#Mais déjà passer de + de 30° à - de 25° ça va faire du bien
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neiyuu · 3 months ago
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Plus qu'une semaine et je retrouve les crêpes et les galettes, le cidre et le caramel, les crevettes et le sable.
Mais aussi la famille et les emmerdes.
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kenovele · 1 year ago
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Bog’s blog 25
Salut la compagnie, 

Je vais remonter un peu plus loin que le début de la semaine parce qu’on a passé pas mal de temps à se croiser avec Kate donc je suis certain que mon point de vue sur ces deux dernières semaines est pertinent. 

Donc, lundi 1er  et mardi 2ième de mai, j’avais des petits boulots à la tiny. Je pense avoir installé le gaz, construit la seconde terrasse en bois devant la tiny, mis une deuxième couche de solvant pour préparer pour l’époxy et d’autres brols dans le genre. On était censé commencer une boulot de construction avec Jamie mais il s’était pas bien organisé. ça a ainsi été repoussé à mercredi.  Mardi, il allait chez le tatoueur toute la journée pour avoir son bras et son pectoral gauche recouvert par un dragon style japonais. Il a fait l’esquisse et il doit retourner la semaine prochaine pour faire les ombres. Il a un peu d’infection, j’espère que ça ne repoussera pas son départ parce que c’est une des choses qu’il doit finir avant de partir. Son tatouage est vraiment chouette. Au total ça va lui couter 1000 euro. Ça fait un peu mal aux fesses si tu ne considères pas ça comme une priorité mais il semble en tirer pas mal de plaisir donc pourquoi pas. 

Mercredi on a enclenché la seconde vitesse après un départ raté début de semaine et on est allé en ville faire notre boulot avec Jamie. On a littéralement mit le seconde pour tout le trajet sur l’autoroute. Le trafic à Auckland le matin est constamment exécrable. On a fait un arrêt chez le « métal man » (ou marchant de vieux fer) où on a échangé une demi tonne de vieille ferraille contre 30$. On a également du faire deux magasins de matériaux pour obtenir le nécessaire à notre travail. Pourtant Jamie avait appelé la veille pour s’assurer que tout y était mais il est tombé sur une employée médiocre au téléphone. On a directement reconnu sa voix monocorde le lendemain quand on l’a vue. En la voyant j’ai eu un indice sur la raison pour laquelle elle ne s’était pas déplacée pour vérifier si il y avait du stock. Heureusement, le deuxième magasin on est tombée sur une dame charmante qui nous a donné à chacun un thermo et un t-shirt pour se faire pardonner. Je pense qu’elle a surtout vu en nous deux un potentiel de partenariat (et donc de profit) immense. C’est donc à midi (même si on avait démarré à 7h30) que l’équipe de Floyd’s construction LTD est finalement arrivé sur site. Le chantier se trouvait être en face d’un magasin de matériaux. Jamie le savait parce qu’il s’était rendu sur place la semaine d’avant mais avait apparemment momentanément effacé cette info de sa mémoire. Avant de le traiter de jeune entrepreneur inexpérimenté, n’oublions pas que grâce à lui on a reçu des trucs gratuits. J’ai d’ailleurs utilisé mon thermo pas plus tard que ce matin. Le t-shirt que j’ai reçu a été utilisé le jour même parce que j’étais dégoulinant de sueur après avoir monté 50 planches de 3m dans une cage d’escalier en colimaçon.
Mais avant toutes ces péripéties, le début du travail a dû être repousser encore un peu car Il était déjà l’heure de la première pause. On s’est acheté des tartes steak-fromage et viande hachée fromage (deux chacun). Certain aurait pu argumenté qu’il était également déjà l’heure de la première sieste après ce repas bien costaud mais surtout pas moi. J’étais bien décidé à flex mes muscles et impressionner mon boss. La première technique qu’on a adopté pour monter le bois au troisième étage était de le faire passer à la vertical dans la cage d’escalier. Jamie me passait le bois au premier puis il courrait dans les escalier pour le réceptionner au second pendant que je hissais rapidement en serrant en pince successivement ma main droite puis la gauche. La première tentative d’ascension, j’étais concentré sur le fait d’éviter les lampes et tout obstacle au-dessus de ma tête. Je suis arrivé à court de planche sans m’en rendre compte. J’ai attrapé le vide avec ma main droite pendant que ma main gauche serrait 3x3m de planches à la vertical. J’ai poussé un petit gémissement de surprise, serré très fort mes abdos et mes fesses et rattrapé le tout. Après avoir monté la moitié du pack, on commençait à avoir les avant-bras explosés. Si je n’étais pas un grimpeur, habitué à constamment faire confiance en mes avant-bras et endurant dans le domaine, j’aurais vraiment eu les boules donc chapeau à Jamie. Il a également pousser un gémissement quand les planches ont voulues se réhorizontaliser entre deux étages. Après suffisamment d’expérience presque traumatisante, on a décidé de simplement monter les escaliers avec deux planches chacun. On a mis en jeu une boite de bière pour celui qui faisait le moins de « BONG » dans l’escalier et l’appart. Il m’a battu à plat de couture. 7 touches contre 13 je pense.
Mercredi a été uniquement consacré à la préparation/démolition. Je vous donne un peu de background sur le job: 
 On refaisait une terrasse en bois pour un client tétraplégique dont la copine est une amie de la famille d’une ex de Jamie. La mutuelle lui a payé l’aménagement/adaptation de son appart pour qu’il soit vivable. La terrasse en pavé se trouve 20 cm en contrebas de la porte. Il en a donc fait construire une en bois sur des plots en plastique pour qu’elle soit à niveau. Le gars qui a fait le job pendant qu’il était à l’hôpital a fait un boulot médiocre (mais fonctionnel). On était donc là pour démolir et remplacer le bois pour rendre la chose plus présentable. On a souffert d’une météo particulièrement exécrable. Le kwila qu’on utilisait est recouvert d’un liquide brun qui rend le métal noir et tache absolument tout quand il est mouillé. J’ai également découvert les plaisirs de travailler dans un espace restreint en ville chez quelqu’un. Par exemple, la gestion des copeaux de bois/poussière devient un problème. On a amené que le strict nécessaire donc tout se faisait à même le sol toute la journée et notre dos rouspétait pas mal à la fin de la journée. Heureusement on est allé quelques fois chez Jojo et Nico après le travail pour attendre attendre que le traffic s’améliore et ils ont une chaise de massage. Un vrai plaisir. 
Après 4 jours de ronchonnage avec le sourire, on était plutôt content du résultat. On a fêté la fin du chantier avec une* bière lundi soir chez Jo et Nico. Kate était à Te aroha pour le travail avec sa maman et Mark était à la maison avec Sparrow. Le weekend avait été 100% consacré à l’époxy et sa préparation comme Kate l’a expliqué dans le blog de la semaine précédente.

Mardi, mercredi, j’ai passé donc 2x6heures avec la ponceuse dans les mains à bosser pour m’assurer que ce projet de plan de travail couteux en temps et matériaux soit finit avec minutie. On adore le résultat final. Ça donne un look vraiment unique à la maison. Il y a beaucoup de bois exposé et pas mal de paternes dans la tiny mais jusqu’à maintenant on pense que c’est réussi. Le vrai test sera quand on emménagera. Mais maintenant qu’on a une bonne compréhension de ce qui constitue notre maison, on peut facilement adapter les choses qui ont été mal conceptualisée. 

Jeudi et vendredi ont été des jours un peu frustrant. Jeudi ça n’avançait pas assez vite à mon goût quand j’installais l’évier et la cuisinière à gaz. Vendredi j’ai entrepris de faire des gaufres pour me préparer pour la fête des mères où j’avais proposer de faire des gaufres des Liège pour le déjeuner. Mais j’ai raté ma première tentative ça m’a mis de mauvaise humeur. Je déteste gaspiller de la nourriture. J’ai passé la fin d’aprem et la soirée à l’atelier de Jamie a enlever des clous de planches de bois. C’était une chouette activité pour sortir l’excès d’énergie. Je ne sais pas si je vous ai dit mais on a récupéré plein de palettes du travail de Mark. Je me suis atteler à la fastidieuse tâche de les mettre en morceaux pour pouvoir facilement stocker les composants dont on a pas besoin. Les planches qui en sortent sont absolument recouvertes de clous. Une fois nue, On en a notamment utilisé ce weekend pour faire une protection contre les moutons tout autour de la terrasse. Un peu comme on a fait autour de la maison. ça donne très bien. Il y a une autre tâche que je fais le soir. J’essaie d’émietter des morceaux de polystyrène qu’on reçoit dans les emballages de nos achats pour qu’il puisse servir comme remplissage pour le Fatboy. C’est une tâche titanesque. Ça prend des plombes donc il faut que je fasse un peu chaque jour. J’ai une petite boite dans le salon avec un blog de polystyrène dessus toujours prêt à être concassé. Je vous donnerais des nouvelles de l’avancement. A dans 6 mois .... 

Samedi soir Jamie faisait sa grosse soirée avant son départ. Une grosse vingtaine de personne étaient de la partie. On a bu, dancé, fait visiter la tiny et surtout bien rigolé. Lauren Wilcox était là (ma dernière sœur d’accueil). On est tous secrètement un peu amoureux d’elle (aussi bien les belges qui l’ont vu passé à Liège il y a quelques années que les Robinson). J’ai déjà parlée d’elle dans un blog précédent donc je vais abréger. Il s’avère qu’elle a un copain (on l’a pas encore révélé à Jamie). Mais il habite à 2h de route donc on a un peu parlé de l’amour longue distance. C’était chouette d’être un peu social pour une soirée. Notre vie sociale se résume à la famille et Cathy en ce moment donc c’était rafraichissant de voir de nouvelles têtes. 

Dimanche c’était la fête des mères. Joyeuse fête maman, Mumu et Nanie!! (plus les autres qui me lisent). J’ai donc fait des gaufres et elles étaient autrement plus réussies que celles de vendredi. J’étais vraiment satisfait du résultat, ce qui arrive rarement avec mes gaufres. Même quand je les faisais en Belgique, j’étais fort critique. Mais là, c’était un beau niveau. Sally a même dit qu’elle voudrait bien ça chaque dimanche matin. Kate les a garnies avec du, bacon du sirop d’érable et des mûres ce qui était divin. On avait également acheté 150 sticks de chocolat Garnier pour l’occasion. On s’est fait une gaufre fourrée comme dessert ce qui a également rencontré un franc succès. Je pense vraiment que je vais essayer d’aller faire des gaufres sur le marcher le samedi matin à Pukekohe. Si je suis consistant dans la qualité que j’ai pu délivrer dimanche, je suis convaincu qu’elles partiront comme des petits pains. J’ai calculé que ça coûtait 70 cent de NZ$/gaufre. Si je vends une gaufre 5NZ$ et au chocolat entre 6$ et 7$. En quelques gaufres ça serait rentable d’être là. Ce qui est un peu plus chiant, c’est de passer son samedi matin à faire ça ! 


Bref, je pense avoir bien assez parlé pour cette semaine. Si vous avez lu jusqu’au bout vous pouvez vous faire une petite tape sur l’épaule de ma part. Vous l’avez mérité parce que après tout, vous vivez au 21ième siècle où la capacité attentionnelle est de l’ordre de la seconde. N’ayez crainte, je vais vous mettre des photos en description pour assouvir vos pulsions scrollatrice. 


Hasta la vista amigos. *une = plusieurs
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1. Comment appelle-t-on un chat qui est tombé dans un pot de peinture le jour de Noël ? Un chat-peint de Noël (sapin de Noël). 2. Que dit un sapin de Noël qui arrive en retard le soir du réveillon ? Je vais encore me faire enguirlander. 3. Qu’est-ce qui a 34 jambes, 9 têtes et 2 bras ? Le père Noël et ses rennes. 4. Quel est le gâteau le plus dur au monde ? La bûche de Noël. 5. Savez-vous pourquoi le père Noël rit tout le temps ? Parce que ce n’est pas lui qui achète les cadeaux. 6. Comment fait-on entrer deux pères Noël dans un réfrigérateur ? Ce n’est pas possible, il n’existe qu’un seul père Noël. 7. Le papa de Jérôme lui demande ce qu’il a demandé au père Noël. Jérôme lui répond : "Je lui ai demandé qu’il vienne plus souvent." 8. Quel spectacle les écureuils vont-ils voir à Noël ? Casse-Noisette. 9. Que dit un hibou à sa femme le jour de l’An ? Je te chouette (souhaite) une bonne année ! 10. Pourquoi le père Noël porte-t-il des bretelles rouges ? Pour tenir son pantalon. 11. Un sapin dit à un autre sapin : "Moi, Noël, ça me fout les boules !" 12. Certains Français sont chauvins. Moi, je suis plutôt vin chaud. 13. Cher père Noël, J'ai été sage toute l'année. Euh, la plupart du temps... Oui, bon, juste de temps en temps... OK, laisse tomber ! Je vais m'acheter moi-même mes cadeaux ! 14. Le jour de Noël, le père Noël descend par la cheminée de la maison de la famille Dupont et se retrouve devant la famille réunie. Le père Noël demande : "Alors, qui d'entre vous a bien obéi à maman ?" Tous les enfants répondent en cœur : "PAPA !" 15. Comment appelle-t-on un vieux bonhomme de neige ? Une flaque 16. Qu'est-ce que ressent Santa Claus lorsqu'il reste coincé dans la cheminée ? De la claus-trophobie. 17. Cher père Noël, cette année, je voudrais un compte en banque bien dodu et un corps très svelte. PS : Merci de ne pas confondre les deux comme l'An passé. 18. Dans la cour d’école, deux amis discutent : ‑ Que donnes-tu à tes parents pour Noël ? ‑ Une liste de tout ce que je veux ! 19. À la cour, le juge demande à l’accusé : ‑ Quels sont les faits qui vous sont reprochés ? ‑ D’avoir fait mes achats de Noël trop tôt. ‑ Mais ce n’est pas un crime ! Et comment ça, trop tôt ? ‑ Bien, avant l’ouverture des magasins... 20. Deux fous s’en vont dans le bois pour chercher un sapin de Noël. Après deux heures de recherche, l’un des deux dit : - C’est assez ! Le prochain sapin qu’on voit, qu’il ait des boules ou pas, on le prend ! 21. Le soir du réveillon, c’est la fête à la fromagerie. L’animateur se lève et crie : - Allez les amis, faites du "brie" ! 22. Une petite fantôme raconte à ses parents qu’elle a déjà envoyé sa lettre au père Noël. - Ah bon ! Et que lui as-tu demandé ? - Une maison de poupée hantée. 23. Tu connais la blague de Noël ? Elle sent le sapin. 24. Tu connais la blague de Noël ? C’est une histoire de dinde. 25. Tu connais la blague de Noël qui fait peur ? Attention tu vas avoir les boules. 26. Quelle est la ville préférée des animaux du Père Noël ? Rennes. 27. Avec qui il est interdit de passer Noël ? Avec ta classe. Car Noël, c’est Santa classe. 28. Quelle est la différence entre un sapin et toi ? Le sapin c’est un conifère et toi t’es con mais on peut rien y faire. 29. Monsieur et Madame Rlande ont un fils, comment s'appelle t-il ? Gui. 30. Monsieur et Monsieur D'hiver, qui s'en va sifflant soufflant dans les grands sapins verts ont deux fils, comment s'appellent-ils ? Yves et Ivan.
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Découvrez l'astuce ici : https://www.comment-economiser.fr/blagues-de-noel.html
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claudehenrion · 4 years ago
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Assez de mensonges !
 Le Chef l'a dit : Le 15 mai, on arrête progressivement toutes les mesures dites de précaution (sic !) Petit problème : on nous raconte que la situation “pourrait montrer des signes d'amélioration” (?), et en même temps “n'a jamais été aussi grave” : un nouveau pic est attendu, et des nouveaux “mutants” migrent, vaccination ou pas… Devant ce “tout, et son contraire” sans tête ni cap, la France est “paumée” : 6000 malades en ‘’réa’’, 30 000 hospitalisés, “la 3e vague est loin d'être terminée”, mais (dixit Castex) “un certain nombre d’évolutions favorables (?) sont constatées”. Où voit-il ça ? Vous avez cru entendre ‘’le 15 mai’’ ? Mais les grandes manœuvres pour retarder, régionaliser, étaler, normaliser… ont déjà commencé ! Et pas qu’un peu…
Entre deux fausses confidences mezza voce, un des patrons de Pfizer –qui annonce >15 milliards de $ sur le seul vaccin anti-covid’’– a “laissé fuiter”, vendredi, qu'une “3 ème dose sera probablement nécessaire dans les 6 à 12 mois, et même un rappel chaque année, à cause des variants” ! L'Europe, toujours gourmande d'une connerie à faire, a aussitôt commandé 2 milliards de doses, c’est-à-dire 4 ou 5 injections par personne, ce qui devrait rassurer les paniquards… et les victimes du nouveau snobisme des bobos (“Ouf ! Je suis vacciné… Et vous ?”). Seul “hic” : Pfizer a profité de sa situation de quasi-monopole pour augmenter de 25% le prix des vaccins vendus à l'UE (19,50€ vs 15). The winner takes it all, chante joliment la lumineuse Carla Bruni. Et nous… on pleure. Moralité : Big pharma = big business
Une bonne nouvelle, dans cette grisaille : ce 25 Avril 2021, le Haut Conseil de la Santé Publique (avec des majuscules partout) a proposé –tenez-vous bien !– “d'abandonner le port du maque en milieu intérieur fermé pour les personnes ayant reçu leurs deux doses de vaccin, uniquement dans un cadre privé ou familial, et lorsque toutes les personnes présentes ont bénéficié d'un schéma vaccinal complet dans la limite des regroupements autorisés et le respect des tous les gestes-barrière : hygiène des mains, aération, distanciation”. (NDLR : pourquoi faire simple quand on a la chance de pouvoir faire compliqué ?)... Chaque mot est à souligner, à surligner, et… à ranger dans un “bêtisier” ! On rouvrirait tout le 15 mai’’ alors que les hôpitaux sont archi-pleins, puisque le vaccin serait l'alpha et l'oméga de notre guérison collective immédiate ? Allons donc ! L’Exécutif en est réduit à prétendre qu’il organise un ‘’déconfinement confiné’’ qui lui a déjà échappé.
Pire encore : ‘Elysée et les médias nous “bassinent” avec la commémoration (une de plus) des “100 000 morts attribués au Covid-19”, ce qui est à la fois de très mauvais goût (que vont penser les “autres” morts, bien plus nombreux ?), déplacé (ce nombre est un désaveu) et hors-saison (le coronavirus court toujours). On comprendrait qu'on commémore un nombre de décès plus faible qu'ailleurs… mais quand le nombre de morts (150 pour 100 000) rejoint celui de Bolsonaro et de Trump en son temps (dont “on” s'est tant moqué) et est supérieur à celui des pays qui n'ont ni confiné ni paralysé leur économie… cette  tragédie devient une farce.
Ce chiffre de 100 000 morts, devenu le chiffre officiel, est d'ailleurs très “forcé” par rapport à la surmortalité réelle. Déjà en 2020,  les 65 000 morts officiellement attribués au covid étaient très exagérés : l’INED et l’INSEE évaluent ces décès entre 38 000 et 42 000et l'IRSAN, Institut de recheche sur la santé, ramène ce chiffre à 23 000, ce qui est assez pour ne pas prendre le covid à la légère, mais ne justifie pas le délire liberticide dont l’efficacité est in-démontrée… et va le rester.
Certes, la tentation est grande pour un Pouvoir “qui a toujours tout juste” (?) de mettre les chiffres au service de l'histoire telle qu'il veut la réécrire : “Je ne crois aux statistiques que si je les ai moi-même falsifiées” disait Churchill…Compte tenu du nombre de sources et de critères retenus, l'exploitation de statistiques permet d'égarer qui on a envie de perdre.Mais tout de même… de là à ce que la France se retrouve 42 ème sur 53, (entre Bangladesh et Irak, Philippines ou Pérou) par le baromètre Bloomberg Businessweek sur la qualité de la vie en fonction des mesures de restriction de l’activité et des libertés, c'est raide, comparé aux concerts de cocorico de nos stars ès-échecs triomphants, toujours contents d’eux-mêmes !  
Depuis plus d’un an, le covid-19, comme une obsession, occupe tout l'espace. A partir de mars 2020, le sinistre Jérôme Salomon, directeur général de la Santé (quel titre idiot ! Il lui va comme un gant !), a égrené chaque soir des nombres dits “morts par Covid-19”, ce glas quotidien (avec des “pics” le lundi, pour “rattraper” le week-end) créant un affolement général. Et fin 2020, Santé publique France a estimé le nombre de morts par covid à 65 000, extrapolé à 68 000 par les décès à domicile (soit : un mort pour mille habitants), alors qu'Il y a eu en France 654 000 décès (soit 55 000 de plus qu'en 2019), dont 13 000 en 2020, d’après l'INED, sont attribuables au vieillissement de la population, ce qui ramène à 42 000 le “plus” .
Entre les 68 000 morts indémontrés attribués au covid et les 42 000 morts dénombrés par l’INED, la différence est énorme : 40 % ! En outre, il n'y a eu que 2 550 morts sur la route (vs. 3 240 en 2019 , soit –694), et pratiquement zéro mort par la grippe saisonnière… Mais surtout, les décès dus à une autre cause (diabète, maladies cardio-vasculaires, cancers, , etc…) ont été attribués au covid : “il fallait frapper les esprits”…sauf que Laurent Toubiana (qui est physicien, biostatisticien et chercheur à l’INSERM et directeur de I'IRSAN) a démontré dans une étude récente ('L'épidémie a eu un impact très faible sur la mortalité en France’’) que l'impact réel du covid serait de 23 000 décès, et que “le gros” de l’écart entre ce chiffres et les 68 000 morts officiels provient de l’attribution au seul Covid-19 de morts par comorbidités. Est-ce par système ? Mais on est très loin des 100 000 morts !
L'affaire pourrait être conclue, si on pouvait ne pas évoquer les conséquences démographiques  sanitaires (opérations et soins différés) et économiques qu'ont entraînées les mauvaises décisions et leur mauvaise mise en œuvre (par exemple, les premiers paiements prévus pour la France –10 Mds€ sur 40– n’arriveront qu’en septembre, alors que les US ont déjà dépensé 1 900 Md$ pour leur relance et ont embrayé sur 2 000 Mds$ supplémentaires. Le vrai retard, il est où, dû à quoi ?
Autre exemple : le confinement total (12 mars/10 mai 2020) puis des mesures à peine moins moins pesantes ont eu un effet immédiat sur les naissances : 155 900 de décembre à février…  contre 172 399 en 2019, une chute effrayante de 10 % qui, si elle se poursuit, pourrait “perdre” 60 000 naissances en 2021. C’est une catastrophe : le solde naturel de la population française, dans les 62 000 par an en moyenne… pourrait être négatif en 2021 par la tendance lourde à la baisse,  aggravée par la folie “sanitaire”), et par les “baby-boomers” nés entre 1945 et 1960 (rien à voir avec le covid). Un drame, dans le “Grand Remplacement” en cours.
Mais le “Rapport sur le budget de l’Etat” de la Cour des comptes ajoute à tous ces mensonges que le Covid a servi de “open-bar” (sic !) à l’administration… qui a laissé filer sans vergogne des dépenses sans rapport avec le virus : si la crise du Covid a coûté cher, les fautes de l’Etat ont coûté bien plus cher… Ce qui serait beau (mais c'est un rêve), ce serait que la décision politique de tout rouvrir soi-disant progressivement (lundi pour l'un et mardi pour l'autre, nos ponctionnaires ne peuvent se passer de leurs normes absurdes !) soit induite par la prise de conscience qu'on est en train de crever de cette folie dépensière. Mais bon…
Avec 23 000 morts de plus que les morts “attendus”, le Covid-19 n’est pas une grippette mais  n’est ni une “grande peste”, ni le “serial killer” dont parle –pour des raisons que la raison n'arrive pas à connaître– la “propaganda” de la nouvelle religion “écolo-sanitariste” qui n'est ni l'un ni l'autre (mais qui est, en revanche, fausse, laide, triste, liberticide et qui ne peut déboucher que sur des catastrophes). Quant au besoin de commémorer, qu'ont en commun Hollande et Macron (encore une chose)… économisons donc les larmes de crocodile : (a)- il n'y a pas 100 000 morts-du-covid plus qu'il n'y a eu “75 000 fusillés au parti communiste” pendant la guerre, et (b)- le besoin pathologique du Président de “déconstruire l'Histoire de France” (déclaration à CBS-News), va bientôt mettre le pays au bord de la guerre civile, sinon en plein dedans, malgré les dénis de Florence Parly et de Jean-Luc Méchancon. Et là, on aura un vrai  besoin de marches blanches commémoratives !
H-Cl.
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ts2-uglacy · 5 years ago
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Semaine 21 : Les mascottes se trouvent toujours là où il faut.
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Malgré la mort de sa mère et le remariage de son père, Becky n’a pas perdu de vue ce qui fait l’essence même de qui elle est : une Don Juan au féminin. Elle a un nouvel objectif en tête : avoir des liaisons amoureuses avec 30 Simettes en simultané, et ça ne sera pas de la tarte ! Cette semaine nous dira si elle parvient à atteindre son objectif, tout en terminant son cursus universitaire puisque rappelons-le, elle débute-là sa dernière année.
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Becky commence la semaine avec un nouveau désir qui apportera du challenge : Embrasser langoureusement 20 Sims ! Ce qui signifie que Becky ne l’a pas fait comme préliminaire avant de coucher avec son tableau de chasse... Tout à fait elle, direct à l’essentiel.
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Sans transition, on invite Tara Bateau à la sororité puisqu’elle n’est toujours pas devenue un membre officiel (contrairement à Buffy). Espérons que lui faire passer un peu de temps ici mettra fin à sa période d’essai...
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Becky présente donc les deux nouvelles l’une à l’autre, puisque pour une raison obscure elles ne semblaient pas déjà se connaître... Il me semble qu’elles avaient dîné ensemble et tout mais bon, qu’importe, des fois le jeu a des réactions bien à lui.
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Alors qu’on a envoyé Tara faire le ménage et que Becky s’en allait en cours, une jeune punkette se balade et le radar de Becky ne fait qu’un tour !
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Elle sèche donc les cours pour parler à sa main...
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“Meuf, je sors d’un mariage là, c’était N’IM-POR-TE QUOI !”
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“Mais parlons plutôt de toi, poupée...”
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“Je parie que t’as pas peur des fantômes...”
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“... alors que moi, je crains chaque jour de tomber sur celui de ma mère ! T’imagines, maintenant elle peut TOUT VOIR et TOUT ENTENDRE, qu’est-ce qu’elle penserait de moi, hein ? Je te le demande !”
Vu la tête de la punkette, la conversation (ou plutôt, le monologue de Becky) ne semble pas l’intéresser.
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Pendant ce temps-là, la mascotte est toujours là où on ne l’attend pas.
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Ce qui n’empêche pas Ariel de se faire une nouvelle conquête !
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Et finalement... Tara devient membre de l’association !
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Céleste, quant à elle, voit ses notes chuter...
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Apparemment, ça ne lui plaît pas et elle vise l’excellence pour son prochain semestre !
Très bien, Céleste, on va te faire travailler d’arrache-pied quitte à ne plus trop être présente dans les activités loufoques de la sororité.
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3h du matin, Becky prépare une dinde.
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Mais elle ne perd pas ses bonnes habitudes et dès le matin, elle va interpeler une Simette qui passe par là !
“Bonjour, chère inconnue, laisse-moi te dire que mon cœur fond rien qu’à te voir...”
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“Oh ! Mon Dieu, c’est à moi qu’elle parle !”
Becky fait encore des ravages...
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“Je te connais, Becky, et tu sais ce que j’ai remarqué ? On boit la même marque de soda !”
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Et bordel cette blague sur les œufs au plat commence à tourner en rond.
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“Tu sais que j’aime menotter mes conquêtes, pas vrai ?”
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“Euhhh, je ne suis pas sûre d’en avoir vraiment envie...”
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“Les nouvelles expériences ne t’attirent pas ? Allons...”
*frôle le bras de son interlocutrice*
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On dirait que cette jeune femme est finalement convaincue...
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... et charmée !
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Alors ça c’est le genre de truc pour lequel faudrait que j’arrive à faire un gif... la démarche ! Becky marche en croisant les jambes, ce qui lui fait un déhanché du tonnerre et des petites fesses qui roulent ostensiblement. Personne ne marche comme ça, je veux dire, faut avoir un équilibre hors normes !
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Becky croise une ancienne conquête et... se jette dessus.
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De son côté, Ariel termine un semestre et se voit intégrer une spécialisation... je croyais pourtant lui en avoir donné une, mais je dois me tromper.
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“Hé ! tu serais pas la meuf qui menotte les autres meufs qu’elle met dans son lit ?”
La réputation de Becky la précède...
Bon, pour le moment, c’est un peu le bazar. Organisons-nous cinq minutes pour parvenir à réaliser les désirs de notre monstresse.
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Si j’en crois le détail de ce désir, il suffit que l’indicateur global soit au dessus de 70. Néanmoins, ça ne nous dit pas s’il il suffit d’être “entiché” (cœur rose), ou si il faut aller jusqu’à “amour” (cœur rouge).
Puisque le dessin nous montre un cœur rouge, je pense donc que c’est ce qu’il nous faut, ce qui réduit considérablement les cibles potentielles, puisque certaines sont adolescentes et donc qu’on ne pourra plus, à moins de les faire vieillir, aller au delà de ce qui existe déjà (puisque les interactions ado-adultes sont bloquées, ce qui est une bonne chose).
Comptons donc les cibles déjà atteintes, et voyons avec qui nous pouvons aller au delà de l’entichement.
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On a donc 15 amours et 25 entichements.
Parmi les 25 entichements sans amour, nous n’en avons que 3 qui sont adultes. Ce qui signifie qu’on peut facilement arriver à 18.
Or, on a un objectif de 30. On est donc loin du compte.
Ce qu’on va d’abord essayer de faire, c’est de s’enticher de 5 nouvelles cibles, afin d’arriver à 30 entichements et ainsi voir si ça suffit à réaliser le désir. Si ça ne suffit pas, on continuera. Peut-être qu’on fera vieillir les ados pour se faciliter la tâche, aussi.
Et ben sûr, on va essayer de rouler des pelles langoureuses à chacune d’elles, pour atteindre l’autre désir.
C’est parti !
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Alors que Becky parlait avec une blonde, j’ai réalisé qu’il faisait vraiment sombre devant la propriété, alors j’ai dépensé presque tout l’argent de l’association pour acheter des lampadaires et des petites lampes murales, puis pour paver l’entrée. J’ai également posé du terreau qui permettra plus tard de faire pousser des plantes décoratives afin de rendre la devanture de cette sororité plus attrayante !
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Et pendant ce temps, Buffy voudrait se lier d’amitié avec Tara. Bien ! Appelons-la alors, puisqu’elle ne vit pas encore ici.
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C’est un refus en bonne et due forme...
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Becky, elle, continue de discuter avec cette blonde qui semble aimer parler de la vie sur le campus.
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“Je vais te dire un secret pour bien t’en sortir ici...”
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“Évite le look gothique....”
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“La dernière fois que ma cinglée de sœur en a croisé une...”
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“... ça s’est assez mal terminé !”
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“Elle a essayé de lui mettre un coup de pied, comme ça !”
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“Waouh ! quel condition physique !”
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“Je te retourne le compliment : tu as bien esquivé mon pied !”
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Becky se rapproche alors, lèvres en avant...
“Non non non, désolée mais je ne suis pas intéressée !”
Et zut, une de moins pour notre objectif ! Faut dire aussi que je suis super surprise par le nombre de lesbiennes (ou a minima, bisexuelles), il fallait bien qu’il y en ait au moins une qui ne le soit pas du tout !
Becky se décide donc à inviter Tara, pour aider Buffy a atteindre son but en devenant son amie, mais aussi pour espérer en faire une relation amoureuse...
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En bonne hôtesse, Becky salue d’abord l’amie de Tara (c’est toujours une connaissance de gagnée en espérant en faire une amante par la suite !)...
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Puis salue son amie, pour laquelle elle craque !
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Les jeunes femmes discutent devant la maison alors qu’Ariel revient du campus avec un sac. Je me demande ce que ça peut être...
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Une autre voiture téléguidée. C’est la troisième, ça commence à suffire, là !
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Becky, elle, y va doucement en proposant un petit massage à Tara.
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“Je sens que tu es anxieuse, il y a une petite boule là. Attends, laisse-moi la défaire...”
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Et les sentiments arrivent ! Hourra !
On a donc 16 amours et 26 entichements.
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On n’oublie surtout pas le baiser langoureux et...
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Tadaaam ! Tara emménage et ramène ses économies avec elle !
On va pouvoir retaper la maison, maintenant. On va commencer par les arbres et les plantes pour donner un air moins misérable au bâtiment vu de l’extérieur, puis on verra pour le reste. Sans oublier de meubler une chambre pour notre nouvelle sœur !
*travaille un peu sur l’extérieur*
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Tadaaaa ! 20000$ de bien dépensés pour donner des airs de luxe à cette sororité !
20000$, ça fait un peu mal aux fesses, surtout que ce qui a coûté le plus cher ce n’est pas vraiment les plantes et les arbres, mais bien les petites clôtures en céramique pour les délimiter. Ce truc coûte une fortune ! Mais c’est fait, et j’aime le résultat ! Finalement, il doit rester dans les 4500$ pour meubler l’intérieur, alors on va s’en servir pour décorer un peu. Genre mettre des rideaux dans les chambres et les salles de bain.
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Alors que Tara et Buffy discutent pour faire connaissance, Becky décide de préparer un repas afin de rassembler tout le monde à table.
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Et merde. Direction l’épicerie, alors !
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Becky remplit donc son panier de trucs surgelés et passe à la caisse...
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... lorsqu’elle remarque une jolie étudiante qui passe par là.
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“Hey, salut ! Mon nom est Becky...”
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“... je voulais te dire que j’adore tes chaussures !”
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“Mouais... je connais ta réputation et je suis un peu déçue de ton approche, surtout que je ne porte que de vulgaires ballerines, hein.”
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Pendant ce temps-là, laissez-moi vous présenter ce bel étalon (enfin,, “bel”... je ne le trouve pas très beau mais... je l’adore !). C’est un de mes Sims jouables préférés, fils de la fleuriste du Village Rivazur, et une petite voix dans ma tête me signale qu’il a des chances de faire partie de la vie de Becky un de ces jours... mais pas tout de suite. L’heure n’a pas encore sonné.
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Tiens ! Aline est par ici !
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Mais elle part aux toilettes avant que Becky ne parvienne à l’atteindre, alors cette dernière la suit et croise une Simette qui lui tape dans l’œil ! Je garde ça pour plus tard...
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Becky essaie donc une première approche pas trop brusque en lui racontant un secret près des toilettes, parce-que c’est le meilleur endroit pour ça.
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Allez Becky, bientôt, elle sera à toi, fonce !
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Des mains se tiennent et...
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Hourra ! Des sentiments !
On a donc 17 amours et 27 entichements.
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On n’oublie bien-sûr pas le baiser langoureux.
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Becky s’apprêtait à partir lorsque je remarque qu’une Simette avec qui elle est amie se trouve sur le terrain. Une amitié est généralement facile à transformer en amour, alors Becky va tenter sa chance !
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“Waouh ! tu te souviens de moi ? Je suis flattée !”
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“Bien-sûr que je me souviens de toi, poupée...”
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“Quoi ? Mais dégage ! J’suis pas intéressée, espèce de folle !”
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Toute la déception du monde se lit sur son visage...
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Rapidement, une bagarre éclate, et juste pour l’anecdote : l’étudiante qui se bat avec ce mec, là, n’est rien de moins que la sœur de Buffy !
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De retour à la maison, on constate que l’amie de Tara traine toute seule, comme une âme en peine, au milieu du couloir... On décide donc daller la voir pour apprendre à la connaître !
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Trop tard.
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Ces trois voitures me gavent, j’en vends donc une pour renflouer les caisses surtout qu’après avoir fait les courses, il nous reste... 77$. Ouch.
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Que, quoi ?
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Ah ouiiiii ! le Laganaphyllis Simnovorii (ouais je fais genre je sais l’écrire). C’est la plante vache qui mange les gens. Moi qui croyais qu’elle voulait que Camille meurt (peu importe comment), puis boire ses cendres dans un verre d’eau, ou un truc du genre... ahahah. J’étais pas bien loin !
Bah on n’a pas de plante vache alors ça ne va pas pouvoir se faire ! Et puis j’ai trop de scrupules pour tuer des Sims qui n’ont pas eu au moins un enfant déjà... Je déteste l’idée que des gènes puissent disparaître.
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Becky parvient donc à faire à manger pour tout le monde et cet instant-repas permet à Buffy et Tara de devenir amies !
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Les voilà même en train de partager une partie de jeu vidéo.
D’ailleurs, on n’a pas encore appris à connaître Tara...
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Comme la plupart des Sims, elle est carriériste.
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Comme très peu de Sims, elle maîtrise toutes les compétences.
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Et il lui restait deux points d’aspiration à dépenser. On remarque également que sa seconde aspiration est à la richesse. Désolée donc, Tara, de t’avoir fait perdre 25000$ pour une sororité qui ne sera pas ta propriété !
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Alors que je parcourais le panneau des relations de Becky, me vient l’idée saugrenue de tenter notre chance avec la méchante sorcière...
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Puis je réalise que les examens de Becky sont tout bientôt et qu’elle a une moyenne de zéro à force de sécher les cours !
On va donc voir ça un peu plus tard et se concentrer sur le travail à faire. Faudrait voir à pas rater son semestre...
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Becky s’installe donc sur le bureau de Céleste puisqu’une pizza s’y trouve, et commence ses révisions intensives.
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Et lorsque vient l’heure des cours, elle y va, cette fois ! Mais en pyjama, parce-que pourquoi pas ?
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Buffy, elle, travaille régulièrement et ça paye !
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Quant à Céleste, elle a de plus en plus de désirs liés à la connaissance, ce qui est bien puisque c’est censé être ce qui la définit. Ça change des désirs en relation avec Becky.
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Du côté d’Ariel, il lui manque quelques connaissance pour obtenir de bonnes notes, notamment en créativité. Mmmh... attendez... mais on n’a rien pour travailler la créativité !
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On achète donc un piano pour Ariel afin qu’elle travaille correctement.
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En rentrant de cours, Becky danse la polka en pyjama devant la maison.... et la mascotte tente de suivre ses pas !
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Et là... c’est la capture d’écran qui me fait réaliser combien j’ai bien fait de décorer la devanture avec tant de vert. Quand je vois mes Sims passer par là pour aller en cours ou en revenir, je me dis que ça doit être un chemin agréable à emprunter.
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Bravo, beauté !
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Le truc avec les vacances, c’est qu’il suffit qu’une seule famille en revienne avec de nouvelles coutumes apprises, pour que rapidement tout le quartier les apprenne ! Ici, Céleste a appris à se taper le torse pour saluer son interlocuteur, et elle ne s’en prive pas !
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Alors, j’ai un mod qui permet de reprogrammer pour le matin les examens qui, manque de chance, tombent normalement en pleine nuit... Ce qui est une bonne nouvelle pour nous puisque ça nous permet de gratter quelques heures supplémentaires pour réviser ! Youhou !
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Du côté de Tara, elle désire encore plus d’arbres sur le terrain ! Ce qui nous montre qu’elle a du être tout à fait consentante pour que son argent soit dépensé en verdure.
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Ariel revient encore du campus avec un nouveau truc...
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C’est une télé, cette fois ! On en a déjà une alors on va simplement la revendre et utiliser l’argent pour améliorer la maison.
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Quelques étagères, des bouquins et un peu de déco, et le coin salon commence à ressembler à un espace occupé...
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Et tout ce travail de dernière minute a porté ses fruits ! Becky réussit haut la main ses examens ! Hip hip hip ! Je suis si fière d’elle !
On va maintenant pouvoir essayer de séduire la méchante sorcière...
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Déjà, elle veut bien venir... c’est un bon point.
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Le retour de l’homme tout nu nous offre un peu de distraction en attendant l’arrivée de notre invitée !
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“Alors, on attendait bibi ?”
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Alors que Becky s’approche...
“Bah les pattes ! Je connais ta réputation et je sais ce que tu es en train de faire !”
“Faire ?”
“Tu essayes de me séduire !”
“Effectivement, mais...”
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“Effectivement ?”
Sarah, une ancienne conquête de Becky, passait par là...
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“Je ne suis donc pas la seule ?” s’étonne t-elle.
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Pour ne pas changer, Becky reçoit alors une bonne paire de claques !
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“Écoute, bébé...”
“Je ne suis plus ton bébé !”
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“Pourtant, j’ai acheté cette merveilleuse rose pour toi, bébé...”
“Pour moi ?”
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“Bien sûr ! Quand je disais qu’effectivement, je cherchais à la séduire, c’était totalement amical !”
“Oh, j’aimerais tellement te croire !”
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*hume le parfum de la fleur*
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“Allez, dis-moi que tout va bien entre nous...”
“Non ! C’est trop facile !”
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“Je vais avoir besoin de temps. En attendant, reste loin de moi !”
Ça devait arriver !
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Mais qu’importe ! Une rouquine à la peau noire passe par là alors que Sarah s’éloigne, et Becky la salue pour tâter le terrain.
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Pendant ce temps, la méchante sorcière a fait venir les cafards...
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Bon, maintenant, on voit bien que l’amour de Becky est toujours là, alors qu’on a bien vu sur les autre images que celui de Sarah avait été brisé. La question qui se pose est donc : est-ce qu’elle compte dans les liaisons ? Erf... aucun moyen de savoir...
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Alors que je cherche, dans le panneau des relations, une Simette avec qui il existe une amitié forte afin de tenter de transformer ça en amour, je trouve effectivement une cible que Becky s’empresse d’inviter à la maison.
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“Viens, je vais te faire un massage...”
“Euh non non non ! Non merci !”
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Déception. On lui dit donc au revoir et on cherche une autre cible tant qu’il n’est pas trop tard dans la soirée.
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En voilà une !
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Alors qu’on attend son arrivée, un homme vient saluer Becky tout en louchant sur son corps. Il sera bien évidemment ignoré ! Pas de sale mec ici !
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“Par contre, Becky, je ne veux rien d’ambiguë ou de romantique, je te préviens !”
“Quoi ? Mais tu viens à peine d’arriver et je n’ai encore rien fait ! Bon, d’accord. Passe une bonne soirée, salut !”
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Et si on essayait celle-ci ?
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Oui, bien-sûr, surtout si c’est une fille !
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Et un autre homme s’imagine avoir Becky...
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Nos deux invitées arrivent et Becky accueille glacialement l’amie de Samantha. C’est une réaction que je ne crois pas avoir encore vue...
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Ah oui ! D’accord ! Elles peuvent pas se piffrer en fait !
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Alors que Becky s’approche de sa cible, Céleste, elle, ramène une bonne nouvelle ! Et 1200$ de plus dans les fonds de la sororité !
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“Tu m’as l’air tendue... tourne-toi, je vais te masser...”
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“Euhhhh non.”
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“Vraiment, sans façon.”
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“Mais pourquoi tout le monde réagit comme toi, dernièrement ?”
“Meuf, sur le groupe Simsbook de l’université, on a un sujet qui parle des prédateurs sexuels du campus, et tu es en tête de classement... De plus en plus de monde est informé de ton comportement pourri alors attends-toi à attirer la méfiance des étudiantes !”
Tant pis pour toi Becky !
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Becky terminera la soirée à jouer au billard avec Buffy...
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... qui aurait d’ailleurs besoin d’une douche !
Bon, nouvelle journée, nouveaux essais ! Becky part à la bibliothèque en espérant faire de nouvelles rencontres à draguer plus tard.
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La première personne qu’elle croise est cette fille à la mâchoire étrange mais à l’air sympathique.
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“Tu sais que je suis la doyenne de la Sororité Becky Bucket ? Parce-que je SUIS Becky Bucket !”
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“Ah oui ! Je connais cette sororité ! Vous avez une réputation plutôt mitigée : plein d’amis, certes, mais toi...”
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“N’écoute pas ce que racontent les gens... viens plutôt nous voir, un de ces quatre, pour te faire un avis par toi-même !”
Voilà qui est un bon début !
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La conversation est coupée par une bagarre et Becky préfère ne pas insister après ça.
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Elle remarque qu’Emilie est là, et leur relation semble propice à la naissance de sentiments, alors Becky fonce la voir !
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Une salutation chaleureuse...
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... une main aux fesses et...
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... un rejet !
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“Mais qu’est-ce qui tourne pas rond chez toi ?!”
Décidément, Becky enchaine les échecs. Ça commence à devenir une habitude et elle n’aime pas trop ça.
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Becky abandonne la chasse ce jour-là, et puisqu’elle arrive à la fin de son dernier semestre, elle préfère se concentrer sur la rédaction d’une dissertation.
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Voilà qui est fait !
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Elle rentre finalement de la bibliothèque avec une pizza bien chaude !
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Ce que j’aime dans le fait de jouer une association, c’est un peu ça : plein de gens et plein d’animation. Ici, sept Sims qui vivent leur vie et une maison animée !
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Tellement animée que Céleste et Ariel font une étrange chorégraphie.
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Quoi qu’il en soit, Ariel a de bonnes notes...
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... et Tara aussi !
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Quant à Buffy et Becky.... elles remettent ça sous les yeux d’une mascotte.
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Ah, tiens, la punkette du début de semaine ! Leur relation s’est améliorée depuis, et en grandissant, elle pourrait donner naissance à davantage. Tentons ça !
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À peine arrivée, le courant entre les deux femmes passe à merveille !
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L’amour l’amour l’amour l’amour.
On a donc 18 amours et 28 entichements.
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Et un baiser langoureux de plus, un !
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Et alors que la punkette s’en va, Becky croise la route de Zoé, une ancienne conquête avec laquelle elle est entichée. Elle en profite pour l’attraper au passage et l’embrasser langoureusement, au cas où ça n’aurait pas été fait avant.
Ça ne fait pas passer leur relation au stade supérieur, mais c’est déjà ça. En fait, Becky n’a pas persévéré puisqu’elle était à deux doigts de s’uriner dessus, elle a donc couru aux toilettes, et Zoé est partie.
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De son côté, Buffy a raté son examen final et je ne sais même pas pourquoi !
Ses notes lui permettent néanmoins de passer son semestre, mais la déception me ronge !
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Tara, elle, s’engueule avec la mascotte qui franchement, fait chier tout le monde.
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Et Becky passe son dernier examen avec succès ! HOURRA ! Dès demain, elle fera sa fête de fin d’études et l’université sera terminée pour elle !
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Pour fêter ça, elle remet le couvert avec Céleste, et même si je n’ai pas pu prendre de photo, j’ai entendu le bruit de l’amour... Il faudrait que je recompte dans le panneau des relations, mais on a normalement gagné une liaison amoureuse !
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Ariel a voulu être sympa et préparer des hamburgers pour fêter le départ de Becky, mais elle les a laisser brûler, et les filles font de leur mieux pour ne pas vomir en mangeant...
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Quant à cette chaine hifi... je ne sais pas qui l’a rapportée du campus, mais on en a déjà une alors on la revend !
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Et ce qui devait arriver arriva... à force d’emmerder le monde, la mascotte se voit impliquée dans une bagarre avec Ariel !
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Malheureusement pour cette dernière, elle se fait botter les fesses en bonne et due forme.
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J’ai dépensé un peu d’argent pour acheter des tapis et rendre l’endroit plus chaleureux... histoire d’impressionner les futurs invités de la fête de fin d’études (et notamment Bucky, qui a payé pour la construction du bâtiment). Je trouve ça joli !
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Que la fête de fin d’études commence !
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Bucky et Betty se saluent avec cette gestuelle qui commence à me courir sur le haricot...
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... et une polka se lance !
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Puis la fête se termine avec une photo en surexposition de Becky et Tara !
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Le lancer de toques !
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Becky va bientôt découvrir le look que le jeu va lui donner aléatoirement...
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... et c’est une horreur ! ahahahah. Ça ne te correspond PAS DU TOUT ma chérie !
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Et ainsi se termine la vie universitaire pour Becky...
Becky poursuivra t-elle sa voie de coquine, ou se rangera t-elle dans une vie plus sobre ? Comment la cohabitation avec sa belle-mère se fera ? Aura t-elle un petit frère ou une petite sœur ? Et si oui, sera t-il assez moche pour la détrôner en tant qu’héritière ?
J’ai hâte de le découvrir ! En attendant, portez-vous bien !
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norellenilia · 4 years ago
Text
Eldarya épisode 29
Originellement publié ici le 29 mars 2020.
Salut ! J’espère que vous prenez soin de vous, que vous ne sortez qu’en cas de nécessité, que vous vous protégez bien vous et les autres, et si vous êtes un-e riche parisien-ne qui s’est barré-e dans sa résidence secondaire en bord de mer à l’annonce du confinement, je vous souhaite de manger des graviers !
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Je tiens à vous remercier, Beemoov. Sincèrement. En ces temps difficiles, je vous remercie pour cet épisode, car j’avais vraiment besoin de rire. Alors oui je sais bien que l’épisode n’était pas censé être hilarant, mais les faits sont là. C’est tellement un condensé de non-sens et une preuve tellement évidente que vous n’avez aucun début d’idée de ce dont vous parlez, que je me suis marrée tout du long tant les réactions des personnages et leurs décisions sont d’une incommensurable absurdité. J’sais pas si vous réalisez mais globalement cet épisode ça se résume à « hihi c’est la guerre ! uwu » Je m’estime chanceuse car, ayant suivi une soluce, je n’ai dépensé « que » 4800 maanas environ. Enfin… En vrai j’en ai dépensé 3600, ce qui est ma foi raisonnable, toute proportion gardée, puis vous m’avez extorqué 1200 maanas. Croyez bien que je vais en reparler. Sinon, mon CDC est toujours sur « personne, » ma gardienne était en couple avec Leiftan mais je l’ai envoyé sur les roses et je n’ai donc eu aucune illu.
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Le résumé est ok, par contre l’introduction ça sert à rien. Ce genre de procédé c’est censé introduire un suspense, en mode « mais comment en est-on arrivé là ? » Ici on le sait qu’il va y avoir de la baston, on se doute bien que Lance va attaquer, donc ça n’introduit rien de nouveau. On pourrait me rétorquer que c’est pour justifier le titre de l’épisode et faire un compte à rebours, mais d’une part, on nous parle des cinq jours dès le début de l’épisode de toute façon, d’autre part je sais pas vous mais j’ai rapidement perdu le compte entre deux « uwu préparons la guerre ! » La première vraie info qu’on nous donne est donc… Que Leiftan est vivant. Ah bah ça a bien servi de faire tout un foin de sa chute théâtrale la dernière fois, si c’est pour que ça retombe comme un soufflé dès les 5 premières minutes de l’épisode. C’est exactement comme la fois où un épisode s’était terminé de façon dramatique sur la disparition de Mery, et dès le début de l’épisode suivant on le retrouve en mode « mdr je m’étais juste perdu en forêt tout va bien ! » Et dès le début une fois encore, nous faisons face au sens douteux des priorités dans ce QG, quand Ewe arrive et prend le temps de s’inquiéter du teint blafard d’Erika, alors qu’entre nous, entre une meuf pâlotte mais qui tient debout et un type à l’article de la mort j’crois qu’il y en a un des deux qui peut être ignoré de la médecin et pris en charge par les autres, quoi. Après c’est pas logique parce qu’on nous emmène à l’infirmerie, et une fois là-bas on nous dit qu’Ewe est déjà en train de s’occuper de Leiftan, sauf qu’au moment où on est partie pour l’infirmerie elle était en train de s’occuper de Leiftan à la cave, donc comment il est arrivé à l’infirmerie avant nous ? C’est la deuxième scène de l’épisode (sans compter la prolepse) et ça part déjà en cacahuètes.
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Je suis déjà fatiguée.
Nous voilà ensuite dans le « purgatoire, » sauf qu’Erikaloïs frappe encore : impossible pour elle de se rappeler qu’elle y était déjà 4 épisodes plus tôt, au moment où, genre, elle était à deux doigts de clamser après que le Cristal avait été brisé. J’veux bien qu’on me sorte que son cerveau essaie de la protéger ou quoi, m’enfin là quand même je pense qu’il faut s’inquiéter de l’état de sa mémoire, messieurs-dames. J’vais pas passer 10 ans sur cette partie, de toute façon à partir du moment où on nous dit qu’il faut sauver les miches de Leiftan pour sortir du purgatoire on sait qu’il va survivre. J’espère juste que leurs vies sont pas vraiment liées, déjà parce que c’est pas un procédé qui me parle, ensuite parce que ça veut dire que les deux doivent survivre à la fin, donc potentiellement j’vais être obligée de laisser Erika en couple avec, ou bien va falloir assister à une scène insupportable de Leiftan en train de se sacrifier pour sauver le monde. Ah et son « je voulais que tu puisses sauver ce monde que tu aimes tant » à l’autre là justement, ça confirme bien ce que je disais, il en a rien à branler d’Eldarya et des faëries, il essaie juste de se racheter parce qu’il s’est fait griller. Quand on se réveille à l’infirmerie ça m’a énervée parce que « Miiko et Hua ne savaient pas où se mettre pour ne pas gêner le travail des infirmières. » Bah au hasard sortez bande de bouffonnes, vous avez rien à fiche là de toute façon ??? Sérieux y a-t-il une seule trace de bon sens dans ce QG de malheur ? Et après c’est Erika qui fait l’étonnée quand on commence à évoquer le fait que sa vie pourrait être liée à celle de Leiftan alors qu’elle s’est fait la réflexion cinq minutes avant, vraiment faites quelque chose cette jeune femme est amnésique c’est pas possible autrement !!! Elle en oublie même sa fichue plume là alors qu’elle la tient dans sa main depuis trois heures, et le fait que Chrome a frôlé la mort lui aussi mdr. On va donc parler à Miiko de la plume magique, et OH !! Une apparition furtive de bon sens !!! Miiko refuse de croire que cela puisse être lié à une rédemption soudaine et inopinée, et nous avons le choix de nous dire qu’effectivement, ce serait quand même vachement bizarre qu’il change de camp comme ça en un instant. PEUT-ÊTRE PARCE QUE OUI C’EST UN PEU HAUTEMENT IMPROBABLE. Comme à chaque fois qu’elle est perturbée, Erika va prendre l’air. Et c’est quand même incroyable de voir à quel point les membres de la Garde en ont toujours rien à carrer du fait que Leiftan était le daemon, et comment plus globalement tout le monde parle de façon super légère alors que la situation s’aggrave de jour en jour.
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Des traîtres partout et le monde qui s’écroule ? Ça va aller, tkt !
Bon par contre, on va rester sérieux-ses deux minutes, car on arrive à un point qui ne passe absolument pas. Je veux parler de Colaïa et Jamon. Alors au début je suis partie de l’idée que Colaïa avait une quinzaine d’ann��es, parce qu’elle est la petite sœur d’Alajéa, que son design lui fait paraître cet âge pas beaucoup plus, et qu’on nous avait présenté Alajéa comme étant jeune, limite une ado, un peu plus âgée que Chrome, quoi. Et ça, ça va pas DU TOUT. Parce que je sais pas vous, mais il ne me viendrait pas à l’esprit de me dire que Jamon a quinze ans. Et je dis quinze ans direct et pas la vingtaine, parce qu’un mec de vingt ans qui drague une gosse de quinze/seize ans ça commence déjà à puer (et une différence d’âge de 5 ans c’est déjà pas la même chose entre 20 et 25 qu’entre 15 et 20). Je sais que c’est un ogre et tout, mais même un ogre on peut le dessiner de manière à ce qu’il apparaisse jeune, vieux, bébé, ce qu’on veut. Donc avec le design qu’il a, sa corpulence, son visage, moi je lui donne 30 ans, 25 ans peut-être, mais pas moins. Ou l’équivalent en ogre quoi, mais clairement pour moi c’est un adulte bien adulte. J’ai été vérifier ce qu’on nous disait de Colaïa, après tout je me suis peut-être décalée, peut-être que c’est en fait une toute jeune adulte… Mais non. A l’épisode 15, quand on la voit pour la première fois, Eweleïn la décrit ainsi, je cite : « Elle a l’air jeune… Une adolescente, et encore… » Une adolescente, et encore. Et encore. E T   E N C O R E . Moi on me dit « c’est une adolescente, et encore, » je vois une gosse de 12 ou 13 ans, allez 14 si je veux être généreuse MAX. Vous le voyez le malaise là ou faut que je dise le mot qui va fâcher ? Est-ce vous réalisez qu’en plus de romantiser un agresseur sexuel dans Moonlight Lovers, vous romantisez la relation d’un homme adulte avec une môme ? Vous êtes complètement inconscient-e-s de ce que vous écrivez ou alors vous avez la même mémoire de poisson rouge que votre imbécile d’héroïne et avez oublié que vous aviez fait de Colaïa une ENFANT ??? Et comme je vois déjà les Jean-Michel Cékunefictionlol s’exciter tout-e-s seul-e-s, économisez votre temps, vous m’intéressez pas, quand vous aurez compris qu’on peut pas faire passer n’importe quoi sous prétexte que « c’est qu’une fiction lol » p’t’être on pourra parler. Quant à celleux qui voudront dire que « l’amour n’a pas d’âge » ou que « l’âge n’a rien à voir avec la maturité, » désolée de casser votre bulle de confort mais ça c’est les arguments qu’utilisent vos youtubeurs préférés pour justifier le fait qu’ils draguent et demandent des nudes à des mineures, alors excusez-moi de mettre directement ces phrases à la poubelle. Maintenant, à moins qu’on apprenne qu’il s’est écoulé au moins 5 ans depuis l’épisode 15 (mais comme on a pas de chronologie on saura jamais) et que Jamon a max 25 ans, c’est juste pas possible. La seule réponse acceptable de Jamon c’est un REFUS. J’m’en cogne aussi si on vient dire que « c’est pas le même contexte le monde d’Eldarya. » On s’en fiche que ce soit pas le même contexte, le contexte où on vit c’est un contexte où les mineur-e-s sont déjà incroyablement mal protégé-e-s contre ce genre de situation, présenter comme ok une relation entre un adulte et une mineure c’est irresponsable. Y’a pas besoin de contexte pour savoir qu’une relation pareille c’est juste pas possible. Moi qui me disais juste avant cette révélation que j’aimais bien leur relation fraternelle et que Jamon était l’un des seuls personnages à pas avoir encore été gâché…
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Revenons-en à nos sérieux moutons. Car nous sommes dans une situation sérieuse. C’est d’ailleurs pour ça que nous allons faire une sérieuse réunion d’urgence à la CANTINE. Quel lieu plus propice à une réunion d’urgence avec tout le gratin de la Garde qui va parler des résultats de recherches d’un espion « de confiance » (car il y a des espions en qui on a pas confiance évidemment) que la CANTINE ?
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*Tape du poing sur la table* è_é
Et qu’apprenons-nous à cette sérieuse réunion ? Que Lance a attaqué chez Miiko, qu’il va attaquer le QG, du coup on va évacuer les habitant-e-s non combattant-e-s du refuge pour les protéger, mais dans le même temps on va accueillir les réfugié-e-s des Terres de Jade car mdr la logique, et Miiko annonce que Lance va assiéger la cité, et elle le sait uniquement grâce à la force de son cervokosmik. Also la question la plus importante n’est pas « combien de temps avant qu’on puisse dégommer Lance avant qu’il nous affame ? » ou « combien de temps peut-on tenir le siège avec ce qu’on a ? » mais « combien de temps va durer le siège ? » Vous la sentez bien la guerre, vous aussi ? Sérieux j’veux dire, pour le dernier point, c’est un peu con de demander « combien de temps va durer le siège »… J’suis pas cheffe de guerre mais j’pense pas que ce soit une question à laquelle on peut apporter une réponse comme ça au débotté, ça dépend de trop de trucs, surtout qu’iels vont avoir des allées et venues donc iels savent pas combien y’aura de gens à nourrir, iels avaient pas encore fait l’inventaire visiblement, et on sait pas si Lance a de quoi tout dégommer ni s’il aura assez de jugeote pour aller piller les villages voisins pour réapprovisionner ses troupes pour tenir le siège, ou bien s’il est aussi nullissime en stratégie militaire que la Garde d’Eel. Parce que oui c’est bien beau de préparer les défenses du QG, mais si tu prépares pas les attaques t’auras l’air très con quand l’ennemi aura pu se ravitailler et pas toi. « Mais heureusement, Miiko avait bien réfléchi à la situation. » En sortant de la salle, Erika est songeuse… La situation est grave, c’est à prendre très au sérieux, et– « EH BIEN, QUELLES NOUVELLES ! » Vous aviez pas un truc encore plus à l’ouest à lui faire dire alors qu’elle vient d’apprendre que c’est la guerre ? On vient pas d’annoncer qu’on va devoir redécorer tout le QG pour fêter le printemps on vient d’annoncer qu’on va subir un fhdsjfh de SIÈGE. Et c’est sans compter sur la liste des émotions qu’on peut choisir de faire ressentir à Erika. Autant je comprends la tristesse, la peur, l’angoisse, je comprends même l’excitation, mais la JOIE ? Qu’est-ce qui tourne pas rond chez vous en vrai ?? Si quelqu’un ressent de la joie à l’idée d’aller à la guerre il lui manque une case un peu vous croyez pas ?? Si quelqu’un a répondu « la joie » j’veux bien savoir ce qu’Erika dit ensuite pour justifier ça parce que ça me dépasse un peu, m’voyez ? Et du coup sa réaction habituelle à toute situation qui sort de l’ordinaire c’est d’aller traquer tous les membres du QG pour leur demander leur avis, comme si on en avait quelque chose à faire. Sérieusement, POURQUOI DIABLE n’avoir jamais reproduit le concept de « quête secondaire » de l’épisode 13 pour nous DONNER LA LISTE DE PERSONNAGES A TROUVER POUR VALIDER L’OBJECTIF ??? On apprendra également en parlant avec Valarian qu’avoir fait la guerre c’est « avoir une vie bien remplie. » Aussi est-ce que c’est vraiment aux chefs de garde de s’occuper de la logistique des chambres dans un moment pareil ? Est-ce qu’on a vraiment besoin de consacrer du temps à ça alors que c’est franchement pas une priorité lorsqu’on se prépare à tenir un siège ? Vous savez à peu près ce que recouvre le concept de guerre ou vous êtes vraiment à côté de la plaque ? Nan vraiment parce que là ça devient un peu préoccupant.
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« Boarf, c’est des détails ! uwu »
La réunion générale pose deux questions : - D’une, c’était quoi l’intérêt de faire la pré-réunion alors que Miiko va redire exactement la même chose ? Les trucs en avant-première c’est ok pour les abonnements premium sur les jeux en ligne, pas pour une réunion de guerre. Parce que j’ose imaginer qu’à part son discours à la noix elle a expliqué le programme des prochains jours… - De deux, pourquoi la CANTINE ??? Même la salle des portes c’était plus logique, on s’en est d’ailleurs déjà servi pour ce genre de trucs…
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Et magiiie, Erika est « très polyvalente et efficace, » comme ça on aura plein de missions différentes, hihi, trop bien ! Vous savez ce qu’on dit : « bon en tout, bon en rien. » Et puis c’est pas comme si on avait, un jour, dû choisir une spécialisation qui aurait pu être utile ici, non… Genre les gens ayant choisi l’infirmerie s’occuperaient du matos pour soigner les futur-e-s blessé-e-s, celleux ayant choisi de s’occuper des gosses pourraient, par exemple, organiser le départ des civil-e-s, et pour la bibliothèque j’ai rien qui me vient mais quitte à servir à rien on aurait pu s’occuper du placement des chambres (et ça se résumerait à « vous partagerez cette chambre le temps du siège point ») et autres tâches pas prioritaires mais apparemment très importantes pour Miiko qui a « bien réfléchi à la situation. » Du coup on se retrouve à aider Colaïa et Jamon à renforcer les murs. Alors c’est mignon de faire passer Colaïa pour un génie quand elle dit « HMMM si ça s’trouve Lance va utiliser la force » mais euh… C’est de la logique de base de s’imagine qu’il va utiliser la force ??? C’est. Un. SIÈGE. Au bout d’un moment le but ça va être de péter les murs pour entrer dans la cité et tout dégommer. Après ça on va « à la cueillette ! » A LA CUEILLETTE. Vous voudriez faire passer la guerre pour une balade bucolique dans les prés vous pourriez pas faire mieux. Enfin ça va ça a pas l’air trop grave de pas avoir tous les ingrédients de l’alchimie, c’est pas comme si on avait établi qu’un ingrédient de différence ça pouvait créer un truc avec des effets complètement différents n’est-ce pas. Puis la Grande et Belle Miiko nous fait une danse magique pour simuler la nuit parce que Robert de la compta est perturbé quand c’est pas la nuit alors que c’est l’heure de dormir è_é Encore une fois, est-ce que c’est vraiment une priorité, surtout venant de la grande cheffe de la Garde ? On a PAS LE TEMPS pour le confort, dans 4 jours y’a une attaque, vous avez dix milliards de trucs à faire, Erika elle-même s’est demandé si y’aurait le temps de tout faire, et en attendant Madame Miiko et Madame Hua perdent du temps à préparer un rituel pour simuler la nuit pour « avoir un semblant de normalité. » Y’a pas de normalité quand on est à quatre. Jours. D’un. SIÈGE. Je note que quand Erika pense à Leiftan en allant se coucher, les seuls moments qui lui reviennent c’est : leur premier baiser et leur première partie de jambes en l’air. Quelle relation amoureuse développée, dites donc ! Enfin bon, levons-nous, et tâchons de faire en sorte que ce soit une belle journée de préparatifs de siège ! uwu Première chose à faire : continuer la consolidation magique des murs de l’enceinte.
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Out of context Eldarya : la conversion au satanisme.
Erika est d’ailleurs trop contente de pouvoir participer à l’effort de guerre ! OwO C’est là qu’on a un bon point : les conséquences de notre choix de laisser éclater notre rage ou non à l’épisode précédent commencent à apparaître. Chez moi, qui ai laissé éclater ma rage, une énergie mauvaise et incontrôlable se dégage d’Erika lors de la création du bouclier, et de ce que j’ai vu, on a un bouclier instable lorsque la rage a été contenue. La prochaine mission consiste à accueillir les premiers renforts, c’est-à-dire trois émissaires et une trentaine de réfugié-e-s. Et pendant que Miiko fait enfin un taff utile en faisant une réunion avec les émissaires, notre digne rôle est ensuite… De jouer les guides touristiques pour les réfugié-e-s. C’est super important de leur montrer les jardins, les chambres et la cuisine où chacun-e aura un repas individualisé selon ses besoins énergétiques (car on a carrément le temps de s’emmerder avec ça) !!! è_é Erika note également les troublantes ressemblances vestimentaires et ethniques entre la Terre et Eldarya. Bravo bichette pour tes légendaires capacités de déduction ! C’est pas comme si les faëries étaient originaires de la Terre de base ! Qu’est-ce qu’elle est conne j’vous jure. Faut aussi sérieusement arrêter d’appeler les réfugié-e-s et émissaires des « invité-e-s » ou des « convives » c’est pas une tea party >_> Par contre le fait que la cantine soit vide à 8h rassurez-moi c’est parce que tout le monde a mangé avant, j’espère… Nan parce qu’à lire la scène d’avant, déjà tout le monde s’arrête de bosser à 20h, et ensuite à 8h presque personne n’est debout ??? Alors j’suis prête à faire la révolution après le confinement pour reprendre les 35h hein, mais là les cocos on est EN TEMPS DE GUERRE c’est pas les jolies colonies de vacances, là y’a pas de roulement, y’a aucune réquisition, tout le monde continue sa vie pépouze comme si on était pas en train de se préparer pour ? Pour… ? UN PUTAIN DE SIÈGE.
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J’vous jure on parle pas de ce siège-là.
Kero nous donne ensuite notre prochain ordre de mission, qu’il qualifie de « mission de cueillette, » il espère que ça ne nous dérange pas… Erika, dans un sursaut de bon sens, l’enguirlande copieusement en lui disant que c’est franchement pas un terme adéquat pour parler d’une mission de récolte d’ingrédients d’alchimie, elle veut bien qu’on essaie d’alléger l’ambiance mais quand même ça va beaucoup trop loi– « PAS DU TOUT CHU CONTENTE DE RENDRE SERVICE CA FAIT PLAISIR !!! ^w^ » … T’AS PAS LE CHOIX DUCONNE POUR UNE FOIS QU’ON TE DONNE UNE MISSION IMPORTANTE FAIS PAS GENRE ON T’A JUSTE DEMANDÉ DE GARDER LE CHIEN DU VOISIN LAAAA !!! J’suis désolée je m’emballe mais on arrive à la limite du supportable en termes d’absurdité des réactions, là. Est-ce que j’ai besoin de vous décrire ma détresse quand Erikonne se dit « terriblement excitée *w* » à l’idée de voir les Valkyries que Lance aura recrutées ou c’est bon ?? L’avantage de cette dernière scène, cela dit, c’est que ça a été l’occasion pour d’enfiiiin réaliser que vous aviez oublié de mentionner la traîtrise d’Enthraa… Mieux vaut tard que jamais, on va dire ???
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Je suis fatiguée d’avance d’écrire les prochaines phrases. Nous recevons donc une lettre de Lance qui propose un « armistice. » Bien évidemment, ça pue le piège à plein nez, mais Miikonne décide que « mdr on sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher » donc elle y va, et bien sûr Erikonne suit sans réfléchir car « c’est étrange, mais pourquoi pas. » POURQUOI PAS. J’ai aucune idée d’en quoi c’est pertinent d’annoncer à toute la Garde qu’on va foncer droit dans la gueule du loup sous prétexte qu’il faut « s’accrocher à l’espoir en avant brave compagnie l’amitié triomphera de tous les défis, » et aussi vous annoncez que les deux débiles partent à minuit au rendez-vous et une fois sur place vous nous dites que l’horloge sonne 20h et qu’elles poireautent 4h comme les grosses nouilles qu’elles sont parce que vous avez jarté les relecteurs depuis l’épisode dernier visiblement. Comme prévu, c’était un piège !!! Et qui de mieux pour exécuter ce piège qu’Enthraa, le personnage oublié !!! Et comme vous en avez eu marre qu’on vous rappelle votre erreur et que vous vouliez être sûr-e-s de plus jamais l’oublier dans l’intrigue, bah vous l’avez butée. Alors en soi ok c’est une façon de régler le problème mdr, mais moi ce qui me déplaît, c’est que vous lui avez créé un chara-design alors qu’on a littéralement moins interagi avec elle qu’avec Valarian, à qui vous n’avez toujours pas accordé de design alors qu’on vous le demande depuis bien 5 épisodes. La scène qui suit est savoureuse aussi : au moment de raconter aux copains ce qui vient de se passer, Valkyon suggère d’envoyer le corps d’Enthraa à Lance comme message. C’est logique, c’est effectivement un message fort, « t’as voulu nous envoyer un assassin, regarde ce qu’on en a fait. » C’est son raisonnement derrière que je trouve débile : « ui j’connais mon frère, voir que son plan pathétique a échoué ça va le déstabiliser pcq il est colérique » ?_? Nan mais en fait si Lance était assez con pour pas anticiper que son plan d’assassinat pouvait échouer c’est qu’il est aussi branquignole que la Garde hein. Bon pour le corps à envoyer on a Erikonne qui pose son véto parce que « euh c pas très Charlie on va pas s’abaisser à son niveau komême è_é » C’EST.LA.GUERRE. FAUT LE DIRE EN QUELLE LANGUE, TRIPLE BUSE ??? Y’a pas de « fO pAs S’aBaiSsEr A sOn NiVeAu » qui tienne bon dieu mais est-ce que c’est humainement possible d’être aussi BÊTE. Comme a dit la pote avec qui j’ai joué l’épisode, « moi j’trouve déjà ça sympa de pas foutre un sort de pestilence sur le cadavre pour rendre ses troupes malades. »
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La guerre vue par Erika.
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Pour la mission du jour, nous devons rejoindre Hua et Ewe (qui sont en « consultation » hinhin *wink wink*) pour aller recenser les points d’eau. Pourquoi on l’a pas fait dès le premier jour, je sais pas, je pige pas l’explication de Kero, pourquoi c’est la future Phénix et une médecin qui s’en occupent alors que la Phénix pourrait être avec les autres chef-fe-s et préparer des troupes, et la médecin continuer à se préparer à soigner les blessé-e-s qu’il va y avoir et s’occuper de celleux qui sont déjà là parce que rappel qu’on est censé-e avoir des flux de réfugié-e-s qui vont et viennent au QG comme dans un moulin MAIS NON, faut qu’elles aillent recenser les points d’eau, parce que PERSONNE n’a de bon sens dans cette baraque des Enfers. Je sais d’ailleurs pas comment vous décrire L’ANGOISSE qui m’a prise quand Erika pose une bonne question, à savoir « est-ce que c’était vraiment nécessaire qu’on soit trois pour la mission » et que cette IMBÉCILE de Hua lui répond, « non mais j’me faisais chier et je voulais passer du temps avec toi hihi ! °w° » J’vais faire en sorte que mon poing passe du temps avec ton nez tu vas voir ça va te passer l’envie de m’emmerder avec tes lubies là, sérieux c’est quoi son problème ??? J’ai pas suivi toutes leurs élucubrations sur les points d’eau, mais à un moment Erika demande comment iels s’approvisionnent en eau si c’est soit de l’eau stagnante, soit de l’eau de mer, soit de l’eau trop minéralisée ; c’est simple, iels filtrent l’eau de pluie. Alors ok mais je rappelle qu’à l’épisode 19 on nous a appris qu’à Eel « c’est à peine s’il pleut, pour te dire » donc euuuuh vous m’expliquez comment iels ont assez d’eau pour tout le monde ??? En fait laissez tomber ça va avec « nourriture » dans la liste des trucs dont il ne faut plus jamais parler dans cette histoire sous peine de se faire des nœuds au cerveau. Après y’a la pluie magique d’étoiles filantes de l’espoir là où Erika se persuade que c’est un encouragement du ciel wow much deep sa fé réfléchire, perso moi j’ai cru que c’était une attaque aérienne de Lance ou une pluie de météorites qui s’abattait sur la ville, je suis tellement en attente d’un signe que quelqu’un se serait souvenu que le lendemain y’avait une grosse bataille, mais non c’est juste un joli spectacle ! TwT
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Cet épisode est en train de me rendre chèvre !!!
La bonne nouvelle c’est qu’on voit enfin à quoi ressemble le Cristal brisé, et surtout qu’on ne perd pas de maanas en avançant dans la lumière blanche, ça c’est bien. Par contre je suis pas sûre d’avoir compris, durant la première vision on voit « une silhouette avec des ailes ensanglantées, » et là c’est juste « des ailes ensanglantées » genre elles sont attachées à personne mdr c’est confus. J’espère juste que c’est du flan cette prophétie parce que si jamais ça implique notamment que Leiftan doive se sacrifier qu’est-ce que c’est convenu et ennuyeux le coup du Grand Meychan qui clamse pour racheter ses péchés oh là là… Après, Miiko fait sa grande mystérieuse et ça m’énerve, oui perso j’aurais bien forcé le dialogue, même si je me doute que ça serait pour nous dire qu’Erika devra faire un grand sacrifice genre sa condition d’aengel ou même sa vie vu ce qu’on a vu. Puis, comme on n’a rien à faire avant l’arrivée de Lance, allons discuter avec nos amis ! @w@ Et c’est là qu’on arrive à La Tenue. Alors déjà que j’ai pas digéré les 800 maanas de la tenue avec la ceinture incompréhensible là, mais 1200 maanas mdr mais vous êtes pas bien hein. D’autant que bon, ok elle est jolie j’dis pas, mais c’est pas une tenue de combat ça hein, c’est au mieux une armure d’apparat, vous sautez à pieds joints dans le gouffre de « armures pour femmes dans les JV » parce que la go elle se prend une flèche dans le torse c’est fini on en parle plus, une armure fonctionnelle c’est pas fait pour être jolie c’est fait pour protéger les organes vitaux. Donc que vous la mettiez en boutique après l’épisode ou je sais pas j’veux bien, mais l’intégrer à l’histoire en mode « voilà ta tenue pour la bataille finale ma chérie hihi » mdr en fait Purriry elle veut se débarrasser d’Erika c’tout. Puis on arrive à l’autre gros point d’incompréhension de ce passage : Leiftan qui veut participer à la bataille. Donc le mec y’a quelques mois il était là « mwahaha les gens de cette Garde sont tellement des gros débiles trop hâte de les éradiquer, » y’a quelques semaines il butait Ykhar et presque Chrome parce qu’iels allaient révéler ses plans, et maintenant qu’il est grillé là ça y est il veut cro se faire pardonner en se battant avec les Jontis parce son ancienne chérie elle veut sauver le monde (et pas parce que, au hasard, c’est ce qu’il faut faire, nan, parce que c’est ce qu’Erika veut). Et Hua avale ça parce qu’elle a lu dans son esprit qu’il a promis que, et puis il faut tenter même si ça veut pas dire qu’on oubliera ses erreurs (ses erreurs aka je sais pas combien de meurtres, dont un y’a moins de deux mois, et un complot pour éradiquer Eldarya, JUSTE) Est-ce que c’est franchement pas un peu tôt pour imaginer un tournant de 180° et une rédemption pure et totale en un claquement de doigts là ??? En vrai j’y croyais tellement pas que j’ai commencé à me dire que les gardien-ne-s qui imaginent Hua comme étant la vraie boss finale avaient raison et qu’elle était en train de nous rouler dans la farine, mais quand Miiko a confirmé, mes espoirs se sont envolés. Enfin bon ! « Je me demande bien ce qu’en pensent les garçons ! » ?w? Punaise mais elle est pas capable d’avoir sa propre opinion sur des trucs sans avoir besoin de demander leur avis à tous les clampins du coin ??? Aussi tant qu’on est là et qu’Ezarel parle de son fleuret, le fleuret ça a jamais été une arme de combat, à la limite une rapière mais même avec ça il va pas aller loin mdr Enfin voilà, on nous annonce que Lance arrive, retour à la scène du début, et – enfin !! – fin de l’épisode.
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- « Si j’avais su, je serai venue plus tôt » -> serais - « Tandis que les kitsune expliquait notre rôle à jouer » -> la kitsune - « au moins, j’aurais des missions variées ! » -> j’aurai - « Je ferai mieux d’aller demander plus de renseignements à Karuto » -> ferais - « Vous serez rationné en fonction de vos besoins énergétiques » -> rationnés, on parlait de plusieurs personnes - « Des denrées ‘’terriennes’’ » -> ça sert à rien de mettre « terriennes » entre guillemets elles sont terriennes les denrées c’est un fait - « J’étouffais… Je mourrais » -> mourais - « Cette satané horloge » -> satanée - « Où était-ce une énième alerte de mon instinct ? » -> ou - « J’ai regardé Huang Hua, mais lui non plus ne semble pas comprendre » -> mdr bon celle-là tout le monde vous l’a signalée - « Miiko vient de m’apprendre que Leiftan allait rejoindre nos rangs » -> alors non c’est Hua qui me l’a appris mdr - « Je ferai mieux d'aller enfin parler à Miiko » -> ferais - « La tocsin résonne. La destin frappe enfin » -> le tocsin/le destin mdr c’était quoi votre problème d’accords en genre dans cet épisode ? Les mots choisis sont importants, vous pouvez pas parler de « cueillette » pour la récolte d’ingrédients d’alchimie essentiels pour la bataille et de « convives » pour les émissaires étrangers et les réfugié-e-s alors qu’on parle d’une guerre, c’est juste pas possible… Le ton est aussi incroyablement mal choisi, la plupart des personnages agissent comme si rien ne sortait de la normale…
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En résumé.
J’ai aucunement eu l’impression d’assister à la préparation de la bataille finale d’une série qui s’est voulue « sombre. » Il n’y a eu aucune installation d’ambiance, je n’ai quasiment pas vu de changement par rapport à l’atmosphère des épisodes précédents. Je veux bien qu’à la veille d’une bataille, on essaie d’alléger la tension, de plaisanter pour oublier un instant le fait que, le lendemain, on va dans une bataille qui va irrémédiablement tuer des gens (sauf si vous faites une fin à la Twilight auquel cas je réponds plus de rien), mais comment on peut alléger la tension quand y’a même pas de tension à alléger, en fait ? Là c’est pas des persos qui essaient de décompresser avant la bataille, c’est des persos insouciants, c’est tout. Et la musique n’aide à aucun moment. Alors elle est très jolie la musique, vraiment ! Mais elle ne convient à quasiment aucune scène de cet épisode, et c’était déjà le cas pour le dernier. On vous l’a dit, mais il aurait fallu faire des musiques par thématiques, et non par lieux, comment voulez-vous qu’on sente la tension quand l’arrivée de l’armée de Lance est ponctuée par une jolie petite musique à la harpe qui donne plus envie d’aller cueillir des fleurs par une douce après-midi d’été que d’aller cogner du dragon ? Jamon et Colaïa c’est pas possible. Stop. Annulez tout tant que vous le pouvez, vous merdez bien assez comme ça sur ce genre de sujets. Enfin voilà. La vérité c’est qu’il y a aucune passion dans cet épisode. L’impression que ça donne, c’est que vous n’avez qu’une hâte : que ça se termine. Et entre nous, j’pense que vous vous en doutez, moi aussi. PS : J’espère quand même qu’à présent, vous êtes aussi dégoûté-e-s que moi des smileys en « uwu » PPS : Je plussoie l'entièreté du post de Scarecrow !!!
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Les MirBen sur la Via Sancti Martini : le bilan
Interview donné à la Gazette des Gais Randonneurs (Gai avec un i)
La Gazette : Monsieur Mirben, c'est très aimable à vous d'avoir accepté de recevoir la Gazette des Gais Randonneurs (gai avec un i), trois ans après l'interview que vous aviez eu la gentillesse de nous accorder à l'issue de votre premier "tronçon", Szombathely - Ljubljana. — Je vous en prie, c'est bien naturel et c'est avec plaisir. Et puis appelez-moi Benoît.
La Gazette : Alors Benoît, vous qui êtes retraité, bien sûr... — Ah non ! Vous n'allez pas vous y mettre aussi ! Non, ce n'est pas parce qu'on marche et qu'on a une barbe blanche qu'on est retraité ! C'est agaçant ça ! Et le pire c'est ce "Bien sûr !". Combien de fois l'avons-nous entendu ! Ce n'est pas "Oh, les MirBen, vous faites vieux, vous êtes peut-être retraités" mais "Ohhhhhh, les MirBen, vous faites tellement vieux que vous êtes nécessairement retraités". Eh bien NON, nous ne sommes pas retraités et pas près de l'être ! On pourra même refaire deux Via Sancti Martini avant d'être à la retraite. Alors écrivez le bien gros dans votre Gazette, NON, les MirBen ne sont BIEN SÛR pas encore à la retraite ! Compris !
La Gazette : Oulala... Excusez-moi, Benoît ! On dirait que c'est un sujet sensible ? — Non mais c'est vrai, c'est un peu agaçant ! Et vous, à l'École de Journalisme, on ne vous a pas appris à poser des questions ouvertes ?... Ahhh, vous n'avez pas fait d'École de... Non, mais on peut aussi être un excellent journaliste sans avoir fait l’École de... Allez, ne faites pas cette tête-là. Allez… Je vous propose qu'on efface tout et qu'on reprenne à zéro, d'accord ? Ça va aller, ne vous en faites pas !
La Gazette : Benoît, vous venez d'achever les 2 500 km de la Via Sancti Martini avec Mireille alors que vous travaillez encore tous les deux. Quel est votre secret ? — (en aparté ) Ben vous voyez, vous vous débrouillez très bien quand vous voulez. (À haute voix) Notre secret, c'est d'abord d'y consacrer 4 semaines de congés, ce qui permet de faire de longs tronçons d'environ 600 km en marchant à une moyenne de 25 km par jour. Mais nous voyons surtout ça, vivant à Paris, comme un bain de nature salutaire. Et 4 semaines, ça permet de vraiment bien couper. Si vous parlez de notre condition physique, et c’est une question qu’on nous pose souvent, non nous ne faisons rien de spécial pendant l’année. Bien sûr, un peu de squash pour moi et de yoga pour Mireille ainsi que la marche utilitaire de tous les jours mais rien de plus. Ce que nous avons peut-être pour nous, ce sont nos 30 ans de randonnées annuelles, notre conviction que la marche est l’activité la plus naturelle qui soit et la foi que tout va nécessairement bien se passer !
La Gazette : Mais il y a eu la canicule quand même cette année. Ça a dû être très dur ! — En fait pas tant que ça. Sur les chemins, même en plein soleil, il y a presque toujours une petite brise, ce qui rend la chaleur plus supportable. Et puis nous faisons des pauses à l’ombre des grands arbres qui sont toujours de véritables oasis de fraîcheur. Cela permet d’éviter la surchauffe. Enfin, pour se donner du courage, on a un petit chant militaire que nous tenons des unités sahariennes de la Légion étrangère qui aide à tenir quand il fait vraiment trop chaud.
La Gazette : Ah oui, et vous pouvez partager ce chant avec nos lecteurs ? — Bien sûr. On leur dira d’imaginer le pas lent des légionnaires et la scansion typique des chants militaires. Vous êtes prêt ? Vous allez voir, c’est tout simple : 1 – 2 – 3. LA – CA – NI – CULE, ON – L’EN – …DURE. LA – CA – NI – CULE, ON – L’EN – …DURE, etc… Vous voyez, c’est très simple. Une espèce de mantra en quelque sorte. C’est très efficace.
La Gazette : Vous m’avez fait peur ! — Je ne vois pas pourquoi cela effraierait un gai randonneur (gai avec un i bien sûr) !
La Gazette : Mais vous partiez de bonne heure pour éviter la chaleur quand même ? — Pas du tout ! Le blog est notre première priorité. Comme je rédige le billet le matin et que je m’accorde 2 heures avant le petit déjeuner qu’on prend à 8h30 et qu’après, c’est relecture et mise en ligne qui prennent encore un peu de temps, on est rarement opérationnel avant 10 heures, et pour peu qu’on papote un brin, c’est 10h30. Et là, pour la température, c’est déjà cuit, si vous me passez l’expression. Mais pas d’inquiétude, on a notre petite chanson…
La Gazette : Merci. Merci. Je crois que nos lecteurs ont bien compris. Passons à un autre sujet qui les intéresse également, l’hébergement. Alors, c’était comment ? — Eh bien, grosso modo, nous avons pu trouver l’ensemble des hébergements qui nous ont permis de faire ces étapes d’environ 25 km, sans s’écarter trop du chemin, sauf à une ou deux exceptions. Mais ce que je voudrais souligner ici, c’est que nombre de ces chambres d’hôtes dans des endroits un peu isolés étaient tenues par des Hollandais ou des Anglais. Sans eux, nos étapes auraient été beaucoup plus difficiles et je profite de vos colonnes pour les remercier. D’autant que je pense que leur intégration locale ne doit ou n’a pas dû être facile. En tout cas chapeau !
La Gazette : Vous avez des adresses à donner ? — Toutes chambres d’hôtes confondues pour cette année, je dirais le château de Sugny pour son incroyable intérieur, la maison Balady à Bellenaves pour l’accueil et la table d’hôtes en pleine nature, dans la même veine le moulin de Cors sur la Creuse à Oulches avec une étoile pour le dîner, « Terrain Minet » à Cluis avec une étoile également pour le dîner et un superbe accueil, le Château de Ré au Petit Pressigny et l’incroyable gentillesse de Catherine et Philippe ainsi que la Maison du Cerf à Urciers chez l’infatigable Lucia. C’est juste une petite sélection mais partout l’accueil a été remarquable.
La Gazette : Et sur ces 4 ans, quels ont été vos endroits préférés ? — Nous avons beaucoup aimé la Slovénie pour son aspect vert et rural, le nord de l’Italie pour ses vieilles cités chargées d’histoire, le val d’Aoste et la Savoie pour leurs paysages, la traversée de la Chartreuse qui a été un très bon moment et, cette année, les Monts de la Madeleine nous ont particulièrement séduits. Ils sont parcourus par des GR (3, 3A, 463) et il se pourrait bien qu’on y revienne un printemps !
La Gazette : Vous avez déjà évoqué l’accueil remarquable, ce sont vos mots, qui vous a été fait. Qu’avez-vous retenu de ces rencontres ? — Plusieurs choses. Tout d’abord, je crois que voir arriver des… comment dire… futurs retraités, si vous me permettez l’expression, qui marchent avec leur gros sac à dos attirent nécessairement la sympathie et un degré d’attention supplémentaire ainsi qu’une étonnante familiarité. On nous parle facilement de sujets qui ne sont sans doute pas abordés aussi vite avec tout le monde. Et en règle général, on nous parle beaucoup plus que nous parlons. La seconde chose qui m’a frappée cette année, et c’est peut-être à cause de cette canicule que nous avons dû endurer, c’est cette inquiétude générale pour notre pauvre planète, les enjeux environnementaux et une certaine crainte d’un effondrement, avec ce petit espoir qu’un coin isolé de campagne représente une sorte de refuge potentiel. Nous n’en avions jamais parlé avec nos hôtes l’an dernier mais cette année, c’est un sujet qui est revenu presque un jour sur deux. Parmi les autres sujets phares, les architectes des bâtiments de France et la perte des services publics. Bref, une année où les sujets de société ont pris le pas sur le badin !
La Gazette : Vous avez toujours fait la part belle aux fleurs et aux insectes dans votre blog, mais cette année j’ai cru voir un intérêt accru pour les modestes plantes des chemins. Je me trompe ? — Non, non, tout à fait. La raison est très simple. J’ai moi aussi engagé ma transition écologique en abandonnant la voiture autant que faire se peut pour aller au travail. En prenant tous les jours le même chemin à pied, j’ai découvert jour après jour la petite flore des rues qui occupe les fissures, les murs et le moindre coin de terre libre. La curiosité m’a poussé à savoir comment s’appelait ces « sauvages des rues ». J’ai continué sur cette lancée pendant notre randonnée. Avouez que c’est quand même agaçant de rencontrer des plantes tous les jours sans savoir comment elles s’appellent. C’est ainsi que nous vous avons parlé des laitues, la vireuse et la scariole, qu’on a vues tous les jours, partout, même dans les villages. Il y a une autre plante plus modeste en taille, fine avec des petites fleurs claires, dont nous ne vous avons pas parlé parce que nous n’avons pas été capables de l’identifier. Il a fallu qu’à Tours, la pluie nous pousse dans une librairie pour qu’enfin, en épluchant plusieurs livres spécialisés du rayon Nature, on tombe sur elle, la Verveine officinale (rien à voir avec la tisane) ! Voilà pour l’aspect plaisant. Ce qui l’est moins, c’est que la baisse de la biodiversité est quelque chose que nous avons constatée. Il y a eu cette recherche désespérée du Sphinx du Pissenlit dans le val d’Aoste l’an dernier, vous vous en souvenez peut-être. Et bien cette année, nous avons vu la différence en passant du bocage bourbonnais, riche en insectes, aux terribles monocultures blé ou tournesol du sud de la Touraine où là, nous n’avons plus vu grand monde côté insectes, hormis les robustes punaises arlequin. Voilà qui nous ramène encore au sujet précédent.
La Gazette : Et alors, la Via Sancti Martini achevée, je suis sûr que vous avez déjà un nouveau projet pour l’année prochaine ! — Et bien nous allons faire un break et goûter aux joies du farniente et de la grégarité sur une plage du Sud de la France en faisant des mots fléchés et mettant des taches de crème solaire sur les pages du dernier Guillaume Musso.
La Gazette : Non ! Pas vous ! — Non je plaisante. Nous n’avons pas encore décidé. Nous en avions parlé pendant le voyage et étions partis sur le Chemin de Saint François d’Assise, de Vézelay à Assise en Italie qui doit faire dans les 1 500 km. Mais depuis, des fidèles lecteurs de notre blog (Ecceman) nous ont fait découvrir le Tro Breiz en Bretagne, une boucle de 600 km qui lie (comme Jean-Claude) les sept cathédrales des sept Saints de Bretagne. On a également découvert l’existence du Camino Igniaciano en Espagne, 700 km de l’ouest à l’est qui reprend l’itinéraire de Saint Ignace de Loyala. Nous avons aussi mis la main sur un tracé qui traverse la Sicile, que nous pourrions coupler avec la traversée de l’île Corfou. Et puis pourquoi pas la Grèce que nous ne connaissons pas encore. Il faudrait que je regarde aussi ai la Via Egnatien qui va des côtes albanaises à Thessalonique s’est un peu développée. Beaucoup d’options à travailler ! En tout cas ce qui est sûr, c’est que nous repartirons et que nous ouvrirons un nouveau blog !
La Gazette : Eh bien, voilà qui va ravir nos lecteurs, soyez en sûr ! Un dernier mot ? — Le dernier mot sera bien sûr pour tous ceux qui nous ont suivis pendant nos pérégrinations et nous ont soutenus. C’est un grand plaisir de partager nos aventures et nos BOULETTTTTES ! Mireille se joint à moi pour vous dire un grand grand merci à tous et une mention spéciale à Sonia et Yves qui sont venus depuis la lointaine Chine nous encourager sur le terrain ! Bises à tous et à l’année prochaine !
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chaglt · 6 years ago
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Bilan du mois de mars
Buenas tardes :)
Je suis dans la salle d'attente du centre de santé publique (je sais pas si je dois passer par l'accueil avant ou pas, il y a une file de dingue), je pensais étudier mon monologue de théâtre mais non, me voilà ici, à écrire ce billet au titre si froid. Je vous mettrai un autre en fin de billet si je suis inspirée, ou pas.
Elle écrit plus jamais ou quoi la Carlota? Depuis la rentrée (janvier), je pense avoir écrit deux articles si je ne m'abuse? Et nous sommes le 12 mars, oupsies 😇
C'est dû à plusieurs choses je dirais (comme vous me posez si gentiment la question):
1. A la suite de (et non pas "suite à" #lesvraiscomprendront #lEIImelacherajamais) ma grosse fatigue, voire épuisement, de décembre, j'ai décidé de prendre plus de temps pour moi, de faire moins de chose, mais mieux. Éviter de sortir jusque 3h du mat' le we par exemple. J'ai même envisagé de diminuer le théâtre, mais finalement j'ai juste diminué la pression que je m'y mettais, et ça m'a moins fatiguée - C'EST PAS UNE EXCUSE ça Carlota (flemme d'écrire tout en maj), j'y viens!
Purée la haine, je viens encore de perdre la moitié de mon article parce que j'écris sur mon téléphone.. alors que j'avais officialisé un truc haha, bordel 😂 Je vous écris la suite sur mon ordinateur tout à l'heure, ou dans un mois, ou dans un an💜 Bousis!
Me revoilà, un an plus tard (nous sommes le 12 mars 2020, que le temps passe vite) :-) Petite précision, non je ne devais pas passer à l’accueil avant ma visite, qui n’a eu que 30 minutes de retard, étonnement, sidération, joie jubilée (ce qui ne veut rien dire, le mot est d’ailleurs souligné en rouge).
Je vous préviens, je vais partir dans tous les sens. Aucun filtre. Revenons aux raisons de mon absence :)
2. Le samedi de la rentrée, j’ai rencontré un jeune homme adorable :) (ça fait trois fois que je l’écris mais comme ce tumblr de mes deux bugue.. je sais pas comment dire ça en fait haha) Du coup c’est bien cool, on fait plein de trucs (on est même allés à Salamanque ensemble, c’était top), mais du coup, j’ai moins de temps pour écrire. C’est pas une excuse valable ça peut-être?!?
3. Mes shakras étaient alignés. Avant d’éteindre votre ordi d’un geste brusque, laissez-moi vous expliquer (ça aussi ça fait deux fois que je l’écris, je n’expliquerai plus pourquoi). Quand je fais moins de choses, que je suis plus reposée, que je prends plus le temps, j’écris moins. En fait non, c’est pas vrai. Mais souvent, quand j’écris, c’est pour un peu “dégueuler” tout ce qui m’arrive ici, un peu comme Dumbledore et sa pensine #degueu. Quand j’ai un trop plein de. Mais comme j’ai (essayé du moins) fait moins de choses - finalement j’en ai fait de plus en plus, au fur et à mesure qu’on a appris à se connaître Javier et moi (oui, c’est son nom) - cette concordance des temps <3, j’avais moins envie d’écrire. C’est un peu une façon de me calmer, de me recentrer (bon ici j’explose un peu, mes excuses).
BREF, j’ai de bonnes raisons, mais on s’en fout. Je vais vous mettre quelques photos plic-ploc (histoire d’avoir moi aussi quelques souvenirs) de mes aventures de ces dernières semaines :) Enjoy les cocos, et bedankt si vous êtes toujours là (chapeau surtout)!
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Cette photo résume le week-end incroyable que j’ai passé à Tenerife chez Daniela, que j’ai rencontrée en mai dernier via Couchsurfing lors de mon premier voyage solo de 5 jours pour mes 25 ans (cette phrase est à lire à voix haute sans jamais reprendre sa respiration, dix fois si possible). Ce fut le week-end de l’amour, les enfants sont incroyablement adorables et Daniel et Daniela (je ne rigole pas) sont si inspirants et impressionnants. J’adore leur point de vue sur la vie, c’est toujours super enrichissant de parler avec eux. Ils m’ont offert cette caricature, j’étais trop émue (c’est moi au milieu, vous ne reconnaissez pas mes boobs?!)
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Avec Gemma <3
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Avec ma Daniela <3 :)
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Je suis affalée comme un ivrogne à un bar mais bon :) Je suis trop fan de cette famille d’amour <3
Un week-end super émouvant, j’ai adoré :) J’en suis ressortie toute émue (au risque de me répéter), une dose d’amour pure en intraveineuse (c’est une métaphore les cocos, nous ne nous sommes pas drogués, promis). Et Javier est venu me chercher à l’aéroport avec du gâteau fait maison, ce qui était ultra cute, petit bonus de fin de voyage :)
OH MON DIEU. Je ne vous ai pas parlé de la venue de Pollito à Madrid????!!!! Ah ben non, mon dernier article était sur mon bouquin.. Heu ça va faire un article de 300 pages, je vais décourager tous les lecteurs que je n’ai déjà pas haha! Bon ça c’était la semaine d’avant, quelques photos à l’appui :)
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D’un commun accord, nous trouvons que cette photo résume les deux jours et demi qu’elle a passé dans ma té-ci :-)
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La plus grosse tuerie de tous les temps #casadevalencia #OMG - purée qu’est-ce qu’on a bavé sur cette paella!
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Regardez-là comme elle est choupi tout plein! :D <3
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Une petite sieste à la gare d’Atocha, dans le plus grand des calmes.
Qu’est-ce qu’on a ri mes aïeux! Elle a même rencontré Jacob et une autre Pauline (la veinarde), regardez!
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(ma photo préférée, qui n’a rien à voir avec Jacob et l’autre Pauline por supuesto)
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(toujours rien à voir avec Jacob et Pauline)
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Les voilà les petits trouducs!
Bon les petits potes je vais vous laisser, je vais manger avec Elsa et Lorena :)
Je dois encore vous raconter Salamanque et Seany bitch <3
Grosses bètches!
Carlota
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badjunktravel · 6 years ago
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CAMBODIA RETURN
(Re)Bienvenue au Cambodge
On est le 23 octobre 2018
Le retour à Phnom Penh, c’est un peu comme le plan cul trash avec qui t’as envie de recommencer après une longue période de célibat. On aime quand c’est humide et que ça étouffe au point de se laisser enivrer et quand on pénètre les rues un peu trop sombres et étroites, on arrive à sentir ce parfum doux de mi-gras/mi-moisi qui te dit que t’es chez toi.
Haaaaaa quel bonheur, c’est bon la nostalgie… N’est-ce pas ?
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La débrouillardise !
On est le 24 octobre 2018
Tu sais... Oui, je m’adresse à toi.
Ce n'était pas le Cambodge qui me manquait en soit mais sa liberté, sa mobilité et ses constantes possibilités.
C’est tout de suite plus clair, une fois que tu deviens touriste.
Pour vivre sur Phnom Penh, il faut se démerder et ainsi, tu auras toutes les chances d’y arriver, mais si tu te laisse aller, tu vas juste couler.
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En parlant de ça, j’ai revu des potes qui s’étaient installés là-bas et j’ai l’impression que la plupart ont stagné.
Ils sont devenus trop vieux pour faire quoi que ce soit ou ont fini par devenir pataud, avec une femme qui s’occupe d’eux et des projets d’enfanter. Ils veulent se marier pour faire plaisir à la belle-famille et non pour leur propre plaisir et des enfants pour avoir quelque chose de matériel, quelque chose qui vient de soit, un être objet qui satisfera leurs besoins et à qui ils apprendront des tours pour finalement soit se lasser au bout des quelques années de maturations ou miracle qu’ils apprendront à aimer pour le restant de leur vie comme la prunelle de leurs yeux.
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The French Cambodians
On est le 25 octobre 2018
Je change complètement de sujet mais il y a quelque chose qui me perturbe un peu ici et je voulais l’évoquer dans ce blog. Beaucoup de personnes viennent au Cambodge en se disant « professionnel », ces gens sont « souvent » les ratés d’Europe.
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Je m’explique, ces personnes n’ont pas réussi à concrétiser leurs projets ou ne se sont pas fait reconnaitre en France et on voulu expatrier leur « expertise » au Cambodge. Du coup, beaucoup de personnes assimilées comme étant semi-professionnelles en France sont tout de suite amenées au rang de PRO au Cambodge. L’inconvénient de ce système, c’est que l’on ne valorise pas le travail impressionnant des jeunes Khmers qui ont un talent fou, et qui pourraient changer ce pays.
On va faire donc une petite pause dans mon blog et montrer le travail de ces jeunes qui ont du talent.
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Tyl Kan 
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Lim Heng and Frame29
Tricky treat...
On est le 26 octobre 2018
Un truc à savoir, au Cambodge, quand tu charges ta carte téléphonique, que ce soit avec Smart ou Cellcard, les leaders dans le milieu de la téléphonie mobile, tu dois changer ton crédit en souscrivant à une offre qui multiplie ce crédit déjà acheté en valeur.
Par exemple, si tu prends une carte à cinq dollars, et que tu souscris ainsi à une offre, ces dollars pourront être changés en cinq-cent dollars.
Mais le truc « tricky » dans l’histoire, c’est que quand tu te rajoutes les 5 premiers dollars, tu as déjà un dollar qui est utilisé pour la souscription ! Et si tu ne connais pas la manipulation au départ, les 5 dollars peuvent partir en crédit internet ou crédit mobile si tu passes un coup de fil…
Destress, c’est normal au Cambodge !
Moi, je me suis fait avoir, maintenant à toi de ne pas te faire avoir à ton tour.
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Ce qui m’avait manqué aussi, c’est ce bon vieux café des familles ! Depuis 1979, Gloria jean’s. Toi qui es si cosy et confortable… Haaaaa tant de souvenirs à passer toute ma journée à glander, prendre un petit café et travailler calmement avec une petite musique agréable … Ouais, je fais ma petite pub. On ne pourra pas dire que je suis un bon élément étant donné que ces cafés appartiennent tous aux enfants de la famille présidentielle, mais bon, ça reste un endroit sympa.
Ce soir, je sors !
Mais je vous reprends demain, je vais éviter de vous expliquer pourquoi des sujets de conversation dérivent sur la recherche de singes qui font des choses à des biches et de l’hypothétique religions créé entre deux verres « Go to Hell’iot » dont le dicton est « Incest is the best » tout ça parce que j’habite dans le Nord de la France, Bravo !
Khmer after cuite
On est le 27 octobre 2018 
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Hou putain, le réveil est difficile, je suis pas bourré, mais juste un peu …
Tiens un message… C’est la tattoo artiste que j’essaye de joindre depuis un bon moment !
Elle me dit « aujourd’hui 10h après je ne pourrais pas » … Il est qu’elle heure ? 9h ? Je suis large !
C’est à quoi ? … 45 min en tuk-tuk. Çà va !!! Laaaaaaarge… Je me suis habillé ? NOP !
LAAAAAAAARGE !!!
Bref, je suis arrivé avec 15 min de retard.
C’est au moment où tu te fais ton premier tatoo que tu t’aperçois qu’en fait, ce n'est pas si important que ça, alors que t’as stressé pendant 1 mois avant en te disant que s’était super important d’avoir une réelle signification, un vrai sens à ton acte et ça en devient presque politique !
Mais en vrai BALEK ! Si tu sens que c’est bien pour toi, vas-y fais le…
J’imagine un tatoo que j’aurais pu faire étant plus jeune… Je regrette peut-être d’y avoir songé, mais si vraiment, il était sur ma peau, je n’aurais pas regretté.
En vrai, ça aurait même pu changer ma perception des choses, me dire que c’est quelque chose qui aurait pu marquer une partie de ma vie ou juste l’apprécier comme un bon vin qui a pris l’âge.
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Après avoir fait cette merveille, je me suis rendu à The Factory, c’est une ancienne usine de tissus que des personnes ont transformé en lieu culturel. C’est un espace dédié aux artistes et start-ups créatives pour leur permettre de laisser libres cours à leur créativité dans des espaces ouvert à tous. L’inconvénient de ce lieu, c’est qu’il est voué à la démolition dans un an. Ce sont les Chinois qui vont racheter l’endroit pour en faire des habitations ou des casinos. Classique.
Je vous laisse avec quelques images si ça vous intéresse.
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Engagement Fever
On est le 28 octobre 2018
On passe de Phnom Penh à Siem Reap, on a pas le temps ici ! Houlalala ! Je me transforme instantanément en photographe de fiançailles !
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Il faut savoir qu’au Cambodge la famille, c’est un business, Imaginons que tu sois une fille « Cambodgienne » d’une famille pauvre principalement et que tu veuilles pouvoir flirter avec un pote de sexe masculin.
Ce sera mal vu si tu n’es pas fiancée avec « ton pote ». En revanche, le mec qui se fiancera avec toi devra débourser une sacrée cagnotte à ta famille pour que tu sois sienne.
Mariage ou fiançailles, c’est un investissement au Cambodge.
C’est pour ça d’ailleurs que certaines filles finissent prostituées pour échapper au système. La libération de la femme se fait par l’alliance avec un homme ou le rejet totale de la famille, même si le système commence petit à petit à changer…
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Malgré tout, les fiançailles étaient fun.
C’était sportif quand t’as 15 Khmers qui te bousculent avec leur téléphone portable pour prendre eux aussi des photos.
S’en est suivi, le repas avec la famille des fiancés, du Banh sung pour tout le monde.
Mon plat préféré ! C’est un genre de Bò bún, mais bien meilleur que le truc Vietnamien.
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This is the end
On est le 29 octobre 2018
De retour sur Phnom Penh, j’ai 30 min pour arriver, trouver un tuk-tuk pour aller jusque chez mon pote, poser ma valise, prendre un tuk pour aller jusqu’à l’aéroport en espérant arriver à l’heure.
Good bye Cambodia ! See you when you see me !
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shalomelohim · 3 years ago
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Un Royaume inébranlable
Notes : Des moments difficiles sont à prévoir en France.
Pénuries, divisions, affrontements, lois restrictives.
“ Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. “ (2 Timothée 3:1)
Ne nous laissons pas impressionnés et gardons le cap.
“ Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres: gardez-vous d'être troublés, car il faut que ces choses arrivent.
Mais ce ne sera pas encore la fin. “ (Matthieu 24:6)
Un Royaume inébranlable pour une Foi inébranlable.
“ et puisque nous avons un souverain sacrificateur établi sur la maison de Dieu, approchons-nous avec un cœur sincère, dans la plénitude de la foi, les cœurs purifiés d'une mauvaise conscience, et le corps lavé d'une eau pure.
Retenons fermement la profession de notre espérance, car celui qui a fait la promesse est fidèle. “ (Hébreux 10:21-23)
Sinon, avez-vous remarqué l’évolution des conversations concernant la banalisation des effets secondaires de cette expérience vaccinale ?
“ J’ai eu ça, et toi ? Ah, tu as eu que ça, j’ai eu des effets pires, mais untel a vécu telles choses après. J’ai eu les mêmes effets que toi ! On réagit pareil ! ”
C’est tout simplement surréaliste quand on écoute ce qui se dit.
On assiste à l’énumération, à la comparaison des réactions du corps après l’injection et les gens se tiennent au courant quotidiennement de se qu’ils vivent.
Cela devient un sujet de conversation “ordinaire”.
Il y a bien des effets secondaires tant le plan physique que psychologique.
Pendant que les vaccinés discutent (et travaillent), les non-vaccinés travaillent uniquement, plusieurs le constatent.
Frères et Sœurs, essayez de vous regrouper afin de pouvoir vous soutenir, vous entraider et mutualiser les ressources.
Les effets d’annonce “chauds / froids” sont des techniques pour affoler la population.
Le Plan annoncé dans la Bible se réalise comme prévu et s’accélère significativement ces dernières semaines.
Ce monde va s’effondrer par à-coups.
Si ce n’est déjà le cas, il est temps de se lever et d’exercer notre autorité d’Enfants de Dieu : Passer le fil des actualités, briser les plans de l’ennemi, appeler les âmes à rejoindre l'armée d'Elohim, etc... en fonction des instructions du Ruah Ha Kodesh.
“ Voici, je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et sur toute la puissance de l'ennemi; et rien ne pourra vous nuire.
Cependant, ne vous réjouissez pas de ce que les esprits vous sont soumis; mais réjouissez-vous de ce que vos noms sont écrits dans les cieux. “ (Luc 10:19-20)
Soyons prévoyants, restons dans le calme et continuons à tisser notre réseau en parallèle.
“ C'est dans la tranquillité et le repos que sera votre salut.
C'est dans le calme et la confiance que sera votre force. “ (Esaïe 30:15)
“ C'est pourquoi je t'exhorte à ranimer le don de Dieu que tu as reçu par l'imposition de mes mains.
Car ce n'est pas un esprit de timidité que Dieu nous a donné, mais un esprit de force, d'amour et de sagesse.
N'aie donc point honte du témoignage à rendre à notre Seigneur, ni de moi son prisonnier.
Mais souffre avec moi pour l'Evangile, par la puissance de Dieu. “
(2 Timothée 1:6-8)
Il y a des jours sombres à venir, mais n’oublions pas pourquoi Elohim le permet et la glorieuse finalité de la venue de Yahshua, notre Roi.
“ Du reste, mon fils, tire instruction de ces choses; on ne finirait pas, si l'on voulait faire un grand nombre de livres, et beaucoup d'étude est une fatigue pour le corps.
Ecoutons la fin du discours:
Crains Dieu et observe ses commandements.
C'est là ce que doit faire tout homme.
Car Dieu amènera toute œuvre en jugement, au sujet de tout ce qui est caché, soit bien, soit mal. “ (Ecclésiaste 12:12-14)
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TREMBLEMENT DE LA TERRE
Dans les quinze dernières années, il a été difficile de ne pas être affecté par les grands tremblements de terre qui ont secoué la planète. 
En décembre 2004, l'énorme tsunami d'Asie du sud et de l'océan Indien ravagèrent les côtes de neuf nations. Plus de 250.000 personnes trouvèrent la mort et des millions perdirent leurs maisons. Les scientifiques nous disent que non seulement ce grand désastre a changé les contours de l'Asie, mais il a fait aussi vacillé la terre sur son axe. 
Neuf mois et demi plus tard, en octobre 2005, un autre tremblement de terre dévastateur qui fit 80.000 morts, se produisit dans la région du Cachemire au Pakistan. Des millions de gens se retrouvèrent sans abri. Puis, en plus des tremblements de terre au Chili et en Nouvelle-Zélande, l'horreur de celui qui s'est déroulé à Haïti fit encore un quart de million de morts. 
Enfin, un tsunami résultant d'un tremblement de terre, a frappé la côte nord-est du Japon, faisant surgir le spectre d'une catastrophe nucléaire et un empoisonnement à grande échelle provoqué par la contamination radioactive. 
*** [Notes : liste à actualiser avec l’accélération des différents phénomènes climatiques ces dernières années, ces derniers mois, ces dernières semaines, ces derniers jours].
Il se passe quelque chose dans le monde : d'énormes tremblements de terre, des morts par millions, des tempêtes sans précédent. 
Il se peut que ce soit une coïncidence, mais cela me rappelle les paroles du Seigneur :
« Gardez-vous de refuser d'entendre celui qui parle; car si ceux-là n'ont pas échappé qui refusèrent d'entendre celui qui publiait les oracles sur la terre, combien moins échapperons-nous, si nous nous détournons de celui qui parle du haut des cieux, lui, dont la voix alors ébranla la terre, et qui maintenant a fait cette promesse:
Une fois encore j'ébranlerai non seulement la terre, mais aussi le ciel.
Ces mots: Une fois encore, indiquent le changement des choses ébranlées, comme étant faites pour un temps, afin que les choses inébranlables subsistent. » (Hébreux 12. 25-27). 
Un grand ébranlement est certainement en train de saisir les nations. 
Souvenez-vous que Yahshua nous a avertis que de grands tremblements de terre feraient partie d'une série de catastrophes naturelles, appelées les « douleurs de l'enfantement », qui annonceraient la fin des temps. 
« Il y aura de grands tremblements de terre, et, en divers lieux, des pestes et des famines ; il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel. » (Luc 21. 11) 
« Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. Tout cela ne sera que le commencement des douleurs. » (Matthieu 24:7, 8 et Marc 13.8). 
En d'autres termes, Il nous a dit de nous attendre à ce que les désastres naturels augmentent en magnitude et en fréquence, comme si la terre elle-même s'effondrait sous le poids du péché. 
Ésaïe dit : 
« La terre est déchirée, la terre se brise, la terre chancelle.
La terre chancelle comme un homme ivre, elle vacille comme une cabane ; son péché pèse sur elle, elle tombe et ne se relève plus. » (Ésaïe 24:19, 20). 
Si en réalité, nous vivons les dernières décennies de la fin des temps, nous ne devrions pas nous attendre à ce que la planète reste calme ou tranquille. 
Dieu utilisera ces calamités pour attirer à Lui des multitudes, mais nous devrions être conscients qu'elles vont devenir de plus en plus graves. 
TREMBLEMENT SPIRITUEL 
La peur va augmenter avec la multiplication des catastrophes naturelles [et autres lois].
Cependant, nous n'aurons rien à craindre si nous connaissons vraiment le Seigneur. 
En fait, c'est également pendant cette période qu'Il a promis que la position et le règne des puissances des ténèbres seraient ébranlés. 
Le Seigneur a dit : 
« Une fois encore j'ébranlerai non seulement la terre, mais aussi le ciel. » (Hébreux 12:26). 
Ce verset ne se réfère pas à la demeure de Dieu.
Le ciel mentionné ici se réfère à la sphère spirituelle, connue comme « les lieux célestes » :
“ afin que les dominations et les autorités dans les lieux célestes connaissent aujourd'hui par l'Eglise la sagesse infiniment variée de Dieu. “ (Éphésiens 3:10). 
Ces « lieux célestes » représentent la dimension spirituelle à partir de laquelle « les pouvoirs... les puissances du monde des ténèbres... et les forces du mal » exercent leur règne sur les nations :
“ Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable.
Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes.
C'est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté. “ (Éphésiens 6.11-13). 
Ainsi, le Seigneur dit en Ésaïe :
« En ce temps-là, l'Éternel châtiera dans le ciel l'armée d'en haut, et sur la terre les rois de la terre. » (Ésaïe 24:21). 
Le dernier grand ébranlement affectera à la fois la sphère naturelle et la sphère spirituelle. 
De même, Yahshua a averti que pendant la fin des temps :
 « Les puissances des cieux seront ébranlées. » (Matt. 24. 29). 
Francis Frangipane Ministries of Francis Frangipane 
LA LISTE D'ÉLIE - www.elijahlist.com
Source : parolevivante.net
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break-the-soul · 4 years ago
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CHAPITRE 19
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Un échec, encore un. Je pensais que Jimin était en sécurité, mais j’avais tord… Je revois son corps frêle et blafard coulant dans cette vieille baignoire, ses yeux fermés comme s’il venait de s’endormir de la plus paisible des manières. Et ces débris de photos semi-brûlés sur le sol.
«Le 25 Juin de l'année 19.»
Surement l’un de nos plus beaux jours ensemble. Rien que d’y penser mon cœur se serre. Suis-je le responsable de toute cette pagaille ? Ai-je vraiment failli à toutes nos belles promesses ?
Je regarde mon reflet dans ce grand miroir devant lequel je me tiens. Les yeux remplis de larmes si amères.
Cette fois, je ne dois pas échouer.
Ainsi la boucle a recommencé, en ce 11 Avril.
Namjoon, à la station service. Jungkook, au lycée. Yoongi, au bar. Hoseok, au centre commercial.  
 8 Mai. Année 22.
Déjà presque une heure que je suis assis sur une vieille caisse en fer, à moitié rouillé, que Namjoon a emballé dans une vieille couverture épaisse afin d’en faire un confortable tabouret, une bière à la main. Plus tôt dans l’après midi, on s’est tous retrouvé à l’épicerie de Taehyung avant que Namjoon nous propose qu’on aille chez lui, disant qu’on y sera bien et qu’on pourra se poser. Pas une seconde je ne me serai douté de l’endroit où il vit depuis son retour en ville. Un container. Namjoon vit dans un vieux container qu’il a aménagé de ses maigres économies. Mais c’est malgré tout assez cosy et convivial.
L’espace intérieur n’est pas immense, tout au plus 30 voir 35m². Avec un espace salon, avec dans un coin avec une très vieille gazinière, un encore plus vieux four/micro-onde et un vieil évier ; il y a aussi une toute petite salle de bain séparée par une sorte de cloison. Le container est dans un terrain vague qui longe les voies ferrées, qui sert débarras pour les trains de marchandises qui trône aussi par là bas, quasiment à l’abandon.
 La voix de Jungkook, assit sur le vieux canapé délabré à coté moi, me sort de mes songes. Jungkook venait de me dire que j’avais bien l’air pensif, me demandant en passage ce qui occupe si intensément mes pensées. Je regarde Jungkook quelques secondes, puis je regarde autour de moi. Je me rends compte que les quatre autres gars me regardent avec tout autant de curiosité sur le contenu de mes pensées. Je me redresse un peu, posant bruyamment ma bière sur la table basse rafistolée et je me frotte l’arrière du crâne en fermant les yeux quelques secondes. Avant de passer mes mains sur mon visage en décidant de leur confier mes tourments.
« _ Les gars…Je pense à Jimin…On ne peut plus le laisser dans cet hôpital…Dieu sait ce qu’il vit là bas…tout seul…abandonné…
_ Jin a raison… commence Hoseok en se frottant le cou. Jimin est enfermé là bas depuis trois ans…il me l’a avoué quand j’étais avec lui à l’hôpital…
_ Trois ans…Enfermé dans un hôpital…Quelle horreur…tout seul… Chouine Taehyung en tournant ses yeux de chiots vers ses ainés.
_ On ne peut pas rester les bras croisés alors que Jimin se meurt à petit feu là bas…Il n’est plus que l’ombre de lui-même… Reprend Namjoon.
_ Et on fait comment Namjoon-hyung, lance timidement Jungkook qui se redressé.
_ Il faut qu’on aille le chercher…ce soir… ai-je lancé avec détermination, ayant prit ma décision subitement. »
Les gars se sont tous tournés vers moi, me regardant avec de grands yeux. Je relève les yeux vers mes amis, et je les regarde avec confiance et sureté. Je me dis que c’est la meilleure solution pour le sauver de l’enfer dans lequel il vit. Mais maintenant, il faut trouver comment le sortir de là. Et ça, c’est un tout nouveau problème à résoudre.
Namjoon a une idée. Il va chercher un vieux poster qu’il a récupéré pour avoir du papier si un jour il a besoin d’écrire quelque chose. Taehyung et Jungkook se mettent au schéma de leur plan. De mon coté, je chercher le plan de l’hôpital sur ma tablette que j’ai toujours dans mon sac. Hoseok, lui qui connait non seulement les lieux mais aussi le système du personnel médical, donne son avis sur le plan de Namjoon, les guidant sur les recoins sûrs, et annonçant le meilleur horaire pour faire cela. Une vraie mission d’agent secret. On va te sortir de là Jimin, tu as ma promesse. Je ne te laisserai pas périr là bas. Tiens bon…on arrive.
*****
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Jimin, 5 mai. Année 22
Abandonné. Encore une fois je suis abandonné, laissé seul à mon destin. Hoseok pourquoi me fais-tu cela ? Pourquoi es-tu parti sans moi ? Tu m’avais promis de ne plus me laisser seul. Pourquoi ?
Je suis debout devant l’encadrement de cette chambre que nous avons occupés tous les deux pendant plus de deux semaines. Je baisse la tête, les yeux remplis de larmes. Pourquoi suis-je destiné à passer ma vie seul ? Qu’ai-je fais au monde pour mériter cela ? Je regarde la porte devant moi. Je veux partir, je veux quitter ce monde de solitude, je veux vivre à nouveau.  
Je suis décidé, je m’en vais, pour de bon, je veux retrouver ma liberté, je veux connaitre à nouveau la joie du soleil sur ma peau, l’air printanier et la chaleur des rayons du soleil dans mes cheveux. Je ne veux plus de la froideur de cet hôpital. Je m’élance, j’ouvre d’un geste brusque la porte et je me mets à courir en direction de la lumineuse porte au bout du couloir. J’approche enfin de la lumière, j’y suis presque. A moi la liberté, à moi les rayons du soleil. Adieu cet hôpital froid et hostile, où je dépéris depuis maintenant 2 et demi.
J’y suis presque.
Mais alors que mes mains allaient se poser sur la poignée, je me stoppe brutalement au milieu du couloir. Je ne peux pas. Je n’ai pas la force de passer cette porte qui me retient prisonnier depuis toutes ses années. Je tombe à genoux à un mètre de la porte et je me mets à pleurer.
Je n’ai pas la force de franchir cette ligne. Je pensais être prêt.
J’avais tord.
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baishayuinjapan · 4 years ago
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27/04 : Un peu de nouvelles en semaine!
Bonjour à tous, chose promise chose due : voici un petit aperçu de ce à quoi ressemble ma vie au Japon. Cela fait 6 mois que j’y habite, un bon moment pour commencer à avoir ses petites habitudes et cerner un petit peu mieux la mentalité Japonaise au travail et dans la vie plus généralement. 
Tout d’abord le point chaud du moment, le Covid. Le Japon est actuellement en train de vivre sa 4è vague et nous sommes depuis ce week-end en état d’urgence, le 3è depuis le début de la pandémie. Concrètement l’état d’urgence ne change pas grand chose à d’habitude car il rend obligatoire des mesures qui étaient déjà respectées par une partie des commerces, à savoir la fermeture sèche à 20h, l’arrêt de distribution d’alcool dans les bars et restaurants, et la fermeture des activités non essentielles (bon il est encore possible de trouver des établissements qui ne respectent pas les consignes, mais la loi doit sûrement avoir des clauses). En revanche vous voyez bien en suivant mes nouvelles que nous n’avons aucune restriction en terme de déplacements et c’est tant mieux!
En réalité ma vie en semaine est assez peu trépidante. Je me lève tous les jours à 6h45 pour un départ à 7h30 en voiture au travail. Les petits déjeuners sont plutôt frugaux mais j’arrive à varier et me faire plaisir : pain de mie - beurre de cacahuète - confiture ; yaourt, muesli, fruits, café (je me suis acheté une French Press pour me faire autre chose que du café en poudre le matin). Le weekend c’est la fête, je me fais des pancakes! Mais sans trop me forcer non plus, je profite des mélanges de farine tout faits où il n’y a qu’à ajouter un oeuf, un peu de lait et mettre à cuire pour avoir de bonnes crêpes!
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J’ai aménagé mon chez moi à mon goût, avec les 3 mêmes plantes que j’avait à Kobe, mes décorations des Girondins (et oui, l’actualité n’enlève rien à ma ferveur!) et...c’est à peu près tout. En tout cas je me sens vraiment très bien dans cet appartement, malgré le bruit du train toutes les minutes je me plais très bien!
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Le travail se passe bien également : on est une équipe de 4 ingénieurs déploiement sur le projet Osaka, 3 Français et un Philippain. Il y a également 3 superviseurs de chantier : 2 Japonais et 1 Français. Le reste des intervenants sur le chantier sont des sous traitants d’Exotec, tous Japonais. La communication n’est pas tout le temps facile mais on y arrive! (en réalité on a pas vraiment besoin d’interagir avec eux)
Trois autres collègues sont restés sur Kobe en attendant que le système soit totalement validé par le client, prévu fin juin. Leur travail consiste à superviser la production de Uniqlo, réparer des robots cassés et faire des tests lorsque les équipes en France nous envoient des améliorations logicielles (imaginez que vous deviez faire des mise à jour fréquentes de votre iPhone et que votre travail soit de remonter les potentiels problèmes à Apple jusqu’à arriver à un iPhone qui fonctionne comme ce que vous vouliez). 
De mon côté je fais du travail de déploiement pur et dur à Osaka, toujours avec un grand panel de tâches : s’assurer que le chantier avance dans les temps, anticiper de potentiels soucis techniques, configurer des équipements, installer les logiciels, s’assurer que les livraisons arrivent en temps et en heure...pleins de tâches donc, et l’ambiance au travail est bonne car l’équipe gagne en expérience. On est tous un peu plus conscients des tâches à réaliser, du temps que cela va prendre, des risques encourus...vu qu’on a déjà fait ça sur Kobe.
Un fait plutôt drôle : on a tendance à tous manger ensemble à midi, et à la française, c’est à dire avec de bonnes pauses de facilement 1h30. Vu que personne ne prend de pause pendant la journée, c’est important de savoir calmer le rythme à midi, chose avec les Japonais avaient du mal au début (eux prennent généralement 30 minutes ou 1h de pause maximum. On va donc tous les midis au restaurant et tout le monde commence à bien apprécier cette parenthèse dans la journée ! Il y a pas mal de choix de restaurants autour de l’entrepôt accessibles en voiture, comme des fast food (Macdo, Burger King, KFC), des sushis, des ramens (soupe de noodles), des tonkatsu (porc pané fris), hawaien (n’imaginez rien de très exotique non plus, c’est très Japonisé), pizza... de quoi varier donc! Ci dessous 3 types de déjeuners : un bon gros Burger King (avec une dégustation de Whooper classique VS Whooper vegan)
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Un restaurant assez classe de crabe (tellement classe qu’ils nous ont apporté au début du repas un papier sur lequel était inscrit l’ordre dans lequel ils allaient nous apporter les 7 différents plats! Le tout pour environ 25 euros
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Et enfin un curry Japonais au légumes dans ce fameux restaurant “hawaïen”
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A l’entrepôt, beaucoup de règles sont imposées : port des chaussures de sécurité, du casque de chantier, interdit de porter des manches courtes (pour éviter les coupure). Mais aussi des règles qui nous font penser que les personnes qui travaillent sur les chantiers sont perçues comme “sales” vis à vis des employés des bureau : interdit d’utiliser certaines toilettes (les nôtres sont placardées de protections plastiques), de même pour les ascenseurs ou certaines portes. On ne mélange pas les torchons et les serviettes!
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Vous pourrez aussi remarquer que les bureaux dans lesquels on travaille sont couverts de protections plastiques au sol et au mur afin d’éviter qu’on salisse tout (à croire qu’ils nous voient comme de gros porcs!)
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Mais ne vous inquiétez pas, tout les ouvriers sont logés à la même enseigne. Les ouvriers qui percent le sol et travaillant dans une zone très poussiéreuse changent même de chaussures pour passer de la zone “sale” (le chantier) à la zone “très sale” (là où ils percent), c’est assez comique
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A noter également que les Japonais sont très polis malgré tout (TROP polis). Un exemple tout bête dans les ascenseurs : il est coutume que la personne qui soit la plus proche de la porte d’ascenseur passe en dernier et les Japonais ont une coutume que je trouve ridicule. Au moment de rentrer (en dernier donc) dans l’ascenseur, cette personne martèle le bouton “forçage de fermeture des portes” (ressemblant à =><=) pour éviter de faire perdre de temps au reste des personnes. Il convient ensuite de ne pas parler dans l’ascenseur, et vient le moment où l’ascenseur arrive à destination : avant même l’ouverture des portes, le resp’ bouton reste appuyer sur le bouton “forçage d’ouverture de porte” (<=>) jusqu’à temps que tout le monde soit sorti, et tout en faisant barrière avec sa main pour bloquer une éventuelle fermeture de la porte (certains vont même jusqu’à accompagner le mouvement d’ouverture automatique de la porte d’ascenseur, comme si elle allait subitement se refermer violemment sur nous). Différence culturelle dira-t-on!
Les journées se terminent autour de 19h à l’entrepôt ce qui nous emmène entre 19h30 et 20h à nos appartements. Vous l’aurez deviné, une fois de retour chez moi je ne pars pas faire la java. D’une part à cause des restrictions qui empêchent de sortir, également dû au fait que si par malheur l’un d’entre nous chope le covid l’entrepôt risque de fermer. A cela s’ajoute le fait que concrètement à la France où le soleil se couche à 22h en été, au Japon les jours commencent à 4h30 et la nuit tombe à 19h. Physiologiquement le sommeil arrive donc plus tôt !
Le soir mes activités varient : je passe pas mal de temps à faire des résumés pour vous sur Tumblr (c’est marrant, exactement ce que je fais en ce moment!), je regarde quelques séries, je me fais à manger, et je fais pas mal de Japonais. A ce sujet, Exotec a la gentillesse de nous proposer un forfait hebdomadaire de 2 séances individuelles de 1h de Japonais à distance. Le mardi et le jeudi on rentre donc un peu plus tôt afin de faire notre cours de Japonais par Zoom de 19h à 20h. Ma professeure s’appelle Tomoko ITO, habite a Tokyo et parle très bien le français. C’est à mon avis un bon compromis pour bavarder en Japonais même si ce n’est pas avec 2h de cours par semaine que je deviendrai bilingue! Je continue à utiliser des applications en parallèle : l’apprentissage reste très intéressant mais c’est vrai que sans avoir trop d’occasion de pratiquer dans la vie c’est moins fun :p J’appelle aussi Anaïs presque tous les jours, même sans avoir grand chose à se dire ça nous fait du bien de se voir fréquemment en visio.
Fini donc les nomikai (afterwork (boire un coup après le travail)) pendant l’état d’urgence, mais on en aura quand même fait un certain nombre avant ça. Au Japon les afterwork se font des izakayas qui peuvent être perçus comme des bars à tapas Japonais. On y commande toute sorte d’alcool (bière, umeshu (vin de prune), shochu (eau de vie de riz), lemon sour (liqueur, citron, limonade), whisky... le tout accompagné de plein de petits plats (edamame, karaage (poulet frit), légumes, yakitori (brochettes de viande), tenpura...
En terme de course je pense faire un post dédié à ce sujet. Je mange chez moi uniquement le matin et le soir de semaine et en très grande majorité des féculents (riz, pâtes, nouilles de sarrasin...) accompagnés de légumes et de fruits que je me cuisine le soir. J’arrive à me motiver à faire ma popote le soir et c’est très bien pour la planète, mon portefeuille et mon estomac! En plus de ça je m’amuse de temps en temps à essayer des légumes exotiques Japonais, pas toujours avec succès :) Avec mon dernier exemple que je vais tâcher de cuisiner cette semaine : le Kogomi (ça sert de savoir lire le Japonais)
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Pas de viande chez moi donc car on en mange assez comme ça tous les midis. Je pense que mes journées sans manger de viande doivent se compter sur les doigts d’une main depuis que je suis au Japon.
Et finissons par le sujet qui fâche : l’activité sportive. Je commencerai cette partie en me donnant bonne conscience et disant que je fais mes 10 000 pas / jour à l’entrepôt. La réalité est que j’ai du mal à prioriser le sport dans mes loisirs. Rentrant de l’entrepôt je préfère me poser dans mon canapé, et mes weekend sont plutôt chargés de visites...en plus de ça, dur de trouver des coins de verdure au Japon pour aller courir, il faut donc faire son jogging dans la rue, ou bien marcher 20 minutes pour aller à la piscine (je l’ai fait une fois quand même!). Plus le temps avance, plus j’abandonne l’idée de me mettre au sport au Japon, mais rassurez vous je cours environ 1 fois toutes les deux semaines malgré tout!
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mina-thms · 4 years ago
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Psychotic Love
Chapitre 8 : garde de nuit
Chapitre 1 : le dossier | Chapitre 2 : la demande de stage | Chapitre 3 : le patient | Chapitre 4 : la première discussion | Chapitre 5 : coup de cœur | Chapitre 6 : jeu d’énigmes | Chapitre 7 : talent caché | Chapitre 8 : garde de nuit |  Chapitre 9 : calmants douloureux | Chapitre 10 : sentiments ambigus | Chapitre 11 : conversation intense | Chapitre 12 : effrayant passé | Chapitre 13 : sentiments dévoilés | Chapitre 14 : règlement enfreint | Chapitre 15 : étrange ressentiment | Chapitre 16 : jalousie maladive | Chapitre 17 : intimement liés | Chapitre 18 : échec et mat | Chapitre 19 : suicide | Chapitre 20 : état de choc | Chapitre 21 : sortie illégale | Chapitre 22 : cavale improvisée | Chapitre 23 : cachette improbable | Chapitre 24 : crise de panique | Chapitre 25 : horribles révélations | Chapitre 26 : cœur brisé | Chapitre 27 : vérités | Chapitre 28 : réconciliation troublante | Chapitre 29 : évadé retrouvé | Chapitre 30 : une fin anticipée
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Suite à sa question, Lexa était devenue plus stressée que d'habitude en raison du regard envoyé par Aedan. — Qu'est-ce qui te fait dire qu'il y a quelque chose dont je ne te dis pas ? demanda Aedan mystérieusement. Lexa souffla épuisée par les secrets du jeune homme. — Ecoute, je sais quand on me cache quelque chose et là, c'est ce que tu fais. — Pendant que j'étais sous morphine, elle a abusé de moi plusieurs fois, selon les dires de Connor dont elle oubliait l'existence à chaque fois car il est très silencieux. Et selon certaines personnes ici, elle aurait poussé une jeune fille de 16 ans qui était internées ici, à se suicider. Je ne sais pas si la dernière information est vraie mais pour la première, je peux confirmer que ce que Connor m'a raconté est vrai. Il lui montra ses poignets avant de lever légèrement son pull rayé noir et gris. Ses poignets étaient rouges et irrités comme si une corde les avait serré. En revanche, ce que Lexa vit sous le pull d'Aedan la terrifia. Trois grosses entailles longues d'une dizaine de centimètres, toutes recouvertes d'un grand pansement blanc. — Elle m'a fait ces entailles à l'opinel mais la version de l'infirmière est que je me suis fait ça avec mes ongles mais je doute que des ongles puissent donner ce résultat, continua-t-il en regardant l'arbre devant lui. — Mais comment cela se fait-il que personne ne te crois ? Lexa était exaspérée quant à la réaction des gens. — Parce que je suis fou. Mais je ne sais pas si c'est moi le plus fou ou elle qui a demandé à revenir pour continuer à s'occuper de moi. — Mais personne ne se pose de question par rapport au fait qu'elle veuille revenir même après ça ? questionne Lexa doucement. En tout cas, je suis sincèrement désolée par rapport à tout ce qu'elle t'a fait subir. — Je t'ai dit qu'il y avait une seule personne qui a pris le temps d'écouter ma version des faits. Mais comme je te l'ai dit, cette personne n'a pas d'influence. Cette même personne trouve cette aide-soignante louche et c'est très surprenant que cette personne soit Nicolas, rétorqua-t-il en réfléchissant. Il sourit à Lexa suite à ses paroles. — Nicolas ? Nicolas Tirrault ? demanda-t-elle avec surprise. Je pensais qu'il ne t'aimais pas. Lexa fronça les sourcils. — Mais, il ne m'aime pas. Même un aveugle pourrait voir ça. C'est juste qu'il sait faire la différence entre le fait de ne pas aimer quelqu'un et celui de le croire et le soutenir. Et je t'assure, que beaucoup dans ce monde devrait prendre exemple sur lui, expliqua Aedan en se levant. Lexa le regarda avant de regarder sa montre et de voir qu'il était déjà 17H50. Cela faisait deux heures et demie qu'ils parlaient ensemble et Lexa n'avait pas vu le temps passé. Je dois aller prendre ma douche, c'est l'heure, poursuivit-il alors que Lexa se leva et le suivit. — Comment tu sais qu'il est l'heure que tu prennes ta douche ? Elle le regardait de haut en bas, remarquant qu'il n'avait pas de montre au poignet. — À force de passé du temps ici, je commence à reconnaître l'heure qu'il est avec l'aide du soleil. Lexa sourit au fait qu'il sache lire l'heure grâce au soleil. Alors qu'ils entraient tous les deux dans le bâtiment, Tiana interpella Lexa qui s'approche d'elle accompagnée d'Aedan.   — Lexa, je suis désolée de te demander ça comme ça, mais est-ce que ce serait possible que tu fasses une garde de nuit ? Une des aides-soignantes s'est fait pousser dans les escaliers par une de nos patientes se nommant Angéline, déclara-t-elle stressée quant à tout ce qu'il se passait. — Ne vous inquiétez pas Tiana, je vais faire la garde de nuit. Lexa fit un tendre sourire à Tiana qui s'éloigna rapidement après l'avoir remercié. — Qui est Angéline ? interrogea Lexa alors qu'ils reprirent leur chemin en direction des douches. — Une femme atteinte de nanisme et qui se fait passer pour une gamine de 7 ans alors qu'elle en a 30. Elle a beau être petite et semble inoffensive comme ça, mais elle a déjà envoyé une dizaine d'aides-soignantes à l'hôpital. Le truc c'est qu'ils ont beau l'enfermer en isolement durant la nuit, elle trouve toujours un moyen d'y sortir, même avec toute la sécurité de cet hôpital. La plupart des gardes de nuit sont effrayés car elle sort tout le temps, expliqua-t-il faisant frémir de peur Lexa pour la première fois depuis qu'elle était entrée dans cet hôpital. Mais ne t'en fais pas, je resterai avec toi pour ta première garde de nuit, si tu le souhaites. Lexa hocha la tête frénétiquement. Lexa et Aedan montèrent jusque dans les douches après être passés par la laverie pour récupérer des affaires propres pour Aedan. Lexa laissa à Aedan un peu d'intimité alors qu'il prit sa douche avant de toquer à la porte 10 minutes plus tard, signe qu'il était temps de sortir. Aedan sortit de la pièce 5 minutes plus tard habillé d'un t-shirt et d'un jogging tous deux noirs. Il découvrit une Lexa complètement stressée qui regardait un peu partout tout en rongeant ses ongles. — Tu vas bien ? questionna Aedan inquiet. Lexa cria doucement de surprise et posa sa main sur son cœur. — Ouais, je vais bien. Cette Angéline me fait juste un peu stresser. Lexa n'était pas très sereine de devoir passer la nuit dans le même bâtiment qu'Angéline alors qu'elle admirait les cheveux d'Aedan qui étaient encore un peu humides. — T'en fais pas. On va aller manger et ensuite tu restes avec Connor et moi dans la chambre. Tout ce que tu dois faire c'est sortir de la chambre toutes les cinq minutes jusqu'à 23 heures pour vérifier que personne ne se balade dans les couloirs et te rendre en isolement toutes les demi-heures pour vérifier que tout aille bien. Mais ne t'inquiètes pas, tant que tu seras avec moi, il ne t'arrivera rien. J'ai pas envie de perdre tout de suite mon aide-soignante, ricana Aedan doucement. Lexa n'était pas du tout rassurée. Elle commença à marcher à la suite d'Aedan et ils arrivèrent au bout de quelques minutes, dans le réfectoire de l'hôpital. — Allons manger avec Connor, déclara Aedan doucement. Il montra Connor d'un signe de tête. Aedan et Lexa se mirent assis tous les deux en face de Connor alors que ce dernier les regardait avec un sourire sinistre dévoilant ses dents. — Bonjour joli demoiselle. Tu dois être Lexa ? salua Connor de façon sournoise. Lexa frissonna de peur et tourna sa tête vers Aedan, lui suppliant de l'aider. — Cesses de faire peur aux gens, Connor. Elle va devoir rester dans notre chambre pour faire sa garde de nuit car Angéline a poussé une aide-soignante dans les escaliers, rétorque Aedan un peu durement. Lexa lui fit un sourire pour le remercier. — J'aime bien Angéline, moi, répliqua Connor en haussant les épaules. Il prit une grosse bouchée de son plat et la mit dans sa bouche. — Tu m'étonnes. Vous êtes pareils, se moqua Aedan en secouant la tête de gauche à droite. Vous êtes tous les deux des psychopathes. Connor sourit et avala sa bouchée avant de lui répondre en ricanant. — Tu l'es aussi. Lexa mangeait tout en les regardant bizarrement. Monique avait raison. Ils se complétaient d'une façon assez peu compréhensible. Lexa termina de manger et se leva suivit d'Aedan et Connor. Ils se dirigèrent tous les trois vers la chambre des deux internés et arrivèrent devant celle-ci, Connor se précipite et ferme la porte, la bloquant avec quelque chose pour empêcher Aedan et Lexa d'entrer, faisant souffler doucement Aedan. — Qu'est-ce qu'il se passe ? demanda Lexa perplexe en voyant Aedan, les bras croisés avec une mine exaspérée. — Tu ne le diras à personne ? J'ai pas envie qu'il aille en isolement pour ça, commença-t-il en regardant Lexa avec une certaine appréhension alors que cette dernière hocha la tête doucement. Voir de nouvelle tête le chamboule car il repense à son passé. Laisse lui du temps. C'est compliqué pour lui. Aedan partit dans la direction opposée à celle depuis laquelle ils étaient arrivés. — Où vas-tu dormir ? interrogea-t-elle en trottinant pour arriver à sa hauteur. — Pour commencer, je vais rester éveillé avec toi jusqu'à 23 heures et ensuite je dormirai dans la salle de repos. Et tu restes avec moi, au cas où Angéline aurait décidé de se montrer. Ils arrivèrent dans la salle de repos où plus personne ne se trouvait. — Tu dois tourner dans les couloirs du bâtiment et biper si jamais tu vois quelqu'un se promener sans aide-soignant, ajouta-t-il en voyant Lexa ne pas savoir quoi faire. Aedan se dirigea vers un couloir que Lexa ne connaissait pas et s'y aventura, la jeune fille à sa suite. Leurs pas résonnèrent dans les couloirs sombres et silencieux et Lexa fit de son mieux pour garder une respiration calme. Alors que Lexa marchait, elle entendit de forts coups sur une surface métallique, la faisant sursauter. Aedan lui attrapa sa main et elle se calma instantanément. — On doit aller dans le couloir en isolement Lexa. On doit vérifier que personne ne sorte de là-bas. Ne t'en fais pas pour les coups que tu entends. C'est seulement Marlène qu'ils attachent chaque nuit car elle est psychotique et somnambule en plus d'être mentalement instable, rassura Aedan alors que Lexa hochait doucement la tête. — Est-ce que ton instabilité psychologique t'empêche de ressentir certaines émotions ? questionna Lexa en s'arrêtant. Aedan s'arrêta et jaugea longuement la jeune femme du regard. — J'ai des émotions. Elles sont justes différentes des tiennes. Lexa le regarda bizarrement attendant quelques explications. — Et comment sais-tu que mes émotions sont différentes des tiennes ? Tu ne me connais que depuis quelques jours, récrimina Lexa en croisant les bras. Elle fit ressortir un côté d'elle qu'elle n'aimait pas et faisant sourire grandement Aedan. — Voilà pourquoi je n'arrive pas à te cerner. Tu refoules tes émotions négatives au fond de toi car malgré ce que tu laisses paraître, ton passé est beaucoup plus sombre que tu ne le montres. Aedan s'approcha doucement de la jeune femme qui décroisa ses bras. Lexa devint de plus en plus pâle quant au fait qu'elle eut laissé ses émotions négatives sortir. Elle s'apprêtait à parler mais Aedan la coupa dans son élan en collant sa bouche à l'oreille de son aide-soignante. — Tu es venu ici pour comprendre quelque chose qui t'est arrivé dans le passé. Quelque chose que tu n'as pas pu empêcher. Et pour information, tes rougissements et tes frissons montrent tes émotions et ces dernières sont donc différentes des miennes. Maintenant, on doit aller en isolement, chuchota Aedan avant de s'éloigner. Il continua sa marche laissant Lexa seule, les bras ballants, au milieu d'un couloir sombre. Elle le rattrapa en trottinant et ils continuèrent d'avancer dans un silence pesant. Elle souffla doucement et s'humidifia les lèvres.   — C'est quelque chose de mon passé que j'aimerais comprendre. Rien d'important, déclara-t-elle alors qu'ils arrivèrent devant la porte de l'isolement qu'il fallait badger pour pouvoir entrer. — Tu mens sur l'importance de cette chose, mais je m'en fiche. J'arriverai bien à savoir ce que tu caches, Lexa Bascher. Il croisa les bras alors que Lexa déverrouillait la porte avec son badge suivit de son code lui ayant été donné, secrètement, par Tiana, plus tôt. La porte s'ouvrit et Lexa entra suivit de près par Aedan qui décroisa ses bras. Après que Lexa eut refermé la porte, la jeune femme se tourna vers le jeune homme avec un regard dur. — Bonne chance Aedan Kesey, répliqua Lexa avec un petit sourire en coin ornant ses lèvres. Alors que Lexa continuait de regarder Aedan, le regard du jeune homme dévia vers quelque chose se trouvant derrière Lexa. Elle se retourna et remarqua une petite femme au bout du couloir munie d'un long morceau de métal aiguisé. — Derrière moi Lexa, grogna Aedan en continuant de regarder la petite femme se trouvant devant eux. Lexa était quant à elle paralysée et effrayée. — Lexa ! Mets-toi derrière moi. Tout de suite ! Il empoigna le bras de Lexa qui sortit de sa transe et la plaça derrière lui de façon à pouvoir la protéger. —Tu n'as rien à faire dans le couloir Angéline, l'informa Aedan faisant sourire Angéline qui avançait doucement vers eux. — Toi non plus Aedan, roucoula-t-elle avec un sourire séducteur faisant rouler les yeux de Lexa. — Il se trouve que j'accompagne mon aide-soignante au cas où elle se retrouverait dans une situation comme celle-ci. Retournes dans ta chambre ou ça va mal se finir. Lexa fouilla dans son sac à la recherche de quelque chose. — Oh, c'est vrai. Il paraît qu'Aedan Kesey a à nouveau une aide-soignante, grinça-t-elle en regardant la femme derrière Aedan. Combien de temps va t-elle durer ? Une semaine ? — Je te conseille de la fermer Angéline, parce que je risque de m'énerver. J'espère que tu iras pourrir en enfer, alerta Aedan durement. Lexa sortit alors de son sac, une sarbacane ainsi qu'un pot dans lequel se trouvaient une vingtaine de boules blanches. Elle mit une boule dans sa sarbacane et souffla en direction du cou d'Angéline qui se trouvait maintenant à seulement une dizaine de centimètres d'eux. Elle remercia mentalement son grand-père l'ayant initié aux plantes ainsi qu'à viser avec une sarbacane.     — On se reverra là-bas alors, chéri, ironisa Angéline avant de sentir quelque chose entrer en contact avec son cou. Elle se tourna vers Lexa avec des yeux menaçant. — La morphine ne fait pas effet sur moi. Elle pointa son morceau de métal en direction de Lexa. — Mais, débuta Lexa en voyant les membres d'Angéline faiblir, qui vous a dit que c'était de la morphine ? Angéline tomba raide sur le sol. Lexa se tourna vers Aedan qui la regardait bizarrement. — Quoi ? Ne me dis pas que tu pensais que je ne viendrais pas préparée ? dit-elle avec un soupçon de sarcasme dans sa voix alors qu'Aedan secouait la tête de gauche à droite. — C'est une plante toxique très puissante utile dans les situations comme celle-ci. Elle n'a pas besoin de se trouver dans le sang pour faire effet. La simple odeur qui en émane suffit à faire tomber raide une personne pendant plusieurs heures*, expliqua-t-elle en retirant le morceau de métal de la main d'Angéline. On doit la ramener dans sa chambre. Lexa prit Angéline par les aisselles tandis qu'Aedan la prit pas les chevilles.   — Visiblement, tu m'impressionnes de plus en plus, rétorqua Aedan avec un sourire en coin faisant sourire Lexa également. Espérons que ça dure, murmura-t-il pour lui-même.
*Je ne sais pas si une telle plante existe car je n'ai pas trouvé grand-chose à ce sujet. Veuillez m'excusez si ce n'est pas correct.
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claudehenrion · 4 years ago
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Le diable avance masqué… avait prévenu Lacan.
  Depuis quelques jours, on rencontre sur tous les réseaux sociaux et sur le web une véritable “bronca” contre le port du masque. Et il ne s'agit plus, cette fois, de parler de confort, de mal-être ou même de l’utilité ou non devant les prétendus méfaits du Covid (qui n'a jamais eu, il faut le rappeler, le moindre point commun, même de très loin, avec n'importe laquelle des “pandémies” qui ont endeuillé l'humanité). Cette fois, il est question des dégâts que cause le port exagéré du masque sur toute population, en sachant que le “trop” est très très vite atteint, dans ce cas-là ! Dans cette bataille entre l'affolement et le réalisme (certains disent : entre le mensonge et la vérité), une analyse calme des enjeux s'impose.  
  Evacuons tout de suite le cas dramatique des enfants : il ne fait de doute pour personne que leur imposer, à tout âge, le port obligatoire d'un objet de torture –assorti de tas d'autres mesures tout aussi improductives, comme les “récrés” sans jeux, sans ballons, sans courses… sans vie et donc sans récré– est inhumain. J'essaye de m'imaginer, vers 8 ou 10 ans, ainsi bridé, castré, puni, déshumanisé, brisé… et je n'y arrive pas. Les gens qui prennent de telles décisions soit n'ont jamais été vraiment “enfants” (ce qui pour un futur technocrate ravagé, polarisé et déconnecté de tout, n'est pas inenvisageable), soit n'ont aucune mémoire affective (seuls les chiffres, surtout pipés, ont un sens pour eux), soit sont de ‘’sacrés’’ tortionnaires qui ont décidé de faire payer aux plus jeunes d'avoir encore la jeunesse que eux ont perdue ou n'ont jamais eue… Nous parlerons une autre fois des ravages faits sur des enfants qui grandissent dans un univers sans visages…
  Au delà de cette évidence qui ne peut échapper qu'à des cerveaux indifférents aux réalités du monde (et quand on sait que les enfants ne sont pratiquement pas concernés, que le “covid” est à peine plus qu'une bonne grippe, que la majorité des décès de la “première vague” étaient dus à des erreurs de traitement (les mortifères “intubations”) ou d'autres pathologies déjà présentes, et que la “seconde vague” est un mensonge caractérisé –dont personne ne peut comprendre pourquoi on en parle)… je vais essayer de résumer à votre intention les arguments qui circulent, avec une forte tendance à la hausse… et sans le moindre “contre feu”, à ce jour.
  Le premier des arguments qui sont brandis par les “lanceurs d'alerte” attire donc l'attention sur une véritable maltraitance des enfants dans les écoles, directement liée au port permanent du masque (on demande une pensée particulièrement émue pour les internes, qui n'ont même pas la possibilité de se libérer de ce carcan quand  ils arrivent chez eux –sous réserve que leurs parents n'aient pas l'âme de tortionnaires). Cette mesure inhumaine entraînerait une forte augmentation des pathologies d'origine pulmonaire et respiratoire dans les cabinets des généralistes, et 25 % de ces cas seraient une conséquence directe du port du masque.
  Ces pathologies sont très variées, et on trouve, dans les listes que j'ai consultées --outre les allergies cutanées dues au frottement du masque, les irritations aux oreilles dues aux élastiques et des cas de grande fatigue inexplicables autrement, des bronchites sévères-- des conjonctivites graves (à cause d’expirs rejetés vers le haut), des furonculoses, des herpès labiaux, de l'impétigo, des staphylococcies sur les lèvres et les joues et des streptococcies… ce qui n'est pas rien, si c'est avéré.  
  Mais les “lanceurs d'alerte” ajoutent à cette liste déjà insupportable que le port du masque prive de 20 % d’oxygène, ce qui abaisse le rendement du cerveau (c'est sympa pour des étudiants, qui font leur rentrée aujourd'hui !) et les défenses immunitaires… qu'il augmente de 25 à 30% la concentration du CO² dans l’organisme, créant une intoxication générale qui donne de violents maux de tête (sympa pour qui a besoin de se concentrer !)… et que le masque réinjecte en circuit fermé des charges virales et bactériologiques, ce qui oblige les organismes à un gros travail immunitaire qui risque d'entraîner des infections ORL et pulmonaires graves -d’autant plus que, par la vapeur d’eau rejetée à chaque expir, on entretient derrière le masque une mini atmosphère chaude très humide, analogue à celle de ces pays chauds et humides où les maladies infectieuses… se portent bien.
  Un des sites les plus consultés, qui est celui de Michel Dogna, Heilpraktiker de l’Université de Saarbrück et directeur de “Nouveaux Horizons Santé”, va jusqu'à mettre nos édiles (maires, préfets, chefs d'établissement, profs et, dit-il, “tous ceux qui ne cherchent pas à s’informer autrement que par la télé-mensonges”) devant cette responsabilité, et il interpelle notre Gouvernement qui “met des policiers en armes de guerre pour contrôler le port du masques par des bambins de 6 ans”, ce qui est effectivement choquant, pour ne pas dire honteux. Mais nous ne sommes plus à ça près, après quelque 6 mois de folie furieuse ininterrompue. Michel Dogna va jusqu'à préciser : “Les bactéries (il y en a dans les 3000/cm²) qui se collent sur les masques se transforment en champignons, et porter un masque rend donc malade. En quelques semaines, vous allez faire de l’hyperventilation, vous allez tousser et avoir mal à la gorge, vous allez avoir des problèmes de bronches par la faute d'un champignon interne, produit de la respiration et de la moisissure”. 
  Au delà de ces annonces, dont certaines semblent évidentes et d'autres plus difficiles à admettre sans restriction, on se prend à douter de tout… et à se demander si le bourrage de crâne dont nous sommes victimes (ça, en revanche, ça ne fait pas de doute !) serait un moyen détourné pour créer la “deuxième vague” promise : on nous racontera que c’est une nouvelle épidémie respiratoire, et… “passez, muscade”. Remarquez qu'il serait logique, si tout le monde porte un masque, qu'une nouvelle vague finisse par se pointer… Elle ne sera pas due à un virus grippal mais elle viendra d’une infection bactériologique des bronches, due à une respiration constante dans un cloaque aux performances de “cuvette de WC”.
  Tout le monde sait que les trous d’un masque font 3 microns, c'est-à-dire 3.000 nanomètres, alors qu’un virus ne fait que 15 à 20 nanomètres. Il ne faut pas sortir de l'ENA pour comprendre qu’on se paye notre tête. Tous les médecins dignes de ce nom savent qu’il n’existe aucun masque antivirus et que même les masques chirurgicaux pour les salles d’opération ne protègent que des bactéries, des levures et des champignons, et doivent être changés toutes les 3 ou 4 heures. Vous êtes-vous demandé pourquoi il est écrit sur les étiquettes de tous les paquets de 50 de ces maques achetés en pharmacie mais qui nous étouffent : “Ce produit ne protège pas des contaminations virales ou infectieuses’‘ ? Moi, oui… Je n'ai trouvé qu'une seule réponse : on nous prend pour des cons !
  Mais pourquoi donc continuent-ils à nous menacer de cette ’'seconde vague de Covid”, qui était annoncée en juin… puis en juillet… puis en août… ? Nous voilà mi- septembre, et l’on ne voit rien venir, les urgences sont vides, même si des esprits inventifs ou sous tension les voient pleines… en ne disant pas que c'est “un peu pleines de malades non-covid”, et alors que tous les virologues sont d’accord pour dire qu’il n’y a jamais de second pic dans les épidémies, que le Covid est maintenant dégonflé (ça “mute”, ces petites bêtes-là !) et ne peut normalement donner lieu qu’à un simple gros rhume… ce qu'il fait, comme prévu. Faudrait-il en déduire que la dernière chance de Bill Gates and Co pour provoquer cette foutue deuxième vague et pouvoir imposer son faux vaccin inutile, c’est de maintenir l’obligation du port du masque afin de déclencher les dégâts conséquents cités plus haut, qui n’ont plus rien à voir avec le Covid mais qu’on arrivera à faire passer pour tels ? N'étant pas plus “complotiste” qu'il est sain de l'être, j'ai du mal à le croire...
H-Cl.
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jenesaispasvivre · 4 years ago
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Je déteste le mois d’août
L’autre jour j’étais agacée de la vie et j’avais envie de me faire du bien alors j’ai appelé mon pote Gab au téléphone histoire de prendre ses nouvelles et discuter un peu musique et projets en cours. La première chose qu’il m’a répondu quand je lui ai demandé comment ça va, c’était:”Bof...c’est le mois d’août, je trouve ça nul” et mes 28 ans de solitude se sont arrêtés comme ça d’un coup: enfin un être semblable. Je ne suis pas seule! Je savais qu’il y a d’autres gens qui ne peuvent pas se saquer le mois d’août et j’en ai enfin la preuve.
Je crois que de tous les gens qui détestent le mois d’août, la plupart lui reproche la météo. Tout est sec, il fait chaud, c’est lourd, on se lève le matin avec les crottes de nez desséchées, ce qui me donnent la nostalgie des beaux lendemains de soirée lointains, la gloire du début des années 2010 aka l’âge d’or de la déshydratation par l’alcool, une époque vécue avec le poppers sur la table de chevet. Bref, en août il fait trop chaud. 
Après j’imagine qu’il y a toute une réflexion à faire à propos du fait qu’août c’est aussi chiant parce que Lyon se vide et qu’il n’y a quasiment pas de soirée, mais août 2020 n’est pas un août comme les autres: dans l’ère Covid des gestes barrière, j’ai vraiment la flemme de parler humanité dans ce blog. C’est trop compliqué. Entre mes copines qui me racontent que depuis le déconfinement elles se font emmerder dans la rue encore pire qu’avant et toutes les infos angoissantes qu’on reçoit tout le temps, les complotistes dans mon feed et la crise économique et les élections américaines et les explosions inattendues et tous les morts, les violences, les gens qui pètent un plomb, tous les excellents memes qu'il faut processer en une seule journée...je préfère laisser l’humanité en dehors de tout ça, c’est une angoisse à part. Disons que cette époque est en train de me faire flipper de ouf et qu’au mois d’août tout est accentué par le fait que le temps semble ne jamais passer, pendant 30 interminables jours. Je ne sais pas si vous voyez de quoi je parle. Mais tout est méga-lent au mois d’août et ça a un goût de mort. Moi, ça m’énerve. Enfin, si j’étais en vacances et sans la moindre préoccupation, ça ne me dérangerait pas - tant qu'il y a du mojito - mais depuis quand je n’ai pas expérimenté le “sans la moindre préoccupation”? Ça date. Et vous???
En fait, en me demandant ça, je me rends compte que je me souviens d’absolument tous les putains de mois d’août depuis mes 7 ans. Cette prise de conscience m’a surprise et j’ai dû m’arrêter une bonne demi heure entre le paragraphe précédent et le présent, pour remettre en ordre toute cette archive de mois d’aoûts de ma vie et tirer un bilan. Et je suis sur le cul de me rendre compte que la plupart des traumatismes qui font qu’aujourd’hui je suis la personne que je suis, les pires trucs de ma life sont arrivés quasiment tous pendant le mois de fucking août.  C’est incroyable.  Mois d’août 1997: j’explore une cabane abandonnée avec ma copine des vacances et on retrouve sous les lattes d’un canapé pourri une belle collection de magazines porno. Ilaria m’explique que c’est comme ça qu’on fait les enfants et je suis traumatisée à vie - ok ok: seulement jusqu’aux 14 ans.  Je me souviens que cette découverte m’avait choquée, et que je m’étais sentie fautive. Que je ne pouvais plus revenir en arrière. J’ai porté la faute de cette découverte en moi, la culpabilité que ça allait avec. Depuis, plein de choses ont décidé de me choquer pendant les mois d’août successifs. Je pourrais écrire un livre sur ça, mais j’attendrais d’être déjà une écrivaine de best-sellers pour le publier, quand quelqu’un sera enfin disposé à payer 25 euros pour mes anecdotes autobiographiques et surtout que mes parents seront morts.
Il y a dix jours quelqu’un a dit dans une conversation en terrasse en pleine canicule: “Moi les vacances j’aime pas, ça m’emmerde plus qu’autre chose” et là aussi je me suis sentie moins seule. C’est vrai que les vacances, ça ne me détend pas. Ou alors ça dépend quelles vacances, parce que chacun a sa notion de “vacances cools”. Pour moi les vacances détente c’est partir seule une petite semaine dans une ville inconnue et explorer. Ratisser les librairies, découvrir l’histoire locale, aller à un festival. Ou alors partir faire des randos - mais dormir dans un lit parce que le camping me rend absolument infecte.  C’est même pas que j’ai un truc contre le camping, j’ai juste un gros traumatisme. La dernière fois que j’ai été en camping, j’étais avec mon mec qui venait de me tromper avec une de mes copines et je n’étais pas au courant. J’ai fait la descente en kayak des gorges de l’Ardèche pépère avec ce con qui essayait de se dissocier pour supporter la situation. Depuis, je suis grave triggered par les tentes, le kayak et la nuit de la Saint Jean. Et c’était quand ça? C’était pendant un mois d’août. C’est une malédiction. J’avais dit que j’allais pas écrire mon autobiographie ici, mais quand même: ma première histoire d’amour, j’avais onze ans et on est resté ensemble toute ma sixième. On s’envoyait des textos et on se faisait des bisous dans les toilettes de la crypte de l’église de mon village avant mes cours de solfège. Il m’a largué quand? Au mois d’août, quand j’étais en vacances avec ma famille pendant un mois dans une pinède où il n’y avait jamais de réseau et que je devais me mettre toujours dans le même point à 500 mètres du campement  pour pouvoir passer un appel et lui demander pourquoi, pourquoi?! On s’aimait tant, il était mon amour, j’étais son coeur - avec lui qui se foutait de ma gueule de l’autre côté, sur son canap avec son pote débile pendant qu’ils jouaient à la play. Un autre mois d’août bien vécu.
Il y a aussi des trucs cools qui me sont arrivés au mois d’août, mais je crois qu’ils passent à trav, à côté de tous les traumatismes. Je ne comprends toujours pas pourquoi pour certaines personnes c’est beaucoup plus facile de se souvenir du positif alors que d’autres retiennent plutôt le négatif. Moi, je suis de la team qui voit le mal partout, et je dois lutter contre ça, parce que si je m’abandonnais complètement à cette attitude cynique je ne serais plus de ce monde depuis un moment, ou alors je serais constamment ivre pour le supporter. Malheureusement, mon corps ne supporte plus vraiment l’alcool et je suis obligée d’affronter l’horreur contemporaine à peu près consciente. C’est con, j’ai toujours dit que je serai partie à 27 ans, mais comme je n’ai toujours pas pop je suis obligée d’attendre. Jeune ou vieille, je veux mourir riche et célèbre. En même temps, je n’ose pas imaginer vieillir. J’ai pas envie d’assister au déclin de la civilisation ET de mon corps simultanément. C’est peut-être que je vois le mal partout, mais comme c’est parti les mois d’août de l’avenir s’annoncent pire que les passées et rien que de me dire ça, ça me fout l’angoisse - bref, je divague: je disais qu’il y a des trucs cools qui se sont passés au mois d’août quand même. C’est au mois d’août que je suis arrivée à Lyon il y a 8 ans et sans ça, je ne serais pas en train d’écrire un livre aujourd’hui. En espérant ne pas devoir regretter ça aussi le jour où j’essayerai de le faire publier.
N’empêche, août manque gravement de fun, l’ambiance y est molle et j’ai hâte que Septembre arrive. J’aime bien Septembre.
XOXO
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highwayoflife · 7 years ago
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365 jours
Voilà 1 AN jour pour jour que nous avons quitté la France avec l'objectif de faire le tour du monde. C'était un lundi. Le 28 novembre 2016. 365+1 jours plus tard, nous sommes allés au bout du projet. Nous sommes contents d'avoir pu accomplir notre vision. Nous avons redécouvert des moments de joie très intense voire même absolu, vécu et réalisé tout ce que nous avions imaginé avant notre départ. Et bien au-delà.
Pourtant, au moment des préparatifs et de la planification, on ne pensait pas être capables, physiquement, d'aller au bout de ce projet. Ça paraissait lointain et abstrait. Impensable. Trop dur. Toutes ces choses à organiser, tous ces obstacles logistiques, tous ces pays, tous ces kilomètres, toutes ces étapes, tous ces transports, toutes ces activités, dans des conditions de confort supposées aux antipodes de ce qu'on connaissait. En plus, avant notre départ, on avait déjà une ardoise et une dette de fatigue inimaginable accumulée pour rendre l'ex-filtration possible, jusqu'à la dernière minute... On savait que le défi serait immense. Sans trop savoir, paradoxalement, ce qui nous attendrait… En prenant chaque jour l'un après l'autre, sans jamais nous projeter trop loin, surtout au regard des distances à parcourir, on a finalement pu aller au bout de notre itinéraire… en jouant même un peu les prolongations sur la fin… 12 mois de voyage, même avec de la préparation, c'est l'inconnu tous les jours. La réalité est que nos corps ont su trouver les ressources pour nous faire accéder à un nouveau niveau d'énergie. Un niveau énergétique supérieur qui a permis de réaliser cet enchaînement titanesque. Notre travail a été de voyager. Et on n'a pas dépensé notre énergie physico-chimique dans un job. Bref c'est un bon travail, et on en a eu conscience tout au long du périple. Nous avons chacun découvert les capacités d'adaptation insoupçonnables de notre organisme et de notre esprit. Nous avons pu expérimenter le dégradé infini de toutes les sensations de fatigue, physique, psychique et morale, et pourtant, jour après jour, étape après étape, ville après ville, on a pu trouver les ressources pour continuer à avancer en réalisant tout ce que nous avions imaginé, même après les nuits blanches, les intoxications, les accidents, les déconvenues, les choses inextricables du quotidien à régler. Ce voyage a été un immense challenge et nous avons vraiment pourfendu tout ce que nous pensions être nos limites. Il valait mieux ne pas savoir ce que tout cela représentait. Faire le tour du monde, c'est l'antonyme de partir en vacances - pas de confort-pas de repos-pas de répit. Nous avons pris des vacances, dans un lieu fantastique, à Hawaii, qui était “presque” sur notre route. C'était différent. Et surtout nécessaire. C'était les vacances les plus puissantes de notre existence. On a su apprécier chaque minute.
Aujourd'hui encore, regarder en arrière nous fait perdre le souffle, au regard du chemin parcouru, encore plus en considérant la complexité logistique et le fait de ne jamais nous être arrêtés. Le périple a été sans répit, mais pour la bonne cause. Il faut vraiment le dire : c'est dur et physique de “globetrotter”. C'est comme une épreuve d'endurance interminable. C'est un ultra trail, qui ne s'arrête jamais… c'est l'iron man sans la natation, sans le vélo, juste avec les pieds, le sac sur le dos et les défis du quotidien à relever tous les jours jusque tard dans la nuit, dans un environnement qui n'est jamais le même, pendant 1an. C'est reprendre la base de la pyramide de Maslow de façon incessante, à chaque étape. C'est mental. Maintenant que Julien a définitivement récupéré de sa fracture et que Gaby a découvert son grand potentiel, marcher 25 à 30 kilomètres est devenu facile, même avec la pluie, même avec le froid, même dans la montagne : il suffit de mettre un pied devant l'autre, pas besoin de réfléchir. Alors que pour le reste, que de prise de tête pour avancer…
Chaque destination mérite son lot d'exploration et la relâche n'est jamais à l'ordre du jour dans un voyage au long court. Quel que soit le rythme, rapide ou lent, on sait que les opportunités d'être sur place, faire telle chose, voir tel endroit, vivre telle expérience, ne se représenteront probablement pas… On est parti pour ça, on le savait. Alors on essaye d'en profiter, en composant avec l'énergie du moment, comme on peut. Les conditions ne sont pas toujours optimales - la météo, le budget, le sommeil, la récupération, le risque, le terrain, la motivation, la force, le matériel, l'équipement, l'alimentation - mais on s'en accomode et on a compris qu'il fallait composer avec tout ça et faire avec, comme on peut. Sur un an, on ne peut pas être toujours au top. C'est comme ça. Il faut faire avec. Et avancer. Ne surtout pas se trouver des excuses pour rester au chaud. Sinon on resterait au lit pour les 2 prochaines années…
C'est un à plusieurs nouveaux portails qui s'ouvrent chaque jour. Et qui se referment aussitôt. On les prend ou on ne les prend pas. Un océan d'opportunités comme jamais, qui se renouvelle en permanence. Aux antipodes de notre vie sédentaire d'il y a un an.
Il faut toujours aller de l'avant et on ne peut que rarement se satisfaire du chemin parcouru. Demain est un autre jour, il y a ce bus à prendre, cet hôtel à réserver, ces kilomètres sac sur le dos à faire, ce repas à préparer, cette activité à organiser, ça ne s'arrête jamais. Jamais ! Ce tour du monde est une expérience de vie extrême et quelque chose d'inimaginable sur tous les plans. C'est une expérience de vie magistrale et magnifique. Fatiguante mais absolue. Ces 365 jours sont passés à la vitesse de l'éclair, et nous avons pourtant l'impression d'avoir vécu 10 ans de vie, tant le voyage a été d'une intensité de tous les instants. On se souvient, pour la première fois de notre vie, de chacun des 365 derniers jours qui viennent de s'écouler. C'est simple, d'une façon ou d'une autre, ils étaient tous mémorables. C'était vraiment la “highway of life”.
Bref, on ne va faire de bilan ou de résumé. C'est juste impossible et indescriptible de retranscrire l'ascenceur émotionnel dans lequel nous avons gravité durant cette année. C'est comme si on avait changé d'orbite. On tourne dans un autre sens. Tous les 2-3 jours on change de galaxie. Il y a des jours avec une belle lumière d'étoile, et d'autres avec un méchant trou noir.   Toutes ces choses logistiques à régler tout le temps. Impossible à détailler. Juste trop lourd à gérer. Et paralèllement des lieux et des activités qui nous émerveillent.
Toute notre énergie et notre attention ont été focalisées sur ce voyage, sans dévier, pendant un an. Concentré sur l'organisation tout en vivant des journées très intenses, tous les jours. On a vite la tête totalement dans le guidon.
Maintenant que nous avons pu aller au bout de l'itinéraire et qu'on a atteint les objectifs qu'on s'était fixé, on peut enfin relever la tête, pour peut-être, enfin, nous reposer, commencer à penser à la suite. On n'avait pas vraiment de temps de cerveau disponible à accorder “au futur”. Réfléchir au retour n'était pas à l'ordre du jour. Il fallait d'abord trouver où-quand-comment prendre ce foutu prochain bus. Alors on est resté plongé dans notre quotidien de voyageur. Jusqu'à aujourd'hui. D'ailleurs on y est toujours. Et on n'a donc pas réfléchi à la suite.
Aujourd'hui on est libre. On est vivant comme jamais. On s'accomode de vivre au jour le jour. Aucune vie rangée qui nous attend au retour. Pas de travail à reprendre. Plus de chez soi à réinvestir. Pas d'objectif pour la suite. Et la fin de l'itinéraire tracé. Un voile sur la suite. Bref, on est libre !? C'est un sentiment bizarre. On voit les choses autrement après 12 mois de voyage. Sans obligations. On est plus à l'écoute de nos aspirations profondes. On ne ressent pas l'envie de réintroduire la matrice, surtout quand on sait à quel point il a été difficile de s'en extraire. On ressent l'envie de continuer à voyager, mais autrement, moins vite, moins planifié, encore plus au jour le jour… on a envie d'user notre matériel jusqu'au bout même s'il a déjà pris pas mal de coups et de profiter de notre expérience de voyage jusqu'à ce que notre esprit nous appelle vers autre chose, ou juste avant que nos poches soient vides :). On n'a maintenant plus grand chose dans nos sacs [ex : on a 2 t-shirt et basta] mais ça a suffit pour passer du désert de la Death Valley aux champs de glace de la Patagonie. Bref, on a tout ce qui faut pour aller partout. En plus on a encore un peu d'énergie et quelques pièces d'économies au fond du sac. Alors on a décidé d'oublier de prendre notre vol de retour pour poursuivre notre aventure, et cette fois les pages seront blanches. Qui vivra verra. Voyons où cela nous mènera.
A qui se demande si nous avions gagné au Loto pour réaliser ce voyage, un chiffre simple pour résumer la question : nous avons dépensé un peu plus de 8.000 euros tout compris pour passer 4 mois en Asie ; qui d'entre vous dépense moins de 2.000 euros pas mois dans son foyer pour vivre ?
Pour notre retour, qui n'est pas programmé, on ne reprendra sans doute pas nos vies d'avant. On aspire chacun à mener une vie beaucoup plus simple, mais on n'a pas encore découvert les réponses. Ce voyage n'a pas opéré une mutation transcendantale de ce que nous étions avant de partir, contrairement aux mythes et aux légendes qui alimentent les grands périples. On s'accorde tous les 2 à dire qu'on n'a pas changé d'un iota, et même que nos défauts se sont amplifiés. Ou tout simplement qu'on a découvert qui on était vraiment, sans voile, sans confort, sans certitude.
Juste pouvons nous dire qu'il est bien fort dommage que le monde se soit mis en marche autour du travail et de l'exploitation capitaliste. A la mesure de la beauté des lieux qui nous entourent, on ne peut que regretter et être profondément attristés par l'absurdité de l'ordre social humain. Il y avait mieux à faire… Le plus triste au-delà de la pauvreté affligeante et de la condition animale désolante, c'est bien l'état de pollution inimaginable, généralisé et profondément enfoui dans le moindre millimètre carré de poussière et de particule d'air que l'on découvre et que l'on respire aux 4 coins du globe. Mais bon, un jour peut-être, un cataclysme permettra de revenir à un niveau de conscience plus en accord avec ce que nous sommes et ce qui nous entoure. Cela paraît souhaitable. Il y avait la fôret. Il y a maintenant des Shanghai partout.
On remercie toutes les personnes qui nous ont encouragé, soutenu et suivi jusque-là. Il ne nous manque qu'une chose à ce stade : nos proches, nos parents, nos amis. Le reste est futile. Notre seul regret dans ce voyage est de ne pas avoir pu partager certains moments que nous avons vécu avec les gens qu'on aime. Nous avons fait ce site pour essayer de partager cette réalité, mais cela s'est révélé bien insuffisant. Pardon à tout le monde, nous n'avons pas pu vous appeler. On aurait aimé être sur place avec vous. Plutôt que de raconter. On n'aime pas publier nos vies. Ce n'est pas dans nos caractères. On a fait ce site pour garder le contact. Mais à la mesure de 365 jours, c'est un étalage avec lequel on ne se sent plus à l'aise. Donc on se sent un peu coincé entre l'envie de garder le contact et préserver notre pudeur… Cela a aussi représenté beaucoup de travail et de temps, dans des pays où l'accès à internet reste parfois un grand luxe. Alors on va continuer à publier quelques photos mais à un rythme différent, et avec moins de commentaires. En plus notre appareil photo montre des signes de faiblesse et depuis le départ, nous avons voulu mettre en avant la beauté du monde et jamais la régie du voyage. C'est pour ça qu'on vous dit simplement que cette expérience est magnifique, mais qu'elle est dure. Elle donne un sentiment de profond accomplissement et du devoir achevé, comme si nos vies avaient plus de valeur, parce que nous avons réalisé quelque chose qui nous faisait rêver et qui gisait au fond de nous.
On espère avoir pu illustrer à quel point notre monde est beau, immense, et infiniment diversifié. Merci à tous de nous avoir suivi jusque là. Une pensée à nos nonna 🌹
PS: c'est incohérent par rapport au discours mais juste pour immortaliser le souvenir
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