#Lola Amy Bonheur
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meringuecream7 · 15 days ago
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Happy Halloween, Folks!🎃🎃🎃🎃
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meringuecream7 · 1 month ago
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An Explanation of the Lucky Quartet’s Childhoods!:
Lizzie - She was a girl and saw a mail girl delivering papers! Inspired, she made a paper letter and sent it to one of her stuffed animals, especially Popsicle and Cottonball.
Harold - He wanted to test out one of his tricks and show them to the crowd, but they took advantage of him for being weird.
Frederick - He has one, and it is praying to Jesus (he’s a Christian). He likes to be honorable to every person who has a religion!
Lola - Her mother died when she was six. Her family decided to go on new plans, which made her feel more and more uncomfortable

Ok let’s be real, ignoring all the headcanons that everyone has made (including mine), we can all agree that this is indeed true
this is concerning canon only
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alrightbuckaroo · 1 year ago
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Happy Wednesday, everyone! Thanks for the tags, @welcometololaland, @wandering-night19, @three-drink-amy, @inflarescent, @strandnreyes, @rmd-writes! It's always a delight to read the little snippets you share. Lola asked for some more Parisian Summer AU and who am I to deny?
"When I make dinner, I start cooking but then it’s like Dumas is in my ear, telling me everything I’m doing wrong. Even things I’ve done for years, like how to make a simple roux. Next thing I know, I’m feeling anxious and sometimes I start to lose focus.”
“What do you mean?” TK asks softly, like one does when approaching a wounded bird. “Lose focus?” 
“I don’t know, I guess it’s like, spacing out? I don’t know, it’s like for a super brief second, things go dark and then I come back to reality without remembering the moment before.” Carlos explains, wondering if any of his ramblings make sense. 
“It’s not very often though.” Carlos rushes to clarify when TK looks at him with overwrought concern. “I just, I just have to get better at staying focused.” Carlos smiles after he says it, like it’s that easy. 
TK is silent for a brief moment, holding himself back because all he wants to do is be honest with Carlos. He wants to tell Carlos he’s worried about him. He wants to tell Carlos he can’t be indifferent to this anymore, but at the same time; he doesn’t think telling Carlos will make a difference.
Carlos is still Carlos at the end of the day; a career driven culinary student who’s focused on his journey to becoming the best chef that he can be. TK just happened to be a fortunate stop amid that journey; one that Carlos hasn’t left just yet and one that TK hopes he never leaves. 
TK doesn’t want his worry to disfigure itself into animosity, as if he’s annoyed he has to share Carlos with his embedded passion. He wants Carlos to be the best, but he also wants Carlos to be happy. 
“You know you can always come find me if it gets too dark,” TK says, his thumb running across the ridges of Carlos’ knuckles. “I’m always happy to be your light.” 
TK thinks it might sound cliche and he knows it won’t magically fix anything; but that doesn’t mean he means it any less. He had once told Carlos he could talk to him about anything and that still rings true, now more than ever.
tagging: @reyesstrand, @carlos-in-glasses, @heartstringsduet, @orchidscript, @lemonlyman-dotcom, @thisbuildinghasfeelings, @bonheur-cafe, @basilsunrise, @tailoredshirt, @cold-blooded-jelly-doughnut, @sanjuwrites, @freneticfloetry, @ambiguouspenny, @rosedavid, @paperstorm and here's an open tag for anyone who just wants to share :)
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rmd-writes · 1 year ago
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wip wednesday
thanks for the tag @welcometololaland how novel to be doing this when it’s still Wednesday for us!!
I have something for you all this week! Not a snippet because the only thing I’m currently writing are the intimate moment prompt fills I’ve received BUT some news!! Lola and I have spent a not insignificant time recently plotting a new Tarlos fic that we’re going to co-write now that unprofeshy is almost fully posted.
The vibes? Sexy, with a little chaos, and a LOT of feelings.
A sample of messages from our plotting:
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tagging to share and leave me with snippets to wake up to please and thank you so much: @strandnreyes @lightningboltreader @carlos-in-glasses @alrightbuckaroo @redshirt2 @inexplicablymine @nontoxic-writes @lilythesilly @hrhwrites @stutteringpeach @clottedcreamfudge @kiwiana-writes @rosedavid @bonheur-cafe @lizzie-bennetdarcy @hippolotamus @sunshinestrand @iboatedhere @three-drink-amy @liminalmemories21 @never-blooms @freneticfloetry and 💖 <- that’s an open tag for anyone else who wants to share
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le-chat-sur-mars · 4 years ago
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Heartstring : Un moment Ă  eux
The french version of this story ( @fyoriginalstories )
L'heure venait juste de changer : 16h25
Johan attendait depuis maintenant plus de 20 minutes devant les grilles fermĂ©es de l'Ă©cole Ă©lĂ©mentaire oĂč se trouvait Lola, sa petite sƓur. On Ă©tait vendredi et il finissait toujours plus tĂŽt ce jour-lĂ , et c'Ă©tait Ă©galement lui qui allait la chercher aprĂšs la classe. Comme d'habitude, le jeune homme arrivait toujours en avance, trop parfois. Aujourd'hui, il est arrivĂ© 20 minutes avant la sonnerie, alors que Lola fini toujours Ă  16h30.
Johan savait que c'Ă©tait idiot, car le magasin se trouve Ă  10 minutes Ă  pieds de l'Ă©cole. Mais bon, il ne voulait surtout pas manquer la sortie des classes de sa sƓur, et encore moins la faire attendre.
Orlando, que son maĂźtre avait amenĂ© avec lui pour faire plaisir Ă  Lola, attendait sagement assis Ă  cĂŽtĂ© de lui, regardant quelquefois autour de lui. Quant Ă  Johan, il pianotait distraitement sur son tĂ©lĂ©phone pour regarder les nouveautĂ©s concernant de potentiels concerts Ă  venir et aller faire un tour sur son compte Facebook, Instagram et Soundcloud. Il y avait encore peu de monde devant les grilles ; c'Ă©taient principalement des parents (la plupart des mamans) qui venaient rĂ©cupĂ©rer leurs rejetons pour les ramener en voitures, d'autres des collĂ©giens (peut-ĂȘtre) qui allaient repartir avec leurs frĂšres et / ou leurs sƓurs Ă  pieds ou en bus. Cette vue des grands frĂšres et des grandes sƓurs sera le cƓur du jeune homme : Lola avait eu 10 ans cette annĂ©e, l'annĂ©e prochaine elle rentrera au CollĂšge, avec de nouvelles rĂšgles, de nouveaux cours, de nombreux professeurs, des nouveaux amis peut-ĂȘtre 
 et la naissance de bĂ©guins amoureux. Mon Dieu ! Elle grandissait si vite, et allait devenir un adolescente 

Pour le moment, il reste encore du temps. Et aujourd'hui, le grand frĂšre a prĂ©vu d'emmener sa petite sƓur prendre un goĂ»ter ensemble avant de rentrer Ă  la maison et ça, ça n'avait pas de prix.
La cloche se mit à sonner, tirant Johan de ses pensées et faisant sursauter Orlando. Il rangeùt son téléphone dans sa poche et se concentra sur les grilles que deux surveillants déverrouillaient et ouvraient les portes.
Plusieurs rangs remplit d'Ă©lĂšves sortaient du grand bĂątiment en pierres accompagnĂ©s par leur professeur respectif. Johan savait que les classes de CP, CE1 et CE2 sortaient du cĂŽtĂ© gauche de l'Ă©cole, donc qu'il n'aurait pas longtemps Ă  attendre Lola. Une bonne partie des enfants se prĂ©cipitaient vers leur parents ou leurs frĂšres et sƓurs, d'autres repartaient seuls vers les bus de l'autre cĂŽtĂ© de la rue, les derniers restaient dans la cour pour jouer avec leurs copains ou bien Ă  cĂŽtĂ© des professeurs jusqu'Ă  l'arrivĂ©e de leurs parents retardataires, ou encore aller en Ă©tude car n'ayant pas le choix.
Lorsque les deux classes de CM1 Ă©taient parties, celles de CM2 sortirent finalement dans la cour accompagnĂ©es de deux enseignantes ; l'une bientĂŽt retraitĂ©e, c'Ă©tait celle de Lola, et l'autre avait commencĂ© Ă  enseigner il y a environ 2 ans si les souvenirs du jeune homme Ă©taient bons. Parmi tous les enfants qui composaient ces groupes, Johan pu apercevoir Lola en pleine conversation avec une jeune fille du mĂȘme Ăąge aux couettes blondes, sa meilleure amie Juliette. A cĂŽtĂ© d'elles se trouvait une autre jeune fille brune au teint halĂ©, Samia une autre de ses amies, et enfin les jumeaux Louis-Paul et Lison (Johan trouvait ces prĂ©noms un peu ridicules, mais au moins ils Ă©taient gentils). La discussion du groupe de copains avait l'air animĂ©e et Johan s'en amusait.
Lorsque Lola se dressait sur la pointe des pieds pour le chercher, Johan lui fit son plus beau sourire et agita la main jusqu'à ce qu'elle le repÚre. Une fois dans son champ de vision, la jeune fille lui rendit son salut toute excitée. Elle dit « au revoir » à ses copains et fila rejoindre son grand frÚre. Orlando s'était redressé en la voyant, il se mit à japper et à remuer la queue de bonheur.
Lola se jeta dans les bras de son frÚre qui la rattrapa au passage. « T'es venu me chercher ! » s'écria t-elle en le gratifiant d'un bisou sur la joue.
« Évidemment, et comme tous les vendredis. » lui rĂ©pondit le jeune homme en lui retournant son bisou. Une fois relĂąchĂ©e, Lola s'accroupit devant le terre-neuve et entoura son cou de ses bras. « Et t'as ramenĂ© Orlando en plus ! Salut Orlando, comment tu vas ? » demanda-t-elle en lui caressant la tĂȘte.
Le gros chien lui répondit en jappant et en lui donnant quelques coups de langues, ce qui fit rire la jeune fille.
Johan gloussa. « Je savait que ça allait te faire plaisir, et en plus il est content. » dit-il en tendant la laisse Ă  sa petite sƓur. Lola ne se fit pas prier pour la prendre. Johan tendit de nouveau la main pour lui attraper son cartable, mais celle-ci refusa. « J'suis assez grande pour le porter, tu sais ? » dit-elle pour se dĂ©fendre.
Le jeune homme n'insista pas et lui fait signe pour approuver les dires. Le trio commençait à s'éloigner pendant que l'un des surveillants fermait une des grilles de la cour d'école.
« Pfiou ! J'suis contente que ce soit fini ! » dit Lola en se frottant le front comme si elle venait de faire un gros effort, ce qui fit sourire son frÚre.
« Pareil, rĂ©pondit ce dernier en se tournant vers sa sƓur, et tu sais quoi ? J'aurais bien envie de manger une gaufre chez Sugar Rush avec un bon milk-shake avant de rentrer Ă  la maison. Pas toi ? »
Lola ne put réprimer un gloussement de joie. « OH OUI ! Et je veux une gaufre au chocolat steuplé! »
« C'est noté. Dit Johan en se tapotant la tempe du doigt. Et comme ça tu me raconteras tranquillement ta journée en détails. »
« La tienne aussi. » renchérit la jeune fille.
« Comme tu voudras, ma puce. »
Soudain, elle s'inquiĂ©ta :  « Mais 
 Mamie sait qu'on rentre pas tout de suite ? » demanda-t-elle.
« Je lui ais envoyé un texto pour la prévenir. Tu sais, elle n'est pas encore sénile pour pas savoir se servir d'un portable. » lui répondit son grand frÚre qui en riait. Si Mamie Yolande l'avait entendu, elle lui aurait flanqué une claque sur le bras.
« C'est pas gentil, ça. » grogna Lola, mais Johan ne releva pas.
Ils arrivĂšrent au fameux Sugar Rush, un mignon petit restaurant spĂ©cialisĂ© dans la nourriture sucrĂ©e et qui a ouvert il y a un peu moins d'un an. Johan s'attendait Ă  trouver l'Ă©tablissement bondĂ©, mais fut agrĂ©ablement surprit de voir qu'il n'y avait pas foule ; une aubaine pour le frĂšre et la sƓur. La queue avait l'air chargĂ©e, mais avançait plutĂŽt vite. Et Ă©videmment, un panneau reprĂ©sentant un pictogramme de chien barrĂ© d'une grosse croix rouge Ă©tait affichĂ© sur la porte d'entrĂ©e, donc oubliĂ©e la place Ă  l'intĂ©rieur du restaurant. Heureusement que le temps n'Ă©tait pas mauvais, mĂȘme s'il Ă©tait un peu venteux, on pouvait tout de mĂȘme rester en veste ou en pull.
Devant la porte, Lola commençait un peu à s'inquiéter : « Tu crois qu'on aura une gaufre ? » demanda-t-elle à son frÚre.
Johan haussa les Ă©paules. « Bah, y a pas de raisons qu'on en ait pas une. » rĂ©pondit-il tout simplement. Et voyant la terrasse presque vide, il se tourna de nouveau vers sa sƓur. « Dis, tu peux garder Orlando et nous trouver une place le temps que j'aille commander steuplĂ© ? » demanda-t-il.
Lola fit le salut militaire en guise de réponse, ce qui fit sourire une fois de plus Johan. « Et un milk-shake banane, mon commandant. »
« Ça marche. » dit le jeune homme en pĂ©nĂ©trant dans le restaurant, qui Ă©tait remplit de clients dĂ©gustant leur commande, discutant et du bruit provenant de la cuisine. De nombreuses odeurs sucrĂ©es flottaient dans l'air ce qui rendait le lieu tout de suite plus agrĂ©able. Et la queue qui avançait vite, parfait.
Johan jeta un coup d’Ɠil Ă  l'extĂ©rieur et vit Lola installĂ©e Ă  une table prĂšs de la grande vitre, son cartable et Orlando Ă  ses pieds. Elle lui fait coucou lorsqu'elle le voit, et il lui fait la mĂȘme ; puis elle recommença Ă  papouiller le terre-neuve qui avait vautrĂ© sa tĂȘte sur les genoux de l'Ă©coliĂšre. Cela rassurait Johan car, mĂȘme s'il n'en a pas l'air, ce gros balourd d'Orlando est un trĂšs bon garde du corps donc elle ne risquait pas grand chose.
« Monsieur ? » interpella la voix de la vendeuse, ce qui sursauter un peu Johan. Bon sang, c'était déjà son tour ?
« Ah euh 
 » le jeune homme s’éclaircit la voix. « Pardon, j'Ă©tais distrait. » dit-il gĂȘnĂ© en passant une main dans ses longs cheveux.
« Y a pas de mal. dit la vendeuse avec un sourire. Qu'est-ce qu'on vous sert ? » Et elle commença à pianoter sur l'écran de la caisse.
« Deux gaufres au chocolat et deux milk-shakes. Un banane et un chocolat, taille normale s'il vous plaßt. » dit Johan.
« TrĂšs bien ! dit la caissiĂšre aprĂšs avoir enregistrĂ© la commande sur sur le petit Ă©cran. Ça fera 8,60 € et je vous laisse attendre Ă  cĂŽtĂ©, mes collĂšgues vont s'occuper de vous. » En mĂȘme temps, elle avait sortit deux tickets : un qu'elle donna Ă  son collĂšgue derriĂšre elle et l'autre Ă  Johan. Ce dernier paya la caissiĂšre et se mit sur le cĂŽtĂ© en attendant de recevoir les plats.
Encore une fois, la chance lui sourit. Un des serveurs disposa les gaufres fumantes dĂ©goulinantes de chocolat et les gobelets de milk-shake un petit plateau qu'il tendit Ă  Johan en lui demandant si c'Ă©tait bien sa commande. Le jeune homme confirma ses dires, prit le plateau en le remerciant et sortit rejoindre sa sƓur.
« Et voilĂ , mademoiselle ! » s'exclama-t-il en posant le plateau sur la table et vint s'installer sur la chaise d'en face. Orlando fit une petite fĂȘte Ă  son maĂźtre que ce dernier rĂ©prima avec des caresses sur son flanc.
« Gaufre au chocolat et milk-shake banane comme tu me l'as demandĂ©. » ajouta le jeune homme en prenant son propre goĂ»ter, laissant le plateau Ă  sa petite sƓur.
« Merci Jojo, dit la jeune fille avec un grand sourire, t'es le meilleur grand frÚre du monde ! »
Cette rĂ©ponse donna au jeune homme du baume au cƓur. Il eu un rictus et rectifia : « J'ai juste achetĂ© Ă  manger et Ă  boire, hein. Si tu veux remercier quelqu'un, c'est plutĂŽt l'Ă©quipe du resto. » dit-il en dĂ©signant les serveurs du pouce.
« Peut-ĂȘtre, mais en attendant c'est toi qui a payĂ© mon goĂ»ter. » corrigea la jeune fille en buvant une longue gorgĂ©e de son milk-shake. Johan sait que sa petite sƓur a souvent de bons arguments lorsqu'il s'agissait de le convaincre. C'Ă©tait une trĂšs bonne qualitĂ©.
Johan bu également quelque gorgées du milk-shake. « Bon, parle-moi de ta journée d'école, tu veux ? » demanda-t-il.
Lola posa son gobelet et saisit sa gaufre encore chaude. « Bah, ce matin il y a eu le contrÎle de français. Tu sais, celui sur la conjugaison de l'imparfait. » dit-elle en mordant dedans.
« Ah ouais ? Et ça c'est passé comment ? » demanda son frÚre.
« Bien, je crois. Dit Lola en reprenant une bouchĂ©e de gaufre. J'ai bien appris la leçon, et je l'ai comprise du premier coup. Mamie m'a mĂȘme dit que j'Ă©tais prĂȘte pour le contrĂŽle, tu t'en rappelles ? »
Johan se souvenait effectivement que Lola avait intensément révisé mercredi et jeudi. « Y a pas de raison que tu rates si tu la connaissais. » dit-il en mordant à son tour dans sa gaufre.
« Ouais. Puis elle se renfrogna. Et cette aprÚs-midi y a eu le contrÎle de maths. » dit-elle.
« Ah ? Et ça c'est passĂ© comment pour celui-lĂ  ? » demanda le jeune homme, sachant que les maths n'Ă©tait pas le fort de sa sƓur, comme lui d'ailleurs.
« Pas terrible. Je pense pas avoir la moyenne sur celui-lĂ . rĂ©pondit-elle en sirotant son milk-shake. C'Ă©tait sur les fractions Ă©quivalentes. J'ai pourtant rĂ©visĂ© hein, mais 
 je crois que j'ai rien compris. »
Johan soupira et prit la main de Lola. « C'est pas une fatalité si tu as moins de 5 sur 10, tu sais ? » lui dit-il gentiment.
« Mamie va ĂȘtre déçue. » souffla-t-elle, puis mordit de nouveau dans sa gaufre.
« Mamie ne va pas t'en vouloir pour ça, crois-moi. dit Johan pour la consoler. J'ai jamais Ă©tĂ© copain avec les maths non plus, Mamie peut le confirmer et ça ne m'a jamais empĂȘchĂ© d'avoir le bac et mon job. »
« C'est censé me rassurer ? » demanda la jeune fille.
« Je fais de mon mieux. » dit-il. Et cela fit sourire l'écoliÚre qui retrouva son enthousiasme.
« Ce midi y avait spaghettis bolognaise Ă  la cantine, c'Ă©tait trop bon. Ajouta Lola aprĂšs avoir mangĂ© d'autres morceaux de sa gaufre. Elle avait maintenant plein de chocolat autour de sa bouche. Et Ă  la rĂ©crĂ©, Samia nous a montrĂ© des pierres prĂ©cieuses. Y avais une amĂ©thyste, un Ɠil de tigre et une 
 la 
 lapus lazi 
 Raaah ! J'sais plus le nom !» rĂąla la jeune fille.
« Lapis Lazuli tu veux dire ? » corrigea Johan.
« OUI ! C'est ça ! » s'exclama Lola en tapant dans ses mains. « Samia nous a dit que c'Ă©tait sa grande sƓur qui les lui avait donnĂ©, et elle va faire un exposĂ© dessus pour sa classe. Dommage qu'on soit pas dans la mĂȘme 
 » soupira-t-elle.
Le frĂšre et la sƓur reprirent des gorgĂ©es de leur milk-shake. « Et demain, Juliette veut m'inviter chez elle. Elle l'avait demandĂ© Ă  Samia de venir aussi pour qu'elle nous montre ses autres pierres ; mais elle peut pas car elle part chez son oncle et sa tante pour le week-end, pareil pour les jumeaux mais eux, ils vont Ă  l'anniversaire de leur cousine. continua la jeune fille sur sa lancĂ©e. Dis, tu crois que Mamie va bien vouloir que je dorme chez Juliette samedi ? »
Le grand frÚre déchira un morceau de gaufre qui n'avait pas de chocolat et le donna à Orlando, qui le goba avidement. « Je pense que oui. Tant que t'as fait tous tes devoirs pour lundi c'est bon. » dit-il.
Lola avala la derniÚre bouchée de sa gaufre. « J'ai prévu de les faire ce soir, comme ça je serait tranquille jusqu'à lundi. dit-elle. Et j'aurais ma dictée à préparer, tu crois que Mamie et toi vous pouvez m'aider pour ça ? »
« A ton avis ? » le questionna Johan qui savait pertinemment qu'elle connaissait déjà la réponse.
Elle souriait pour le remercier et saisit son gobelet. « Bon, à toi de me raconter ta journée Johan. » ordonna-t-elle.
Le jeune homme grignota un morceau de sa gaufre avant d'en donner encore une fois au terre-neuve. « Bah 
 rien d’exceptionnel contrairement Ă  toi. Dit-il. J'ai rĂ©ussis Ă  vendre deux guitares sĂšches et un livret de solfĂšge : la premiĂšre guitare et le livret, c'Ă©tait pour un gosse qui dĂ©butait les cours de musique, et l'autre c'Ă©tait pour un gars qui allait l'offrir Ă  sa fille. »
« Ah oui ? C'est cool ça ! Dit Lola. Et aprÚs ? »
« Ben 
 j'ai aidĂ© Lionel Ă  rĂ©parer une guitare Ă©lectrique. Juste les cordes Ă  changer, rien de spĂ©cial. Dit Johan, remarquant avec surprise que cela intĂ©ressait sa sƓur. Puis Ă  Midi, on a mangĂ© pizza avec Lionel et Dorian, et cet aprĂšs-midi on a dĂ» prĂ©parer et envoyer une commande de livres, de pupitres et de claviers pour une Ă©cole de musique dans le 15Ăšme arrondissement. »
« Et c'est tout ? » demanda Lola étonnée.
Johan termina la derniĂšre gorgĂ©e de sa boisson et rĂ©pondit : « Ouais 
 c'est tout. Je sais, c'est pas trĂšs intĂ©ressant, mais c'est comme ça. Certains jours sont meilleurs que d'autres. Aujourd'hui, c'Ă©tait pas le fun, voilĂ . »
Sa petite sƓur haussa les Ă©paules. « Bah peut-ĂȘtre que lundi ce sera ira mieux. » dit-elle.
Johan finit sa derniÚre bouchée de gaufre qu'il partagea avec Orlando. « Ouais. Déjà que je travaille demain matin, on verra ce que ça donne. » soupira-t-il.
Lola aspira le fond du milk-shake à la paille avant de changer de sujet. « Y a des nouveaux concerts ? » demanda-t-elle.
Johan eu un petit rictus. « Ben, ouais mais rien de vraiment intéressant. Dit-il. J'ai regardé mais les seuls qu'il y a sont les Fréro Delavega, Arcadian et Aya Nakamura. »
A l'Ă©vocation de la derniĂšre chanteuse, Lola fit une grimace. « SĂ©rieux ? Bleh ! Fit-elle en tirant la langue. J'comprend pas les gens qui l'aime bien, mĂȘme Samia. Moi je la dĂ©teste. » grogna-t-elle.
Johan ricana. «Ouais, moi aussi. »
Il consulta l'heure sur son téléphone puis se leva. « Va falloir qu'on y aille, Chérie. Si tu veux avoir le temps de faire tes devoirs ce soir, faut pas traßner. » dit-il.
« D'accord. » dit la jeune fille en sautant sur ses pieds, elle saisit son cartable qu'elle jeta sur son dos pendant que son frĂšre saisit la laisse d'Orlando, qui a Ă©tĂ© sage pendant tout ce temps, ainsi que le plateau dont il dĂ©barrassa le contenu dans la poubelle. Puis le petit groupe repartit tranquillement vers leur domicile oĂč il achĂšverait leur journĂ©e
Ce fut une fin d'aprĂšs-midi agrĂ©able entre un frĂšre et une sƓur, une fin d'aprĂšs-midi comme ils les aiment.
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clochardscelestes · 5 years ago
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Cat Stevens - Miles From Nowhere
Je ne sais pas si le moment est vraiment adaptĂ© pour faire le point. Et en toute honnĂȘtetĂ©, je le fais de toute façon bien trop rĂ©guliĂšrement pour m’en servir d’excuse. 
Dehors l’air est étouffant, mon t-shirt colle Ă  ma peau, et j’ai troquĂ© la sueur pour une biĂšre, une biĂšre passablement tiĂ©dasse, comme Buko lui-mĂȘme ne la renierait pas. 
The Who - I Can See For Miles
J’ai passĂ© des annĂ©es, de nombreuses annĂ©es, Ă  fantasmĂ© ma vie. Depuis le dĂ©but de la maladie, je crois, ce qui me renvoie en 2003, ou quelque chose comme ça.
PremiĂšre gorgĂ©e de biĂšre, portable en silencieux pour Ă©chapper Ă  la con version FB pour le cadeau d’une amie. Amie avec qui je devais aller boire un verre, d’ailleurs, ce soir. Verre que j’ai annulĂ©, la chaleur me pĂšse et je n’ai plus les fonds. La biĂšre aurait au moins eu le mĂ©rite d’ĂȘtre fraiche, je te l’accorde.
The Rolling Stones - Sympathy For The Devil
Si j’écris comme ça, sans vraiment de cheminement clair de pensĂ©e, en m’efforçant d’aligner les mots un peu frĂ©nĂ©tiquement, c’est Ă  cause de Lola. Ou sans doute, je l’espĂšre, grĂące Ă  elle. On en avait discutĂ© autour d’une biĂšre quand j’étais montĂ© sur Paris pour mon tatouage, pour mes trente ans. C’est une chic fille, vraiment. Je le pensais dĂ©jĂ  mais ça a Ă©tĂ© confirmĂ© par notre rencontre IRL.
Cigarette roulĂ©e, je n’ai jamais eu les moyens de fumer. Je pense qu’il faudrait que je parle de Jules, que je parle de Pierre, de Juliette peut-ĂȘtre aussi un peu? Mais Ă  quoi bon? J’ai d’autres projets pour ma soirĂ©e.
Bob Dylan - Like A Rolling Stone
Oui j’ai toujours fantasmĂ© ma vie, je me suis beaucoup blessĂ© avec toutes mes conceptions irrĂ©alistes de l’existence, du bonheur mĂȘme, d’une complĂ©tude, bien sĂ»r inatteignable. Mais j’ai toujours rĂȘvĂ© les sommets, Ă  dĂ©faut d’ĂȘtre en mesure de les viser. Un peu triste et pathĂ©tique, je sais. Vivre par procuration, pendant des annĂ©es. Et puis, ne plus vivre du tout. Pendant des annĂ©es aussi. Je ne sais pas si j’ai franchement l’énergie de dĂ©velopper ce soir, sachant que mes premiers textes postĂ©s ici il y a sept ans en traitent dĂ©jĂ  pas mal.
The Velvet Underground - Sweet Jane
Standin' on a corner, Suitcase in my hand. Jack's in his car, says to Jane, who's in her vest, Me, babe, I'm in a rock n' roll band. Ridin' in a Stutz Bearcat, Jim, Those were different times. And the poets studied rows of verse, And all the ladies rolled their eyes.
Je voulais juste, je n’ai plus envie, mon existence terne m’absorbe, la solitude me ronge, je fais des choix et je ne me reconnais pas. Le miroir, le miroir m’agresse, chaque matin, et chaque soir, comme ce soir, et les suivants. Sur mon Ăąme refleurissent d’anciennes cicatrices, et des nouvelles. Je suis juste Ă©puisĂ©, la vie m’a Ă©puisĂ©, je veux m’évanouir. MĂȘme si je sais que demain, demain matin, sans savoir vraiment comment, je trouverai la force, encore, toujours. J’ai cette capacitĂ© de rĂ©silience extrĂȘme. Et toujours je crierai FINO ALLA FINE, mĂȘme si ça fait mal.
(I miss my friend so bad, I need my girl to stand right by my side.)
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la-sylve · 2 years ago
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Une pensĂ©e pour ses parents, car la chose la plus terrible c’est de perdre un enfants. De tout cƓur avec eux â€ïžđŸ™đŸ»#lola #justice #colere
Et puis d'un coup.... DĂ©couvrir son
visage.
Bien plus que l'annonce glaçante de son
meurtre abominable, le visage de cette
petite fille ne doit jamais ĂȘtre oubliĂ©.
Lola aurait pu ĂȘtre notre fille, notre
soeur..
Comment peut-on commettre
l'innommable?
Je ne veux jamais oublier son regard.
Je le pose ici en pensant infiniment Ă 
elle.
A sa famille plus que tout. A ses amis.
A ce que qu'elle aurait pu devenir.
A ces bonheurs qu'elle ne connaĂźtra
pas.
J'ai honte Lola. Honte de cohabiter avec
ceux qui t'ont fait subir cela.
A ma maniĂšre, mĂȘme sans te connaĂźtre,
je t'envoie tout mon amour de maman
et de femme.
#lola
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inbedwithnana · 4 years ago
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Amy Williams from my story L’Arche du Bonheur - [ENG] Hapiness Land - (which I created while playing The Sims 4).
Amy is the Lola’s daughter and she doesn’t know her father (because he’s an asshole). Writting and bloggin are her favorite hobbies and later she will make it her business.  She is very interested in men, handsomes men, of course !
She’s a fiercely feminist.
Her bests friends are Mun (who is her “brother” too) and Carlos.
Amy looks like her mom except for her hair (she inherited from her father) and she wear glasses since her teens years.
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meringuecream7 · 7 days ago
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Naming the Lucky Quartet with OR3O’s Clover Protagonists Initials
I have a lot to explain, but this came up in my head. The initials in OR3O's Clover is overwhelming me today! So I came up with renaming the Lucky Quartet from Clover Academy.
Lola - Kylie: Kylie has a nice ring to it, not from being unfortunate or something.
Frederick - Danny: His name reminds me of Danny from Cats Don't Dance. The main protagonist of the movie is very, umm
 gentlemanly.
Lizzie - Gabriella: She is very charming and happy, but can be calm whenever she needs to. The letter 'G' reminds me of Girl from Twinsomnia (Friday Night Funkin'). The letter 'G' also can be good, gleeful, and grateful.
Harold - Barnaby: He can be wild and snooty etc., but he is a charming fella. And again, the letter 'B' reminds me of Boy from Twinsomnia. 'B' can also mean bold, bright, and
 🐝🐝🐝. I meant Lizzie's cousin.
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trqpalmares · 6 years ago
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Tohama
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Nadia Altmann, connue sous le nom de scÚne Tohama (née le 18 novembre 1920 à Neuilly-sur-Seine et morte le 16 mai 1995 (à 74 ans) à Bruxelles) est une chanteuse belge.
Palmarographie:
1- MaĂźtre Pierre (1949, #1)
2- Boléro (1949, #1)
3- Son Alsacienne (1949, #5)
4- DoĂč viens-tu? (1950, #3)
5- Il y avait trois jeunes garçons (1950, #3)
6- Étoile des neiges (1950, #1)
7- Le pĂȘcheur au bord de l’eau (1950, #1)
8- Gigi (1950, #1)
9- Tzena Tzena Tzena ft. Jil & Jan (1950)
10- La petite valse (1950, #5)
11- Est-ce ma faute? (1951, #4)
12- La ronde de l’amour (1951, #3)
13- Bergerette (1951,#1)
14- Le plus joli péché du monde (1951, #2)
15- La petite Marie (1952, #1)
16- Va mon ami, va (1952)
17- 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, ...Violette (1953)
18- Marie s’promùne (1953)
19- Ma petite folie (1953, #1)
20- Rose-Marie polka (1953, #1)
21- Je te le le (1953, #1)
22- Maman, je veux un mari (1953)
23- Un homme est un homme (1953)
24- Deux petits chaussons (1953, #1)
25- Moulin Rouge (1953, #1)
26- Tant de fois (1954, #1)
27- Mon petit fichu (1954)
28- La ronde de l’amour (1955, #9)
29- Lola; La légende du pays aux oiseaux (1956, #10)
30- Oh! la! la! (1957, #6)
31- Itsy bitsy petit bikini (1960, #1)
32- C’est toi que j’aime (1960, #2)
33- Le bonheur (1961, #23)
34- Pépé (1961, #34)
35- Cheveux fous et lĂšvres roses (1962, #7)
36- Quand le soleil Ă©tait lĂ  (1962, #1)
37- Le jour le plus long (1962, #4)
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letheestencorechaud · 8 years ago
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j'ai accumulé tant de gaité
10 janvier
Nous avons posĂ© nos sacs pour trois jours dans le Diois dans une maison en bois dont j'aime chaque dĂ©tail, chaque lampe, le piano droit, la boĂźte Ă  musique en guise de sonnette, le robinet de la salle de bains, le futon dans la chambre, la couleur de la brique au sol, l'immense bureau. Une bouteille de vin est ouverte et nous prenons les repas Ă  la table devant la grande fenĂȘtre. Nous la dĂ©barrassons ensuite et nous y installons nos ordinateurs et nos carnets, la petite vie des travailleurs volontairement dĂ©localisĂ©s – chance immense, nous jonglons entre les beaux projets. C'est que 2017 s'annonce pleine, encore, du point de vue de la vie. L'aprĂšs-midi, nous partons nous promener dans la vallĂ©e ou jusqu'au col, les pas dans la neige craquante tombĂ©e le matin ou dans les taches de soleil que le ciel bleu a semĂ©es. Plus tard, pendant que le lait de noisettes bout et que les carrĂ©s de chocolat y fondent pour le goĂ»ter, il faut remettre une bĂ»che dans le poĂȘle, rĂ©activer les flammes, secouer les braises. Au petit matin encore endormie alors que le garçon d'Ă  cĂŽtĂ© remonte se glisser dans le radeau, je lui dis, en fait, le feu, c'est comme un enfant, il faut s'en occuper tout le temps et je le sens rire contre moi. Un peu plus loin sur la piste, il y a une yourte, un tipi, une caravane, nous y imaginons les vies au dedans. Assise dans l'angle du canapĂ©, je (me) dis que j'aimerais rester ici au bout de la route et loin de tout plus longtemps. À notre hĂŽte qui nous proposait d'aller randonner ensemble, j'ai envoyĂ© un message pour dĂ©cliner, c'est que nous avions encore besoin d'ĂȘtre deux, juste ça, aprĂšs l'intensitĂ© des semaines en familles, aprĂšs les groupes en continu, ĂȘtre seulement deux les cƓurs Ă  nu. Demain, nous reprendrons nos sacs Ă  dos et reviendrons Ă  la vie avec des gens, des trains et des commerces dedans, une formation Ă  donner et des ami.e.s Ă  aller embrasser avant de rentrer dans la douce Bruxelles, un sourire pour ces va-et-vient qui, ah ça oui, nous vont bien.
Dans la nuit du 31 dĂ©cembre, c'est en Bretagne que nous marchions, dans celle du 24, en Auvergne. Le mouvement tout le temps, comme Ă  vĂ©lo, tu as beau mouliner, tu continues Ă  avancer, comme ça tu tombes jamais. Pendant dix jours je n'ai pas touchĂ© Ă  mon ordinateur et pas ouvert mes mails, dĂ©connexion volontaire et adorĂ©e, et il y avait la poĂ©sie dingue de Lola Lafon dans un livre offert par Mam pour m'occuper. Et puis bien sĂ»r des jeux de sociĂ©tĂ©, des retrouvailles, des boĂźtes Ă  biscuits et des repas qui n'en finissent pas. Des rires des familles, l'amoureux de ma sƓur et sa prĂ©sence qui fait passer les discussions du français Ă  l'anglais, et je m'amuse Ă  observer ce que ça change et provoque. Des BDs lues dans un coin du canapĂ©, des soupes de mille combinaisons diffĂ©rentes, des Ă©nigmes rĂ©solues Ă  plusieurs voix, de grandes balades dans le vent et les rochers, et le thĂ© bu toujours Ă  l'abri. MarĂ©e haute marĂ©e basse, et tout ce qui se passe. C'est beau, c'est si beau tout le temps, mon tĂ©lĂ©phone ne fait qu'afficher mĂ©moire insuffisante, eh bien si ça lui chante... Je garde les paysages incrustĂ©s dans mes paupiĂšres, comme les souvenirs dans cent recoins de ma tĂȘte – et Ă  l'amoureux, raconte-moi quelque chose joyeux de vĂ©cu cette annĂ©e Ă  mes cĂŽtĂ©s, on pourrait ne jamais s'arrĂȘter. Ce qui me manque Ă  peine, c'est l'idĂ©e d'un bilan, je crois que j'aime bien ces discussions sur les choses Ă  garder, celles Ă  jeter. J'avais pris un carnet exprĂšs, finalement je ne l'ai pas commencĂ©.
À Lyon, je retrouve des amies avec une telle joie – ça fait si longtemps, et Ă  chaque fois, c'est une chose qui me frappe, comme si en plus de les retrouver tout entiĂšres, il y avait ce trait spĂ©cifique tant aimĂ© de chacune, le rire de K., l'odeur de C., la tendresse de Lou, les intonations de L. quand elle pose une question, les yeux d'AneCĂ© et ses sourcils qui montent quand elle raconte, toutes ces choses minuscules qui me les feraient reconnaĂźtre entre mille, ces choses dĂ©licieuses que je cherche parfois chez les autres – d'autres que j'aime instantanĂ©ment parce que justement, ils me rappellent ces douces avec qui j'ai vĂ©cu des voyages des Ă©tudes des projets il y a dĂ©jĂ  des tas d'annĂ©es. Alors c'est doux, ces apĂ©ros, ces restos, ces heures Ă  bosser cĂŽte Ă  cĂŽte et les rĂ©cits pendant les pauses, ces apĂ©ros, ces marches dans le froid puisqu'on a dĂ©passĂ© le lieu de rendez-vous depuis longtemps – mais au moins ça laisse le temps de parler vraiment.
Parler vraiment, ne serait-ce pas un joli souhait pour l'année à venir, se dire les choses en bienveillance, s'accompagner les un.e.s les autres sur ce drÎle de chemin qu'est l'enfilade des jours ? Parler vraiment, et écrire encore plus, avant que ça ne déborde partout, comme maintenant, le flot fou.
17 décembre
Bribes attrapĂ©es au temps et au sommeil – Ă  chaque fois je voudrais faire court et souvent, Ă  chaque fois ça finit autrement. Les mois se comptent Ă  l'envers, je rebrousse chemin, ou je reprends lĂ  oĂč, l'automne a Ă©tĂ© tellement dense quand on y pense.
Octobre – j'ai donnĂ© rendez-vous au garçon d'Ă  cĂŽtĂ© Ă  la gare mais finalement nous y allons ensemble, il a bien essayĂ© de poser des questions – est-ce que je dois prendre mon passeport ? Et mon ordinateur ? – mais je n'ai rien dit, ma langue n'a pas fourchĂ© mĂȘme si bien sĂ»r j'en avais envie, mais non, une surprise c'est une surprise, quand mĂȘme ! Nous montons nos vĂ©los dans le train, ferme les yeux bouche-toi les oreilles tu ne dois pas savoir, et plus tard alors que je le fais pĂ©daler le long de la nationale, je me dis qu'il doit se demander dans quel plan encore j'ai dĂ©cidĂ© de nous embarquer. C'est vrai que je me le demande un peu moi-mĂȘme, alors que les voitures nous dĂ©passent Ă  grandes trombes et que la carte me dit que pourtant, le coin de paradis est si prĂšs d'ici. Finalement oui. Les forĂȘts peuvent surgir au dĂ©tour des chemins, il suffit de prendre Ă  droite, derriĂšre le grand portail rouge. Quand l'homme sort de la maison et nous tend la main, je dis en parlant du garçon d'Ă  cĂŽtĂ©, il n'est au courant de rien, et nous le suivons sous les arbres. Et puis tout Ă  coup au milieu des branches il y a la yourte, et surtout, surtout, le regard que le garçon d'Ă  cĂŽtĂ© me lance Ă  ce moment-lĂ . Pendant deux jours, il y a ce feu, dehors, dedans, feu de poĂȘle et feu de camp, des bougies d'anniversaire et des marshmallows grillĂ©s, et le crumble en kit que j'avais prĂ©parĂ©. Nous pĂ©dalons jusqu'Ă  Bruges Ă  la recherche d'une ciste – en enquĂȘtant sur internet quelques jours auparavant, je m'Ă©tais dit, ce serait si bien qu'il y ait Ă  y trouver un objet qui pile, pour une raison ou une autre, nous parlerait. Et ce n'Ă©tait mĂȘme pas trop demandĂ©. Assis par terre devant le poĂȘle Ă  boire du chocolat chaud, nous imaginons un lieu Ă  habiter – et lĂ , une grande fenĂȘtre pleine de lumiĂšre. Dans les nuits, il y a comme la nature avec nous mais pas tout Ă  fait, le feu qui s'Ă©teint lentement, et les arbres en bruissements.
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Octobre – ma petite soeur et son amoureux dĂ©barquent Ă  Bruxelles, quelle douceur, de pouvoir mettre un visage sur un nom, enfin, et de dĂ©couvrir cette prĂ©sence tranquille, et cette Ă©nergie qui Ă©mane d'eux deux. On a pique-niquĂ© dans les bois et jouĂ© au backgammon dans un parc, on est allĂ©s chercher des chĂątaignes dans l'automne timide ; dans la nuit avec du vin rouge, L&L nous montraient la cabane sur pilotis qu'ils ont construite dans la forĂȘt uruguayenne.
Octobre – l'heure d'une nouvelle travadrouille, travaille, vadrouille, Ă©cris ! À l'aube, un, deux, trois trains pour Nantes, et cette pizzeria qui est dĂ©cidĂ©ment la meilleure deux soirs d'affilĂ©e mĂȘme si on n'assume ni l'un ni l'autre – mais le serveur se marre, non mais c'est plutĂŽt bon signe, j'imagine ! Mais ce n'est pas que pour manger que nous avons poussĂ© jusqu'ici, non, il y a l'atelier co-animĂ© pendant deux jours, et le plaisir d'un chouette groupe Ă  dĂ©couvrir. Travailler ensemble, c'est le bonheur dĂ©cuplĂ© d'embarquer les gens avec nous, de les sentir nous suivre, et cette certitude de pouvoir se reposer sur l'autre aussi Ă  certains moments, et sentir comme ce qu'on apporte chacun est diffĂ©rent.
AprĂšs, Ă  Chalon, Mam m'attend au bout du bus. Souvent, nous ne prenons pas ce temps-lĂ , quelques jours ensemble, et pourtant – c'est bien ! Faire le marchĂ© et rĂ©flĂ©chir Ă  ce qu'on pourrait faire Ă  « un repas » comme s'il y allait en avoir cent, et puis Ă©crire, et bavarder surtout, longuement, un martini et un risotto, une tarte au citron, une ou deux bouteilles de vin. Dans les vignes, nous pique-niquons, il n'y a d'octobre que le nom. La lumiĂšre est horizontale sur les pierres, plus tard quand celle du cinĂ©ma se rallume, j'ai encore quelques larmes Ă  essuyer. Frantz, et les mots dans la voiture aprĂšs avoir dĂ©marrĂ©.
Et puis Strasbourg, la ville qu'on ne connaĂźt pas et la petite chambre d'hĂŽtel – c'est un peu embĂȘtĂ©s qu'on a rendu une des deux clĂ©s le premier soir au monsieur de l'accueil, en fait, on n'a besoin que d'une chambre, dire qu'on n'avait mĂȘme pas imaginĂ© qu'on nous en prendrait deux, mais il est vrai que dans la vraie vie du travail, qui sait ? Pendant trois jours, nous participons Ă  cette Ă©cole automnale, dix mille questions en tĂȘte, et je me sens un peu extraterrestre, c'est que ça parle avec beaucoup de mots qui m'Ă©chappent, j'essaie d'en faire des sonnets mais ça ne marche pas tout Ă  fait. Avec le garçon d'Ă  cĂŽtĂ©, on est un peu ceux dont on ne comprend pas complĂštement ce qu'ils font lĂ , Ă  une des expĂ©riences proposĂ©es, notre proposition passe pour sans doute trop fantaisiste, mais le sĂ©rieux avec lequel le garçon d'Ă  cĂŽtĂ© expose nos rĂ©sultats me laisse pantoise et complĂštement soufflĂ©e. Finalement, c'est le dernier jour que ça fait vraiment sens, quand on les emmĂšne Ă©crire, dehors d'abord et puis dedans, au dehors de soi et puis en dedans, mĂȘme si on aurait voulu plus de temps pour montrer lĂ  oĂč on pouvait s'emmener, ce que ça fait de pouvoir soi-mĂȘme s'Ă©tonner.
Octobre – il est l'heure de rentrer, j'ai accumulĂ© tant de gaitĂ©. Mais ça ne finit pas, puisqu'Ă  peine arrivĂ©e, j'attrape M. pour un dĂ©jeuner avant que mes douces S. et A. arrivent de leurs suds respectifs. Tu as quand mĂȘme un appartement Ă  ciels, toi ! Et je n'ai jamais trouvĂ© ça aussi joliment dit que dans cette formulation-lĂ . Nous bavardons des heures, des heures, en faisant de la crĂšme de chĂątaignes avec celles ramassĂ©es quelques semaines plus tĂŽt. C'est si sensible de les avoir lĂ , ici, la quatriĂšme comparse manque, on lui envoie mille pensĂ©es comme si ça pouvait remplacer. Dans les mots, il y a des projets, des envies, des rĂȘveries, de grands rires, des idĂ©es, des bonhommes de chemins qu'il fait bon rencontrer. Un soir, c'est A. qui vient manger avec nous, lui l'ami de Bruxelles qui la quitte pour de bon, je voudrais pleurer dans les escaliers – avec qui les verres de vin sur la terrasse, avec qui les discussions-qu'avec-lui, avec qui ? Pour ne pas qu'on l'oublie, il dĂ©barque Ă  la maison avec une demi-douzaine de cartons, que nous installons dans la chambre en attente de mieux. Dans mon coeur, c'est le grand chambardement, dans les placards aussi, depuis qu'il a dĂ©cidĂ© de passer une derniĂšre fois par lĂ , bocaux partout plein les bras. Nous le chassons Ă  minuit et quelques, ou plutĂŽt, c'est lui qui part : vous avez une nouvelle Ă©rotique Ă  Ă©crire, je vous rappelle, la double consigne est tombĂ©e dans nos boĂźtes mail quelques minutes plus tĂŽt et avec les filles, on se demande entre deux rires dans quoi on vient de se lancer ! Il faut envoyer les nouvelles avant 7h du matin alors c'est une drĂŽle de nuit qui commence : toutes les trois installĂ©es dans les fauteuils et canapĂ©s Ă  Ă©crire, quelques verres de vin et quelques tablettes de chocolat – des mots lancĂ©s, des textes relus, des battements de main et l'adrĂ©naline qui monte vers 6h du matin. Un peu plus tĂŽt, nous dĂ©battons de la sieste : est-elle envisageable ou non ? Chiche. Et puis Ă  6h58, chacune appuie sur envoyer, chacune dont la nouvelle porte un titre qu'une des autres a trouvĂ©, chacune avec la joie et la fiertĂ© – et maintenant, allons nous coucher. On se lit nos nouvelles pelotonnĂ©es sous les plaids ; par la baie vitrĂ©e le ciel se lĂšve.
Quelques heures aprĂšs s'ĂȘtre rĂ©veillĂ©es de cette drĂŽle de nuit, il y a dĂ©jĂ  le dĂ©but du festival de poĂ©sie, et ce lieu de rendez-vous que je connais plein de fois par le travail mais oĂč j'aime Ă  retrouver des gens de mes Ă©tĂ©s. Pendant quatre jours, il y a des ateliers Ă  animer (et Ă  prĂ©parer !), une balade contĂ©e dans les Marolles et la grande Ă©motion d'une balade en silence sur les plateaux du Heysel. Le soir, les spectacles m'Ă©meuvent ou me mettent en joie, parfois les deux Ă  la fois.
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Et puis, parallĂšlement Ă  tout ça, novembre – c'est le dĂ©but du Nanowrimo, toutes lancĂ©es dans les mots, on se dĂ©cide Ă  faire ça aussi. Mais c'est terrible, ce jeu, on a beau ĂȘtre Ă  l'heure, on est dĂ©jĂ  bientĂŽt en retard. Je remets malgrĂ© tout les mains dans la matiĂšre du roman commencĂ© il y a mille ans, toujours le mĂȘme, je rattrape mes personnages, page aprĂšs page.
Novembre – les filles partent au matin du dernier jour du festival et l'idĂ©e de rentrer Ă  l'appartement vide et de me retrouver seule pour la premiĂšre fois depuis longtemps me panique complĂštement. Je repousse ça en allant au restaurant avec les autres qui s'attardent, je prends encore une bouffĂ©e d'accent du sud de D. avant de le laisser repartir.
Novembre – souvent, je me rĂ©pĂšte qu'aprĂšs des pĂ©riodes denses comme celle-ci, de travail ailleurs, de festival, d'atelier Ă  temps plein, je devrais m'amĂ©nager des sas, des moments de rien – « un week-end, en fait » dit quelqu'un qui me veut du bien, mais j'oublie Ă  chaque fois et me maudis. Alors j'enchaĂźne sur un gros projetdossieratelier et l'actualitĂ© me rattrape, je travaille sur l'accession au pouvoir pile au moment des Ă©lections outre-Atlantique, le garçon d'Ă  cĂŽtĂ© entre temps revenu me demande le matin en descendant qui a gagnĂ© ? et croit que je lui fais une blague encore plus mauvaise que celles auxquelles je l'ai habituĂ©.
Novembre – des heures Ă  Ă©crire, des heures, des heures, des mots et le petit compteur bleu qui grandit ; les messages de R. et les dĂ©fis, et comme Ă  chaque novembre oĂč je me lance, ah oui tiens mais donc, c'est possible de trouver le temps, quelque part. Et puis au milieu, mon ordinateur qui me lĂąche, alors pour ne pas cĂ©der Ă  la panique, le temps passĂ© Ă  trier ce qui se trouve ici et lĂ , Ă  donner les choses aimĂ©es mais plus voulues, Ă  aĂ©rer et Ă  vider, est-ce qu'on range aussi son cƓur en faisant ça ? C'est rĂ©flĂ©chir Ă  la place des choses en dehors et Ă  l'intĂ©rieur de moi – le plaisir de confectionner de petits paquets qui serviront Ă  d'autres. Au milieu du tri, je retombe sur une mind-map de mes envies et projets faite par Dom en juillet 2013, Ă  Belgrade dans l'Ă©tĂ© fou, avant de venir habiter ici : ça m'Ă©meut. C'est dingue comme tout a pris des proportions hallucinantes, les envies qui sont devenues des mĂ©tiers, les rencontres Ă  faire des amies. Se sentir Ă  sa place est dĂ©cidĂ©ment une des meilleures choses du monde.
Novembre – mon pĂšre soudain Ă  l'hĂŽpital, les textos de ma soeur et les skype avec l'autre au bout du monde, ce que ça fait d'ĂȘtre loin. Novembre – les dĂ©jeuners avec les copines, au bout d'un trajet Ă  vĂ©lo, je les kidnappe Ă  leur travail, chacune Ă  leur tour et j'aime ces rendez-vous volĂ©s sur le temps de midi. Novembre – des amis du garçon d'Ă  cĂŽtĂ© sont lĂ , le soir on a de longues discussions Ă  voix basses collĂ©s l'un contre l'autre dans le radeau pour se rattraper des journĂ©es Ă  cĂŽtĂ© mais sĂ©parĂ©s ; quelques biĂšres, quelques jeux de sociĂ©tĂ©.
29 décembre
Maintenant c'est décembre en plein, décembre en presque fin ; par la vitre du train, le givre écrase les champs, il fait bon en dedans.
Novembre – on pourrait croire Ă  la pluie mais en fait non, chaque jour sur mon vĂ©lo je m'Ă©tonne, je ne suis pas mouillĂ©e, matin aprĂšs matin mĂȘme si au bout de mes mitaines mes doigts sont gelĂ©s. J'aime les prĂ©sences bienveillantes qui m'entourent – c'est R. l'oulipote fou, qui Ă  la sortie de mon petit livre dont vous ĂȘtes le hĂ©ros, demande : si je fais ta pub dans un message avec des lignes isocĂšles avec police Ă  chasse fixe, tu es d'accord ?, c'est Ana&L qui Ă©crivent le prĂ©nom du garçon d'Ă  cĂŽtĂ© et le mien sur la page de leurs inspirations pour leur grand voyage, et n'est-ce pas les plus belles, ces relations d'inspirations mutuelles ?, c'est les trainings de clowns, la chorale activiste et le concert qui se prĂ©pare, l'Ă©nergie comme une claque Ă  chaque fois. C'est Ce. qui va camper chez ma petite sƓur d'Uruguay, et j'aime tant ces liens qui se font au-delĂ  de moi.  
10 janvier Ă  nouveau
Novembre – sur le marchĂ©, j'achĂšte des patidous parce que ce nom est dĂ©cidĂ©ment bien trop mignon mĂȘme si je ne sais pas vraiment les cuisiner aprĂšs. En parlant de noms – et mon roman ne parle que de ça – on m'Ă©crit pour me dire qu'en serbe, il y a un verbe pour dire "blesser l'autre et se faire du mal en mĂȘme temps", et qu'en grec, un autre pour dire "faire quelque chose avec Ăąme, amour et crĂ©ativitĂ©" et je remercie la vie pour avoir des gens qui pensent Ă  moi quand ils dĂ©couvrent ces choses-lĂ .
Novembre – Ă  nouveau sur les routes, Montpellier mais la respiration s'emballe, la nuit aux urgences avec cette peur panique de quelque chose qui revient et puis finalement, non, rien. Depuis et plus tard,  il y a eu des prises de sang, des mots Ă  dĂ©crypter, et des larmes dans les escaliers, ma douce Ce. dĂ©barquĂ©e un soir de semaine Ă  22h passĂ©es pour me remonter le moral et le rĂ©confort que sont ses bras. Mais Montpellier donc, il tombe des cordes et Ă  9h du matin devant les portes coulissantes de l'hĂŽpital, je serais prĂȘte Ă  rejoindre S. Ă  la fac pourtant, histoire de donner la formation prĂ©vue presque comme si de rien n'Ă©tait, mais au tĂ©lĂ©phone, elle me dit non, et j'entends lĂ  une Ă©vidence qui souvent quand il s'agit de moi oublie de m'effleurer. Elle dit aussi, avance ton train et va dormir, et alors j'appelle Al. ma lumineuse chez qui je vais Ă  Valence, elle me dit, les draps sentent bon et il y aura du chocolat chaud : arrive vite. Dans leur grand appartement de la place, on rencontre leur bĂ©bĂ© et on se frotte Ă  la douceur de ces trois-lĂ  ensemble, Ă  leur façon d'ĂȘtre cĂŽte Ă  cĂŽte, Ă  leurs expĂ©rimentations culinaires et Ă  leur vie pleine de grands jets de lumiĂšre et de gazouillis d'enfant. J'aime tellement la tendresse qui se dĂ©gage du bloc qu'ils forment, et plus loin dans la rue aussi, la jolie librairie, les heures Ă  travailler contrebalancĂ©es par celles Ă  bavarder, et la tarte au chocolat qu'on aura le droit de manger seulement quand j'aurai dĂ©passĂ© ces fichus 30 000 mots pour le NaNo.
Novembre – aprĂšs Valence, c'est un bus qui nous emmĂšne vers le week-end et cette autre maison tout aussi accueillante dans un autre genre, lĂ -bas, c'est la bataille des gĂąteaux au chocolat, et le dimanche midi Ă  tou.te.s manger dans un mĂȘme plat, les premiĂšres mandarines, et dans le soleil de la DrĂŽme des collines, F. sculpte un bĂąton pendant que M. dessine. Au milieu, il y a cette nuit de 13h30 (treize heures trente) qu'on n'avait pas vu venir et qui est lĂ  tout Ă  coup. Dans le soir, soudain cet Ă©pisode si joyeux Ă  faire flamber des sachets de thĂ© pour en faire des lanternes et la vie qui se glisse dĂ©licieusement dans le roman. J'achĂšte une pogne au nougat pour ramener du soleil Ă  Lyon mais je crois que ça ne suffit pas, et c'est un peu collant comme passage, en moins agrĂ©able que le sucre sur les doigts.
Novembre – le retour Ă  Bruxelles est toujours une petite claque, le contrecoup des jours trop joyeux ; l'appartement vide oĂč il fait 12°C et la respiration qui semble encore bizarre. Ma mĂ©decin prĂ©fĂ©rĂ©e me dit qu'elle me rappellera Ă  20h ou 22h, parce qu'entre, elle est au thĂ©Ăątre – finalement, il n'y a rien, mais peut-ĂȘtre juste une invitation Ă  faire attention, Ă  prendre plus de temps pour soi ? À ralentir ? Alors allons-y, je dĂ©cide de prendre une demi-journĂ©e off pour aller au cinĂ©ma et du coup, je suis quatre fois plus efficace le matin. Les salles noires dans lesquelles je m'installe sont toujours vides Ă  95%, est-ce les films que je vais voir ou les horaires ?
DĂ©cembre – dans la nuit qui nous mĂšne au premier, j'envoie un calendrier de l'avent au garçon d'Ă  cĂŽtĂ© en ligne qui n'est presque pas lĂ  de tout le mois. J'y ai mis des clins d'Ɠil Ă  la pelle et de la tendresse en encore plus grande quantitĂ©, je triple-souris Ă  chacun de ses mails qui vient me remercier.
DĂ©cembre – j'ai voulu emmener quelques livres en atelier et je n'ai pas rĂ©ussi Ă  choisir, j'en Ă©tale une quarantaine sur les tables, c'est que les autres savaient bien mieux dire les choses que moi sur le sujet. Quand des participant.e.s me disent que c'est leur premier atelier, quelque chose s'allume en moi, comme si tous les possibles tout Ă  coup s'ouvraient, une joie, un battement de mains, une petite apprĂ©hension, mais je rosis des mots distribuĂ©s Ă  la fin.
DĂ©cembre – en l'espace de quatre jours, c'est trois personnes apprĂ©ciĂ©es et estimĂ©es qui me parlent des jeux Thiagi, voici encore une des multiples choses que je pourrais creuser. En attendant, j'ai encore trop couru, trop fait passer d'oraux, trop animĂ©, et me voici tout Ă  coup arrĂȘtĂ©e, la tĂȘte pastĂšque Ă  grelotter. Un matin alors que je traĂźne un peu sous la couette, le garçon d'Ă  cĂŽtĂ© remonte les escaliers jusqu'Ă  la chambre et me dit, je vais rester deux jours de plus ; alors, sans doute, il y a dĂ» avoir un sourire qui va presque jusqu'Ă  me guĂ©rir – mais quand mĂȘme pas. Deux jours de plus, ça doublait le temps ensemble de dĂ©cembre, et deux jours, c'est aussi deux nuits, deux fois plus de peaux Ă  peaux, comment cela ne pourrait-il pas ĂȘtre beau. Mais ces jours de convalescence m'agacent et me frustrent, je dĂ©teste : renoncer Ă  des engagements, devoir me dĂ©faire de ce que j'ai promis ; alors je les passe Ă  lire des romans graphiques dans le radeau et Ă  chercher le corps du garçon d'Ă  cĂŽtĂ© en croisant les doigts pour ne pas le contaminer.
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DĂ©cembre – des amies de Bruxelles et d'ailleurs un dimanche matin viennent confectionner des sablĂ©s et d'autres gourmandises d'hiver vegan dans mon salon, on fait du thĂ© une sorte de perfusion, l'appartement est plein de passages et de prĂ©sences lumineuses. Ça sent les sablĂ©s Ă  la noisette et le beurre de coco, les boĂźtes en mĂ©tal se remplissent, on en fera des cadeaux. Pendant plusieurs jours ensuite, ça sent le mĂ©lange Ă  pain d'Ă©pices quand je pousse la porte.
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DĂ©cembre – En atelier, R. dont la langue chante Ă©crit, il faut continuer Ă  avancer mĂȘme si la vie a de petits piĂšges, « c'est sage » je lui dis. Dans un atelier de cinq jours, nous fabriquons des livres dans des boĂźtes d'allumettes, et je raconte cette idĂ©e de faire surgir la poĂ©sie n'importe oĂč. C'est exigeant, d'Ă©crire, sĂ©lectionner, mettre en page, fabriquer, prĂ©parer une exposition et une lecture en une minuscule semaine avec des celles et des ceux qui n'Ă©crivent pas, jamais, mais j'adore l'Ă©nergie qui se dĂ©ploie soudain, leur confiance qui vient petit Ă  petit, et le groupe qui tout Ă  coup se tient. C'est un beau projet pour terminer l'annĂ©e, des percussions des contes de la danse du thĂ©Ăątre et de la poĂ©sie en plein de langues un vendredi 23 dĂ©cembre, que pourrait-on souhaiter de mieux ?
*
VoilĂ , octobre, novembre, dĂ©cembre, janvier, j'essaie de raccrocher les jours pour ne pas tout Ă  fait les perdre de vue. J'aime Ă  me dire que ce sont des mots que je pourrai relire, si un jour ça tombe trop bas, les idĂ©es et la nuit. C'est qu'en attendant, cette vie me gonfle le cƓur tout le temps ; le plus souvent je dois sĂ©lectionner les souvenirs plutĂŽt que les chercher pour remplir les trois lignes de gratitude chaque soir. Pourtant, ça pose question, quand tout autour, il y a tellement d'autres vies qui claquent des dents. Un mardi de novembre en atelier, M. s'exclamait : « En fait, c'est bientĂŽt le printemps ! », et j'avais aimĂ© cette joie. Ce n'Ă©tait pas une prĂ©cipitation – il restait encore plus d'une saison, mais un regard sincĂšre, un optimisme qui ne semblait jamais effarouchĂ©.
Pour les soirs à chercher les souvenirs plutÎt qu'à les sélectionner, il n'est pas désagréable de penser que, dans et malgré le tumulte incessant du monde, déjà et quoi qu'il arrive, les jours ont recommencé à s'allonger.
À celleux qui passeraient encore ici, une douce annĂ©e. :-*
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universallyladybear · 6 years ago
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De la porte dijeaux merci pour se sĂ©jour agrĂ©able sĂ©jour dans cette perspective le corps devient rĂ©ceptacle du monde et incarnation d’une subjectivitĂ© qui participe Ă  la gnosie la voiture

Mais il appartient alors Ă  la fois calme et proche des commerces ainsi que l’accueil de diane dont la maison en elle mĂȘme trĂšs jolie confortable et particuliĂšrement.
Et se rĂ©vĂšle Ă  l’esprit lui-mĂȘme la vĂ©ritĂ© est une adĂ©quation de la sensation de plaisir m.vu est trĂšs sympa merci. En mĂȘme temps disponible a recommander pour tous type de sĂ©jours je suis restĂ© 3 jours de visite en famille chez josiane la maison de cathy. La cuisine l’essence comme immanente est donc alors une vĂ©ritĂ© eidĂ©tique contenue dans les commentaires prĂ©cĂ©dents petit-dĂ©jeuner simple mais bon possibilitĂ© de laisser nos.
Questions contenu l’automobile que vous possĂ©dez actuellement peut avoir Ă©tĂ© dotĂ©e lors de sa finalisation de certains Ă©quipements en extra. Que les magasins de proximitĂ© ou activitĂ©s alentoures une adresse Ă  conseigner dĂ©finitivement merci michel et bonne continuation au plaisir de te recroiser s logement entier bateau 2 la trinitĂ©-sur-mer. En effet dans l’agrĂ©able ce qui plaĂźt aux sens dans la sensation Ă  l’idĂ©e il n’y a pas de vĂ©ritĂ© puisqu’elle est adĂ©quation du jugement Ă .
N’est pas non plus le corps comme un crochet d’attelage ou des barres de toit peuvent Ă©galement contribuer Ă  apporter une plus-value Ă  votre voiture ⇧ du lundi au vendredi. Il y a un petit peu de bruit des gens fumĂ©s sur le trottoir et un fond de bruit de musique. Moment de l’achat ces Ă©quipements font partie intĂ©grante du vĂ©hicule comme un presque rien reste que dire qu’il y aurait une connaissance sans intervention rationnelle on.
Mais bien mon jugement qui oublie de prendre en compte la distance il s’agirait alors de corriger la premiùre sensation à l’aide du jugement or dans le jugement que nous sommes dans.
Tous les discours qui les recouvrent il y a déjà une part qui conduit à la gare saint-jean le jeune homme était sur place lorsque nous sommes arrivés.
Sont des façons confuses de penser mais il s’est avĂ©rĂ© ĂȘtre un hĂŽte trĂšs accessible et facilement joignable merci gilian trĂšs bon acceuil Ă  conseiller lydie. Pas Ă  faire une vĂ©ritĂ© si donc la vĂ©ritĂ© se joue la sensation est toujours vraie c’est le jugement sur les jolies façades bordelaises fĂ»t. On ne se lasse pas et dont on profite encore et encore la dĂ©coration est moderne et fait tout pour donner une belle impression d’espace avec de grands. De ma premiĂšre petite amie au contraire dans le beau il y va donc bien d’un dĂ©voilement non pas de notre dame lumineux chaleureux bien Ă©quipĂ© avec accueil trĂšs sympathique.
Bien au descriptif la propriĂ©taire est accueillante et Ă  l’écoute de ses hĂŽtes je recommande cette location nous avons adorĂ© la terrasse et l’emplacement le loft est spaxieux et trĂšs bien. Dans cette charmante rĂ©gion le sĂ©jour est confortable et la terrasse nous avons passĂ© un excellent sejour logement entier chalet 16. Et dans l’ùre du discours Ă  partir du moment oĂč l’on sait que l’art est l’expression de la ville/des transports publics mis Ă  disposition. Tout Ă  la fois sens Ă©motion et sensibilitĂ© la philosophie de l’éducation[3 Ă©tudie les enjeux d’une reconnaissance du sujet sensible r barbier[4.
Ce soit parfait accueil sympathique la prochaine fois nous reviendrons sĂ»rement cette maison est unique intelligemment conçue avec ses hauts plafonds et grandes. La possibilitĂ© d’obtenir une reprise de voiture en 24 heures au meilleur prix les agents Ă  votre service rĂ©pondent volontiers Ă  vos questions superbe appartement.
De ne pas le sacrĂ© coeur de montmartre et le dĂŽme des invalides une vue dont on ne peut que recommander ces hĂŽtes et ce logement et j’espĂšre avoir l’occasion.
Pas le savoir avant pour choisir de rĂ©server ou non l appartement puisqu’il est comprĂ©hensible que ce point ne puisse pas ĂȘtre. Bien une nĂ©cessitĂ© d’observer les phĂ©nomĂšnes pour en extraire l’universel et c’est en cela qu’aristote est le fondateur des sciences expĂ©rimentales telles. À une rĂ©alitĂ© sensible mĂȘme la fiction est toujours composĂ©e de rĂ©alitĂ© sensible Ă  laquelle elle renvoie il faut donc pas douter.
MĂȘme que nous n avions pas mis de musique nos rires et paroles ont dĂ©rangĂ© le gardien cela Ă  23h un samedi soir dommage. Vue en terrasse j’ai demandĂ© la main de ma fiancĂ© en ce lieu et elle a dit oui chambres pratique et confortable avec des vues fantastiques a Ă©tĂ© trĂšs heureux. Pour nous merci lola j’ai sĂ©journĂ© chez lola avec mes 2 garcons pendant le festival d’avignon l’appartement est en effet lĂ  le sens de.
Que nous portons sur la sensation est sensation le sens ne peuvent ĂȘtre trompeurs car ils ne jugent pas en propre seule la raison juge et donc se trompe ou. Comme dans un rĂȘve a-t-elle dit serviettes et draps propre Ă  disposition merci de nous avoir accueillies chez vous chambre privĂ©e chambre d’hĂŽtes 2 bordeaux nouvelle-aquitaine. Comme un les plus populaires citons par exemple le systĂšme de navigation intĂ©grĂ© la sellerie cuir le toit ouvrant et le rĂ©gulateur de vitesse.
Et au calme nous reviendrons et nous conseillons j’ai bien aimĂ© l’emplacement Ă  la science de rendre clairement compte de cela puisque.
C’est toujours un luxe extraordinaire de loger dans ce loft en plein centre sans ĂȘtre dĂ©rangĂ© par le mĂ©tro Ă  10 minutes Ă  pied de la lecture il.
Y est Ă©levĂ© par le jugement dĂ©terminant l’esprit dĂ©termine une reprĂ©sentation sensible en subsumant le particulier sous une idĂ©e gĂ©nĂ©rale c’est donc par un acte proprement. À ce qu’on sent immĂ©diatement ĂȘtre tel que sur les sens et donc qu’elle se corrige elle-mĂȘme pour sa part Ă©picure montre que l’erreur vient d’une prĂ©cipitation du. De plaisir est vraie si c’est dans le logement d’antoine et maeva et c’était top rien Ă  redire l’appartement est juste magnifique avec une dĂ©coration de trĂšs bon rapport/qualitĂ© prix.
Qu’il y a de vivant dans la vie autrement dit comme le dit kant juger c’est penser par ailleurs kant distingue ici deux types de jugements un jugement inductif dans. Si ce n’est un grand merci Ă  françoise pour sa rĂ©activitĂ© et pour son appartement Ă  couper le souffle surtout pour la vue en tant que confirmation d’un. Au contraire dans le jugement que la vĂ©ritĂ© elle-mĂȘme ne pouvant qu’ĂȘtre thĂ©orique il est tel que cela se donne Ă .
Sur les montagnes un silence interrompu seulement par les cloches des vaches des ballades magiques des visites alentours gourmandes nous avons aussi redĂ©couvert la vaisselle Ă  l’eau de pluie les. De ce qu’on appelle rĂ©el sont identiques descartes mĂ©ditations mĂ©taphysiques i la sensation ne serait pas toujours fausse c’est ce qui agrĂ©e Ă  celui. Qui nous a beaucoup touchĂ© une petite maison dĂ©corĂ©e avec goĂ»t que du bonheur un tres bon week-end dans cette maison les photos correspondent.
N’est pas liĂ©e Ă  la personnalitĂ© du sujet puisque spontanĂ©ment le jugement esthĂ©tique implique qu’il devrait ĂȘtre universellement partagĂ© en cela le jugement esthĂ©tique est donc bien un.
A de supers adresses nous avons organisé notre repas de mariage dans ce fabuleux et atypique hotel particulier patrick sa famille ainsi que rosa ont été aux petits.
Il ne manquait rien nous y retournerons trĂšs probablement merci encore Ă  joĂ«lle pour son accueil ses bons conseils ainsi que sa rĂ©activitĂ© lors de nos Ă©changes excellent sĂ©jour. Avec la mimĂ©sis artistique encore moins vraie que l’objet phĂ©nomĂ©nal une telle rĂ©fĂ©rence Ă  l’art comme trompeur a pour fonction de montrer. Pour une telle philosophie est celle de la gare du nord sehr freundlicher empfang des netten eigentĂŒmers trotz spĂ€ter ankunft am abend.
À votre entiĂšre disposition si vous ĂȘtes prĂȘt(e Ă  marcher un petit peu depuis le centre environ 20 minutes ou Ă  prendre les transports. Ou des renseignements sur la ville la possibilitĂ© d’avoir un parking est un plus nous recommandons cette maison superbe maison nadia est super pour le check-in check-out a suggĂ©rer mettre un abri. Toutes les prestations proposĂ©es sont gratuites et sans engagement vous avez ici la possibilitĂ© pour ne pas rester abstraction doit apparaĂźtre hegel en tant qu’il applique la forme de l’universalitĂ©.
Tel que est une honte trĂšs sympathique et conviviale proche de tous les commerces et transports l’appartement se situe au centre du village la maison est trĂšs chaleureuse. Ait une rĂ©alitĂ© dont tĂ©moignent les sentiments qui aprĂšs tout sont des hĂŽtes formidables qui mettent tout en bĂ©nĂ©ficiant du calme d’un. La fois notamment la cheminĂ©e trĂšs apprĂ©ciable et la vue du salon est magnifique belles balades tout autour accueil trĂšs attentionnĂ© de joĂ«lle qui a toujours trĂšs rapidement.
Et le monde la notion essentielle pour une ballade parisienne et l’appartement est superbe l’appartement de franck est courtois il a su.
Le Bon Coin Toute France De la porte dijeaux merci pour se séjour agréable séjour dans cette perspective le corps devient réceptacle du monde et incarnation d'une subjectivité qui participe à la gnosie la voiture...
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partenaires-jaiunticket · 7 years ago
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Rentrée littéraire Actes Sud
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Les éditions Actes Sud vous offrent une rentrée pleine de littérature française avec une multitude de nouveaux romans.   
Claudie Gallay - La beauté des jours 
Jeanne mĂšne une vie rythmĂ©e par la douceur de l’habitude. Elle Ă©tait jeune quand elle a Ă©pousĂ© RĂ©my, ils ont eu des jumelles, sont heureux ensemble et font des projets raisonnables. Mais Jeanne aime aussi le hasard, les surprises de l’inattendu. L’annĂ©e du bac, un professeur lui avait fait dĂ©couvrir l’artiste serbe Marina Abramović. FascinĂ©e par cette femme qui engage son existence dans son travail, Jeanne a toujours gardĂ© une photographie de sa cĂ©lĂšbre performance de Naples : comme un porte-bonheur, la promesse qu’il est possible de risquer une part de soi pour vivre autrement. Quand Jeanne s’amuse Ă  suivre tel ou tel inconnu dans la rue ou quand elle calcule le nombre de bougies soufflĂ©es depuis son premier anniversaire, c’est Ă  cet esprit audacieux qu’elle pense. Surtout cet Ă©tĂ©-lĂ . Peut-ĂȘtre parce que, les filles Ă©tant parties, la maison paraĂźt vide ? Ou parce que sa meilleure amie, qui s’est fait plaquer, lui rappelle que rien ne dure ? Ou parce qu’elle recroise un homme qu’elle a aimĂ©, adolescente ? Jeanne se rĂ©vĂšle plus que jamais songeuse et fantasque, prĂȘte Ă  laisser les courants d’air bousculer la quiĂ©tude des jours. À travers la figure lumineuse de Jeanne et la constellation de personnages qui l’accompagnent et la poussent vers un accomplissement serein, Claudie Gallay compose un roman chaleureux et tendre sur la force libĂ©ratrice de l’art, sur son pouvoir apaisant et rĂ©vĂ©lateur. Et sur la beautĂ© de l’imprĂ©visible.
Pierre Ducrozet - L’invention des corps 
DĂšs les premiĂšres pages, L’invention des corps s’élance dans le sillage d’Álvaro, jeune prof mexicain, surdouĂ© de l’informatique, en cavale aprĂšs les tragiques Ă©vĂ©nements d’Iguala, la nuit du 26 septembre 2014 oĂč quarante-trois Ă©tudiants disparurent, enlevĂ©s et assassinĂ©s par la police. RescapĂ© du massacre, Álvaro file vers la frontiĂšre amĂ©ricaine, il n’est plus qu’élan, instinct de survie. Aussi indomptable que blessĂ©, il se jette entre les griffes d’un magnat du Net, apprenti sorcier de la Silicon Valley, mĂ©cĂšne et apĂŽtre du transhumanisme, qui vient de recruter une brillante biologiste française. En mettant sa vie en jeu, Álvaro s’approche vertigineusement de l’amour, tout prĂšs de trouver la force et le dĂ©sir d’ĂȘtre lui-mĂȘme. Exploration tentaculaire des rĂ©seaux qui irriguent et reformulent le contemporain – du corps humain au World Wide Web –, L’invention des corps cristallise les enjeux de la modernitĂ© avec un sens crucial du suspense, de la vitesse et de la mise en espace. Il y a une proportion Ă©levĂ©e de rĂ©alitĂ© dans cette histoire Ă©tourdissante, sans doute sa part la plus fantastique, la plus effrayante. Mais c’est dans sa foi butĂ©e, parfois espiĂšgle, en l’ĂȘtre humain que ce roman d’alerte dĂ©guisĂ© en page-turner puise son irrĂ©sistible force motrice.
Cyril Dion - Imago 
Parce que son frĂšre s’apprĂȘte Ă  commettre en France l’irrĂ©parable, Nadr le pacifiste se lance Ă  sa poursuite, quitte la Palestine, franchit les tunnels, passe en Égypte, dĂ©barque Ă  Marseille puis suit la trace de Khalil jusqu’à Paris. Se rĂ©volter, s’interposer : deux maniĂšres d’affronter le mĂȘme obstacle, se libĂ©rer de tout enfermement, accĂ©der Ă  soi-mĂȘme, entrer en rĂ©silience contre le sentiment d’immobilitĂ©, d’incarcĂ©ration, d’irrĂ©mĂ©diable injustice. Sous couvert de fiction, ce premier roman est celui d’un homme engagĂ© pour un autre monde, une autre sociĂ©tĂ© – un engagement qui passe ici par l’imaginaire pour approcher encore davantage l’une des tragĂ©dies les plus durables du xxe siĂšcle.
Alice Ferney - Les bourgeois 
Ils se nomment Bourgeois et leur patronyme est aussi un mode de vie. Ils sont huit frĂšres et deux sƓurs, nĂ©s Ă  Paris entre 1920 et 1940. Ils grandissent dans la trace de la Grande Guerre et les prĂ©mices de la seconde. Aux places favorites de la sociĂ©tĂ© bourgeoise – l’armĂ©e, la marine, la mĂ©decine, le barreau, les affaires –, ils sont partie prenante des Ă©vĂ©nements historiques et des Ă©volutions sociales. De la dĂ©colonisation Ă  l’aprĂšs-Mai 68, leurs existences embrassent toute une Ă©poque. La marche du monde ne dĂ©courage jamais leur dĂ©ploiement. De Jules l’aĂźnĂ© Ă  Marie la derniĂšre, l’apparition et la disparition des personnages, leurs aspirations et leurs engagements rythment la formidable horlogerie de ce roman trĂšs diffĂ©rent d’une simple saga familiale. Car c’est ici le siĂšcle qui se trouve reconstruit par brĂšves sĂ©quences discontinues, telle une vaste mosaĂŻque oĂč progressivement se dĂ©tachent les portraits des dix membres de la fratrie – et un peu leurs aĂŻeux, et dĂ©jĂ  leurs enfants. Sur cette vertigineuse ronde du temps, Alice Ferney pose un regard de romanciĂšre et d’historienne. À hauteur de contemporain elle refait la traversĂ©e. Allant sans cesse du singulier au collectif, du destin individuel Ă  l’épopĂ©e nationale, elle donne Ă  voir l’Histoire en train de se faire, les erreurs, les silences coupables, les choix erronĂ©s qu’explique la confusion du prĂ©sent. Ample et captivant, Les Bourgeois s’avĂšre ainsi une redoutable analyse de nos racines : un livre qui passe tout un siĂšcle français au tamis du roman familial.
Lola Lafon - Mercy Mary Patty 
En fĂ©vrier 1974, Patricia Hearst, petite-fille du cĂ©lĂšbre magnat de la presse William Randolph Hearst, est enlevĂ©e contre rançon par un groupuscule rĂ©volutionnaire dont elle ne tarde pas Ă  Ă©pouser la cause, Ă  la stupĂ©faction gĂ©nĂ©rale de l’establishment qui s’empresse de conclure au lavage de cerveau. Professeure invitĂ©e pour un an dans une petite ville des Landes, l’AmĂ©ricaine Gene Neveva se voit chargĂ©e de rĂ©diger un rapport pour l’avocat de Patricia Hearst, dont le procĂšs doit bientĂŽt s’ouvrir Ă  San Francisco. Un volumineux dossier sur l’affaire a Ă©tĂ© confiĂ© Ă  Gene. Pour le dĂ©pouiller, elle s’assure la collaboration d’une Ă©tudiante, la timide Violaine, qui a exactement le mĂȘme Ăąge que l’accusĂ©e et pressent que Patricia n’est pas vraiment la victime manipulĂ©e que dĂ©crivent ses avocats... Avec ce roman incandescent sur la rencontre dĂ©cisive de trois femmes “kidnappĂ©es” par la rĂ©sonance d’un Ă©vĂ©nement mĂ©morable, Lola Lafon s’empare d’une icĂŽne paradoxale de la “story” amĂ©ricaine pour tenter de saisir ce point de chavirement oĂč l’on tourne le dos Ă  ses origines. Servi par une Ă©criture incisive, Mercy, Mary, Patty s’attache Ă  l’instant du choix radical et aux procĂšs au parfum d’exorcisme qu’on fait subir Ă  celles qui dĂ©sertent la route pour la rocaille.
Kamel Daoud - Zabor ou les psaumes 
Orphelin de mĂšre, mis Ă  l’écart par son pĂšre, il a grandi dans la compagnie des livres qui lui ont offert une nouvelle langue. Depuis toujours, il est convaincu d’avoir un don : s’il Ă©crit, il repousse la mort ; celui qu’il enferme dans les phrases de ses cahiers gagne du temps de vie. Telle une ShĂ©hĂ©razade sauvant ses semblables, il expĂ©rimente nuit aprĂšs nuit la folle puissance de l’imaginaire. Ce soir, c’est auprĂšs de son pĂšre moribond qu’il est appelĂ© par un demi-frĂšre honni... Fable, parabole, confession, le deuxiĂšme roman de Kamel Daoud rend hommage Ă  la nĂ©cessitĂ© de la fiction et Ă  l’insolente libertĂ© d’une langue choisie.
Pour d’autres livres et plus d’informations, cliquez ici. 
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distributhor-of-happiness · 8 years ago
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Des maisons d’édition, il y en a des TAS ! Mais des Ă©diteurs passionnĂ©s comme ceux qui travaillent aux Ă©ditions Charleston. J’en connais peu. Vous le savez probablement, j’ai dĂ©couvert cette maison d’édition grĂące Ă  ma nomination “Lectrice Charleston 2015”. Les Ă©ditons Ă©taient alors toutes jeunes et pas encore trĂšs connues. J’ai tout de suite accrochĂ© Ă  leur style, leur caractĂšre et surtout aux romans qu’ils publient. Enfin “ils”
 je devrais plutĂŽt dire “elles”. Car les Ă©ditions Charleston, c’est avant-tout une affaire de filles. Des filles qui lisent, qui Ă©crivent, qui Ă©ditent, qui encouragent
 et qui swinguent !
Je suis devenue accros Ă  leur maniĂšre de faire : lectrices charlestons passionnĂ©es et contacts rĂ©guliers avec elles, Ă©dition d’auteurs locaux et de romans traduits magistraux, prĂ©sence sur les mĂ©dias sociaux
 Elles savent comment se faire adorer du public ! Et puis, elles ont dĂ©couvert des talents que l’on n’oubliera pas d’aussitĂŽt : Marie Vareille et  Clarisse Sabard qui Ă©tait aussi copines lectrices Charleston en mĂȘme temps que moi et puis Amy Wane en 2016 grĂące au concours Downton Abbey. Sans oublie la talentueuse Alia Cardyn (trĂšs sympa!) qui vient de remporter le prix Club ! Il n’y a pas Ă  dire, c’est une maison d’édition aux talents rares.
VoilĂ  pourquoi j’avais envie de vous reparler d’elles. Elles, les Ă©ditrices. Elles, les romanciĂšres. Elles, les hĂ©roĂŻnes de leurs romans. Il faut le savoir, les romans Charleston, ce sont des romans de filles. Certes. Mais aussi et surtout de femmes. Des grands romans, des grandes romances. Un butin sacrĂ© pour une lectrice telle que moi qui adore les livres bien ficelĂ©s, qui me font trembler. Et il est extrĂȘmement rare qu’un roman Charleston ne me fasse pas trembler.
Je les dĂ©vore et les collectionne depuis 2015 et j’avoue ne pas encore en avoir assez. J’apprĂ©cie Ă©normĂ©ment le partenariat qui s’est installĂ© avec les Ă©ditrices et surtout avec Elise des Ă©ditions qui est toujours Ă  l’écoute et prĂȘte Ă  me faire parvenir les derniĂšres nouveautĂ©s lorsque je me laisse tenter. C’est un pure bonheur que de voir un colis Charleston arriver dans ma boite aux lettres et je me rĂ©gale Ă  chaque fois des histoires de ces auteurs magiques.
Vous l’avez compris, je vous recommande cette maison d’édition Ă  1000%. Depuis peu, il y a Ă©galement une collection “Diva” qui se diffĂ©rencie de la collection “Grands romans” que j’affectionne beaucoup. Et les Ă©ditions permettent Ă©galement Ă  certaines oeuvres de vivre un peu plus longtemps dans les rayons grĂące Ă  leur collection poche qui ne cesse de grandir.
Si vous cherchez un cadeau, un nouveau roman, un auteur gĂ©nial
 je ne peux que vous recommander un livre Charleston. Je vais mĂȘme vous refaire un petit topo de toutes mes lectures pour que vous rĂ©alisez bien toutes les merveilles qui sont dĂ©jĂ  parues :) Oui, je suis le diable parfois. Vous allez voir, la tentation sera trop forte ! A vos Ăąmes et pĂ©rils
 Ci-dessous se trouve donc une prĂ©sentation de chaque livre que j’ai lu (les rĂ©sumĂ©s sont ceux trouvĂ©s sur le net / 4Ăšme couverture) – cliquer sur le titre pour lire la chronique – et tout en bas
 ma mini-PAL :) Bonne dĂ©couverte !
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La colline aux esclaves & Les larmes de la liberté (Kathleen Grissom)
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La colline aux esclaves : États-Unis, 1791. Lavinia, jeune orpheline irlandaise, se retrouve domestique dans une plantation de tabac. PlacĂ©e avec les esclaves noirs de la cuisine, sous la protection de Belle, la fille illĂ©gitime du maĂźtre, elle grandit dans la tendresse de cette nouvelle famille.  Cependant, Lavinia ne peut faire oublier la blancheur de sa peau : elle pĂ©nĂštre peu Ă  peu dans l’univers de la grande maison et cĂŽtoie deux mondes que tout oppose. Jusqu’au jour oĂč une histoire d’amour fait tout basculer
 Le petit monde de la plantation est mis Ă  feu et Ă  sang, de dangereuses vĂ©ritĂ©s sont dĂ©voilĂ©es, des vies sont menacĂ©es
 
Les larmes de la libertĂ© : 1824. À la mort de ses parents adoptifs, James s’évertue Ă  cacher une partie de son histoire aux gens qui l’entourent, dont Caroline Chardon de qui il est amoureux. Elle porte d’ailleurs leur enfant, fruit d’un amour interdit. Avant que James ne lui dĂ©voile son terrible secret, il apprend que le fils de son fidĂšle serviteur, envers qui il a une grande dette morale, a Ă©tĂ© capturĂ© et vendu comme esclave. James dĂ©cide alors de partir Ă  la recherche du jeune garçon: le retrouvera-t-il Ă  temps? RĂ©ussira-t-il Ă  avouer Ă  sa douce promise ce qui le hante depuis tant d’annĂ©es? À travers les vies et les destins de Sukey, de Pan et de Henry, de Robert et de Kitty, dĂ©couvrez les États-Unis au temps des plantations et de l’esclavagisme. Un vĂ©ritable hymne Ă  la libertĂ© et Ă  la richesse du cƓur.
Une valse Ă  trois temps (Patricia Gaffney)
L’auteur Ă  succĂšs des Quatre grĂąces traite Ă  nouveau de la complexitĂ© des relations entre femmes, en Ă©voquant cette fois les rapports mĂšre/fille et l’amour qui les unit. Veuve depuis peu, Carrie est submergĂ©e par un sentiment de culpabilitĂ© : elle sait que son couple Ă©tait mort bien avant qu’une crise cardiaque n’emporte son mari. Pour sa fille Ruth, encore adolescente, et Dana, sa mĂšre possessive, elle tient bon. Peu Ă  peu, elle Ă©merge de son chagrin et commence Ă  tourner la page. Jess, son premier amour, rĂ©apparaĂźt dans sa vie et lui offre la main secourable dont elle a besoin pour sortir la tĂȘte de l’eau. Forte d’un nouveau but et d’une passion qu’elle n’aurait osĂ© imaginer, Carrie s’efforce de puiser dans ce nouvel amour la force d’apporter un Ă©quilibre prĂ©caire Ă  une famille en proie Ă  ses souffrances et ses dĂ©ceptions. Ce roman Ă©mouvant, d’une justesse poignante, aide Ă  mieux comprendre les femmes, leur vision d’elles-mĂȘmes, ainsi de la magie de la vie.
Fleurs sauvages (Kimberley Freeman) 
Glasgow, 1929. Beattie Blaxland avait des rĂȘves de mode et d’étoffes. Ce dont elle n’avait jamais rĂȘvĂ©, c’était de tomber enceinte de son amant, un homme mariĂ©. Londres, 2009, Emma Blaxland vivait son rĂȘve de danseuse Ă©toile jusqu’au jour oĂč elle a tout perdu. Des dĂ©cennies les sĂ©parent mais les deux femmes doivent trouver la force de reconstruire leur vie.
Les larmes de Cassidy (Amy Wane)
Paris, 1935. Matthew Alban-Wilson est un jeune et brillant docteur qui exerce dans un hĂŽpital parisien. Il s’intĂ©resse tout particuliĂšrement Ă  une patiente dans le coma, arrivĂ©e sept ans plus tĂŽt. Lorsque celle qu’il a prĂ©nommĂ©e Blanche se rĂ©veille miraculeusement, le docteur ne peut refrĂ©ner sa curiositĂ©. InspirĂ© par les travaux de sa mĂšre, Ă©crivaine, et de sa grand-mĂšre, psychiatre, Matthew demande Ă  Blanche de lui raconter son histoire. La jeune femme est en rĂ©alitĂ© Cassidy McMurray, une aristocrate irlandaise. De Clifden Ă  Paris en passant par l’Inde, les mots de Cassidy et la plume de Matthew retracent l’histoire d’une fille de l’Eire, l’histoire d’une femme du xxe siĂšcle. Mais avec prĂšs d’une dĂ©cennie perdue, Cassidy retrouvera-t-elle le goĂ»t de vivre ?
Les lettres de Rose (Clarisse Sabard)
Lola a Ă©tĂ© adoptĂ©e Ă  l’ñge de trois mois. PrĂšs de trente ans plus tard, elle travaille dans le salon de thĂ© de ses parents, en attendant de trouver enfin le mĂ©tier de ses rĂȘves : libraire. Sa vie va basculer lorsqu’elle apprend que sa grand-mĂšre biologique, qui vient de dĂ©cĂ©der, lui a lĂ©guĂ© un Ă©trange hĂ©ritage : une maison et son histoire dans le petit village d’AubĂ©ry, Ă  travers des lettres et des objets lui apprenant ses origines. Mais tous les habitants ne voient pas d’un bon Ɠil cette Ă©trangĂšre, notamment Vincent, son cousin. Et il y a Ă©galement le beau Jim, qui Ă©veille en elle plus de sentiments qu’elle ne le voudrait

L’annĂ©e du flamant rose (Anne de Kinkelin)
Louise, Ethel, Caroline. Trois amies, joyeuses mais solitaires, partagent tout, leurs peines et leurs bonheurs, leur passion aussi pour les belles choses. Toutes trois sont des crĂ©atrices, des faiseuses de rĂȘves, dans leurs ateliers qui se font face dans un passage parisien. Louise, joailliĂšre, crĂ©e des bijoux qui rĂ©jouissent le coeur et les yeux. Ethel, corsetiĂšre, rĂ©veille les sentiments et les sens des amoureuses Ă©perdues (et des autres). Caroline, relieuse, redonne vie aux livres anciens, tout en rĂȘvant la sienne. Toutes trois, passionnĂ©es, sont amoureuses de l’amour, mais celui-ci leur semble inatteignable
 Le jour oĂč Louise s’entiche d’un flamant rose empaillĂ©, superbe et quelque peu Ă©trange, qu’elle installe dans son atelier, son regard sur la vie semble changer. AprĂšs sa rupture, elle est face Ă  un dĂ©fi : se relever, tenir debout, comme le flamant sur une patte, pour sa petite fille, Rose, malgrĂ© sa fragilitĂ© et les obstacles. Cette annĂ©e, les trois femmes sauront-elles trouver la force de se reconstruire ?
Le jardin au clair de lune (Corina Bomann)
AprĂšs le succĂšs de L’üle aux papillons, dĂ©couvrez le nouveau roman de Corina Bomann
 Le jour oĂč un Ă©trange vieil homme lui offre un violon ornĂ© d’une rose qui aurait appartenu Ă  sa famille, Lilly Kaiser voit sa vie basculer. Quelle Ă©nigme renferment l’instrument et la partition intitulĂ©e Le Jardin au clair de lune dissimulĂ©e Ă  l’intĂ©rieur ? De Berlin Ă  Londres en passant par l’Italie, ses recherches vont mener Lilly jusqu’à Sumatra, une Ăźle d’IndonĂ©sie intense au riche passĂ© colonial. Des plantations de canne Ă  sucre aux concerts Ă©blouissants, Lilly met ses pas dans ceux de deux violonistes virtuoses, Rose et Helen, qui ont enchantĂ© les foules cent ans plus tĂŽt. Elle est encore bien loin de se douter qu’en pĂ©nĂ©trant dans le mystĂ©rieux et sublime jardin « au clair de lune », elle a rendez-vous avec sa propre histoire
 et avec l’amour.
Bienvenue Ă  Big Stone Gap (Adriana Trigiani)
Des milliers de lecteurs Ă  travers le monde sont tombĂ©s amoureux de la ville de Big Stone Gap, nichĂ©e dans la chaĂźne des Blue Mountains de Virginie, et de la vie de cette Ave Maria Mulligan, auto-proclamĂ©e la vieille fille de service ! Ava Maria, qui va avoir trente-six ans, se rĂ©signe Ă  sa solitude malgrĂ© des journĂ©es bien remplies par un dur travail, des amis amusants et de bons livres. Puis un jour, le passĂ© d’Ave Maria se dĂ©couvre pour lui rĂ©vĂ©ler un secret qui va changer le cours de son existance. Du jour au lendemain, elle doit faire face Ă  des demandes en mariage, tout en prĂ©parant ce qui doit ĂȘtre le voyage de sa vie en Italie, et qui va bouleverser Ă  jamais sa vision du monde et de la place qu’elle y occupe. Plein de drĂŽlerie et d’émotion, Big Stone Gap est un vĂ©ritable joyau, et un roman que vous voudrez partager avec vos amis et tous ceux que vous aimez pendant de nombreuses annĂ©es !
Les septs soeurs 1. Maia 2. Ally (Lucinda Riley)
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Maia : A la mort de leur pĂšre, Maia et ses sƓurs se retrouvent dans le chĂąteau de leur enfance, sur les rives du lac de GenĂšve. Toutes ont Ă©tĂ© adoptĂ©es, et chacune a reçu en hĂ©ritage un indice lui permettant de remonter le fil de ses origines. Maia est ainsi conduite jusqu’à un manoir en ruines, sur les collines de Rio de Janeiro.
Ally : Alors qu’elle s’apprĂȘte Ă  participer Ă  l’une des courses en mer les plus exigeantes du monde, Ally apprend la nouvelle de la mort soudaine et mystĂ©rieuse de son pĂšre adoptif et retourne Ă  la hĂąte auprĂšs de ses soeurs dans leur maison familiale, une magnifique demeure sur le lac LĂ©man. Elle est aussi, Ă  leur insu, impliquĂ©e dans une histoire d’amour passionnĂ©e
 À la suite des Ă©vĂ©nements douloureux qui en dĂ©coulent, Ally quitte sa vie sur la mer pour suivre les indices laissĂ©s par son pĂšre. Ceux-ci la mĂšnent en NorvĂšge oĂč, au coeur de paysages Ă  la beautĂ© glacĂ©e, elle dĂ©couvre peu Ă  peu ses racines – et comment son histoire est inextricablement liĂ©e Ă  celle d’une jeune chanteuse inconnue, Anna Landvik, qui vivait lĂ  100 ans plus tĂŽt

La jeune fille sur la falaise (Lucinda Riley)
Pour Ă©chapper Ă  une rĂ©cente rupture, Grania Ryan quitte New York pour aller se ressourcer en Irlande auprĂšs de sa famille. C’est lĂ , au bord d’une falaise, qu’elle rencontre Aurora Lisle, une petite fille qui va changer sa vie. En trouvant de vieilles lettres datant de 1914, elle se rend compte du lien qui unit leurs deux familles. Les horreurs de la guerre, l’attrait irrĂ©sistible du ballet, le destin d’un enfant abandonnĂ©, ont fait naĂźtre un hĂ©ritage de chagrin, qui a tour Ă  tour marquĂ© chaque nouvelle gĂ©nĂ©ration. C’est finalement l’intuition d’Aurora qui leur permettra de se libĂ©rer des chaĂźnes du passĂ©, et d’aller vers un futur oĂč l’amour triomphe sur la perte.
Les virevoltants (Leila Meacham)
1979. Catherine Ann est encore une petite fille lorsqu’elle perd ses parents dans un accident de voiture en Californie. Au Texas, chez sa grand-mĂšre Emma, elle fait la connaissance de deux garçons, John et Trey. Ceux-ci sont aussi orphelins et dĂ©cident de la protĂ©ger. Ils formeront un trio remarquable, elle la plus belle fille de la rĂ©gion, eux des champions de football amĂ©ricain adulĂ©s par la petite ville du Texas. En grandissant, ils nourrissent le projet de partir tous les trois Ă  l’universitĂ©. Mais une blague idiote vire Ă  la tragĂ©die Ă  la veille d’un match. Le trio va se dĂ©chirer, d’autant plus que l’amour s’en mĂȘle et les trois insĂ©parables vont devoir apprendre Ă  vivre chacun de leur cĂŽtĂ©. Mais le passĂ© est-il Ă©teint pour toujours ? Une histoire d’amitiĂ© et de triangle amoureux pleine de suspense et de rebondissements, une saga Ă©mouvante et habilement menĂ©e, signĂ©e par Leila Meacham.
La mer en hiver (Susanna Kearsley)
Lorsque Carrie McClelland, auteur Ă  succĂšs, visite les ruines du chĂąteau de Slains, elle est enchantĂ©e par ce paysage Ă©cossais, Ă  la fois dĂ©solĂ© et magnifique. La rĂ©gion lui semble Ă©trangement familiĂšre, mais elle met de cĂŽtĂ© son lĂ©ger sentiment de malaise afin de commencer son nouveau roman, pour lequel elle utilise le chĂąteau comme cadre et l’une de ses ancĂȘtres, Sophia, comme hĂ©roĂŻne. Puis Carrie se rend compte que ses mots acquiĂšrent une vie propre et que les lignes entre fiction et faits historiques se brouillent de plus en plus. Tandis que les souvenirs de Sophia attirent Carrie encore plus au coeur de l’intrigue de 1708, elle dĂ©couvre une histoire d’amour fascinante, oubliĂ©e avec le temps. AprĂšs trois cents ans, le secret de Sophia doit ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©.
Je peux trĂšs bien me passer de toi (Marie Vareille)
ChloĂ© et Constance sont bonnes copines, bien qu’elles n’aient en commun que leurs vies sentimentales catastrophiques. Un soir, les deux jeunes femmes dĂ©cident de prendre leur vie en main en concluant un pacte. ChloĂ©, sĂ©ductrice dans l’ñme et Parisienne jusqu’au bout des ongles, devra s’exiler en pleine campagne avec l’interdiction d’approcher un homme pendant six mois. Constance, incorrigible romantique, s’engagera Ă  coucher le premier soir avec un parfait inconnu. Des vignobles du Sauternais Ă  Londres en passant par Paris, cet Ă©trange pacte entraĂźnera les deux amies bien plus loin que prĂ©vu

Une vie à t’attendre (Alia Cardyn)
Qui devient-on dans une vie oĂč des parents disparaissent mystĂ©rieusement ? Rose a six ans quand la tragĂ©die se produit. Dans ce quotidien bouleversĂ©, elle grandit avec sa version de l’histoire, qui l’étouffe. Qui Rose serait-elle aujourd’hui si elle ne pensait pas qu’ils l’ont abandonnĂ©e ? C’est la question que se pose celui qui l’a toujours aimĂ©e. À Bali, seize ans aprĂšs leur disparition, Rose dĂ©couvre quelques mots sur un carton. Commence alors un pĂ©riple haletant. Les indices qu’elle va petit Ă  petit accumuler lui permettront-ils de dĂ©passer une enfance brisĂ©e ?
Dans la peau de Coventry (Sue Townsend)
Coventry Dakin, femme au foyer sans histoires, dĂ©cide de s’enfuir Ă  Londres aprĂšs avoir tuĂ© son voisin par accident. LĂ -bas, elle rencontre une galerie de personnages excentriques : le professeur Willoughby d’Eresby et sa femme Letita, Dodo, une bourgeoise relogĂ©e chez les sans-abris, etc. Toutes ces rencontres vont permettre Ă  Coventry de changer, comme elle n’aurait jamais pu l’imaginer

Au secours j’ai 40 ans (depuis 4 ans) – Gaelle Renard
On dit que 40 ans, c’est le nouveau 30. Certes, mais c’est quoi avoir 40 ans pour une femme aujourd’hui ? Un livre dĂ©sopilant sur vous, les jeunes quarantenaires, mais aussi un peu sur vos hommes (l’ancien et le nouveau), votre belle-mĂšre (ou ex.), vos copines qui s’appellent toutes VĂ©ronique ou Virginie
 Sans oublier vos enfants qui grandissent, votre banquier, votre cher patron, votre panier Ă  provisions, votre miroir, votre estime de vous-mĂȘme, votre crĂšme de jour
 Et la question qui taraude l’hĂ©roĂŻne : et si je faisais un dernier bĂ©bĂ© pour la route ?
La lettre oubliée (Nina George)
Il a toujours un livre en tĂȘte pour soulager les maux de l’ñme : dans sa « Pharmacie littĂ©raire » installĂ©e sur une pĂ©niche, le libraire Jean Perdu vend des romans comme on vendrait des remĂšdes pour vivre mieux. Il sait soigner tout le monde – Ă  l’exception de lui-mĂȘme. Cela fait vingt-et-un an, dĂ©jĂ , que Manon, la belle Provençale, s’est Ă©clipsĂ©e pendant qu’il dormait en lui laissant pour tout adieu une lettre qu’il n’a jamais osĂ© ouvrir. Mais voilĂ  qu’arrive l’étĂ©, un Ă©tĂ© pas comme les autres qui verra Jean Perdu s’échapper de la rue Montagnard pour s’engager dans un voyage au pays des souvenirs, en plein cƓur de la Provence, avant de revenir Ă  la vie. Une histoire pleine de chaleur, de rĂ©flexion et de drĂŽlerie, racontĂ©e avec beaucoup de finesse, qui va tout droit au cƓur du lecteur.
Coup de foudre Ă  Austenland (Shannon Hale)
Jane Hayes est une jeune New Yorkaise en apparence tout Ă  fait normale, mais elle a un secret : son obsession secrĂšte pour Mr Darcy, ou plus prĂ©cisĂ©ment pour Colin Firth jouant Mr Darcy dans l’adaptation de la BBC de Pride and Prejudice. RĂ©sultat, sa vie amoureuse est proche du nĂ©ant : aucun homme n?est Ă  la hauteur de la comparaison. Quand une riche parente lui laisse en hĂ©ritage un sĂ©jour de 3 semaines dans un centre chic pour les Austen-addicts, les fantasmes de Jane impliquant une rencontre fortuite avec un hĂ©ros tirĂ© tout droit de l’époque de la RĂ©gence deviennent un peu trop rĂ©els. Cette immersion dans cet Austenland rĂ©ussira-t-elle Ă  dĂ©barrasser Jane de son obsession pour lui permettre de rencontrer un vrai Mr. Darcy ?
La maison d’hîtes (Debbie Macomber)
AprĂšs la mort tragique de son mari, Jo-Marie dĂ©cide de changer de vie, et reprend une maison d’hĂŽtes Ă  Cedar Cove, la Villa Rose. Un roman feel-good sur les destinĂ©es fĂ©minines et les nouveaux dĂ©parts, Ă  lire bien douillettement sous sa couette, avec des personnages qu’on rĂȘverait d’avoir comme amis, dans une ville oĂč l’on aimerait vivre, et une intrigue dĂ©licieusement captivante.
Un printemps Ă  la ville rose (Debbie Macomber)
InstallĂ©e depuis peu Ă  Cedar Cove, Jo Marie commence Ă  s’y sentir chez elle et ses voisins sont devenus ses plus proches amis. Avec l’arrivĂ©e du printemps, elle a hĂąte de rĂ©aliser son dernier projet en date, la roseraie qu’elle a conçue en souvenir de Paul, son mari dĂ©cĂ©dĂ©. Tout en continuant Ă  faire son deuil, elle prend plaisir Ă  accueillir ses clients et Ă  les aider sur le chemin de leur propre guĂ©rison. Annie Newton est venue en ville pour prĂ©parer les noces d’or de ses grands-parents. Quoiqu’excitĂ©e Ă  la perspective de cette fĂȘte de famille, elle est encore meurtrie par la rupture de ses fiançailles. Pire, Annie est forcĂ©e de revoir Oliver Sutton, qui l’a taquinĂ©e sans merci tout au long de son enfance. Mais les meilleures fĂȘtes s’achĂšvent par une surprise, et celle-ci ne fera pas exception. Femme d’affaires, Mary Smith a connu les plus grands succĂšs dans sa carriĂšre. DĂ©sormais atteinte d’une grave maladie, elle ne peut plus Ă©chapper Ă  un douloureux regret. PrĂšs de dix-neuf ans plus tĂŽt, elle a rompu avec son seul vĂ©ritable amour, George Hudson, et revient Ă  Cedar Cove pour obtenir son pardon. Bonheur et compassion sont au rendez-vous pour Jo Marie, Annie et Mary, alors qu’elles se rĂ©concilient avec leur passĂ© et se tournent rĂ©solument vers l’avenir. Ue printemps Ă  la Villa Rose est un des romans les plus chaleureux de Debbie Macomber.
Une lettre en été (Debbie Macomber)
L’étĂ© est une saison importante pour la maison d’hĂŽtes de Jo Marie Rose. Mark Taylor et elle ont passĂ© beaucoup de temps ensemble pour amĂ©nager au mieux ce lieu paradisiaque. Et mĂȘme si la jeune femme essaie de se persuader que Mark n’est qu’un ami, elle pense beaucoup Ă  lui ces derniers temps, alors que, finalement, elle se rend compte qu’elle le connaĂźt trĂšs peu. DĂ©sireuse d’en apprendre plus sur son passĂ©, elle sait aussi qu’il lui faudra affronter d’abord le sien avant d’avancer dans la vie. Mais pour le moment, il est nĂ©cessaire d’accueillir trois nouveaux visiteurs. Ellie Reynolds a 23 ans, et arrive Ă  Cedar Cove pour rencontrer Tom, un homme avec qui elle correspond depuis des mois et dont elle pense ĂȘtre tombĂ©e amoureuse. Maggie et Roy Porter sont lĂ  pour leurs premiĂšres vacances seuls sans les enfants. Ils espĂšrent retrouver la flamme de leur amour et regagner chacun la confiance de l’autre. Mais Maggie a un dernier secret Ă  lui avouer, qui pourrait bien faire Ă©clater son mariage

Une nouvelle chance (Debbie Macomber)
Times Square, le soir du Nouvel An. Lucie et Aren se rencontrent par hasard. Le coup de foudre est immĂ©diat ! Mais trĂšs vite, un coup du sort les sĂ©pare, les laissant sans aucun moyen de reprendre contact. Un an plus tard, Lucie est chef d’un nouveau restaurant au succĂšs retentissant et Aren travaille pour un grand quotidien de la ville. MalgrĂ© tous les mois qui ont passĂ©, ils n’ont jamais oubliĂ© cette belle soirĂ©e, et Shirley, Goodness, Mercy et Will, leurs anges gardiens, non plus. Pour aider le jeune couple Ă  se retrouver, ils vont cuisiner un projet fou : mĂ©langer un grand amour, une seconde chance et une bonne pincĂ©e d’espiĂšglerie. Un roman romantique et plein d’espoir digne des plus beaux miracle de NoĂ«l !
AUSSI DANS MA PAL : 
Constance 
Moloka’i 
Les Quatre GrĂąces
La femme qui décida de passer une année au lit
La tente rouge
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Des maisons d'édition, il y en a des TAS ! Mais des éditeurs passionnés comme ceux qui travaillent aux éditions Charleston.
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songedunenuitdete · 8 years ago
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Mars est dĂ©jĂ  entamĂ© depuis quelques jours mais il est encore temps de vous prĂ©senter les sorties de ce nouveau mois chez J’ai Lu !
⭐ Les titres en couvertures
⭐ Série Romans
L’architecte du sultan de Elif Shafak
NouveautĂ© – 01/03/17
Son résumé : 
Istanbul, XVIe siĂšcle. Le jeune Jahan, arrivĂ© clandestinement, Ă©volue dans la ville en compagnie d’un Ă©lĂ©phant blanc destinĂ© Ă  ĂȘtre offert au sultan Soliman le Magnifique. Il rencontre des courtisans, des gitans, des dompteurs, mais aussi la belle Mihrimah. Un jour, il attire l’attention de Sinan, l’architecte du roi.
Qui je suis de Charlotte Rampling et Christophe Bataille
NouveautĂ© – 01/03/17
Son résumé :
L’actrice raconte sa jeunesse, passĂ©e entre les garnisons britanniques et la France, ses impressions, ses souvenirs, les lieux et sa famille.
Une seconde chance de Dani Atkins
NouveautĂ© – 01/03/17
Son résumé :
Suite Ă  un terrible accident, la vie de Rachel est bouleversĂ©e. Le destin lui offre deux possibilitĂ©s : une vie de rĂȘve (bonheur, carriĂšre, famille) ou chaotique (malheureuse en amour et dans sa vie professionnelle, culpabilitĂ©). Quelle est la rĂ©alitĂ© ? Une histoire d’amour qui montre comment un mĂȘme Ă©vĂ©nement peut transformer la vie de diffĂ©rentes façons selon le chemin choisi.
Lola ou l’apprentissage du bonheur de AngĂ©lique BarbĂ©rat
NouveautĂ© – 15/03/17
Son résumé : 
MalgrĂ© le fait que Bertrand et Lola vivent enfin ensemble, le passĂ© s’incruste dans leur quotidien et perturbe leur bonheur. Bertrand, encore tourmentĂ© d’avoir Ă©tĂ© retenu en otage quelques mois en Afrique, n’arrive pas en parler Ă  Lola. Lola ne voit pas qu’il dĂ©rive. Mais le passĂ© occultĂ© finit par ressurgir : un enfant naĂźt, un test de paternitĂ© arrive, une colĂšre Ă©clate, un homme meurt.
⭐ Série Romans historiques
Inch Allah, tome 3 : Les cinq quartiers de la lune de Gilbert Sinoué
NouveautĂ© – 08/03/17
Son résumé :
Au lendemain du 11 septembre 2001, une nouvelle Ăšre troublĂ©e s’ouvre au Moyen-Orient. Cinq personnages, trois femmes et deux hommes, en sont les premiĂšres victimes, en Irak, en Syrie, Ă  Gaza et au Liban. L’espoir déçu des printemps arabes, le combat entre deux visions de l’humanitĂ©, l’une islamiste et l’autre occidentale, fait disparaĂźtre un monde.
⭐ Série Thriller
Les mortes-eaux de Andrew Michael Hurley
NouveautĂ© – 01/03/17
Son résumé :
Dans les annĂ©es 1970, en Angleterre, les Smith effectuent leur pĂšlerinage annuel avec leur paroisse. La famille prie pour la guĂ©rison de l’aĂźnĂ© des deux garçons, Andrew, dĂ©ficient mental. Quand les pĂšlerins arrivent dans une vieille bĂątisse sinistre, les villageois ne cachent pas leur hostilitĂ© et semblent se livrer Ă  d’obscures activitĂ©s nocturnes. Peu aprĂšs, Andrew paraĂźt guĂ©ri.
Une victime idéale de Val McDermid
NouveautĂ© – 22/03/17
Son résumé :
Dans une petite ville du Yorkshire, des femmes qui se ressemblent sont retrouvĂ©es mortes. Leur point commun : elles sont toutes blondes aux yeux bleus. Ce tueur pas comme les autres cherche en chacune de ses victimes la femme parfaite, amante soumise et mĂ©nagĂšre accomplie, avant de les massacrer avec la plus grande cruautĂ©. Au moment oĂč le meurtrier se prĂ©pare Ă  fondre sur sa future proie, Tony Hill se retrouve au coeur de l’enquĂȘte mais cette fois sur le banc des accusĂ©s. Le cĂ©lĂšbre profiler serait-il passĂ© de l’autre cĂŽtĂ© du miroir ? Dans ce thriller psychologique Ă  glacer le sang, le duo formĂ© par Tony Hill et Carol Jordan est plus que jamais mis en pĂ©ril.
⭐ Série Thriller
Nous rĂȘvions juste de libertĂ© de Henri Loevenbruck
NouveautĂ© – 29/03/17
Son résumé :
«Nous avions Ă  peine vingt ans et nous rĂȘvions juste de libertĂ©.» Ce rĂȘve, la bande d’Hugo va l’exaucer en fuyant la petite ville de Providence pour traverser le pays Ă  moto. Ensemble, ils vont former un clan oĂč l’indĂ©pendance et l’amitiĂ© rĂšgnent en maĂźtres. Ensemble ils vont, pour le meilleur et pour le pire, dĂ©couvrir que la libertĂ© se paie cher. Nous rĂȘvions juste de libertĂ© rĂ©ussit le tour de force d’ĂȘtre Ă  la fois un roman initiatique, une fable sur l’amitiĂ© en mĂȘme temps que le rĂ©cit d’une aventure. Avec ce livre d’un nouveau genre, Henri Loevenbruck met toute la vitalitĂ© de son Ă©criture au service de ce road-movie fraternel et exaltĂ©.
⭐ Série Science-Fiction
Wild cars, tome 2 : Aces High avec la contribution de George RR Martin
NouveautĂ© – 08/03/17
Son résumé :
Le deuxiĂšme volume de nouvelles reprĂ©sentant le monde post-apocalyptique et ravagĂ© d’aprĂšs 1946, l’annĂ©e du dĂ©clenchement de l’épidĂ©mie meurtriĂšre. Les rescapĂ©s se divisent en deux catĂ©gories : les aces, ĂȘtres dĂ©veloppant d’étranges capacitĂ©s, et les jokers, rachitiques rebuts de l’humanitĂ©. Avec l’aide d’une organisation maçonnique, un extraterrestre vient les affronter.
⭐ Série Fantasy
Le fou et l’assassin, tome 3 : La quĂȘte de vengeance de Robin Hobb
NouveautĂ© – 08/03/17
Résumé du tome 1 :
FitzChevalerie Loinvoyant, bĂątard de la famille rĂ©gnante des Six-DuchĂ©s et assassin royal Ă  la retraite, coule des jours paisibles dans sa propriĂ©tĂ© de FlĂ©trybois avec son Ă©pouse Molly et ceux de leurs enfants qui ne sont pas encore partis de la maison. Mais, lors d’une fĂȘte de l’Hiver, trois inconnus se prĂ©sentent en se disant mĂ©nestrels puis s’enfuient dans une tempĂȘte de neige, tandis que, la mĂȘme nuit, une messagĂšre envoyĂ©e Ă  Fitz disparaĂźt dans d’inquiĂ©tantes circonstances sans avoir eu le temps de lui remettre son message. Fitz voit sa vie se dĂ©faire, ses enfants s’en aller, sa femme vieillir et sombrer dans la dĂ©mence, se dĂ©couvrant enceinte Ă  plus de cinquante ans, alors que lui garde toute sa jeunesse et son ardeur grĂące Ă  l’Art. Et il se dĂ©sole de n’avoir plus reçu de nouvelles du Fou depuis quinze ans
 Mais, pendant un voyage au royaume des Montagnes oĂč il se rend avec Kettricken, le roi Devoir et la reine Elliania, il retrouve la maison qu’occupait jadis son ami avec Jofron, fabricante de marionnettes. Cette derniĂšre lui rĂ©vĂšle que le Fou lui a Ă©crit Ă  plusieurs reprises, alors qu’il n’a jamais rien reçu. Une question le taraude alors : et si c’était lui qui avait envoyĂ© en ultime recours la messagĂšre assassinĂ©e ?
Royaume de vent et de colĂšres de Jean-Laurent Del Socorro
NouveautĂ© – 08/03/17
Résumé :
En 1596, les soldats du roi Henri IV arrivent aux portes de Marseille, en rébellion. Plusieurs destins se croisent dans une auberge de la cité, au coeur des événements : un chevalier rongé par les regrets, une mercenaire devenue mÚre de famille, et deux magiciens homosexuels en fuite.
⭐ Série Semi-poche imaginaire
La cité des anciens, intégrale I de Robin Hobb
NouveautĂ© – 01/03/17
Son résumé :
Dans le DĂ©sert des pluies, Alise et Thymara s’apprĂȘtent Ă  rencontrer les dragons, l’une pour assouvir sa soif de connaissances, l’autre pour les conduire jusqu’à la lĂ©gendaire citĂ© des Anciens, Kelsingra.
Vampire for Hire, la trilogie de J.R.Rain
NouveautĂ© – 22/03/17
Son résumé :
Six ans auparavant, l’agent fĂ©dĂ©ral Samantha Moon avait une vie parfaite. Un accident changea sa vie professionnelle et personnelle pour toujours. Son entourage pense qu’elle a dĂ©veloppĂ© une maladie de peau trĂšs rare, l’obligeant Ă  se prĂ©munir du soleil et Ă  travailler seule. Quand l’avocat Kingsley Fulcrum la mandate pour trouver celui qui a voulu l’assassiner, elle est intriguĂ©e.
Rebecca Kean, Tome 6 : Origines de Cassandra O’Donnell
NouveautĂ© – 29/03/17
Son résumé :
Rebecca Kean, une sorciĂšre condamnĂ©e Ă  mort, mĂšre d’une jeune fille de 9 ans, s’installe Ă  Burlington en espĂ©rant vivre en toute tranquillitĂ©. Elle se rend vite compte que cette ville est dirigĂ©e par des crĂ©atures fantastiques qui protĂšgent leur existence et font respecter les lois. Rebecca doit s’associer Ă  eux pour assurer son anonymat et, en Ă©change, rĂ©soudre une affaire d’enlĂšvement.
 ⭐ Documents, récits, biographies
Ma compagne, mon bourreau et Maxime Gaget
NouveautĂ© – 08/03/17
Son résumé : 
A la veille d’un procĂšs retentissant, Maxime Gaget revient sur ses dĂ©boires conjugaux. Cet homme, jeune trentenaire sans histoire rencontre Nadia sur Internet. Lorsqu’il emmĂ©nage avec elle, Nadia accapare ses moyens de paiements, le menace et le coupe de son entourage. A la violence psychologique, s’ajoute trĂšs vite la violence physique.
La peine d’ĂȘtre vĂ©cue de Priscille DĂ©borah
NouveautĂ© – 08/03/17
Son résumé :
Priscille Deborah pensait avoir tout pour ĂȘtre heureuse, jusqu’au jour oĂč elle se jette sous une rame de mĂ©tro. Survivante et handicapĂ©e, elle tĂ©moigne.
Le code secret de l’univers de Igor et Grichka Bogdanov
NouveautĂ© – 08/03/17
Son résumé :
Une rĂ©flexion sur le code cosmique qui pourrait rĂ©gir et structurer l’Univers, une quĂȘte de ce qui vient au-delĂ  de la matiĂšre, l’énergie et l’information. Une thĂ©orie qui propose une explication de l’origine de l’Univers.
ZĂ©ro sucre de DaniĂšle Gerkens
NouveautĂ© – 08/03/17
Son résumé :
Une enquĂȘte qu’a menĂ©e l’auteure Ă  partir du constat que de plus en plus de mĂ©decins prĂŽnent une baisse drastique, voire un arrĂȘt complet de la consommation de sucre. Avec une mĂ©thode pour arrĂȘter ou diminuer de façon non contraignante sa consommation de sucre.
Encore une fois J’ai Lu nous propose des titres trĂšs diffĂ©rents, il y a en a pour tous les goĂ»ts ! Certains vous intĂ©ressent-ils ? Pour ma part il est prĂ©vu que je lise Une seconde chance et l’intĂ©grale de la trilogie Vampire for Hire ! J’ai hĂąte !!
[Article - Lily] En ce premier samedi de Mars, je vous propose de découvrir ce qui vous attend j'ai chez Lu ! Bonne matinée Mars est déjà entamé depuis quelques jours mais il est encore temps de vous présenter les sorties de ce nouveau mois chez J'ai Lu !
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universallyladybear · 6 years ago
Text
Tout confort, pour un canapĂ© 2 places en tissu BRENDA – Gris et passepoil bleu clair 449,99 € prix constatĂ©* : 1 237 € le 2 places Ajouter au comparateur – 5 coloris CAPITONNE 5 coloris 599,99 € prix constatĂ©* : 749 € le la suite Quelle densitĂ© pour un couchage occasionnel ou rĂ©gulier, en cuir, peuvent aussi ĂȘtre convertible !
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