#Métro Stalingrad
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zopf-fink · 1 year ago
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Et puis merde.
Ma petite amie aime d'autres hommes. Parfois, elle ne rentre pas à la maison. Parfois, je m'en fiche. C'est mon tour ce soir. Nous devons faire un travail à Stalingrad. Pour ceux qui ne le savent pas, c'est dans le 19e arrondissement. C'est une zone de guerre. Ils savent que nous ne sommes pas d'ici. On ne peut pas y aller en voiture. Ah oui. Ai-je mentionné que nous devions tuer un ami ? Il a été pris en train de voler. Mais on ne peut pas entrer en voiture. Donc, pas d'armes. Et en aucun cas vous ne devez y aller la nuit. C'est horrible parce que les gens vont savoir que c'est moi qui l'ai fait sortir, et puis il faut retourner au moins jusqu'au métro de la Porte de Clignancourt, dans l'autre sens, et puis une voiture attend. Bref. J'ai un très mauvais pressentiment. J'ai peur. Mais comme je l'ai dit, ma copine, elle ne sera pas à la maison ce soir. Et puis merde.
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depassement · 2 years ago
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Métro Stalingrad, Paris (XIXe), mars 2023
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a2imediagroupe · 2 years ago
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Paris : des forces de l'ordre aspergent des couvertures des migrants de gaz lacrymogène
Une vidéo publiée par l’association Utopia 56 montre un CRS asperger de gaz lacrymogène les effets personnels des migrants vivant sous la station de métro Stalingrad, dans le nord-est de Paris. De telles actions rendent inutilisables les matelas et couvertures des exilés. Les humanitaires ont saisi la Défenseure des droits et l’IGPN, la police des polices. Un CRS déambule entre des matelas…
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verite-jesus-libre · 2 years ago
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SILVANO TROTTA OFFICIEL a retweetéEt La Fille@Lidbdemocra_d·20hUne vidéo choquante, hier soir des CRS gazent couvertures et affaires de sans-abris à proximité du métro Stalingrad à Paris. Ce petit roi de #Macron a bien dit qu'il ne voulait "plus de sdf dans les rues de Paris! #greve11mars
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walker-diaries · 2 years ago
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le-cercle-rouge · 5 years ago
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Paris, novembre 2019.
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dominicfurge · 5 years ago
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L’homme déchiré de Stalingrad
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nicolascodron · 6 years ago
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floriandelorme · 2 years ago
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Anciennes piles du #viaduc de la #ligne2 provenant de la station #Stalingrad et servant aujourd'hui de conduit d'aération. #métroaérien #métroparisien #métro (à Place de la Bataille-de-Stalingrad) https://www.instagram.com/p/CiFGwo9LIWB/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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laule · 7 years ago
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STALINGRAD - PARIS.
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vintage-every-day · 3 years ago
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Photo by Roger Schall. Station de Métro Stalingrad, Paris 1936.
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attentionalamarche · 7 years ago
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Ce matin j'étais debout, il y avait pas mal de monde, j'ai dessiné vite, en essayant de capter la foule sur deux pages. Gare du Nord / Église de Pantin 📆 Vendredi 1er décembre 🚇Métro Paris - Ligne 5 . . . . . #dessinminute #garedunord #eglisedepantin #transports #sketch #sketching #betc #parisien #subwaysketching #usk #quotidien #métro #ratp #paris #ligne5 #pantin #93500 #stalingrad #portedepantin #bobigny #betc (à Paris Gare du Nord)
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philoursmars · 3 years ago
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Retour à mon projet de présenter la plupart de mes 52795 photos
2008. Retour à Marseille
- les escaliers de la Gare Sant-Charles
- Rue de la République (Amphitrite ?)
- Square Stalingrad, les Danaïdes, face à l’église des Réformés
- les 2 suivantes : la Géode de Géolide (sous laquelle il y a la station d’épuration souterraine) avec le métro passant derrière.
- coucher de soleil au dessus du Mont Rose
- Notre-Dame de la Garde, le Roucas Blanc et les Plages du David vus des hauteurs de Montredon.
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lupitovi · 4 years ago
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Stalingrad - granit à lsd
Michelle Grangaud - Anagrammes de Métro, ligne 7
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mehjuice · 8 years ago
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When you were in modern France but you end up in the Soviet Union, 1925-1961
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alexar60 · 5 years ago
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Les soldats
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En voyant le ciel se couvrir subitement de nuages noirs, je regrettai d’être venu me promener dans Paris. Je déteste le métro et autres transports en commun à cause de l’odeur qui colle facilement à la peau. Alors, je marche beaucoup, flânant sur les trottoirs à regarder les vitrines des magasins ou simplement les bâtiments célèbres. Je commençai à accélérer pour me protéger d’un éventuel orage lorsqu’un flash me fit tressaillir. Persuadé au début être pris de vertige, je réalisai doucement ensuite que les autres piétons subirent la même chose. Etait-ce la fin du monde ? Une météorite ou une explosion nucléaire ? Je m’inquiétai quelques instants.
En effet, les klaxons de voitures, des cris me sortirent de la torpeur. A quelques mètres de moi, une colonne de soldat marchaient l’air hébété. Un joueur de flute continua d’avancer jusqu’ ce qu’il réalise que le reste du groupe s’était arrêté. Même le tambourin stoppa sa marche. Quelques conducteurs exprimèrent leur mécontentement en insultant les militaires perdus. D’habitude, l’uniforme est respecté mais là, ils étaient habillés du temps de la Révolution Française, plus précisément du temps de Napoléon en observant mieux les chapeaux de grognards. Quelques uniformes bleus se poussèrent, d’autres restèrent au milieu de la route provoquant un début d’embouteillage. Soudain, un chauffeur de taxi sortit de son véhicule pour engueuler les soldats. Par instinct, j’intervins  en voyant l’officier sortir son sabre de son fourreau.
Très vite, j’expliquai gentiment qu’ils ne devaient pas rester sur la route car les voitures devaient circuler. L’homme, un vieux rougeot au nez en forme de bouchon de champagne, rengaina son épée et me suivit obligeant la troupe à l’accompagner. Ils étaient en deux colonnes. Je demandai s’ils étaient perdus et où ils allaient faire leur reconstitution. Seulement, il ne répondit pas, me dévisageant avec ses gros yeux rappelant une truite hors de l’eau. Je demandai s’il allait bien. Il regarda le ciel, les bâtiments et demanda simplement : « On est où là ? » « Ben, Paris » répondis-je.
Les soldats discutèrent en eux. Ils s’interrogèrent sur les voitures, les comparants à des charrettes sans chevaux. Un troufion au tricorne délavé bégaya avant de crier qu’il était en Enfer. Il voulut fuir mais fut retenu par son collègue et surtout par le coup de poing asséné. Je rassurai tout le monde en expliquant que c’était bien la capitale de la France. Mais, en écoutant leurs remarques, j’eus l’impression de ne pas être vraiment compris. En effet, le Paris qu’ils décrivirent était plus vide, aux rues étroites et aux maisons presque médiévales. Ils restèrent figés sur le trottoir, encore abasourdis par le vacarme. Enfin, leur chef se décida de m’adresser la parole. Ils devaient se rendre aux Invalides,
Ce n’était pas à côté ! Alors, je les invitai à me suivre. Nous longeâmes la rue, marchant d’un pas lent car ils se sentaient mal à l’aise. Moi-même, quelque chose me dérangeait. J’avais une sensation de sifflement dans les oreilles et une impression de nausée. Parfois, mes yeux recouvraient d’une forme de brume comme si nous étions dans un nuage. Durant le trajet, j’entendais les soldats s’exclamer sur ce qu’ils voyaient. Un magasin de lingerie féminine avec des photos de modèles fit sensation. Un magasin de chaussures, un autre qui vendait des vêtements hommes. Par contre, personne ne portait attention à eux. Des groupes déguisés pour rejouer une bataille, ce n’est pas fréquent mais cela arrive de temps en temps.
Devant les escaliers du métro, ils s’arrêtèrent et me regardèrent descendre. J’étais à mi-chemin quand je proposai au groupe de me rejoindre. L’entrée n’inspirait pas confiance. Ils se demandèrent dans quel monde je les emmenai. Un sergent demanda à son supérieur de se méfier de moi. Pendant ce temps, quelques voyageurs montaient ou descendait les marches, bousculant au passage des soldats en pleine détresse. Je remontai, discutai avec ce rougeot qui sentait légèrement le vin ; à moins que ce soit son subalterne ou les deux. Je signalai qu’il n’y avait rien à craindre. D’ailleurs, il constata qu’aucun civil ne semblait inquiet à pénétrer ce tunnel souterrain. Il fit un pas, puis descendit les marches les unes après les autres tout en ordonnant à la compagnie de le suivre.
Devant autant de monde, la guichetière ne put rien faire quand nous franchisâmes illégalement les portiques, surtout quand l’un d’eux fronça les sourcils affichant une vraie gueule de tueur. Elle se contenta d’appeler de l’aide par téléphone. Nous marchâmes dans le couloir éclairé par les néons qui fascinèrent le chef. Il n’avait jamais vu un feu dans un tube. Il s’arrêta quelques secondes afin de voir la flamme mais lassé et pressé d’arriver à destination, il reprit la route. Avant notre arrivée, le quai n’était pas bondé. Mais avec une trentaine d’hommes armes et équipement compris, nous fûmes vite serrés. Nous attendîmes quelques minutes et à ma grande surprise, les soldats reculèrent prêts à fuir en découvrant le métro débouler et s’arrêter à grande vitesse faisant un bruit du tonnerre. Je rassurai la troupe, aussi, nous attendîmes le suivant car il fallut montrer qu’il n’y avait rien de dangereux ni de démoniaque dans ce qu’ils voyaient.
Par moments, je me demandais d’où ils pouvaient venir. Je n’avais jamais vu autant de goubis débarqués d’une province quelconque visiter Paris pour la première fois de leur vie. Et comment ont-ils fait pour venir jusqu’ici. Durant l’attente, je demandai à l’officier de quel endroit il était originaire, sa réponse me déstabilisa : Vaugirard. «Mais ce n’est pas un quartier de Paris ? » intervins-je. « Non ! C’est un village à côté ». Je ne réagis pas, pourtant persuadé qu’il avait tort.
Lorsque le métro s’arrêta, je sentis les soldats crispés. Ils montèrent tous dans le même wagon, empêchant plusieurs fois les portes de se fermer. Puis, il démarra, les hommes ne se tenant pas, se bousculèrent les uns aux autres. Les nausées prirent de l’ampleur avec l’odeur de sueur et de parfum nauséabond des militaires. Quelques soldats prièrent silencieusement tandis que d’autres marmonnèrent des mots à peine compréhensibles. Le métro arriva à une première station ; j’indiquai au chef que nous avions un changement pour aller aux Invalides.
En grésillant soudainement, la lumières troubla ma vision. J’eus cette impression de vertige et de devenir aveugle. De plus les nausées reprirent au point d’avoir envie de vomir. Je m’accrochai à une barre quand la lumière s’éteignit brutalement, nous mettant dans le noir complet pendant quatre à cinq secondes. Et quand elle se ralluma, il n’y avait plus aucun soldat. Leur disparition inquiéta aussi les autres passagers du wagon. A la station suivante, quelqu’un alerta la sécurité du métro. Nous attendîmes leur venue et ne purent donner d’autres explications que ce que nous avions vues. Après avoir été interrogé, je sortis du métro, heureux de ne plus avoir de nausée ni de vertige. Heureux aussi du magnifique soleil qui régnait dans le ciel d’un bleu parfait.
La disparition d’une troupe dans le métro de Paris ne fit pas la une des actualités. Ils en parlèrent comme d’un étrange fait divers, au même titre que la présence inexplicable d’un bataillon anglais dans la ville d’Albert dans la Somme. Des habitants interviewés témoignèrent de la présence d’hommes habillés en Tommy, complètement perdus et à l’air fatigué. Leur apparition fut aussi énigmatique que leur disparition. De même un autre reportage raconta une étrange bataille entre soldats allemands et russes  à Volgograd anciennement Stalingrad. Ils s’entre-tuèrent en pleine rue. Pourtant, tout cela eut lieu le même jour à la même heure, au même moment.
Alex@r60 – juillet 2020
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