#Mary Alexandridi
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Mary Alexandridi for Chloe, Resort 2023
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Mary Alexandridi, photographed by Robi Rodriguez for D la Repubblica, December 2022
#Mary Alexandridi#Robi Rodriguez#fashion#fashion shoot#editorial#D La Repubblica#D La Repubblica Magazine#La Repubblica#model#style#fashion photography
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Mary Alexandridi captured by Fernando Sippel for Numéro Netherlands November 2023
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“Les Serpents” de Marie Ndiaye mise en scène Jacques Vincey au Théâtre Olympia Centre Dramatique National de Tours
par Richard Magaldi-Trichet
Derrière la porte...Marie Ndiaye aime les triades féminines. C'est avec son roman Trois femmes puissantes qu'elle est auréolée du Goncourt en 2009. Dans sa pièce Les Serpents, publiée en 2004, elle avait déjà réuni trois femmes : la mère, qui vient réclamer de l'argent à son fils, la femme de celui-ci, France, et son ex-femme, Nancy. Mais voilà, le fils refuse absolument de laisser entrer sa mère dans la maison perdue au milieu des champs de maïs. Il veille sur les enfants, et reste à l'intérieur. Son absence de la scène le rend d'autant plus présent, voire menaçant. Enfouis dans l'ombre de la mémoire, les souvenirs d'un enfant mort enfermé dans une cage de serpents ressurgissent peu à peu. Une inquiétante étrangeté s'installe sur le plateau...
(c) Christophe Raynaud de Lage
L'écriture de Marie Ndiaye, par sa justesse incisive et affilée, nous entraîne dans un monde symbolique qui nous rappelle la « certaine harmonie épouvantée et sombre » de Maeterlinck et ses « jeux cruels et inflexibles que l'amour et la mort promènent parmi les vivants ».
Jacques Vincey adopte la nudité totale de l'espace scénique pour laisser les trois comédiennes s'emparer du texte et le porter avec talent et intensité. Aux quelques notes d'humour de la mère croqueuse d'hommes et soucieuse avant tout du contenu de son porte-monnaie, succède un glissement peu à peu effrayant vers un passé terrifiant. Les dialogues à demi-mots se rapprochent, en cercles concentriques, de l'incertaine vérité.
(c) Christophe Raynaud de Lage
Vincey a choisi un éclairage latéral, qui entoure les silhouettes féminines d'un halo diffus et fantastique. Le mur de son, composé d'énormes et multiples enceintes, qui peu à peu avance sur scène, résonne de bruits et soupirs mystérieux. Comme dans un conte peuplé d'ogres qui dévorent les enfants, les cris étouffés suscitent et révèlent l'horreur qu'on ne veut pas dire...
L'absence totale de lumière durant quelques minutes nous rapproche de la retransmission radiophonique du milieu de la nuit. Les voix d'Hélène Alexandridis, Bénédicte Cerruti et Tiphaine Raffier magnifient la littérarité du texte, et ouvrent à notre imaginaire un hors-champ bien plus angoissant.
Ainsi nous nous retrouvons, comme elles, sur le seuil de cette maison sanctuaire où chacun.e doit trouver sa clé pour pouvoir y pénétrer. Ou pas.
« Les Serpents » de Marie Ndiaye mise en scène Jacques Vincey
au Théâtre Olympia Centre Dramatique National de Tours jusqu'au 8 octobre 2020
et en tournée, dates sur le site www.cdntours.fr
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VIVRE SA VIE
AU FESTIVAL «OFF» D’AVIGNON 2019 : Vivre sa vie
Dramaturgie : Irène Bonnaud, d’après le scénario du film de Jean-Luc Godard «Vivre sa vie» (1962). Mise en scène : Charles Berling. Acteurs : Hélène Alexandridis, Pauline Cheviller, Sébastien Depommier et Grégoire Léauté. Scénographie : Christian Fenouillat. Lumière : Marco Giusti. Musique : Sylvain Jacques. Vidéo : Vincent Bérenger. Costumes : Marie La Rocca. Chorégraphie : Lise Seguin.
Ce spectacle s’inspire d’un film de Godard qui raconte l’histoire de Nana, qui, rêvant de devenir actrice, quitte son compagnon et leur enfant pour «vivre sa vie». Et qui finit prostituée. Le spectacle intègre des citations, notamment, de Marguerite Duras, Henrik Ibsen, Bernard-Marie Koltès et Sophocle. Charles Berling, le metteur en scène, dit avoir voulu présenter, sur la prostitution, «des points de vue contradictoires, opposés entre eux parfois». Il précise que la scénographie comporte une «avant-scène», où l’histoire se déroule, et, derrière un miroir, «des espaces cachés qui, soit en ombres chinoises, soit en projections, révèlent les dessous violents de la prostitution». Berling, né en 1958 en banlieue parisienne, a mis en scène, notamment, des pièces de Camus et de Beckett. Également comédien (plus de cinquante rôles au théâtre et tout autant au cinéma), il a obtenu un Molière du comédien. Il est aussi auteur et interprète de chansons. Il a publié en 2011 un premier roman, qui a reçu le Prix Jean-Jacques Rousseau. Dramaturge du spectacle, Irène Bonnaud, née en 1971 à Paris, a traduit des œuvres de Sophocle, Euripide, Eschyle, Heiner Müller et Georg Büchner. Par ailleurs, elle a mis en scène des pièces, en particulier, de Marivaux, Marcel Pagnol et Isaac Babel.
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Mary Alexandridi for Chloe, Resort 2023
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Mary Alexandridi at Christian Dior, Fall 2022 Haute Couture
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Mary Alexandridi at Christian Dior, Spring 2023
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Mary Alexandridi at Chloe, Fall 2022
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