#Mannequinat et Tatouages
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Mannequinat : 5 choses à savoir
Tu souhaites devenir mannequin et en même temps, tu te poses plein de questions sur le mannequinat. Es-tu es fait(e) pour ce métier ? Est-ce que ça peut marcher pour toi ? Ton profil peut-il correspondre ? Est-ce que tu n’as pas trop de défauts, etc. ? Je te propose de voir aujourd’hui cinq choses que tu dois absolument savoir avant de te lancer. Et comme très souvent, je te laisse le choix…
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SLICK WOODS
Dès l’âge de 4 ans, Slick se retrouve sans père ni mère. Sa mère est incarcérée pour homicide involontaire et est condamnée à 18 ans de prison ! Ma mère a passé toute sa vingtaine en prison ça fait beaucoup d’années. C’était une fille de la rue, une gangster, la femme la plus respectée que j’aie jamais vue. Elle m’a toujours fait passer en premier. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un d’aussi altruiste que ma mère. Ma mère a donné sa vie pour moi. Quant à son père, elle ne l’a jamais connu. Elle est alors élevée par sa grand-mère, mais malheureusement, touchée par un divorce brutal, elles se retrouvent toutes les deux à la rue, à dormir dans les motels. Slick n’a eu aucune résidence permanente pendant 12 ans. En pleine adolescence, elle choisit l’argent facile, via des escroqueries bancaires ou encore des escroqueries de cartes bleues et chèques en blanc. Elle est incarcérée lorsqu’elle est âgée de seulement 18 ans et passe trois mois en prison. La descente aux enfers continue, lorsqu’alors âgée de 19 ans, elle devient addicte à certains médicaments prescrits sous ordonnance. Un destin chamboulé en attendant son bus cela peut paraître fou et pourtant ! Son destin connaît une tout autre ampleur en croisant le mannequin Ash Stymest au pied d’un arrêt de bus de Los Angeles. Partageant un joint ensemble, ils deviennent de très bons amis donnant ainsi naissance aux premiers clichés artistiques réalisés par Dave Mushegain de celle qui est surnommée Slick par ses « homies ». La suite ? Des contrats prestigieux pour de grandes marques : Un contrat signé avec The Lions Model Management, des campagnes pour Calvin Klein, FentXPuma ou encore Marc Jacobs. Elle est aujourd’hui Égérie de Fenty Beauty. Il y a 2 ans, j’ai commencé cette nouvelle vie à 19 ans. Je n’ai jamais été préparé par ce qui m’est arrivé ; construire une carrière, une “marque”. Je n’ai JAMAIS mis au point un plan. Et je veux parler à tous ceux qui ont peur de prendre des risques à cause de ce que disent les parents. Je ne pouvais tenir un seul travail plus d’une semaine à cause de mon manque de contrôle sur mes émotions. La pression me paralysait. Un Ssyle pas comme les autres ! L’un des trucs en plus de Slick, de son vrai nom Simone Thompson, est sans aucun doute son look androgyne, où son crâne rasé et ses dents du bonheur s’accorde stylistiquement aux nombreux tatouages exposés le long de son bras droit et sur le reste du corps, bouleversant ainsi les codes « si » classiques de l’univers mannequinat ! Mais pas seulement ! Une beauté singulière belle et bien remarquable nous révélant à toutes qu’il n’est pas nécessaire d’être un canon de la beauté pour adopter le « catwalk », qu’un look androgyne peut véritablement s’accorder à la féminité et avoir un style atypique peut faire la différence
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LE TRÈS GANGSTA ABÉCÉDAIRE DE 2PAC
26 lettres, 26 entrées, 26 mots...
A comme Afeni Shakur
Sa mère. Née Alice Faye Williams, c’est elle qui, malgré le dénuement parfois le plus total (séjours dans les foyers pour sans-abris, addiction au crack...), lui a transmis ce patrimoine culturel et politique sans lequel il n’aurait probablement été qu’un gangsta rappeur de plus.
Ancienne Black Planther, elle a manqué de peu d’écoper de 300 ans de prison au début des années 70 après avoir été accusée d’avoir planifié des attentats à la bombe en plein New York. Emprisonnée pendant les huit mois qu’a duré son procès, elle a donné naissance à 2Pac peu après son acquittement.
Sa sœur Assata (la tante de 2Pac) est également une figure du mouvement des droits civiques. Membre de la Black Liberation Army, à la même époque, elle a été condamnée à perpétuité pour le meurtre d’un policier. Échappée de prison en 1979, le Cuba de Fidel Castro lui a accordé le statut d’exilée politique.
Le FBI promet toujours 2 millions de dollars pour sa capture.
B comme Bandana
Au même titre que les tatouages, les gilets pare-balles ou les bagouzes en roro à tous les doigts, ce carré de tissu à motifs imprimés fait partie intégrante de son look.
Connu pour le nouer sur le front, qu’il le porte en bandeau ou en recouvrant sa tête, 2Pac arborerait indistinctement tout type de couleur (rouge, bleu, blanc, noir...).
Bien qu’il n’est jamais appartenu à un gang, ce détail qui n’en est pas un a longtemps semé la confusion au sein des Crips et des Bloods quant à son éventuelle allégeance.
C comme Clinton Correctional Facility
Le pénitencier où il a passé neuf mois de sa vie suite à sa condamnation pour viol le 7 février 1995, avant d’être innocenté en appel.
Selon la victime âgée de 19 ans au moment des faits, il l’aurait conviée dans sa chambre d’hôtel pour lui masser le dos, puis aurait abusé d’elle en compagnie de trois de ses potes.
Durant son séjour derrière les barreaux, 2Pac en a profité pour se classer en tête des charts avec son troisième album Me Against The World (une première pour un artiste incarcéré), se marier (pour aussitôt divorcer à sa sortie), et vendre son âme au diable prêter allégeance au label le plus sulfureux de tous les temps.
D comme Death Row Records
Cela peut sembler somme toute très modeste au regard des standards actuels, mais lors des quatre années qu’ont duré l’âge d’or du Couloir de la mort (de sa création en 1992 à la mort de 2Pac en 1996), seuls quatre petits albums solos ont vu le jour : The Chronic, Doggystyle, All Eyez On Me et Dogg Food.
Oui, cela fait une sortie toutes les dix-huit mois (!).
Ceci-dit, ce manque de quantité est allègrement compensé par la qualité des galettes qui un quart de siècle après les faits n’ont pas pris la moindre ride.
E comme Euthanasia
C’était un secret de Polichinelle : 2Pac envisageait de quitter Death Row sitôt le troisième album qu’il était tenu de livrer dans les bacs.
Conscient de la mauvaise influence qu’exerçait sur lui Suge Knight et ses goons, et de surcroît fauché malgré les millions de disques vendus, il souhaitait donner une nouvelle tournure à sa carrière en lançant son propre label, Makaveli Records, ainsi que sa propre société de production de films, Euthanasia (le titre initial d’All Eyez On Me).
Aurait-il réussi à apporter quelque chose de « plus positif pour sa communauté » comme il le confiait en privé ? Cela restera l’un des plus grands « et si ? » de l’histoire du rap.
F comme Fast Life
Ce qui interpelle le plus lorsque l’on s’attarde sur la biographie de 2Pac, c’est tout ce qu’il a pu accomplir en si peu de temps.
Le rap, le cinéma, la tôle, les embrouilles, la poésie, le mannequinat, l’activisme... non seulement il a œuvré sur tous les fronts, mais il a à chaque fois laisser l’impression qu’il aurait pu faire les choses en grand.
De quoi laisser songeur sur ce qu’il aurait pu devenir si le destin en avait voulu autrement.
G comme Gridlock'd
« Acteur à qui il arrive de rapper sur son temps libre », 2Pac n’aura eu le temps de montrer qu’un fragment de son potentiel sur grand écran.
Bien que son tout premier rôle dans Juice en 1992 soit largement considéré comme son meilleur (il y interprète Bishop, un jeune de Harlem en passe de prendre le mauvais chemin), Gridlock'd demeure son meilleur film.
Sorte de buddy movie de la désintox’, il met en scène deux musiciens camés confrontés aux résistances du système dans une ambiance à mi-chemin entre Pulp Fiction et Transpotting.
Humour noir, freestyle et solo de basse, Thandie Newton... même si pas un chef d’œuvre, un moment agréable à passer.
H comme Hit ‘Em up
Le morceau clash le plus venimeux jamais sorti.
Hors de ses gonds, 2Pac insulte et menace tous ceux affiliés de près ou de loin au clan Bad Boy sans retenir le moindre coup.
La maladie du sang dont souffre Prodigy des Mobb Deep, le manque de crédibilité de Lil Kim, l’infidélité présumée de Faith Evans à l’égard de son mari Notorious B.I.G.... la musique est ici clairement reléguée au second plan.
Enregistré trois mois avant sa mort, Hit ‘Em up consacre un 2Pac qui a définitivement sombré du côté obscur.
I comme IDGAF
L’acronyme de I Don’t Give a Fuck, la quatrième piste de son premier 2Pacalypse Now sorti en 1991.
Militant, 2Pac y exprime toute sa colère quant au racisme et aux brutalités policières dont sa communauté est victime, avant d’insulter en outro tous ceux qui à ses yeux sont complices (« Fuck you to the San Francisco Police Department, Fuck you to the FBI, Fuck you to the CIA... »), y compris le président américain en activité, George Herbert Walker Bush (« Fuck you to the B-U-S-H »).
Coïncidence ou pas, un an plus tard le vice-président Dan Quayle s’en prendra directement à lui et à sa musique pour avoir supposément poussé un dealeur à tuer un policier lors d’un contrôle de routine : « Un tel disque ne devrait pas exister, il n’a pas sa place dans notre société ».
J comme Jada Pinkett
Son amie de toujours.
Élèves à la Baltimore School Of Arts où, ils ont étudié l'art dramatique, la poésie et le jazz, ils se sont rapidement piqués d’une passion commune pour le théâtre.
Déterminés à sortir de la galère, ils se sont épaulés l’un l’autre le temps que leurs carrières respectives décollent : Tupac jouait au grand frère auprès de Jada qui a grandi sans père, Jada faisait office de confidente dans ses moments de doute.
Si par la suite ils prendront des chemins de vie différents, ils sont néanmoins restés proches jusqu’au bout.
K comme Kidada Jones
La fille aînée du producteur de légende Quincy Jones (le trilogie Off The Wall/Thriller/Bad de Michael Jackson) avec qui il s’était fiancé quatre mois avant sa mort... au grand dam de son paternel qui lui avait formellement interdit de le fréquenter.
Il faut dire que les deux hommes n’étaient pas exactement en bons termes, 2Pac ayant précédemment déclaré à son propos : « Tout ce que fait Quincy Jones, c’est mettre des coups de b*tes à des blanches pour leur faire des enfants dégénérés. »
Toujours est-il que les deux tourtereaux étaient sincèrement épris l’un pour l’autre, au point d’envisager de fonder une famille dans les plus brefs délais.
Aujourd’hui designer pour Disney, Kidada a fini par se réconcilier avec son père à qui elle en a longtemps voulu de ne pas s’être déplacé au chevet du rappeur.
L comme Lesane Parish Crooks
Le nom qu’il a porté la première année de sa vie, avant que sa mère Afeni ne se ravise et ne le rebaptise Tupac Amaru Shakur.
Cette dernière a choisi de lui donner le nom de famille, non pas de son père biologique Billy Garland, mais celui de son compagnon d’alors Mutulu Shakur (né Jeral Wayne Williams), un activiste afro-américain membre de la Black Liberation Army qui purge depuis 1988 une peine de 60 ans de prison pour le braquage d’un fourgon blindé qui a entraîné la mort de deux policiers.
Tandis que « Shakur » signifie en arabe « reconnaissant » et que « Ash-Shak? » renvoie dans l’islam à l’une des 99 dénominations d’Allah, « Tupac Amaru » se traduit par « serpent brillant ». Il s’agit d’un hommage à l’empereur Inca du 16ème siècle qui le dernier a tenu tête à l’envahisseur espagnol.
« Je voulais qu’il porte le nom d’un indigène évolutionnaire. Je voulais qu’il comprenne qu’il appartenait à une culture qui dépassait le simple cadre du ghetto. »
M comme Mopreme Shakur
Son demi-frère, fils de Mutulu Shakur.
Né Maurice Harding en 1967 (il a quatre ans de plus que 2Pac), il est le premier des deux à percer dans le rap grâce à son featuring sur le tube Feel Good des Tony Toni Tone en 1990.
Corédacteur en 1992 avec son frangin du Code de la T.H.U.G.L.I.F.E., un manifeste en 26 points visant à « moraliser » le trafic de drogue, ils fondent ensemble dans la foulée le groupe Thug Life aux côtés de Stretch, Big Syke, Macadoshis et The Rated R.
En 1995, Mopreme intègre le groupe Outlawz sous le pseudonyme Komani, une référence à Rouhollah Khomeini, le guide spirituel de la révolution islamique iranienne de 1979 – dans le groupe tout le monde portait un blaze inspiré d’un dictateur : Fatal Hussein, Kastro, Yaki Kadafi, Mussolini...
N comme Nicolo Machiavel
Lors de son séjour en prison, si 2Pac n’a de son propre aveu écrit « qu’une seule chanson », il s’est en revanche plongé dans la lecture du Prince écrit en 1532 par le diplomate et philosophe florentin Niccolò di Bernardo dei Machiavelli.
Manuel du parfait petit despote, l'ouvrage révolutionne la pensée politique en séparant l’action publique et la morale.
Pour le rappeur, c'est une révélation. Non content « d”idolâtrer cette manière de penser où tout est entrepris pour atteindre son but », il se renomme Makaveli pour son album suivant, The Don Killuminati: The 7 Day Theory.
O comme Orlando Anderson
L’homme qui l’a très probablement fait passer à trépas le 7 septembre 1996.
Membre des Southside Compton Crips, plusieurs mois auparavant, il s’est retrouvé impliqué dans une altercation en plein centre commercial avec Travon Lane, un employé de chez Death Row, à qui il aurait volé sa chaîne.
Coïncidence malheureuse, le 7 septembre à Las Vegas, Lane tombe nez à nez sur Anderson dans le hall de l’hôtel MGM Grand. Ni une, ni deux il s’en va prévenir 2Pac et le reste du staff venu assister à un combat de boxe de Mike Tyson.
Quelques minutes plus tard, Anderson est roué de coups à six contre un. Quelques heures plus tard, la BMW de 2Pac est criblée de balles.
P comme Police
Jamais tendre dans ses textes avec les « boys in blue », 2Pac a allié le geste à la parole le 31 octobre 1993 à Atlanta en tirant à balles réelles sur deux officiers.
Tout juste sorti de scène, tandis qu’il s’apprête à aller fêter Halloween avec ses potes, il aperçoit un homme noir se faire passer à tabac par deux hommes blancs. Ni une, ni deux, il se pointe à sa rescousse.
Le ton monte immédiatement, et les deux assaillants sortent chacun une arme. 2Pac en fait de même et presse la détente à trois reprises, blessant l’un à abdomen et l’autre au postérieur.
Ce que 2Pac ignore à l’instant T, c’est que les deux assaillants en question sont des policiers en civil. Heureusement pour le rappeur, là où en temps normal il aurait écopé de dizaines d’années de prison pour ce type d’altercation, aucune charge n’est retenue contre lui.
Il est en effet été apparu après enquête que les deux policiers n’étaient pas à jeun, mais aussi et surtout, que leurs armes, brandies en toute illégalité, avaient été volées dans le local des pièces à conviction.
Q comme Quad Recording Studios
30 novembre 1994. 2Pac sort du célèbre studio d'enregistrement de Manhattan après voir posé un feat avec un certain Lil Shawn, quand tout à coup, trois individus pointent leurs guns sur lui et son crew pour les dépouiller. 2Pac résiste et prend cinq balles dans le corps, dont une dans la tête.
Transféré à l’hôpital, il quitte les lieux le lendemain matin, trois heures à peine après son opération, afin de répondre à sa convocation judiciaire pour agression sexuelle.
Habité par un sentiment de persécution qui désormais ne le quittera plus, il restera convaincu jusqu’à la fin que Puff Daddy et Notorious B.I.G. se cachaient derrière cette tentative de meurtre déguisée en braquage... ce qui n’était pas totalement faux – tous les détails ici.
R comme Résurrection
Et si 2Pac était vivant ? Et s’il avait lui-même orchestré sa propre mort ? Et s’il s’apprêtait à fêter ce 16 juin 2021 ses 50 ans sur une île paradisiaque où le Thug Passion (cognac aromatisé Alizé + champagne Louis Roederer Cristal) coule à flots ?
La théorie se tient si l’on considère les nombreux éléments qui font tâche autour de sa disparition : le fait que la Cadillac blanche dans laquelle circulait le tueur n’a jamais été retrouvée alors que Vegas se situe au beau milieu d’un désert, le cliché de l'autopsie pris de telle façon qu’il rend très difficile d’identifier son visage, les Air Jordan qu’il porte dans le clip de To Live & Die In L.A. qui n’ont été commercialisées que deux mois après son décès...
Ça, et puis aussi le fait que rares ont ceux qui ne l’ont pas un jour croisé tout sourire, que ce soit à un concert de Lil Wayne en 2009, sur un pont en Suède en 2012 ou encore à un match NBA entre les Celtics et les Warriors en 2014.
S comme Steinberg Leila
Son amie, son mentor et son tout premier manager.
Professeur de poésie à Oakland à la fin des années 80, elle compte alors 2Pac parmi ses élèves. Âgée de six ans de plus que lui, elle l’encourage à lire et écrire, et ira même jusqu’à le loger quelque temps chez elle.
Si 2Pac lui doit sa rencontre avec Atron Gregory, le manager du groupe Digital Underground qui le premier lui mettra le pied à l’étrier, Steinberg lui doit en retour sa carrière.
« Ce qu’il faut comprendre c’est que quand je l’ai rencontré, il avait beau n’avoir que 17 ans, il avait déjà cette incroyable vision des choses. C’est lui qui m’a poussée à me lancer dans la musique. C’est lui qui m’a poussée à faire du business quand je n’avais que très peu confiance en moi. »
T comme Thug Life
Peut-être le tatouage le plus célèbre du rap, celui qui barre son abdomen avec un « i » en forme de balle.
Saviez-vous qu’étymologiquement le mot « thug » tire son origine d’une confrérie d’assassins qui sévissaient en Inde du 13ème au 15ème siècle ?
Adorateurs de la déesse Kâlî (la déesse de la préservation, de la transformation et de la destruction), les Thugs se faisaient passer pour d’honnêtes voyageurs afin de s’attirer la confiance de leurs victimes, puis les étranglaient à l’aide d’une corde ou d’un foulard. Le butin récolté était ensuite reversé à leur prêtre.
Pour vous donner une idée de la vibe, jetez un œil à Indiana Jones et le temple maudit.
U comme All About U
La deuxième piste d’All Eyez On Me qui traite (parmi tant d’autres) d’un sujet qui le tient particulièrement à cœur : les bitches les femmes de petite vertu.
Cultivant sur disque une relation d’amour/haine avec le beau sexe, entre quatre murs, 2Pac était du genre décomplexé par rapport aux plaisirs de la chair.
Ou pour citer son ancien garde du corps Frank Alexander : « Impossible de compter le nombre de femmes avec lesquelles il a couché quand je travaillais avec lui. Ça doit aller chercher dans les trois chiffres faciles... Honnêtement, si vous étiez une groupie et que vous le vouliez, vous pouviez l’avoir sans problème. Sur le tournage de chacun de ses clips, il b*isait les filles à la chaîne. Du premier au dernier rôle, il les b*isait du soir au matin. »
V comme Versace
En 1995, le styliste italien l’a convié à Milan pour défiler lors de la présentation de sa collection automne-hiver.
Vêtu ce jour-là d’un costume en velours doré, 2Pac n’est toutefois pas venu seul sur le podium : outre Kidada Jones avec qui il marche bras dessus, bras dessous, ses deux gardes du corps le suivent de près !
Et une fois le show terminé, il s'en est allé interpréter live California Love.
Comme quoi Kanye West n’a rien inventé.
W comme West Side
Figure de proue de la guerre de côtes qui a secoué le rap américain au milieu des années 90, 2Pac avait beau concéder n’avoir aucun amour pour l’est (« I can't lie, ain't no love for the other side » sur Only God Can Judge Me), il n’en était pas moins un Californien d’adoption.
Né à New York, à ses débuts dans le rap, il se faisait d'ailleurs surnommer MC New York...
X comme XO TOUR Llif3 Remix
Longtemps, 2Pac a constitué le mètre étalon du rap. Celui à l’aune duquel devait se mesurer les nouveaux venus du game Cf. la guerre que se sont livrés 50 Cent et Ja Rule pour savoir qui l’imitait le mieux
Aujourd’hui, c’est plus compliqué. La nouvelle génération n’ayant pas toujours à cœur de faire ses devoirs, entre un Kodak Black qui estime qu’il « ne doit son statut de légende qu’à sa mort prématurée », Lil Xan qui qualifie sa musique « d’ennuyeuse » ou l’inénarrable Lil Yatchy qui s’avoue incapable de citer cinq de ses morceaux.
Fort heureusement, les exceptions sont encore légion comme le prouve ce remix du hit de Lil Uzi Vert.
Y comme Yin & Yang
Thug et loveur, nihiliste et engagé, belliqueux et gardien de ses frères, s’en est parfois à se demander si à force d’allier les contraires 2Pac n’était pas un peu schizophrène.
L’explication de l’auteur de Keep Ya Head Up et Holla at Me ?
« Chez tous les êtres humains, il y a un côté dominant et un côté plus posé. Je suis du signe des gémeaux, et en plus je suis jeune, noir et je viens du ghetto. Voilà pourquoi j’ai toutes ces facettes. »
Z comme Zaggin
« Niggaz » épelé à la N.W.A.
Dans le prolongement de la doctrine Malcolm X qui souhaitait casser cette représentation de l’homme noir dépeint comme servile, ignorant et tire-au-flanc, 2Pac a été l’un de ceux qui a repris le « n-word » à foison (l’album Strictly 4 My Niggaz..., les morceaux Niggaz Nature, Thug Nigga, Made Nigga …) pour se dépeindre lui et les siens en super héros du ghetto.
Ou comme il le rappe à la fille qu’il convoite dans Ratha Be Your Nigga : « Je ne veux pas être ton mec, je veux être ton nigga pour boire et fumer de l’herbe toute la journée. »
Publié sur Booska-p.com le 12 avril 2021.
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Quelques AVN et aucun signe de ralentissement
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Sasha rose a remporté 3 prix AVN en 2011. Deux pour les meilleures scènes de sexe dans la production de films étrangers - Rocco: Puppet Master 8 et Angel Perverse 16 et un pour la meilleure scène de sexe en solo dans Clits and Toes. à la performance, ce qui est prouvé par de nombreux titres qu'elle a filmés. Les chiennes en uniforme, Angel Perverse, Big Addiction, Bunghole Bangers et Family Affairs ne sont que quelques-uns des moments forts de sa carrière. Mais cette fille n'a pas l'air de prendre sa retraite bientôt et compte tenu du fait qu'elle est encore jeune, nous espérons que le meilleur d'elle sera encore à voir.
Jade Jantzen - Vie et carrière dans le porno
Jeunesse
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Jade est originaire de Dallas, au Texas, où elle est née et a grandi. Elle est allée au lycée et n'a terminé que la première année et une partie de la deuxième année lorsqu'elle a décidé qu'elle voulait terminer deux ans avant sa classe. Elle n'a jamais été vraiment proche de ses parents dans sa jeunesse. Jade était très active et faisait toujours quelque chose, elle n’est pas restée très longtemps au même endroit à cause de sa grande anxiété. Elle avait quinze ans lorsqu'elle a perdu sa virginité sur la banquette arrière d'un vieux Mustang. Ensuite, elle n'a jamais eu de promiscuité et n'a eu que des relations sérieuses. Elle est d'origine brésilienne, allemande et russe et elle est également en partie française.
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Sa carrière dans le porno a commencé il y a deux ans lorsqu'elle a filmé sa première scène fille sur fille. Elle avait dix-huit ans et s'est rendue à San Diego pour son premier tournage. Jade était honnête - elle l'a fait pour l'argent. Elle a fait une pause d'un an et demi et elle travaillait dans un restaurant comme serveuse de cocktails. Mais cela la rendait furieuse contre les filles qui travaillaient avec elle et son manager l'ennuyait, alors elle a décidé d'arrêter et de commencer à faire du porno. Plus tard, les gens disaient qu'ils savaient que Jade était une salope, mais elle a décidé de s'en remettre et de les laisser parler de leur misérable vie dans la cuisine pendant qu'elle parcourait le monde et gagnait de l'argent. La position préférée de Jade est cowgirl et l’une de ses scènes préférées est celle qu’elle a faite avec Ryan Madison pour Teen Fidelity; le film s'appelle High On Haze et Jade est sur le couvercle de la boîte.
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Jade aime les gars plus âgés et sort avec un homme qui était dans la quarantaine. Quand elle ne filme pas, elle veut se masturber chaque fois qu'elle le peut avec son Hitachi. Dans ses temps libres, elle ne regarde pas beaucoup de porno, mais si elle est intime avec quelqu'un, elle aime regarder du porno parce que cela l'excite beaucoup. Le début de sa carrière a commencé avec une scène anale et c'était génial pour Jade car ses cotes ont augmenté. Après avoir commencé à filmer plus de scènes anales, elle a commencé à l'aimer encore plus (bien qu'elle l'ait déjà essayé dans sa vie personnelle, elle ne l'a pas fait souvent). Désormais, elle préfère le sexe anal aux relations vaginales et, dans sa vie personnelle, elle aime les hommes qui ont confiance, motivation et intelligence. Elle préfère quelqu'un de très nerveux comme elle. Jade aimerait vraiment un gars avec qui elle peut avoir une bonne conversation. Elle adore voyager et faire de la randonnée et voit le porno simplement comme un travail qui rapporte un excellent salaire. À l'avenir, elle se considère comme une créatrice de vêtements et une propriétaire de magasin de vêtements.Brea B
ennett - Vie et carrière dans le porno
La vie avant le porno
La chaude blonde Brea Bennett est née le 7 février 1987 à Mesa, en Arizona. Dans sa jeunesse, elle voulait et projetait de devenir chanteuse et a en fait étudié l'opéra lorsqu'elle était enfant. Brea a même enregistré un CD avec son père. Mais les plans ne se sont pas déroulés comme elle l’espérait. Pendant un certain temps, elle a travaillé comme conseillère beauté et comme réceptionniste dans un bureau immobilier. Ce n’était pas quelque chose qu’elle souhaitait, alors en 2005, elle a décidé de se concentrer sur la construction d’une carrière dans l’industrie du divertissement pour adultes.
Carrière porno
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Brea a commencé sa carrière en 2005 alors qu'elle avait dix-huit ans. Son nom a gagné beaucoup de reconnaissance après avoir remporté la série de télé-réalité American Sex Star de Jenna et travaillé comme contractuelle pour le Club Jenna pendant un an. En plus de sa carrière dans le divertissement pour adultes, elle a également fait du mannequinat pour des sites Web pour adultes comme Foxes et Digital Desire.Brea a été nominée pour deux AVN Awards et a été le Twistys Treat of the Month en octobre 2008 et le Penthouse Babe of the Day en septembre. 1er, 2009. En 2009, Brea a quitté l'industrie du divertissement pour adultes afin de se consacrer à sa carrière musicale, mais est revenue en 2013.
Vie privée
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Brea est une bi-sexuelle. Dans ses temps libres, elle écrit sa propre musique acoustique et alternative. Brea a un tatouage de fleur sur sa cheville droite qui couvre le nom "William"; elle a également un tatouage sur la nuque, un tatouage de crâne sur son annulaire gauche qui couvre le nom "Kurt" et un tatouage de dragon sur sa cheville droite. Brea a également encré l'intérieur de son bras gauche. Brea a à la fois Twitter et Facebook, mais ses deux réseaux sociaux ne sont pas mis à jour depuis longtemps.Blake Eden - Vie et carrière dans le porno
Blake Bartelli, également connu sous le nom de Blake Eden, est né le 25 août 1996 dans l'état américain de l'Arizona. Elle a commencé sa carrière en tant qu'interprète adulte en 2015 alors qu'elle avait dix-neuf ans. Les producteurs et le réalisateur l'ont immédiatement regardée non seulement parce qu'elle est extraordinairement belle, jeune et a un corps bien formé et élancé, mais aussi à cause de ses grandes et minuscules lèvres pendantes.Elle était Hustler Honey du mois de janvier 2016 et juste trois mois plus tard, en avril 2016, elle était l'animal de compagnie du mois de Penthouse. La fleur délicate qu'est Blake peut être vue beaucoup de scènes de softcore, de strip-tease, de lesbiennes, de strap-on, mais depuis peu, elle a participé à des scènes de hardcore et de trio Blake, vingt ans, a un tatouage sur le côté droit de sa région des côtes et a un piercing sur son nombril. Son corps est complètement naturel et elle n'a pas du tout de chirurgie plastique. Elle publie activement sur ses réseaux sociaux, Twitter et Instagram, où les fans peuvent la suivre et communiquer avec elle.
Ashley Sinclair - Vie et carrière dans le porno
Ashley Sinclair est née le 7 juin 1991 à Clearwater, en Floride. Son père était un marin et sa famille a souvent déménagé lorsqu'elle était enfant. Cette demoiselle est magnifique, de haut en bas. Son beau visage devient encore plus beau quand elle sourit. Son corps a l'air parfait alors qu'elle s'entraîne quotidiennement dans la salle de sport depuis le lycée. Cependant, elle était toujours physiquement active. Elle s'entraînait au football et au volleyball. Avant de faire surface sur la scène porno, elle a travaillé comme sauveteur dans un parc aquatique et comme baby-sitter. Elle a perdu sa virginité à 16 ans, dans la camionnette de son petit ami. Par hasard, l'un de ses petits amis a pris des photos d'elle nue et ils ont envoyé ces photos à un concours en ligne. Elle a remporté le concours et c'est l'une des raisons pour lesquelles elle est aujourd'hui… Ashley a commencé sa carrière de webcam en 2009, à l'âge de 18 ans. Elle a toujours vu ce travail comme une bonne chance de gagner de l'argent tout en s'amusant. Elle était en webcam pendant près de deux ans lorsqu'elle a décidé d'essayer quelque chose de nouveau. Sa première scène porno remonte à 2011. Il n’ya rien d’extrême dans ses scènes; ce sont principalement des scènes en solo, lesbiennes ou garçon / fille. Même si les catégories ne semblent pas trop excitantes, certaines scènes le sont vraiment. Elle est excitée par le sexe oral et préfère la position de cow-girl lorsqu'elle est en action hardcore. Elle aime être au top et contrôler le jeu. Quand elle a commencé sa carrière dans le porno, elle avait des seins de bonnet B, mais avec le temps, elle a investi dans son sex-appeal et a maintenant une taille de 32DD. Elle a travaillé avec de nombreux producteurs pornographiques célèbres, tels que Bang Bros, Brazzers, Mofos, Bang Productions, Nubiles, Babes, Pure Play Media, Naughty America, Juniper Movies, etc. Elle s'est retirée des scènes à plusieurs reprises, mais elle le serait toujours. revenir finalement. Elle tourne encore une scène ici et là. Mais gardez à l'esprit que les films pornos n'ont jamais été sa priorité - être une cam girl a toujours été sa profession principale. Après seulement quelques années sur scène, elle a lancé sa propre entreprise et dirige un site Web entièrement consacré aux fétiches, en fait, plus de 100 catégories de fétiches. Certaines des catégories les plus populaires sont: Foot Fetish, Bondage, Limp, Blowjob, Femdom etc. Elle agit comme mannequin, scénariste et productrice, donc c'est évident - sa passion est de tourner des vidéos et elle est douée pour ça. Ashley est un excellent bus inesswoman, top performer et productrice créative. Une fille faite de rêves. Ashley est une fille très occupée et son travail est sa première priorité. Dans son temps libre, elle aime passer du temps sur le yacht avec ses amis et faire la fête jusqu'au matin. Elle adore la nature et les animaux. Quand elle le pouvait, elle ne mangeait que du chocolat. Une des choses bizarres est le fait qu'elle aime visiter l'église et chanter dans la chorale. Elle aime aussi lire, regarder des films et écouter de la musique dance et hip-hop. Son dévouement à son métier lui a permis de gagner sur sa timidité, d'explorer sa sexualité et de s'amuser à la fois elle-même et ses fans. Il a été reconnu à quelques reprises avec des nominations AVN, mais elle n'a jamais obtenu aucun des prix.
Mia Manarote - Vie et carrière dans le porno
Mia Manarote est née en République tchèque le 20 août 1993. Son vrai nom est Marketka Mikiskova Cerna. Cette fille aux cheveux noirs et aux beaux yeux bleus est extraordinairement mignonne. Pour beaucoup d'hommes et de femmes aussi, Mia a un type de corps idéal, avec des seins 34C, de longues jambes et un cul encore meilleur. Elle a un tatouage d'une grande clé avec une écriture grecque sur son épaule droite. Si vous traduisez ces mots du grec, le sens est «Je n’arrêterai jamais de rêver». Mia a également un piercing sur son nombril. Son signe astrologique est Leo.
Lionne tchèque
Mia avait 19 ans lorsqu'elle est apparue pour la première fois devant les caméras. Dès le début de sa carrière, il était évident que Mia est une fille au talent naturel pour la baise. Elle a l'air si douce, mais en fait c'est une vraie nympho au lit. Jusqu'à présent, vous pouviez la voir dans des scènes solo, lesbiennes et hardcore. Dans chacune de ces scènes, vous verrez Mia déborder de passion et de plaisir, et aucune d'elles n'est ennuyeuse. Elle est l'un des meilleurs modèles porno de la République tchèque et elle a travaillé avec de nombreux modèles célèbres. Bien sûr, vous les connaissez tous: Anna Polina, Gina Devine, Rita, Simone Peach, Victoria Sweet, Victoria Blaze, Silvie De Lux etc. Quand il s'agit de ses scènes hardcore, il est difficile de distinguer les meilleures, bien que les scènes avec Honza Franzl sont nos préférés. Vous ne verrez pas Mia dans des scènes extrêmes, elle aime le sexe ordinaire. Elle a travaillé pour de grands distributeurs de porno, par exemple: Reality Kings, Met-Art, DDF Network, Dana Jones, Nubile Films, Mile High, Girls Way, Mofos, Video Art Holland et bien d'autres. Pour la carrière de Mia, nous pourrions maintenant dire qu'elle est plutôt réussie, car certaines de ses scènes sont vues des millions de fois. Ces dernières années, elle n’est pas si active, mais elle n’a toujours pas quitté officiellement le porno.
Vie privée
Nous avons déjà mentionné Honza Franzl, également connu sous le nom de Jay Dee. Deux d'entre eux, disent les potins, avaient une relation émotionnelle. En octobre 2015, elle est devenue mère d'un fils, et maintenant ils vivent à Pilsen, en République tchèque. La preuve qu'elle est toujours active repose sur son compte Twitter, où elle publie toujours des mises à jour sur son travail.
Kay Carter - Vie et carrière dans le porno
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Le regard aussi noir que déterminé, Negzzia n’a qu’un rêve : devenir mannequin à Paris. Cette Iranienne de 29 ans l’a touché du doigt quelques instants, lors d’un défilé parisien auquel elle a pu assister en octobre dernier, à peine débarquée dans la capitale. Mais depuis, sa vie tient plus du cauchemar que du conte de fées.
Pour comprendre l’histoire de la jeune femme, il faut toutefois remonter le temps… et partir à quelques milliers de kilomètres de Paris. Née à Téhéran, Negzzia -un nom de scène pour préserver son identité- est une personnalité dans son pays, une icône suivie par 116 000 personnes sur les réseaux sociaux. D’abord photographe de métier, elle est passée de l’autre côté de l’objectif. Elle est ainsi devenue un mannequin reconnu pour plusieurs grandes marques iraniennes, ce qui lui a permis de multiplier les photos publicitaires et artistiques au pays des mollahs.
Mais Neggzia, qui se vit autant artiste que top-modèle, a poussé un peu loin son art dans un pays où la nudité des femmes est un tabou absolu, en réalisant plusieurs photos dénudées. Un choix qui lui a coûté cher. Le milieu de la mode est extrêmement surveillé en Iran et est régulièrement l’objet de « descentes » contre les photographes ainsi que les mannequins qui sont alors jetés en prison sans ménagements, voire disparaissent quelques mois. La police religieuse appelée Gasht e Ershad, la « Police de la Vertu » en persan, est à la manœuvre.
En 2017, une nouvelle rafle est ordonnée par les autorités iraniennes, et dans l’une d’elles, un photographe pour qui Negzzia a travaillé est arrêté. Il dénonce alors ses photos interdites.
Menacée de prison et de coups de fouets
« J’avais fait des photos de mon tatouage de dos avec lui et à ce moment-là, il avait essayé de me violer. Après m’être échappé, j’avais prévenu les autres filles qui travaillaient avec lui via les réseaux sociaux. Il m’avait menacé de ne plus travailler dans le milieu. Il s’est vengé en me dénonçant », raconte la jeune femme. « Quelques jours plus tard, j’ai reçu un appel pour m’informer que la police voulait faire un nouveau coup de filet dans le milieu. Si le gouvernement mettait la main sur mes photos. Je risquais la prison et le fouet a minima », confie la grande brune, le regard tout à coup embué par l’émotion. « C’est mon corps, je fais ce que je veux. Montrer ce que vous portez n’est pas ce que vous êtes », rappelle la jeune femme, féministe convaincue.
Face à la menace de plus en plus imminente, celle qui avait pris la précaution de préserver le plus possible son anonymat fuit pourtant en urgence pour Istanbul avec quelques sous en poche. Son père est lui aussi obligé de fuir la capitale à la hâte. « Après deux mois là-bas, j’ai réussi à travailler. Je suis devenue free-lance et j���ai trouvé quelques agences qui ont bien voulu m’engager. Mais j’étais très seule et je pleurais très souvent », confie Negzzia. « Istanbul est un endroit formidable mais en dehors de quelques quartiers du centre, c’est un village rétrograde ! Une fois, alors que je me baladais simplement, une femme m’a mordu parce que son mari me regardait, et après, elle a appelé la police en disant que je l’avais agressé… Là encore, j’ai dû fuir », se souvient le mannequin, toujours halluciné par cet incident.
Pour l’amour de Brel
En plein spleen, sur les rivages du Bosphore, c’est une chanson de Jacques Brel, « Ne me quitte pas », qu’elle écoute depuis son enfance, qui lui donne l’idée d’une nouvelle porte de sortie : La France, et Paris, la ville lumière et surtout la capitale de la mode. Un ami lui propose même de la mettre en contact avec une agence parisienne, et lui fait miroiter un logement parisien. Elle n’a qu’à obtenir un visa, lui dit-il. Mais ce coup de main n’est pas gratuit : en échange, cet « ami » lui demande une compensation d’ordre sexuel. Negzzia refuse catégoriquement cette proposition indécente mais décide tout de même de s’envoler pour la France, croyant à l’espoir d’une nouvelle vie.
« Je n’avais aucun point de chute. Le taxi m’a amenée dans un hôtel. Je suis allé à un catwalk (défilé sur un podium, NDLR) où un homme de la sécurité m’a laissé entrer. Et là, j’ai vu ce que je voulais faire depuis tant d’années, mon rêve, souffle l’Iranienne, au bord des larmes. J’ai su immédiatement que je voulais demander l’asile ici. » Le lendemain, elle commence donc à remplir les formalités administratives pour s’installer en France. Elle découvre rapidement le parcours du combattant des demandeurs d’asile, à la préfecture de Nanterre (Hauts-de-Seine). Les heures d’attente et les petites humiliations. Mais, habitée par son désir d’avenir, elle ne baisse pas les bras. Le 13 novembre 2018, sa demande d’asile est finalement enregistrée auprès de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra).
« Je ne suis pas venue à Paris pour devenir une pute »
Mais entre-temps, la situation de Negzzia est devenue plus que précaire. Les quelques économies de la jeune femme ont fondu comme neige au soleil, et elle se retrouve à la rue. Une nouvelle fois, les prédateurs ne tardent pas à arriver. Le mannequin rencontre plusieurs « amis » qui se proposent tous de l’aider mais n’en ont en réalité qu’après sa plastique. « On m’a fait rencontrer un Français qui voulait m’aider. Mais rapidement, il est devenu agressif, il voulait en fait faire de moi une strip-teaseuse ! J’ai refusé, il m’a insulté : Tu es une esclave, je te ferai pleurer, avant de me cracher au visage », raconte la jeune femme. « Je me suis enfuie. J’étais détruite par toutes ces sollicitations. J’ai même été tenté de me tuer trois fois à Paris, de me jeter sous un métro », enchaîne-t-elle. Negzzia décide de ne plus rien devoir à personne : « Je n’ai pas besoin d’aide. Je ne suis pas venue à Paris pour devenir une pute. »
Elle choisit la rue. Avec sa valise et un sac, elle dort sur des bancs, laisse parfois ses affaires dans des hôtels au personnel compatissant. Les jours passent, l’hiver est là, et le froid de la nuit parisienne de plus en plus saisissant. Certains SDF la protègent des dangers de la rue, lui offrent des couvertures, lui disant qu’elle n’a rien à faire là. La journée, elle s’attable à des terrasses chauffées pour emmagasiner un peu de chaleur, et capter un signal wi-fi pour tenter d’exister sur son compte Instagram.
« J’ai vendu mon sac pour 10 euros pour pouvoir manger »
Elle réalise bien quelques photos, mais à usage personnel seulement. Sans statut, elle ne peut pas travailler pour des agences de mannequin reconnues, qui lui ferment toutes leurs portes. Au bord du désespoir, son profil Instagram est sa seule carte de visite. Seulement, son corps commence à sérieusement souffrir de ces nuits sans sommeil et de la dureté de la vie de SDF. Sur les conseils de serveurs d’une des terrasses où elle trouve refuge, elle finit par dormir dans un parking plus sûr que la rue. Mais son calvaire n’en est pas résolu pour autant.
« Un jour, j’ai vendu mon sac avec mes robes pour 10 euros, pour pouvoir manger », confie encore la jeune femme. Avec 6,80 euros d’indemnités par jour de demandeuse d’asile, Negzzia doit rogner sur certaines dépenses. À ses repas, elle privilégie… le sport ! Pour atteindre son rêve de mannequinat parisien, elle ne peut laisser se dégrader son corps ; elle dépense donc la moitié de ses maigres revenus dans un abonnement dans une salle de sport. Elle y trouve du réconfort et de la chaleur humaine. Un jour, épuisée, amaigrie, celle qui se décrit alors comme un « zombie » s’endort sur un appareil. Ses copains de gym s’organisent alors pour lui trouver un hébergement temporaire, dans lequel elle vit depuis maintenant plusieurs semaines. Une vraie planche de salut.
Un avocat à la rescousse
Ayant eu vent de ses mésaventures, un avocat l’accompagne par ailleurs désormais dans ses démarches. Comme sa cliente, Me Sahand Saber est d’origine iranienne, même si lui est né en France, après que ses parents ont fui la Révolution islamique en 1979. Pour lui, Negzzia est un symbole. « Elle fait partie de cette multitude d’Iraniens qui nous montrent que ce peuple est loin des slogans extrémistes de ceux qui dirigent le pays, explique l’avocat au barreau de Paris. Ils doivent nous inciter à regarder dans leur direction car ils nous prouvent qu’ils aspirent à vivre librement et dans le respect de valeurs qui nous sont communes. »
Vendredi dernier, Negzzia a passé son entretien à l’Ofpra, comme n’importe quel demandeur d’asile. La récente jurisprudence de la Cour nationale des demandeurs d’asile (CNDA) fait des femmes un groupe à part entière de victimes de persécution en raison de leur condition. Cela pourrait favoriser son dossier toujours en attente d’une réponse, qui n’interviendra pas avant trois mois. Neuf mois après sa demande officielle, elle aura au moins le droit de travailler en toute légalité. Un plus qui ne suffit pas à combler le désespoir. « J’adore Paris, j’aime la France, c’est magique, c’est la ville de l’art et de la beauté. Mais pour l’instant, je n’ai rien trouvé ici et j’ai tout perdu. Je ne peux pas revenir dans mon pays sans risquer ma vie », explique Negzzia, ses yeux noisette rougis par les larmes. Avant de lâcher : « Je n’ai rien à perdre. Je préfère mourir pour mon rêve que d’attendre sans fin des papiers… » Autant un cri d’espoir que de désespoir.
Negzzia, top model en Iran, SDF à Paris
Ronan Tésorière (@RonTesoriere) Source: leparisien.fr
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Lady Gaga anéantie par le suicide de son ami Zombieboy
En 2011, Lady Gaga sortait le clip de son morceau Born This Way. Cette vidéo n’est pas passée inaperçue notamment à cause de la participation de Rick Genest alias Zombieboy et ses impressionnants tatouages.
Depuis, le jeune homme originaire de Montréal brillait dans le monde du mannequinat. Seulement voilà, comme l’a annoncé son agence Dulcedo dans un communiqué, Zombieboy a perdu la vie : "Icône de la scène artistique et du monde de la mode, cet innovateur, à contre-courant de la culture populaire, a su charmer tous les cœurs", peut-on lire sur Facebook.
Celui qui avait intégré le livre des records avec ses tatouages aurait mis un fin à ses jours à quelques jours de ses 33 ans comme en témoigne le message posté sur Twitter par Lady Gaga qui était toujours très proche de lui. "Le suicide de mon ami Rick Genest, Zombie Boy est dévastateur. Nous devons travailler pour changer la culture, mettre la santé mentale au premier plan et effacer la stigmatisation...
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Il y a deux types de mannequins podiums : ceux qui passent inaperçus et ceux qui vous hantent l’esprit pour l’éternité. Tony Sant’Anna est de cette trempe; c’est le roi des T à Abidjan, alors qu’il est béninois. Il est mannequin, modèle photo, chanteur et récemment photographe. C’est le moment de découvrir Tony SANT’ANNA; notre fashion model du mois. C’est épatant à quel point son parcours est inspirant !
Qui es-tu ? D’où viens-tu ? Parles nous de toi…
Mon nom est Wilfried Tony Sant’Anna, j’ai 28 ans et je suis mannequin professionnel. Je suis l’aîné d’une famille de deux enfants, je suis né à Yopougon et j’ai grandi à Treichville en Côte d’Ivoire. Je suis aussi modèle photo et depuis peu, photographe de mode.
Pourquoi le mannequinat, comment ça a commencé ?
La mode a toujours été une passion pour moi, c’est un milieu dynamique et très développé ici en Côte-d’ivoire. Déjà à l’école, tout le monde me disait que j’avais le profil pour être mannequin. Après mon diplôme d’ingénieur en management et marketing, j’ai travaillé quelques mois chez Samsung; puis la passion a très vite repris le dessus. J’ai alors compris que je voulais en faire mon métier.
J’ai commencé il y a 4 ans avec JM TATU, une marque ivoirienne de street wear. Puis j’ai rencontré le chorégraphe de mode Carlos Henzel qui m’a beaucoup aidé; il m’a appris tout ce que je sais. Aujourd’hui avec le soutien de mes proches, de mon agent et surtout grâce à mon travail, voici où j’en suis.
On constate que c’est allé très vite, comment expliques-tu ton succès fulgurant sur les T locaux, alors que tu n’es même pas d’origine ivoirienne ?
Très peu de personnes connaissent mon origine, les gens se disent que Sant’Anna c’est un surnom. Je suis né et j’ai grandi à Abidjan. Le fait que je sois béninois n’a pas été décisif dans ma carrière, j’ai travaillé dur pour me faire une place au soleil.
Je suis africain, mon père est portugais et béninois; ma mère est ivoirienne, burkinabé et guinéenne. Je suis venu au mannequinat parce que j’adore ce travail, j’aime le contact avec les gens. J’ai travaillé et je continue de travailler avec acharnement. Je considère juste que j’ai eu beaucoup de chance.
Tu n’as pourtant pas la silhouette type du mannequin classique…
À mes débuts, j’étais mince puis j’ai eu une fracture au genou il y a quelques années et ça m’a complètement immobilisé. Avec le temps et les médicaments, j’ai pris du poids. C’est bien facile de prendre des kilos, mais les perdre c’est une autre histoire. Cependant, je continue d’y travailler et je donne le meilleur de moi chaque fois pour honorer mes contrats.
Pour toi, qu’est ce qu’un mannequin… Un vrai ?
Un mannequin, c’est celui qui prend son métier au sérieux, qui a de la disponibilité, qui sait s��habiller, qui est sexy et qui dégage quelque chose de particulier. Un mannequin, un vrai est un passionné qui n’est pas à la recherche de la gloire et qui fait correctement son travail.
Décris-nous en quelques mots, l’ambiance dans les grands défilés ivoiriens
Les défilés en Côte-d’ivoire, sont un cocktail subtil de folie, de fraternité, de patience, de stress et d’adrénaline.
Tony Sant’Anna lors du festival NZASSA Mode 2017 , dans une tenue signée Ciss St Moise
Est-ce que tu vis de ton métier de mannequin ? Comment ?
Oui je vis de mon métier de mannequin. Un mannequin, ce n’est pas forcément celui qui passe sur les T. Lorsque vous êtes mannequin, il faut pouvoir montrer votre univers aux gens. Avant d’être mannequin, vous êtes avant tout une personne avec des goûts, des passions, des envies et il faut pouvoir partager tout ceci avec votre communauté. Internet a d’ailleurs favorisé cela, c’est beaucoup plus facile maintenant.
Ensuite, il faut travailler, faire des choix stratégiques et savoir s’entourer. Aujourd’hui je suis mannequin certes, mais je suis aussi modèle photo; je fais des campagnes publicitaires pour de grandes marques, je suis égérie Woodin et on me classe parmi les influenceurs de la Côte-d’ivoire.
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Tu as été sacré meilleur mannequin homme de l’année en 2014, aux Top 10 de la mode ivoirienne. Comment as-tu vécu cette expérience ?
Être désigné comme meilleur mannequin homme de l’année, dès le début de ma carrière professionnelle, m’a donné plus de raisons d’aller plus loin. C’était une belle expérience pour moi, aujourd’hui encore je continue de travailler pour être à la hauteur de ce prix.
Tony Sant’Anna et la top modèle Anta Bamba aux Top 10 de la Mode ivoirienne en 2014
Quel est ton avis sur le mannequinat africain à l’air d’internet ?
Je pense qu’internet est une superbe opportunité de se faire connaître à l’international, à mes débuts l’objectif était de me rendre incontournable sur le territoire ivoirien. L’international, c’était un rêve mais pas une priorité. Aujourd’hui grâce à internet et surtout grâce aux réseaux sociaux, c’est facile de combiner les deux. Il n’y a plus vraiment de barrières et c’est génial ! Il faut juste savoir se vendre et rester authentique.
Quels conseils donnerais-tu aux jeunes qui veulent faire carrière dans la mode comme toi ?
Comme dans tous les secteurs, je pense qu’il faut savoir ce qu’on veut et être prêt à travailler pour concrétiser ses rêves. Il est important de respecter les aînés, d’être professionnel et de respecter ses engagements. Pour ma part, ces principes sont très importants et je m’efforce de les respecter. Dans le fond, il faut avoir confiance en ses capacités et être prêt à travailler dur pour se faire un nom.
En tant que photographe, que penses-tu apporter de nouveau ?
Le fait d’être mannequin et modèle photo m’apporte une perspective unique, puisque je sais ce que je dois capter lors de mes shootings. J’arrive plus facilement à me mettre à la place de mon modèle, ce qui facilite la direction artistique et met le modèle plus à l’aise. Le rendu est juste plus magique et c’est ce que j’apporte de nouveau : ma vision.
Quelques clichés, signés Tony SANT’ANNA aka “The Ghost”
Comment t’habilles-tu en général ?
J’ai un style assez relax, je n’aime pas me compliquer la vie. J’aime être à l’aise et je ne m’encombre��pas d’accessoires. Je suis très basique, minimaliste et monochrome. Je suis donc très streetwear, casquette, baskets, jeans destroy etc.
Comment entretiens-tu ta silhouette ?
Le plus important pour se maintenir, c’est d’avoir une bonne hygiène de vie. Je fais beaucoup de sport, je ne bois pas, je ne fume pas. Je fais également attention à ce que je mange, tout en me faisant plaisir.
Que signifie tes tatouages et depuis quand les portes-tu ?
Mes tatouages sont liés à tout ce qui a pu se dérouler dans ma vie jusqu’à ce jour, certains désignent aussi mon caractère chaud et solitaire. J’ai fait mon premier tatouage en 2007, donc on dira depuis 10 ans.
Que penses-tu du Bénin ? Que penses-tu de la mode Béninoise ?
Le Bénin est un magnifique pays avec une belle culture et tous mes amis qui y sont allés m’en ont dit du bien. J’espère découvrir ma terre un jour, c’est l’un de mes projets voyage !😁
Je pense que les béninois sont des personnes très respectueuses, en tout cas les béninois que j’ai rencontré. Ils sont durs de caractère aussi !
Concernant la mode béninoise, je connais des tops models comme Ronald AGBAZAGAN qui portent avec fierté le drapeau béninois à l’international. Je connais aussi des événements comme le FESMMA. La mode béninoise bouge beaucoup et nous réserve assurément pleins de surprises.
Tout au long de cette interview, nous avons découvert un jeune homme sympathique, charismatique et passionné de son travail. Il nous apprend que peu importe d’où nous venons, il n’y a absolument aucune limite à ce que nous pourrions accomplir tant que nous sommes focus sur nos objectifs et que nous nous donnons les moyens d’y arriver. J’ai adoré l’interviewer pour vous !
Direction Artistique : Estelle Gloria
Cover : Anselme A.
Photographe : Oronce H Photography
Lieu : Cocody, Abidjan
Questions : MC Squad
Tony Sant'Anna, the Runway King ! Il y a deux types de mannequins podiums : ceux qui passent inaperçus et ceux qui vous hantent l'esprit pour l'éternité.
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Paris Jackson :
Née en 1998, la petite Paris ne montrera ses jolis yeux bleus au reste du monde qu'en 2009, pour les funérailles de son célèbre paternel. Brisée par le chagrin, elle remerciera ce dernier d'avoir été "le meilleur papa qui puisse exister". Aujourd'hui encore, elle multiplie les hommages et les tatouages en souvenir de MJ. Celle qui se rêve actrice depuis son plus jeune âge vient de commencer une carrière prometteuse dans le mannequinat.
http://www.msn.com/fr-fr/divertissement/celebrity/photos-michael-jackson-qui-%C3%A9taient-les-10-femmes-de-sa-vie/ar-BBD9Ip8?li=BBoJvSH&ocid=mailsignout#image=5
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Vous avez entre 13 et 40 ans ? Le Monde de la Mode, Beauté ou Spectacle vous fait rêver ? Le Mannequinat et les Concours d’ Elégance ou Talent vous semblent inaccessibles ?
Réalisez votre rêve et rejoignez Fashion Models Academy !
Depuis 2O ans cette association, dont le but est de découvrir, former et lancer les talents, a remporté avec ses membres plus de 500 titres au niveau national et même international car elle est reconnue et affiliée aux plus prestigieux Concours de Mannequins, Miss-Misters et Talent français et mondiaux. Avec pour derniers succès : Laura Borsoi élue Futur Fashion Face Europe en Turquie, Bryan Weber élu Mister Supranational Photogenic en Pologne, Eline Lamboley Teen Princesse Univers en Bulgarie, Nicolas Fangille Mister Planet Press en Géorgie et Océane Pernodet couronnée 4ème Dauphine de Miss Globe au Canada…
Alors pourquoi pas vous ? Une Réunion d’Information suivie du Casting de recrutement de ses nouveaux membres est organisée le samedi 6 mai à 19h30 dans les Salons de l’Hôtel Mercure à Forbach (Sortie autoroute Forbach Centre de Loisirs). La réunion d’information est libre et sans engagement et le casting est ouvert à toutes et tous sans aucun critère d’accès (taille, âge, poids, tatouage, piercing etc…).
Pas d’inscription préalable, il suffit de se présenter à la réunion/casting du 6 mai avec une photo ( si vous n’avez pas de photo professionnelle une photo d’identité suffira) et notre formulaire de contact casting imprimé et rempli par vos soins que vous trouverez à télécharger sur notre site officiel ( au cas de souci nous tenons des formulaires à votre disposition le jour même).
Pour les mineur(e)s présence obligatoire d’un parent.
Les heureux sélectionné(e)s démarreront leurs activités au sein de la Fashion Models Academy dès le surlendemain lundi 8 mai en après midi.
Découvrez nous : http://ift.tt/2oeXjji
Contact : 06 63 55 03 96
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Un nouvel article a été publié sur http://www.rollingstone.fr/paris-jackson-sa-vie-apres-neverland/
Paris Jackson : sa vie après Neverland
Pour sa première vraie interview, la fille de Michael Jackson parle de la souffrance de son père et de la façon dont elle a réussi à trouver la paix après des problèmes d’addiction et ses peines de cœur
Par Brian Hiatt
Paris Jackson a fêté ses 18 ans en avril dernier, et peut donner l’impression, en fonction du moment, d’être beaucoup plus jeune ou beaucoup plus vieille ayant vécu une existence à la fois protégée et diaboliquement exposée. Elle est l’enfant du XXIè siècle, avec des goûts musicaux qui dépassent les frontières (ses baskets sont décorées de paroles de Mötley Crüe et des Arctic Monkeys, elle est obsédée par Alice Cooper – qu’elle appelle « bébé » – et Butch Walker ; elle adore Nirvana, mais aussi Justin Bieber). Mais plus que tout, elle est la digne fille de son père. « En gros, en tant que personne, elle correspond à la personne qu’était mon père, » explique son grand frère Prince Michael Jackson. « La seule chose qui est différente, ce serait son âge et son sexe. » Paris ressemble beaucoup à Michael, ajoute-t-il, « dans toutes ses qualités et toutes ses faiblesses. Elle est très passionnée. Elle est très émotionnelle, au point qu’elle peut laisser les émotions altérer son jugement. »
Paris a, à une vitesse incroyable, fait faire plus de 50 tatouages, en commençant la série alors qu’elle n’était pas encore majeure. Neuf d’entre eux sont dédiés à Michael Jackson, qui est mort quand elle avait 11 ans, les envoyant, elle, Prince et leur petit frère Blanket, en plein milieu d’une spirale infernale. « Ils disaient toujours « Le temps guérit tout » », explique-t-elle. « Mais ce n’est pas vraiment le cas. Vous vous habituez juste à l’idée. Je vie avec l’idée que j’ai perdu la seule chose qui ait jamais été importante à mes yeux. Donc en grandissant, les choses négatives qui peuvent m’arriver ne pourront jamais être aussi horribles que ce qu’il s’est passé avant. Donc je peux le gérer. » Michael vient toujours lui rendre visite en rêve, dit-elle : « Je sens qu’il est tout le temps avec moi. »
Paris se décrit elle-même comme « insensibilisée » à toute forme – même la plus graphique – de mortalité humaine. En juin 2013, emportée dans une spirale de dépression et d’addictions, elle essaie de se suicider, à l’âge de 15 ans, en se tailladant le poignet et en avalant 20 cachets de Motrin [un antidépresseur NDLR]. « Je me détestais, » explique-t-elle « j’avais une très mauvaise estime de moi, je pensais que je n’étais plus utile à rien, mais je ne pensais pas non plus que ma vie n’en valait plus la peine. » Elle s’est mutilée, s’est coupée, réussissant à le cacher des yeux de sa famille. Certains de ses tatouages couvrent désormais ses cicatrices, ainsi que ce qu’elle dit être des marques venant de son usage de drogues. Avant cela elle avait déjà essayé de se suicider « à plusieurs reprises », explique-t-elle avec un rire incongru. « Ça a été rendu public une seule fois. » L’hôpital avait une règle « après trois essais, on traite », et, après son dernier essai, les médecins ont insisté pour qu’elle participe à un programme de thérapie.
Scolarisée à domicile après la mort de son père, Paris avait accepté d’aller dans une école privée à partir de la sixième. Elle n’a pas réussi à s’intégrer – du tout – et a commencé à traîner avec les seuls enfants qui voulaient bien d’elle, « tout un tas de personnes plus vieilles, qui faisaient beaucoup de trucs fous ». Elle a également dû faire face à du cyber-harcèlement, et continue à se battre contre des commentaires en ligne particulièrement cruels. « Tout le concept de liberté d’expression est formidable. Mais je ne crois pas que nos Pères Fondateurs avaient prévu les réseaux sociaux quand ils ont créé les amendements. » Il y a eu un autre trauma dont elle n’a jamais parlé publiquement. Quand elle avait 14, un « parfait étranger », bien plus vieux qu’elle, l’a sexuellement agressée, affirme-t-elle. « Je ne veux pas rentrer dans les détails. Mais ce n’était pas du tout une bonne expérience, et c’était très dur pour moi, et à ce moment-là, je n’en ai parlé à personne. »
Au final, en tant que fille charismatique et belle de l’un des hommes les plus célèbres qui n’aient jamais vécus, quel choix avait-elle ? Pour le moment, elle est mannequin, actrice, elle se construit. Elle joue quelques instruments, écrit et chante des chansons (elle en jouera quelques unes pour moi sur une guitare acoustique, et les titres sont prometteurs, même s’ils sonnent plus comme du Laura Marling que Michael Jackson), mais elle ne sait pas encore si elle va signer un contrat d’enregistrement. Le mannequinat, par ailleurs, est venu très naturellement et Paris trouve ça presque thérapeutique. « J’ai eu des problèmes de confiance en moi pendant très, très longtemps. » explique Paris, qui a compris les choix de son père en matière de chirurgie esthétique après avoir vu des trolls disséquer en ligne son apparence depuis ses 12 ans. « Beaucoup de gens pensent que je suis laide, et beaucoup de gens pensent le contraire. Mais il y a un moment, avec le mannequinat, où j’oublie mes problèmes de confiance en soir et je me concentre sur ce que le photographe me demande – et je me trouve belle. Et d’une certaine façon, c’est assez égoïste. »
Michael Jackson a fait écouté tous les styles de musique possibles à Paris. « Mon père a travaillé avec Van Halen, onc j’ai écouté Van Halen. Il a travaillé avec Slash, donc j’ai écouté les Guns N’Roses. Il m’a appris à écouter Tchaïkovsky et Debussy, Earth, Wind and Fire, les Temptations, Tupac, Run-DMC. »
Paris et Prince sont au courant des doutes qui subsistent autour de leurs liens de parenté avec Michael Jackson (Blanket, le plus jeune, avec sa peau mate, est le sujet de moins de spéculations). La mère de Paris est Debbie Rowe, une infirmière que Michael avait rencontré alors qu’elle travaillait pour son dermatologue, Arnold Klein aujourd’hui décédé. Ils ont vécu ce que l’on pourrait appeler un mariage peu conventionnel pendant trois ans, lors duquel, selon Rowe, ils n’ont jamais habité ensemble. Michael expliquait que Rowe voulait avoir un enfant pour « lui offrir un cadeau ». (Rowe a affirmé que Paris tient son nom de l’endroit où elle a été conçue). Klein, son employeur, faisait partie des nombreux hommes qui ont affirmé être le père biologique de l’enfant. Mais Paris est certaine que Michael Jackson est son vrai père. Elle y croit avec une ferveur à la fois touchante et en même temps très convaincante. « C’est mon père, » dit-elle en nous lançant un regard noir. « Il sera toujours mon père. Il l’a toujours été. Les personnes qui le connaissent bien disent que je lui ressemble, c’en est presque effrayant. Je me considère black », ajoutant plus tard que son père « me regarderait dans les yeux en me pointant du doigt pour dire « Tu es black. Sois fière de tes origines. » Et je lui répondrais « OK, c’est mon père, pourquoi il me mentirait ? Donc je vais simplement croire ce qu’il me dit. Parce que, à ma connaissance, il ne m’a jamais menti. Mais la plupart de ceux qui ne me connaissent pas me considère comme étant blanche », concède Paris. « J’ai la peau claire, et, particulièrement depuis que je me suis teint les cheveux en blond, on dirait que je suis née en Finlande ou dans un pays comme ça. » Elle fait d’ailleurs remarquer qu’il est relativement courant que des enfants métisses soient dans la même situation – notant à juste titre, que son teint et la couleur de ses yeux sont similaires à ceux de l’acteur Wentworth Miller, qui a un père noir et une mère blanche.
Paris Jackson avait environ neuf ans quand elle a réalisé que le monde ne comprenait pas son père comme elle. « Mon père pleurait le soir », dit-elle, assise au comptoir du café à New York, tenant une petite cuillère à la main. Elle commence à pleurer. « Vous représenter vos parents en train de pleurer parce que le monde entier les déteste pour quelque chose qu’ils n’ont pas fait… Et il était tout pour moi. Et voir tout ce qui compte souffrir, ça m’a fait haïr le monde entier, à cause de ce qu’il lui faisait. Je me suis dit ‘’Comment les gens peuvent-ils être aussi méchants ?’’ » Elle fait une pause. « Excusez-moi, je me laisse emporter. »
Paris et Prince n’ont aucun doute quant à l’innocence de leur père vis-à-v is des allégations d’agressions sexuelles contre des enfants qui ont été faites à l’encontre de Michael Jackson. Et une fois de plus, ils se font persuasifs : ils pourraient aller faire du porte-à-porte pour s’expliquer et ainsi contredire le monde entier. « Personne, hormis mes frères et moi, n’a connu l’expérience de Michael Jackson en train de nous lire une comptine avant d’aller se coucher. »
Paris Jackson condamne le Dr. Conrad Murray – qui a été accusé d’homicide involontaire pour la mort de son père – concernant la dépendance que Jackson avait développée envers des anesthésiants qui l’ont conduit à la mort. Mais elle a des soupçons encore plus sombres concernant la mort de son père. « Il laissait planer des rumeurs concernant des gens qui étaient à sa poursuite. Et à un moment donné, il disait même ‘’Ils vont me tuer un jour.’’ » (Lisa Marie Presley a donné la même version des faits à Oprah Winfrey).
Paris est convaincue que son père a été assassiné. « Parce que c’est évident. Tout laisse à penser ça. Ça a l’air d’être une théorie du complot, et on dirait que je raconte des conneries, mais tous les vrais fans et toutes les personnes de ma famille le savent. C’était organisé. »
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Un cliché de Paris Jackson "au poil" fait scandale !
Récemment apparue dans la saison 2 de Star diffusée sur la chaîne Fox, Paris Jackson enchaîne les projets de mannequinat, cinématographiques mais aussi télévisuels. En effet, cette dernière espère bien s’imposer dans ses secteurs par son talent et non pour son nom de famille qui lui garantit déjà une exposition maximale dans la presse internationale.Très simple au quotidien, la jeune femme s’assume comme elle est sur les réseaux sociaux. Car si la pilosité des femmes est encore un tabou pour certaines personnes, de son côté Paris assume totalement ses poils et n’hésite pas à les exposer. D’ailleurs, c’est ce qu’elle a fait aujourd’hui son sur compte Instagram officiel en postant un cliché de ses jambes.Une photo qui a suscité de nombreuses réactions sur la Twittosphère entre ceux qui pensent la femme doit s’accepter comme elle est et ceux qui ne comprennent pas trouvant cela "négligée" et "gênant". Et vous, quel est votre avis sur la question ? On attend vos réactions dans les commentaires. à voir : Photos : Paris Jackson : Elle s’affiche topless et dévoile un immense tatouage sur sa poitrine ! Une publication partagée par Paris-Michael K. Jackalope (@parisjackson) le 26 Oct. 2017 à 17h12 PDT Public.fr vous invite à découvrir la vidéo ci-dessous : à voir : Public Buzz : les débuts de Paris Jackson dans "Star" sont... langoureux ! AB... Retrouvez cet article sur Public
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