#Le trio irlandais
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Pro D2 : Jean-Baptiste Aldigé passe officiellement la main, James Coughlan pour prendre les rênes de Biarritz ?
James Coughlan est pressenti pour être directeur sportif à Biarritz – Icon Sport Jeudi soir, le Biarritz Olympique est officiellement rentré dans une nouvelle ère. Exit donc le duo Jean-Baptiste Aldigé – Louis-Vincent Gave et place donc au nouveau trio mené par Shaun Hegarty. Cette nouvelle époque implique également des changements au niveau du sportif. C’est ainsi que le technicien irlandais…
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Au Moloco d’Audincourt : Saint Patrick’s Day, Booze Brothers + Tara’s Folk + Mocking Crows
20 ans que les Booze Brothers offrent un punk rock celtique entrainant, authentique et bariolé, respectueux des traditions tout en sachant se faire perpétuellement novateur, comme en témoigne leur dernier album « The Lemming Experience ».Les violons, bodhràns, accordéons et autres flûtes se mêlent aux guitares électriques, à la drum punk rock et aux rythmiques supersoniques créant ainsi une musique ultra énergique, enjouée et tribale. Tara’s Folk est une bouture du groupe de rock irlandais Booze Brothers. Créé en 2008, le groupe s’est détaché de son tuteur en 2016 avec l’arrivée du jeune prodige Rémi Geffroy. Dès lors le trio se dote de son propre répertoire, gardant l’énergie de ses origines en y greffant des passages plus mélodiques. Tara’s Folk développe un son mâtiné de musiques traditionnelles, de rock, de pop et de sensibilité uniques. Mocking Crows est un duo mandoline/guitare de folk dynamique, entre le bluegrass et le punk, qui joue un mélange de compositions originales et de reprises toutes aussi originales (Taylor Swift, The Clash, System Of A Down…). Au Moloco d’Audincourt : Saint Patrick’s Day, Booze Brothers + Tara’s Folk + Mocking Crows , samedi 18 mars 2023 à 21h00. infos > www.lemoloco.com Read the full article
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Aujourd’hui je présente mon trio d’irlandais préféré ehe : Nesta Sabia Duffs, Mór Lachaidh Duffs et Ianessa Orlaith Douglass
(dessins de @rarougrougrou ilysm)
Donc ça c’est Nesta Sabia Duffs, la fille cadette de Ketchatar et de Ceana O’Beirnei. Nesta est comment dire... caractérielle. Elle est tout ce que son frère et son père ne sont pas. Elle cherche le pouvoir et pense (à tort ou à raison) qu’elle est plus à même de gouverner à la mort de son père que Mór. Elle ne supporte pas les devoirs liés à sa condition féminine. Elle veut diriger et gouverner. Elle a aussi, depuis sa tendre enfance, une certaine passion pour jeter son frère des escaliers.
Ça, c’est Mór. Le frère aîné de Nesta. Le premier enfant né de l’union de Ketchatar et Ceana. C’est un homme doux et réservé, patient et honnête. Il n’a pas le tempérament bouillant de sa sœur. Il est toujours prêt à apprendre et voit sa future charge de roi comme un honneur et une promesse envers son peuple. Malgré les *tentatives* de sa sœur pour l’écarter de la succession, Mór l’aime énormément et serait prêt à tout pour elle.
Elle enfin, c’est Ianessa, la femme de Mór. Ils ont été mariés très jeunes. Lui en avait quinze et elle dix-sept. C’est une jeune femme réservée, polie et attentionnée qui vient du nord de l’Irlande. Si son mariage a été arrangé, il s’est rapidement transformé en mariage d’amour. Au bout de quelques temps, le couple a eu une petite fille nommée Dulcinea. Mais elle est morte d’une toux, sans doute liée à une épidémie de choléra qui sévissait en Irlande. Malgré cette perte, le couple ne s’est pas divisé et reste solide. Ianessa se fait aussi voix de la raison entre Nesta et Mór, ayant une relation proche avec sa belle-sœur.
#kaamelott#kaamelott edit#solivagant#les dessins de rarou#nesta sabia duffs#nesta#mór lachaidh duffs#mór#ianessa orlaith douglass#ianessa#mes ocs#Le trio irlandais#MES BÉBÉS
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Les Baronnes (The Kitchen en v.o. d’après le quartier Hell’s kitchen à Manhattan où se déroule le film) est un petit film sympathique et divertissant dont le principal intérêt est de sortir les femmes du carcan de la cuisine et autres réjouissances domestiques et de les mettre sur le devant de la scène. La réalisatrice - elle aussi une femme! (Andrea Berloff) - a dû prendre un certain plaisir à se réapproprier un genre typiquement masculin (les mafieux, même irlandais, ont tout de même une fâcheuse tendance au machisme) et à diriger le trio d’actrices parfaitement castées (Melissa McCarthy, Tiffany Haddish et Elisabeth Moss). La prise de pouvoir est savoureuse et l’intrigue se suit sans déplaisir même si, il faut le dire, on ne parvient pas trop à croire à cette histoire de revanche féminine et féministe. Peut-être l’ascension est-elle trop belle et trop rapide.
#les baronnes#the kitchen#andrea berloff#melissa mccarthy#tiffany haddish#elisabeth moss#film#cinema#féminisme#mafia#hell's kitchen#manhattan#New York
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Talibans être beaux - Les Goguettes (en trio mais à quatre)
L'humour noir, genre Front National, décédé il est vrai, ne vous va pas car vous n'avez pas le ton de ce genre d'humour typiquement anglais. L'effet est désopilant et disturbant et déstabivilisant et en dernière analyse dans un public naf naf il renforce l'antisme de tous les réfugiés ou migrants mis sur le même plan dès la première strophe. ETC. Erratique Talk Chaud qui n'en finit jamais sinon avec un pogrom. Ce temps-là n'a plus cours chez les gens qui aiment l'humour, et n'oubliez jamais que l'humour noir est d'autant plus fort quand il s'applique à soi-même, comme engraisser les bébés irlandais pour les vendre au marché et régler ainsi la pauvreté en Irlande. Il faut être Irlandais pour dire cela. Il y avait un humour noir en RDA et il fonctionnait très bien/ Savez-vous pourquoi tous les bébés est-allemands ont reçu un petit pot avec l'image de Walter Ulbricht au fond? Cet hjumoour noir est-allemend est un tout petit peu plus fort que votre humour front national noir sur les Talibans. PEUT FAIRE MIEUX.
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La der des ders À l'auberge du Bramont à St Etienne du Valdonnez hier soir avec le groupe trio folk irlandais O'dinkys À l'année prochaine Merci à vous toutes et tous Francine et Thierry (à Auberge Du Bramont) https://www.instagram.com/p/CTJfGhMtYm5/?utm_medium=tumblr
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Journée du 03 août suite
Repas du soir en terrasse, je découvre Mai, la cousine d'Henry qui est une jeune personne fort éveillée, agréable et cultivée qui deviendra un jour si Dieu le veut, une talentueuse clarinettiste. Elle a le bon goût d'habiter à Brubru, ville de mon cœur. De toute façon ici, tout le monde est de bon goût et merveilleux et je dis ça en toute objectivité sans aucun sens de l'exagération.
Après ce bon canareuh du sud-ouest (à dire avec l'accent qui va bien) nous décalons vers un bar situé dans une cour abritée d'une sorte de tissu, si bien que cela crée une ambiance feutrée confidentielle et qu'on ne sait plus très bien si on est dehors ou dedans. Les tables sont des tonneaux et les chaises sont branlantes mais les vins ont des noms poétiques. Sur scène : un pianiste tout sec et nerveux comme c'est pas permis ; un contrebassiste qui a une tête de publicité pour alcool irlandais viril, type bière stout ou whisky du clan machin-chose, grosse barbe et chemise à carreaux ; et un batteur au corps long et dégingandé, bonne tête d'intello barbu et une technique rythmique comme on n'en voit que dans le jazz.
D'ailleurs j'aime beaucoup la musique qu'ils jouent, elle se déploie dans ma tête comme une conversation tandis que je ferme les yeux. C'est reposant et satisfaisant mais Impéralixe n'est point de cet avis : il lui manque une voix affirmée, elle préfèrerait que le trio se fasse quatuor, avec pourquoi pas, un saxophone. Lorsqu'elle est exaucée le temps d'un morceau, je me renfrogne, je trouve que le musicien additionnel prend trop de place. Ahlala, que voulez-vous ? Le jazz a toujours donné lieu à des débats passionnés ! On frise la rixe de comptoir mais Henry vient pacifier la scène en nous informant qu'il va tenter d'assister au concert officiel du soir.
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DIEMOS BELL
Faceclaim conseillé : Noah Centineo, Jacob Elordi. Faceclaim autorisé : caucasien, brun.
CHILDHOOD & FAMILY : Ce qui frappe toujours chez les Bell, ce sont leurs yeux rempli d’impolitesse, deux grandes billes qui déstabilisent, grises comme la bise. Ils trônent, résolument enragés au milieu de cette nuée de visages irlandais aux traits insurgés. Diemos lui, excelle comme digne successeur, de tout, même de cette foutue hérédité qu’aucun de ses ancêtres n’a pu éviter. Il est un contestataire, non pire un révolutionnaire. Un foutu incendiaire éduqué pour renverser les puristes arriérés. C’est que dans la famille on a une dent que les privilégiés. Se tenant plutôt éloigné du conflit de la première guerre des sorciers, les Bell, naïfs, pensaient être épargnés. Mais leur réputation les précédaient, leur nom étaient partout dans les fichus journaux contestateurs, il faut dire qu’ils ne pouvaient jamais s’empêcher d’écrire ce qu’ils pensaient. C’est le père de Diemos qui fut prit pour cible, prit pour exemple. Assassiné sur son lieu de travail. Dans les bureaux dublinois de la Gazette du sorcier. Diemos avait huit ans. Le choc fut terrible. Une déflagration sans précédent. Mais heureusement, il était bien entouré, supporté. Trois soeurs attentives, deux oncles concernés, autant de tantes chagrinées et surtout une mère dévouée. Personne ne le laissa jamais tomber. HOGWARTS : Marcher dans les pas de son père était d’une évidence irrésistible. Diemos rejoignit alors les justes et les travailleurs acharnés avec beaucoup de fierté. Même si avec le temps son chagrin commençait peu à peu à s’éloigner, il fut ravi de rencontrer des tas de mioches qui comme lui avait été amputé d’un proche par cette saleté de guerre désormais terminée. C’était étrange cette façon d’être compris sans même avoir à parler. C’était fou car, qu’importe où il posait un regard, il y avait toujours orphelin à observer. Génération de sacrifiés. Très vite, Diemos s’est imposé comme un pillier au sein de sa maison et de l’école. Avec sa carrure et son caractère, il est très vite apparu comme quelqu’un sur qui l’on peut compter. Son sourire était toujours là pour vous rassurer. Son regard pour vous draper du sentiment que vous ne serez jamais abandonné. S’il ne brille par dans ses études, il n’en est pas pour autant un mauvais élève, il ne fait simplement pas d’effort particulier pour briller et préfère se contenter du minimum à donner. Lui il connaît déjà sa destinée qui est toute tracée. Comme le reste de sa famille, il souhaite devenir journaliste, écrire des articles pour dénoncer ou exposer. La question d’une autre orientation ne s’est jamais posée. PERSONALITY : Confiant et charismatique, Diemos fait office de l’irlandais de service. Et à l’image de ses compatriotes, il n’est pas prêt à signer l’armistice. Il est du genre à ne pas savoir garder une opinion ou une idée pour lui-même, il a toujours ce besoin presque vital d’en débattre. Champion de la controverse, il sait exactement comment remporter une joute verbale. Pourtant, même si c’est le roi de la révolution, il essaie de ne jamais sombrer dans la provocation. D’expérience, il sait que ça ne sert jamais celui qui en use sans bonne raison. ABOUT THE WAR OF ROSES : Pour dire la vérité, Diemos s’épanouit assez peu dans cette quête des roses dissimulées. Il faut dire que partager son équipe avec trois serpents et seulement un blaireau y est sûrement pour quelque chose. Diemos supporte extrêmement mal Merula et doit prendre sur lui à chaque réunion pour ne pas lui faire manger son chignon. CONNECTIONS : > Meilleur ami avec Cleve McKinnon et Sulivan Flume : Entre le calme Sulivan et l’exalté Cleve, Diemos fait la balance. Il adore cette énergie polarisée au sein de leur trio. Il y en a toujours un des trois pour tirer les deux autres vers le haut. > Intrigué par Camille Prewett : La rousse a passé quelques jours au journal de son oncle. Depuis, il a l’impression que quelque chose a changé chez la demoiselle et elle ne s’est pas vue confier la même mission qu’à lui; espionner les enfants de puristes. Si la question le taraude, ce n’est pas par égo, mais plus parce qu’il aimerait en connaître plus. > Ancien petit ami de Asma Shafiq : Couple phare de leur année, la séparation de l’irlandais et de l’égyptienne a brisé bien des coeurs au moment de son annonce. Il faut dire qu’on les voyait déjà mariés. Peu d’information ont filtré sur les raisons de cette rupture, juste une rumeur de désaccord majeur. Et lorsque l’on connaît les deux énergumènes, l’on se demande pas si leurs opinions antagoniques sur le sujet du purisme n’aurait pas fini par occulté l’amour pour le désamour. Il faut dire qu’au début, tout le monde avait été étonné de voir un Bell se faire charmer par une puriste revendiquée. On l’avait même pas mal critiqué à ce sujet. Aussi dans les liens de : Richard Crabbe.
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Voyage dans les lacis de l’évasion et de l’optimisation qui coûtent chaque année au continent 50 milliards de dollars, selon l’OCDE.
Rock, philanthropie et business, le trio gagnant ? Pour le chanteur irlandais Bob Geldof, l’Afrique c’est tout ça à la fois. Si le continent s’est longtemps résumé pour lui à des tragédies, c’est surtout devenu un territoire « d’extraordinaires opportunités d’affaires et d’investissements », selon ses dires.
L’aventure commence en 1985 alors que la famine sévit en Ethiopie. Mué en militant, l’ancien leader des Boomtown Rats réunit en juillet une poignée d’amis rockeurs pour un concert de charité, Live Aid, retransmis sur les télévisions du monde entier, qui rapporte 212,5 millions de dollars (190 millions d’euros) de dons. La reine Elizabeth II l’anoblit l’année suivante.
Lire aussi L’île Maurice à la frontière entre optimisation et évasion fiscale
Mais « Sir Bob » va changer de rhétorique au fil des ans. Plutôt que de « sauver l’Afrique », il s’inquiète de « contribuer au développement économique » du continent. Pour ce faire, l’ancienne rock star cofonde à Londres en 2012 un fonds de « private-equity », 8 Miles, qu’il préside sans en assurer la gestion. Le rockeur ambitionne d’investir près de 224 millions de dollars dans des sociétés africaines d’agrobusiness, de santé, d’éducation ou encore d’immobilier et de télécommunications.
Et si 8 Miles communique volontiers sur les vertus environnementales et sociales de ses prises de participations – de 15 % à 45 % dans des sociétés africaines – pour un montant total de près de 150 millions de dollars, s’il insiste sur sa volonté d’« améliorer la transparence, la prise de décision et la responsabilisation », le groupe de Bob Geldof communique moins sur le fait qu’il opère depuis Maurice, plateforme décomplexée de la finance « offshore ».
Boîtes aux lettres et sociétés-écrans
A Port-Louis, capitale de cette île africaine de l’océan Indien, les tours de verre ont poussé ces dernières décennies, aussi vite qu’ont flétri les champs de canne désertés par une jeunesse qui a bien compris que le sucre, longtemps la principale ressource du pays, ne représente plus que 1 % du produit intérieur brut (PIB), contre 50 % pour le secteur financier.
Dans le quartier d’affaires, Cyber City, multinationales, entreprises africaines et investisseurs du monde entier disposent de boîtes aux lettres, de sociétés-écrans et autres sièges sociaux virtuels, à défaut de bureaux et d’employés. Tous profitent là de la stabilité politique de cette République de 1,3 million d’habitants aux avantages fiscaux et au secret garanti par les cabinets de conseil, les banques et le gouvernement.
« De par sa réputation, Maurice est utilisée par de nombreux fonds de capital-investissement, se défend 8 Miles. Les entreprises africaines dans lesquelles nous investissons paient toutes leurs impôts dans leur pays d’origine sur le continent. »
Or, selon un échange de courriels internes contenus dans les « Mauritius Leaks », si le siège social du fonds de Bob Geldof a été discrètement établi à Maurice, c’est bien quand même « pour des raisons fiscales », entre autres. Cette enquête coordonnée par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) et vingt médias partenaires, dont Le Monde, repose sur une fuite de 200 000 documents confidentiels provenant du bureau mauricien du prestigieux cabinet d’avocats international, Conyers Dill & Pearman.
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Fondé aux Bermudes en 1928, ce cabinet s’est imposé comme l’un des spécialistes mondiaux de la finance « offshore » et a travaillé sur l’île de Maurice de 2009 à 2017. Parmi ses clients figurent donc 8 Miles, mais aussi le géant genevois du négoce de matières premières, Trafigura. La multinationale a recouru aux services de Conyers Dill & Pearman pour une transaction de 200 millions de dollars avec la filiale mauricienne d’une entreprise indienne, portant sur une livraison d’essence, en janvier 2014, ou encore, pour faciliter le paiement d’achat de ferronickel à une société émiratie.
Pour écouler des véhicules de la marque Volkswagen au Malawi, au Kenya, en Zambie et au Zimbabwe, le groupe français de distribution CFAO a lui aussi sollicité l’expertise du cabinet afin de créer, en mai 2014, une filiale à Maurice. De même que le groupe minier d’origine kazakh, Eurasian Natural Resources Corp., qui octroie cette même année un prêt de 30 millions de dollars à une société-écran mauricienne exploitant une mine de charbon au Mozambique.
Citoyenneté à 1 million de dollars
Autant d’opérations légales qui visent, pour la plupart, à faciliter et à opacifier des transactions sur le continent. Tout en profitant d’un service haut de gamme et des avantages fiscaux – comme un taux d’imposition sur les revenus des entreprises étrangères oscillant entre 0 % et 3 % – offerts par l’ancienne colonie néerlandaise, puis française, avant de devenir une possession anglaise.
Maurice est devenue une sorte de Luxembourg de l’Afrique, inscrite sur la « liste grise » des paradis fiscaux établie par l’Union européenne (UE). Au grand dam des économies du continent africain fragilisées par l’évaporation des revenus des opérateurs économiques locaux et étrangers dans des lacis de circuits financiers. Des circuits qui mènent souvent à l’île de l’océan Indien, où un investisseur peut acquérir la citoyenneté contre 1 million de dollars versé à un fonds souverain mauricien, ou un passeport, contre 500 000 dollars, avait indiqué, en juin 2018, le premier ministre Pravind Kumar Jugnauth, lors de sa présentation du budget devant le Parlement.
Maurice, dont le PIB s’élève à 26 milliards de dollars, multiplie les services et les innovations pour séduire les entreprises du monde entier. Leurs actifs sur l’île sont aujourd’hui évalués à plus de 630 milliards de dollars.
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« Les juridictions offshore, dont l’île Maurice, contribuent grandement à déposséder les pays d’Afrique de leurs bénéfices », souligne Alexander Ezenagu, chercheur au Centre international pour la fiscalité et le développement. L’évasion fiscale, de même que l’optimisation, causent en effet chaque année à l’Afrique des pertes estimées à 50 milliards de dollars par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Peut-être le double, selon la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique. Soit plus que toute l’aide au développement déversée sur le continent.
Pour attirer les investisseurs, l’île de Maurice a multiplié les signatures de traités de non-double imposition sur une transaction. Elle use et abuse même de ce procédé pour faire valoir les avantages évidents de sa fiscalité. Quarante-cinq pays, dont quinze en Afrique subsaharienne, ont ratifié ces accords pourtant déséquilibrés qui offrent une exemption de la double imposition. « Etant donné que notre modèle d’accord repose sur les normes de l’OCDE ou de l’ONU, nous estimons donc que nos traités ne contiennent aucun élément préjudiciable », insiste un porte-parole du gouvernement mauricien.
Dérives de corruption
Pourtant, ces conventions fiscales sont de plus en plus contestées par les Etats africains eux-mêmes qui s’estiment lésés par Maurice. « Nous regrettons d’avoir signé ce traité [en 1997], confie ainsi à ICIJ un responsable de l’administration fiscale du Lesotho, impliqué dans les âpres renégociations en cours. Seules les entreprises en tirent profit et ça rend fou. » Il en va de même pour la Namibie et l’Ouganda.
En juin, le président sénégalais Macky Sall a lui aussi fermement exigé de rediscuter son traité, sans exclure la possibilité de le rompre, avec Maurice, responsable de pertes estimées par son administration à environ 257 millions de dollars au cours de ces dix-sept dernières années. « De tous les traités signés par le Sénégal, c’est le plus inégalitaire », constate Magueye Boye. Cet inspecteur du fisc sénégalais a participé aux discussions avec ses homologues mauriciens en 2018 et regrette que les promesses d’investissements mirobolants, notamment dans l’industrie du textile, n’aient jamais vu le jour. Ce spécialiste respecté de la fiscalité compare l’accord à « un gigantesque pipeline pour l’évasion fiscale ».
Une métaphore d’actualité pour ce pays d’Afrique de l’Ouest qui a annoncé le début de l’exploitation de gisements d’hydrocarbures à compter de 2022. Le président Sall veut éviter les dérives de corruption – dont le premier scandale a récemment éclaboussé son frère cadet – et empêcher l’accord avec Maurice d’aspirer les futurs pétrodollars. Côté mauricien, on admet que « des renégociations sont en cours avec six pays ».
Lire aussi Sénégal : soupçonné de corruption, le frère du président Macky Sall démissionne
« C’est enthousiasmant de voir réagir plusieurs pays africains qui réalisent à quel point les conventions négociées avec un paradis fiscal comme Maurice compromettent leur souveraineté fiscale, constate pour sa part l’économiste Jason Rosario Braganza, spécialiste des questions fiscales sur le continent. Il ne faut pas s’attendre à un impact immédiat, car ces renégociations et leur ratification prennent du temps. Objectivement, les pays du continent africains n’ont aucun intérêt à conclure un nouvel accord avec Maurice. »
Une récente étude du Fonds monétaire international (FMI) lui donne raison, concluant son analyse réalisée sur 41 économies africaines entre 1985 et 2015 par un constat limpide : « La signature des traités n’est pas associée à des investissements supplémentaires et a tendance à entraîner des pertes de revenus non négligeables. »
Pour 8 Miles, le fonds de « private-equity » de Bob Geldof, tout cela n’est qu’une affaire entre Etats : « Nous nous conformons à ces accords, mais nous ne les faisons pas », insistent-ils, même si, pour entre autres bénéficier des exemptions de double imposition, une société de gestion mauricienne, Eight Africa Management (Mauritius) Limited, a été créée en 2013 par Conyers Dill & Pearman.
Ruée vers l’Afrique
Des hommes d’affaires africains profitent aussi du dispositif. Et pas des moindres. Patrick Bitature est l’un des oligarques les plus fortunés d’Ouganda. Avec son conglomérat, Simba Group, il orchestre un empire économique est-africain actif dans les secteurs des télécommunications, de l’énergie, des médias, de l’éducation…
Il gère la plus importante centrale thermique d’Ouganda avec l’une de ses sociétés, Electro-Maxx. Celle-ci est présentée sur son site Internet comme « le premier et le seul producteur indépendant d’électricité en Afrique d’une capacité supérieure à 20 mégawatts (MW), créée et financée par des Africains ».
Selon les « Mauritius Leaks », Patrick Bitature a bénéficié en 2011 d’un prêt personnel d’un montant de 2,5 millions de dollars octroyé par une société domiciliée aux Bermudes via une autre société établie à Maurice, African Frontiers. Cette dernière a également proposé un investissement de 17 millions de dollars dans Electro-Maxx et a pris soin de bénéficier des avantages du traité de non-double imposition scellé entre Maurice et l’Ouganda, où ses revenus auraient été soumis à un impôt de 30 %. Ainsi liée financièrement à une société hébergée sur l’île de l’océan Indien, Electro-Maxx peut continuer de revendiquer son africanité.
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Tout comme la société nigériane d’investissement Venture Garden Group, spécialisée dans le développement de solutions technologiques pour l’industrie financière. A Lagos, la capitale économique du géant d’Afrique de l’Ouest, elle est considérée comme un poids lourd du bouillonnant écosystème numérique. Elle anime d’ailleurs un espace innovant et collaboratif baptisé Vibranium Valley, en référence au métal précieux dont regorge le Wakanda, pays africain imaginaire dans le film à succès Black Panther. « Transformer l’Afrique par la technologie », tel est le motto de Venture Garden Group.
Cette holding, qui compte parmi ses clients la vice-présidence du Nigeria, a établi en 2015 sa complexe et opaque architecture financière à Maurice, avec l’aide de Conyers Dill & Pearman. Cette même année, les dirigeants de ce fleuron de la scène « tech » nigériane y évoquent également le transfert de tous les droits de propriété intellectuelle du groupe lors d’une réunion confidentielle dont l’enregistrement sonore figure dans les « Mauritius Leaks ». Ce que conteste néanmoins l’équipe juridique du groupe : « Ce n’est pas un mécanisme frauduleux ni d’évasion fiscale, mais vous devez savoir que cela n’a pas été discuté ni effectué. »
Le cofondateur et PDG de Venture Garden Group, Bunmi Akinyemiju, a été récompensé en 2017 par le Parlement britannique pour sa contribution à la transparence et à la bonne gouvernance grâce aux nouvelles technologies. C’est la face visible du monde merveilleux de la ruée vers l’Afrique. Une manière de faire oublier l’évasion fiscale pratiquée à grande échelle. Parfois par nécessité tant les infrastructures et les systèmes financiers sont fragiles ou défaillants dans certains pays. Mais toujours au détriment de ce que les investisseurs désignent publiquement comme le « continent du futur » dont le symbole de réussite est, pour certains, incarné par Maurice.
Joan Tilouine (avec ICIJ)
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The Hare's Lament · Ye Vagabonds
Superbe, jeune trio irlandais qui marche dans les pas de Planxty
https://www.youtube.com/watch?v=IpvS73yqJEc
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Au Moloco d’Audincourt : Saint Patrick’s Day, Booze Brothers + Tara’s Folk + Mocking Crows
20 ans que les Booze Brothers offrent un punk rock celtique entrainant, authentique et bariolé, respectueux des traditions tout en sachant se faire perpétuellement novateur, comme en témoigne leur dernier album « The Lemming Experience ».Les violons, bodhràns, accordéons et autres flûtes se mêlent aux guitares électriques, à la drum punk rock et aux rythmiques supersoniques créant ainsi une musique ultra énergique, enjouée et tribale. Tara’s Folk est une bouture du groupe de rock irlandais Booze Brothers. Créé en 2008, le groupe s’est détaché de son tuteur en 2016 avec l’arrivée du jeune prodige Rémi Geffroy. Dès lors le trio se dote de son propre répertoire, gardant l’énergie de ses origines en y greffant des passages plus mélodiques. Tara’s Folk développe un son mâtiné de musiques traditionnelles, de rock, de pop et de sensibilité uniques. Mocking Crows est un duo mandoline/guitare de folk dynamique, entre le bluegrass et le punk, qui joue un mélange de compositions originales et de reprises toutes aussi originales (Taylor Swift, The Clash, System Of A Down…). Au Moloco d’Audincourt : Saint Patrick’s Day, Booze Brothers + Tara’s Folk + Mocking Crows , samedi 18 mars 2023 à 21h00. infos > www.lemoloco.com Read the full article
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Le programme de la nuit de la lecture
Comme chaque année, la médiathèque communautaire participe à cet événement national. Elle propose un riche programme adressé à tous les publics.
L’occasion de découvrir un établissement qui reçoit plus de 2 000 emprunteurs au cours de l’année. La programmation démarre le samedi 18 janvier à 17 h 30 (espace jeunesse) : conte animé à la harpe par Évelina Simon Anna et la goutte magique.
Venez vous promener avec Anna, la petite fée, et son fidèle compagnon Doudou, l’ours en peluche, dans la forêt enchantée.
Laissez-vous emporter par les bruitages et musiques d’ambiances réalisés à la harpe, et des marionnettes qui s’animent devant vous. Un moment de calme et de douceur (à partir d’un an).
À 18 h (salle d’expo) : contes avec l’artiste Marcel Deltell, découvrez son exposition et écoutez les histoires de ses personnages fantastiques
À 18 h 30 (1er étage) : voyage sonore familial avec Carine Lefebvre, découverte relaxante d’instruments traditionnels du monde, bols chantants tibétains, gong, tambour amérindien, sansulla, cloches tubulaires… (à partir de 8 ans, 20 personnes maximum, sur inscription au 04 68 81 42 73).
À 19 h 30 (salle d’expo) : concert du groupe Yanora trio : « Notre groupe est composé de Yang au violon, Roxane aux percussions et Nathalie à la guitare. Dans notre répertoire, se mêlent des titres irlandais, des musiques traditionnelles mais aussi des bandes originales de films et plusieurs reprises contemporaines, comme Perfect d’Ed Sheraan ou Havana, de Camila Cabello « .
À 20 h 30 : pause repas. La suite de la soirée est réservée aux adultes uniquement
À 21 h (salle d’expo) : musique, textes, contes, par un groupe d’Argelésiens amoureux d’art.
À 21 h (espace arts) : jeux de société modernes sur le thème de l’art (museum ; Ex-libris…).
Infos au 04 68 81 42 73.
Article Originale : Source
Cet article Le programme de la nuit de la lecture est apparu en premier sur Rent Scoot - Argelès-sur-Mer.
https://rentscoot.fr/le-programme-de-la-nuit-de-la-lecture/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=le-programme-de-la-nuit-de-la-lecture
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FRANCE: Fiona Monbet En concert le 30 octobre à la Cigale Une création en compagnie d'un orchestre de chambre et d'un quintet de jazz
Fiona Monbet
En concert le 30 octobre à la Cigale
Une création en compagnie d'un orchestre de chambre et d'un quintet de jazz
Invitation : pour venir écouter Fiona Monbet le 30 octobre à la Cigale, merci de me confirmer votre présence.
La violoniste Fiona Monbet dévoilera le 30 octobre à la Cigale sa nouvelle création en compagnie d'un orchestre de chambre et d'un quintet de jazz. Cette création de Fiona Monbet mêle écriture et improvisation en une grande forme lumineuse et ouverte : un quartet de jazz, un guitariste folk irlandais, et un orchestre symphonique d'une vingtaine de musiciens.
Avec ce nouveau répertoire qui fait suite à la sortie de son second album Contrebande l'année dernière, la virtuose dévoile ainsi les différentes facettes qui font partie de sa vie artistique, fruit d’un parcours musical considéré comme atypique. Chaque matière qu’elle travaille, le violon classique, l’improvisation, le jazz, la direction d'orchestre, vient nourrir et cultiver l’autre, sous forme de variations qui paraissent infinies.
Au delà de toute forme démonstrative, Fiona Monbet cherche un espace singulier, où voisinent avec bonheur les différents univers musicaux qu’elle explore, dans un dialogue des genres, sans mélange, où chacun d’entre eux conserve son identité. A ne pas rater le 30 octobre à la Cigale.
Pour regarder et diffuser le titre Valse :
https://youtu.be/gCdcCyKPtnI
Repérée très jeune par Didier Lockwood, ce dernier l’a présentée sur les plus grandes scènes et festivals, et la propulse dans le monde de l’improvisation et de la musique actuelle où elle rencontre et collabore avec de nombreux artistes.
Contrebande, c’est le titre choisi par Fiona Monbet pour son second album… Cinq ans après��O’Ceol, la violoniste a bel et bien changé, affirmant plus sa différence de styles qu’une simple virtuosité. Son registre ? Ne pas choisir entre toutes les musiques qui l’animent, composer avec pour élaborer un voyage tout à la fois érudit et sensible, où elle peut aussi bien accoster du côté des rivages du Brésil qu’aborder les terres fertiles de la musique balkanique.
D’une frontière à l’autre, cet album vagabonde parmi les gammes pour mieux défier les œillères qui trop souvent contraignent le regard à un seul prisme, et proposer ainsi un horizon aux larges perspectives, en accord avec sa vision du monde de la musique. Du swing ouvert par ici, du tango tendance nuevo par-là, on peut aller sur le terrain de la valse et la country.
A chaque fois, cet affleurement ne néglige pas d’aller au fond de l’esprit d’une musique. Esthète mais sans épate, à l’image de Fiona Monbet, qui a mené une carrière en double, pour ne pas écrire plus : entre jazz et classique, puis bien vite à l’écoute des musiques folk irlandaises, du swing manouche, des partitions contemporaines…
À ses côtés, elle s’est choisie un trio aux influences tout aussi multiples : le guitariste Antoine Boyer a pour dominante le classique et jazz, le contrebassiste Damien Varaillon, est solidement arrimé au jazz, tandis que l’accordéoniste Pierre Cussac évolue aux frontières des musiques classiques, traditionnelles et improvisées.
Aujourd'hui, Fiona Monbet continue à faire bouger les lignes du classique, du jazz, et de l'impro avec une création qui sera révélée le 30 octobre à la Cigale. Pour ce concert Fiona Monbet choisit de réunir un quartet de jazz, un guitariste folk irlandais, et une vingtaine de musiciens pour une création mêlant écriture et improvisation en une grande forme lumineuse et ouverte.
En concert le 30 octobre 2019 à La Cigale
Site officiel
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Room 666
Elrick attendait les jeunes devant la porte et les laissa entrer alors que dans le salon de la suite ils pouvaient découvrir Jack dans une posture étrange un poirier, jambes écarter. Et plus loin, Malia en short de pyjama, avec un t-shirt trop grand et les cheveux noués hasardeusement en un chignon.
« If ya fail, Jack can say farewell to heirs » dit Faust en se servant une vodka
« I won't fail. » dit Malia « Oh hi ! »
« C'est quoi le pari ? » demanda Morganna en sortant de la salle de bains, pieds nues, portant un simple sweat-shirt trop grand et un slip en dentelle
« Mal doit sauter entre les jambes de Jack sans le touché. » dit Faust en servant une guinness a Mona
« Vous faites toujours des paris comme ça ? » demanda Jongin inquiet pour Jack
« Y a eu pire. » dit Faust « Y a 20 ans c'était pire. »
« Tellement pire... » Elrick rit et se prit un coca « Vous buvez quoi ? »
« On doit être clean demain » murmura Mark
« Vous êtes les invités de Lipsync battle non ? » dit Jack calmement
« Oui ! » Jongin sourit
« Here I go ! » Malia courut et sauta comme on sautait un haie et passa facilement « HAHA ! » Elle fixa Faust « You'll do MY PICK ! » Malia afficha un sourire carnassier et remit ses lunettes
« I hate you » dit Faust
« Lucas mon chouchou, quel est la chanson la plus mielleuse et débordante de bon sentiments ? » fit Malia en prennant le bras de Lucas pour qu'il s'assoit à côté d'elle
« Euh.... Gee .... ? » murmura le géant
« THERE YOU GO ! » Malia sourit a Faust « Your song for tomorrow. »
« I hate you.. » Faust soupira et se resservit un verre de vodka noire pour la descendre cul sec
« Love you bro.. » fit Malia en souriant « Le sex-appeal de JUMP va prendre un coup demain. »
« Oh la ferme. » Elrick rit « T'as gagné une chanson potable... »
« T'avais qu'à pas parier avec Jack. » dit Malia
« Une règle les chéris, parier jamais avec Jack à moins d'être certain de gagner. » Morganna vida sa bière cul sec et rit un peu
« On ne survit pas un cancer sans chance. On ne survit pas non plus 20 ans de vie commune avec vous sans avoir développer des compétences extraordinaire » Jack rit en se remettant debout
« Un... cancer ? » s'étonna Taeyong
« Leucémie une fois a 8 ans, un a 28. » dit Jack, il servit un verre de vin a Jongin « Quand à mes compétences..... elles sont assez standard pour le métier. » Il rit « Disons qu'Elrick a voullut parier sur des compétences de bassiste. »
« Tu le faisais y a dix ans qu'est-ce que j'en savais que tu savais encore le faire... » Elrick rit
« Je suis bassiste... » Jack parrut outré « C'est mon métier ! »
« Je suis le seul curieux ? » demanda Lucas
« Come on show off, show 'em some real rockstar... » fit Malia en souriant
Jack sourit et prit sa basse, la posa dans son cou et joue à l'envers derrière sa tête. Tous le regardaient avec stupeur alors qu'il reposa sa basse en riant.
« Le cancer m'a prit pas mal de choses, mais ça, je l'ai toujours.. » dit-il
« Le talent ne se perd jamais.. » murmura Jongin
« Mec continue et tu finiras dans son pieu. » fit Elrick amusé
« Il serait pas contre. » nota Taemin
« Eh ! » Jongin rougit « On dit pas des choses comme ça.... »
« Mec sauf les meuf tout le monde est gay. » dit Elrick en riant
Sören sortit de la douche, lunettes sur le nez et torse nu, en jogging, montrant toute la puissance et les sculpture qu'était son corps. Il fixa les jeunes puis Morganna en plissant des yeux.
« That's mine. » fit-il
« Mine now ! » Morganna sourit « Donc on parlait sexualité ! » Elle s'étala sur le canapé
« Et on est partit pour l'explications que l'amour a deux c'est nul. » fit Malia « We get it, you're polyamorous. »
« Et je maintiens que c'est la solution contre l'ennui ! » dit-elle en riant
« Mais si on aime on peut pas s'ennuyer..... » dit innocemment Mark
« Y toujours moyen de se faire chier mon chou. » dit Elrick « Mais pas avec moi. »
« Smooth. » soupira Jack en riant « Nous avons tous des avis sur la chose.. »
« Je suis de l'avis de Mona. » dit Taemin « A deux c'est bien.. a trois c'est mieux. »
« Toi et moi on va s'entendre » Elle rit « Tu crois que si je harcèle Lola pour savoir ce qu'elle a prévu pour moi demain elle va me haïr ? »
« A cette heure-ci, Lola pionce. » Dit Malia en prenant le verre de vodka des mains de Lucas « Love, never trust any drinks from Faust. »
« Oh... » Lucas rougit
« That's Liquorice Vodka. » dit-elle
« Urghh... » Lucas grimaça
« Right » Malia rendit le verre « Baekhyunnie on t'entend plus des masses depuis que notre dieu suédois est sortit de la douche... »
« Il est … » Baekhyun cherchait un mot moins vulgaire
« Bandant ? » fit Elrick en prennant la bière de Mark « Kids don't drink.. »
« Hey I... I'm legal. » dit Mark
« Drinking is dangerous. » dit Elrick amusé
« Wh-what if I need alcool for.... courage ? » marmonna Mark
« Encore pire. » Elrick vida la bière dans un ficus
« Moi je pari... » Morganna pointa Sören « Que tu n'es pas souple du tout ! »
« Je gagne quoi si je le suis ? » demanda-t-il blasé
« Le privilège de choisir ma chanson. Lola me tuera mais c'est rien. » Morganna sourit
« Mh. »
Sören s'étira, s'avança vers un mur et monta lentement son pieds sur le mur avant d'être en grand-écart latéral. Il fixa Morganna puis baissa son pieds avant de soupirer.
« J'suis pas sadique.. » Il s'assit dans le canapé « Move. »
« Oh.. » Morganna sourit «��I love you. »
« I know. » dit Sören
« Pourquoi toi t'es méchant avec moi ? » demanda Elrick
« Like you won't selling it ? » dit Jack amusé
« Of course I'll sell it. » Elrick sourit « I'm gay enough to walk in booty shorts, corseted and high heels wearing a wig »
« Lola va faire de toi une femme sublime. » dit Malia
Elrick leva ses mains ou des ongles en acrylique rouge éclatant trônaient. Il riait un peu devant les têtes étonnés.. Et Faust qui secoua la tête.
« Not happening. » dit Faust « Nobody's doin me nails fella. » son accent irlandais ressortait violemment
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Après cette soirée a simplement discuter, SuperM rejoignait le plateau ou ils allaient être les juges du meilleur lipsync KPOP. Le premier a se lancer fut Faust. Si Lola avait réussit à le faire mettre une perruque, blanche, des talons aiguilles et un jeans slim... en haut il avait refuser le corset et la fausse poitrine.. Il avait un regard de tueur pendant sa performance de Gee et même si il ne ratait aucun pas ou parole il avait vraiment des envies de meurtres. La performance suivante fut celle de Malia. Un classique.. Mirotic, mais amener à un autre style vestimentaire par la batteuse. Pantalon en cuir, chaîne, veste en cuir et un soutiens-gorge en cuir, une chorégraphie respectée et une Malia parfaitement consciente de la puissance qu'elle avait. Sören fit une version proche de l'originale avec Neverland, habillée au grand desespoir de Lola qui avait pourtant essayer de le mettre torse nu, sans succès. Vint ce qu'avait appeler Ten le trio de l'enfer. Le premier a se lancer fut Jack. Il portait une chemise noir, un jeans usé destroy gris et des chaussures de ville, et sa version d'If you do fut très très, trop, sexy. Jongin en était au bord de sa chaise... puis vint la bombe. Morganna. La tenue qu'avait préparer Lola était si simple et pourtant si différente. Des cuissardes en cuir noir à talons aiguiles, des bas résilles, ce qui semblait être un slip en cuir noir et une chemise transparente noire, offrant une vue sur son soutiens-gorge noir. Sa version de Move, avec ses cheveux ondulant librement, sa chemise mal boutonnée lui donnant un air de s'être réveiller seulement quelques instants avant et le smokey eye intense donnant a ses yeux vert pomme plus d'intensité, offrait une version encore plus sensuelle d'une chanson déjà au pique de la sensualité. Taemin était conquis, et au yeux brillant de Ten, il avait trouvé sa seconde victime... Vint enfin Elrick qui arriva dans un pantalon en cuir, cuissardes à talons rouge et étant une très très belle femme maquillé offrit une version très proche de l'originale de RED.
C'est a presque l'unanimité que Jack et Morganna finirent ex-æquo.
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« J'assure que mon intérêt pour toi n'est pas que sexuel... » murmura Taemin entre deux baisers
« Et je vous assure tous les deux que je m'en fou. » dit Morganna en embrassant Ten à pleine bouche
« Dans une réserve c'est pas le meilleur endroit. » murmura Ten contre ses lèvres
« Ah c'est su-uhnn-r... » Morganna se recula « Room 666.. Grand Astoria, that's mine. »
Et elle sortit balançant des hanches...
« Hyung, pourquoi j'ai l'impression qu'on signe avec le diable ? » demanda Ten
« Parce que c'est tout à fait ce qu'on fait. » dit Taemin avec un sourire satisfait
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L’analyste de la CIA, Jack Ryan, se retrouve entraîné dans des opérations illégales menées par le gouvernement américain contre un cartel de la drogue colombien.
Origine du film : États-Unis Réalisateur : Phillip Noyce Scénaristes : John Milius, Donald E. Stewart, Steven Zaillian Acteurs : Harrison Ford, Willem Dafoe, Anne Archer, James Earl Jones, Joaquim de Almeida, Miguel Sandoval, Henry Czerny, Benjamin Bratt, Raymond Cruz Musique : James Horner Genre : Action, Crime, Drame, Politique Durée : 141 minutes Date de sortie : 19 octobre 1994 (France) Année de production : 1994 Sociétés de production : Paramount Pictures, Mace Neufeld Productions Distribué par : Paramount Pictures Titre français : Danger Immédiat Notre note : ★★★☆☆
“Clear and Present Danger”, ou “Danger Immédiat” est un thriller d’action datant de 1994, dirigé par Phillip Noyce, à qui l’on doit également “The Giver” (2014). Les acteurs principaux sont Harrison Ford, qu’on a pu voir dans “Le Fugitif” (1993), Willem Dafoe, qu’on a pu voir dans “Aquaman” (2019), Joaquim de Almeida, qu’on a pu voir dans “The Hitman’s Bodyguard” (2017), Miguel Sandoval, qu’on a pu voir dans “Blood Father” (2016), Henry Czerny, qu’on a pu voir dans “Remember” (2015), Harris Yulin, qu’on a pu voir dans “Training Day” (2001), Benjamin Bratt, qu’on a pu voir dans “Shot Caller” (2017), Raymond Cruz, qu’on a pu voir dans “Alien: Resurrection” (1997), James Earl Jones, qu’on a pu voir dans “The Hunt for Red October” (1990), et Anne Archer, qu’on a pu voir dans “Trafficked” (2017). Ce métrage est basé sur le roman du même nom signé de Tom Clancy et publié en 1989.
L’histoire proposée par “Clear and Present Danger” nous invite une nouvelle fois à suivre Jack Ryan (Harrison Ford) qui est désormais directeur adjoint des services de renseignements au sein de la C.I.A. Ce dernier va découvrir que des opérations clandestines sont menées secrètement par une unité spéciale américaine dirigée par John Clark (Willem Dafoe) contre un cartel en Colombie. Bien décidé à y mettre fin, Jack Ryan va échapper de justesse à une attaque terroriste alors qu’il se rend sur place. Découvrant que pour effacer toutes traces de leur participation, des hauts responsables de l’administration américaine, ont décidé d’abandonner leurs hommes sur place, Jack Ryan va organiser lui-même une opération de sauvetage et dénoncer les comportements abusifs de ses collègues….
Après avoir aidé à la capture d’un sous-marin à la technologie avant-gardiste dans “The Hunt for Red October” (1990), et avoir bataillé pour neutraliser des terroristes irlandais dans “Patriot Games” (1992), Jack Ryan monte dans la hiérarchie de la C.I.A. et découvre les magouilles politiques qui règnent dans les sphères de la Maison Blanche. C’est la deuxième et dernière coopération entre Phillip Noyce, le réalisateur, et Harrison Ford pour cette franchise, qui mettra quelques années pour reprendre. Le scénario concocté par un trio composé de John Milius, Donald E. Stewart, et Steven Zaillian, nous fait entrer dans les méandres des services secrets et des magouilles politiques.
On peut apprécier le mélange des genres, les pièges du pouvoir, lance-roquettes, voitures qui explosent, missiles de haute technologie qui font exploser des maisons, l’amour du drapeau, cérémonie honorifique lors du décès d’un haut dignitaire, commando en action dans la jungle colombienne et pour couronner le tout, double langage politique. Cependant, le personnage de Jack Ryan apparaît comme relativement creux. Il est vertueux à l’extrême, se veut être un combattant sans faille pour le bien et la justice, une forme de super-héros sans pouvoir.
Les personnages comme John Clark (Willem Dafoe), le Captaine Ramírez (Benjamin Bratt), ou encore le Caporal Chavez (Raymond Cruz), sont nettement plus intéressants, et c’est d’ailleurs par eux que l’action est construite, mais ils s’avèrent terriblement sous-exploités. A contrario, James Earl Jones amène son personnage à tirer sa révérence, tandis qu’Anne Archer, bien qu’également sous-exploitée, offre une épouse dépiter de retrouver son époux embringué dans des affaires compliquées, et même dangereuses.
Les valeurs de productions sont de très bonne facture, les cinéastes disposant d’un budget de plus de 50 millions de dollars, ce qui, au milieu des années 1990, était déjà important. La photographie, signée Donald McAlpine, est plus que correcte. Les scènes d’action, bien que pas assez nombreuses à notre goût, sont bien orchestrées. Ce dernier étant loin d’être un novice, œuvrant à Hollywood depuis le début des années 1970, avec des métrages comme “Predator” (1987), “Medicine Man” (1992), “Mrs. Doubtfire” (1993), “X-Men Origins: Wolverine” (2009), ou encore “Ender’s Game” (2013). La bande musicale, éditée par James Horner, est discrète, mais reste harmonieuse par rapport aux événements du récit. Reste que le métrage est nettement trop long avec 141 minutes. Il aurait probablement gagné en percussion avec un montage plus serré. Dans le cas présent, on finit par trouver le temps long…
En conclusion, “Clear and Present Danger” est un thriller disposant d’une histoire peu passionnante, qui se perd en conjectures politiques. L’intrigue est quelque peu brouillonne et le développement tire en longueur avec un manque de scènes d’action. Le rythme est poussif, le récit est fluide et la narration est linéaire. La photographie est correcte, les quelques scènes d’action sont suffisamment bien orchestrées pour faire regretter leur faible fréquence. La distribution offre des prestations correctes, mais certains acteurs sont clairement sous-exploités. Harrison Ford semble s’ennuyer en traversant le métrage avec une certaine nonchalance. À cette date, il s’agit du Jack Ryan le moins attractif de la franchise.
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CLEAR AND PRESENT DANGER (1994) ★★★☆☆ L'analyste de la CIA, Jack Ryan, se retrouve entraîné dans des opérations illégales menées par le gouvernement américain contre un cartel de la drogue colombien.
#Anne Archer#Benjamin Bratt#Harrison Ford#Henry Czerny#James Earl Jones#Joaquim de Almeida#Miguel Sandoval#Phillip Noyce#Raymond Cruz#Willem Dafoe
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Dîner Concert avec le trio folk irlandais Les O'dinkys Samedi 28 août à 20h À l'Auberge du Bramont Réservez vos moules frites au 0466327818 -0662491168 #aubergedubramont #dinermusical #dinerspectacle #soiréeirlandaise #soirée (à Auberge Du Bramont) https://www.instagram.com/p/CS_htYeNl6g/?utm_medium=tumblr
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