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#Le collectionneur de voeux
karmhantra · 1 year
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Tout dépend toujours de toi, Jonah. Depuis le début. Le monde réagira comme il réagira. Ça n'est pas ton problème. Aie d'abord foi en ta propre valeur et le monde ne t'importera plus autant.
Le collectionneur de voeux, Mia Sheridan
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latribune · 2 years
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Les heures claires de la Villa Savoye
Les heures claires de la Villa Savoye
Villa Savoye La Villa Savoye est construite par Le Corbusier en 1928 à la demande de Pierre et Eugénie Savoye qui ne sont ni collectionneurs, ni forcément amateurs d’architecture moderne contrairement aux Noailles (villa Cavrois, Mallet-Stevens). Le Corbusier, d’ailleurs n’écoute que d’une oreille les voeux de ses clients et ne s’en tient qu’à cette pensée de fonctionnalisme.La Villa est dite…
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hurlumerlu · 6 years
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@larosezen, bonjour et bonne année ! Je suis vraiment navré.e d’être aussi en retard pour ton cadeau, mais je n’avais pas internet (ni même l’eau chaude, le chauffage et l’électricité pendant un temps, c’était un peu le bazar). J’espère que tu as passé d’excellentes fêtes de fin d’années et que mon cadeau te plaira assez pour que tu me pardonnes toute cette attente. Meilleurs voeux pour l’année qui s’annonce !
Douces nuits
Fandom: The Man From U.N.C.L.E. Category : Gen Relationships : une pincée de Gaby/Illya/Napoléon Characters : Gaby Teller, Napoléon Solo, Illya Kuryakin, Alexander Waverly
Istanbul, 24 décembre 1963 :
  Au cœur de l'action tout avait été plus facile. Ils étaient tous les trois les instruments (les agents) d'une volonté unique : arrêter Victoria. Si on avait demandé à Gaby de décrire leur relation à cet instant, elle aurait parlé en termes de mécanismes, de composants de moteur. Quelque chose d'élémentaire, de familier et d'intuitif.   Dans les heures qui avaient suivi le règlement brutal et définitif de la question Vinciguerra, les choses avaient été encore plus simples. Elle pensait ne jamais revoir ni Illya, ni Napoléon. Il lui avait suffit d'éviter soigneusement le regard du second et de n'échanger avec le premier que quelques phrases, quelques touches passionnées qu'elle pensait emmener avec elle dans ce que lui réservait Waverly (quoi que cela puisse être) et le tour était joué.
  Elle n'aurait jamais prévu que ce qu'il lui réservait, justement, c'était plus de temps passé en présence des deux hommes, c'était la recréation d'une équipe efficace mais fragile, c'était Istanbul.
  Une mission de surveillance peu riche en émotion, où ils passent le plus clair de leur temps enfermés dans un grenier ayant vue sur l'hôtel particulier d'un baron de la drogue. La pièce est pourvue de deux fenêtres pour trois, d'un matériel d'écoute pour trois, d’un plafond en pente contre lequel Illya et Napoléon ne cessent de se cogner et d’un poêle qui ne marche pas. Illya se déplace autour de Gaby en prenant soin de ne jamais la toucher, comme un ours inquiet d'abîmer une poupée de porcelaine. Napoléon, lui, fait comme si rien n'avait changé entre eux trois et Gaby ne sait pas comment dire qu'elle est désolée. Désolée de les avoir trahis, désolée d'avoir jeté Napoléon dans les griffes d'oncle Rudi, désolée surtout de savoir au plus profond d'elle-même que si tout était à refaire, elle ne changerait aucun de ses choix. Elle n'a jamais été douée pour les excuses.  Il fait nuit et beaucoup plus froid qu'elle ne l'aurait cru possible à Istanbul. La neige tombe doucement depuis maintenant deux jours. C'est entre vingt-trois heures et minuit, lorsque Gaby se lève pour aller cherche la bouteille de raki achetée un peu par hasard ce matin, qu'a lieu leur petit miracle de Noël. Car au même moment les deux hommes sortent de leur veste qui une boîte de loukoums hors de prix et qui un pot de terrine aux truffes déniché Dieu sait où. Gaby sert trois verres minuscules, observe Napoléon et Illya qui la regardent sans rien dire. Elle se sent soudain libérée d'un grand poids.  - A quoi trinquons-nous ? Demande-t-elle.  - A nous, répond Napoléon.  Ce qu'ils font, Gaby découvrant qu'elle n'aime pas le raki.   - Eh bien, sourit Illya. Joyeux Noël, je suppose.
Florence, 25 décembre 1967 :  Waverly est livide au bout du fil. Cela s'entend à sa façon d'articuler. Trop furieux pour crier, ou pour l'invectiver, il se contente d'énoncer clairement, méthodiquement, les conséquences de leur échec. Des dégâts matériels énormes. Un informateur mort. Sept agents UNCLE dont la couverture est compromise. Des milliers de vies en danger.  Gaby jette un coup d’œil à ses deux collègues et constate qu'ils se sont inconsciemment agencés comme ils le font d'ordinaire dans le bureau de leur supérieur. Napoléon harmonieusement installé dans un fauteuil, cherchant (et pour une fois échouant dans les grandes largeurs) à distiller un air d'assurance nonchalante. Illya debout presque au garde-à-vous, surveillant à la fois la porte et les fenêtres tel un panoptique. Il ferme et referme ses poings, se haïssant probablement de n'avoir pas été assez aux aguets, pas assez réactif, de n'avoir pas pu empêcher... Et elle-même, appuyée comme toujours contre le mur, focalisée sur les paroles de Waverly. Mais ses paroles sont différentes cette fois et Gaby croirait presque entendre la voix de son père (l'adoptif, le vrai).   - Je ne pense pas avoir besoin, continue-t-il, de réitérer l'urgence de la situation. Cela ne ferait qu'insulter à la fois votre sens du devoir et votre intelligence. Reprenez-vous en mains, agents. Je n'aurais pas placé un tel fardeau sur vos épaules si je ne vous avais pas pensé capable de le supporter.  Gaby hoche la tête avant de se souvenir qu'elle est au téléphone :  - Je vous recontacterai quand la menace aura été éliminée.   - Vous avez toute ma confiance. Oh, et joyeux Noël, je suppose.   Elle a déjà raccroché.
Shanghai, dans la nuit du 24 au 25 décembre 1972 :
  Leur cible est un homme de cinquante-sept ans, un peu trapu, très ambitieux, qui n'aime pas les soviets. Qui n'aime vraiment, vraiment pas les soviets, comme il le répète ad nauseam, sa voix rebondissant sur les murs de tôle.  Gaby ne voit pas l'expression de l'homme, il lui tourne le dos ; pas plus qu'elle ne voit Napoléon, qu'elle sait derrière elle, prêt à la couvrir du mieux qu'il peut. Mais elle ne voit pas non plus le hangar, ni les conteneurs entreposés, ni même les poutrelles glacées, glissantes, grinçantes, sur lesquelles elle avance subrepticement depuis tout à l'heure. Elle ne voit qu'Illya, ses traits blafards, la sueur sur son front, ses mains crispées sur son abdomen, la couleur du sang.  Leur cible parle toujours. Parle et parle et parle et Gaby fait un pas après l'autre, ignorant son vertige puisqu'elle ne voit pas le vide, puisqu'elle ne voit qu'Illya. Illya qui ignore leur présence, Illya qui se croit seul face à une mort certaine.  Leur cible parle et Gaby voudrait lui crier des encouragements. « Continuez » a-t-elle envie de hurler. « Continuez donc ! Expliquez-nous plus en détail comment vous avez immédiatement soupçonné Illya à cause de son accent russe, redites-nous à quel point on ne peut pas leur faire confiance, reparlez-nous de votre vie, de tout ce qui a nourrit votre haine, ne vous arrêtez pas, ne vous arrêtez surtout pas de parler. »  Elle est presque au-dessus de lui, plus que quelques centimètres à parcourir pour atteindre son but et Gaby soudain voit tout, pas seulement Illya, plusieurs mètres en-dessous d'elle, mais aussi le sol (plusieurs mètres en-dessous d'elle) et cet homme qui parle encore (plusieurs mètres en-dessous d'elle) et Napoléon, trop lourd pour les poutres, dont le visage a, lorsqu'elle se retourne vers lui, cet air inexpressif, comme coulé dans la cire, qui lui vient parfois dans les situations de vie ou de mort.  - Mais l'heure tourne, dit l'homme en-dessous d'elle, et j'ai encore beaucoup à faire. Joyeux Noël, je suppose.  Il lève son arme.  Gaby saute dans le vide.
Paris, 24 décembre 1975 :
  L'arbre de Noël est aux sapins ce qu'Illya est aux hommes, ce par quoi Gaby entend « absolument gigantesque ». Des cadeaux y ont étés entassés au cours de la soirée et une grande femme vêtue de cachemire noir les sélectionne les uns après les autres pour lire à voix très haute le nom inscrit dessus.  Le présent qu'elle vient de soulever est léger et souple, Gaby reconnaît immédiatement le paquet qu'elle a emballé avec Illya dans du papier gris perle et n'est donc pas surprise quand Napoléon est appelé à son tour.  Si on avait dit à la Gaby d'avant-guerre  qu'elle réveillonnerait avec la crème de la crème, le haut du panier de l'avant garde artistique parisienne, elle aurait cru en sa bonne étoile et travaillé dur pour que cette prophétie se réalise. Si on avait dit la même chose à la Gaby d'après-guerre, elle aurait haussé les épaules et serait retournée à ses voitures. Ce soir-là, pourtant, ce sont bien les artistes les plus courus de Paris qui se pressent autour d'elle et la traitent comme l'une des leurs. Leur mission actuelle (intégrer le cercle d'amis d'un peintre soupçonné d'espionnage) s'est révélée beaucoup plus simple et agréable que prévue.  Illya se fait passer pour un danseur-chorégraphe, Napoléon pour un collectionneur et Gaby, elle, assemble des sculptures immenses avec de vieilles guimbardes désossées. Elle y a vite pris goût et s'est plus d'une fois surprise à griffonner les esquisses d’œuvres futures dans les brouillons de ses rapports.  Elle ne saurait dire lequel d'entre eux a eu l'idée de les faire passer pour un trio polyamoureux, tant ce mensonge leur est venu aisément. Il est efficace dans ce milieu qui tente désespérément d'être à la page et démontre une indulgence sans faille pour tout ce qui est considéré comme « excentrique »... et ils savent tous les trois se montrer très convaincants. Gaby essaye de ne pas trop s'inquiéter de cette constatation, de l'aisance avec laquelle ils parviennent à fonctionner en couple (trio? trouple ? ménage à trois ? bref). Pour l'instant elle savoure, on verra plus tard.  Elle ne sait pas trop non plus qui, d'Illya ou d'elle, s'est mit le premier en tête de refaire la garde-robe de Napoléon dont les tenues sont bien trop vieux-jeu pour infiltrer un milieu aussi branché. Il se détache d'eux, vêtu d'un pantalon chenille et d'une chemise décontracté qui lui donne l’air jeune, un peu naïf. Il ouvre son cadeau : un manteau de laine bleue marine à boutons argentés, coupe parfaite, signé Pierre Cardin. Chic mais moderne, choisi par Gaby et Illya parce qu'ils savent que Napoléon en appréciera la qualité mais sera gêné par son côté informel. Il l'enfile et parade un peu sous les compliments de l'assemblée puis revient enlacer ses partenaires.  - Vous êtes deux monstres, chuchote-t-il. Je me sens complètement nu dedans.  - Je doute que ton costume d'Adam soit aussi bien taillé, répond Illya du tac au tac.   Gaby se force à boire une gorgée de champagne pour ne pas ricaner.  - Deux monstres, répète Napoléon. Mais je vous souhaiterai malgré tout un joyeux Noël, je suppose.  Une fois la mission terminée, lorsque le pantalon et la chemise refont place aux costumes trois-pièces, le manteau reste. Dresde, 25 décembre 1979 :
  Elle revient à elle par à coups, par vagues. Rien qu'à l'oreille, elle sait qu'elle est dans un hôpital. Elle se souvient de s'être faite tirer dessus. Après ça, pas grand chose. Elle a mal à peu près partout et se demande si c'est normal. Ne devrait-elle pas être sous anti-douleurs ? Cela la décide à ouvrir les yeux.  Elle voit d'abord le plafond, blanc piqueté de bleu, crasseux. Puis le mur d'en face, orné d'une horloge (il est donc cinq heure du matin) et d'une guirlande. Puis, à sa droite, la porte vitrée qui donne sur le couloir. Enfin, lorsqu'elle tourne la tête du bon côté, Illya et Napoléon endormis l'un contre l'autre sur des chaises en plastique.  Napoléon a de plus en plus de cheveux gris, soulignés sans pitié par la lumière des néons. Illya a des rides de rire au coins des lèvres et des yeux. Ils sont sales, tous les deux, et mal rasés, leurs vêtements boueux et froissés. Gaby les trouve beaux. Lorsqu'ils s'éveillent et la regardent, l'affection la submerge :
  - Eh bien, sourit-elle. Joyeux Noël, je suppose.
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n5869 · 3 years
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Attendez-Vous Avec Impatience Le Noël Disney De Cette Année
Le pourrait aller sur et sur . La quatrième édition de la Foire Internationale de Heifei de hotel entrée parc disneyland en or et pierres précieuses enregistré environ 130 millions de RMB (environ 21,3 millions ) d'une valeur de commandes par rapport à 69 millions de RMB (environ 11,3 millions ) l'année dernière, des nouvelles chinoise locale portail anhuinews rapporté recently. Issu d'une longue lignée de tailleurs de pierres précieuses, Isabelle Langlois est devenu un créateur de sejour disney vente privée 2016 et a fondé sa propre compagnie, en imaginant des collections pour femmes et jongler avec les couleurs, les coupes et les tailles des pierres et les couleurs d'or, tirant son inspiration de nombreuses sources y compris la nature, climats lointains, le monde sous-marin ou les immenses ciels, les arts.We croire que d'entrer dans le commerce de détail en aval ne sera pas seulement nous aider à diversifier nos canaux de revenu, mais permettra également d'améliorer la rentabilité des groupes. Gemfields Londres va ainsi contribuer à assurer un approvisionnement constant de. Chers lecteurs, Meilleurs voeux mousseux pour Noël etla nouvelle année et je vous remercie pour votre Disney Déguisements soutien tout au long international vente privée eurodisney 2021. Tout au long des années, 'la Grande Maison' a met son inventivité au service d'une meilleure intégration des personnes et de l'environnement dans son développement. Notre collection Diwali spécial est conçu pour refléter la joie et l'éclat de la fête. la ligne comprend des boucles d'oreilles serties de marie disney baby convertibles, poignets de disney princess jeux et des anneaux fixés autour de semi pierres précieuses et précieuses, et leur Pocahontas Disney pièce maîtresse, le bracelet à la main, qui enveloppe le dos de la main de mickey disney et d'or dans différents modèles et couleurs royal Asscher Diamond Company ont annoncé leur dernier ajout à leur distribution ;. Il est de mon honneur de faire partie de la tradition continue.Ce collection de hotel dans disney sophistiqués d'icônes de style parisien Hélène Rochas a attiré l'intérêt de nombreux collectionneurs internationaux et vendu à 100 pour cent, réalisant un total de 2,3 million. Platinum Guild international USA, l'marketingarm US pour l'industrie des bijoux en platine dans le monde entier, et Bridalare de David partenariat pour lancer les «Moments de platine du concours» sur Bridal Facebook IlNovember. reduction hotel disney est déterminé à aider ces élèves à devenir les leaders de demain de l'industrie.131, la vente de 89 pour cent par lot et 96 pour cent en valeur des mickey minnie disney exceptionnels autrefois partie de la collection de Simón Itturi Patiño, connu sous le nom des Andes Rockefeller, vendus bien au-dessus de leurs estimations pré-vente totalisant 14,7 million.A directeur général de Jasun magasin de Disney Ensemble De 6 Pailles Souples Mickey Mouse Un choix intelligent dans Guangbai Shopping Mall a déclaré que son magasin a vendu plus de 50 anneaux pendant le week-end avant Singles Day, qui était plus que doubler le nombre de sonneries que l'entreprise aurait vendus sur un week-end normale sale. Kleins hotel dans le parc disney a été spécialement créé pour le musée et affiché dans quatre scènes différentes conçues par Dámaso Randulfe. la consommation de tour de lit bébé disney en or a atteint 164 tonnes au troisième trimestre de 2013, en hausse de 29 pour cent par rapport à la même période l'an dernier. Ce Comité de suivi de diamant naturel travaillera avec Disney Jouets diverses associations professionnelles.
www.soldedisney.com/
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jeanetjeannepatin · 6 years
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Mercredi 2 janvier 2019 à 19H sur Radio-Radio, (hertzien Toulouse : 106.8 Mhz ou sur http://62.210.215.26:8000/xstream ) diffusion d'une nouvelle émission de la Petite Boutique Fantasque, la première de 2019, comportant une séquence sur la place Pinel, des voeux de bonne année glissant...
Liste des morceaux diffusés :
1) Stardust (Lionel Hampton)
2) Attention au départ (Jean-Christian le Ménestrel)
3) Bonne année (Les Silver d'argent)
4) Au-delà du délire (Ange)
5) Larks' tongue in aspic (part 1) (King Crimson)
6) Aladdin Sane (David Bowie)
7) Sabroso (Compay segundo)
+ chroniques de l'univers (place Pinel n°17) : les collections et collectionneurs de la place Pinel interprétée par Marius Pinel
Pour ceux qui auraient piscine indienne, ou toute autre obligation, il y aura possibilité de rattrapage avec les podcasts
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jenkell6 · 8 years
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Laurence Jenkell Artiste sculptrice peintre vit et travaille à Vallauris (une Vallaurienne), vous présente ses meilleurs voeux en cette nouvelle année. L'artiste possède également son atelier à Vallauris où elle crée ses oeuvres entourée de son équipe d’assistants. Les oeuvres de Laurence Jenkell mondialement reconnues sont exposées aux côtés des oeuvres de Pablo Picasso, ,Miró, César, Arman, Chagall Fernand Léger dans plusieurs grandes galeries à travers le monde, New York, Caracas, Miami , Singapour, Londres, Paris, Beyrouth, Séoul, Hong Kong, Séoul, Dubai... Laurence Jenkell après plusieurs années de travail et de recherches expose ses oeuvres dans des musées et fondations internationales et participe également à de nombreuses ventes caritatives à travers le monde et vend ses oeuvres à des collectionneurs, amateurs d’arts et grandes entreprises mondiales. #Jenkell #Artiste #OeuvresBonbons #Sculptrice #Peintre #BonneAnnée #MeilleursVoeux #LaurenceJenkell #sport #association #Vallauris #Monde #Fondations #Musées #Galeries #VentesCaritatives #Dons #Collectionneurs #César #Miró #Picasso #PabloPicasso #Arman #Chagall #fernandleger
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karmhantra · 8 months
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karmhantra · 2 years
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Des lys… Mettez-les sur votre perron. Ma mère disait toujours que la meilleure façon d'accueillir les gens chez soi, c'était de leur montrer que l'on tenait à leur donner une bonne première impression.
Le collectionneur de voeux, Mia Sherida
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karmhantra · 2 years
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Jonah, murmura-t-elle sans le quitter des yeux. C'est toi qui ne comprends pas que tu devrais marcher la tête haute et porter ces cicatrices comme les blessures de guerre, les signes de ta bravoure qu'elles sont. Moi, j'entrerais fièrement dans n'importe quel restaurant à ton bras. Et tu garderais les yeux rivés sur moi, sur personne d'autre. Sur moi, Jonah. Qui se soucie du regard des gens ? Ces cicatrices dont tu as tellement honte, elles sont la preuve que tu t'es jeté sur un fou pendant que tout le monde prenait ses jambes à son cou.
Le collectionneur de voeux, Mia Sheridan
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