#Martin Panchaud
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Digigraphie Lewisham, Martin Panchaud, Issu de l'album La Couleur des Choses, éditions ça et là, 2022, Fauve d'Or au FIBD d'Angoulême l'année suivante, Tirage Limité à 30 exemplaires(24/30) et signé, Impression encre pigmentaire sur papier Fine Art, Format: 30*30 cm, Papier: Cotton Smooth Bright 300 gr, certificat d'authenticité, superbe rendu!
Disponible sur entre-image.com!
#bande dessinée#comics#entre-image.com#illustration#digigraphie#Lewisham#Martin Panchaud#éditions ça & là#Fauve d'or FIBD
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ERL DIARIO MONTAÑÉS
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Grande Prémio da Crítica ACBD 2023
Grande Prémio da Crítica ACBD 2023 #bandasdesenhadas
Obra de Martin Panchaud vence o Grand Prix de la Critique ACBD 2022. A Association des Critiques et journalistes de Bande Dessinée – ACBD galardoou com o seu Grande Prémio da Crítica 2022 a obra La Coleur des Choses do suíço Martin Panchaud (n. 1982), publicada em França pela editora Çà et Là, a qual tinha sido originalmente publicada em alemão pela Moderne em 2020, com o título Die Farbe der…
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2, 3 & 12! ❣️
2. Did you reread anything? What?
nope, no rereads this year!
3. What were your top five books of the year?
hmmmm. tough question
lolita (vladimir nabokov)
der process (franz kafka)
moby dick (herman melville)
spring (ali smith) (i do need to still sit down and read companion piece and then think about the different seasonal quartet books and how i would compare them to each other) (reading each in the appropriate season was lovely though)
death at intervals (josé saramago)
12. Any books that disappointed you?
i unfortunately didn't enjoy the echo wife (sarah gailey) and la couleur des choses (martin panchaud) as much as i thought i would
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Lucca Comics and Games 2023
Il Lucca Comics & Games torna, dall'1 al 5 novembre, come tema dominante dalla nuova edizione Together, l'importanza dello stare insieme nella capitale mondiale della cultura pop, con oltre 45.000 mq di area espositiva per migliorare sempre di più l’esperienza della community. Quest’anno tutti i linguaggi della Nona Arte saranno declinati da oltre 300 artisti e artiste, tra cui 45 ospiti internazionali provenienti da Stati Uniti, Giappone, Spagna, Francia, Corea del Sud, Cina, Canada, Inghilterra, Argentina, Israele, Turchia, Croazia, Serbia, Bulgaria, Belgio in cui i lettori e le lettrici di fumetti di ogni età potranno godere dal vivo di incontri, firmacopie, anteprime, variant cover ed eventi esclusivi. Oltre a nomi come Naoki Urasawa, Hiro Mashima, Mingwa, Masaaki Ninomiya, Usamaru Furuya sarà ospite di Lucca Comics & Games con incontri e firmacopie e sarà anche uno dei protagonisti delle esposizioni allestite a Palazzo Ducale con la sua mostra, dal titolo This Time is Different; Kan Takahama sarà protagonista della mostra off Kan Takahama: le storie nascoste e incontrerà il pubblico in sessioni di firme ed eventi, Keigo Shinzo sarò presente grazie alla collaborazione con Dynit Manga; Shintaro Kago presenta la sua prima serie a fumetti, Eldo Yoshimizu, artista a tutto tondo, scultore e mangaka indipendente, incontrerà lettori e lettrici italiani grazie a Bao Publishing e Satsuki Yoshino, autrice di Barakamon, è pronta a conquistare il pubblico italiano grazie alla collaborazione con GOEN - RW Edizioni. Dal panorama internazionale, anglosassone ed europeo, arriveranno Garth Ennis, Jim Lee, Don Rosa, Amélie Fléchais, Craig Thompson, Howard Chaykin, Tony Valente, oltre a Bryan Talbot, Declan Shalvey, Jesse Jacobs e il duo Joe Kelly e Ken Niimura, che presentano Sergente Immortale per Bao. Il panorama franco/belga ed europeo sarà esplorato da autori come Jordi Lafebre, David Rubin, Goran Sudzuka,Martin Panchaud, Elizabeth Pich e il duo Bastien Vivès e Martin Quenehen con la nuova avventura di Corto Maltese, La regina di Babilonia. Non mancheranno naturalmente gli ospiti italiani,con le figure della produzione contemporanea tra cui Gipi, Milo Manara, Leo Ortolani, Zerocalcare, Sio (e tutto il gruppo di Gigaciao), Pera Toons, Silvia Ziche, Paolo Bacilieri, Igort, Fumettibrutti, Werther Dell’Edera, Barbara Baraldi, Simone Bianchi e tantissimi altri. Ma il fumetto italiano è protagonista anche con due antologiche, dedicate a due maestri nostrani e diversissimi tra loro infatti, oltre alla mostra di Dino Battaglia nel quarantennale della morte, a Palazzo Ducale sarà possibile fare un viaggio nella multisfaccettata opera di AkaB, al secolo Gabriele Di Benedetto, scomparso nel 2019 ed eletto Maestro del Fumetto postumo nel 2020 a Lucca Comics & Games. Nel 2023 anche Magic: The Gathering, il gioco community-based per eccellenza, che rappresentò ai tempi del suo esordio un vera e propria rivoluzione per il settore ludico, compie trent’anni r Lucca Comics & Games fa un omaggio al primo trading card game della storia e alla sua community dedicandole una mostra in Palazzo Arnolfini e una Magic Alley a Lucca Games, che ospiterà ben 18 artisti di fama internazionale fra i quali Adam Paquette, Andrea Piparo, Jeff Laubenstein, Jesper Ejsing, Johan Grenier, Justine Jones, Marta Nael,Michele Giorgi, Mark Zug, Mila Pesic, Randy Vargas, Richard Kane-Ferguson, RK Post, Seb McKinnon, Svetlin Velinov,e Tony DiTerlizzi. È prevista l'anteprima italiana del documentario su Magic: The Gathering “Igniting the Spark”, che verrà proiettato per la prima volta proprio a Lucca alla presenza di regista, showrunner e produttori. I percorsi espositivi dedicati al gioco e al fantastico quest’anno vedranno ben 6 mostre, fra le quali un'esposizione all’interno del padiglione Carducci di stampe di altissima qualità e miniature del maestro indiscusso dell’illustrazione fantasy, Frank Frazetta, realizzato in collaborazione con Corner4Art e Mindworks, oltre alla presenza in fiera di un’ospite d’eccezione: Sara Frazetta, la nipote di Frank, che ha dato vita 10 anni fa al portale Frazetta Girls raccogliendo l'eredità del nonno per condividerla con i fan. Read the full article
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En juillet, j'ai quitté tumblr (3)
15 juillet J'ai reçu le Matricule des anges. J'ai mangé ma dernière glace avant au moins quatre jours. (J'ai scanné la mauvaise carte de fidélité et j'ai bloqué la caisse automatique.) J'ai envoyé un texte à une revue. J'ai croisé João. J'ai regardé le feu d'artifice à distance du reste la famille avec Cadette. Nous avons fait les bons choix d'itinéraire et de stationnement pour nous éviter la galère et nous avons remonté une marée humaine à contre-courant.
16 juillet J'ai commencé mon régime de purge. J'ai trouvé sur le blog d'Anne Savelli une liste de journaux en ligne. J'ai envoyé un message, sans envisager qu'il allait être public. J'ai lu Mains, fils, ciseaux, de Norbert Czarny. Anne Saveli m'a répondu.
17 juillet J'ai acheté mon premier ebook. (Le lecteur d'ebook gratuit que j'ai téléchargé interrompt la lecture par des incitations récurrentes et minutées à passer la version pro.) J'ai pris un café sur la plage avec ma chérie. J'ai continué mon régime œuf fromage biscottes. J'ai prêté ma carte d'accès à la déchetterie aux gars du chantier d'à côté (même s'ils ne sont plus censés œuvrer pour des travaux bruyants depuis la fin de la semaine dernière, par arrêté municipal). J'ai ajouté une nouvelle pièce à ma collection de lieu d'attente en pleine conscience : une aire de covoiturage (d'où j'ai actualisé le présent journal). J'ai glissé un livre très en retard dans la boîte à livres de la médiathèque fermée. Je suis allé me baigner avec les filles et ma chérie. J'ai regardé Ne croyez pas que je hurle, de Frank Beauvais, sans me souvenir si je l'avais déjà vu ou non.
18 juillet Une eau marron, terreuse, est sortie en crachotant des robinets de la maison. J'ai téléchargé un nouveau lecteur d'ebook, moins intrusif. J'ai retrouvé et relu une précédente tentative de journal, abandonnée. (Je n'ai rien fait de l'après-midi.) J'ai préparé l'examen de demain, dans un concert de gargouillements.
19 juillet Je me suis écœuré de la solution laxative. J'ai reçu un cadeau par la poste, et dans le cadeau, un cadeau. J'ai lâché le récit d'admission à l'épisode du doigt coupé. J'ai ajouté une nouvelle salle d'attente à ma collection. Puis une autre, nu avec charlotte. J'ai tout entendu des menus conflits de pause-déj du personnel infirmier. Une autre salle d'attente, perfusé. J'ai répété une fois, deux fois, trois fois mon nom, mon prénom, ma date de naissance, l'heure de mon dernier repas, la nature de mes selles. Je n'ai pas retenu un "outch" à la pause de la perfusion sur la main. Je me suis allongé sur le côté droit quand on m'a demandé de m'allonger sur le côté gauche. Je me suis endormi avant même le début de mon premier film de fesse. J'ai adoré mon réveil en salle de réveil, comme tiré d'un profond sommeil. Le croissant, l'éclair au chocolat et le pain beurré du goûter m'ont paru délicieux.
20 juillet Je me suis acquitté d'un dernier article avant suspension temporaire d'activité. J'ai salué Walid, Frédérique, Marc, Marie. Le distributeur de café était hors-service. J'ai attendu Viki et Pier. Je me suis trompé de jour pour la réunion. J'ai discuté avec Isabelle. Les voisins ont fait nettoyer leur toiture avec un produit qui puait la javel. J'ai cuisiné des poivrons au basilic thaï. J'ai lu, relu, réécrit un texte pour une revue. J'ai cuisiné une ratatouille à ma façon. J'ai lu La Couleur des choses de Martin Panchaud. À quelques rues de la maison, une mauvaise fanfare a martelé toute la soirée Les yeux d'Émilie de Joe Dassin.
21 juillet À force d'arpenter les rayons, j'ai retrouvé le titre du livre que j'étais venu chercher à la bibliothèque, que je n'avais pas noté, et qui m'échappait. J'ai renoncé à courir pour attraper le train, je n'étais pas chaussé pour. J'ai envoyé mon texte à la revue. Je me suis goinfré de biscottes. J'ai replongé dans la guimauve. J'ai cuisiné trop tôt (ou les filles sont revenues de leurs courses trop tard.) Nous avons regardé Viridiana, de Luis Buñuel. Mon agenda affiche "aucun événement au cours des 2 prochaines semaines" pour la première fois cette année.
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Flora Photographica
William A.Ewing, Danaé Panchaud
Thames&Hudson, London 2022, 272 pages, 25,4 x 30,5 cm, Hardcover, ISBN 978-0500024584
euro 60,00
email if you want to buy :[email protected]
Flora Photographica Works by contemporary photographers such as David LaChapelle, Valérie Belin, Viviane Sassen, and Martin Schoeller appear across ten thematic chapters, among them “Origins,” “Arrangements,” “Essence,” “Persona,” and “Reverie,” which also include a brief introduction to the particular topic. These are complemented by two in-depth essays by authors William Ewing and Danaé Panchaud, which explore the relationship between contemporary works and the rich traditions of floral art and photography.Vibrant and abundant with various species of flora, this stunning book is both a celebration of beauty and a study of form, making it a must-have publication for lovers of flowers and photography alike.
19/11/22
orders to: [email protected]
ordini a: [email protected]
twitter: @fashionbooksmi
instagram: fashionbooksmilano, designbooksmilano tumblr: fashionbooksmilano, designbooksmilano
#Flora Photographica#contemporary photographers#David LaChapelle#Valérie Belin#William Wegman#Martin Schoeller#Vik Muniz#Viviane Sassen#Nick Knight#flowers & photography#photography books#libri fotografia#fashionbooksmilano
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ZEDA PARLE DE... LA COULEUR DES CHOSES
Une nouvelle chronique dessinée prépubliée sur A VOIR A LIRE où Zéda évoque la BD la couleur des choses" de Martin Panchaud ! Read the full article
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Martin Panchaud | A cartoon UFO lands in Montreal
Boldness and patience paid off for Martin Panchaud: The color of things, his first book in the style that we would like to call “IKEA comics”, earned him nothing less than the Fauve d’or for best album of the year at the last Angoulême Festival. The Swiss cartoonist is one of the guests of the Montreal Comics Festival, which begins Friday rue Saint-Denis. Posted at 1:04 a.m. Updated at 7:00…
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Swiss artist Panchaud wins best comics album prize at Angouleme
Angoulême, France (AFP) — Swiss artist and writer Martin Panchaud won the Fauve d’Or for the best album of the year at France’s prestigious Angouleme International Comics Festival on Saturday. Manga featured heavily at this year’s festival, with exhibitions of a number of leading artists in the form (AFP) His book, “The Color of Things”, tells its story using the codes of video games, with…
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Elogio de los diagramas (Panchaud y Vila)
Elogio de los diagramas (Panchaud y Vila)
Acierta de nuevo Álvaro Pons cuando llama la atención sobre La couleur des choses, un tebeo de Martin Panchaud publicado en 2020 en alemán (Die Farbe der Dinge) y en 2022 en francés, pues se trata de una obra extraordinaria. La excelencia de este cómic es como mínimo triple. En su aspecto formal, sorprende tanto el “juego de los botones” ideado por el autor como su dominio en el uso de los…
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La Couleur des Choses, Martin Panchaud, disponible sur entre-image.com
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Martin Panchaud
Star Wars Episode IV
[Thanks to @goodcomicsbykim for posting about this.]
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Comics, die ich gerade lese
Kann man das graphische Erzählen in Comic-Form neu erfinden? Martin Panchaud hat es in seiner Premiere als Autor Die Farbe der Dinge geschafft. Dieses Werk schafft neue Sichtweisen in dem der Zeichner optische Elemente aus Computerspielen, die Vogelperspektive von Karten und Erklär-Grafiken wild durcheinander mischt. Dazu kommt die Reduktion von Lebenwesen auf einfache geometrische Formen und Farben. Erstaunlich, wie schnell man sich als Leser daran gewöhnt, dass einfache Kreise lebendige Wesen darstellen, die eine atemberaubende Geschichte erleben.
Eigentlich hasse ich ja Geschichten von Losern. Simon Hope ist so ein Loser, wie er im Buche steht. Und dennoch konnte ich hier nicht aufhören zu lesen, bis ich erfahren habe, was aus diesem Loser wird. Bis zum bitteren Ende mit einem lauten Knall.
Für mich ist Die Farbe der Dinge ein Meisterwerk, das sich einreiht in die ungewöhnlichen Bilderzählungen von Emil Ferris “Am liebsten mag ich Monster” (auch ein Erstlingswerk) und “Jimmy Corrigan oder der klügste Junge der Welt” von Chris Ware. Das sind alles Werke, bei denen die Augen aus dem Kopf springen und der Mund vor lauter Staunen offen bleibt.
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Martin Panchauds »Die Farbe der Dinge«
Wer denkt, im Genre Comic alles gesehen zu haben, der hat Martin Panchauds »Die Farbe der Dinge« noch nicht gesehen. Mit Piktogrammen, Symbolismus und Infografiken erzählt der Schweizer Illustrator eine ergreifende Geschichte von Liebe und Leid. Einen im besten Sinne ungewöhnlicheren Comic wird es diese Saison nicht geben. «Was ist das für ein Buch?«, steht schon auf dem Buchcover dieses ungewöhnlichen Comics, das neue Maßstäbe in der Neunten Kunst setzt. Dabei hält es zunächst kaum eine Regel, die für das Genre gilt. Es gibt keine Sprechblasen, keine Panel im eigentliche Sinne und auch keine figurativen Zeichnungen. Stattdessen werden Sprechakte durch gerade Linien zu Textblöcken dargestellt, der Seitenaufbau folgt räumlichen, zeitlichen oder gegenständlichen Aspekten und die Figuren sind nicht mehr als farblich markierte Kreise. Und dennoch funktioniert das alles perfekt, man könnte diese Geschichte wohl genialer kaum erzählen. Im Mittelpunkt der Handlung steht Simon Hope, ein übergewichtiger Teenager, der von seinen Altersgenossen mit allen Mitteln gemobbt wird. Er lebt mit seiner Mutter Daisy und seinem Vater Dan zusammen. Sie kämen gut über die Runden, würde Dan Hope nicht das ganze Geld auf der Pferderennbahn verjubeln. Entsprechend schlecht ist die Stimmung zwischen den Eltern. Doch die Ironie des Schicksals will es, dass Simon von einer Wahrsagerin einen todsicheren Tipp für das berühmteste Pferderennen der Welt bekommt und alles Geld setzt, dass er zuhause auftreiben kann. Und tatsächlich gewinnt sein Pferd und er damit sage und schreibe 16 Millionen britische Pfund. Das Problem ist nur, dass er zu jung ist, um den Gewinn ohne die Einwilligung seiner Eltern abzuholen. Doch zuhause hat sich ein Drama ereignet, er findet seine Mutter schwer verletzt zuhause auf, der Vater ist verschwunden.
Auszug der Seite, auf der Martin Panchaud das Royal Ascot-Pferderennen darstellt Die Geschichte folgt nun Simon Hope, der irgendwie an die Unterschrift eines seiner Elternteile kommen muss. Da seine brutal zugerichtete Mutter im Koma liegt (und er zudem noch erfährt, das Geld für eine bessere Behandlung hilfreich sein könnte), konzentriert er sich auf seinen Vater. Zugleich muss er sich mit der Polizei, dem Jugendamt und dem Kinderheim herumschlagen, in das er eingewiesen wird. Die Geschichte nimmt noch mehr Fahrt auf, als das britische Boulevardblatt Sun mit einem verschwommenen Foto des Jungen über dessen gigantischen Gewinn berichtet. Schlagartig scharen sich Menschen um Simon, die ihm ihre Hilfe anbieten, ohne ihre eigentlichen Motive offenzulegen. Der Schweizer Martin Panchaud hat eine Story mit zahlreichen dramatischen Wendungen geschrieben, die es in sich hat. Man muss sagen, dass dieses Buch auch ein flotter Roman wäre, würde man die Bilder streichen. Denn die abstrakten Grafiken, mit denen die Erzählung illustriert wird, erfordern ein perfektes Skript, dass auch ohne Illustration funktioniert. Diese perfekte Story eröffnet die Möglichkeit, die Grenzen der Grafik auszuloten und mit ihr zu spielen. Von der Grundausrichtung muss man sich diesen Comic wie einen Vogelflug vorstellen. Als Betrachter schwebt man über den Dingen. Man schaut von oben auf das Geschehen und beobachtet die kreisrunden Figurenpiktogramme dabei, wie sie sich durch den zweidimensionalen Raum bewegen (die als farbige Kreise dargestellten Figuren erinnern an den Kinderwitz vom Mexikaner auf dem Fahrrad, illustriert mit einem Kreis für den Sombrero und zwei Strichen, die das Vorder- und Hinterrad andeuten). Für die Geschichte tragende Gegenstände werden aus den nüchternen Grafiken herausgehoben und als Illustrationsgrafiken neben die panelähnlichen Raumelemente gestellt. Das reicht von Turnschuhen, Kaffeebechern und Whiskygläser (mit unterschiedlichen Füllungen) bis hin zu Krankenhausgeräten, Wichsmaschinen und Waffen.
Martin Panchaud; Die Farbe der Dinge. Aus dem Französischen von Christoph Schuler. Edition Moderne. 224 Seiten. 35,00 Euro. Hier bestellen Über diese Grafiken werden oftmals Funktionalitäten oder zeitliche Abläufe dargestellt, die als kleine Exkurse von der linearen Handlung abschweifen und Details vertiefen. Auf Einzelseiten bekommt man beispielsweise die Verwundbarkeit der Leber bei Faustkämpfen, die Bauanleitung für die «Muschi to go» Modell «Kranführer Billy» oder das Funktionsprinzip der Elektroschockpistole TASER X26 erklärt, wissend, dass diese Dinge im Hintergrund der Erzählung eine Rolle spielen. Das gleiche gilt für den Blauwal B-52, dessen Schicksal sich die Geschichte immer wieder zuwendet und der im Finale noch eine wichtige Rolle spielen wird. Die Zeichnungen von »Die Farbe der Dinge« sind derart nüchtern, dass es schon wieder spektakulär ist. Denn nichts wäre einfacher, als sich Ausnahmen zu erlauben, wenn man merkt, dass diese Linie schwer zu halten ist. Genau das hat sich Panchaud jedoch nicht erlaubt. Er ist ein Meister der Form, was er auf seiner Website mit seiner kindlichen Dyslexie erklärt, die dazu geführt habe, dass er sich geradezu wissenschaftlich mit dem Lesen und Deuten von Farben und Formen auseinandergesetzt hat. Mit dieser Expertise hat er für jede erzählerische Herausforderung eine grafische Lösung gefunden, die sich im Bereich der Infografik bewegt. Sensationell ist nicht allein diese grafische Stringenz (die fern an Chris Ware erinnert), sondern der Effekt, der in der Kombination der nüchternen Illustration mit dem von Christoph Schuler flüssig ins Deutsche übertragenen Text entsteht. Die emotional packende Story führt dazu, dass man als Leser wie in einem guten Roman dazu angeregt wird, die abstrakte Grafik mit der eigenen Fantasie zu füllen. In welchen emotionalen Zuständen sich Simon befindet und wie das aussieht, muss jede:r vom Text – die Typographie leistet hier nur an wenigen Stellen Unterstützung – in die eigene Imagination übertragen. Am Ende dieser Erzählung hat jede:r Leser:in zwar die gleiche Geschichte gelesen, in den Einzelheiten und Details aber eine ganz eigene Version im Kopf durchlebt. Dass und wie das funktioniert, ist einfach nur grandios. Read the full article
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