#Les Roseaux sauvages
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Wild Reeds (1994)
#wild reeds#les roseaux sauvages#movies#film#cinema#film edit#movie edit#gael morel#elodie bouchez#stephane rideau#frederic gorny#screencaps#mine
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Élodie Bouchez, Gaël Morel - Les roseaux sauvages, André Téchiné.
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Es ist so eine François-liebt-Serge-Serge-liebt-Maïté-Maïté-liebt-François. Und Henri.-Geschichte. Und dann sind sie auch noch uneinig über Politik (es spielt zur Zeit des Algerienkriegs), den Wert von Gefühlen, ihre Sexualität und den Sinn des Lebens. Sie haben es nicht leicht, die jungen Leute, aber sie geben sich Mühe, und es ist wohltuend undramatisch.
#Les Roseaux sauvages#Gaël Morel#Stéphane Rideau#Élodie Bouchez#Frédéric Gorny#Michèle Moretti#Film gesehen#André Téchiné#Der französische Film der Woche
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André Téchiné: Les roseaux sauvages (1994)
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Gaël Morel & Stéphane Rideau | Les roseaux sauvages - Réal. André Téchiné 1994
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"Quand te submerge la nostalgie, Repousse-la vers l'horizon extrême Oie sauvage fendant les nuages Tu portes en toi la morte-saison Roseaux gelés, arbres calcinés Ployés en bas sous l'ouragan Oie sauvage délivrée des haltes Libre enfin de voler, ou mourir... Entre sol natal et ciel d'accueil Ton royaume unique : ton propre cri."
François Cheng
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Les Roseaux Sauvages / Wild Reeds, André Téchiné. 1994.
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Resonancias: Arrête avec tes mensonges (Olivier Peyon, 2022), Les roseaux sauvages (André Téchiné, 1994)
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Divine
hurle à la nuit les candeurs les rancœurs qui te tissent au naufrage hurle à la nuit tes ruades sauvages cavalcade cavalière du luxe de la luxure blanche exaltée aux frontières de la passion maligne j'ai toujours cette photo de toi prise de haut de toi nue sur le drap couvrant le vieux matelas échoué sur le plancher depuis près de cinquante ans toi sur le flanc et ton regard qui transperce tout lumière de chapelle et corps de nymphe vue d'en haut car par dessus les balcons escarpés de l'Olympe lumière chaude et saturée de sublime comme tes rugissements à la nuit et tu chavires... tu chavires ma beauté mille nénuphars blancs et roses tu chavires je te suis sous la lune dans les labyrinthes du jardin botanique. ivresse de la chasse à la chair ivresse ! des égarements tentaculaires consommer le fruit de ton élégiaque grâce je cherche ton odeur entre la roseraie et les mares de fleurs aquatiques poissons électriques roseaux et lucioles madone fais moi Saint que je goutte au plus subtil des plaisirs fais moi sein que je puisse blasphémer en croquant ta chair blanche crème de nuit crème de vie je veux chuter des jardins suspendus à ta grandeur en buvant le nectar interdit fais moi ange que je puisse couper mes ailes et les dévorer comme un vulgaire insecte hurle à la nuit tes étreintes tragiques et l'étoile qui se tisse autour de tes tremblements oniriques cavalière du luxe de la luxure blanche enrobe moi de miel et d'ambroisie et mes ailes coupées saignant à me rendre exangue fixeront mon regard médusé sous la canopée de toutes tes beautés o ma douce poissons électriques mensonges botaniques un grenouille couronnée me fait signe de la suivre elle est mon lapin blanc mes ailes en sang je vais de branches en branches sous la canopée de tes désirs inavouables ton odeur... ton odeur Madone hurle une dernière fois ma divine hurle à la nuit tes errances en partance et laisse moi encore rien qu'une fois admirer ton corps je suis blême de blasphème sauve ton âme belle guerrière des plaisirs étouffés que l'on mène va va ! et laisse moi errer dans les labyrinthiques espoirs d'un avenir avec toi je le sais tu le sais tout ira à la nuit même la chair blanche ou bleue... même l'amour fou ou l'amour pieu
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Vénérer Pan
Dans la mythologie grecque, Pan (en grec ancien Πάν / Pán « tout », anciennement « campagnard » selon certains écrits, ou, analogiquement, de πάειν / páein « faire paître » ; d'une racine IE du sens de « gonfler », « faire croître ») est une divinité de la nature, protectrice des bergers et des troupeaux. Il est souvent représenté comme une créature chimérique, mi-homme mi-bouc, à l'image des satyres dont il partage la compagnie.
Origine et étymologie
Pan, dont le nom reconstruit est *Péh₂usōn, est l'un des rares noms divins attribuables à la période commune des Indo-Européens.
Avant de devenir le « dieu des Pâtres », Pan est un dieu-lune dont la spécialisation ultérieure serait peut-être due à ses cornes considérées comme des croissants de lune. Le dieu Lune serait également lié au pastoralisme par la pratique du pâturage nocturne.
On a supposé qu'il correspond au dieu védique Pushan dont il partagerait l'étymon *peH₂- « garder un troupeau ». Ce lien entre Pan et Pushan a été identifié pour la première fois en 1924 par le chercheur allemand Hermann Collitz. A. et B. Rees l'ont rapproché de l'irlandais Cúroí qui est, selon Ph. Jouët, un ancien dieu Lune.
Le composé Aigípan pourrait avoir signifié initialement « gardien de chèvres » et être à l'origine de son nom.
Pan et Syrinx
Ovide (Métamorphoses, livre I, 688-711) fait de Pan un dieu champêtre lié à la musique. Pan cherche à conquérir Syrinx qui s’enfuit dans les marais où ses sœurs la transforment en roseau afin de la cacher au dieu. Pan croyant l’avoir capturée s’aperçoit qu’il ne tient dans ses bras que des roseaux. Il soupire et le roseau émet un son mélodieux par lequel il aura l’impression de posséder à jamais la Naïade disparue. En juxtaposant des roseaux de tailles différentes, il fabrique un instrument qu’il baptisera du nom de la nymphe, Syrinx, ou flûte de Pan.
Récits érotiques
Pan est également lié à la fécondité et la sexualité. Il est connu pour ses pouvoirs sexuels. Dion de Pruse raconte que Pan aurait appris la masturbation à son père Hermès, et l'aurait par la suite enseignée aux bergers.
La plupart des récits de Pan impliquent ses amours :
La nymphe Syrinx qui se transforma en roseaux des marécages pour échapper à Pan.
La nymphe Écho dont la voix merveilleuse rendait tout homme amoureux. Pan la rattrapa et l'éparpilla sur toute la Terre. Il n'en resta que l’écho, pâle imitation, et une fille, Jynx, qu'Héra, pour la punir d'avoir favorisé les amours de Zeus avec Io, métamorphosa en statue de pierre ou en un oiseau utilisé dans les conjurations amoureuses, le torcol.
Le berger de Sicile Daphnis, amant de Pan.
Séléné (personnification de la Lune), qui se laissa séduire en acceptant un troupeau de bœufs blancs.
La nymphe Euphéné, qui lui donne un fils, Crotos, devenu la constellation du Sagittaire.
Dieu des troupeaux
Dieu pastoral, « maître des animaux », Pan protége les troupeaux, tant domestiques que sauvages. Les abeilles sont également sous sa protection, ainsi que la côte où les pêcheurs poursuivent leurs activités.
Dieu des chasseurs
Paradoxalement, Pan est également le dieu et le protecteur des chasseurs. Il était lui-même un chasseur comme le rappelle son hymne homérique : « Souvent, il parcourt les grandes montagnes couvertes de pierres blanches, et souvent il court le long des collines, tuant les bêtes fauves qu’il a vues de loin ».
Dieu de la panique
Du dieu Pan dérive le mot panikos qui a ensuite donné « panique ». Une peur que l'on qualifie de panique est une peur qui déborde la raison et la pensée logique. La panique de Pan est une peur collective, elle est liée à la foule hystérique en raison de la capacité qui lui était attribuée de faire perdre l'humanité aux guerriers en plein combat.
Dans ses traités militaires, Énée le Tacticien parle de la condition du guerrier avant le combat, préparé à toute attaque et, soudain, il suffit d'un bruit, d'un écho et le soldat ne reconnait plus les siens, il ne reconnaît plus son appartenance, l'armée est désorganisée et les guerriers d'un même camp finissent par se faire la guerre entre eux. Le rôle de Pan est de semer la panique parmi les guerriers.
Certains récits relatent la peur que dégageait le dieu :
Lorsqu'il était dérangé durant ses siestes, il pouvait infliger aux responsables de son trouble une peur panique, panikon deima.
Lors de la bataille entre les Titans et les dieux, Pan fut le premier à semer la terreur dans le cœur de ces géants à l'aide de sa flûte.
Lors d'une expédition menée aux Indes avec Dionysos, Pan aurait semé la panique parmi les ennemis, à l'aide de l'écho des parois rocheuses qui les entouraient. Le bruit, venant de nulle part, ainsi que le paysage terrifiant et sombre dans lequel ils se trouvaient, amenèrent les guerriers à imaginer des voix, des ombres humaines, qui les rendirent fous.
Pour en savoir plus :
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Les rases de Sarliève : des corridors de biodiversité à explorer - Zoom Nature
See on Scoop.it - EntomoScience
04/04/2021 Dans la chronique sur les roseaux de Sarliève, nous avons présenté rapidement le projet de ferme agroécologique de Sarliève (site Internet) et mis en exergue un élément-clé du paysage si particulier de la plaine de Sarliève, les rideaux de roseaux qui bordent une partie des fossés de drainage ou rases qui quadrillent cette plaine.
Zoom Nature
Date de création : dimanche 4 avril 2021
"... certaines espèces comme les saules ou les sureaux apportent un plus considérable via leurs floraisons pour les populations d’insectes pollinisateurs ; ainsi, les saules à floraison très précoce fournissent une ressource clé pour les reines de bourdons qui émergent au début du printemps et doivent fonder une nouvelle colonie (voir la chronique sur le saule marsault)."
"... Même la flore ultra-banale associée aux berges des fossés comme les grandes orties ou les cerfeuils anthrisques a toute son importance : les premières comme plantes hôtes des chenilles de plusieurs espèces de papillons (paon-de-jour, petite tortue, carte géographique, …) et la seconde pour ses floraisons généreuses au printemps qui nourrissent de nombreux pollinisateurs.
Clairement, il existe une relation positive entre la diversité et la complexité de la végétation et la diversité animale des espèces dépendant de celle-ci.
Faune invertébrée
Selon la taille et l’évolution de la végétation des fossés, on trouve des communautés différentes avec des assemblages d’espèces différents ; la qualité de l’eau est évidemment déterminante ce qui sera un enjeu majeur pour la future ferme de Sarliève vu l’état très dégradé actuel. Parmi les groupes communs dans les fossés, on peut citer les gastéropodes d’eau douce (limnées, planorbes, …) dont souvent des espèces rares, les coléoptères d’eau douce (dytiques, gyrins, donacies, ….), des petits crustacés (branchiopodes), les larves des moustiques et syrphes, … Par contre, le plus souvent, ces fossés se montrent inadéquats pour la reproduction des libellules même si des espèces peuvent venir au stade adulte pour chasser.
Nombre d’invertébrés ont des capacités de dispersion limitée si bien que la disposition en réseau des rases facilite leur circulation à l’échelle de la plaine. La présence de rideaux coupe-vent dans ces paysages très ouverts, comme ceux des roselières, facilitent les déplacements des papillons. Les cultures adjacentes, quand elles hébergent une flore adventice diversifiée, peuvent offrir une large gamme de plantes hôtes pour les larves de certaines espèces. De ce point de vue, la gestion en agriculture biologique devrait s’avérer très favorable à l’installation d’espèces disparues localement faute de plantes hôtes. Ainsi en Grande-Bretagne, on a observé un fort déclin généralisé du Cuivré commun (voir la chronique) dans les paysages cultivés, un joli petit papillon dont la chenille se nourrit sur des oseilles sauvages ; désormais, les plus fortes densités s’observent le long des fossés où une de ses plantes hôtes, la grande oseille, se trouve largement confinée. La même situation peut s’observer avec l’aurore (voir la chronique) dont les chenilles vivent sur des crucifères sauvages comme les alliaires qui apprécient la proximité des fossés.
Une mention toute particulière doit être accordée au cas des roseaux qui à eux seuls ont un potentiel énorme « d’hébergeurs de biodiversité », notamment avec des insectes …. Au moins 137 espèces sont aussi potentiellement associées aux roseaux en Europe. Un certain nombre d’entre elles (26) sont strictement inféodées aux seuls roseaux phragmites ; citons par exemple : la zeuzère du roseau, un papillon de nuit dont la chenille creuse les tiges et les rhizomes ; plusieurs espèces de mouches de la famille des chloropidés, dans le genre Lipara, qui provoquent la formation de galles sur les tiges en forme de cigare et aux parois très durcies ; … Il y aura donc un gros travail d’inventaire pour rechercher si cette faune spécifique existe sur Sarliève ou pour suivre son éventuel retour."
(...)
Image : Peuplement de massettes sur une rase de Sarliève : il héberge son lot spécifique d’invertébrés associés étroitement avec cette espèce !
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Les doigts sauvages (micro-nouvelle) - Erika Byrne-Ludwig
Elle cueillait des roseaux et tout ce qui bordait la rivière. Elle en chargeait son bras, portait son enfant de l’autre bras tandis qu’une main un peu plus grande s’agrippait à sa jupe. Ses gambades avec les enfants ne se passaient pas sans ramasser ou cueillir quelques ornements sauvages – des glands, des noisettes, des pins – pour son intérieur. Elle avait de jolis vases remplis de branches,…
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AU BORD DU MARAIS
Promeneur dans le vent noir, les roseaux secs chuchotent doucement
Dans le calme du marécage. Au ciel gris
passe un vol d’oiseaux sauvages ;
Diagonale sur les eaux sombres.
Tumulte. Au fond d’une cabane délabrée,
La pourriture aux ailes noires prend son envol ;
Des bouleaux rabougris gémissent dans le vent.
Soirée dans une auberge abandonnée : sur le chemin du retour
S’attarde la douce mélancolie des troupeaux qui paissent.
Apparition nocturne : des crapauds sortent des eaux argentées.
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錦鯉 (nishikigoi)
Quand je marche pour aller au travail, je passe par-dessus cinq différentes rivières.
Elles ne sont pas profondes. Les hérons qui s’y posent en touchent le fond de leurs longues jambes, fines baguettes. Ils s’envolent dès que je me penche par-dessus la rembarde des ponts pour les regarder.
Dans un creux de la rivière, un matin, je remarque un poisson.
Il cohabite avec les hérons, beaucoup trop gros pour être leur proie. C’est un poisson qu’on ne s'attenderait pas à trouver là. Une carpe japonaise, trois couleurs, nishikigoi. Elle se démarque du fond brun-noir de l’eau qui coule lentement. Une tache de lumière.
J’en parle à mes collègues, en arrivant au travail. Certains sont aussi étonnés que moi. Une semble savoir exactement de quel poisson je parle. On me dit que quelqu’un doit l’avoir abandonné là. Cette sorte de carpe, qu’on trouve dans les étangs des temples, jardins soignés du Japon, n’existe pas à l'état sauvage. Quelqu’un doit l’avoir jetée dans la rivière lorsqu’elle était petite. Mais elle est si grosse. Quelqu’un doit l’avoir nourrie.
Ce soir-là, je ne la revois pas. Le soleil sur l’eau est un éclat qui camoufle les profondeurs. Je rentre heureuse, pensant la carpe ailleurs, en pèlerinage le long de la rivière.
Mais au matin suivant, elle y est toujours. Le courant s’enfonce, et l’eau s’y accumule. Un semblant d’étang, ou la carpe tourne en rond. Ce n’est pas la saison des pluies. L’eau qui ruisselle des montagnes, glacée, pour venir se jeter dans l'océan au pied de la ville, n’est pas assez élevée pour permettre à un poisson de cette taille de remonter la rivière.
Je m’accote sur la rembarde. Les hérons et les ibis déploient leurs ailes. Moi, je regarde la carpe tourner.
C’est l’hiver. Les branchages d’automne, asséchés, pendent toujours des deux rives. Des herbes et des roseaux, des tiges aux grandes feuilles beiges. La susuki et ses épis argentés d’estampe ondoient au vent. Espèce envahissante.
Je ne sais pas si je dois être triste.
La carpe japonaise peut vivre une cinquantaine d’années; la plus vieille aurait vécu jusqu’à deux siècles. Elle reconnaît la main qui la nourrit, s’approche des humains auprès des rives. Paisible et docile, elle se laisse caresser du bout des doigts. Ses taches rouges, noires et blanches la rendent particulièrement belle. Un poisson-ornement. Ukiyo-e.
J’ai peur de la retrouver flottante, morte, un matin de printemps.
Les hérons sont partis. Il n’y aurait personne pour la pleurer. J’emprunte du deuil à cette pensée.
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Elodie Bouchez et Gael Morel étaient venus présenter le film A toute vitesse.
Pour l'anecdote je les avais déjà vus l'année précédente en 1995 pour Les Roseaux sauvages (la version longue du Chêne et du Roseau)
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