#Maurette

[detournementsmineurs]

Ingrid Bergman dans "Anastasia" d'Anatole Litvak (1956) - adapté de la pièce de théâtre éponyme de Marcelle Maurette (1955), librement inspirée de la vie d'Anna Anderson née Franziska Schanzkowska (1894-1984) qui se faisait passée pour la Grande-Duchesse Anastasia Nikolaïevna Romanova de Russie (1901-1918) - décembre 2024.

[obsessedmeninjeans]

Anthonny Willen by Romain Maurette

[dance-world]

Armando Santos - photo by Romain Maurette

[disneyboot]

[thephantomofanastasia]

Anastasia (1952-2023): A Pygmalion Tale

[martial-maurette]

 « BONNARD ET LE JAPON » Hôtel de Caumont, Aix-en-Provence 

« BONNARD ET LE JAPON », visite du 30 Juillet 2024 à l’Hôtel de Caumont (Aix-en-Provence) Bien nous en a pris d’attendre, cette fois-ci, calme et tranquillité loin, très loin, du « surtourisme » en début d’expositions précédentes. Donc de quoi prendre le temps de bien lire les cartels (pas toujours bien alignés) et le dossier de presse ; Hypothèse de la commissaire d’exposition Isabelle Cahn : « …l’influence de l’art du Japon sur Bonnard (Japonisme), jusqu’à la fin de sa vie en 1946 ! P.B. dessine, peint ou *photographie et collectionnera des estampes japonaises … » Excellente idée scénographique : la sélection d’estampes japonaises provenant de la prestigieuse collection Leskowicz. Pierre Bonnard : « J’avais compris au contact de ces frustes images populaires que la couleur pouvait comme ici exprimer toutes choses sans besoin de relief ou de modelé. Il m’apparut qu’il était possible de traduire lumière, formes et caractère rien qu’avec la couleur ». Je note sur la tendance dite « Japonisme » : « …l’impact du Japon sur les arts occidentaux. Le mode de penser des artistes de l’ukiyo-e. Le terme japonais ukiyo désigne un monde flottant en accord avec le principe bouddhiste de l’impermanence, ukiyo-e signifiant images du monde flottant. Sa peinture exprime le caractère éphémère des phénomènes, la beauté mystérieuse de la nature et des êtres, le charme subtil des choses. » Aparté photographique : *Marthe Bonnard sous l’objectif de Pierre Bonnard (1867-1947) https://dantebea.com/2013/11/07/marthe-bonnard-sous-lobjectif-de-pierre-bonnard-1867-1947/

Pierre Bonnard, La Promenade des nourrices, frise des fiacres 1897, Paravent constitué d’une suite de quatre feuilles lithographiées en cinq couleurs 45,3 x 114,3 (chaque panneau) Le Cannet, musée Bonnard © Musée Bonnard/Yves Inchierman

"…Dans les années 1860, suite à l’ouverture commerciale du Japon avec la France, les gravures ukiyo-e, méprisées par les Japonais pour la légèreté de leurs sujets, servent à caler les produits manufacturés dans les caisses d’expédition…" Extraits DP

Pierre Bonnard, Femmes au jardin : Femme à la robe à pois blancs ; Femme assise au chat ; Femme à la pèlerine ; Femme à la robe quadrillée, 1890-1891, Détrempe à la colle sur toile, panneaux décoratifs, 160,5 x 48 cm (chaque panneau), Paris, musée d’Orsay

Pierre Bonnard, Projet d’éventail Femmes et fleurs, 1895, gouache, aquarelle et encre de Chine. Van Gogh Museum, don de la Triton Collection Foundation

Katsushika Hokusai, Sous la vague au large de Kanagawa, série « Les Trente-six vues du Mont Fuji » Signé: Hokusai aratame Iitsu hitsu Editeur: Nishimuraya Yohachi (Eijudô) vers 1830, oban yoko-e, 25,5 x 37,7 cm Collection Georges Leskowicz

PIERRE BONNARD (1867-1947) La Revue blanche. Affiche. 1894. Lithographie. [582 x 778].

"…Les portraits de femmes d’Utamaro, les paysages d’Hokusai et d’Hiroshige ou encore les acteurs de Sharaku atteindront le statut de chef d’œuvre en Occident et de nombreux artistes du tournant du siècle seront fascinés à leur contact. Les estampes avec leurs couleurs posées en aplats, leurs voisinages chromatiques audacieux, leur stylisation décorative ou leurs vues à vol d’oiseau, vont bouleverser les certitudes académiques des artistes occidentaux…"

"Groupe de chien dansant" Projet de meuble, 1891 Aquarelle, plume et encre Coll. particulière

"…1872, Philippe Burty forge le terme de japonisme pour définir l’impact du Japon sur les arts occidentaux, dans un article publié dans Renaissance Littéraire et Artistique…"

…un arrêt du temps, l'instant présent… Très photographique tout ça. "Pierre Bonnard, photographe" (Relié) https://www.amazon.fr/Pierre-Bonnard-photographe-Fran%C3%A7oise-Heilbrun/dp/2904057242

"…Bonnard ne peint pas seulement pour le plaisir sensuel que le nu lui procure. Il considère ce sujet comme l’un des plus exigeants en raison de la fascination qu’il provoque et de l’interaction du modèle vivant avec l’environnement. Ses modèles évoluent dans des espaces complexes, traités de manière décorative, qui permettent de transformer le réel…"

Paul Verlaine "Parallèlement", poème Seguidille, 1900. Livre illustré de lithographies en couleur, Pierre Bonnard, Coll. Particulière

"…Dans l'intimité de leur vie quotidienne, par obsession ou par plaisir, Marthe aime à passer du temps à sa toilette. Ce rituel devient l'occasion pour l'artiste de scruter le jeu des reflets, des lumières, des couleurs. Il fige le bonheur de l'instant en peinture, mais aussi en photographie…" https://panoramadelart.com/sites/default/files/filesPanorama/FA224-02-bonnard-marthe-tub.jpg

"…Nabi : Mot d’origine hébraïque signifiant « prophète ». Il désigne un groupe d’artistes postimpressionnistes, à la recherche d’une peinture nouvelle. Rassemblés à partir de 1888 autour de Paul Sérusier, les nabis partagent une esthétique faite de formes épurées, d’aplats de couleur, de contours, et parfois un certain sens du symbolisme et de la religiosité. Par ses écrits, le peintre Maurice Denis ne tarde pas à en devenir le théoricien. Sa formule, « un tableau […] est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblées », traduit bien l’esprit de synthèse qui anime les nabis…"

à lire aussi : Un Nabi très japonard https://www.musee-orsay.fr/fr/agenda/expositions/presentation/pierre-bonnard-peindre-larcadie

Le "spectacle" virtuel, partout, pour tout, pour tous. Terriblement XXIème s.

"… l’exposition présente de nombreuses œuvres exceptionnelles de Bonnard, jamais ou rarement vues en France comme Les deux caniches, Le Bar, L’Omnibus, La Place Clichy, Le Jardin de Paris, Conversation provençale, La Nappe blanche, Le Dessert, Le Nu gris de profil…"

Hôtel de Caumont 3, rue Joseph Cabassol (Portail à carrosses) Quartier Mazarin, Aix-en-Provence

[rizoartobserver-blog]

Exposición “Borde”, Colectiva

[justifiedmadness]

#NowPlaying “I Wanna Say Thank You” - by James Grear & Company ft. Maurette Brown Clark

[eddy25960]

Romain Maurette photography

[creads]

gente puta que pariu. PUTA QUE PARIU!!!!!!!! VICTORIA MAURETTE OI AMIGA QUE DELÍCIA SEU ESPOSO 👏👏👏👏👏👏👏👏👏👏!!!!!!!

[detournementsmineurs]

Ingrid Bergman et Yul Brynner dans “Anastasia” d'Anatole Litvak (1956) - adapté de la pièce de théâtre éponyme de Marcelle Maurette (1955), librement inspirée de la vie d'Anna Anderson née Franziska Schanzkowska (1894-1984) qui se faisait passer pour la Grande-Duchesse Anastasia Nikolaïevna Romanova de Russie (1901-1918) - décembre 2024.

[lacharapita]

MAURETTE VIROU MINHAS BEST GALERA

[ao3feed-anastasia]

The Legend of Anastasia

read it on AO3 at https://ift.tt/1btsVYO by CozyFanastasia Perhaps the myth of a surviving Nikolaevna is a lie we tell ourselves because it’s easier than accepting the slaughter of their innocent children for the sins of the parents. The hope that a 17-year-old girl gets the chance to grow old and have a happy ending… A rewrite of the Anastasia musical for a movie adaptation. I feel like this story could work very well on film. I was inspired by different aspects of the Anastasia plays, films, ballets, the operetta, and stage musicals. This is an adaption of the Hartford production with parts from the Broadway show and tours in it. This version leans more into historical fiction. I know normal movie scripts don’t have this much description, this is just have I’m visualizing it. I hope that you enjoy it. TRIGGER WARNINGS: MURDER OF THE ROYAL FAMILY, THEIR SERVANTS, AND DOGS, GRAPHIC VIOLENCE, GORE, VIOLENT PROTESTS, GUN VIOLENCE, WAR, REVOLUTIONS. Words: 11600, Chapters: 3/25, Language: English Fandoms: Anastasia - Flaherty/Ahrens/McNally, Anastasia (1997), Anastasia (1956), Anastasia - Maurette Rating: Teen And Up Audiences Warnings: Graphic Depictions Of Violence, Major Character Death Categories: F/M Characters: Anya | Anastasia Romanov (Anastasia 1997 & Broadway), Dimitri | Dmitry (Anastasia 1997 & Broadway), Gleb Vaganov, Vlad Popov, Dowager Empress (Anastasia 1997 & Broadway), Nikolay Alexandrovich Romanov | Nicholas II of Russia, Grigori Rasputin, Rasputin (Anastasia 1997), Olga Alexandrovna Romanova, OTMA, Tatiana Nikolaevna Romanova (1897-1918), Ortipo | Tatiana Nikolaevna Romanova (1897-1918)'s Dog, Olga Nikolaevna Romanova (1895-1918), Maria Nikolaevna Romanova (1899-1918), Anastasia Nikolaevna Romanova (1901-1918), Alexei Nikolaevich Romanov (1904-1918), Alexei Romanov (Anastasia 1997 & Broadway), Alix of Hesse | Alexandra Feodorovna, Xenia Alexandrovna Romanova, Anna Anderson | Anastasia Nikolaevna Romanova Relationships: Dimitri | Dmitry/Anya | Anastasia Romanov (Anastasia 1997 & Broadway), Anya | Anastasia Romanov/Gleb Vaganov Additional Tags: Musical, Inspired by Anastasia (1997 & Broadway), Inspired by Real Events, Inspired by Art, historical fiction - Freeform, Alternate Universe - Anastasia (1997 & Broadway) Fusion, Gleb Vaganov - Freeform, dimitri - Freeform, Anya - Freeform, vlad popov - Freeform, Glenya, dimya, Song: Once Upon a December (Anastasia 1997 & Broadway), Journey To The Past, musical rrewrite, musical adaptation, Musical References, Cannon Divergence, Russian History, References to Anastasia (1997 & Broadway), Song: In a Crowd Of Thousands (Anastasia Broadway), Song: Still/The Neva Flows (Anastasia Broadway), Song: Quartet at the Ballet (Anastasia 1997 & Broadway), Melodrama, anastasia 1956, anastasia ballet, Ballet, Swan Lake - Freeform read it on AO3 at https://ift.tt/1btsVYO

[byneddiedingo]

Alain Delon in Le Samouraï (Jean-Pierre Melville, 1967)

Cast: Alain Delon, François Périer, Nathalie Delon, Cathy Rosier, Jacques Leroy, Michel Boisrond, Robert Favart, Jean-Pierre Posier. Screenplay: Jean-Pierre Melville, Georges Pellegrin, based on a novel by Joan McLeod. Cinematography: Henri Decaë. Production design: François de Lemothe. Film editing: Monique Bonnot, Yolande Maurette. Music: François Roubaix. 

Was anyone, even Jean-Paul Belmondo, ever as cool as Alain Delon is in Le Samouraï? It's not just that he's beautiful, for beauty often works against men in the movies: They get classified as "pretty boys" and stuck in roles in which they're shown up by the more rough-hewn types. It's not just that he shows no emotion, or hardly ever; that could easily be mistaken for "limited acting range." It's not just that he wears clothes -- trenchcoat and carefully placed hat -- elegantly. It's not just that he's playing the movies' most evocative loner, the hit man, whose monomaniacal pursuit of his mission invokes a bit of paranoia in us all. Or that, in its 1960s context, the film echoes the rage against order that stirred youth revolt around the world. Or that he evokes the detachment of existentialist heroes like Meursault in Camus' The Stranger. It's all of these things, of course, but mostly it's that Jean-Pierre Melville, in script (co-written with Georges Pellegrin) and direction, is able to create the perfect atmosphere -- part detective story, part American film noir hommage, part romanticism -- around the character of Jef Costello -- even the name, with its missing "f" and its evocation of the Italian-American mobster Frank Costello, has a certain weird glamour. (The Italian release was called Frank Costello faccia d'angelo, i.e., "Frank Costello Angel Face.") Delon is the perfect choice for the role, emphasizing the absurdity of the premise that someone so striking in appearance could go about his bloody work unnoticed. The absurdity is of course intentional on Melville's part, making mock of the glamorizing of violence. Similarly, the title mocks the glamorizing of violence in samurai films -- not so much those of Kurosawa and Kobayashi as the less-prestigious entries in the genre. The mockery is, however, not malicious but affectionate, and only comic in retrospect. I don't know many other films that unfold themselves so remarkably upon reflection.

[thephantomofanastasia]

I really wish we could have a production of the original Anastasia play.