#Le Voyant II (La Mort et l’Homme)
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Egon Schiele, Le Voyant II (La Mort et l’Homme), 1911
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La Foi, Ce Mystère !
La Bible PDF !
Et il dit: » Qui es-tu, Seigneur ? » Actes 9, v. 5
Grâce au miracle de la Rédemption, Saul de Tarse, Pharisien ardent et opiniâtre, fut en une seconde transformé en humble esclave, dévoué au Seigneur Jésus.
Ce qui peut s’expliquer n’a rien de miraculeux. Lorsque nous comprenons comment les choses se passent, nous pouvons les ajuster à nos désirs. C’est pourquoi tout naturellement nous cherchons à comprendre. L’obéissance n’est pas une chose naturelle, et la désobéissance n’est pas forcément un péché. Il n’y a dans l’obéissance en elle-même aucune vertu morale, à moins qu’on reconnaisse chez celui qui donne les ordres une autorité supérieure. La désobéissance peut être le moyen de s’affranchir d’une autorité abusive. Quand un homme dit à un autre: » Il faut… tu dois… » il tend à l’asservir et à l’éloigner de Dieu. L’homme en obéissant devient esclave, à moins qu’il ne discerne par-delà l’autorité de l’homme, celle d’un Dieu saint auquel il se soumet.
Bien des personnes ne commencent à se tourner vers Dieu que lorsqu’elles rejettent leurs traditions religieuses. Car il n’y a qu’un seul Maître légitime du cœur humain et ce n’est pas la religion, mais Jésus-Christ. Mais malheur à moi si, le voyant devant moi, je lui dis: » Non, je ne te veux pas! » II n’insistera pas pour que j’obéisse, mais en refusant j’aurai commencé à signer l’arrêt de mort du Fils de Dieu dans mon cœur. Lorsque je m’oppose à Jésus-Christ, en lui disant : » Je refuse « , il n’insistera pas. Mais je tourne le dos à la puissance créatrice de sa Rédemption. La grâce de Dieu ne s’inquiète pas de savoir à quel point je suis corrompu, pourvu que je vienne à la lumière, mais malheur à moi si je tourne le dos à la lumière! (voir Jean 3, v. 19 à 21).
AMEN, soyez bénis 🙏🔥✝️
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l’Évangile au Quotidien
« Dès lors Jésus se mit à prêcher et à dire : ‘Convertissez-vous, car le Royaume des cieux est tout proche’ » (Mt 4,17)
l’Évangile au Quotidien
« Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68
Mardi 13 Juillet
Livre de l'Exode 2,1-15a.
En ces jours-là, un homme de la tribu de Lévi avait épousé une femme de la même tribu.
Elle devint enceinte, et elle enfanta un fils. Voyant qu’il était beau, elle le cacha durant trois mois.
Lorsqu’il lui fut impossible de le tenir caché plus longtemps, elle prit une corbeille de jonc, qu’elle enduisit de bitume et de goudron. Elle y plaça l’enfant, et déposa la corbeille au bord du Nil, au milieu des roseaux.
La sœur de l’enfant se tenait à distance pour voir ce qui allait arriver.
La fille de Pharaon descendit au fleuve pour s’y baigner, tandis que ses suivantes se promenaient sur la rive. Elle aperçut la corbeille parmi les roseaux et envoya sa servante pour la prendre.
Elle l’ouvrit et elle vit l’enfant. C’était un petit garçon, il pleurait. Elle en eut pitié et dit : « C’est un enfant des Hébreux. »
La sœur de l’enfant dit alors à la fille de Pharaon : « Veux-tu que j’aille te chercher, parmi les femmes des Hébreux, une nourrice qui, pour toi, nourrira l’enfant ? »
La fille de Pharaon lui répondit : « Va. » La jeune fille alla donc chercher la mère de l’enfant.
La fille de Pharaon dit à celle-ci : « Emmène cet enfant et nourris-le pour moi. C’est moi qui te donnerai ton salaire. » Alors la femme emporta l’enfant et le nourrit.
Lorsque l’enfant eut grandi, elle le ramena à la fille de Pharaon qui le traita comme son propre fils ; elle lui donna le nom de Moïse, en disant : « Je l’ai tiré des eaux. »
Or vint le jour où Moïse, qui avait grandi, se rendit auprès de ses frères et les vit accablés de corvées. Il vit un Égyptien qui frappait un Hébreu, l’un de ses frères.
Regardant autour de lui et ne voyant personne, il frappa à mort l’Égyptien et l’enfouit dans le sable.
Le lendemain, il sortit de nouveau : voici que deux Hébreux se battaient. Il dit à l’agresseur : « Pourquoi frappes-tu ton compagnon ? »
L’homme lui répliqua : « Qui t’a institué chef et juge sur nous ? Veux-tu me tuer comme tu as tué l’Égyptien ? » Moïse eut peur et se dit : « Pas de doute, la chose est connue. »
Pharaon en fut informé et chercha à faire tuer Moïse. Celui-ci s’enfuit loin de Pharaon et habita au pays de Madiane.
Psaume 69(68),3.14.30-31.33-34.
J'enfonce dans la vase du gouffre,
rien qui me retienne ;
je descends dans l'abîme des eaux,
le flot m'engloutit.
Et moi, je te prie, Seigneur :
c'est l'heure de ta grâce ;
dans ton grand amour, Dieu, réponds-moi,
par ta vérité sauve-moi.
Et moi, humilié, meurtri,
que ton salut, Dieu, me redresse.
Et je louerai le nom de Dieu par un cantique,
je vais le magnifier, lui rendre grâce.
Les pauvres l'ont vu, ils sont en fête :
« Vie et joie, à vous qui cherchez Dieu ! »
Car le Seigneur écoute les humbles,
il n'oublie pas les siens emprisonnés.
Évangile de Jésus-Christ selon Matthieu 11,20-24.
En ce temps-là, Jésus se mit à faire des reproches aux villes où avaient eu lieu la plupart de ses miracles, parce qu’elles ne s’étaient pas converties :
« Malheureuse es-tu, Corazine ! Malheureuse es-tu, Bethsaïde ! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez vous avaient eu lieu à Tyr et à Sidon, ces villes, autrefois, se seraient converties sous le sac et la cendre.
Aussi, je vous le déclare : au jour du Jugement, Tyr et Sidon seront traitées moins sévèrement que vous.
Et toi, Capharnaüm, seras-tu donc élevée jusqu’au ciel ? Non, tu descendras jusqu’au séjour des morts ! Car, si les miracles qui ont eu lieu chez toi avaient eu lieu à Sodome, cette ville serait encore là aujourd’hui.
Aussi, je vous le déclare : au jour du Jugement, le pays de Sodome sera traité moins sévèrement que toi. »
- © AELF, Paris
« Dès lors Jésus se mit à prêcher et à dire : ‘Convertissez-vous, car le Royaume des cieux est tout proche’ » (Mt 4,17)
Jésus appelle à la conversion. Cet appel est une partie essentielle de l'annonce du Royaume : « Les temps sont accomplis et le Royaume de Dieu est tout proche ; repentez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle » (Mc 1,15). Dans la prédication de l'Église cet appel s'adresse d'abord à ceux qui ne connaissent pas encore le Christ et son Évangile. C'est pourquoi le baptême est le lieu principal de la conversion première et fondamentale. (...)
Or, l'appel du Christ à la conversion continue à retentir dans la vie des chrétiens. Cette seconde conversion est une tâche ininterrompue pour toute l'Église qui « enferme des pécheurs dans son propre sein » et qui « est donc à la fois sainte et appelée à se purifier, et qui poursuit constamment son effort de pénitence et de renouvellement » (Vatican II LG 8). Cet effort de conversion n'est pas seulement une œuvre humaine. Elle est le mouvement du « cœur contrit » (Ps 50,19) attiré et mû par la grâce à répondre à l'amour miséricordieux de Dieu qui nous a aimés le premier (cf. 1Jn 4,10). (...)
Le cœur de l'homme est lourd et endurci. Il faut que Dieu donne à l'homme un cœur nouveau (Ez 36,26s). La conversion est d'abord une œuvre de la grâce de Dieu qui fait revenir nos cœurs à lui : « Convertis-nous, Seigneur, et nous serons convertis » (Lm 5,21). Dieu nous donne la force de commencer à nouveau. C'est en découvrant la grandeur de l'amour de Dieu que notre cœur est ébranlé par l'horreur et le poids du péché et qu'il commence à craindre d'offenser Dieu par le péché et d'être séparé de lui. Le cœur humain se convertit en « regardant vers Celui que nos péchés ont transpercé » (cf. Za 12,10; Jn 19,37).
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Prière de la fin des temps
J’ai le style. Le regard. Les craintes et l’envie. Je sais de quoi je veux parler. De ce monde qui n’en finit plus de tomber. Bien sûr que si, il chute. II tombe de plus en plus bas. Il vrille dans le néant. C’est mécanique, son axe s'effiloche. A sa suite tout le monde perd pied. Mais personne ne veut l’admettre.
Je ne veux pas écrire pour un lointain lecteur des temps futurs. Je ne crois plus en l’avenir. J’écris pour Dieu. Je n’écris plus je prie en tapant des mots.
Un jour je t’ai demandé de vivre assez vieux pour voir la fin des temps. Je ne crains plus qu’une chose, être exaucer bien trop rapidement.
Je cruste les derniers détails avec attention. Je commencerai presque à perdre patience. La technologie est là, l’idéologie aussi. Tout est en place pour un ultime tour de piste... Le ballait prend forme. Attention Mesdames et Messieurs cela va commencer.
Tu sais tous ça toi. Depuis longtemps. Tu aurait même prévenu le vieux Saint Jean sur le mon Patmos.
Mais voila personne ne veut rien comprendre. Je suis sur ce point là comme tout le monde. Je n’entends rien . Mais j’attends c’est tout. Et plus ça dure, plus ça se ressent. Comme une odeur de brûlé. Le monde crame et les gens se réjouisse du bon temps qui fait, de la chaleur ambiante, de l’absence de neige cet hiver ou de l’oubli de la pluie ce printemps. Je me demande si on va me résister à l’été. L'automne s’annonce ici ou là houleux.
Les temps crépusculaires sont une réjouissance pour les masses. Plus le monde s’enfonce plus elles exultent. Suis je le seul à m’inquiéter? Faux t il-attendre quelque chose d’autre? Que dois je espérer? Que puis-je rêver, que me demande-tu de prier ? Que puis je faire pour me sauver, sauver les gens que j’aime, sauver les autres, tout les autres? Le veulent-ils en veulent-ils là peine? Tu dois savoir! Aides moi!
Quel étrange prière de la fin des temps où le poète prie pour savoir comment priez! Je te le demande donne moi les mots qui feront que tout aille mieux.
Pour l’instant je me sens inutile. Je pourrait crier sur les toits que la fin est proche, on m’écouterai comme un Casandre: bref on ne m’écoutera pas.
Alors je témoigne pour toi seul.
Pourquoi vit-on l’époque où l’on vit. C’est trop gros... moi même j’en douterai; toutes les époques se sont cru la dernière. Et pourtant là je le sens, la fin est plus proche que jamais. Les technologies sont là, l’idéologie aussi. Tout est là, tout se lasse. Tout trépasse. Et le monde s’en réjouis.
Je voudrai témoigner de la fin des temps... à ceux qui vont survivre. Mais à la fin il ne restera rien et personne. J’écris donc pour toi seul. Mon orgueil est d’écrire. On me lit depuis les commencements. J’écris le dernier des grands textes. Le chef d’oeuvre ultime ? Le dernier que tu lira sur Terre peut être.
Tu commença avec des mots. Les mots, la parole furent à la Genèse. Puis tu créa les langues pour nuire aux hommes prétentieux. Sous peu ma langue française va mordre la poussière elle aussi. Je déteste cette idée d’être l’un des derniers. Dans l’histoire de la culture j’aimais moi que les temps nouveaux, les oeuvres de jeunesse, celles qui restent encore maladroite mais celles où naissent le souffle créateur, celle qui feront datent un certain temps: les primitifs.
Suis-je premier dans mon geste dernier?
Aujourd’hui je me coupe du Monde. Je sens que trop fort son odeur puante qu’ils appellent parfum d’un ordre nouveau.
Et pourtant je l’avoue je veux encore faire monde. Je veux que ma prière soit lu par plein d’autres que toi. Je me rêve encore éditer, je me veux succès des libraires, lauréats de tout les prix. J’imagine public et critique unanime. Je me rêve déclencheur d’un élan nouveau. D’une vraie renaissance. Laisse moi rêver que le monde puisse ce relever pour au moins mille ans. Laisse nous un millénaire de répit. Laisse nous une seconde, voir troisième chance, je ne sais plus les compter. Si tu a besoin d’un chef pour ça je veux bien le devenir, si tu as besoin d’un auteur je veux bien le devenir, si tu as besoin d’un simple esclave je veux bien le devenir. Je serai ton serviteur quelconque sans raison sociale apparente. Aujourd’hui j’écris cette prière, car je ne sais pas faire autre chose. Car je n’ai pas d’autre courage, d’autre volonté. Je sens mes murs s’écrouler, je ne veux rien étayer de ma main. Je me sens petit. J’ai peur de jouir en voyant le monde s’écrouler. J’ai peur de vouloir apporter ma propre pierre à la demeure du chaos. C’est pour cela que je ne travaille plus.
Le malheur est de croire le monde simple. De croire tout savoir. De vouloir tout régenter. De se croire soi même sauveur. On ne fait dans ce cas qu’augmenter le chaos, ajouter du désordre au désordre.
Je voudrai m’abstenir de savoir. Mais mon obsession est plus forte je veux connaitre qui a fait le premier pas.
Je voudrai trouver les mots pour prier.
Je voudrai savoir à qui je m’adresse.
Je voudrai trouver la solution à tout nos problèmes, remettre la pyramide sur sa base.
Je voudrai comprendre et agir.
Je voudrai même trouver la patience de vivre dans cette entente sans fin de la fin. Je voudrai prendre la mesure. Je voudrai tout comptabiliser, tout me mémoriser , tout comptabiliser, tout analyser et synthétiser le tout en quelques mots . Je crois à la beauté des équations, je veux trouver celle des origines, de la fin, celle qui nous sauvera de la fin. Je veux voir la fin et la combattre. Je veux la repousser. Je veux vaincre la mort, pas la mienne ni celles des autres, je veux vaincre la mort du monde. Ni plus ni point.
Je ne peux rien faire d’autre, alors je prie, sans savoir prier.
J’ai oublié. Là où venait cet élan. L'impulsion première, je l’ai ressenti moi aussi. Quand ? Je ne sais plus. Surement à ma naissance. Depuis? Je fais et puis j’oublie.
Je ne peut m’abstenir de savoir. La curiosité est mon péché premier. Je sais et je crie sur les toits, le mal est né ici.
Là où on a bâtit le premier mausolée. Là où les hommes se sont arrêté.
Ils étaient si peu nombreux alors. Ils n’ont cessé de croitre depuis. Ils ont changé l’espace, coupé les forets, ont fait des animaux sauvages des bêtes domestiques.
Ils ont créé de nouvelles règles pour accepter de vivre si prêts des autres. Ils ont créé des rites pour réparer les désordres de ceux qui ne veulent pas accepter les nouvelles règles.
La nouveauté est déjà si vielle, on est en rupture depuis longtemps . On coupe on tranche et retranche sans fin. La rupture de la rupture, c’est le début de la fin. Que veulent dire ces mots?
Je ne peux pas écrire une prière si je sais où je vais. Je ne peux pas savoir et faire semblant de découvrir. Je ne suis pas un professeur , savoir m'ennuie. J’ai besoin de découvrir une nouvelle manière voir en tapant mes mots. J’écris pour apprendre pas pour enseigner . Le mal vient de se premier pas. Je pense à voix haute en écrivant cette prière. Je voudrai que tu me guide mes mots. Aide moi même si je ne sais prie, si je ne sais qui tu es.
Je voudrai écrire le roman de l’origine, celle des faux pas de l’humanité. Celle qui fait croire sa technique et d’un même mouvement l'aliène à la matière. Je voudrai retrouver mon instinct primitif.
Aide moi à me servir de mon esprit. Aide moi je t’en prie à refaire confiance à mes intuitions à lire à nouveau dans mon coeur, à respirer comme un bébé.
Je ne sait ce que je veux, alors j’écris automatiquement, je me force à écrire pour voir où je peux aller, ce que je peux comprendre, apprendre de moi même.
Je sais que je savais. Je sais que je ne sais plus. J'apprend à savoir je découvre en écrivant ici.
Je n’en peux plus. Je viens de me promener loin de la ville dans les champs et les vignes. Je n’ai vu que des hommages , des petits mausolées. Les piquets de chaque souche sont pour moi comme des croix. Je me promène dans la nature et je ne vois qu’un vaste cimetière. Tout a été taillé par la main de l’homme tout laisse une trace aussi mince que réelle. Tout est voué à la mort. Je rentre dans la ville, les immeubles sont des caveaux, les appartement des tombes. La vie et la mort se confondent. Les écoles sont des prisons. On y apprend à mourir, à accepter son sort. Il ne reste d'espace vierge que le désert. Il ne reste de vivant que la mort.
J’ai eu un début de pressentiment lors d’un déjà vieux voyage en Italie. A Florence je sentais les fantômes des illustres fondateurs. L’art est de plus longtemps qu’un hommage aux anciens artistes. Qui a été le premier? L’hommage d’un hommage d’une copie de la nature. elle est enfouis depuis longtemps sous la poussière du béton et de la pierre. Certains expliquent que la culture est une cristallisation d’une époque. La culture n’est plus vivante. Elle figent elle rempli le vide, il n’y a plus d’espace pour rein d’autre. Certains disent que nous vouons un culte au vide . Mais il n’y a plus rein de vide plus rien de blanc plus rien de vierge.
Il n’y a pas plus de place pour le sain, le sauf, le renouveau, le vidé de sens. On est pas nihiliste on est remplis de vieilleries datées.
Le plus gros problème c’est qu’on ne sait plus lire. Les hommages nous font plus pleurer. On est devenu insensible à tout. Il est faux de dire que l’on ne croit plus en rien. On ne sait plus ce que signifie croire. Aide moi à croire. A espérer, à accepter le nouveau, à créer du neuf, du beau.
La beauté ? Tout semble nous écoeurer. On est blasé par l'exceptionnel. On ne sait plus jouir. On a tout vu et même les hommages ne nous font plus rêver. Je l’ai déjà dit.
Il faudra que je me répète. Pas pour vous convaincre, pas par goût de la pédagogie. Je me répète car je suis perdu. Je tâtonne, je marche sans rein voir je sens un peu ici ou là, je reviens infiniment sous mes pas. Peu-être trouverai je une nouvelle voix , une fissure, un porte pas encore ouverte. Je chasse les trappes oubliées. Je gratte les sols pour ouvrir
un tunnel. Il n’y a pas de passage secret, il faut gratter avec le peu d’ongle qui me reste...sans cesse passer sur les mêmes endroits , frotter toujours frotter . Attendre la faille je sens qu’ici ou là quand je tape sur les murs cela sonne un peu plus creux qu'ailleurs. J’ai l’espoir. On m’a dit que plus ça va mal mieux c’est. Ceux qui tuent sauvent ...que tout se situe dans un même élan... Que la résurrection du monde est proche, il n’y a qu’à attendre qu’il meure.
Et pourtant c’est long. De plus en plus long. Plus le temps passe, plus il s'accélère, et plus j’attend avec impatience aussi. L’accélération accentue notre impatience. Le temps s’écoule de plus en plus vite, de plus en plus on devient intolérant à l’attente.
Il faut prendre la mesure. Faut il compter en secondes, minutes, jours, mois ou années. En quart de siècle, en demi siècle ...... en millénaire? Je sais que le futur est déjà réalisé. J’attend ce que je sais. J’attend est c’est déjà fini dans ma tête . Ce n’est pas encore réalisé mais c’est tout comme. Inéducable. C’est déjà arrivé mais pas tout de suite. Cela est tout simplement prévu dès l’origine. Car s’il y a une origine il y aune fin.
Or, s’il y a un début, il n’y a pas de fin ni début d'ailleurs. Car à l’origine de l’origine il y a une cause, donc pas de cause sans autres causes. La fin est la cause de nouvelles conséquences. Peut être l’origine d’un nouveau début? Tu connais la réponse puisque tu es. Te nier serait comme un cour-circuit. Le bing bang est le début de tout, mais avant le bing bang il y avait autre chose forcément. Et ce depuis quand ? L’infini dans les deux sens, le passé et le futur?
Le plus étonnant de tout, c’est les sens et leur polarité: ils sont deux: passé et futur. Mais qui te dit qu’ils existent, qu’ils aient toujours existé?
Imagine une plaine sauvage, l’étendue semble immense, partout pareille. Puis des hommes ou des animaux y passent, pas une fois des centaines de fois. De telle sorte que se dessine alors un chemin. Il y a alors un sens des directions un devant un derrière un à droite du chemin, un à gauche du chemin. Y a t il eu un monde avant la création du passé et du futur... un présent intemporel... un présent infini?
Je philosophe maintenant.
Je sens que je tiens le bon bout. Que serait un présent infini? Sans le début du début du début du début. Un monde sans aucun début dans un sens et donc sans fin dans l’autre. Sans fin de la fin de la fin. S’il n’y a pas de fin à la fin alors il y a une fin forcément puisqu'il n’y a pas d’infini dans ce sens. Mais comme il n’y a pas de début il n’y a pas de fin. Ni début ni fin cela ressemble à quoi? à un point? J’ai toujours penser qu’un point concentrer un début à une fin. On pourrait dire qu’un point n’a ni début de fin car il est à la fini, il débute par sa fin. En même temps il est infini aussi car si son début est sa fin sa fin est aussi son début, il ne finit plus de finir et cela débute depuis la fin en quelque sorte.
Une droite est une somme de points soit une somme de concentrations de début et de fin. Une droite a deux direction vers un bout vers l’autre bout. Ces deux bouts se repoussent sans fin. En conséquence elle n’a ni début ni fin, elle est infinie. Mais peut on aussi dire qu’elle est finie aussi? si on la considère comme une somme de point fini .... elle reste infini car la somme des points est elle même infini. Il est diffilce de dire qu’une droite peut à la fois être fini et infini car elle est polarisé. Sa polarité vers la «gauche» et son vers la «droite» sont comparable à un ver l e «passé « et un vers le «futur».
Si on pousse l'analogie du temps: le présent est un point à la fois fini et infini placé sur une frise linaire une droite infinie dans un sens et dans l’autre. Le présent serait un point. Or le passage du passé au futur est le présent. Ce qui nous fait revenir au présent originel. Une droite commence par un point à qui on donne une direction en l’étirant d’un coté et d’un autre. S’il y au un présent originel on doit comparré le temps a une demi droite: infini vers le futur et à la fois fini et infini à l’origine. Le point étant on vient de le voir à la fois infini et fini.
Que signifie à la fois infini et fini? Pour le temps cela viendrait à considérer que le passé et le futur sont concentré en un point. S’il y a un présent originel il y a à ce moment précis une concentration du passé et du présent.
De la deux hypothèses:
1 le monde a toujours était polarisé par le temps ( PASSE/FUTUR)
2 il y a eu un temps primordial où le présent était infini.
Alors on peut représenter selon deux modèles : le monde comme une frise chronologique à l’image d’une droite infinie dans ses deux sens ou une demi droite avec un futur infini et une origine n’ont pas fini mais à la fois finie et infinie. C’est le à fois qui doit nous faire poser des questions si on considère que la polarité passé futur ne va pas des soit.
Pourquoi n’y a t il rien plutôt que quelque chose? Par ce que s’il n’y avait rien il y aurait quelque chose.
Ou le monde a toujours était polarisé PASSE FUTUR il est alors un cycle éternel de destruction création alors il est en lui même son principe créateur.
Ou le monde a connu un avant et un après polarisation Passe Futur. Seul un principe créateur divin peut créer cette polarisation. Dans ce cas il n’aurait pas une origine fixe mais toujours infini car à la fois fini et infinie Prouver un tel cas serait indéniablement prouver l’existence d’un Dieu.
Je vois maintenait devant moi deux ontologies.
Le temps cyclique sans début ni fin ou le temps ne ferrai que mouvoir une roue..
Le temps inventé créant une origine, une flèche linéaire.
J’aimerai à prouver l'absurdité de la première et le pourquoi de la seconde . Par goût esthétique. Si ce n’est qu’une question de goût alors on est en face d’un véritable cas de de guerre, d'intolérance car deux visions du monde se combattraient: celle où Dieu est prouvé et celle où Dieu n’est qu’une hypothèse.
Aides moi à clarifiez tout ça... Il me semble que notre peur de la fin serait sans clarté catastrophique.
Le premier casus belli ? La première violence ? Le premier meurtre dans la Bible n’est que celui d’Abel par son frère Cain.
Abel offrait des bêtes en sacrifices à Dieu, Cain du blé. Dieu aimait la prière d’Abel pas celle de Cain. On peut trouver ça injuste. D'ailleurs Cain l’a pensé si fort qu’il tua Abel.
Le cultivateur Cain devait sûrement voir le monde comme le cycle des saisons , tandis que Abel le berger voyait un début : la naissance de ces bêtes et une fin, leur mort. On retrouve alors les deux ontologies primitives: celle qui a une origine et celle qui n’en a pas besoin.
Est-ce qu’un mythe? Notre interprétation de la Genèse peut elle tenir la route? Pourquoi vaudrait il mieux basé sa pensée sur une ontologie linéaire du temps que celle des temps cyclique ? D'ailleurs tout comme Abel a tué Cain, c’est bien l’ontologie de l'origine cyclique qui domine le monde aujord’hui? Pourquoi la remettre en cause alors? et pourquoi prendre parti? Peut on réconcilier ses deux visions des temps?
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Alors que notre intelligence limitée ne peut pas connaître, ni même imaginer l’immensité des cieux, demeures du Très-haut « qui habite la lumière inaccessible, lui qu’aucun homme n’a vu ni ne peut voir » (1 Timothée 6 v.16), sa sainte Parole nous révèle, à plusieurs reprises, la joie qui éclate dans ces lieux célestes, faisant chanter les anges à la gloire de Dieu. A quelles occasions ?
I – La joie au ciel lors de la création.
Dieu dit à Job : « Où étais-tu quand j’ai fondé la terre … alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse, et que tous le fils de Dieu poussaient des cris de joie ? » (Job 38 v.4-7)
Les premières pages de la Bible relatent d’une manière simple et grandiose à la fois le récit de la création. Il suffit à Dieu d’une parole pour que l’immense univers et tout ce qu’il contient surgissent du néant : le ciel, la terre, la lumière, les nuées, les mers, le firmament avec le soleil, la lune, les étoiles innombrables, l'infiniment grand et l'infiniment petit, la prodigieuse variété des plantes et des animaux... Qui ne serait pas en extase en voyant apparaître, à partir de rien, une création aussi admirable ? Devant la grandeur infinie de cette œuvre magnifique, les anges éclatent de joie.
Oh ! Quelle joie éclata dans le ciel,
Lorsqu’à la voix du Fort, de l'Éternel,
Surgissait la lumière !
Quand de son bras il étendait les cieux,
Quand, déployant son pouvoir glorieux,
Sa main formait la terre !
Mais cette joie, hélas, fut bien assombrie par la désobéissance de l’homme introduisant le péché dans le monde, et par le péché, la mort (Romains 5 v.12). Pour que la joie soit retrouvée, il fallait ... un Sauveur !
II – La joie au ciel lors de la naissance de Jésus, le Sauveur.
Quand le Fils de Dieu vint ici-bas, prenant la forme d’un homme en naissant dans une étable (ô mystère profond digne de notre adoration éternelle : le Créateur vu dans un petit enfant couché dans une crèche !), la gloire du Seigneur resplendit autour des bergers qui étaient aux champs gardant leur troupeau durant les veilles de la nuit. Ils furent saisis d’une grande peur et un ange leur dit :
« N’ayez pas peur, car voici, je vous annonce une bonne nouvelle, un grand sujet de joie qui sera pour tout le peuple : Aujourd’hui, dans la cité de David, vous est né un Sauveur qui est le Christ, le Seigneur. En voici pour vous le signe : vous trouverez un petit enfant emmailloté et couché dans une crèche. »
Soudain, il y eut avec l’ange une multitude de l’armée céleste qui louait Dieu et disait :
« Gloire à Dieu dans les lieux très hauts ; et sur la terre, paix ; et bon plaisir parmi les hommes ! » (Luc 2 v.10 à 14)
Oh ! Quelle joie éclata dans le ciel,
Lorsqu’ici-bas, Jésus, Emmanuel,
Naquit dans la faiblesse !
Les anges saints disaient : « Gloire au Seigneur !
Paix sur la terre ! » et le céleste chœur
Tressaillait d’allégresse.
Le Christ, le Sauveur, venait apporter sur la terre : paix, et bon plaisir parmi les hommes. Dès lors, tout homme reconnaissant son état de péché, se repentant et croyant au Seigneur Jésus le Sauveur non seulement connaît la joie d’être sauvé pour l’éternité mais aussi produit la joie dans le ciel parmi les anges.
III – La joie au ciel lorsqu’un pécheur se repent.
Jésus dit, après avoir énoncé la parabole de la brebis perdue et retrouvée : « Je vous dis qu’ainsi il y aura de la joie au ciel pour un seul pécheur qui se repent, plus que pour 99 justes qui n’ont pas besoin de repentance » (Luc 15 v.7)
Et aussi à la fin de la parabole suivante - la drachme perdue et retrouvée - : « Ainsi je vous le dis, il y a de la joie devant les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se repent. » (Luc 15 v.10)
Si nous entendons les anges chanter lors de la création puis lors de la naissance du Sauveur, la joie remplit aussi le ciel pour un seul pécheur qui se repent. Le prix d’une âme est si grand aux yeux du Dieu d’amour !
Oui, le pécheur misérable
A plus de prix à Ses yeux
Que le cortège innombrable
Des étoiles dans les cieux.
(Hymnes & cantiques n°208)
Ami lecteur qui êtes d’un si grand prix aux yeux de votre Créateur qui vous aime, avez-vous été un sujet de joie au ciel et parmi les anges de Dieu ?
Oh ! Quelle joie éclata dans le ciel,
Lorsqu’un pécheur répondant à l’appel
Du Sauveur qui l’invite,
Tous ses péchés sont ôtés pour jamais !
Jésus lui donne la vie et la paix,
Et dans son sein l’abrite.
IV – La joie au ciel lors des noces de l’Agneau.
Lorsque l’Epouse (l’ensemble de tous les rachetés du Seigneur) sera introduite dans la maison du Père pour le banquet céleste, le ciel éclatera de nouveau en louanges : « Réjouissons-nous et tressaillons de joie et donnons-lui gloire ; car les noces de l’Agneau sont venues … Bienheureux ceux qui sont invités au banquet des noces de l’Agneau. » (Apocalypse 19 v.7 et 9)
Ami, si vous n’êtes pas encore venu à Jésus pour être sauvé, vous y êtes invité de nouveau aujourd’hui, maintenant… peut-être pour la dernière fois.
Oh ! Quelle joie et quels transports au ciel,
Lorsque le saints, fils du jour éternel,
Viendront tous prendre place
Près de Jésus, à jamais bienheureux,
Et chanteront son amour généreux,
Son ineffable grâce !
(Hymnes & cantiques n°181)
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Actes 3 verset 2 L’impotent du Temple
« Il y avait un homme boiteux de naissance, qu’on portait et qu’on plaçait à la porte du Temple appelée La Belle, pour qu’il demandât l’aumône à ceux qui entraient dans le Temple. Cet homme voyant Pierre et Jean qui allaient y entrer, leur demanda l’aumône. Pierre, de même que Jean, fixa les yeux sur lui, et lui dit : » Regarde-nous «
Il les regardait attentivement s’attendant à recevoir d’eux quelque chose !
« Alors Pierre lui dit : Je n’ai ni argent, ni or, mais ce que j’ai, je te le donne. Au nom de Jésus-Christ, lève-toi et marche.
« Et le prenant par la main droite, il le fit lever. Au même instant ses pieds et ses chevilles devinrent fermes, d’un saut il fut debout et il se mit à marcher. II entra avec eux dans le Temple, marchant, sautant et louant Dieu » (Actes 3-2/8) .
Voilà un glorieux miracle accompli par le nom de Jésus. Pierre dans son discours l’explique à la foule.
C’est par la foi en son nom,
que son nom a raffermi celui que vous voyez et connaissez. C’est la foi en lui qui a donné à cet homme cette entière guérison, en présence de vous tous
Pendant son court séjour sur la terre, Jésus aurait pu guérir cet homme. Mais il savait à l’avance les circonstances qui amèneraient Pierre devant lui et les conséquences qui en résulteraient. Le résultat c’est que des millions d’âmes se convertiraient.
De plus, ce miracle a permis à Pierre d’annoncer la résurrection du Seigneur.
Vous vous souvenez de ce qui se passa quand les soldats préposés à la garde du sépulcre vinrent. trouver
les Sacrificateurs et racontèrent ce qui était arrivé.
Ceux-ci leur donnèrent une forte somme d’argent en disant :
« Dites que ses disciples sont venus de nuit le dérober pendant que nous dormions ».
Ce mensonge fut répandu parmi le peuple d’Israël. Pierre annonça l’évangile à la foule et il rappela le crime qui avait été commis.
« Vous avez renié le Saint et le Juste, et vous avez demandé qu’on vous accordât la grâce d’un meurtrier.
« Vous avez fait mourir le Prince de la vie que Dieu a ressuscité des morts. Nous en sommes témoins
La guérison de l’impotent avait été faite au nom de Jésus et la foi en Jésus avait accompli ce miracle.
C’était la preuve que Jésus était réellement ressuscité des morts.
Il y a des gens qui ne croient que dans un Christ historique.
Nous, nous avons besoin d’un Christ vivant et ressuscité, quelqu’un qui peut intervenir pour nous quand nous en avons besoin. Il est maintenant à la droite de Dieu opérant des guérisons et des miracles sur la terre. Tout pouvoir lui a été donné dans le ciel et ici-bas.
A la suite de son discours, Pierre fut arrêté et conduit devant le Sanhédrin. Habituellement ce sont les malfaiteurs que l’on mène au tribunal. Les juges demandèrent par quel pouvoir ou au nom de qui ils avaient guéri cet homme. Ils reconnurent qu’il y avait là un miracle signalé. La preuve était là devant leurs yeux : l’homme guéri était là.
Pierre se chargea de leur répondre. Il n’alla pas chercher un avocat. Le Saint-Esprit était avec lui et il avait un avocat au ciel.
Jésus avait prévenu ses disciples qu’ils seraient jetés devant les tribunaux, mais il leur avait dit :
« Quand on vous livrera, ne vous inquiétez ni de la manière dont vous parlerez, ni de ce que vous direz. Ce que vous aurez à dire vous sera donné à l’heure même, car ce n’est pas vous qui parlerez, c’est l’Esprit de votre Père qui parlera en vous » (Matthieu 10-17/18) .
C’est pourquoi Pierre n’a pas préparé sa défense.
Il a parlé sous l’inspiration du Saint-Esprit et les membres du Sanhédrin ont été profondément embarrassés.
« Chefs du peuple et anciens d’Israël, puisque nous sommes interrogés aujourd’hui sur un bienfait accordé à un homme malade, afin que nous disions comment il a été guéri, sachez-le tous et que tout le peuple d’Israël le sache. C’est par le nom de Jésus-Christ de Nazareth que vous avez crucifié, et que Dieu a ressuscité des morts, c’est par lui que cet homme se présente en pleine santé devant vous » (Actes 4-9/10) .
En quelque sorte Pierre leur dit : Vous pensiez qu’il était mort et quand le corps a disparu vous avez fait courir le bruit qu’il avait été volé. C’est faux ! Jésus est’ vivant. En voici la preuve : cet homme a été guéri.
Le nom de Jésus est tout puissant.
C’est une arme offensive et défensive. Les démons s’enfuient devant lui. Les possédés sont libérés. Les malades recouvrent la santé quand on invoque le nom de Jésus. Avec ce nom on peut combattre
Ensuite, Pierre devant le Sanhédrin cita une prophétie de l’Ancien Testament :
« La pierre rejetée par vous qui bâtissez, est devenue la principale de l’angle
Eux ne voulaient pas de Jésus. Ils refusaient de le reconnaître comme leur Messie. Alors Dieu allait en faire la pierre principale, non pas dans un bâtiment juif, mais dans l’Église.
Il est la pierre sur laquelle elle s’appuie.
Pierre s’en souviendra plus tard quand il écrira dans son épître :
« Approchez-vous de lui, pierre vivante, rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse devant Dieu, et vous-même, comme des pierres vivantes, édifiez-vous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d’offrir des victimes spirituelles agréables à Dieu par Jésus-Christ ».
La question qui se pose aujourd’hui est celle-ci : Votre vie chrétienne est-elle bâtie sur le roc, sur Jésus-Christ ? Est-il le fondement de votre foi ?
Si vous avez autre chose comme fondement, permettez-moi de vous dire qu’au jour de l’éternité tout s’écroulera devant Dieu.
Jésus a parlé de deux maisons : l’une bâtie sur le roc (lui-même), l’autre bâtie sur le sable (la religion) . Lorsque le vent a soufflé et que la pluie est tombée, la maison bâtie sur le roc a résisté, tandis que l’autre bâtie sur le sable, s’est écroulée.
Il y a un verset remarquable, Actes 4-12 :
« Il n’y a de salut en aucun autre, car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes et par lequel nous devions être sauvés
Il y a un mot qui me frappe : salut.
Qu’est-ce que le salut nous apporte ? Le pardon des péchés, l’assurance de la vie éternelle, la paix du cœur, la guérison de nos maladies, l’espérance d’être enlevé quand Jésus reviendra
Vous voyez, le salut c’est quelque chose de magnifique. Quand notre vie sera terminée, nous entrerons directement dans le royaume des cieux pour prendre notre place.
Nous étions de misérables créatures tombées bien bas dans la boue. DIEU a envoyé Jésus nous chercher et nous serons semblables à lui pour l’éternité. Dieu nous offre gratuitement le salut.
Titre de l’article : L’impotent du Temple.
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Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho. Il tomba au milieu d’une embuscade de brigands, qui le dépouillèrent, le chargèrent de coups et s’en allèrent le laissant à demi-mort ». (Luc 10-30) .
Jésus annonçait la bonne nouvelle sur la place publique quand tout à coup un docteur de la loi, se leva pour l’éprouver :
« Maître, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle ? »
Jésus voyant qui il avait devant lui le renvoya à la loi qu’il devait bien connaître :
« Tu connais les commandements… »
Mais l’homme voulant se justifier demanda :
« Qui est mon prochain ? »
C’est ce qui amena Jésus à répondre par une parabole :
Le bon Samaritain.
« Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho
Pour bien comprendre, il faut que je vous décrive la scène.
Jérusalem est la cité de David, bâtie sur des montagnes. Elle représente la cité céleste. Un chemin glissant et pierreux descend jusqu’à Jéricho, la ville de la malédiction.
Cet homme est le type de l’homme irrégénéré qui suit la mauvaise voie. Car il n’y a que deux chemins : le sentier étroit pour les sauvés et la route large pour les perdus.
Il tomba au milieu des brigands
Le chemin qui descend est plein de brigands, de démons qui s’attaquent à l’âme pour l’entraîner vers la perdition éternelle et
aussi au corps pour provoquer les maladies.
« Ils le dépouillèrent, le chargèrent de coups le laissant à demi mort ».
Satan et ses anges entraînent ceux qui descendent de plus en plus dans le péché.
Une passion conduit à une autre.
Bientôt elles deviennent maîtresses. La conscience meurt et l’âme ne distingue plus ce qui est bien de ce qui est mal. Satan est aussi l’auteur des maladies qui détruisent les âmes et les corps. Ce n’est pas Dieu qui envoie la maladie, car il est écrit dans Jacques 1-17 :
« Toute grâce excellente et tout don parfait descendent d’en haut, du Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement, ni ombre de variation ».
Le pauvre homme de notre parabole, frappé par les brigands était couché sur le bord de la route. Il y avait encore en lui une trace de vie. Il dut se dire : « J’ai choisi le mauvais chemin Et il eut le désir d’être sauvé.
« Un sacrificateur qui, par hasard, descendait par le même chemin ayant vu cet homme passa outre »
Remarquez ce petit mot
« par hasard » Il ne cherchait pas du tout cet homme. De même aujourd’hui des responsables religieux ne cherchent pas les âmes perdu
es comme ils devraient le faire.
De même, un lévite, simple prêtre dans la religion des juifs passa son chemin.
Mais un Samaritain qui passait par là fut ému de compassion
Les Juifs et les Samaritains étaient deux peuples ennemis. Ils se détestaient mutuellement. Ce Samaritain est l’image du Seigneur Jésus qui vient sauver le pécheur tombé dans une terrible condition. II est brisé, dépouillé, meurtri, couché sur le bord de la route de la vie. Jésus vient jusqu’à l’endroit où se trouve le pauvre pécheur. II va même jusqu’aux portes de Jéricho.
Durant son ministère terrestre, Jésus a cherché les âmes perdues. Il a trouvé la femme samaritaine alors qu’il était assis sur la margelle du puits de Jacob. Il lui a dit :
« Si tu connaissais le don de Dieu et qui est celui qui te dit : donne-moi à boire, tu lui aurais toi-même demandé à boire et il t’aurait donné de l’eau vive » (Jean 4-1 0) .
Et il l’a conduite sur le chemin au salut.
Il s’est penché avec compassion sur le paralytique de la piscine de Bethesda. Pauvre misérable ! Personne ne s’occupait de lui. Et quand Jésus lui demanda : « Veux-tu être guéri ? », il répondit : « Je n’ai personne !
Il était seul et abandonné. Par sa parole Jésus sauva son âme et guérit son corps.
La première chose qu’éprouva le Samaritain c’est la compassion. Ensuite il fit tout ce qui lui était possible de faire pour le sauver. Il banda ses plaies et pour en adoucir la brûlure, il y versa de l’huile et du vin.
Le Seigneur Jésus est le même.
Son ministère n’a pas changé. I l vient au secours de ceux qui sont blessés sur la route. Il veut les sauver et guérir leurs blessures.
Il versa de l’huile qui représente le Saint-Esprit. Voici ce que nous dit la Parole de Dieu au sujet de Jésus :
« C’est pourquoi ô Dieu, ton Dieu t’a oint d’une huile de joie au-dessus de tes égaux » (Psaume 45-8) .
Dans l’Ancien Testament les Rois et les Sacrificateurs recevaient l’onction d’huile.
Quant au vin, c’est le symbole de la joie et de l’allégresse dont le Seigneur Jésus remplit les âmes de ceux qui se sont donnés à lui.
II le mit sur sa propre monture, le conduisit à une hôtellerie et prit soin de lui
Jésus ne laisse jamais les blessés le long du chemin. Après nous avoir sauvés, il nous met sur sa monture : la foi.
Et de même que le bon Samaritain marchait à côté du blessé pour le soutenir, il ne nous laisse jamais seul sur le chemin de la cité céleste.
L’hôtellerie c’est l’Église.
C’est là que l’on peut trouver la nourriture et le repos. Il y a du pain, du lait, de la viande dans l’Ancien et le Nouveau Testament. Puis le Samaritain prononça ces paroles d’espérance :
« Aie soin de lui et ce que tu dépenseras de plus je te le rendrai à mon retour ».
Nous avons ici l’annonce du prochain retour de Jésus.
Voici ce qu’il a dit dans Jean 14-2/3 :
« Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas je vous l’aurais dit. Je vais vous préparer une place. Et lorsque je m’en serai allé et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis, vous y soyez aussi
Jésus va bientôt revenir.
Je suis sûr que le pauvre blessé couché sur le bord de la route a dû appeler au secours. Et le Samaritain a répondu à son cri.
Si un blessé qui lit ces lignes est couché sur le chemin de la vie, qu’il appelle. Un cri suffit.
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