quelques notes que je te transmets, je vais réfléchir plus précisément pour une séquence de danse et des contenus en musculation / yoga-relaxation.
En tous cas je suis enchantée par le projet !
enjeux : surmonter ses complexes, représentations du corps à l’adolescence, question du genre et d’internet
les questions :
Construire son identité à travers la maturation du corps ; accepter les décalages du rythme de changement entre les corps (je mûris plus vite, moins vite que les autres), adapter mon regard, accepter le regard de l’autre
Supporter les moqueries, les réflexions, surmonter la peur, gérer la pression sociale et les images (risque de la dépression, de l’anorexie, de l’isolement)
des idées de travail :
Danser les émotions et la mue du homard (de « petit, isolé, tous pareils » à « grand, affirmé, émancipé du jugement d’autrui »).
Se réapproprier son corps par la méditation de pleine conscience, travailler la musculation en relation avec les images de corps musclé véhiculé par les réseaux et la société.
S’accepter dans le lien théâtre / danse : on s’expose, on suspend le jugement critique, on entre dans la bienveillance du regard, on a droit à l’erreur ; on s’accoutume à se regarder dans de courtes captations vidéo.
Se lier à soi en se liant à un futur : engager une pratique physique sur le long terme ; acquérir des méthodes, devenir autonome, s’entraîner.
Réfléchir à l’utilisation des médias, internet, TICE : résister à l’endoctrinement et à la normalisation de quelque bord qu’elle soit ; en faire un vecteur d’information et de partage.
des livres et des articles intéressants :
Natalie Levisalles, L’Ado et le Bonobo, un âge impossible, Hachette, 2009 : Besoin à la fois de s’éprouver et d’être rassuré, corps bouleversé, nouvelles perceptions du monde, recherche du risque et des sensations fortes, opposition aux normes, être intégré / être original.
Yves-Félix Montagne, La Transhumance de l’adolescence,2015 : Se reprendre en main après les modifications, délimiter son corps nouveau, comprendre ses désirs et la hiérarchie aux autres.
Voir aussi liens YouTube
Pavitendre, Shimer, Rapport au corps, genre et réussite en EPS, 2017 : Inclusion, responsabilisation, partage d’expérience, « culture corporelle commune ».
Jean Saint-Martin, Thierry Terret, Sport et genre, L’Harmattan, 2005 : L’école fabrique le genre par le choix d’offres de formation, reproduction des stéréotypes, intériorisation d’une image sociale (filles inférieures, auto-censure, « plafond de verre »), accès aux valeurs sportives féminines ET masculines sans assignation préalable.
François Marty, Adolescence et émotion, une affaire de corps, 2010 : Sentiment « d’étrangeté à soi-même » du fait des transformations physiques, cognitives, affectives,
Sabine Thorel, Bernard David, Enseignement de la danse contemporaine au collège, genre et éducation, 2010 : Co-éducation, éducation à la mixité, échanges Filles / Garçons non stéréotypés, construction sexué des élèves.
Matthieu Quidu, Quelle place pour l’enseignement de l’EPS à l’heure des tutoriels YouTube et des applications pour smartphones ?, 2016 : Perte du monopole éducatif de l’école, confronter les données subjectives et objectives, la classe comme terrain d’expérimentation.
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Les Dames du CAC 40 : des pionnières qui secouent les conventions
Dans le monde des affaires, les femmes leaders ont souvent dû surmonter de nombreux obstacles pour atteindre le sommet. Aujourd'hui, elles sont de plus en plus présentes dans les entreprises du CAC 40 et contribuent activement à leur succès. Dans cet article, nous mettons en lumière ces femmes exceptionnelles qui bousculent les codes et apportent un souffle nouveau à ces entreprises. À la conquête du CAC 40 : les femmes qui brisent les barrières Des parcours inspirants pour les femmes Les femmes du CAC 40 ont su se démarquer et gravir les échelons grâce à leur détermination, leur expertise et leur volonté d'innover. Parmi elles, on trouve des dirigeantes comme Isabelle Kocher (Engie) ou encore Patricia Barbizet (Kering). Leur réussite témoigne du potentiel des femmes à occuper des postes clés et à impacter positivement les performances de leur entreprise. Les femmes, un atout pour la diversité et l'innovation Les entreprises du CAC 40 ont compris l'importance d'intégrer davantage de femmes à leur direction pour bénéficier de leur expertise et de leur vision. Les femmes apportent une diversité d'opinions et d'idées, favorisant ainsi l'innovation et la compétitivité. En plus de cela, elles contribuent à la création d'un environnement de travail plus inclusif et égalitaire. Les défis auxquels font face les femmes leaders du CAC 40 Lutter contre les stéréotypes et les préjugés Malgré leur présence croissante, les femmes du CAC 40 doivent encore faire face à des stéréotypes et préjugés qui les freinent dans leur progression. Il est essentiel de continuer à sensibiliser et éduquer sur l'égalité femmes-hommes pour déconstruire ces idées reçues et permettre aux femmes de s'épanouir pleinement dans leur carrière. Concilier vie professionnelle et vie personnelle Un autre défi pour les femmes leaders du CAC 40 est la conciliation entre leur vie professionnelle et leur vie personnelle. Les responsabilités familiales et la pression sociale peuvent parfois compliquer l'équilibre entre ces deux sphères. Il est crucial de mettre en place des politiques d'entreprise qui encouragent une meilleure répartition des rôles et responsabilités, tant pour les femmes que pour les hommes. Comment encourager la présence des femmes dans les entreprises du CAC 40 ? Valoriser et promouvoir les compétences des femmes Pour augmenter la présence des femmes dans les entreprises du CAC 40, il est important de valoriser leurs compétences et de leur donner les moyens de se développer professionnellement. Les entreprises doivent favoriser la promotion interne et la formation continue pour permettre aux femmes de progresser et d'accéder aux postes à responsabilité. Créer un environnement favorable à la mixité Les entreprises du CAC 40 ont également un rôle à jouer dans la création d'un environnement de travail où la mixité est valorisée et encouragée. Cela passe notamment par la mise en place de politiques d'égalité salariale, de congés parentaux équilibrés et de mesures visant à prévenir les discriminations et le harcèlement. Parmi les femmes leaders du CAC 40, on peut citer Isabelle Kocher, ancienne Directrice Générale d'Engie, et Virginie Morgon, PDG d'Eurazeo. Il est important de noter que la représentation des femmes à des postes de direction dans les entreprises du CAC 40 s'est améliorée grâce à l'instauration d'un quota minimum de 40% de femmes dans les conseils d'administration. Cependant, le pourcentage de femmes CEO et présidentes du Conseil d'administration reste préoccupant, avec seulement 7,5%. Lisez aussi : Pourquoi avons-nous besoin du féminisme aujourd’hui ? Agir ensemble pour un avenir plus égalitaire Les femmes leaders du CAC 40 sont une source d'inspiration pour toutes les femmes qui aspirent à occuper des postes de direction. Il est temps de reconnaître leur valeur, de les soutenir et de les encourager à poursuivre leur ascension. Chacun d'entre nous peut contribuer à cette évolution en s'engageant pour l'égalité des chances et en soutenant les femmes qui osent briser les plafonds de verre. Agissons ensemble pour que les entreprises du CAC 40 deviennent des modèles en matière de parité et d'égalité femmes-hommes. Read the full article
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