#Le Révélateur
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Ji Soo, School Violence Controversies ⁇ Explanation of Sexual Crimes Suspicion for 2 Years "Misunderstood"
Source: k-star-holic.blogspot.com
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Le révélateur (1968) Philippe Garrel
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#made by eden memories#gif#la chute de la maison usher#edgar allan poe#mike flanagan#raven#death#le puit et le pendule#scarabée d'or#l'assassinat dans la rue morgue#le coeur révélateur#le masque de la mort rouge#netflix#tv show#The Fall of the House of Usher
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The revealing arm (Les bras révélateur) by Paul Nougé (c. 1929-30)
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Les surnoms qui traversent les années sont révélateurs de l'amour que l'on porte aux personnes à qui nous les offrons. Ils peuvent être amusants, touchants, quelquefois ironiques, mais jamais méchants. Bruno Combes- (Seulement si tu en as envie ...)
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La mort de l'empathie humaine est l'un des premiers signes et le plus révélateur d'une culture sur le point de sombrer dans la barbarie.
Hannah Arendt
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[Nuit de l'Écriture] 21/09/2024
Apparemment, ce coup-ci, ce fut une spéciale Dead Boy Detectives et plus particulièrement Charles Rowland. AO3 ou ⬇️ (Very Short Stories, you can use Google Translation if French is not your language)
NUIT DE L’ÉCRITURE 21/09/2024
01- Ce n’est pas humain – Dead Boy Detectives – 246 mots
« Ce n’est pas humain ! » se plaint Charles, exténué. Edwin le regarda, exaspéré
« Évidemment, c’est un Chien de Garde des Cimetières, Charles. »
« Oï ! Tu sais ce que je voulais dire ! Et ce n’est pas un Chien de Garde des Cimetières. C’est un Chiot de Garde. » Charles regarda le chiot au pelage noir qui était assis à ses pieds. « Qui c’est le gentil toutou ? Qui c’est ? »
« Tu sais qu’on ne peut pas le garder ? » Charles prit le chiot dans ses bras et colla son visage à celui du canidé.
« Mais regarde comme il est mignon… » Edwin était à deux doigts de craquer mais il ne pouvait pas.
« Un compromis alors. Nous viendrons le voir tous les jours si notre emploi du temps le permet et tu pourras jouer avec lui. »
« Génial ! Tu entends ça Max ! On va venir te voir tous les jours ! Mission accomplie ! Qui sait, peut-être Edwin trouvera un compagnon à son goût parmi tes amis, hein ? »
« Ses… amis ? » Edwin se retourna vers la direction que Charles pointait avec sa tête. Des dizaines, des CENTAINES de chiots et chiens en tout genre se tenaient là. « Gentils chiens ? » bafouilla t-il.
Et là, se fut la débâcle. Edwin fut littéralement assaillit par une armée de chiens cherchant les câlins et Charles ne fit que s’esclaffer.
02- Ta réalité n’est pas la mienne – Dead Boy Detectives – 167 mots
Kashi était un modèle de patience et il trouvait la plupart des gens qu’il avait rencontré amusants. Mais cette femme au caractère bien trempé le faisait rire intérieurement.
« Pourquoi tant de rage ? Rien de bien ne vous arrivera dans cet état. »
« Je dois sortir de ce fichu poisson et retourner trouver ces petits morveux pour qu’ils puissent aller où ils sont censés être. »
« Est-ce que ça troublerait à ce point l’Univers s’ils restaient où ils sont ? »
« Chaque chose à une place dans l’Univers, chaque personne une place dans l’au-delà. C’est la réalité des choses. »
« Ta réalité n’est pas la mienne. L’Univers ne va pas succomber et disparaître parce que deux âmes ont décidé de rester sur Terre. » La Veilleuse de Nuit de l’Au-Delà ne répondit pas. Chaque chose avait une place, chaque âme avait un au-delà, c’était le mantra qu’elle se répétait depuis son décès. Si elle n’avait même plus ça, que lui restait-il?
03- Rencontre avec une divinité – Dead Boy Detectives – 193 mots
Crystal était surprise. Devant elle se tenait Lilith. Après Port Townsend, elle s’était renseigné autant qu’elle put sur elle. Lilith, la première épouse d’Adam, soit-disant une tueuse d’enfants selon les religions traditionnelles. Une déesse de l’indépendance, LA déesse selon la Wicca Moderne.
« En quoi puis-je vous aider ? » demanda la voyante en laissant entrer la divinité.
« Ton plaidoyer, à Port Townsend, a été assez révélateur pour moi. Les temps ont changé. J’ai décidé d’être plus pro-active. Mais j’aimerais quelqu’un qui puisse m’aider dans ma quête. Quelqu’un qui comprenne ce qu’est être une femme à cette époque. » Crystal fit de gros yeux.
« Vous voulez dire, moi ? Vous êtes sûre ? » Lilith sourit.
« Oui. Et en échange, je m’occuperais de ce petit démon dans ton esprit. »
« Vous pouvez l’enlever ? Et il ne fera plus de mal à personne ? » Lilith émit un petit rire.
« N’as-tu pas entendu ? Je suis la mère des Démons et j’en laisse 100 mourir chaque jour. Quelle terrible mère je suis. » Crystal se demandait si elle allait regretter cet accord. L’avenir lui ferait voir que non.
04- Le cycle de l’abus – Dead Boy Detectives – 289 mots
Charles Rowland n’avait pas toujours été le «muscle de service». En fait, en voyant les photos de ces jeunes années, Charles était un adorable bambin toujours souriant, gentil comme pas deux et absolument contre toute forme de violence.
Puis, vers l’année de ces 8 ans, tout changea. Son père avait perdu son emploi dans l’industrie et il fut très difficile pour lui de retrouver un emploi dans ce secteur. Sa mère avait eu plus de chance, travaillant dans une cantine scolaire. Son père avait donc commencé un cycle infernal d’abus, d’abord verbal puis physique.
Charles avait donc dû apprendre à encaisser les coups, puis à en donner. Il aurait pu devenir abusif, comme son père mais Charles ne voulait pas être comme lui. Alors, ses poings, c’était contre d’autres brutes. Jamais contre des innocents. Cela lui a valu de mourir à 16 ans, mais cela en valait la peine.
Cela en valait la peine quand il vit sa mère finalement dire à son père ses 4 vérités. Ils resteraient mariés mais l’amour était mort en même temps que leur fils. Cela en valait la peine quand il rencontra, 10 ans après, le jeune pakistanais avec sa fille, son premier enfant, qu’il avait nommé Charlotte. Le jeune homme était un professeur et avait fondé une association qui venait en aide aux enfants victimes d’abus, que ce soit à la maison ou à l’école.
Edwin ne comprit pas la raison pour laquelle Charles l’enlaça pendant 5 bonnes minutes après être revenu de sa sortie mais il n’allait pas s’en plaindre. Il n’apprendrait la vérité que bien plus tard. Le cycle de l’abus était vicieux mais il pouvait être rompu. Un jour, peut-être, l’abus ne serait que de l’histoire ancienne.
05- Partir ou rester - Dead Boy Detectives - 262 mots
Partir avec la Mort ou rester avec le garçon qui lui avait permis de vivre ses dernières heures le plus gentiment possible ? Pour Charles, la question ne se posait même pas. Edwin était un garçon socialement maladroit qui avait probablement dû se débrouiller seul la majeur partie du temps tout en essayant de se conformer à une façon d’être qui n’était pas la sienne. Bref, Edwin avait besoin de Charles. Et en plus, il n’était pas vraiment pressé d’aller dans l’au-delà. Il n’était pas vraiment croyant (quelque soit la religion) donc les promesses de paradis éternel et tout ça, il n’en avait rien à faire.
« Donc, c’est ici que tu vis ? » demanda Charles.
« C’est exact. J’étudie tout ce qui à trait à l’occulte. J’espère ouvrir une agence de détectives. »
« Une agence de détectives ? »
« Oui, pour aider les âmes qui restent coincés à cause d’affaires non finies. Où les cas comme le mien. » Edwin lui avait parler de son cas. Raison de plus pour rester avec lui.
« C’est cool. Je serai les muscles, tu seras le cerveau. Hey ! Ce sac a l’air cool ! »
« Techniquement, c’est un sac magique sans fond mais je n’arrive pas à le faire fonctionner correctement. Il est à toi si tu y arrives. »
« C’est cool ! Merci, je vais m’y mettre de suite. » Et effectivement, il lui fallut peu de temps pour s’approprier le sac. Même après 35 ans ensemble, Charles savait qu’il avait pris la meilleure décision en restant.
#KittyNanny Original Post#KittyNanny Original Work#Fanfiction#French Language#Dead Boy Detectives#Edwin Payne#Charles Rowland#Crystal Palace#Lilith#Kashi#The Night Nurse#The Infamous Puppy Debacle Of '94
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site d'actualités; localisé dans un bunker secret à shoretrail, quartier industriel; expose et dénonce; impitoyable satire; langue couteau.
corvidé siffle ses premières notes, en guet de gargouille. car v'là qu'il s'éveille, pourtant sous terre piétinée. sous SHORETRAIL, saints de mauvais augures s'agitent. et quand l'aube vient, perles blanches s'égouttent à la faveur de la belle cavatine; le geai siffle bientôt moqueries, susurre trouvailles aux tympans béants. à dos de brise, il fait ainsi l'étalage de son ramage; farceur, bel oiseau rapporte ainsi les méfaits en fabuleux soprano. SANS VISAGES, ils sont pourtant révélateurs de tous les maux. divin à paume pressée contre plèbe, les phonèmes pleurent sur cité à chaque envolée. c'est qu'il chante, qu'il chante fort! l'oiselet picore les mœurs jusqu'à la moelle, car quand s'enfle la panse, il en gerbe sitôt l'indigeste.
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Gisele de Mâcon toujours partante pour une aventure
Tu me trouves comment ? J'ose une one piece assez révélateur n'est-ce pas ? J'ai 36 ans et je trouve plus important que jamais d'être bien dans ma peau et mon corps ! Je suis femme et je le démontre. Je vis sur Mâcon dans la Saône-et-Loire et je suis toujours libre pour une aventure intense... Écrire à Gisèle
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Ça va encore parler de ma relation. Je ne suis pas dans le déni, je sais qu'en parler autant de manière négative est absolument révélateur de l'état de l'art de cette dernière. J'ai besoin d'en parler ici parce que mes parents n'ont jamais ete très intéressés de savoir mes états d'âme, notamment sentimentaux et qu'en plus il y a des choses qui font tilt. Évidemment que je n'avais pas d'intérêt à parler de la tromperie à mes parents ou potes proches car j'ai continué avec lui. Si je l'avais fait, s'en serait suivi de nombreux "tu te plains mais en même temps t'aurais dû le quitter", "moi j'aurais pas pardonné", ect. Ça aurait créé une atmosphère apte aux jugements/opinions tranchants non désirés, de l'inconfort et peut-être même du dégoût. Aucune relation bâtie sur ce genre d'acte et de déception mène à quelque chose de viable surtout quand tu sais que la plupart des gens font leur maximum en début de relation pour se donner bonne figure. J'ai espéré que son comportement n'ait pas eu lieu lors de son maximum et que les comportements positifs d'après ne seraient pas motivés dans le seul but de me rassurer. Dans les faits, il y a eu des hauts et des bas depuis, j'essaie aussi de me modérer, j'ai des insécurités qui biaisent ma sensation d'être aimée, le fait de faire assez, le fait de vouloir qu'on se la donné pour moi. J'ai entendu souvent "il y a des phases dans une relation", c'est vrai, pas rassurant mais en début d'année j'allais le quitter puis après ya eu 2/3 mois idylliques et à nouveau de la merde (maintenant). Depuis que j'ai validé mon année, je suis à la merci de mon esprit malade. Je me questionne très -trop- fréquemment sur cette relation. Pourquoi ne pas partir maintenant ? Pourquoi vouloir attendre que l'autre faute ? Est-ce que je regrette cette relation ? Qu'est ce qu'il s'est passé pour que je bafoue à ce point mes standards ? Qu'est ce que j'attends ? J'ai la réponse à toute ces questions, ça ne me fait pas toujours plaisir et ça montre mes failles. Peut-être pas les mêmes qu'avant, ou avec des variantes. Je remercie seulement ma lucidité. Aujourd'hui j'ai reçu son cadeau d'anniversaire, qui a mis plus d'un mois à arriver, et pendant ce mois là beaucoup de choses se sont dégradées en réalité. Quand je l'ai ouvert ce matin, je me suis dit qu'il ne le méritait pas, que c'était vraiment un trop beau cadeau pour quelqu'un qui en a pas grand chose à foutre. C'est vrai, ça me fait pas si plaisir que ça de lui offrir mais je pense à une chose bête : ma ligne de conduite. Il y a quelques mois, quelqu'un m'a demandé pourquoi rester/pourquoi ne pas me comporter comme lui, et j'avais répondu que je serai carré jusqu'à la fin. Je serai honnête, cordiale et présente jusqu'à la fin pour être irréprochable. Peut-être que je m'en voudrais quand ce sera fini, évidemment je me demanderai pourquoi m'être démenée pour rien, mais ça passera parce que j'ai conscience dans ma relation qu'il n'y a pas d'équité, que je suis le trop même en pensant être le pas assez. Je le fais en connaissance de cause en hommage au respect, aux bons moments passés, aux reproches qui ne pourront pas être formulés. Je serai restée moi, avec mes gestes, mes efforts. La seule chose sur laquelle je ne suis pas entièrement honnête c'est mon deuil.
J'ai souvent entendu qu'une femme prend sa décision, y réfléchit, commence le deuil avant la réelle rupture. C'est ce qu'il se passe pour moi, non sans peine et non sans savoir que j'en aurais quand même quand ça arrivera. C'est dur de quitter quelqu'un parce qu'il.elle ne semble pas suffisant pour nous, ça paraît méprisable comme argument et pourtant... Oui. Oui je conçois que ça puisse être un motif, le plus blessant et le moins légitime souvent mais je conçois. Derrière les "c'est pas toi c'est moi", les "on était pas sur la même longueur d'onde", et autres phrases grotesques, j'entends l'insuffisance. Elle est dure à entendre c'est pour ça qu'on se ridiculise à essayer d'appuyer ça avec des mots plus flous, équivoque mais on en revient là. C'est dur de quitter quelqu'un pour ce qu'il est fondamentalement et je le sais c'est pour ça que j'attends des évènements qui lui feraient tilt aussi. Quoiqu'il en soit, j'ai de l'affection pour lui et le fait que j'en parle si pragmatiquement est une défense. On se prépare comme on peut à une rupture mais je ne suis pas dupe, ça ne sera jamais suffisant.
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Sur Eyes To Heaven, vous trouvez trois groupes. Chacun se base sur les rêves et la chance, sur le destin et porte un nom assez révélateur. Comme on aime teaser à feu doux, vous trouverez plus bas ces fameux groupes. En espérant qu'ils vous plairont et sauront vous donner de belles idées.
Sweet dream — Âmes semblent être dénuées de l'emprise et nourries aux rêves artificiels. Iels ont les prunelles qui osent s’illuminer devant les teintes rosées du ciel. Chance au bout des doigts, soleil éclaire chacun de leur pas. Certains diront qu'iels sont né·e·s sous une bonne étoile, eux, affirmeront qu'iels se battent pour faire de leurs rêves, une réalité. Lucid dream — S’articulent encore entre l’ombre glaciale et la chaleur d’un astre, si conscients mais peu insipides. Iels sont de celleux qu’on qualifie de clair-obscur en se jouant du destin malgré les douloureuses conséquences. Tantôt éclairé·e·s par dame la chance, tantôt pris·e·s d'assaut par vile malchance. Il suffit d’un tressaillement pour que les étoiles s’étirent et articulent la véritable nature de leurs cœurs. Nightmare — Les encéphales dénués de larmes, iels plongent avec grâce vers les tréfonds d’une ombre opaque. Sous leurs seins, il reste encore une chétive lueur d’espoir, vite éteinte par le crépitement de leur virulence, de leur intrinsèque violence. Véritable chats noirs s'enfoncent vers leurs pire cauchemars. Iels n'y croient pas. Iels n'y croient plus. Entre pulpeuses scellées, mot chance frôle vocabulaire oublié, persuadé·e·s que leur unique destin est de subir morne existence jusqu'à la fin.
#forumactif#rpg#rpg ressources#forum rpg#pub rpg#t:annonces#projet#euphoria#forum francophone#rpg francophone#forum city
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'School violence controversies' Soo-jin and hwang young-woong, Come back start ..
Source: k-star-holic.blogspot.com
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La mort de l'empathie Humaine est l'un des Premiers signes et le plus Révélateur d'une culture Sur le point de sombrer Dans la barbarie.
Hannah Arendt
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Un regard ne trompe pas, les yeux sont le révélateur de nos sentiments les mieux cachés.
Armelle Hilmoine
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Paul Nougé
Le Bras Révélateur
From "La Subversion des Images", 1929 - 1930
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Un baiser sur le front, est révélateur d'un respect sans faille , il harmonise le cœur et l'esprit.
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