#Mes Bafouilles
Explore tagged Tumblr posts
Text
🍒🥝 QU'EST-CE QU'IL...
Qu'est ce qu'il
y a
oh rien
répondit
il à elle
en ba ba
bafouillant
juste un afflux sanguin
et ma foi fort soudain
tout en bas de mes reins
en te regardant
qui me vient
.
Agenouille-toi
plus près de moi
lui dit
elle à il
Peut-être que ça passera
.
Qu'est-ce qu'il
y a
oh rien
répondit
elle à il
Moi c'est de l'eau qui coule, regarde, tout en bas de mes reins
Mets-y la bouche ou les doigts
et dis-moi
Dis-moi juste
juste le goût que çà a
Divya Bis
9 notes
·
View notes
Text
20 février
en revenant du dentiste je suis passée au workshop d'afterwork du casino, j'étais en retard et je me suis trompée d'endroit et je suis arrivée toute échevelée. y avait deux médiatrices (mon ancien job, si j'avais pas tout gâché avec mon autosabotage j'aurai peut être fini par avoir un vrai poste fixe au casino, je me demande si la femme à l'accueil m'a reconnue) et donc y avait les deux médiatrices et un type qui s'amusait tout seul avec un synthé moog, il parlait anglais et d'après ce que j'ai entendu il était étudiant. il est parti avant la fin parce qu'il était invité à une fête qu'il appelait steak party mais je sais pas si c'était une blague ou pas. la médiatrice non plus elle savait pas. il leur a demandé ce qu'elles faisaient après le travail et la blonde a dit: rentrer chez moi, manger, dormir et recommencer le lendemain d'un ton très lassé de la vie. la brune devait déménager ses quinze paires de chaussures et ses trois cent kilos d'habits dans son nouvel appartement depuis chez ses parents.
j'aurais aimé leur demander ce qu'elles faisaient à côté de leur job de médiatrice, comment elles payaient leur loyer, pourquoi elles y étaient arrivées et pas moi, mais j'ai pas levé la tête de mon moog. de son moog. c'était le moog de la brune, elle s'en sert dans ses perfs, je sais qui c'est maintenant, elle avait fait une perf dans la cave du casino pour la nuit des musées mais on était pas rentrées parce que c'était trop cher. je crois qu'elle est curatrice aussi. elle a racheté le moog à un ami à moitié prix (300 euros). je lui ai dit que je voulais m'acheter un synthé moi aussi. j'aurais bien aimé lui demander ce qu'elle faisait comme musique aussi, mais mes capacités sociales sont au plus bas et je savais pas comment m'y prendre. j'arrivais même pas à parler clairement, sans bafouiller. c'était plus simple de rester plongée dans mes expérimentations sonores sur le moog, j'avais l'impression d'être une magicienne en tournant tous les petits boutons qui faisaient des sons trop COOL je suis obligée de m'acheter un korg maintenant.
mais je dois aussi me faire extraire une dent et ça coûte 650 euros et j'avais envie de pleurer dans la voiture quand maman m'a dit que je devrais vraiment trouver un moyen de gagner de l'argent, ça me semble tellement impossible comme tache que j'ai dit ou je peux sauter d'un pont, ce serait plus simple. j'ai pas réussi à contrôler mes pulsions morbides, elles m'ont échappé et elles se sont déversées sur l'autoroute de la frontière belge. elle m'a dit de me RENSEIGNER pour voir si je pouvais pas avoir des aides c'est pas COMPLIQUÉ quand même et dans ma gorge ça poussait parce que j'arrivais pas à lui expliquer que si c'était compliqué, que ça faisait partie du problème, que j'arrivais pas à faire ces choses-là parce que quelque chose cloche très profondément dans mon fonctionnement, c'est pas juste de la phobie administrative ou de la flemme ou que sais-je, j'avais envie de lui crier oui mais pour pouvoir faire ça d'abord il faudrait que j'aie envie de vivre! c'est de l'autosabotage comme avec tout le reste. je veux pas vraiment me sortir de La Situation. y a quelque chose à l'intérieur de moi qui veut pas, qui veut pas avancer.
j'avais l'impression d'être complètement à l'ouest chez le dentiste en plus. j'étais pas à l'ouest, mais je donnais cette impression. j'avais l'impression que la secrétaire avait pitié de moi. sinon j'ai bien aimé sentir les doigts du dentiste me tenir la mâchoire, quand la machine dans ma bouche commençait à devenir trop désagréable je me concentrais sur la sensation de ses doigts contre ma peau. ce weekend j'ai lu un livre qui s'appelle vierge de constance rutherford, j'ai lu jusqu'à trois heures du matin puis toute la matinée pour le finir. l'écriture était pas terrible terrible et j'y ai trouvé plein de maladresses mais je pouvais plus m'arrêter. ça parle d'une fille de 25 ans qui habite avec sa grand-mère et qui est toujours vierge, mais elle finit par se rendre compte qu'en fait elle est lesbienne et quand elle s'en rend compte elle couche avec une fille et hop c'est fait elle est plus vierge et elle se sent normale et on la respecte à son travail elle prend des initiatives et elle décide de quitter sa coloc avec sa grand-mère et elle arrive enfin à jouer la scène de théâtre qu'elle arrivait pas à jouer parce que la prof lui disait qu'elle était pas assez sensuelle. elle s'est inscrite à des cours de théâtre parce qu'on lui disait qu'elle avait pas de corps. mais à la fin c'est le sexe qui lui a donné un corps.
tout d'un coup j'ai été prise d'un énorme doute concernant cette histoire de perf. non mais pour qui je me prends? j'ai pas de corps moi non plus. enfin personne m'a jamais confirmé que j'en avais un en tout cas. ça me fait penser à une interview de vincent dedienne où il disait que son premier spectacle était pas terrible parce qu'à l'époque il avait jamais fait l'amour et donc il avait pas de corps lui non plus. ça me semble être un passage obligé pour monter sur scène. est-ce que ça veut dire que je dois trouver quelqu'un qui veuille coucher avec moi avant de pouvoir considérer cette histoire de show? mais avant de pouvoir coucher avec quelqu'un je dois faire une psychothérapie. et avant de pouvoir faire une psychothérapie je dois trouver une psy qui prend des nouveaux patients. autrement dit c'est pas près d'arriver.
dans le livre sa vulve se met à chanter pour lui signifier qu'elle en peut plus et que ça commence à être une question de vie ou de mort. moi la mienne elle chante pas mais elle se manifeste sous forme de flash visuels. des flash intempestifs dans lesquels je me jette sur des gens pour les embrasser à pleine bouche et presser mon corps nu contre le leur. pas le dentiste, mais beaucoup de gens. principalement r. ces derniers mois. parfois je le mords. c'est son premier roman, elle l'a écrit dans le cadre de son master de création littéraire à paris 8. je me suis dit que je pouvais faire mieux. depuis j'ai commencé drifts de kate zambreno, c'est un peu chiant (je peux faire mieux) mais j'ai appris que les jours où elle travaillait pas à l'université, son quotidien ressemblait trait pour trait au mien: beaucoup de canapé et d'internet et de lecture et de email checking et de masturbation et de vidéos d'actrices interviewées dans des talk shows et même des séries, ce que je m'interdis pendant la journée, et parfois au milieu de tout ça, des moments d'écriture.
7 notes
·
View notes
Text
Alat (AZ) → Kurik (KZ) 2/2 – 10.12.23
Les jours passent et le paysage reste statique. Alors que je fais la queue pour manger un midi, une des cantinières m’interpelle. Elle me fixe tout en débitant des paroles qui, même si le sens m’échappe, m’ont tout l’air d’une engueulade. Paniqué et honteux, je la regarde sans réagir, écrasé par toute l’attention de la salle dans mon dos que je sens tournée vers moi. Elle continue avec des gestes d’exaspérations, me désigne mes cheveux d’un air désapprobateur. Je bafouille des excuses en russe et m’éclipse de la salle sans avoir mangé. J’arrive le soir avec ma tignasse ramassée en une queue de cheval. Elle m’accueille avec le sourire et semble me féliciter, me couvant d’un regard maternel qui me plonge une nouvelle fois dans un muet malaise. Au bout du cinquième jour, je commence à bien connaître le bateau. Les deux ponts que je confondais tout le temps, la salle des machines toujours désespérément à l’arrêt, les coursives dont je peux maintenant lire les panneaux en cyrillique, et même la cale où se serrent, les uns contre les autres, les camions de mes camarades de bord. Un soir, alors que je me couche, j’entends venir des salles communes les accents d’une dispute. Avide de distraction, je quitte ma piaule et fais mine d’aller me servir du thé dans le réfectoire. Tous les camionneurs sont là. La pièce est enfumée par la trentaine de clopes qui se consument rapidement dans l’effervescente ambiance. Les cartes cette fois sont délaissées au profit de bouteilles de vodkas – pour la plupart déjà vidées, traînant sur les tables et le plancher. Un homme se tient debout et tangue encore plus fort qu’il n’y a de roulis. Il a le doigt levé et hurle quasiment à l’adresse des autres assis à un mètre de lui. Plus je reste à l’écouter, moins je peux dire s’il est en colère, s’il philosophie ni même s’il est en train de raconter une blague. Spectatrice comme moi, la cantinière soucieuse de mon hygiène capillaire s’approche : « завтра. уйду. ». Demain, on part… Je vais me coucher, euphorique comme si j’avais bu moi aussi. Dans la nuit, la secousse du lancement des moteurs me fait frissonner. Enfin, la tempête est passée. On vogue sans heurt un jour et une nuit. L’eau couleur vert olive s’assombrit en pleine mer pour devenir bleu métallique. Au loin, des plateformes pétrolières glissent sur l’horizon, seuls repères de notre progression. Les côtes kazakhs se dessinent dans le rose du matin. Bien qu’un jour supplémentaire d’immobilité nous soit imposé, j’ai le cœur léger. Avant l’aube, de petits bateaux viennent plaquer l’Ordubad contre le quai. La mer dans le port a gelé et s’est changée en un crumble luisant dans l’obscurité. Je piétine pour me réchauffer dans l’air glacé, observant les camions sortirent un à un de la cale. Deux heures plus tard, je foule pour la première fois la terre du pays des chevaux sauvages, accompagné d’une sensation de tangage qui persistera pendant plusieurs jours. Derrière les grilles de la zone portuaire m’attendent l’immensité du désert recouvert d’une épaisse couche de neige et un ciel de givre presque blanc.
3 notes
·
View notes
Text
(Previously, on the HPI rewatch...)
Allez, pour fêter ma dépression au visionnage de cet épisode, florilège de gifs hors contexte pour tout le monde ! You get a gif, and you get a gif, and YOU get a gif! 🎁
Morgane qui trouve enfin une maison, comment ça me fait plaisir pour elle !!!
"Mais vous voulez dire, heu... tous les deux tout seuls ?" Mon dieu on n’en est qu’aux trois premières minutes et elle est déjà tellement à fond... 😆
Female Gaze™ (et j’veux pas dire, mais tant qu’à faire, profitons des gros plans sur la barbe de Karadec tant qu’on peut, hein...)
Tout le quiproquo dans la voiture est absolument chaotique. Entre Adam "pas flic pour rien" qui analyse correctement les symptômes mais se plante complètement sur le diagnostic final, Morgane qui sursaute quand on lui demande si c'est à cause de Roxane parce que duh!, "je pense à des trucs dans ma tête, ça m'arrive", le fait que manifestement Adam a un bon gros complexe d’œdipe à explorer... 🤣
Perso je suis fan de la mise en scène façon Cluedo
Je sais pas vous mais moi ça me fait tellement plaisir de voir enfin Daphné sur le terrain !!! 🤗
"Daphné faut que je te laisse parce que j'ai une révélation à faire" -> mais quelle gamine 😅
Les deux jumeaux creepy là, ils sont incroyables
Morgane en mode pop-corn quand tout le monde commence à déballer ses quatre vérités sur la victime c'est juste trop trop drôle
Cyrielle !!! <3
Pardon mais je l'adore. J'adore son look, j'adore son entrée, j'adore son perso, c'est mon poor little meow meow 🥰
Morgane qui pique discrétos du raisin pendant l'interrogatoire de Cyrielle, mais c'est pas vrai, elle est insortable !
*soupir*... Vous réalisez qu'à cause de cet épisode, je regarde les lobes des oreilles de mes collègues à toutes les réunions maintenant ? 👂
Pardon mais Morgane qui demande à Karadec s'il sait comment on fait les bébés, COMPTE TENU de tout le reste ahem, ça me fait beaucoup, beaucoup rire. Something something sexualize any interaction
Céline, Gilles et Daphné qui deviennent fou devant les vidéosurveillance, c'est littéralement le Pepe Silvia meme 😆
Je sais pas ce qui me fait le plus rire, entre Morgane qui manipule ses collègues pour repeindre chez elle, ou le fait qu'ils aient emporté des blouses de protection de la PTS pour le faire.
"En plus on n'a même pas mis de sous-couche, ça bulle dans tous les sens, dans deux mois t'es obligé de le refaire" mais Gilles je t'aime tellement 😂
Bon. Morgane est une vraie sangsue, mais le fait que ses collègues décident QUAND MÊME de l'aider pour que ça se passe bien avec ses enfants (est-ce que Céline leur a raconté la crise d'Eliott ?), ça me -- 😭
I am not ready for this
Je répète, I AM NOT READY 😱
Arrêtez cette vidéo tout de suite ! Laissez-moi sortir !
Gilles qui a pas DU TOUT le même souvenir que Morgane de l'époque où elle dormait dans son salon mais qui est tellement gentil qu’il ose même pas le dire 🥲
Je rêve pas, Karadec monte des meubles en gardant son arme à sa ceinture (et du coup il danse aussi avec fyi) mais qui fait ça ??? On sait jamais, des fois qu'il faille flinguer une vis qui essaye de se barrer ? C'est quoi la logique ?
L'iNtrO dES dEmOnS
🫠🫠🫠
"Regardez, on va commencer par tout de suite" *enlève sa veste* -> qui fait ça sans parler de sexe, sérieux ?
La lampe qui s'éteint ! Le ricanement débile de Morgane ! L'ampoule ! les démons ! 🙊🙈🙉
Bon par contre les gros plans sur leurs visages c'est cringe. C'est vraiment la marque de fabrique de cette série, nous faire swoon sur des trucs absolument gênants en fait
Morgane qui bafouille sur "électrocuter" parce qu'elle est clairement ailleurs 🥹
Le petit kick de la jambe gauche <333333
Vous avez vu comment leurs visages sont proches ? VOUS AVEZ VU ?????
LA TRACE DE MAIN ! LA RÉFÉRENCE A TITANIC ! LA PHRASE DE KARADEC QUI N'EST PAS DU TOUT PG13 !!! 😭😭😭
Morgane halète comme si elle avait eu un orgasme, là, on est d'accord ?
Et Adam qui booty-call sa meuf dans la foulée histoire de déculpabiliser, mais ils sont tellement obvious l'un comme l'autre ça me tue
J'ai déjà disserté en long en large et en travers sur les connotations sexuelles de cette scène donc on va pas revenir dessus, mais juste !!!!!!!!! 🥵🔥🙊
Pour info Les démons de minuit étaient dans mon top 5 des chansons les plus écoutées en 2022 d’après Deezer. Voilà. Voilà, vous voyez ce que cette série me fait ?
Les petits mots sur la carte sont juste tellement drôles !!! Gilles en fangirling total ! Daphné complètement flippante ! Je les aime tellement 🥰🥲💕
"très joyeux anniversaire, et vivement le suivant" dit la meuf qui va se prendre une balle audit anniversaire et ne verra *probablement* pas le suivant avec lui, ou alors l'ambiance sera beaucoup plus lourde, lol
Désolée mais entendre Morgane dire "Adam" makes my skin crawl, je préfère vraiment quand elle l'appelle Karadec
A D A M J E T ' A I M E
(oui bon ok là ça me choque pas parce que OH MY GOD)
Y'a que moi qui trouve que Morgane qui parle de l'adultère au prêtre y'a un double sens ? "Si vous convoitez l'homme d'une autre il faut vous réfréner" mhhh, I see where this is going 👀
Le pompon d'la pomponnette ! 😍
"Nan mais attendez, j'me suis même pas confessée" 100% vibes dame du lac dans cette réplique
"Tant pis pour vous parce que j'avais du lourd" 🤣🤣🤣
"Je déteste quand elle fait ça"
"Qu'est-ce qui se passe Morgane ? Vous avez pas vu un documentaire sur le sujet ?" "Allez-y, humiliez-moi, alors, qu'est-ce que ça veut dire ?" Non mais on est d’accord, c’est pas que moi, là ? Le niveau de flirt est absolument dingue 🥵 Et on rappelle que ce mec est censé être en couple ?
Même si cette affaire n'a absolument aucun sens, je suis fan de la scène de la révélation, entre les coups de fils qui interrompent la démonstration, les jumeaux qui font des paris, la ref aux telenovelas, et le look de Morgane...
"T'as dix ans tu peux gérer un déménagement"
Adam qui demande des nouvelles de sa soirée avec les enfants, mais qu'il est chou 🥰
Et Morgane qui le remercie à demi-mot pour la danse, je 🫠🥹
Le fait que Karadec kiffe le karaoké n'a aucun sens. Ma seule explication c'est qu'il aime tout ce qui commence par kara. Le karaté, le karaoké, les caravanes, les carambars, les caractères... (sans oublier les fameuses carabistouilles 😂)
La choré sur Quand la musique est bonne... Je veux le footage de ces soirées que Gilles, Céline et Daphné ont passé à répéter
Gilles qui re-fangirl, décidément c'est son épisode, "la grande gabardine", mais qui dit ça ? Il croit qu'il bosse avec Maigret ou quoi ? 😅
Non.
Je refuse.
.
Pas Femme like U. C'est interdit.
Je crois que c'est vraiment le passage de la série qui me donne le plus de second-hand embarrassment, et pourtaaaaant, y’a du choix !
Et en même temps y'a une sorte de fascination malsaine à les regarder chanter, un peu comme assister à un carambolage au ralenti
LA TRANSITION EN FADING OUT SUR LE THÈME DE MORGANE & KARADEC 😱
MORGANE QUI LE REGARDE AVEC SES GRANDS YEUX TRISTES MAIS ACHEVEZ-MOI 😭😭😭
LA CARTE DE VŒUX. LE MESSAGE IMPERSONNEL. C’est son “si vous êtes heureux moi je suis heureuse” à elle, ugh!!! 💔😰 She’s letting him go and I can’t take it 😢
NON MAIS REGARDEZ-MOI CETTE BICHETTE BORDEL DE DIEU
Elle repense à la trace de MAIN. Elle repense à la DANSE. Elle va chanter toute seule sur LEUR CHANSON mais hgnnnnnn retenez-moi
Ce. Plan.
Son breakdown mais j'ai envie de mourir là
J'le redis qu'il y a pas de rue du Moine à Lille, ou pas ?
L'ascenseur émotionnel de Morgane sur cette fin d'épisode 😰 #stophurtingmorgane2k23 (ouais même moi j’y crois pas)
Je suis pas bien 😭 Et c'est pas fini...
(miracle des miracles, je suis raccord avec moi-même, c’est bô)
#hpi#tf1 hpi#julia rewatches hpi#I didn't realize I giffed so much from that ep#oops my bad#I've had these gifs in my folders for literal ages#waiting for an occasion lol#french post#boyyyy this ep really hurt didn't it?
17 notes
·
View notes
Text
8. Monstres
Enzo m’a décontenancée. Cet élève de 6e au regard bleu acier perçant reste à la fin du cours et me questionne. - Madame, c’est quoi votre monstre à vous ? Je bafouille. - J’aime bien...les dragons. Puis j’ajoute précipitamment. - Je sais, c’est trop commun. Et lui. - C’est vrai que c’est classe, mais tout le monde aime les dragons. Il marque un point, je botte en touche. Il me fait rire avec ses remarques d’adulte dans un corps d’enfant. C’est un sujet d’étude, les monstres dans la mythologie : de Charybde à Scylla en passant par le Minotaure, le Cyclope et autres joyeusetés. Trois têtes aux dentitions allongées ou qui repoussent, un félin à la carapace invincible, des hybrides stupéfiants. J’ai pourtant d’autres monstres à fouetter, qui dorment ou s’incarnent la nuit, je fais même partie de ce troupeau ahurissant : à la fois sorcière, démone, moustique géant... Monsieur a des paralysies du sommeil et ses hurlements se taisent quand une claque sur sa joue le propulse hors de ses hallucinations. Les monstres, nos songes intranquilles. La prochaine fois qu’on me demandera où va ma préférence, je saurai sûrement quoi répondre et ce ne sera certainement pas ce qu’on peut imaginer dans les contes de fées.
8 notes
·
View notes
Text
this post is brought to you by: la lettre b
[previously: la lettre A]
soooo i read all the B words in this french dictionary recently - ladies, please! one at a time when you propose marriage! - and boy are there tant de mots de ouf là-dedans !
stats
percentage of dico taken up by B words: 4.5%
percentage of dico read (as of the end of the B section): 12.8%
rate and duration: 3 pages/day for 11 days + part of the 12th day
total entries: 1608
rows added to my vocabulary spreadsheet: 335. this is considerably more than the number of A-word rows even though there are a lot more A words than B words. whoops!
semantic themes
for some reason, in the B section there were a few semantic categories that seemed to recur a lot. in some cases i think there might be some sound symbolism at work (ba is a common syllable in baby babbling, which could contribute to the frequency of words meaning "babble", "mumble", "prattle", etc. that start with b) but in other cases i haven't a clue.
verbs for speaking indistinctly: babiller, bafouiller, balbutier, baragouiner, barbouiller, bégayer, blablater, bredouiller
other speech verbs: baratiner (spiel), bavarder (chat), bavasser (chat), bonimenter (spiel)
words for trifles (trinkets and/or trivial matters): une babiole, une bagatelle, une breloque, une bricole, un brimborion, une broutille. i might also class et des bananes here
slang for head, face, and/or expression: une bille, une binette, une bobine, une bouille, une boule, une bourriche
slang for belly: un bidon, un bide, un buffet
slang for year: un balai (literally, broom), une berge (literally, riverbank). why? search me!!!
sudden exhaustion idioms: le coup de bambou (also means heatstroke), un coup de barre
verbs for animal noises: bêler, bourdonner, brailler, braire, bramer
i'm now about 50 pages into the Cs (i procrastinated this post lol) and there's a ton of slang for "head" starting with C as well. many of these are, like, names of fruits that are round, so pretty straightforward, but there's also carafe (carafe) and cafetière (coffeemaker). not really following the association there...but i digress.
page hogs
(entries taking up 1/6 of a page or more)
bas
battre
beau
bien
blanc
bon
bras
there are a lot of "bras" idioms ok!!
🤯 momence
une banane: obviously this means banana but i'm mainly interested in its "fanny pack" sense because when i was a child i had a fanny pack shaped like and decorated to resemble a banana...COINCIDENCE????
i haven't been writing all of these down but i like compounds like un bouche-trou (stand-in, stopgap; filler) and un brise-tout (butterfingers). see, french CAN make pithy little phrasal nouns without using de! just slap a verb conjugated in the third-person singular present indicative in front of a noun with a hyphen in the middle and voilà, new word. francophones idk what youre complaining about, this shits easy
french has you covered on slang for round or curved body parts with une boule (noggin; testicle) and un boule (ass; boob (in canada anyway)). no one tell fergie or she will find a way to make this about "my humps".
another situation where changing the gender gives you a different but related word: un brassière (bra) and une brassière (sports bra). this is fun for a holiday, but it's a good thing french doesn't make a habit of this or it would be so much harder to learn vocabulary!
favorite words to pronounce
baby-foot [babifut]
bombance [bɔ̃bɑ̃s]
bonbon [bɔ̃bɔ̃]
least favorite words to pronounce are badaud (because i always swap the vowels and say baudad instead) and bugle (i can do -gle at the end of a word but not right after a u for some reason) :(
favorite words period
un baby-foot: foosball table, foosball game. i have spoken previously about the spiritual experience of discovering that this word exists (see also french is a beautiful language and thank goodness the british are so boring). and it is the gift that keeps on giving because now whenever there's an awkward pause in a conversation i can just drop in this fun fact and immediately we're back in business. hey, don't cry. the french word for foosball table is baby-foot. ok?
une baguette: chopstick! of course baguette refers to basically anything baguette-shaped but i find this especially charming because in english baguette refers only to the bread, so it feels like they named chopsticks after iconic french bread rather than what's actually happened, which is that various baton-shaped things are all called "baton".
ça baigne ? / ça baigne ! and ça boume ? / ça boume !: like ça va but slangier! lord knows i'm always looking to slang up my small talk.
ça me barbe: one thing i am learning is that french has A LOT of ways to say that you are soooooo bored omg just dying of boredom. makes sense for a language in which the word for "boring" also means "annoying".
barder: to kick off, turn nasty, get heated, as in ça va barder ! (there'll be hell to pay / shit is gonna hit the fan!). so pithy.
bernique !: no way, not a chance! knowing that bernique as a noun means "limpet" only increases my enjoyment of this already great interjection.
chercher la petite bête: to nitpick. basically the same image as the english idiom but way cuter somehow.
bibi: yours truly. i need a francophone penpal stat so i can sign all my letters with this.
in english the same word means both "twice a month" and "every two months" which is just terrible design in my opinion. french has solved this problem with bimensuel(le) (twice a month) and bimestriel(le) (once every two months). now the only problem is i have no idea how i'm gonna remember which is which.
bœuf: fantastic, huge, great, impressive. reminds me of that verse in "foux du fafa" when bret is just saying the names of foods at the supermarket in french and goes "bœuuuuuf", which is arguably the best line of the entire song.
bon, je te laisse : well, i'd better get going / i'll leave you to it. finally, a way to say goodbye without sounding like a textbook from the 1950s!
c'est bonnet blanc et blanc bonnet: it's six of one, half a dozen of the other / tomayto, tomahto. i think what i like about this is both that it's a very handy phrase to know, but also from my perspective as a french learner it is not at all a given to me that "bonnet blanc" and "blanc bonnet" would be the same thing, because the position of adjectives in french does sometimes change the meaning! so it's also a lil ironic, which is fun and sexy imo.
bof: meh, nah. i say "meh" in english ALL the time, so this was a huge lacuna in my vocabulary. merci le robert de poche 😘
c'est le bouquet: that takes the cake / that's all i needed (ironic). always looking for ways to be sarcastic in my second language. i should probably get better at being sincere in french first before i start adding complications, but it's so hard to resist!
next up...81 pages of Cs!!! luckily i am already halfway through the C section or just seeing that number might be too intimidating. courage !
#it's too bad baby-foot came so early in the alphabet. french peaked too early. nothing else can come close#that said i am still learning lots of great words and improving my pronunciation <3#i know it's not fair to compare other words to baby-foot. baby-foot has all the advantages. it jumped the line. born with silver spoon etc#anyway...#bon je te laisse !!!#french#fun with words#my posts#lecture du dico#cuts#links#linked to
11 notes
·
View notes
Text
Moi à deux heures du mat en pleine insomnie en train de fomenter des plans pour aborder mon crush que je ne mettrais jamais à exécution parce que quand je le croise je préférerais ne jamais l'avoir vu de ma vie. Le croiser me fait ressentir des émotions dans mon corps alors que moi et mes problèmes, sur lesquelles on travaille chez ma psy, on déteste ressentir des émotions parce que faut les gérer en société et c'est trop dure. Mes problèmes de besoin de tout contrôler sont évidemment liés à ce sujet ainsi que de confiance en moi. Comme je l'avais bien imagé à mon dernier rdv, je préfère que ma vie soit tous les jours dans la grisaille plutôt que d'alterner des jours de grands soleils avec des jours de tempêtes.
Le pire dans tout ça, c'est que je n'ai même pas l'excuse du "non mais je ne sais pas si c'est réciproque, je ne veux pas me prendre un râteau". Je sais que c'est réciproque, parce que déjà je ne suis pas née de la dernière pluie, que la dernière fois que je lui ai juste dit merci en le regardant dans les yeux il a essayé de bafouiller un truc (c'était très mignon d'ailleurs). Mais surtout je le sais parce qu'on a EXACTEMENT la même technique d'évitement de bolosse. Je suis même à souhaiter qu'il pleuve comme ça il n'accompagne pas ses collègues au coin fumeur. Je me dis également que j'ai assez de stresse comme ça dans ma vie.
Non vraiment la seule excuse que j'ai c'est que mon corps ne supporte pas les émotions et que je ne sais pas quoi lui dire pour l'aborder entre deux couloirs du travail. Ma vie est une accumulation d'évitement de moment gênant alors ça serait contre nature de faire pour moi.
Je m'étais promis d'arrêter de regretter ma vie donc il faut que je me lance mais là c'est mal barré quand même.
C'était venu du constat que les bancs de l'école c'est fini et que je ne peux plus attendre 6mois de pour-parler en l'examinant dans tous les recoins avec un gars pour être sûre que je veuille bien qu'il rentre dans mon lit parce que c'est incompatible avec la vie d'adulte.
Allerrrrrr, première étape, lui sourire au lieu de lui montrer ma pire tête de meurtrière qui essaye de cacher ses émotions.
Putain en plus cette histoire ça me bouscule ma fausse confiance en moi (celle que je construite pour survivre à la société) .
2 notes
·
View notes
Text
Croise tes cuisses sur ma tête
De façon à ce que ma langue,
Taisant toute sotte harangue,
Ne puisse plus que faire fête
À ton con ainsi qu’à ton cu
Dont je suis l’à-jamais vaincu
Comme de tout ton corps, du reste,
Et de ton âme mal céleste,
Et de ton esprit carnassier
Qui dévore en moi l’idéal
Et m’a fait le plus putassier
Du plus pur, du plus lilial
Que j’étais avant ta rencontre
Depuis des ans et puis des ans.
Là, dispose-toi bien et montre
Par quelques gestes complaisants
Qu’au fond t’aimes ton vieux bonhomme
Ou du moins le souffre faisant
Minette (avec boule de gomme)
Et feuille de rose, tout comme
Un plus jeune mieux séduisant
Sans doute mais moins bath en somme
Quant à la science et au faire.
Ô ton con ! qu’il sent bon ! J’y fouille
Tant de la gueule que du blaire
Et j’y fais le diable et j’y flaire
Et j’y farfouille et j’y bafouille
Et j’y renifle et oh ! j’y bave
Dans ton con à l’odeur cochonne
Que surplombe une motte flave
Et qu’un duvet roux environne
Qui mène au trou miraculeux
Où je farfouille, où je bafouille
Où je renifle et où je bave
Avec le soin méticuleux
Et l’âpre ferveur d’un esclave
Affranchi de tout préjugé.
La raie adorable que j’ai
Léchée amoroso depuis
Les reins en passant par le puits
Où je m’attarde en un long stage
Pour les dévotions d’usage,
Me conduit tout droit à la fente
Triomphante de mon infante.
Là, je dis un salamalec
Absolument ésotérique
Au clitoris rien moins que sec,
Si bien que ma tête d’en bas
Qu’exaspèrent tous ces ébats
S’épanche en blanche rhétorique,
Mais s’apaise dès ces prémisses.
Et je m’endors entre tes cuisses
Qu’à travers tout cet émoi tendre
La fatigue t’a fait détendre.
Paul Verlaine, Femmes, 1890
12 notes
·
View notes
Text
✝️VDieu choisit des faibles
Dieu aime travailler avec des personnes faibles ! La relation de Moïse avec Dieu est décrite en ces termes : «L’Éternel parla à Moïse face à face, comme un homme parle à son ami.» (Exode 33, 11).
Moïse était-il parfait ? Pas du tout. Les quarante premières années de sa vie il était prince dans le palais de Pharaon et les quarante années suivantes simple berger dans le désert. La Bible évoque les tensions dans son mariage ainsi que ses périodes de stress et de désespoir. Dans le film "Les Dix Commandements", Moïse est interprété par Charlton Heston qui était grand, beau et s’exprimait bien. Mais en réalité, Moïse était bègue, faible et timide, incapable d’aligner deux mots sans bafouiller, et encore moins de s’exprimer à la cour du souverain le plus redouté au monde.
La Bible parle des Israélites comme d’une «assemblée», ce qui fait de Moïse un pasteur. Mais aucun pasteur au monde n’a eu autant de difficultés que lui avec son assemblée.
Vous dites : «Pourquoi évoquer les défauts de Moïse ?»
Pour vous encourager ! Pour vous dire que vos défauts ne vous disqualifient pas et que vos limites ne sont pas des obstacles pour ce que Dieu veut faire à travers vous.
Paul écrit : «Il n’y a parmi vous ni beaucoup de sages selon la chair, ni beaucoup de puissants, ni beaucoup de nobles. Mais Dieu a choisi les choses folles du monde pour confondre les sages ; Dieu a choisi les choses faibles du monde pour confondre les fortes […] afin que nulle chair ne se glorifie devant Dieu.»
(1 Corinthiens 1, 26-27-29).
Prière du jour :
Mon Dieu, je te remercie car tu me qualifies.
Parole du jour de Bob Gass,
28 août 2024
© Copyright 2024 - Parole du Jour
0 notes
Text
Dieu choisit des faibles
Mercredi 28 Août
Dieu choisit des faibles « Dieu a choisi les choses faibles du monde » 1 Corinthiens 1.27
Dieu aime travailler avec des personnes faibles !
La relation de Moïse avec Dieu est décrite en ces termes : « L'Éternel parla à Moïse face à face, comme un homme parle à son ami » (Ex 33.11). Moïse était-il parfait ? Pas du tout. Les quarante premières années de sa vie il était prince dans le palais de Pharaon et les quarante années suivantes simple berger dans le désert. La Bible évoque les tensions dans son mariage ainsi que ses périodes de stress et de désespoir. Dans le film Les Dix Commandements, Moïse est interprété par Charlton Heston qui était grand, beau et s'exprimait bien. Mais en réalité, Moïse était bègue, faible et timide, incapable d'aligner deux mots sans bafouiller, et encore moins de s'exprimer à la cour du souverain le plus redouté au monde. La Bible parle des Israélites comme d'une « assemblée », ce qui fait de Moïse un pasteur. Mais aucun pasteur au monde n'a eu autant de difficultés que lui avec son assemblée. Vous dites : « Pourquoi évoquer les défauts de Moïse ? » Pour vous encourager ! Pour vous dire que vos défauts ne vous disqualifient pas et que vos limites ne sont pas des obstacles pour ce que Dieu veut faire à travers vous. Paul écrit : « Il n'y a parmi vous ni beaucoup de sages selon la chair, ni beaucoup de puissants, ni beaucoup de nobles. Mais Dieu a choisi les choses folles du monde pour confondre les sages ; Dieu a choisi les choses faibles du monde pour confondre les fortes […] afin que nulle chair ne se glorifie devant Dieu » (1Co 1.26-27, 29).
B365 — Plan de lecture : 1 Chroniques 29
Prière du jour Mon Dieu, je te remercie car tu me qualifies.
The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2024 Publication Parole du jour © PHARE MEDIA 2024
0 notes
Text
La préparation, chapitre 1
Le soleil tape fort en cette journée de mai. Je me faufile entre les groupes d’étudiants qui se dirigent dans le sens opposé au mien. Je marche, marche, jusqu’à arriver devant un bâtiment de haute envergure tapissé d’affiches de différents clubs et d’annonces : l’accueil de la fac. J’entre. Il fait frais à l’intérieur, quelque chose de bienvenu. Je m’avance jusqu’à trouver le bureau des admissions. -Excusez-moi, dis-je à la chargée des admissions en me raclant la gorge, je cherche un élève du nom de Light Lowld. Sauriez-vous où je pourrais le trouver ?
-Pourquoi le cherchez-vous ?
Je sors ma carte de la poche et la lui tends. -Oh, excusez-moi, bafouille-t-elle. Vous le trouverez dans son dortoir.
-Merci, bonne journée, au revoir.
Alors que je m’éloigne, je l’entends murmurer anxieusement à son collègue.
-Tu as vu sa carte ? Je me demande ce qu’elle lui veut.
-Tu penses qu’il a des problèmes ?
-Non je ne pense pas, il a toujours été bon élève.
Je ne voulais pas montrer ma carte. Maintenant ce sera la seule chose dont tout le monde parlera au campus. Je soupire. Je devais m’y attendre.
Je sors de l’accueil et me dirige vers les dortoirs. Pour y arriver, je dois traverser tout le campus. Cela me prendra environ neuf minutes. Le bâtiment des dortoirs masculins est réparti sur sept étages, j’aurai du mal à le trouver. J’aurai dû demander dans quelle chambre il était. Je me retourne vers l’accueil. Un grand nombre d’élèves se trouve déjà à l’entrée. Tant pis, je ferai sans.
J’arrive enfin aux dortoirs. Le bâtiment ressemble à un immeuble de style gothique. Il doit bien mesurer 25 mètres de haut. Je sors mon téléphone de ma poche : 15h34. Je dois me dépêcher.
Alors que j’entre, j’aperçois Nathan au loin. Devrais-je aller le voir pour lui demander dans quelle chambre se trouve Light ? J’hésite… si je le fais, il me posera forcément des questions. Peut-être que je trouverai quelqu’un d’autre qui le connait.
J’essaie de me camoufler et de ne pas attirer son attention. Je pense avoir réussi jusqu’à ce que je rentre dans quelqu’un. -Oh excusez-moi…
Je lève la tête et je tombe nez-à-nez avec Nathan.
-Oh, euh, t’inquiète , ce n’est pas grave, dit-il. Ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vu.
-Oui c’est vrai…
-Est-ce que tu es nouvelle ? Je ne t’avais jamais vue sur le campus auparavant.
-Non, je travaille.
-Tu…travailles ?
-Oui, d’ailleurs, est-ce que tu sais dans quelle chambre réside Light ? Je le cherche.
-Oui je le sais. Veux-tu que je t’y emmène ? propose-t-il.
-Oui, s’il te plait. Ce serait gentil.
La dernière fois que je l’ai vu remonte à 5 ans. Nous étions encore au lycée. C’était ma dernière journée au lycée Aya Haillet. Le vendredi 23 février. Je venais d’apprendre que j’allais emménager définitivement chez ma tante et sa femme. Ma mère m’avait convoquée dans son bureau au deuxième étage. Elle m’avait expliqué que ce serait plus bénéfique pour moi si je vivais avec ma tante. Je pourrais faire une formation dans son entreprise et avoir un métier stable chez elle. Mais je sais que cela n’était qu’une excuse pour se débarrasser de moi. Elle avait honte de moi.
J’avais donné rendez-vous à mes amis pour leur annoncer la nouvelle. Light, Nathan, Marco et Aurore ne s’y attendaient pas. C’était si incongru. Je leur avais promis de leur écrire, mais je ne l’ai jamais fait.
Je suis Nathan jusqu’à l’ascenseur. Il presse le bouton. L’ascenseur arrive deux minutes plus tard. Il me laisse entrer en premier. Je me mets au fond pour qu’il ait assez de place pour entrer. Une fois à l’intérieur, il presse le bouton 2. La chambre de Light se trouve donc au deuxième étage.
J’appréhende le moment où je serai face à face à Light. Si seulement je lui avais envoyé un message, si seulement je l’avais appelé. Mais c’est trop tard.
L’ascenseur sonne. Nous sommes arrivés au deuxième étage. Nathan sort et je le suis. Nous marchons et passons devant cinq portes jusqu’à arriver à la chambre 212. Light se trouve juste derrière. Je lève ma main pour toquer. Je la vois trembler. Ma main se rapproche de la porte. Je toque.
Des pas résonnent.
Light apparait et je vois la surprise envahir son visage.
0 notes
Text
Bogs blog 35
Si mon dernier blog était teinté d’une note positive, celui-ci sera, sans aucun doute, plus sombre. En effet, Kate et moi avons eu une semaine compliquée. Elle a commencé avec une fatigue résiduelle de notre week end à Wellington et plus particulièrement à cause du retard de notre avion. Le couché à eu lieu à 1 heure du matin. Kate a dû se réveiller pour aller bosser mais moi je suis resté confortablement au lit. Aie, mauvais pour la dynamique proactive que j’essaie d’instaurer. Mauvais pour mon Karma aussi de mettre toute la charge sur Kate. Normalement je me réveille toujours pour lui faire un tea et pour faire ma méditation. Mais j’ai délaissé ma méditation et le tea pas seulement lundi mais également le reste de la semaine. Fissure présageant peut être des cassures de fin de semaine. Je me suis réveillé tard, j’ai fait mes tâches au ralenti. Je suis allé m’occuper du chien des amis de la famille qui habite sur la même rue qui sont partis voir leur enfant et petit fils à Wanaka. J’ai ensuite rejoint Kate à son travail pour me forcer à continuer ma paperasse. J’ai fait mes trajets en vélo et c’était très agréable. Le lendemain, j’ai reçu les traductions authentifiées de divers document notamment mon permis de conduire belge dont j’avais besoin pour appliquer pour un permis de conduire Néo-Zélandais ce qui va par la suite m’aider pour ma recherche de boulot. Mais la bureaucratie ne fonctionne pas mieux en NZ qu’en Belgique. Ils sous-traitent ça à une boite privée ce qui n’aide manifestement pas l’efficacité. J’ai passé 3 heures sur place avec une féroce envie de pisser ainsi qu’un niveau de caféine dans le sang beaucoup trop élevé pour mon activité du moment ou plutôt, inactivité. J’étais au summum de la tension lorsque la réceptionniste a appelé l’agence gouvernementale du transport parce mon nom sur mon passeport est Benoît Paul M. , sur mon permis de conduire c’est Benoît P. M. et moi sur la fiche j’ai écrit que je m’appelais Benoît Paul Marc. Je sais pas exactement ce qui l’avait fait tiquer là dedans mais le fait est qu’on a écouté une musique d’ascenseur une petite dizaine de minute en se regardant dans le blanc des yeux. C’était également très compliqué de communiquer à cause de l’épaisse plaque de plexi qui nous séparait, de son accent oriental et de sa petite voix fluette. Je collais mon oreille dans le trou pour les documents dès qu’il fallait échanger des informations. Derrière moi, il y avait une grosse vingtaine de personnes qui attendaient et mon envie de me soulager me faisait faire du hula hoop au contoire. Quand l’heure de la photo est arrivée et qu’elle m’a dit que je pouvais sourire, j’ai montré les dents et levé les joues. Je doute qu’on puisse qualifier ça de sourire. Les yeux ne pétillaient pas.
On est allé jouer au tennis, cuisiner et dessiner pendant ces soirées de début de semaine. On a reçu Jamie à la maison mardi après qu’il ai finalement annoncé à ses parents l’identité de sa petite copine. ça ne s’est pas bien passé du tout et c’est un euphémisme. On était dans la Tiny avec Kate quand ça s’est passé. Je lui ai demandé s' il voulait qu’on soit là. Il a dit qu'il ne voulait pas nous infliger le malaise de la situation. Nous l’avons donc un peu égoïstement laissé là à bafouiller de stress sur des sujets du quotidien. Les parents étaient en état de choc après l’annonce et dans les jours qui ont suivi. Dans ce contexte, ils ont dit des choses que j’espère qu’ils ne penseront bientôt plus et/ou fait part d’opinion qui vont devoir changer si on veut avoir une famille chouette et fonctionnelle. Jamie était content de s’être libéré d’un poids mais profondément, il espérait que ça se passerait mieux. On l’a félicité pour son courage et offert une bière de célébration. Du bon karma, pour être totalement réalisé, doit être célébré. Il a failli abandonner au dernier moment et ne rien révéler mais il a tenu bon..
Jeudi on est allé à Te Aroha et c’est là que la semaine à commencé à dérailler. J’étais tout excité à l’idée de soumettre mon application pour mon équivalence de kiné. Malheureusement, en lisant certains points plus assidûment j’ai réalisé que ça allait encore devoir attendre. J’ai fait signer le juge de paix sur les traductions plutôt que sur les copies des originaux. Donc je dois refaire ça. J’ai aussi réalisé que si je voulais authentifier les copies, il me fallait les originaux qui étaient en Belgique. Maman m’a un fois de plus tiré de la mouise et je lui en suis fort reconnaissant ! En plus de ça, les références de mes collègues posent problème. Deux sur trois se sont très bien passées mais la troisième coince. J’ai été bloqué sur messenger sans sommation par un collègue avec qui j’étais en bon terme et maintenant ça me le refait. J’ai demandé à cette collègue de m’aider il y a trois semaines. Elle a accepté de m’aider à condition que j'écrive la référence moi même pour lui éviter tout travail. Je lui ai renvoyée complétée pour qu’elle la check et l’envoie en son nom. Depuis elle ne me répond plus. Elle a vu mes messages mais c’est silence radio. Je pense que c’est l’incertitude qui me mine. Avec Pierre et maintenant avec elle, je creuse pour savoir ce qui peut justifier un tel traitement mais je ne sais pas trop. Aujourd’hui je lui ai envoyé ça : “tracasse Camille, je vais trouver quelqu’un d’autre. Est ce qu’il y a une raison pour l’arrêt de communication ? Si j’y suis pour quelque chose ça m’intéresserait de savoir histoire de ne pas le reproduire. Passe un bon été, à la prochaine!”
Je suis actuellement dans un cercle vicieux d’incertitude vis-à-vis de mon application kiné NZ et de ma recherche de travail qui ont chacun leurs sous catégorie de doute. Mon cerveau broie ces informations de manière obsessionnelle mais sans issue immédiate ce qui entame sérieusement mon enthousiasme en ce moment. J’ai l’impression que mon bonheur dépend du dénouement de ces situations, ce qui est complètement erroné et en désaccord avec les principes bouddhiste que j’essaie d'intégrer. Premièrement, je réalise ma responsabilité pour la situation dans laquelle je suis mais ne pas laisser la culpabilité m’empêcher d’avancer. Deuxièmement, le bonheur ne dépend pas de conditions extérieures, il est intrinsèque simplement obscurci par un abat jour. Une telle réalisation enlève tout le poids émotionnel lié à l’échec. Une chose éminemment compliquée a voir quand on a la tête dans le guidon, pris dans le tourment des pensées négatives.
Du côté de Kate, c’était également une fin de semaine émotionnellement chargée. On avait un rdv à la SPCA samedi après-midi pour adopter un chaton. Kate avait imaginé qu’elle allait rentrer dans une pièce remplie de chatons qui jouent et qu’elle ramènerait le plus mignon avec elle. Au lieu de ça, on est rentré dans ce qui ressemblait à une prison pour chats: une allée, des petites cellules avec lits superposés de chaque côté, des barreaux, du béton partout, lumière blanche et pas de fenêtre. Pas mal de chats étaient peureux et difficiles à apercevoir. On aurait bien aimé un jeune chat pour qu’on puisse l’éduquer et le mettre en laisse pour le prendre avec nous pour nos aventures. Il faut également qu’il vive dehors la plupart du temps. Il n'y avait aucun chat qui correspondait à ces critères. C’est en partant les mains vides que Kate a réalisé à quel point elle désirait un petit chat. C’est donc avec les yeux brillants que nous sommes rentrés chez nous.
Le lendemain, on avait décidé d’aider les parents Robinson parce qu’il y avait eu des commentaires comme quoi on ne participait pas aux tâches. je dis “il y a eu” parce que rien est exprimé directement et clairement. Kate a essayé d’engager une conversation pour savoir ce qu’on attendait de nous exactement dans les semaines à venir. Elle a dit “Est ce que vous pensez qu’on ne fait pas assez?” J’admets qu’utiliser la négative manquait un peu de tacte. La discussion a été coupée court et elle s’est fait grondée au motif qu’elle posait trop de questions et créait des problèmes là où il n’y en avait pas. Ma petite chérie qui avait le cœur gros à cause du manque de chaton dans sa maison, a tout simplement craqué. On a fait nos tâches puis on s’est échappé chez Cathy. On est allé à la plage marcher avec elle et ça nous a fait du bien.
Mais ce n’est que ce lundi matin que personnellement j’ai réussi à me protéger de cette boule de neige qui prenait des allures d’avalanche. On est descendu à Te Aroha et j’ai fait une balade de 4-5 heures seul. Je suis allé au sommet de Mount Te Aroha. J’ai écouté des podcasts bouddhistes le long du chemin. Au sommet, la brume empêchait toute visibilité mais ça avait peu d’importance, mon esprit était en train de s'éclaircir. Le temps que je redescende, mon niveau d’agitation mental était de retour à son rythme de croisière. Kate, elle, est allée courir de son côté dans les wetlands. C’est vraiment nécessaire après une journée de bureau de prendre l’air. A Te Aroha on rentre vite au motel parce qu’après 17h le soleil se couche et les shops sont fermés. Donc ce petit laps de temps est précieux surtout quand tu n’as pas eu l'opportunité de faire une balade de 5h. Entre le temps de début d’écriture de mon blog et la fin, il y a eu une avancée vis-à-vis de ma collègue. Elle m’a dit “hello Benoît, je vais le faire laisse moi le temps”. Pour ma défense, je rappelle que je lui avais quand même envoyé 3 messages depuis le 24 juillet à plusieurs jours d'intervalle qu'elles les avaient vu sans y répondre. Le dernier lui demandant explicitement de me donner des nouvelles. Bref tout est bien qui finit bien. Mes autres soucis se résolveront dans la foulée, j'en suis certain.
Je vais finir ce blog sur des notes positives parce que mon but n’est pas de vous déprimer ou de vous inquiéter. Vendredi soir on a dormi chez Jo&Nico, ils nous ont fait des pizzas et c’était une très chouette façon de commencer le weekend. Après avoir dormi sur place, on est allé voir le match de foot de Jasper le lendemain matin et c’était vraiment chouette. Ça a remué plein de bons souvenirs de parties endiablées avec mes copains. Malheureusement on a dû quitter après une demi-heure à 1-0 pour l’équipe de Jasper pour que Kate puisse assister son amie dans l’essayage de robe de mariage. La première mi-temps s’est terminée sur un score de 4-0 donc on a manqué une bonne partie du spectacle. Kate a passé un bon moment dans son rôle de conseillère pendant que je faisais une sieste dans la voiture sous un ciel bleu immaculé. Ce sera tout pour moi cette semaine, j’espère que de votre côté votre semaine était agréable et paisible. Je pense à vous.
Benoît
1 note
·
View note
Text
Il n'est si longue nuit
La peur me prend. J'avance. Et plus j'avance moins la distance est longue avant d'arriver. J'ai peur. On va encore me hurler dessus. Plus que quelques pas et je vais être arrivé. Je retarde le plus ce moment. Je traîne. Je ralentis mes pas. J'ai la boule au ventre. Ce week-end va être de la torture. Je fais des petits pas. Mais me voilà déjà devant l'entrée. Je prends une respiration, et j'entre. Personne pour m'accueillir. Devrais-je être triste ou au contraire soulagé ? Je pose mon téléphone, je suis puni. Je m'annonce et personne ne me répond. Tant pis. J'enlève les chaussures et les range. Elle est là. Sur le canapé, celle qui me terrifie et me tord le ventre. J'essaie d'être agréable et demande si sa journée s'est bien passée. Une vague réponse. Il n'est pas là. Faites qu'il arrive vite. Je vais à la douche. C'est le mieux. Je sens toujours la boule au ventre. Plus forte encore. Elle me tord le ventre, me le ture dans tout les sens comme pour m'annoncer quelque chose. J'aurais du l'écouter.
J'avance et passe devant. Elle m'interpelle. Quand contait-je m'excuser ? Je bafouille et perd mes mots, je croyais l'avoir fait. Je plisse les yeux car je n'y vois rien sans mes lunettes. Elle est floue. J'ai peur. Elle se met à hurler. Toujours plus fort. Je tremble et me met à pleurer. C'est très perturbant, je ne vois pas son visage. Je bat des paupières pour effacer ces larmes qui affluent sans que je ne puisse rien faire, ces larmes qui dévalent mes joues dans mon malheur. Mon ventre se tend l'air de me dire "fuit". Mais je ne peux pas. Et d'un seul coup Elle se lève. Et vient vers moi à toute vitesse, tellement vite que s'en est terrifiant. Je recule. Mais elle me bouscule et me pousse sur un mur. Là, je vois son visage. Je ne vois que ça, son visage. À deux centimètres du mien à tour casser. Je sens son souffle directement dans mon visage, ses postillons s'écrasent sur mes yeux et mon nez. Et ses yeux,.. ses yeux reflètent une sauvagerie inouïe. Ses pupilles sont dilatées telles un animal sauvage. Et je me rends compte à cet instant que je vais passer un très très mauvais moment. Mon ventre ne me fait plus mal. C'est ça qu'il voulait me dire. Je vais morfler. Et là je me rends compte aussi que je ne respire pas bien, et que c'est bien normal ; elle a son bras sur ma gorge pour me plaquer contre le mur. Je suffoque un peu. Mais elle l'a déjà fait alors ça va. Et elle se met à me gifler ; je crois, je sais plus. Ce que je sais, c'est qu'après, elle à prit mon bras. Le seul qui était pas bloqué. Elle a prit mon bras et tenant mon poignet, me façonne la main de façon à former un poing. Et c'est extrêmement rapide car je n'ai presque pas le temps de le voir, qu'elle m'envoie avec une force effrayante, mon propre poing dans ma machoire. Je suis tellement surpris que je n'ai pas le temps de capter ce qui se passe qu'il en vient un autre. La douleur me brûle la mâchoire, je tremble et je ne peux m'empêcher de pleurer encore. Un autre coup arrive et un autre. Elle frappe avec une force d'une violence extrême. Je sens mon visage chauffer sous les coups. Je me force à garder la mâchoire bien fermée pour ne pas me mordre la langue. Je ne compte plus les coups. Je me dis que ma joue va avoir de sacrées marques. Je la regarde, toujours en pleurant, souffrant et me prenant encire mon propre poing. Ses yeux sont fous. Elle est folle, elle est tarée. Quand est-ce qu'il rentre. Je me met à prier pour qu'il rentre plus vite pour qu'il me sauve. Mais il n'arrive pas. Et le temps s'étale. Un coup. Un autre coup. Je veux que ça s'arrête. Et enfin, elle me lâche en me hurlant encore dessus. Je suffoque et hoquette. Je reprends mon souffle et me larmes sortent à foison. Et je fuis dans ma chambre quand elle retourne s'assoir. Et c'est maintenant qu'Il arrive. N'aurait-il pas pu arriver avant ? C'est trop tard maintenant
1 note
·
View note
Text
Malgré une arrivée tardive, nous arrivons à avoir le dernier tram pour rentrer chez Tiffany. Mais en achetant 3 billets d'avance, la machine n'en sort qu'un seul et vu l'heure il n'y a plus personne pour nous aider. J'essaie l'interphone non loin qui me dit de faire une réclamation sur le site internet. Je prend donc une photo de la machine, du ticket en vue de faire ma réclamation en arrivant à l'appartement. Les tickets ne sont pas donnés, il y en a pour un peu plus de 7€ tout de même pour les 3.
Une fois arrivés, nous discutons un peu avant d'aller nous coucher. J'avais été prévenu mais le canapé est drôlement inconfortable principalement car trop petit. J'arrive tant bien que mal à m'endormir tout en me réveillant malgré tout de temps en temps.
Au petit matin, j'entraperçois le ciel couvert. Fini le beau temps hongrois et bienvenue la grisaille humide.
C'est la première fois que je vais en Belgique. Pendant que Virgile est parti au travail, elle me fait découvrir la ville. Ancien librairie oblige, je repère qu'il y a beaucoup de temples du livre de la BD franco-belge, et vous vous en douterez notamment autour de Tintin mais pas seulement. Il y a également de fréquentes illustrations murales.
Nous faisons une halte dans un restaurant de vieille musiques francophone pour y manger des plats types du coin. la salle est en configuration serré pour accueillir le plus de monde possible alors que le rush est passé. Nous demandons s'il est possible de dplacer la table "car je suis trop gros et il n'y a pas assez de place". La serveuse répond machinalement "c'est vrai (il n'y a pas beaucoup de place") et j'en profite pour la taquiner d'un "comment ça c'est vrai que je suis assez gros"; Elle bafouille un peu avant de comprendre que je plaisante et ensuite d'esquisser un sourire.
Parmi les choses à visiter il y a bien entendu le Manneken-Pis, qui est habillé différemment selon les périodes. Je ne connaissais pas cet aspect là et cela me rappel un peu les statues japonaises qui sont aussi habillées régulièrement. Au passage, j'apprend que le jeune garçon n'est pas tout seul en ville mais il a une sœur et un fidèle compagnon. Moins connus ou moins populaires, il est plus facile d'y accéder pour les prendre en photo mais la jeune fille est enfermée dans un grille limitant les angle dont un assez malaisant.
Le lendemain mon ami lillois nous rejoins pour manger dans un très bon restaurant le midi avec une équipe accueillante. Il est tant de laisser mes amis et de nous balader un peu avant de rentrer pour Lille d'où je repartirai le lendemain pour Nantes par train.
1 note
·
View note
Text
Rest and Peace III
The life of an Assassin is one of constant toil, emotional duress and gruesome murders. So, I thought it would be nice to give them rest. Nice days to recover and do what they enjoy at least, amongst their loved ones.
Hey! New chapter is out! Special serving for all of you who love our Frye twins when their are little shites!
Here on Ao3
<<<<<<<>>>>>>>
« Jacob! That’s the third time this week you ditched Father’s lessons; he’s going to whoop your arse! » Evie bellowed. “And if I have to do your chores again, I’m going to kick your buttocks up to London!”
No response. Typical.
In this slow spring afternoon, only a few of the denizens of Crawley payed any mind to young miss Frye in her quest for her missing twin. They all have learnt that getting involved in the businesses of these two was way more pain than it was worth, especially if the esteemed Mr Frye wasn’t here to keep them in check, especially Jacob… although his sister could be just as much of a menace when she wanted to. How the scholarly and dignified Mr Frye could have sired such a rambunctious pair was anyone’s guess, but the early death of poor Cecily, their late mother, and the frequent absence of their father to mysterious “business travels” could most certainly be to blame. At least, that’s what Ms Perkins told Ms Brawnsworth when they last had tea together.
Evie was simmering. None of the passers-by could give her any information about her brother’s whereabouts. He went too far this time. Skipping lessons was something already, but his chores too! He’s going to get it this time!
After several fruitless leads, Evie sat on a bench to collect herself and devise a plan of action. Father’s teaching on this topic guided her to be methodical in her search and it wasn’t the first time she had to track someone to hone her skills, but few targets proved to be as elusive as her brother. He may feign to ignore a lot of their father’s teaching, but it certainly wasn’t lost on him. A search plan started to spring in her mind: going straight to the market place as she was used to was a mistake, she needed to go back to the source.
Back home, the young girl started to inspect the surrounding of their house and it didn’t take long before she was able to spot her brother’s tracks… just under his bedroom’s windows. Couldn’t he use the door like a civilised person? He might have eloped this morning when Father called for them.
From then on, Evie focused on the tracks Jacob made on the fresh ground. Contrary to what she first expected, it wasn’t an easy task. Not because her twin made any effort to hide his tracks but because they were frequently interrupted by his climbing of any buildings or trees that happened to cross his path. Evie frequently had to circle whole blocks of houses to find his path again. The process was considerably sped up when she reluctantly started to follow him in free-running. She wasn’t as skilled at it as he was yet, but her proficiency at stealth helped her to complete her task without being spotted and yelled at by any passing adult. Once on the rooftops, a few displaced tiles or mark of hands could help her guess the direction of his escape, details that would escape the perception of most people but not one of an Assassin. Well, a novice one, at least. Her focus would heighten her senses and allow her to see what most people would miss.
She continued to follow Jacob’s trail and noticed it led to the Mole river. She wondered if he was here to plan mischief with his usual gang of brothers from the large Welsh family down street. The silence when she reached the riverbank surprised her, none of their usual ruckus could be heard. Evie noticed from the tracks that her brother sat near the water for a while before getting up to follow the stream. She followed his track till the ruins of the old mill.
The contraption was in disarray since quite a few decades now, since bigger water and windmills were constructed in the village. Small water mills like this one couldn’t compete against the big ones like when the one in Ifield[1] once it was rebuilt and even this one was starting to struggle against the new ones using steam to grind wheat into flour. Such was progress, thought Evie. Now the old mill couldn’t grind anything even if it wanted to, the water wasn’t even reaching its rotting wheel through the overshoot anymore and sand was starting to pile up at its feet under the shallow stream. This was after noticing this that she spotted Jacob.
Her idiot brother was lying on top of the wheel, the broken blades where in a near horizontal position and could actually feel comfy even without the blanket Jacob probably stole somewhere to lay down on them. Taking care to not be seen, Evie approached to get a better view of what her twin was doing. The rascal was lying on his back, one leg tucked on top of another, barefoot and – to Evie’s surprise – he was reading a book!
Now the young girl was taken aback, Jacob actually went this far just to read in peace? And he seemed quite taken by his reading as well, what piece of literature could it be to rapture Jacob’s attention? She squinted to take a better look at it from where she stood.
Confessions of an English Opium-Eater. Really??
It was so just like him. Father taught them of the various drugs and chemicals they could use in the last lesson he actually attended. And he mentioned opium as something to avoid unless in need to alleviate extreme pain. Of course, Jacob had to learn more about everything Father warned them against. Or could it be that he was reading this book in order to actually understand why this drug was to be avoided? Evie pondered a moment about her brother’s possible bout of wisdom and if she should make her presence known to him. She suddenly got curious about his choice of place of hiding instead. The broken blades atop the wheel couldn’t be the only thing of interest in this place, couldn’t it? The door of the dilapidated building was missing and Evie entered it.
It took her eyes some moments to adapt to the darkness inside, although several rays of light were peeking through the ruined roof. Some birds were chirping above the young girl’s head and flew away when she moved further in. She paused, in case it tipped off Jacob of her presence, but the boy just lazily rolled on his side to assume another reading position. Evie sighed and started to inspect the mill’s mechanisms. The wood was rotten in many places and the grinding stone covered in dust and moss, but everything was still in place. Surprisingly, the wheel’s axle was still linked to the main mechanism and only held on by a rusting brake. Sure, it wasn’t as dangerous to leave it that way compared to a windmill but still, the brake could break and the wheel move again…
It was with this sudden realisation that a mischievous grin illuminated Evie’s face. She knew exactly how to get back at Jacob for ditching his chores onto her.
Whilst her dear brother was still oblivious of her presence, she moved to further inspect the brake and how to move it without alerting him. The damn thing was heavily rusted and the wood thoroughly rotten. She tried to move it without much success and the effort nearly made her grunt which would have given away her position. Her frustration, pilling up from this morning was reaching new heights as her idiot brother was obliviously reading junk literature just a few feet away. Collecting herself, she figured that a lever could do to lift the brake, more silently than a hammer for sure. She quickly spotted an adequate plank in the surrounding mess. Not to large and still in good shape.
Placing the plank’s end under the brake’s tip, she started to maneuver it and had to refrain a sound of triumph when she saw the engine starting to give way. Through the holes in the wall she saw the wheel moving a bit. Jacob was so enraptured in his reading that he payed no mind to this worrisome – for him, at least – development. She pushed her lever again in the widening cap between the brake and the wheel and, once the lever firmly in place, pushed down all her weight on it.
The brake jumped from the cogwheel it used to hold and the latter, free at last, started to move, the axle in tow. Slowly at first, with profusion of creaks and groans, that startled Jacob. The young boy sat up on reflex and the sudden change in weight distribution atop the main wheel, plus a few well-placed pushes from Evie, flew the whole engine in motion.
“Wow-ah! What the bloody heeeeell?!” Jacob screamed as the he was cast down head-first by the wheel onto the mud bellow.
From inside the mill, Evie had a really hard time suppressing her laughter when she saw her brother land flat on his belly, the blanket followed and covered him just before his book stroke his head which elicited a painful “Ow!” from the boy.
Groaning and moaning, Jacob slowly emerged from under the now soiled blanket to stand up, still shivering from the shock. He glared with anger at the slowing wheel and kicked it. Being still barefoot at this point, he only managed to hurt himself and yelled in pain, before getting startled when broken fragment of the blades nearly feel on him. Evie had to bite her own hand to refrain herself from snickering at her brother’s ordeal. Said brother, once his pain dulled, started to suspiciously look around and Evie made sure to stand completely still and silent. After a few moments, he picked up the blanket and his book before fetching his shoes from under a bush and running in their house’s direction.
Evie needed a few moments to collect herself as well, as spams of laughter wouldn’t let her breathe in peace for several minutes. Once calmed down, she left the mill to get back home.
She reached their house while dusk was slowly setting. She saw her brother getting gently scolded by their father on their front lawn, the book now in his hand. Jacob was silently starring at the ground, Evie noticed that he had taken the time to put his shoes back but was still caked in mud in many places, the blanket was nowhere to be seen. Evie approached slowly, feigning an air of innocence:
“Oh my! She said with a mocking tone, the bird has finally returned to his nest!”
Both Ethan and Jacob turned to face her and Jacob squinted suspiciously at her. Ethan’s face remained neutral when he spoke: “Indeed, before you could find him.” Evie was picked by the unexpected answer and Jacob couldn’t help but notice it with a smirk that vanished once his father’s attention was back on him.
“Now my lad, you’re going to wash yourself, change into clean clothes and you’ll launder those first thing tomorrow morning, understood?”
“Yes father…” Jacob mumbled, and Evie couldn’t help but to feel a bit sorry for him after all. As he was making way inside the house, Ethan taped on the book cover and handed it to his son with a smile.
“Make sure to finish it too and tell me what you learnt of it after, alright?”
Both twins stood a moment, taken aback by this, but Jacob took the book from his father’s hand with a nod before heading home. Both Ethan and Evie watched him go silently before the Assassin turned to his daughter:
“Now Evie, some more lessons in tracking targets are in order, don’t you think?”
The young girl silently nodded. She probably had proven herself in this matter today but telling it would expose the prank she subjected her brother to and she wasn’t going to risk that. Plus, she was always looking up to the prospect of new lessons from her father and a part of her hoped that Jacob will finally be with them at least.
“I think so too, Father. Jacob and I still have much to learn.” She said with an earnest tone that elicited a nod of approval from Ethan Frye.
[1] https://en.wikipedia.org/wiki/Ifield_Water_Mill
#Mes bafouilles#Assassin's Creed#Evie Frye#Jacob Frye#Ethan Frye#Kids#Child games#Pranks#Rest and Peace#Fanfics
16 notes
·
View notes
Text
It’s because, when the IIIrd Republic was firmly established in 1880 (we came quite close to reverting back into a monarchy in the previous decade), the moderate Republicans then in power (or “Opportunistes”) didn’t want to “rock the boat too much”, if you will, with the then still powerful Monarchist right-wing.
Thus they decided that the fête nationale will celebrate the more consensual Fête de la Fédération instead of the Storming of the Bastille (even thought it itself was a celebration of it’s very thing).
Reminder that 'Bastille day' means nothing in France and it's a term invented by Anglos to define the Fête Nationale or even more commonly, 14 Juillet. If you wish a Happy Bastille day to people in the streets, they won't know what you're talking about. Also, July 14th is about the storming of the Bastille and the Fête de la Fédération in 1790.
662 notes
·
View notes