#Luis van Gaal
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#dutch#heritage#of#manchester united#jaap stam#ruud van nistelrooy#edwin van der sar#robin van persie#luis van gaal#erik ten hag
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Luis van Gaal pissing of an entire country is my favourite Luis
When asked to reflect on the World Cup in Qatar, he told Dutch outlet NOS: 'I don't really want to say much about it. When you see how Argentina gets the goals and how we get the goals, and how some Argentina players overstepped the mark and were not punished, then I think it all premeditated game.'
Van Gaal was speaking at the Eredivisie Awards on Tuesday, where he was recognised for his contribution to Dutch football.
After journalists asked the 72-year-old to clarify what he meant, the former boss said: 'I mean everything I say. That Messi should become world champion? I think so, yes.'
#nicked this from daily mail lol#hes right btw#i was thinking about WC yesterday#and my man luis came to back me up#dutch nt#luis van gaal
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"Put On Tall People, Hit Long Balls": Lionel Messi Slams Netherlands Coach Luis Van Gaal's Tactics
“Put On Tall People, Hit Long Balls”: Lionel Messi Slams Netherlands Coach Luis Van Gaal’s Tactics
Following his side’s win over Netherlands in their FIFA World Cup quarterfinal match, star Argentina striker Lionel Messi slammed Netherlands manager Louis Van Gaal for “hitting long balls” to make a comeback into the game. Argentina marched into the semifinals of the ongoing FIFA World Cup in Qatar, defeating the Netherlands 4-3 via penalties after playing a thrilling 2-2 stalemate that got…
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"Colocar pessoas altas, acertar bolas longas": Lionel Messi critica as táticas do técnico da Holanda, Luis Van Gaal
“Colocar pessoas altas, acertar bolas longas”: Lionel Messi critica as táticas do técnico da Holanda, Luis Van Gaal
Após a vitória de sua seleção sobre a Holanda nas quartas de final da Copa do Mundo da FIFA, o craque argentino Lionel Messi criticou o técnico da Holanda, Louis Van Gaal, por “bater bolas longas” para voltar ao jogo. A Argentina marchou para as semifinais da Copa do Mundo da FIFA em andamento no Catar, derrotando a Holanda por 4 a 3 nos pênaltis, depois de jogar um emocionante empate por 2 a 2…
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#Argentina#copa do mundo fifa 2022#futebol ndtv esportes#lionel andres messi coccittini#Países Baixos
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@ Argentinian nt: Can you please keep your traps shut or do you crave the potential suspensions?
Messi running his mouth with the referee, Martinez yelling at Van Gaal for everyone to hear, including a referee 'I fucked you twice now, faggot'. Like I get tempers run high but chill the fuck out. Or should we be grateful Argentinian nt currently doesn't have someone like Luis Suarez who bit another player in the neck til he drew blood, like he's a fucking vampire.
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Le nouveau record de Messi qui le rapproche un peu plus du Ballon d'Or ?
Le nouveau record de Messi, cette nuit avec L'Argentine, fait sensation ! Le prodige argentin continue de marquer l'histoire du football et fait un pas de plus vers le Ballon d'Or 2023. Le record de Messi éclaire la route de l'Argentine vers le Mondial 2026 L'Argentine, championne en titre, poursuit sa quête, auréolée de son sacre lors de la Coupe du monde 2022 au Qatar, continue de marquer les esprits. Malgré les doutes émis par certains, dont Louis van Gaal, sur la capacité de l'Albiceleste à réitérer un tel exploit, l'équipe sud-américaine ne cesse de prouver sa valeur sur le terrain. Lire aussi : - Portrait de Yassine Cheuko ? Garde du corps de Messi en MLS ! Un match serré contre l'Équateur Lors des qualifications pour le Mondial 2026, l'Argentine a affronté l'Équateur dans un match qui s'annonçait palpitant. Malgré une première mi-temps où les occasions se sont fait rares des deux côtés, le suspense est resté entier. Les passionnés de football attendaient avec impatience le dénouement de cette confrontation. Messi, l'homme du match, s'offre un nouveau record historique Et c'est à la 78e minute que le miracle s'est produit. Qui d'autre que Lionel Messi pour illuminer la rencontre d'un coup-franc magistral, offrant la victoire à son équipe ? https://www.youtube.com/watch?v=gcE4KqP0EZQ Avec ce but, le prodige argentin n'a pas seulement assuré trois points précieux à son équipe. Il a également égalé le record de buts en Éliminatoires de Coupe du monde. Celui est détenu par Luis Suárez, avec un total de 29 réalisations. Un record de Messi qui confirme, s'il en était encore besoin, sa place parmi les légendes du football mondial. Messi, une forme olympique depuis son départ de Paris Après cette victoire contre l'Équateur, l'Argentine se prépare déjà pour son prochain match. Mardi, elle affrontera la Bolivie, dans la course à la qualification pour le Mondial 2026. Depuis son départ du Paris Saint-Germain, Messi semble avoir retrouvé une seconde jeunesse, évoluant désormais sous les couleurs de l'Inter Miami. L'Argentin a déjà inscrit 11 buts, démontrant une fois de plus son talent incommensurable. Les supporters argentins peuvent être rassurés : leur star est plus en forme que jamais. Voir aussi : - Insolite : La femme de Messi le confond avec un Jordi Alba et tente de l'embrasser ! (vidéo) La France, de son côté, ne faiblit pas Pendant que l'Argentine brille, l'équipe de France n'est pas en reste. Les Bleus ont dominé l'Irlande 2-0 lors des qualifications pour l'Euro 2024. Avec un parcours sans faute, comptant 5 victoires en 5 journées, la France confirme son statut de grande nation du football. Rappelons que les Tricolores étaient finalistes du dernier Mondial, preuve de leur constance au plus haut niveau. ________ Pour retrouver tous nos pronostics football, rendez-vous aussi sur notre page Facebook ou sur notre page Twitter. Read the full article
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CM 2022. Pays-Bas 1-1 Equateur, vendredi 25 novembre 2022, 17h00, Coupe du monde 2022, Groupe A, 2e journée. Vivez la rencontre de Coupe du Monde entre les Pays-Bas et l'Equateur. Voici le résumé du match. Pays-Bas 1-1 Equateur, le résumé du match Pays-Bas secoués et accrochés par l'Équateur 90'+6 Coup de sifflet final Les tops-flops de Pays-Bas-Equateur Dumfries surclassé par Estupinan 90'+4 14 tirs au but à 2 pour l'Equateur. Cette statistique montre bien la réalité de ce match qui a complètement basculé après la pause. 90'+3 Les Oranje subissent cette fin de match. La Tri est survoltée et pousse pour ramener la victoire dans un stade en liesse. 90'+1 Noppert se fait peur en voyant son dégagement contré par le pressing d'un attaquant adverse. Le portier prend souvent trop de temps pour dégager et cela pourrait lui être fatal. 90' Il y aura 6 minutes de temps additionnel. 90' Valencia est remplacé par Rodriguez. photo de E. Valencia Enner Valencia out attaquant photo de K. Rodriguez Kevin Rodriguez in attaquant 90' Plata est remplacé par Romario Ibarra. photo de G. Plata Gonzalo Plata out milieu photo de R. Ibarra Romario Ibarra in attaquant 89' Le capitaine, Enner Valencia, sort sur une civière sous les applaudissements du public. Le joueur est en larmes et la suite de la compétition semble compromise. photo de E. Valencia Enner Valencia attaquant 87' Les soigneurs font leur entrée mais cela semble compromis pour la suite du match pour Valencia qui avait déjà été touché lors du premier match. L'entraineur va faire des changements. 86' Valencia est allongé au milieu de terrain et semble blessé mais l'arbitre n'arrête pas le jeu pour autant. photo de E. Valencia Enner Valencia attaquant 84' Si Louis van Gaal (6 victoires et 2 nuls) ne s'incline pas dans ce match, il rejoindra Vittorio Pozzo (8 victoires et un nul) comme entraineur ayant disputé le plus de matches (9) de Coupe du Monde sans jamais perdre. 82' Fin de match tendue avec un gros soutien sonore pour la Tri qui est l'équipe la plus dangereuse et qui produit le plus de jeu et d'envie. 80' Estupinan a changé la physionomie du match, il est dans tous les bons coups. Il aurait même pu être buteur ce soir si son but dans les arrêts de jeu de la première période avait été validé. 80' Gakpo est remplacé par Weghorst. photo de C. Gakpo Cody Gakpo out attaquant photo de W. Weghorst Wout Weghorst in attaquant 79' Koopmeiners est remplacé par De Roon. photo de T. Koopmeiners Teun Koopmeiners out milieu photo de M. De Roon Marten De Roon in milieu 🔴 Pays-Bas - Equateur / Le Match en direct (Coupe du Monde) https://www.youtube.com/watch?v=uzgJjqFCbaI 76' Les Oranje n'arrivent plus du tout à poser leur jeu. La faute à des Equatoriens revigorés et transfigurés par rapport à leur prestation lors du premier acte. Ce n'est plus la même équipe, ni le même match. 74' Estrada est remplacé par Sarmiento. photo de M. Estrada Michael Estrada out attaquant photo de J. Sarmiento Jeremy Sarmiento in milieu 72' Gakpo est signalé hors-jeu sur une déviation de Depay. L'assistant ne lève pas son drapeau alors que le joueur continue son action mais manque son lob sur Galindez. 70' Mis à part son but, Gakpo a un peu disparu de ce match à l'instar de pratiquement tous ses coéquipiers. Les Pays-Bas ne dégagent pas un niveau de grande qualité. 69' Klaassen est remplacé par Berghuis. photo de D. Klaassen Davy Klaassen out milieu photo de S. Berghuis Steven Berghuis in milieu 66' Enfin une action pour les Pays-Bas qui sont complètement dominés depuis la reprise. ce mouvement se conclut par une passe en retrait pour la frappe beaucoup trop enlevée de Koopmeiners. 64' Valencia est au duel sur la droite de la surface avec Timber, il réussit à centrer sur Estrada mais Aké vient gêner la reprise de l'attaquant. 62' D'un match terne en première période, on est passé à une rencontre complètement folle et débridée.
L'entraineur de La Tri a trouvé les mots à la pause pour motiver ses joueurs qui sont en train de faire basculer ce match. 60' Le but de Valencia a réveillé le public. L'ambiance est monté d'un cran dans le stade. 59' Plata trouve la transversale ! Pays-Bas secoués et accrochés par l'Équateur 1 Après une première reprise contrée de Valencia dans la surface, le ballon revient sur Plata qui arme une frappe puissante du pied gauche, Noppert est battu mais la transversale vient sauver les Oranje ! 58' Carton jaune pour Mendez pour une charge illicite. photo de J. Mendez Jhegson Mendez milieu 55' Le match a complètement changé de physionomie avec cette égalisation. c'est la meilleure chose qui pouvait arriver au niveau du spectacle. 50' Noppert a été mis sous pression une 1ère fois par Valencia. Le ballon est néanmoins repoussé vers le milieu de terrain mais il revient très vite dans sa surface. Le portier effectue une superbe parade sur la frappe d'Estupinan mais Valencia a bien suivi. 49' Valencia égalise ! Enner Valencia équateur sort sur cirvière contre les pays bas Après un pressing de Valencia sur Noppert, les Oranje dégagent le ballon mais Aké le perd rapidement au milieu. Ca repart rapidement vers l'avant. Estupinan est trouvé à l'entrée de la surface, sa frappe est repoussée par Noppert sur Valencia qui conclut. photo de E. Valencia Enner Valencia attaquant 48' Avant ce match, les Pays-Bas ont rendu un clean sheet lors de chacun de leurs 4 derniers matches de Coupe du Monde, leur plus longue série dans la compétition. La dernière nation à avoir fait la passe de 5 est la Suisse, entre 2006 et 2010. 46' Bergwijn est remplacé par Depay. photo de S. Bergwijn Steven Bergwijn out attaquant photo de M. Depay Memphis Depay in attaquant 46' Le match reprend Pays-Bas secoués et accrochés par l'Équateur ok Reprise. 45'+4 Mi-temps L'Equateur a cru à l'égalisation dans les arrêts de jeu avant que le corps arbitral n'annule le but dans un match assez fermé après le but rapide des Pays-Bas. Gakpo a une nouvelle fois ouvert le score sur un exploit personnel et une frappe exceptionnelle. C'est la révélation des Oranje. 45'+3 But refusé pour une position illicite Sur le corner, le ballon est repoussé au premier poteau, la frappe puissante qui suit de Preciado est déviée par Estupinan aux six mètres mais Porozo fait action de jeu et gêne le gardien néerlandais. Le but de Estupinan est donc refusé ! photo de P. Estupinan Pervis Estupinan défenseur 45'+2 Sur un coup franc excentré à gauche et tiré par Estupinan, Valencia place une tête au deuxième poteau qui est contrée en corner. 45' Il y aura trois minutes de temps additionnel dans cette première période assez décevante en terme de spectacle. 42' Noppert a touché beaucoup plus de ballons que Galindez, son homologue équatorien qui finalement s'est presque contenté d'aller chercher le ballon au fond de ses filets. Autrement, il n'a pas été sollicité. 40' Frenkie De Jong est la plaque tournante du onze de Louis van Gaal. Tous les ballons passent par lui, il dicte le rythme du jeu batave. 38' La possession est assez équilibrée. Ce sont même les Sud-Américains qui ont une légère supériorité. Assez logique vu qu'ils sont menés au score. Les Oranje se concentrent surtout sur des contre-attaques. 35' Valencia est un peu trop esseulé sur le front de l'attaque. Le capitaine fait un très bon match mais il ne pourra pas faire la différence seul. Ses partenaires vont devoir se mettre à son niveau. 32' Noppert décisif Après un une-deux manqué entre Klaassen et Gakpo, la contre-attaque est rapidement menée. Valencia est trouvé sur le côté gauche. Il se recentre et décoche une frappe puissante du droit que Noppert détourne d'une horizontale sur sa droite. 30' La Tri campe dans la moitié de terrain adverse grâce à un pressing haut et une implication collective mais attention aux contre-attaques néerlandaises. 27'
Temps-fort équatorien avec beaucoup de mouvements sur les côtés. Valencia déborde côté gauche, il centre sur Estrada qui dévie intelligemment d'une subtile talonnade mais personne n'est là pour conclure. 25' On a enfin vu des mouvements collectifs et offensifs côté équatoriens qui n'avaient rien proposé de consistant jusque là. 24' Enfin deux belles actions de La Tri. Une de chaque côté mais à chaque fois, le dernier geste ou le centre ne sont pas maitrisés et la défense néerlandaise peut se dégager. 22' On assiste à un match assez physique, peut être trop où l'arbitre est obligé d'intervenir très souvent. C'est assez haché ! 20' Vingt premières minutes assez ternes mis à part l'exploit individuel de Gakpo. Les Bataves gèrent leur avance et les Equatoriens sont assez inoffensifs. 18' Les Oranje font tourner le ballon sur les bases arrières, attendant une bonne opportunité, n'étant pas trop gênés par le pressing assez inexistant des Equatoriens. 15' Enner Valencia tente de faire la différence tout seul comme sur ce déboulé côté gauche. Il manque de solutions et d'appuis de ses partenaires. Il est finalement contrôlé par Timber une nouvelle fois. 13' Pressing très haut des Néerlandais qui oblige les Equatoriens à reculer et remettre le ballon jusqu'aux défenseurs. 11' Timber est souvent au marquage sur Valencia et le jeune défenseur fait parler son physique, souvent à la limite. 9' L'Equateur restait sur une série de 7 matches (3 victoires et 4 nuls) toutes compétitions confondues sans encaisser de but. L'Argentin Julian Alvarez était le dernier joueur à avoir marqué contre eux en mars dernier. Gakpo vient de mettre fin à la série. 6' But de Gakpo ! Cody Gakpo marque une nouvelle fois après avoir ouvert la marque au premier match. Sur un ballon mal dégagé et récupéré par Klaassen, Gakpo est trouvé aux 18 mètres, il rentre dans la surface sur son pied gauche et décoche une frappe imparable. 🔴LIVE : Ecuador vs Netherlands | Qatar World Cup 2022 | Live Football Match Today | https://www.youtube.com/watch?v=VtimA87UPTQ photo de C. Gakpo Cody Gakpo attaquant 4' Preciado est blessé. Le jeu est arrêté. Le joueur se plaint d'un ballon reçu dans le bas ventre. Il est à terre et demande l'aide des soigneurs. Tout semble remis en place et il reprend le jeu. photo de A. Preciado Angelo Preciado défenseur 3' Les Pays-Bas semblent plus à l'aise en ce début de match. Les Equatoriens se débarrassent trop rapidement du ballon en défense. 1' Le match commence ! https://www.youtube.com/watch?v=MJzkbAUw6ek Mustapha Ghorbal, arbitre algérien, siffle le coup d'envoi de la rencontre. Ce sont les Equatoriens qui engagent. En défense, Louis van Gaal a décidé que l'arrière central du Bayern Munich, Matthijs de Ligt, apparu en difficulté contre le Sénégal, laisse sa place à Jurrien Timber. Koopmeiners remplace Janssen au milieu. Le buteur et capitaine de l'Equateur, Enner Valencia, incertain, a bien été titularisé contre les Pays-Bas au contraire de l'attaquant néerlandais Memphis Depay, en phase de reprise, de nouveau laissé sur le banc. Les Pays-Bas sont invaincus lors de leurs 14 derniers matches de poules en Coupe du Monde. Seuls, l'Allemagne (16 entre 1990 et 2010) et le Brésil (16 avec sa victoire sur la Serbie) ont connu une plus longue série du genre dans le tournoi. A lire aussi COUPE DU MONDE QATAR 2022: les cinq nations africaines dirigées par des entraîneurs locaux L'Equateur n'a remporté que 2 de ses 7 rencontres de Coupe du Monde contre des équipes européennes (1 nul et 4 défaites), contre la Croatie en 2002 et la Pologne en 2006. Les Pays-Bas n'ont perdu que 2 de leurs 14 matches de Coupe du Monde contre des adversaires Sud-Américains (8 victoires et 4 nuls), perdant la finale 1978 contre l'Argentine et un quart de finale contre le Brésil en 1994. Il s'agit seulement de la 3e rencontre entre ces deux pays. Les deux précédentes ayant eu lieu en amical en mars 2006 (victoire 1-0 des Oranje) et en mai 2014 (match nul 1-1).
A lire aussi 🔴🇶🇦🇸🇳 Qatar 1- 3 Sénégal en direct / Coupe du monde 2022, Groupe A, 2e journée Les deux équipes se sont imposées lors du premier match. Les Bataves ont battu le Sénégal (2-0) avec deux buts en fin de match alors que l'Equateur a disposé du Qatar (2-0) plus facilement grâce à un doublé de Valencia dans la première demi-heure. Bienvenue sur notre site pour suivre en direct commenté la match du groupe A entre les Pays-Bas et l'Equateur au Stade Khalifa International à Doha.
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CM 2022. Pays-Bas 1-1 Equateur, vendredi 25 novembre 2022, 17h00, Coupe du monde 2022, Groupe A, 2e journée. Vivez la rencontre de Coupe du Monde entre les Pays-Bas et l'Equateur. Voici le résumé du match. Pays-Bas 1-1 Equateur, le résumé du match Pays-Bas secoués et accrochés par l'Équateur 90'+6 Coup de sifflet final Les tops-flops de Pays-Bas-Equateur Dumfries surclassé par Estupinan 90'+4 14 tirs au but à 2 pour l'Equateur. Cette statistique montre bien la réalité de ce match qui a complètement basculé après la pause. 90'+3 Les Oranje subissent cette fin de match. La Tri est survoltée et pousse pour ramener la victoire dans un stade en liesse. 90'+1 Noppert se fait peur en voyant son dégagement contré par le pressing d'un attaquant adverse. Le portier prend souvent trop de temps pour dégager et cela pourrait lui être fatal. 90' Il y aura 6 minutes de temps additionnel. 90' Valencia est remplacé par Rodriguez. photo de E. Valencia Enner Valencia out attaquant photo de K. Rodriguez Kevin Rodriguez in attaquant 90' Plata est remplacé par Romario Ibarra. photo de G. Plata Gonzalo Plata out milieu photo de R. Ibarra Romario Ibarra in attaquant 89' Le capitaine, Enner Valencia, sort sur une civière sous les applaudissements du public. Le joueur est en larmes et la suite de la compétition semble compromise. photo de E. Valencia Enner Valencia attaquant 87' Les soigneurs font leur entrée mais cela semble compromis pour la suite du match pour Valencia qui avait déjà été touché lors du premier match. L'entraineur va faire des changements. 86' Valencia est allongé au milieu de terrain et semble blessé mais l'arbitre n'arrête pas le jeu pour autant. photo de E. Valencia Enner Valencia attaquant 84' Si Louis van Gaal (6 victoires et 2 nuls) ne s'incline pas dans ce match, il rejoindra Vittorio Pozzo (8 victoires et un nul) comme entraineur ayant disputé le plus de matches (9) de Coupe du Monde sans jamais perdre. 82' Fin de match tendue avec un gros soutien sonore pour la Tri qui est l'équipe la plus dangereuse et qui produit le plus de jeu et d'envie. 80' Estupinan a changé la physionomie du match, il est dans tous les bons coups. Il aurait même pu être buteur ce soir si son but dans les arrêts de jeu de la première période avait été validé. 80' Gakpo est remplacé par Weghorst. photo de C. Gakpo Cody Gakpo out attaquant photo de W. Weghorst Wout Weghorst in attaquant 79' Koopmeiners est remplacé par De Roon. photo de T. Koopmeiners Teun Koopmeiners out milieu photo de M. De Roon Marten De Roon in milieu 🔴 Pays-Bas - Equateur / Le Match en direct (Coupe du Monde) https://www.youtube.com/watch?v=uzgJjqFCbaI 76' Les Oranje n'arrivent plus du tout à poser leur jeu. La faute à des Equatoriens revigorés et transfigurés par rapport à leur prestation lors du premier acte. Ce n'est plus la même équipe, ni le même match. 74' Estrada est remplacé par Sarmiento. photo de M. Estrada Michael Estrada out attaquant photo de J. Sarmiento Jeremy Sarmiento in milieu 72' Gakpo est signalé hors-jeu sur une déviation de Depay. L'assistant ne lève pas son drapeau alors que le joueur continue son action mais manque son lob sur Galindez. 70' Mis à part son but, Gakpo a un peu disparu de ce match à l'instar de pratiquement tous ses coéquipiers. Les Pays-Bas ne dégagent pas un niveau de grande qualité. 69' Klaassen est remplacé par Berghuis. photo de D. Klaassen Davy Klaassen out milieu photo de S. Berghuis Steven Berghuis in milieu 66' Enfin une action pour les Pays-Bas qui sont complètement dominés depuis la reprise. ce mouvement se conclut par une passe en retrait pour la frappe beaucoup trop enlevée de Koopmeiners. 64' Valencia est au duel sur la droite de la surface avec Timber, il réussit à centrer sur Estrada mais Aké vient gêner la reprise de l'attaquant. 62' D'un match terne en première période, on est passé à une rencontre complètement folle et débridée.
L'entraineur de La Tri a trouvé les mots à la pause pour motiver ses joueurs qui sont en train de faire basculer ce match. 60' Le but de Valencia a réveillé le public. L'ambiance est monté d'un cran dans le stade. 59' Plata trouve la transversale ! Pays-Bas secoués et accrochés par l'Équateur 1 Après une première reprise contrée de Valencia dans la surface, le ballon revient sur Plata qui arme une frappe puissante du pied gauche, Noppert est battu mais la transversale vient sauver les Oranje ! 58' Carton jaune pour Mendez pour une charge illicite. photo de J. Mendez Jhegson Mendez milieu 55' Le match a complètement changé de physionomie avec cette égalisation. c'est la meilleure chose qui pouvait arriver au niveau du spectacle. 50' Noppert a été mis sous pression une 1ère fois par Valencia. Le ballon est néanmoins repoussé vers le milieu de terrain mais il revient très vite dans sa surface. Le portier effectue une superbe parade sur la frappe d'Estupinan mais Valencia a bien suivi. 49' Valencia égalise ! Enner Valencia équateur sort sur cirvière contre les pays bas Après un pressing de Valencia sur Noppert, les Oranje dégagent le ballon mais Aké le perd rapidement au milieu. Ca repart rapidement vers l'avant. Estupinan est trouvé à l'entrée de la surface, sa frappe est repoussée par Noppert sur Valencia qui conclut. photo de E. Valencia Enner Valencia attaquant 48' Avant ce match, les Pays-Bas ont rendu un clean sheet lors de chacun de leurs 4 derniers matches de Coupe du Monde, leur plus longue série dans la compétition. La dernière nation à avoir fait la passe de 5 est la Suisse, entre 2006 et 2010. 46' Bergwijn est remplacé par Depay. photo de S. Bergwijn Steven Bergwijn out attaquant photo de M. Depay Memphis Depay in attaquant 46' Le match reprend Pays-Bas secoués et accrochés par l'Équateur ok Reprise. 45'+4 Mi-temps L'Equateur a cru à l'égalisation dans les arrêts de jeu avant que le corps arbitral n'annule le but dans un match assez fermé après le but rapide des Pays-Bas. Gakpo a une nouvelle fois ouvert le score sur un exploit personnel et une frappe exceptionnelle. C'est la révélation des Oranje. 45'+3 But refusé pour une position illicite Sur le corner, le ballon est repoussé au premier poteau, la frappe puissante qui suit de Preciado est déviée par Estupinan aux six mètres mais Porozo fait action de jeu et gêne le gardien néerlandais. Le but de Estupinan est donc refusé ! photo de P. Estupinan Pervis Estupinan défenseur 45'+2 Sur un coup franc excentré à gauche et tiré par Estupinan, Valencia place une tête au deuxième poteau qui est contrée en corner. 45' Il y aura trois minutes de temps additionnel dans cette première période assez décevante en terme de spectacle. 42' Noppert a touché beaucoup plus de ballons que Galindez, son homologue équatorien qui finalement s'est presque contenté d'aller chercher le ballon au fond de ses filets. Autrement, il n'a pas été sollicité. 40' Frenkie De Jong est la plaque tournante du onze de Louis van Gaal. Tous les ballons passent par lui, il dicte le rythme du jeu batave. 38' La possession est assez équilibrée. Ce sont même les Sud-Américains qui ont une légère supériorité. Assez logique vu qu'ils sont menés au score. Les Oranje se concentrent surtout sur des contre-attaques. 35' Valencia est un peu trop esseulé sur le front de l'attaque. Le capitaine fait un très bon match mais il ne pourra pas faire la différence seul. Ses partenaires vont devoir se mettre à son niveau. 32' Noppert décisif Après un une-deux manqué entre Klaassen et Gakpo, la contre-attaque est rapidement menée. Valencia est trouvé sur le côté gauche. Il se recentre et décoche une frappe puissante du droit que Noppert détourne d'une horizontale sur sa droite. 30' La Tri campe dans la moitié de terrain adverse grâce à un pressing haut et une implication collective mais attention aux contre-attaques néerlandaises. 27'
Temps-fort équatorien avec beaucoup de mouvements sur les côtés. Valencia déborde côté gauche, il centre sur Estrada qui dévie intelligemment d'une subtile talonnade mais personne n'est là pour conclure. 25' On a enfin vu des mouvements collectifs et offensifs côté équatoriens qui n'avaient rien proposé de consistant jusque là. 24' Enfin deux belles actions de La Tri. Une de chaque côté mais à chaque fois, le dernier geste ou le centre ne sont pas maitrisés et la défense néerlandaise peut se dégager. 22' On assiste à un match assez physique, peut être trop où l'arbitre est obligé d'intervenir très souvent. C'est assez haché ! 20' Vingt premières minutes assez ternes mis à part l'exploit individuel de Gakpo. Les Bataves gèrent leur avance et les Equatoriens sont assez inoffensifs. 18' Les Oranje font tourner le ballon sur les bases arrières, attendant une bonne opportunité, n'étant pas trop gênés par le pressing assez inexistant des Equatoriens. 15' Enner Valencia tente de faire la différence tout seul comme sur ce déboulé côté gauche. Il manque de solutions et d'appuis de ses partenaires. Il est finalement contrôlé par Timber une nouvelle fois. 13' Pressing très haut des Néerlandais qui oblige les Equatoriens à reculer et remettre le ballon jusqu'aux défenseurs. 11' Timber est souvent au marquage sur Valencia et le jeune défenseur fait parler son physique, souvent à la limite. 9' L'Equateur restait sur une série de 7 matches (3 victoires et 4 nuls) toutes compétitions confondues sans encaisser de but. L'Argentin Julian Alvarez était le dernier joueur à avoir marqué contre eux en mars dernier. Gakpo vient de mettre fin à la série. 6' But de Gakpo ! Cody Gakpo marque une nouvelle fois après avoir ouvert la marque au premier match. Sur un ballon mal dégagé et récupéré par Klaassen, Gakpo est trouvé aux 18 mètres, il rentre dans la surface sur son pied gauche et décoche une frappe imparable. 🔴LIVE : Ecuador vs Netherlands | Qatar World Cup 2022 | Live Football Match Today | https://www.youtube.com/watch?v=VtimA87UPTQ photo de C. Gakpo Cody Gakpo attaquant 4' Preciado est blessé. Le jeu est arrêté. Le joueur se plaint d'un ballon reçu dans le bas ventre. Il est à terre et demande l'aide des soigneurs. Tout semble remis en place et il reprend le jeu. photo de A. Preciado Angelo Preciado défenseur 3' Les Pays-Bas semblent plus à l'aise en ce début de match. Les Equatoriens se débarrassent trop rapidement du ballon en défense. 1' Le match commence ! https://www.youtube.com/watch?v=MJzkbAUw6ek Mustapha Ghorbal, arbitre algérien, siffle le coup d'envoi de la rencontre. Ce sont les Equatoriens qui engagent. En défense, Louis van Gaal a décidé que l'arrière central du Bayern Munich, Matthijs de Ligt, apparu en difficulté contre le Sénégal, laisse sa place à Jurrien Timber. Koopmeiners remplace Janssen au milieu. Le buteur et capitaine de l'Equateur, Enner Valencia, incertain, a bien été titularisé contre les Pays-Bas au contraire de l'attaquant néerlandais Memphis Depay, en phase de reprise, de nouveau laissé sur le banc. Les Pays-Bas sont invaincus lors de leurs 14 derniers matches de poules en Coupe du Monde. Seuls, l'Allemagne (16 entre 1990 et 2010) et le Brésil (16 avec sa victoire sur la Serbie) ont connu une plus longue série du genre dans le tournoi. A lire aussi COUPE DU MONDE QATAR 2022: les cinq nations africaines dirigées par des entraîneurs locaux L'Equateur n'a remporté que 2 de ses 7 rencontres de Coupe du Monde contre des équipes européennes (1 nul et 4 défaites), contre la Croatie en 2002 et la Pologne en 2006. Les Pays-Bas n'ont perdu que 2 de leurs 14 matches de Coupe du Monde contre des adversaires Sud-Américains (8 victoires et 4 nuls), perdant la finale 1978 contre l'Argentine et un quart de finale contre le Brésil en 1994. Il s'agit seulement de la 3e rencontre entre ces deux pays. Les deux précédentes ayant eu lieu en amical en mars 2006 (victoire 1-0 des Oranje) et en mai 2014 (match nul 1-1).
A lire aussi 🔴🇶🇦🇸🇳 Qatar 1- 3 Sénégal en direct / Coupe du monde 2022, Groupe A, 2e journée Les deux équipes se sont imposées lors du premier match. Les Bataves ont battu le Sénégal (2-0) avec deux buts en fin de match alors que l'Equateur a disposé du Qatar (2-0) plus facilement grâce à un doublé de Valencia dans la première demi-heure. Bienvenue sur notre site pour suivre en direct commenté la match du groupe A entre les Pays-Bas et l'Equateur au Stade Khalifa International à Doha.
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Andreas Pereira: Flourishing with Fulham under Marco Silva after finally finding home
“Andreas has all the attributes to become an integral part of the first team.” That quote came from then-Manchester United manager Luis Van Gaal almost eight years ago, stood alongside a Brazilian teenage dynamo with the world at his feet. Andreas Pereira had already been at Old Trafford for four years. United had beaten off competition from many of Europe’s other elite sides to sign him from PSV…
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Mundial de Qatar 2022: Los caídos en el frente de Qatar
Mundial de Qatar 2022: Los caídos en el frente de Qatar
En el artículo de hoy, compartimos el artículo sobre Mundial de Qatar 2022: Los caídos en el frente de Qatar. Puede encontrar detalles sobre Mundial de Qatar 2022: Los caídos en el frente de Qatar en nuestro artículo. Luis Enrique, Van Gaal, Roberto Martínez… El Mundial se ha llevado por delante a buena parte de los técnicos de las selecciones favoritas que no ha respondido a las…
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The real reason behind Messi's celebration in front of Van Gaal
The real reason behind Messi’s celebration in front of Van Gaal
The angry side of Lionel Messi was seen during Argentina’s penalty shootout victory over the Netherlands in the World Cup quarter-final. Messi’s anger was triggered by Dutch manager Luis Van Gaal after a press conference. In revenge, Messi celebrated in front of Van Gaal in the fashion of former Argentina player Riquelme after scoring Argentina’s second goal of the game. Then he went on a…
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️⚽️ "Il n'a pas montré de respect”: Lionel Messi s'en prend à Louis van Gaal
️⚽️ “Il n’a pas montré de respect”: Lionel Messi s’en prend à Louis van Gaal
Lionel Messi s’en est pris à Louis van Gaal après la qualification pour les demi-finales du Mondial arrachée aux tirs au but par l’Argentine aux dépens des Pays-Bas, vendredi soir à Lusail. Selon le capitaine argentin, le sélectionneur entraîneur des Oranje a montré peu de respect avant le match. Van Gaal avait fait référence à la demi-finale de 2014. Selon lui, Messi n’avait pas du tout joué ce…
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"Put On Tall People, Hit Long Balls": Lionel Messi Slams Netherlands Coach Luis Van Gaal's Tactics | Football News
“Put On Tall People, Hit Long Balls”: Lionel Messi Slams Netherlands Coach Luis Van Gaal’s Tactics | Football News
Following his side’s win over Netherlands in their FIFA World Cup quarterfinal match, star Argentina striker Lionel Messi slammed Netherlands manager Louis Van Gaal for “hitting long balls” to make a comeback into the game. Argentina marched into the semifinals of the ongoing FIFA World Cup in Qatar, defeating the Netherlands 4-3 via penalties after playing a thrilling 2-2 stalemate that got…
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I’m really sitting through this hell of a talkshow for måneskin...
But they’re worth it.
#måneskin#humberto#dutch tv#I cannot stand Luis van Gaal#and everything they talk about that's not måneskin is boring
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Già adesso, a un paio di settimane dalla “fiesta” – in un disincanto che si affinerà ulteriormente nel tempo- molti tratti dell’Italia a EURO 2020 si ridisegnano e ricompongono. “Il Mancio” ha svolto un grande lavoro di (ri)fondazione, ma la sua meravigliosa Nazionale non è stata, come da troppe rappresentazioni iperboliche, l’Olanda di Michels-Cruijff o la Spagna-Barça. Certo, ha avuto il merito di surclassare quasi ogni squadra quanto a condizione atletica (in un torneo in cui si arriva, com’è noto, sulle ginocchia) e a focus di principi di gioco (possesso-fraseggio, movimenti collettivi); ma soprattutto ha unito a quei vantaggi una lucidità e una resistenza psico-agonistica decisive nel capitalizzare un quadro caratterizzato da involuzioni strutturali (l’Olanda) o contingenti (il Belgio e l’Inghilterra), o da veri e propri harakiri (la Francia o la Germania, che pure ha forse giocato, nel match col Portogallo, il miglior calcio del torneo, insieme a lunghi momenti della Spagna). Quanto al contesto, qualche sketch sarebbe stato evitabile, come l’eterno ritorno della compiaciuta esibizione dei propri stereotipi (Bonucci in stile Sordi); e in generale, la (sacrosanta) sbornia carnevalesca è servita ancora una volta da surrogato socio-assistenziale, con l’Italia manciniana ammirata quasi solo per il risultato, quando invece – come ha notato Roger Abravanel – diversi suoi caratteri distintivi (“ambizione, innovazione, meritocrazia”) potrebbero ispirare molta imprenditoria familistica e arretrata.
Ma c’è una sequenza – subito fissata in icona – che va oltre, come scolpita da un vento post-temporalesco, uno di quei venti che danno a un paesaggio un rilievo da HD o 4K naturale: quella dell’abbraccio finale a Wembley tra Mancini e Vialli, “preparato” dai due abbracci di esultanza nei supplementari con l’Austria. Il quid di quelle immagini l’ha riassunto bene il Mancio: «Trent’anni fa eravamo insieme e abbiamo sofferto molto. Oggi si è chiuso un cerchio. Nel 1992 ho pianto lacrime amare a Wembley, oggi erano lacrime di gioia. Poi erano anche quelle di due un po’ anziani». L’allusione è alla finale di Champions persa conto il Barça di Cruijff (20 maggio) proprio a Wembley; ma anche, più estesamente, a un percorso problematico-fallimentare in azzurro. È una ferita plurima che Vialli condivide, anche se con una lieve diffrazione, perché lui la Champions l’ha poi vinta: all’Olimpico, nel ’96, con la Juve e contro il grande Ajax di Van Gaal. Una diffrazione che si estende se si pensa ai loro percorsi paralleli proprio a partire dal passaggio di Vialli in bianconero: e che li porterà a convergere a Wembley 2021 da strade molto diverse.
La sintesi visiva di quella diffrazione è nelle versioni che circolano dell’abbraccio nella notte dell’11 luglio. La più diffusa è la “recto”, quella col volto in profilo del CT, i singhiozzi liberati come un fiume troppo a lungo tenuto in costrizione carsica. Meno diffuso, il “verso”, il rovescio, con Vialli in primo piano in un pianto simmetrico a quello dell’amico-compagno, e, come quello, della stessa intensità e compostezza che ci colpisce in certi “compianti” della pittura italiana medieval-rinascimentale. Nel pianto di Vialli, però, c’è anche altro.
Risalirne la genesi composita è anche l’occasione per ripercorrere, in breve, la parabola tecnica e umana di uno dei nostri giocatori più esaltanti e – qualità rara – intellettualmente e affettivamente più coinvolgenti.
La ferita (le ferite)
Non si può non ritornare, in prima battuta, a quel 20 maggio, allo scontro tra la Samp di Boškov e il primo Dream Team di Cruijff. Le istantanee di quel match rimbombano ancora oggi in modo spietato: le diverse occasioni mancate dai doriani; la punizione-laser di Koeman che frantuma il “tempo fermo” dei supplementari (al minuto 111) mentre Pagliuca è già proiettato mentalmente sulle inclinazioni e i tic dei rigoristi blaugrana; su tutto, il pathos opposto del post-partita. Da una parte, l’estasi blaugrana: il “guerriero basco” Alexanco che percorre solennemente i 39 gradini – proprio come nel film di Hitchcock – verso il palco della premiazione; e il giovane Pep che gira avvolto nella bandiera catalana, in sfregio all’anniversario della “sexta” madridista. Dall’altra, il marasma blucerchiato, col capitano Mancio che rincorre – trattenuto da Mimmo Arnuzzo – l’arbitro tedesco Arno Schmidhuber, già messo nel mirino due mesi prima (quando gli aveva annullato un gol contro l’Anderlecht) e ora reo di aver fischiato la “dubbia” punizione battuta da Koeman. Appendice surreale: una premiazione livida, col Mancio – gli occhi gonfi di lacrime di rabbia – che offre la mano inerte a quella del presidente UEFA Johansson; e una conferenza stampa (evento senza precedenti) disertata da uno delle due squadre, dato che per i doriani non si presentano né il tecnico né il capitano.
Se di Mancini, in quella notte, restano quei frame isterici e disperati, di Vialli non resta (quasi) nulla, se non per attributi negativi: sbaglia un paio di occasioni nel secondo tempo (un colpo a volo di controbalzo su assist filante di Lombardo e uno “da sotto”, fuori di poco); esce per crampi al minuto 100, sostituito da Buso (lui che in futuro irriderà ai crampi – e alle lacrime – altrui); e non appare nemmeno alla premiazione, smaterializzandosi da Wembley. Opposti anche i commenti degli “inseparabili”: Mancini parla di “chiodo fisso” e non si rassegna («Prima o poi avrò ancora una chance in Coppa dei Campioni», dall’anno dopo, per la cronaca, Champions League); Vialli in apparenza glissa, tra snobismo e nichilismo («La vita continua, non è la morte di nessuno»), ma di fatto è già della Juve, con cui – come detto – la Champions verrà vinta. Anche se non a Wembley, e – soprattutto- non col Mancio.
A questa ferita originaria (Wembley, la Champions), Mancini & Vialli aggiungeranno le ferite in azzurro; cioè, nel dettaglio, i fallimenti ai Mondiali ’90 e ‘94; quest’ultimo, in particolare, invelenito per tutti e due dai contrasti e dalle incomprensioni con Sacchi, fino alla rinuncia: anche se lo zelo mediatico – puntiglioso fino alla morbosità nel ricostruire quelle tensioni – ha completamente rimosso le dichiarazioni successive dei due giocatori, anche recenti, sul loro rimpianto di non aver accettato le riaperture di Arrigo prima del torneo. Vialli, in particolare, si distingue nel post-USA per il suo inconfondibile touch sarcastico, parlando di “Mondiale dei crampi e delle lacrime”. Non una grande empatia verso un altro abbraccio-simbolo della nostra Storia calcistica, quello perdente – e struggente – tra Sacchi e Baresi dopo la sconfitta ai rigori col Brasile. Ma non avrebbe senso moraleggiare; in primo luogo, perché una volta attraversata la linea bianca dal campo alla panchina, sia Vialli che – soprattutto – il Mancio mutueranno diversi principi di gioco e dinamiche di squadra e di reparto dal sacchismo; e poi, in quel momento, quel sarcasmo è comprensibile, se il Vialli di quegli anni è ancora un Lucignolo o un Franti; un Franti, s’intende, che nasconde, nemmeno troppo, molti tratti da Garrone.
Dopo il ’94, i percorsi degli “inseparabili” non potrebbero essere – per quasi un quarto di secolo – più divergenti. Il Mancio – riassumendo brutalmente – entra nella fase-Eriksson, il tecnico già avuto (o meglio voluto, da lui e da Vialli) alla Samp del post- Boškov, con cui vince alla Lazio un secondo scudetto da underdog, esercitando già sul campo – l’ha ricordato Eriksson stesso – come allenatore. È una fase, per inciso, di imprinting decisiva, perché proprio la Lazio dello svedese si sedimenterà nell’archivio mentale del Mancio come un software fondativo, un primo “strato” di architettura dinamica in cui verranno calate le conoscenze successive, fino alla sintesi della Nazionale. Conoscenze acquisite per specifiche esperienze; molto più del doppio passaggio interista, quelle estere, in particolare quella inglese al City (2009-2013), in cui il 4-4-2 clonato da Eriksson comincia a spettinarsi e ibridarsi, portando il Mancio a un gioco via via più aggressivo-offensivo, ben riassunto nei tanti match dell’anno di vittoria in Premier; l’1-5 al Tottenham, l’1-6 nel derby a Old Trafford a un sir Alex stordito, la chiusa nella parossistica partita interna con il disperato QPR, coi Citizen che segnano i due gol necessari per il 3-2 con gli ultimi due tiri, il 43° e il 44° verso la porta (score mostruoso), in un finale frantic. Lì il Mancio comincia (senza saperlo o meglio senza averne certezza, perché è un disegno che leggiamo ora, a posteriori) il lento avvicinamento alla presa dell’Inghilterra, alla riconquista di Wembley e alla cura della ferita originaria.
Il bambino nel cortile
Vialli, da parte sua, quell’avvicinamento l’ha cominciato dieci anni prima, approdando a Londra sponda Chelsea, dove in un quinquennio, tra ’96 e 2000, è attivo come giocatore, player-manager e coach puro, senza arrivare alla Premier ma vincendo 5 titoli tra Regno Unito e Europa; spiccano, in particolare, una Coppa delle Coppe nel 1998 stendendo in finale lo Stoccarda del giovane Joachim Löw (dopo aver eliminato in semifinale il Vicenza di Guidolin) e una Supercoppa (stesso anno) stendendo il Real che aveva steso la Juve di Lippi in finale Champions.
A Stamford Bridge, Vialli diventa il dominus dopo altri due player-manager, Glenn Hoddle e Ruud Gullit; pratica e ruolo ormai al tramonto, secondo un trend avviato in Inghilterra nei ’70, che vedrà ancora qualche ultimo esempio isolato, come un altro doriano, Attilio Lombardo, al Crystal Palace. Dominus, a rigore, in senso psicologico e “carismatico”, da supervisore-trascinatore, perché il lavoro di base viene svolto da Graham Rix (già al Chelsea), da Ray Wilkins (uno dei veri amici di Vialli) e dall’AD Colin Hutchinson (che si occupa di contratti e trasferimenti). Anche se questa “divisione del lavoro” non gli impedisce di diventare un breaker, un apripista sottovalutato, che innesca un processo di crescita del club (in era pre-Abramovich) poi completato da Ranieri e Mourinho. Il che può succedere perché il Vialli di Stamford Bridge riprende il discorso interrotto nel passaggio-Juve dove, nonostante il Palmares, era stato in fondo uno dei tanti Terminator programmati da Ventrone in un team dell’establishment, non adatto a lui. Torna cioè a giocare in continuità con l’anarchismo scapigliato della Cremonese e della Samp; l’eterno malandrino dagli occhi ridenti-sfottenti e dall’inconfondibile sorriso a incisivi separati.
Il bel libro in cui Vialli approfondisce l’avvicinamento all’Inghilterra (The Italian Job, scritto a quattro mani con Gabriele Marcotti) non è un’autobiografia; anzi, lui stesso critica lì esplicitamente quei giocatori che – magari a metà carriera, per monetizzare una fama incerta – aprono le porte dello spogliatoio e della loro vita privata. Però è un libro con segmenti autobiografici illuminanti, che aiutano a focalizzare gli snodi della sua evoluzione.
Uno di quei segmenti (il denso flashback sull’infanzia-adolescenza) mostra dove e come si generi il Vialli che conosciamo, a livello sia tecnico che caratteriale. Si tratta di un doppio imprinting (di città e di campagna) e di un doppio paternage calcistico (un coach esteta e uno più “risultatista”), il tutto in successiva e progressiva integrazione, a comporre un’architettura fondativa. L’imprinting di città è quello di tanti bambini che “giocano nel cortile”, proprio come in Io vagabondo dei Nomadi; nel suo caso, il cortile rettangolare (i garage adibiti a porte) che si traduce in un campo “più largo che lungo”, inducendolo anche ad “allargarsi” per crossare e disegnando quindi il futuro giocatore in grado di svariare “su tutto il fronte d’attacco” e aggredire insieme ampiezza e profondità. L’imprinting “di campagna”, invece, è quello estivo (giugno-fine agosto) reso possibile dallo spostamento della famiglia da Cremona-città alla grande magione rinascimentale a Grumello, Villa Affaitati di Belgioioso (Vialli padre è un ricco imprenditore nel settore prefabbricati): lì, lui e il fratello si esercitano – dopo gli inverni nebbiosi sul porfido urbano – in grandi prati dall’erba “spessa e rigogliosa”, che permette di provare rovesciate e colpi in acrobazia, tutte le variabili atletico-tecniche che caratterizzeranno il Vialli stoccatore (Stradivialli, secondo uno dei tanti geniali nickname del brand breriano, con riferimento a Stradivari, il liutaio cremonese forgiatore di violini sublimi).
Viene in mente, per associazione, il misconosciuto imprinting tattico di Maradona, che inizia come libero di costruzione: “da libero vedi tutto da dietro, hai il campo intero davanti a te, hai la palla e dici: pim!, usciamo di là, pum!, proviamo dall’altro lato, sei il padrone della squadra”. In fondo – semplificando – è proprio quello ha fatto, spostando il baricentro d’azione avanti di 50 metri e sostituendo le uscite di costruzione con sempre nuove eversioni dello spaziotempo, verso il gol o l’assist, simili alle torsioni degli edifici in Inception di Nolan.
Quanto ai coach – dopo un’atipica lezione oratoriale di Don Angelo, che istruisce il ragazzo Vialli sull’amoralismo del calcio e dello sport tutto – l’esteta è Franco Cistriani, che al mattino incanta gli alunni spiegando la “grande letteratura” e al pomeriggio allena i Giovanissimi del Pizzighettone: in coerenza col suo mantra, tra Valdano e Bielsa (“Non importa se si vince o se si perde, l’importante è come giochi”) cura, più e prima del risultato, “i passaggi, il movimento, il controllo”; su tutto, induce i ragazzi a “ascoltarsi” (cioè a completarsi tecnicamente) e a giocare “senza paura di sbagliare”. Il coach “risultatista”, invece, è il leggendario Guido Settembrino, che accoglie Vialli – dopo l’exit dal Pizzighettone per un inghippo burocratico – tra i giovani della Cremonese. Straordinario scout (vedi la scoperta dei fratelli Baresi, con l’Inter che prende Beppe ma scarta Franco perché “mingherlino”), Settembrino è alla fine un “sergente” che impone ai ragazzi una disciplina implacabile, tecnica prima che comportamentale, smistando multe a chi sbaglia uno stop o un passaggio. Cercando l’unità e la compattezza del gruppo come base per arrivare a vincere, è il “concavo” rispetto al “convesso” di Cistriani (o viceversa); due aspetti della sua formazione che Stradivialli troverà riassunti in parte, com’è noto, dal terzo maieuta delle origini, Emiliano Mondonico, a sua volta giocatore “scapigliato” (da buon sessantottino) e protettore dei giocatori creativi, ma tatticamente poi virato in italianista estremo.
È più di una semplice digressione-suggestione ritrovare, nell’Italia di EURO 2020, le matrici della formazione di Vialli. La matrice-Settembrino, per la verità (la capacità di resistenza-resilienza e di “esaltazione nella difesa”) è in parte costitutiva della nostra storia calcistica, dalle origini al Mondiale 2006: vedi la “capacità di soffrire” contro la Spagna (un concetto inimmaginabile nella visione-Cruijff, quasi un tabù). Mentre la matrice-Cistriani è una venatura o una fioritura rara, emersa a singhiozzo: per questo nell’Italia del Mancio (e di Vialli) ha impressionato proprio il continuo giocare “senza paura di sbagliare” (esemplare la reazione al gol di Shaw), premessa e insieme conseguenza concettuale essenziale per un lavoro tecnico, prima che tattico, sofisticato e complesso (passaggio, ricezione, pazienza nella costruzione e nel riavvio di giro-palla, eccetera) su cui si è scritto troppo poco. Un lavoro, va da sé, svolto soprattutto (se non quasi solo) dal Mancio, ma in cui Vialli – totalmente sintonico con quella visione – potrebbe aver detto, chissà, qualche parola di peso, molto più che da semplice “capo delegazione”.
Il paziente inglese
Londra, per Vialli, diventa presto una “seconda patria”: il luogo degli affetti profondi (è la città in cui conosce la futura moglie Cathryn) e dell’uscita definita dalla “provincia” italiana, siglata dal primo domicilio a Belgravia. L’impatto è disintossicante, non gli sembra vero di poter sprofondare in un anonimato protettivo: passeggiare per Hyde Park senza essere riconosciuto, o fare spesa ai magazzini Harrods senza dover rilasciare autografi. Infatti, l’impiego del suo tempo libero anticipa le abitudini successive, quelle che si consolideranno dopo la rinuncia alla carriera di coach: le viste ai giardini botanici di Kew, alla National Gallery, al castello di Windsor.
Mentre penetra nei segreti del football insulare, puntualmente scannerizzati in The Italian Job (l’incidenza del meteo e soprattutto del vento sulle dinamiche di gioco; la strana obbedienza anaffettiva dei giocatori a coaching; le analogie e le differenze con l’Italia, a partire dai media), cerca di capire la società e l’antropologia inglese tout court. Ed è anche grazie a questa apertura comparativa che affina la sua “filosofia”, per esempio quando inquadra il “suo” machiavellismo: «C’è una linea sottile che divide il cinismo dal realismo, e Machiavelli probabilmente si sarebbe definito soltanto realista». Vale per il calcio, ma non solo.
Dopo la bonus track al Watford di Elton John (2002, in cui esaurisce la sua esperienza di coach), Vialli è quindi pronto per il ruolo di commentatore-entertainer, che si distende in parallelo al quindicennio in panchina del Mancio. Da quel momento, Sky diventa la dorsale della sua attività, dai commenti TV ai match (sempre marcati da originalità analitica e ironia tagliente) al docu-reality Squadre da incubo, prodotto da Sky Italia e andato su TV8, co-conduttore Lorenzo Amoruso. In mezzo, a contrappunto, diversi altri impegni, dalla Fondazione per la ricerca sulla SLA (in condomino con Massimo Mauro) ai contributi editoriali per vari libri, in primo luogo quelli sullo stesso argomento.
Tutto scorrerebbe in una sorta di routine illuminata, non fosse per l’irruzione, nel 2017, del nonsense della malattia (un tumore al pancreas), in tempi e modi da lui stesso raccontati – col solito mix di schiettezza e pudore – nella coda criptata di un altro libro, Goals, in cui raduna un centinaio di quotes, ciascuna seguita da un racconto esemplare su sportivi notissimi, misconosciuti o ignoti.
Il racconto dettagliato dell’esordio della malattia (subdolo, come spesso in oncologia), del suo decorso e delle diverse terapie è in quelle poche, intensissime pagine. Pagine in cui non si può non restare toccati da certi passaggi psicologici: le rassicurazioni risolute ai genitori («prometto a mio padre che non me ne andrò prima di loro»); il momento di dirlo “alle bambine”, il giorno di Santo Stefano, per non intaccare il Natale; la presa di coscienza dello squilibrio della contesa («non è una lotta per sconfiggere lui», il cancro, sottintendendo una lotta impossibile) e della vera posta in palio (la “sfida a cambiare se stessi”). Ma soprattutto colpisce la dissimulazione cui Vialli deve (vuole) ricorrere: quella esteriore (i maglioni sotto la camicia per nascondere il feroce dimagrimento) e quella “narrativa” («una versione della storia che è solo una parte della verità») per non restare intrappolato in un’ipocrisia ben peggiore, quella degli amici sani che fingono di non sapere: «non voglio che cambi il modo in cui mi parlano e scherzano con me». Una dissimulazione, va da sé, sostenibile fino a quando è sostenibile l’ambiguità diagnostica, fino a quando le terapie non alterano la fisionomia e la malattia viene ufficializzata. E tutto questo mentre il sé vacilla tra la vergogna («Quasi che quanto è successo fosse colpa mia») e la paura, «la paura vera, quella che ti fa chiudere in bagno a piangere».
La svolta – la possibilità di cominciare “a dialogare” con quella stessa paura – avviene quando il professor Cunningham, eminente oncologo che prende in carico il paziente dopo la fase di cure italiane, lo rassicura circa la possibilità concreta, credibile, di una guarigione. Da quel momento, Vialli costruisce una “nuova, formidabile routine”, intessuta di “piccole frasi fondamentali”, “dettagli piacevoli”, “silenzio”: una strategia costruttiva minimalista e zen, che possa aggregare frammenti di senso lungo il nonsense generale. Ma il minimalismo non è per lui. Altro lo aspetta. Stiamo pur sempre parlando di Stradivialli, forse il nostro più grande attaccante dopo Meazza e Gigi Riva.
La cura
Nel quindicennio scorso in parallelo, gli “inseparabili” continuano a sentirsi, in un “cazzeggio” ininterrotto (Mancio dixit) che assume al tempo della malattia la forma di un elegante esorcismo, tra elusività e rispetto. Arrivato alla Nazionale (14 maggio 2018), a un certo punto il Mancio sente il bisogno di accorpare al gruppo l’amico di una vita (come si vedrà, insieme a mezza Samp, dello scudetto e non); e ha onestamente poca importanza che il gesto sia anche dovuto a pura spinta affettiva, persino una disperata pietas fraterna. Se anche fosse… Il punto è che il CT vuole avere a fianco il gemello nel cercare di sanare l’antica ferita originaria del 20 maggio ‘92 e il suo (il loro) rapporto fallimentare con la Nazionale; tanto più che – con le finals a Wembley – Vialli è l’antidoto ideale in quanto diventato nel frattempo un inglese d’adozione, come riassumono iconicamente le tante, belle foto in cui appare con varie fogge di flat cap, da “mister” british storico.
Scritturato dalla FIGC nel novembre 2019 (ufficialmente come dirigente, in realtà come caretaker tecnico-psicologico), Vialli diventa a EURO 2020 (21) una delle chiavi “culturali” del successo. Quanto riesca incidere nel crescendo delle 7 partite lo riassume Florenzi: «So che queste parole lo faranno arrabbiare, ma è importante che tutti lo sappiano. Noi abbiamo un esempio che ci mostra ogni giorno come si deve vivere, come ci si deve comportare in qualsiasi ambiente ti trovi e in qualsiasi situazione. Per noi è speciale: questa vittoria senza di lui, così come senza Mancini e gli altri, non sarebbe niente. Lui è un esempio vivente».
Di questa incidenza profonda – tecnica, motivazionale, affettivo-emotiva – noi spettatori abbiamo assorbito solo alcune sequenze avvincenti, comunque sufficienti a tracciare uno stato di grazia: il rituale del pullman, che dopo aver “dimenticato” Vialli a terra prima di Italia-Turchia, ripete per altre sei volte la pantomima apotropaica; la declamazione alla squadra riunita (la vigilia della finale) del celebre discorso del Presidente-soldato Teddy Roosevelt (L’uomo nell’arena), sentito decine di volte nello sport (vedi LeBron James al tempo degli Heat) e nei business meeting aziendali, ma da lui depurato da ogni scoria retorica; i rigori (specie l’ultimo) vissuti spalle al campo, nell’attesa di un’euforia sonora prima ancora che visiva; la progressione degli abbracci col Mancio a Wembley, da cui siamo partiti, i due nei supplementari con l’Austria e quello nella notte dell’11 luglio.
Torniamo così a quell’abbraccio, ricordando – ancora e sempre – come sì, lì il cerchio si chiuda, ma in una visione a posteriori, secondo il corso di una necessità come esito di tante scelte giuste (e fortunate) in biforcazioni o sliding doors non scontate; sarebbe bastato meno di un rigore sbagliato, una semplice deviazione, uno scarto qualsiasi degli eventi, per vanificare quella circolarità.
A cerchio chiuso, però, non si può non vedere la potente condensazione, in senso psicologico-analitico, di quell’abbraccio: la ferita (le ferite) di Mancini & Vialli sanate collettivamente, come se la squadra e l’ambiente intero, a partire dagli altri doriani, avessero fatto propria quell’extra-motivazione monstre, innervandola con forza lungo un desiderio di riscatto più generale, sia calcistico-sportivo (dopo il crash traumatico che nega il Mondiale 2018) sia psicosociale, con l’abbraccio che – più di ogni altro – risolve simbolicamente la negazione di quel gesto, cioè una delle mutilazioni profonde dell’era-COVID. Una negazione primaria per l’animale umano, come ricordano i testi omerici; l’abbraccio mancato di Achille a Patroclo, in sogno: quello, triplice, di Odisseo alla madre, nell’Ade.
E non si può non tornare – condensazione soggettiva – all’abbraccio dal punto di vista specifico di Vialli, il “verso” di cui abbiamo detto. Una lunga vertigine che (almeno ai nostri occhi, ma forse anche per lui) connette tutto: il bambino nel cortile e le sue acrobazie sull’erba, Cistriani e Settembrino, Boškov e Eriksson, Mondonico e Sacchi, i crampi e le lacrime propri e quelli altrui, su su fino alla malattia e alla metamorfosi che gli ha imposto, scatenando in lui una forza paradossale, con cui è riuscito a strappare al nonsense non qualche frammento, ma una sequenza memorabile di senso qual è la vittoria all’Europeo.
A sintesi di tutto, c’è poi, tra le altre, una terza versione dell’abbraccio: frontale, le teste e i volti dei “gemelli” perfettamente simmetrici. Lì, le ragioni del pianto condivise dal Mancio e da Vialli e quelle soggettive di ciascuno, sembrano compenetrarsi una volta per tutte. Lì, il Mancio sembra piangere anche per la malattia dell’amico e per come l’ha elaborata. Quello che non ha mai potuto dirgli fuori dal cazzeggio (l’indicibile), avrebbe potuto dirglielo solo in quel modo.
Coda
La diffrazione, lo scarto di Vialli rispetto al Mancio e alla squadra, diventa tangibile nel post Europeo. Quando la Nazionale viene ricevuta al Quirinale da Mattarella e Draghi, lui resta a Londra; e mentre tutti raggiungono favolosi luoghi di vacanza, indigeni o esotici (il “duo di Harvard” Bonucci-Chiellini in Sardegna, i napoletani a Ibiza, lo stesso Mancio – dopo la rimpatriata jesina – in Salento) lui torna a Grumello, la sua Itaca senza mare (o dal mare d’erba), nella parte del “castello” che il padre gli ha lasciato in eredità. L’unica foto postata è quella col suo volto sorridente davanti al vicino Santuario della Beata Vergine della Speranza, una scabra chiesa settecentesca, quasi spoglia. A commento, solo cinque parole: «È il tempo della gratitudine».
Il “dialogo con la paura” – in quel tipo di malattia- non può mai davvero finire, ma solo declinarsi in forme diverse. Eppure, Vialli è già andato aldilà del suo obiettivo primario, dichiarato in Goals: «Voglio essere di ispirazione agli altri. Voglio che qualcuno mi guardi e mi dica: “È anche per merito tuo se non ho mai mollato”». Ci ha offerto molto, molto di più. Ci ha mostrato come nessuna limitazione sia un alibi sufficiente per farci provare solo a sopravvivere; come l’animale umano – anche, anzi a volte proprio nelle condizioni più difficili – abbia la possibilità, per natura e cultura, di provare a vivere.
Sandro Modeo, Gianluca Vialli ha chiuso un cerchio
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8 Ander Herrera facts plus his unpopular hand of god
8 Ander Herrera facts plus his unpopular hand of god
So today we decided to feature some Ander Herrera facts who is rumored to be on his way to Paris St Germain once his contract with Manchester United expires .
Ander Herrera also known as Agüera is a Spanish professional footballer who plays for English premier league side Manchester United.
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