#Les Observateurs
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⚜ Le Cabinet Noir | N°28 | Francesim, Palais des Tuileries, Paris, 13 Fructidor An 230
Emperor Napoleon V and Empress Charlotte have announced the joyous news of the upcoming arrival of their first child, the future heir to the throne of Francesim. This is a momentous occasion for the imperial couple and the entire nation, which eagerly awaits the birth of this child. While the baby’s gender and name remain closely guarded secrets, anticipation is already palpable among the people, who are preparing to celebrate this new addition to the imperial lineage with great enthusiasm.
As Francesim rejoices at the news of the imperial couple’s first child, a pressing question fills public conversations and speculations: will Emperor Napoleon V be at his wife’s side in the coming months? This question is especially pertinent given the Regency, which allows the Empress to govern in the Emperor’s absence as he pursues military training.
In this unprecedented situation, observers wonder if the sovereign, already far from the palace, might set aside his ambitions temporarily to support Charlotte through this crucial period. The answer to this question could well shape the coming months and further endear the young imperial family to the French people.
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⚜ Traduction française
L’Empereur Napoléon V et l’Impératrice Charlotte ont révélé l’heureuse nouvelle de l’arrivée prochaine de leur premier enfant, futur héritier du trône de Francesim. C'est un événement marquant pour le couple impérial, mais aussi pour toute la nation, qui se réjouit d'accueillir ce bébé. Si le sexe et le prénom de l'enfant restent encore des secrets bien gardés, l'attente est déjà palpable au sein du peuple, qui se prépare à célébrer avec ferveur cet héritier de la lignée impériale.
Alors que la Francesim célèbre l'annonce du premier enfant du couple impérial, une question brûlante anime les conversations et les spéculations. De nombreux Français s'interrogent : l'Empereur Napoléon V sera-t-il aux côtés de son épouse, l'Impératrice Charlotte, durant ces prochains mois ? Cette interrogation prend tout son sens dans le contexte de la Régence, mise en place pour permettre à l'Impératrice de gouverner en l'absence de son époux, parti parfaire sa formation militaire.
Avec cette situation inédite, les observateurs se demandent si le souverain, déjà engagé loin du palais, pourra s'accorder une pause dans ses ambitions pour soutenir Charlotte durant cette période cruciale. Une question dont la réponse pourrait bien influencer le cours des prochains mois et nourrir encore davantage l'attachement des Français pour leur jeune famille impériale.
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Passif, actif, réflexif: victimisation, culpabilité, responsabilité
La plupart "des choses décisives qui nous arrivent" comme tomber amoureux ou tomber malade par exemple, cela se passe sans que nous ayons l’impression d’y avoir été pour grand chose, ce n’est qu’après-coup que nous "reconstruisons l’histoire" pour essayer de conférer un minimum de sens et de cohérence à notre existence, d’en faire un récit convaincant nous donne l’illusion de maîtriser le cours de notre vie, alors que nous sommes le plus souvent les observateurs passifs de ce qu’on appelle "le cours des choses" (ou "le destin"), raison pour laquelle nous passons notre temps à refouler l’inquiétude que notre radicale passivité génère en nous engageant dans toutes sortes de distractions, d’actions, de divertissements...
L’absence de maîtrise (et même de la moindre prise) dans ce qui se sera présenté à nous comme les événements les plus déterminants de notre vie nous apparaît si difficile à admettre que la posture de "victime" offre une échappatoire commode au sentiment de culpabilité: si nous sommes coupables, cela veut dire que ce qui nous arrive aura dépendu de nous, donc nous aurions pu faire autrement et entreprendre de nous sauver nous-mêmes...
L’impasse "culpabilité ou victimisation" a été explorée par Kafka: d’un côté, dans la logique du Château, il n’existe aucun pardon pour les innocents (raison pour laquelle pour être entendu, tu dois d'abord trouver de quoi tu es coupable...), de l’autre: «...je ne prétends pas être un martyr. Ni même une victime de la société. Non, je ne suis pas une victime, je suis un membre de la société...» K. rejette le rôle de victime, il finit par déclarer que si l'on peut parler de conspiration, c'est seulement dans la mesure où la fonction essentielle du "pouvoir" est de persuader les sujets qu'ils sont les victimes de forces irrationnelles absurdes, que le monde est fou, dépourvu de sens et dangereux... (comment ne pas mieux saisir dès lors l’importance dans l’idéologie contemporaine de la profusion des "informations" destinées à inquiéter les populations, en distillant la peur, en maintenant l’effroi, afin de maintenir le plus grand nombre possible de nos concitoyens en suggestion de victimisation, qui à tout prendre, puisqu’elle est "reconnue", semble préférable aux affres de la culpabilité...)
Une psychanalyse menée jusqu’à son terme logique aura conclu à l’inconsistance de l’Autre, le grand Autre, avec un grand A, et il n’y a donc plus dès lors pour le sujet qui en émerge rien d’autre au monde qu’un objet petit a, selon l’équation de son fantasme ($ <>a) par lequel il "voit le monde" — la psychanalyse, à l’instar du marxisme, n’étant pas une Weltanshauung.
Le sujet s’y retrouve à assumer sa responsabilité, ce en quoi il échappe à l’impasse mortifère de l’alternative victimisation/culpabilité: être responsable cela veut simplement dire qu’il accepte de répondre de sa position de sujet, en tant qu’il est rejet de la chaîne signifiante: qu’on le veuille ou non, de notre position de sujet, nous sommes toujours responsable, ceci constitue le fondement indépassable de l’éthique psychanalytique, qui débouche et renouvelle la perspective ouverte par Kant de la sortie de notre propre "minorité"... Sapere Aude. Scilicet.
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"No es tener sexo lo que cuenta, sino tener deseo. Hay demasiada gente que tiene sexo sin deseo. Todas esas mujeres escritoras hablan tan mal del tema, cuando es un mundo que a una le cae encima. Yo he sabido desde niña que el universo de la sexualidad era fabuloso, enorme. Y mi vida no ha hecho sino confirmarlo.
Me interesa lo que se encuentra en el origen del erotismo, el deseo. Lo que no se puede, y quizás no se debe, apaciguar con el sexo. El deseo es una actividad latente y en eso se parece a la escritura: se desea como se escribe, siempre".
Marguerite Duras, entrevista en Le Nouvel Observateur, 14 de noviembre de 1986.
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J'aime sentir l'automne . j'adore les couleurs, le feuillage arc-en-ciel des arbres. On dirait un tableau de maître. L'été, ils sont tous verts, c'est sans surprise, mais, dès septembre- octobre c'est une explosion de couleurs, des nuances plus merveilleuses les unes que les autres: entre deux feuillages verts, un jaune; un arbre rouge qui irradie, incendie, embrase à lui seul une forêt entière, les milles teintes d'orange qui redonnent à chaque regard un nouvel intérêt. En automne, la nature récompense, les observateurs, les optimistes, ceux qui décèlent le beau là où d'autres ne prennent pas le temps de le voir.
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« Imaginez les remarques que pourrait faire un observateur. . . de notre espèce, . . . comment elle se transforme, comment elle se consume depuis un siècle environ. Il aurait grand sujet de se divertir à nos dépens en constatant le curieux retournement de nos efforts inventifs contre nous-mêmes. Tandis que nous croyons nous soumettre les forces et les choses, il n'est pas un seul de ces attentats savants contre la nature qui, par voie directe ou indirecte, ne nous soumette, au contraire, un peu plus à elle et ne fasse de nous des esclaves de notre puissance, des êtres d'autant plus incomplets qu'ils sont mieux équipés.
. . . Et ne parlons pas des odeurs, des bruits que vous endurez, des trépidations, des courants de toute fréquence, des nourritures synthétiques, que sais-je ! Et quant à l'intellect, mes amis, quant à la sensibilité. . . on vous soumet l'esprit à une merveilleuse quantité de nouvelles incohérentes par vingt-quatre heures ; vos sens doivent absorber, sans un jour de repos, autant de musique, de peinture, de drogues, de boissons bizarres, de spectacles, de déplacements, de brusques changements d'altitude, de température, d'anxiété politique et économique. . . que toute l'humanité ensemble, au cours de trois siècles, en pouvait absorber jadis !. . . Cependant que la politique aligne nos multitudes, leur fait donner la main ou dresser le poing, les fait marcher au pas, voter, haïr ou aimer ou mourir en cadence, indistinctement, statistiquement.
La machine économique est, au fond, une exagération, une amplification colossale de l'organisme. . . et nous pouvons suspecter. . . qu'il se produira, dans l'âge qui vient, une dépression des valeurs intellectuelles, un abaissement, une décadence comparables à ceux qui se sont produits à la fin de l'antiquité ; la culture à peu près abandonnée, les œuvres devenues incompréhensibles ou détruites. . . toutes choses malheureusement très possibles [si] les moyens de possession et de jouissance, l'incohérence imposée par la fréquence et la facilité des impressions, la vulgarisation immédiate et l'application aux productions, aux évaluations et à la consommation, des fruits de l'esprit, de méthodes industrielles, finissent par altérer les vertus intellectuelles les plus élevées et les plus importantes : l'attention, la puissance méditative et critique, et ce qu'on peut nommer la pensée de grand style. . .
Nous vivons sous le régime perpétuel de la perturbation de nos intelligences. L'intensité, la nouveauté, dans notre époque, sont devenues des qualités, ce qui est un symptôme assez remarquable. Je ne puis croire que ce système soit excellent pour la culture. Sa première conséquence sera de rendre ou inintelligibles ou insupportables toutes les oeuvres du passé qui ont été composées dans les conditions toutes contraires et qui exigent des esprits tout différemment formés. »
— Paul Valéry, "Notre destin et les lettres", conférence donnée le 17 février 1937
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La naïveté des gardiens des institutions, autrement dit les médias mainstream de la bienpensance assumée, fait peine à voir. Alors que les assassinats de Français se multiplient et s’accélèrent, alors que les barbares affichent impunément leur haine raciale et revendiquent leur violence sur fond d’islam et d’ethnicité, les proprets sur plateaux nous parlent “de faire société”, “de promouvoir la laïcité”, “de comprendre la nécessaire mutation”. Tout cela les pieds dans le sang d’un gamin de 16 ans, Français, blanc, de souche.
On dira bien ce que l’on voudra. On fera les discours que l’on pourra. Ça ne change rien aux détails du cliché pris à l’instant de la chute de Thomas, le torse percé par une lame. Cette photo nous montre une France qui commence à se chier dessus, mais qui refuse encore le constat et combat toujours la réaction, conspuant les courageux, engeôlant les volontaires. Une France qui continuerait d’aller acheter son rôti du dimanche chez son petit boucher, de manger ses fromages qui puent en se moquant du cousin du Loiret, de railler le voisin qui s’est acheté une voiture pour la frime. Une France qui penserait que le travail est un moyen de se hisser, que l’honnêteté paie toujours, que l’on doit respecter Monsieur le maire et obéir à la police. Une France d’Épinal qui est morte depuis longtemps déjà, entamée par Mac Donald et Drucker, remplacée par KFC et Hanounah, effacée par Doner Kebab et Yassine Belattar.
Pauvres Français ! Que je vous plains d’être devenus ces poireaux mous qui rasez les murs taggés des cités arabophones. Pendant toutes ces décennies de bruit et d’odeurs, on vous a répété que votre colère s’appelait du racisme. Ceux-là même qui avaient acté cette catastrophe grandissante vous ont fracassé, accablé, conspué. Seuls quelques rares résistants ont gardé le doigt collé sur la sonnette, mais la plupart de ceux-là, aussi, ont fini par apprendre par cœur les mots du frontispice de la démocratie : “Übereinstimmung macht Wählbarkeit”... la conformité rend éligible.
S’avance l’ombre du conflit que tout le monde subodorre, mais que personne ne veut voir. “Avant que” et “pourvu que” ouvrent maintenant toutes les phrases des politiqueux cravatés et des observateurs autorisés. Ils avancent à reculons vers l’échafaud de l’Histoire qui a déjà aiguisé sa plume et ouvert son grand cahier couvert de sang.
Thomas se meurt, Thomas est mort. la France non plus.
J.-M. M.
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Résumé :
✔ La dette française atteint 3159 milliards d’euros, soit 58 milliards de plus qu’à la fin de l’année dernière
✔ Les similitudes avec la situation grecque d’avant 2009 inquiètent les observateurs économiques
✔ La France risque une dégradation de sa note financière et une hausse des taux d’intérêt
✔ Une crise de la dette française aurait des répercussions majeures sur l’Union Européenne
✔ Des réformes profondes sont nécessaires pour redresser l’économie française
Comment éviter le scénario grec ?
Daily inspiration. Discover more photos at Just for Books…?
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Le "Museum watching" vu par Elliott Erwitt
Elliott Erwitt a consacré tout un livre à cette activité ("Musées observés" dans son titre français). En effet, il est fasciné par les musées, et davantage encore par les visiteurs que par les objets exposés. Il est, dit-il, « un observateur dévoué de gens, qui aime observer l'art et les observateurs d'art qui observent l'art. » Tout visiteur de musées peut en témoigner : un jeu complexe d'interactions s'y déroule, avec les œuvres exposées, certes, mais aussi avec les autres visiteurs et avec l'espace où il se meut.
Erwitt décortique tout ce qui fait la spécificité des musées — matérielle (le cartel, le cadre) — et, surtout, humaine: les visiteurs, « gibier de choix » dont on verra ici un échantillon représentatif; et les gardiens qui font, dit-il, compatissant, « le métier le plus ennuyeux du monde ». Et pour saisir tout ce monde dans des lieux où la photographie est le plus souvent interdite, il met au point des techniques passablement facétieuses mais efficaces pour déjouer l'attention des gardiens.
Sans s'embarrasser de théories, il comprend que, dans ce temple contemporain qu'est le musée, la visite s'apparente à un « rituel » (Carol Duncan, The Art Museum as Ritual, 1995), un rituel qu'Erwitt explore avec gourmandise. Par le simple fait de l'exposition dans un lieu quasi-sacré, l'œuvre d'art est élevée au rang d'objet de culte (songeons à l'urinoir de Marcel Duchamp) et les visiteurs retrouvent l'allure compassée et respectueuse d'une procession religieuse dont les stations sont préétablies et les comportements prescrits.
Erwitt documente ces comportements avec un respect mêlé d'étonnement et tempéré d'une bonne dose d'humour.
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"No es tener sexo lo que cuenta, sino tener deseo. Hay demasiada gente que tiene sexo sin deseo. Todas esas mujeres escritoras hablan tan mal del tema, cuando es un mundo que a una le cae encima. Yo he sabido desde niña que el universo de la sexualidad era fabuloso, enorme. Y mi vida no ha hecho sino confirmarlo. Me interesa lo que se encuentra en el origen del erotismo, el deseo. Lo que no se puede, y quizás no se debe, apaciguar con el sexo. El deseo es una actividad latente y en eso se parece a la escritura: se desea como se escribe, siempre".
—Marguerite Duras | Entrevista en Le Nouvel Observateur, 14 de noviembre de 1986.
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J'aime l'automne parce que tout devient bonus. Les jours raccourcissent, mais il y a une urgence à profiter du moindre rayon, de la première éclaircie. et puis, j'adore les couleurs, le feuillage arc-en-ciel des arbres. On dirait un tableau de maître. L'été, ils sont tous verts, c'est sans surprise, mais, dès septembre, c'est une explosion de couleurs, des nuances plus merveilleuses les unes que les autres: entre deux feuillages verts, un jaune; un arbre rouge qui irradie, incendie, embrase à lui seul une forêt entière, les milles teintes d'orange qui redonnent à chaque regard un nouvel intérêt. En automne, la nature récompense les patients, les observateurs, les optimistes, ceux qui décèlent le beau là où d'autres ne prennent pas le temps de le voir. Aurélie Valognes- (Le tourbillon de la vie)
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JOE BIDEN ANNONCE SON RETRAIT DE LA COURSE À LA PRÉSIDENCE DES ÉTATS-UNIS 21 juillet 2024
La lettre
Je crois qu'il est dans l'intérêt de mon parti politique et du pays que je me retire et que je me concentre uniquement sur l'exercice de mes fonctions de président jusqu'à la fin de mon mandat
Joe Biden pourrait annoncer son retrait de la campagne présidentielle ce week-end. 18 juillet 2024. Son prétendu coronavirus serait la raison officielle. Selon les observateurs, l'état de Biden s'aggrave chaque jour et cela n'est pas lié au coronavirus.
Kamala Harris où Michelle Obama pourraient être les candidates du parti démocrate.
Après son retrait, Joe Biden n'a pas indiqué qui lui succéderait pour la présidentielle américaine. Il a affirmé qu'il s'adresserait aux Américains dans la semaine.
4 mois avant l'élection présidentielle viré
Nouveaux épisodes de la grande mesquinerie
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Il s’agit avant tout d’arrêter de répéter la langue de l’adversaire, cesser de reprendre les termes, les expressions, les mots du persécuteur…
L’analyse appliquée à la politique, comme celle du philologue, ne peut que rejoindre l'observation de l’évolution de la langue par Victor Klemperer (LTI, La langue du IIIe Reich) qui lui permet de détecter avec une acuité particulière ce qui distingue par exemple le Nazisme d'une tyrannie ordinaire ou d'une dictature brutale. Il perçoit dans le détail la «différence totalitaire» du régime nazi lorsqu'il s'avère que celui-ci dispose de la faculté non seulement de maltraiter et d'abattre ses ennemis (réels ou imaginaires), mais aussi d'embourber la parole et la pensée de ses victimes dans la fange de son jargon et de sa propagande. Observateur tout à la fois horrifié et impitoyable, Klemperer évoque fréquemment ces Juifs traqués qui ne cessent de se couler dans la langue du persécuteur, ces braves gens dont les manifestations de compassion véhiculent le venin de l'idéologie et font saigner le cœur de ceux auxquels elles s'adressent non moins que les violences et les insultes des bourreaux.
Reprendre la langue de l’adversaire, ne serait-ce que partiellement, c’est nourrir son discours de sens et lui donner continuité de subsIstance…
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23 mars 1842 : mort de l’écrivain Henri Beyle dit "Stendhal" ➽ http://bit.ly/Henri-Beyle-Stendhal Observateur expérimentant et raisonnant, Stendhal écrivait tous les jours quelques lignes sur ce qu’il avait vu ou senti ; mais il était trop enclin à la réflexion et à l’analyse pour se contenter de noter exactement et sans commentaires les sensations de sa vie. Il y revient, et c’est là son art
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Lors de la clôture de la première journée de discussions sur la constitution de CARDANO qui s'est déroulée à Buenos Aires, notre cher Charles Hoskinson a pris la parole.
Charles Hoskinson en train de parler
La communauté CARDANO présente et représentée par ces personnes était très heureuse d'écouter le PDG d'IOG, la conférence et la réunion ayant eu lieu au Programme des Observateurs Palacio Duhau - Park Hyatt, Buenos Aires, car écouter un PDG parler peut offrir plusieurs avantages, parmi lesquels on peut souligner les suivants :
Perspective stratégique : les PDG partagent souvent leur vision et leur stratégie pour l'entreprise, ce qui permet de mieux comprendre les objectifs à long terme et l'orientation de l'entreprise. Inspiration et motivation : Les paroles d'un dirigeant peuvent être motivantes et inciter les employés et les autres parties prenantes à redoubler d'efforts et à s'engager en faveur des objectifs de l'entreprise. Connaissance du secteur : les PDG ont souvent une grande expérience et des connaissances spécifiques sur leur secteur d'activité, ce qui peut leur donner un aperçu précieux des tendances et des défis actuels. Culture d'entreprise : par son discours, un PDG peut communiquer et renforcer les valeurs et la culture de l'organisation, contribuant ainsi à aligner les employés sur la mission de l'entreprise. Possibilités de réseautage : assister à des événements où des PDG prennent la parole peut permettre de nouer des liens précieux avec d'autres professionnels du secteur. Apprentissage du leadership : observer la manière dont les PDG communiquent et gèrent les défis peut être une excellente occasion d'acquérir des compétences en matière de leadership et de gestion. Innovation et changement : les PDG peuvent partager des informations sur des projets, des innovations et des changements majeurs qui auront un impact sur l'entreprise, afin d'informer le public et de le préparer à la suite des événements. Écouter un PDG, en l'occurrence le grand Charles Hoskinson, peut être une expérience enrichissante et éducative, tant pour les employés que pour les autres personnes intéressées par le monde des affaires.
Après le discours de Charles, une belle fête a commencé, pleine de camaraderie CARDANO.
#Charles Hoskinson en train de parler#Buenos Aires#Cardano#ADA#Token Mithrandir#Ulises BArreiro#Opinion#Token#Blockchain#Charla#Binance#Crypto#Camaderie#Aprés
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Des observateurs scrutent le ciel depuis un fort maritime Maunsell dans l'estuaire de la Tamise - 19 novembre 1943
Photographe : Lieutenant Tanner
©Imperial War Museums – H 34542
La photo est prise depuis la tour d'éclairage pour le tir antiaérien. A l'arrière-plan on remarque les tours équipées de batteries antiaériennes.
Le fort Maunsell de Red Sands dans l'estuaire de la Tamise au nord des côtes du Kent - 20 août 2011
©Russss
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"No es tener sexo lo que cuenta, sino tener deseo. Hay demasiada gente que tiene sexo sin deseo. Todas esas mujeres escritoras hablan tan mal del tema, cuando es un mundo que a una le cae encima. Yo he sabido desde niña que el universo de la sexualidad era fabuloso, enorme. Y mi vida no ha hecho sino confirmarlo.
Me interesa lo que se encuentra en el origen del erotismo, el deseo. Lo que no se puede, y quizás no se debe, apaciguar con el sexo. El deseo es una actividad latente y en eso se parece a la escritura: se desea como se escribe, siempre".
Marguerite Duras, entrevista en Le Nouvel Observateur, 14 de noviembre de 1986.
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