#Liberté sexuelle
Explore tagged Tumblr posts
Text
Aucun respect
Dans un roman aussi caustique que documenté, Emmanuelle Lambert retrace son emploi à l'IMEC et son travail avec le couple Robbe-Grillet. L'occasion de gratter le vernis de l'institut et celui du grand écrivain. On y apprend et on s'y amuse beaucoup.
En lice pour le Prix Goncourt 2024 En lice pour le Prix Goncourt des Lycéens 2024 En lice pour le Prix Goncourt des détenus 2024 En deux mots Un stage, puis un emploi dans un institut qui rassemble les archives des écrivains va permettre à l’autrice de s’occuper de nombreux documents mais surtout d’approcher le couple Robbe-Grillet, objet de ses recherches. Un portrait tout en nuances et en…
View On WordPress
#Alain Robbe-Grillet#Apprentissage#archives#écrivain#émancipation#études#Catherine Robbe-Grillet#chef#Collègues#fantasmes#Humour#IMEC#impertinence#Initiation#intellectuels#liberté#Liberté sexuelle#littérature#machisme#manuscrit#Normandie#nouveau roman#Paris#Rencontre#sadomasochisme#stagiaire#Voyage#œuvre
0 notes
Text
Le trauma et les réactions traumatiques- Qu'est ce que c'est
Dans cet article nous parlerons des traumas avec la vision purement clinique. Cette vision est déjà relative à un grand nombre d’entre nous. Définition : En clinique, le trauma est un évènement qui cause le décès ou un dommage à l’intégrité physique et/ou morale et aux droits fondamentaux. Le trauma peut avoir plusieurs origines : technologique, humaine, naturelle, une origine intentionnelle…
View On WordPress
#angoisses#anxiété#conscience#hystérie#intégrité#liberté#stress#système nerveux autonome#systeme nerveux central#therapie brève#trauma#trauma sexuel#violence
0 notes
Text
Combien d'hommes j'ai entendu dire qu'ils voulaient une femme intelligente dans leur vie !
J ' aimerais les encourager à y penser. Les femmes intelligentes Elles prennent des décisions elles-mêmes, ont leurs propres désirs et fixent des limites. Tu ne seras jamais le centre de leur vie parce qu'elle tourne autour de soi.
Une femme intelligente ne sera pas manipulée ou fait chanter, elle n'avale pas la culpabilité, elle prend des responsabilités.
Les femmes intelligentes remettent en question, analysent, argumentent, elles ne sont pas satisfaites, elles avancent.
Ces femmes ont eu la vie avant vous et elles savent qu'elles continueront à l'avoir quand vous partirez. Elles sont là pour vous prévenir, pas pour demander la permission.
Ces femmes ne cherchent pas un leader à suivre chez leur partenaire, un père qui résoudra leur vie ou un enfant à sauver. Elles ne veulent pas vous suivre ou diriger le chemin vers personne, elles veulent marcher à vos côtés.
Elles savent que la vie sans violence est un droit, pas un luxe ni un privilège.
Elles expriment la colère, la tristesse, la joie et la peur, car elles savent que la peur ne les rend pas faibles, de la même façon que la colère ne les rend pas ′′ masculins ".
Ces deux émotions et les autres, ensemble, la rendent humaine.
Et maintenant Une femme intelligente est libre car elle s'est battue pour sa liberté.
Mais ce n'est pas une victime, c'est une survivante.
N ' essayez pas de l'enchaîner parce qu'elle saura comment s'échapper.
Rappelez-vous que vous l'avez déjà fait avant.
La femme intelligente sait que sa valeur n'est pas dans l'apparence de son corps ou ce qu'elle en fait.
Réfléchis deux fois avant de la juger par âge, hauteur, volume ou comportement sexuel, car c'est de la violence émotionnelle et elle le sait.
Donc... avant d'ouvrir la bouche pour dire ce que tu veux à une femme ′′ intelligente ′′ dans ta vie, demande-toi si tu es vraiment fait pour s'adapter à la sienne.
* Gabriel García Marques *
50 notes
·
View notes
Text
Journal
Il y a 20 ans, tout commençait entre nous. Nous nous sommes connus sur un site de discussion, comme il y en avait beaucoup au début des années 2000. J'étais en vacances dans le sud et nous avons dialogué jusqu'à mon retour en Normandie. Mon divorce venait tout juste d'être prononcé. Nous nous sommes rencontrés au début du mois d'aout et cela a tout de suite fonctionné entre nous. Mais ce mois ci, il y avait les jeux olympiques et ta passion pour le sport est passé avant ton envie de me voir. Vexée, je t'ai dis que je préférais qu'on en reste là. Le 29 aout, tu m'as envoyé un message pour me souhaiter ma fête et le dialogue a reprit. Tu es venu me voir le 6 septembre et nous ne nous sommes plus jamais quitté. Les premiers mois ont été superbes. Nous sortions beaucoup, tu m'emmenais faire des choses que je n'avais jamais faites comme voir un concert d'artiste que je ne connaissais pas (Mes souliers sont rouges) aller à La nuit du Zapping au Zenith de Caen, ou voir des matchs de Hockey sur glace. Nous aimons les choses simples alors nous faisions des pique niques en bord de mer, avec juste du pain et du camembert. Nous allions aussi dans pas mal de restaurant découvrir la cuisine du monde. Et comme je vivais toujours sous le même toit que mon ex-mari, nous allions dormir à l'hotel régulièrement. Tu prévoyais toujours une surprise. Un soir, je suis arrivée après toi et tu avais pavé le couloir de l'hotel de pétales de roses, jusqu'à la chambre ou je devais te retrouver. Quelques mois plus tard, j'ai emménagé dans ta ville, dans la même rue. Mais comme mes 3 enfants vivaient avec moi et que toi, tu n'avais jamais eu d'enfant, nous avons préféré garder chacun notre appartement au cas où. En 2007, nous avons eu notre fils mais nous avons tout de même conserver nos appartements. La naissance de notre fils a changé beaucoup de chose dans notre couple et 3 ans plus tard, afin d'éviter la rupture, nous avons pris la décision de nous laisser la liberté de vivre d'autres choses. Nous avons vécu ainsi quelques années. En 2020, mes 3 premiers enfants étant partis de la maison et le confinement arrivant, tu es venu t'installer chez moi. Nous avons continuer à faire chambre à part. De toute façon, il y avait déjà quelques années qu'il n'y avait plus de relation sexuelles entre nous. Nous sommes des amis, des parents mais plus des amants et probablement plus des amoureux. Nous aimons la façon de vivre de l'autre, le calme, la tranquillité et l'âge venant, nous avons décidé de nous marier, pour mettre à l'abri celui de nous deux qui restera en vie le plus longtemps. Demain, je porterai ton nom. Même si nous sommes très différents dans nos gouts et nos passions, nous en avons une qui nous lie depuis près de 18 ans, notre fils ! Je sais, parce que tu me l'a prouvé, qu'en cas de coup dur, mes enfants et moi nous pouvons compter sur toi. Désormais, nous avons un petit-fils qui, même s'il est le fils de mon fils t'appelle Papi et se moque bien qu'il n'y ait pas de lien du sang entre vous. Alors oui, il me manque la tendresse, la passion, l'amour, les mots doux, les compliments, les câlins, la sensualité, le sexe, la séduction, les projets, les voyages à deux et tout ce qui se rattache au sentiment amoureux. Mais je sais à quel point les sentiments sont éphémères. On dit "Marriage plus vieux (et non pas pluvieux) mariage heureux" parce que justement, on a souvent fait une croix sur la folie de la passion que recherche encore les plus jeunes. Ce qui est important désormais, c'est la stabilité et la confiance et cela, tu me l'apporte jour après jour depuis 20 ans. Merci d'avoir pris soins de moi et de mes enfants. Merci d'être l'homme que tu es, avec tes qualités et tes défauts. Demain, ce sera OUI, pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la mort nous sépare.
21 notes
·
View notes
Text
Si l'engeance réprouvée se délecte lugubrement à souiller la liberté et la dignité humaine en déclarant l’éducation sexuelle à l’école "nécessité absolue", sachez que c’est au contraire un crime contre l’humanité, le massacre des innocents, on assassine les enfants…
https://www.tumblr.com/christian-dubuis-santini/738034043723055104/psychanalyse-enfance-et-sexualit%C3%A9-ou
7 notes
·
View notes
Text
Combien d'hommes ai-je entendu dire qu'ils désirent une « femme intelligente » dans leur vie !
Je les encouragerai à y réfléchir...
Les femmes intelligentes prennent des décisions elles-mêmes, elles ont leurs propres désirs et elles mettent des limites.
Tu ne seras jamais le centre de sa vie parce que celle-ci tourne autour d'elle-même. Une femme intelligente ne se laissera pas manipuler ni faire chanter, elle assume des responsabilités.
Les femmes intelligentes remettent en question, analysent, se disputent, ne se contentent pas et avancent. Ces femmes ont eu une vie avant toi et elles savent qu'elles continueront à l'avoir une fois que tu seras parti. Elle prévient, elle ne demande pas de permission.
Ces femmes ne recherchent pas dans le couple un leader à suivre, un papa qui résout la vie, ni un fils à sauver. Elles ne veulent pas te suivre ni marquer le chemin de personne !
Elles veulent marcher à côté de toi...
Elles savent que la vie sans violence est un droit, pas un luxe ni un privilège.
Elles expriment la colère, la tristesse, la joie et la peur de la même façon, parce qu'elles savent que la peur ne les rend pas faibles de la même façon que la colère ne les rend pas masculines. Ces deux émotions et les autres, toutes ensemble, la rendent humaine c’est tout.
Une femme intelligente est libre car elle s'est battue pour sa liberté. Elle n’est pas une victime, elle a survécu.
N’essaie pas de l'enchaîner car elle saura comment s'échapper. La femme intelligente sait que sa valeur ne réside pas dans l'apparence de son corps.
Penses-y à deux fois avant de la juger pour son âge, sa taille, son volume ou son comportement sexuel, car c'est de la violence émotionnelle et elle le sait.
Donc avant de dire que tu souhaites une femme intelligente dans ta vie, demande-toi si tu es vraiment prêt à t'intégrer dans la sienne...!!!
Gabriel Garcia Marquez
10 notes
·
View notes
Text
« L’homosexualité fleurit. La morale sexuelle a été supprimée. Les psychanalystes dirigent les hommes et les femmes dans leurs relations conjugales. Le bien et le mal, le juste et l’injuste n’existent pas. Dans les prisons, il y a seulement les criminels qui sont peu intelligents ou mal équilibrés. Les autres, de beaucoup plus nombreux, vivent en liberté. Ils sont mêlés de façon intime au reste de la population qui ne s’en offusque pas. »
Alexis Carrel, L’Homme, cet inconnu (1935)
6 notes
·
View notes
Text
Je crois que ce qui me pose le plus de problèmes (à titre personnel, pas de kink shaming) avec le death feedism, c'est que je vois le feedism comme une pulsion de vie. Un élan de joie. Certes, il pousse presque inévitablement à l'excès, mais l'excès n'est pas forcément un saut vers l'abîme.
Le feedism, c'est la gourmandise. Je fais ce post en français parce que malheureusement l'anglais n'a pas d'équivalent précis pour ce joli mot. La gourmandise, c'est le plaisir jouisseur de la bonne chère, sans le travers de l'avidité. C'est une tentation mutine, un pas de côté un peu osé. C'est le frisson galvanisant d'un pantalon dans lequel on ne rentre plus, l'exaltation de nouvelles vergetures. C'est une accumulation de petits riens, une transgression délectable, d'autant plus que pour le commun des mortels elle est complètement décorrélée de la puissance sexuelle qu'elle représente pour ses adeptes.
Et puis c'est le goût pour le goût, le plaisir assumé pour la nourriture. La réunion des plaisirs de la chair et de la chère, leur intrication profonde. Manger d'abord pour manger, savourer, se donner le temps et la liberté de s'adonner à un plaisir décrié par la culture du régime. Mais aussi manger pour grossir, grossir pour grossir. Accepter de prendre plus de place. S'étendre. Ici l'anglais est plus pratique : combien de jeux de mots sur l'ambiguïté de "personal growth". Et bien sûr, manger et grossir pour assouvir un désir sexuel, profond, inconnu, primitif, comme imprimé en nous-mêmes, dans notre propre préhistoire : une préhistoire intime, psycho-sexuelle, personnelle, qui varie selon chacun de nous, mais aussi un besoin à la fois si simple et si entier qu'il paraît provenir des prémices de l'espèce humaine elle-même : survivre par l'alimentation et la reproduction de l'espèce. Choisir la fertilité, le plein, le rond. La synthèse étrange et pourtant si logique qu'opère notre fétichisme entre la sexualité et la nourriture rappellent que dans l'Antiquité gréco-romaine, les plaisirs n'étaient pas partitionnés comme ils le sont aujourd'hui. On parle souvent du fait qu'il n'y avait pas d'homosexualité dans la Grèce et la Rome antique, malgré la quantité de comportements que l'on qualifierait aujourd'hui d'homosexuels. C'est tout simplement parce que le concept de sexualité n'existait pas : ce plaisir n'était pas distinct des autres. Le feedism, c'est en quelque sorte la refondation fétichiste de l'idéal hédoniste. Le syncrétisme des tordus qui s'invite au symposion.
C'est une perte de contrôle revendiquée, parfois un manifeste : mais je préfère quand elle reste une force de vie, un cri de liberté qui enjoint à faire fi des convenances, des injonctions à la fois à la mesure, à la minceur et à la productivité, pour revendiquer un droit au plaisir qui sort de la morale de notre époque qui instaure un contrôle des corps à l'aune de l'exigence de rentabilité, plutôt que quand le feedism devient l'allégorie de l'hubris humain, où la gourmandise pécheresse atteindrait des sommets qui se trouveraient punis dans la maladie ou la mort.
Ce ne sont que des vues personnelles ; je sais bien que les gens qui choisissent le death feedism ne sont pas responsables de la couleur plus sombre que prennent leurs désirs, même si le feedism fait parfois des rares fétichismes à se vivre presque systématiquement comme un mode de vie.
Sur ce, continuez tous à vous gaver, ça vous va bien ;)
#queer feedism#feedisme#feederisme#grossir#french feedee#french feeder#feedism thoughts#feedism français#fétichisme#gainingweightonpurpose#french weight gain#vivreavecunfétichisme
34 notes
·
View notes
Text
– Et vous, vous êtes dans quoi au juste ? – Dans le réchauffement. – Ah c’est bien ça, non ? Ça a bien le vent en poupe cette histoire-là, non ? – Vous parlez de vent ? Nous, c’est tornades et typhons ! On n’a pas une minute à nous : fonte des glaciers par ici, stress hydrique par là, El Niño qui tempête dans le Pacifique, les ours polaires qui se noient dans l’Atlantique... La puissance éditoriale tous formats, les images en boucle... vous n’imaginez pas le boulot.
– Ah oui, quand même. Et vous Madame ? – Moi ? Oh moi je gère les épidémies mondiales. – Attendez... le … c’était vous ? – Oui, Monsieur. – Ahhhh, alors là… Chapeau bas, Messieurs ! Nous avons avec nous la personne qui a mis le monde sous cloche pendant deux ans ! – Vous me gênez. Le dossier était fort bien préparé, je dois dire. Un cas exemplaire de collaboration public/privé au niveau transnational. – Vous parlez le Mandarin alors ? – Oui, mais avec un fort accent texan.
– Et vous, Monsieur ? Vous êtes sur quel type de dossier ? – Moi ? Comment dire... c’est un peu dilué au début, mais ça finit généralement en apothéose. – Vous nous cuisinez, là ! Allez ! Dites tout ! – Tout ? Mais vous voulez ma mort ! Bon. Alors il s’agirait plutôt de faire bouger les gens sur des thématiques sociétales au début, et puis on redessine une carte politique à partir de quelques incidents, un peu de corruption, deux ou trois bavures bien mises en scène... bref, de quoi reprofiler les institutions en contrôlant progressivement la liberté de mouvement, d’expression, de transaction. – Je l’ai ! Vous, vous êtes dans les révolutions de couleur ! Un fond de CIA, quelques graines de Sorros, une bonne dose de LGBTQ+ et hop, c’est parti ! – Oui, c’est un peu raccourci mais je reconnais qu’il y a de cela. Et des dossiers pédophiles aussi – je me permets de rajouter cette info car c’est déterminant et ça dépasse mon seul champ de compétence opératif.
– Et vous jeune homme ? Vous ne dites pas grand chose. Quel peut bien être votre pré carré ? – Oh moi ? Je suis une compétence transverse. – “Transverse” ? C’est une nouvelle orientation sexuelle ? – Certes non. Je travaille un peu pour vous tous en fait. – Voyez-vous cela ! – Je m’occupe principalement des médias. De leur contrôle, pour être précis. L’intitulé du poste que j’occupe est “Régulateur des Pressions”. Nous avons à notre disposition divers leviers que nous actionnons plus ou moins, isolément ou de façon groupée. Tout dépend du résultat recherché. – Des leviers dites-vous ? – Oui, c’est cela même. Pour vous donner des exemples, nous avons le levier “viols et attouchements” pour les vieux journalistes un brin trop rigides. Nous avons aussi “fraudes fiscales et revenus dissimulés” pour les patrons de chaîne qui se croient intouchables. Ou alors “bashing racial et harcèlement social” pour les présentatrices indisciplinées. Quand vous les contrôlez, vous avez un œil sur tout. – Je suppose que vous avez également la main sur les financements ? – Oui aussi, mais c’est une collègue qui s’en occupe. Les financements publics, les dettes effacées, les rachats convenus, c’est son truc ! – Eh bien nous vous remercions pour votre soutien zélé ! Franchement, vous nous aidez bien ! – Quand on peut rendre service...
J.-M. M.
12 notes
·
View notes
Text
Devenir et être une "Hotwife"... (envie d'écrire tous mes désirs de mari et de partager avec toutes et tous ce que je crois bon , vrai et juste pour cet art de vivre, ce style de vie, voire philosophie de vie...Ouvert pour en discuter avec toutes et tous)
Être une hotwife.
Être une femme, être « sa » femme » ...
Osez mesdames, osez vivez libre, être juste une femme... pas que la femme ou la mère de ...
Être une hotwife est une des meilleures pratiques pour vivre libre et s’épanouir en tant que femme, que ce soit sexuellement ou humainement.
Rendez vos maris fous de désir en leur donnant le juste mélange de plaisirs, de taquineries et d’assurance...
Non seulement prenez la liberté et la variété de choisir vos propres partenaires sexuels, voire en complicité en vous faisant aider de vos maris
Donnez-vous le bonheur et le plaisir d’avoir un mari qui brûle de désir....
Le terme hotwife pour toute femme est pour celles qui jouissent de la vie et surtout de la permission (sans notion de domination mâle dans ce terme) de jouer, de s’amuser, de taquiner, d’être complice, de vivre la complicité, d’aimer, de profiter et de jouir sans réserve de la vie qui passe tellement vite, trop vite...
Sortir, s’amuser, vivre, être libre, sourire, rire...
Voilà, selon moi, ce dont doit être composé la vie d’une femme dès ou lorsqu’elle peut...
Aussi, au travers quelques posts ici et d’une synthèse de ma vie d’homme « d’expérience » (pardonnez-moi cette coquetterie d’homme déjà âgé au regard de la société), j’essayerai de partager avec vous quelques « pratiques » simples vous permettant d’être une hotwife sans souci du regard des autres et pour le bonheue de vos maris, de vos amants et surtout le vôtre... !
Je crois vraiment au développement de ce style de vie aujourd’hui et plus encore pour demain cherchant et allant vers l’épanouissement personnel.
Le style de vie « Hotwife » est selon moi une pratique que tout couple tout à la fois heureux, sain et rationnel devrait adopter... !
En premier, le jeu du contact visuel : rien n’éveillera et ne taquinera plus votre mari qu’un contact visuel fort avec lui et un homme charmant qui vous plait...Il n’y a pas que lui, et il le sait, sur terre... !.
Allez, jouez de l’un à l’autre souriez, vous êtes magnifique !
Le contact visuel dit : « Regardez-moi! , oui, vous, vous deux et les autres s’ils veulent, mais vous regardez-moi !»
Impossible alors pour eux d’ignorer ou de banaliser ce qui se passe.
Le contact visuel peut être doux, flash, intense ..., selon votre style et le message que vous essayez d’envoyer... Du plus sexy au plus hot et vibrant...
Par exemple, fermer les yeux pendant longtemps ou détournez ingénument le regard, puis faire un clin d’œil et sourire juste avant de détourner à nouveau le regard.
Plaisirs et désirs assurés au rendez-vous lors de n’importe quelle soirée ou situation quand vous êtes en couple...
Vivez l’instant...Un déplacement professionnel à l’hôtel, une invitation à diner, une danse, ...
Vivez l’intensité , l’émotion, le désir...libre d’être vous, libre d’être entière, passionnée, libre et libérée...Puis revenez vers l’homme de votre vie...Dites lui ce que vous avez ressenti...Partagez avec lui...Faites lui revivre vos émotions, vos ressentis...Dites- lui que vous l’aimez, que vous aimez plus que tout de vivre à ses côtés et qu’il vous laisse vivre votre vie tout en la partageant avec lui...Qu’il est l’homme le plus désirable de votre vie, l’homme aimé, l’homme aimant...Que vous vous sentez si unique et comme avec aucun autre, si belle, si libre à ses côtés.
Montrez lui l’amour qu’il sait vous donner, même quand il n’est pas là, parfois loin, mais toujours à vos côtés quoiqu’il arrive, quoiqu’il vous arrive...
8 notes
·
View notes
Text
vous vous souvenez la fois où astier a parlé de comment arthur a grandit à rome dans une "liberté sexuelle ABSOLUE" mdr? pardon mais c'est sûr que mani et arturus ont fait touche-pipi au moins une fois dans leur vie and i live for it
39 notes
·
View notes
Text
« Du point de vue amoureux Véronique appartenait, comme nous tous, à une génération sacrifiée. Elle avait certainement été capable d’amour ; elle aurait souhaité en être encore capable, je lui rends ce témoignage ; mais cela n’était plus possible. Phénomène rare, artificiel et tardif, l’amour ne peut s’épanouir que dans des conditions mentales spéciales, rarement réunies, en tous points opposées à la liberté de mœurs qui caractérise l’époque moderne. Véronique avait connu trop de discothèques et d’amants ; un tel mode de vie appauvrit l’être humain, lui infligeant des dommages parfois graves et toujours irréversibles. L’amour comme innocence et comme capacité d’illusion, comme aptitude à résumer l’ensemble de l’autre sexe à un seul être aimé, résiste rarement à une année de vagabondage sexuel, jamais à deux. En réalité, les expériences sexuelles successives accumulées au cours de l’adolescence minent et détruisent rapidement toute possibilité de projection d’ordre sentimental et romanesque ; progressivement, et en fait assez vite, on devient aussi capable d’amour qu’un vieux torchon. Et on mène ensuite, évidemment, une vie de torchon ; en vieillissant on devient moins séduisant, et de ce fait amer. On jalouse les jeunes, et de ce fait on les hait. Cette haine, condamnée à rester inavouable, s’envenime et devient de plus en plus ardente ; puis elle s’amortit. »
Michel Houellebecq
3 notes
·
View notes
Text
Forcées au silence :
Les Femmes en Afghanistan
Tout d’abord, afin de comprendre la situation actuelle des femmes en Afghanistan, il faut retourner en 1992. L’Afghanistan se retrouve au cœur de conflits militaires et de difficultés économiques dans lequel l’application de la Charia est mise en place; considérée comme « le chemin pour respecter la loi divine » en Afghanistan, en occident elle est considérée comme tout l’inverse car certains aspects sont évalués comme incompatible avec les valeurs des Droits de L’homme, notamment en ce qui concerne la liberté d’expression, la liberté de croyance, la liberté sexuelle mais surtout la liberté des femmes. Cependant, c’est à l’arrivée des Talibans au pouvoir en 1996, que la situation se renforce. Le pouvoir des Talibans en Afghanistan se fait de plus en plus répressif auprès de sa population; les droits des femmes régressent, elles n’ont plus l’autorisation d’étudier ou encore d’exercer un métier, le port de la burqa autrefois optionnel devient alors obligatoire sous peine d’être lynchées par les Agents du Ministère pour la Promotion de la Vertu et la Répression du Vice (ayant existé le temps du pouvoir des talibans). Quelques temps après l’attentat du 11 septembre, les États-Unis avec la collaboration des pays occidentaux, partenaires de l’OTAN déploient leurs forces militaires et chassent les talibans du pouvoir. Malgré la chute des Talibans au pouvoir, la situation des femmes afghanes ne s’améliorent pas pour autant, en effet sous la présidence d’Hamid Karzaï entre 2001 et 2014, les violences faites aux femmes ne font qu’augmenter. C’est alors en 2015 que le monde se retrouve en émoi face au lynchage d’une jeune femme de 27 ans du nom de Farkhunda Malikzada, publiquement assassinée par une foule à Kaboul à la suite d’accusations mensongères. Ce meurtre a attiré l’attention sur la situation des femmes en Afghanistan et a suscité le questionnement quant au traitement de leurs droits.
Retour au 15 août 2021, 20 ans après la chute des talibans, ils rentrent à Kaboul et reprennent le pouvoir. Le nouveau régime pleins de promesses sur leur « modernisation » cependant les faits rattrapent vite les dires et les déclarations. Le secrétaire général de l’ONU s’exprime sur la situation et montre son inquiétude face à la perte dite « attendue » des droits des femmes « durement acquis ». Ses inquiétudes sont alors confirmées lorsque les talibans retournent progressivement à un État consistant à la suppression de la femme dans le monde politique mais aussi tout simplement à la suppression de son identité car toujours affiliée à un homme pour montrer son appartenance « la fille de… »; « la sœur de… ». En dépit, d’un gouvernement autoritaire l’ancien régime possédait un système judiciaire fonctionnel dans lequel pendant 20 ans, 270 femmes magistrates travaillèrent. Le nouveau régime, décide d’adopter la loi du talion : Œil pour Œil ( -> régime qui se repose sur la vengeance d’anciennes juges traquées par des hommes qu’elles avaient fait condamner pour viols ou alors meurtres, généralement sur les femmes). Peu à peu, une répression progressive a lieu et les actes d’intimidation à l’égard des femmes s’intensifient. C’est le début de la guerre des talibans contre leurs ennemis numéro 1 : les femmes.
Est alors marqué d’une pierre blanche la date du 5 novembre 2021, 4 cadavres de manifestantes sans vie sont retrouvées, corps criblés de balle, les suspects sont arrêtés, cependant pour la poétesse de renom Hoda Khamosh, un seul coupable serait à la tête de ce féminicide est ces coupables seraient les talibans. En dépit des contestations et des manifestations, la peur s’installe dans le cœur des afghanes; leurs rencontres dites féministes sont de moins en moins fréquentes. C’est alors que le monde observe l’effacement de l’identité des femmes afghanes dans les espaces publiques de certains quartiers de Kaboul mais aussi de la vie citoyenne. Ainsi l’objectif des talibans est atteint aux yeux du monde entier. De fil en aiguille, leurs droits leur sont retirée et elle sont empêchées d’accès aux mêmes opportunités d’éducation que les hommes, en 2022, les écoles secondaires pour filles sont fermées. Au mépris de leurs propres déclarations, sur leur soi-disant « respect » des droits des femmes, les talibans réinstallent le port de la burqa de manière obligatoire de la même façon qu’au premier régime. « La burqa n’est pas mon hijab » devient un symbole de protestation et de confrontation contre ce régime oppressif. C’est le retour d’une époque sordide, souvent survolée en vue des progrès effectués sur les droits des femmes.
Pas à pas de nouvelles restrictions sont instaurées tout d’abord centrés sur leurs libertés d’accès aux espaces publics; interdiction définitive aux jardins et aux parcs publics suivis ensuite par l’interdiction des bains publics et les salles de sport, puis, à une atteinte à leur accès à l’éducation; l’accès aux études supérieures devient à son tour interdit aux femmes. De 2023 à 2024, le régime taliban dérobe par étapes, les droits des femmes afghanes et ne se cache plus de sa volonté de les réduire à un état moindre, le leader de ce régime autoritaire Haibatullah Akhundzada proclame « Vous direz peut-être que la lapidation est une infraction des droits des femmes. Bientôt nous allons appliquer ce châtiment à l’adultère et lapider des femmes en public. Nous allons publiquement flageller des femmes »; ces propos choquants concentrent les yeux du monde entier sur la condition des femmes en Afghanistan. Le régime autoritaire les restreint de tout, chanter, lire en public, se déplacer sans mahram*, se maquiller, se parfumer, d’être entendu en public mais surtout de se parler entre elles. Cette loi de répression met l’Afghanistan au cœur des suscitations, certains viendraient même à comparer cette nouvelle loi et régime oppressants aux situations exposées dans le livre dystopique, La Servante Écarlate (The Handmaid’s Tale) , le régime taliban similaire à la dictature de Gilead et les servantes aux femmes afghanes.
Enfin, le régime taliban cherche un moyen de non seulement isoler les femmes afghanes de leur propre population mais également de les couper du monde extérieur.
*mahram : est, pour une femme musulmane, selon la charia, un « gardien », c'est-à-dire, un homme de sa famille avec lequel elle ne peut pas se marier.
Alexandra BITUMBU
2 notes
·
View notes
Text
Tous ceux qui ont l’air fou le sont réellement et plus de la moitié qui n’en ont pas l’air le sont. Les autres sont débiles…
Et s’il n’y avait pas d’autre choix pour le sujet humain que la folie ou la débilité mentale? La ligne tracée entre normalité et folie appartient à la folie. La folie c'est la liberté de concevoir la normalité de l'anormalité, tandis que la débilité mentale stigmatise toujours l’anormalité de l’anormalité.
Affaire de "petit a" qu'il faudrait attraper par le bon bout, s'il y en a un...
Dans son «Propos sur la causalité psychique», Lacan déclare que si la folie est part de l'être de l’homme, alors on ne peut plus en parler en terme de psychopathologie, d'autant que la débilité mentale se définit d’être ce qu'il advient pour le sujet ($) quand il flotte entre les discours (du fait de ne pas s’y être solidement arrimé, notamment parce qu’il n’a pas été en mesure de reconnaître le "petit a" qui boucle la formule du fantasme $<>a... l’homme ne peut "voir le monde" qu’à travers la fenêtre de son fantasme).
Lacan précise qu'il est "normal" d'être psychotique, "normal" d'être névrosé, "normal" d'être pervers - car ce sont des positions différentes et "normales" du sujet par rapport à la structure.
Mais il n'hésite pas à dire que «nous sommes tous fous» et que... «ne devient pas fou qui veut»!
Folie et psychose ne se recouvrent pas.
Revendiquer sa "normalité" n'est-ce pas un trait psychotique?
Le roi qui se prend pour le roi n’est il pas plus fou que le fou qui se prend pour le roi?
Pour la psychanalyse, la normalité, c'est la psychose.
Normal ça veut dire qu'il y a une norme, or il n'y a pas de norme sexuelle et c'est pour ça qu'on passe son temps à inventer des normes sociales. La norme mâle …superchérie des "féministes"! La pensée qu'il existerait un féminin en-soi et pour soi, hors d'atteinte du regard masculin, cette idée d'un Mystère à jamais insondable et inaccessible purement féminin est le fantasme masculin par excellence.
12 notes
·
View notes
Text
Wonder Woman : Symbole Éternel de la Force et de l'Émancipation Féminine
Wonder Woman : Symbole Éternel de la Force et de l'Émancipation Féminine
Wonder Woman n'est pas qu'un personnage de fiction. Elle est bien plus que cela. Depuis sa création, elle incarne la puissance, la liberté et l'indépendance que chaque femme porte en elle, parfois même à son insu. Diana, Princesse des Amazones, n'est pas seulement une héroïne sur grand écran, elle est un symbole intemporel de résilience et de justice dans la lutte des femmes pour leurs droits, leur sexualité et leur place dans un monde souvent gouverné par des forces patriarcales.
Créée à une époque où les représentations des femmes dans les médias étaient souvent réduites à des stéréotypes de douceur et de soumission, Wonder Woman a été, dès le départ, une révolution. Elle brise les normes et inspire. Forte, intrépide, elle se dresse contre l'oppression, non seulement pour sauver le monde, mais pour rappeler à chaque femme qu'elle possède cette même force intérieure. Elle est une guerrière, mais aussi un modèle de compassion, prouvant qu'être puissante ne signifie pas renoncer à la douceur ou à l'empathie.
Sur le plan de la liberté et de l'indépendance, Wonder Woman est un symbole puissant. Issue d'une société d'Amazones où les femmes règnent en maître, elle ne connaît pas la soumission. Elle fait ses choix en toute indépendance, s'éloignant d'une île isolée pour entrer dans le monde des hommes, non pas en quête d'approbation, mais pour imposer sa propre vision de la justice et de l'égalité. Elle n'a jamais eu besoin d'un homme pour la définir. Au contraire, elle remet constamment en question les attentes sociétales et montre que la véritable force réside dans l'authenticité et la conviction.
Quant à la sexualité, Wonder Woman incarne une révolution subtile. Sa force, son pouvoir et son charisme ne sont jamais utilisés pour séduire ou attirer l'attention des hommes. Sa sexualité n'est ni objet de contrôle ni de répression. Elle l’arbore avec une confiance silencieuse, mais inébranlable. Elle est maîtresse de son corps, de ses désirs, et son apparence, tout en étant glamour et séduisante, ne sert jamais à valider son pouvoir. Elle nous rappelle que l'émancipation sexuelle, c'est aussi pouvoir dire non aux normes imposées, et oui à ce que nous choisissons de vivre.
Wonder Woman est donc bien plus qu’une simple super-héroïne, elle est un modèle, un étendard pour toutes celles qui luttent pour l'égalité, pour la reconnaissance de leur valeur et de leur liberté. Chaque combat qu'elle mène est une métaphore des combats réels : celui contre l'injustice, le sexisme, l'oppression et la violence faite aux femmes. Elle nous enseigne que, pour être véritablement libre, il faut savoir se battre avec courage, croire en ses convictions et marcher avec fierté.
En tant que femmes, nous portons en nous un peu de cette Wonder Woman. Son histoire nous inspire à continuer de lutter, à ne jamais plier face aux adversités et à revendiquer ce qui nous revient de droit. Liberté, indépendance, force, sexualité, tout cela nous appartient. Wonder Woman, par son exemple, nous le rappelle constamment.
"Dans chaque femme, réside une guerrière."
Et Wonder Woman est la flamme qui ravive cette vérité en nous toutes.
Image : ma création AI
#wonder woman#gal gadot#ai artwork#review#personnages#dc characters#women warriors#women writers#women#diana prince#diana of themyscira#lynda carter#lgbtq community#queer#lgbt artist
3 notes
·
View notes
Text
"À mesure que la liberté politique et économique diminue, la liberté sexuelle tend à augmenter de manière correspondante. Et le dictateur ferait bien d'encourager cette liberté… cela aidera à réconcilier ses sujets avec la servitude qui est leur destin."
Aldous Huxley
7 notes
·
View notes