#Le Mont Noir
Explore tagged Tumblr posts
Text
Je reprends ma série de vieilles photos. Vie quotidienne à la campagne auvergnate...
Bussières, les Bages, 1930. Très belle photo, pleine de tendresse. Le bébé est vraisemblablement ma mère !
Vichel, 1950. Mon grand-père maternel, ma tante, mon oncle et le berger barbu déjà entrevu dans un billet précédent...
Vichel, 1935. Ma mère et sa petite sœur. Au fond, le Moncelet.
#vintage#noir et blanc#auvergne#vichel#bussières#les bages#berger#famille#barbe#mémé#mont celet#moncelet
1 note
·
View note
Text
La Mode nationale, no. 47, 22 novembre 1902, Paris. Groupe de toilettes d'hiver pour dames et jeunes filles. Bibliothèque nationale de France
(1.) — Robe de visite pour jeune femme ou jeune fille, en zibeline mélangée café au lait. Empiècement de plis en forme sur les hanches ou de biais très rapprochés. Le bas de la jupe est garni de même; cette jupe se monte à plis couchés au-dessous de l'empiècement.
Corsage-blouson en peluche ou en panne loutre orné de pampilles vieux bleu. Manche très évasée et fendue, garnie de pampilles; bouffant de soie blanche dans un poignet de taffetas fleur; même ceinture; guimpe plissée en soie rubis; berthe de taffetas blanc incrustée de fleurs rebrodées.
(1.) — Visiting dress for young woman or girl, in mixed sable coffee with milk. Yoke of shaped pleats on the hips or very close bias. The bottom of the skirt is trimmed in the same way; this skirt is assembled with flat pleats below the yoke.
Bodice-blouson in plush or otter panne decorated with old blue tassels. Very flared and slit sleeve, trimmed with tassels; white silk bouffant in a flower taffeta cuff; same belt; pleated wimple in ruby ���silk; berthe of white taffeta inlaid with embroidered flowers.
Matériaux: 4 mètres de zibeline; 3 mètres de peluche; 2 mètres de soie blanche; 1 mètres de soie rubis.
—
(2.) — Toilette de visite pour jeune femme ou dame d'un certain âge, en ure mousseuse rainette. Jupe unie plissée derrière et un peu longue. Longue jaquette serrée à la taille par une ceinture de cuir repoussé.
Grands revers de martre. Plastron et rabat de dentelle. Manche pagode à parement religieuse, ourlé de fourrure.
Manchon de martre.
(2.) — Visiting dress for a young woman or lady of a certain age, in frothy rainette ure. Plain skirt pleated behind and a little long. Long jacket tightened at the waist by a belt of embossed leather.
Large marten lapels. Lace plastron and flap. Pagoda sleeve with religious facing, hemmed with fur.
Marten sleeve.
Matériaux: 7 mètres de bure.
Capeline de velours émeraude; devant, boucle de strass; sur les cheveux, roses de velours noir.
Emerald velvet capeline; front, rhinestone buckle; on the hair, black velvet roses.
#La Mode nationale#20th century#1900s#1902#on this day#November 22#periodical#fashion#fashion plate#cover#color#description#bibliothèque nationale de france#dress#coat#collar
25 notes
·
View notes
Text
J'ai adoré ce moment Rayllum, avec Rayla qui découvre le journal d'Esmerelda et qui la comprend car elle, aussi, elle avait quitté Callum pour retrouver Viren. Et que Callum parle de son père biologique qui était un écrivain et un poète mais qui avait une maladie respiratoire. Mais le ton monte quand Callum lui révèle qu'il a utilisé la magie noire et là Rayla lui dit que pour le bien de tous, il doit la sacrifier. Car elle est inquiète pour lui, j'ai bien aimé ce dialogue montrant ce que signifie le bien pour tous en détriment de la personne. Et du coup, il redemande à Rayla de le tuer si Aaravos prend possession de lui. Je crains pour Callum maintenant !
I loved the Rayllum moment, with Rayla discovering Esmerelda's diary and understanding her because she, too, had left Callum to find Viren. And Callum talking about his biological father, who was a writer and poet but had a respiratory illness. But the tone rises when Callum reveals that he has used dark magic, and Rayla tells him that for the good of all, he must sacrifice her. Because she's worried about him, I liked this dialogue showing what good for all means at the expense of the individual. And then he asks Rayla again to kill him if Aaravos takes possession of him. I fear for Callum now!
#the dragon prince#tdp#tdp s6#tdp s6 spoilers#callum#rayla#rayllum#sneeze and stella are us in this episode
33 notes
·
View notes
Text
L'Hostellerie du Mont Noir nous ramène à l’époque où la pub se peignait à la main. Ici, pas de papier qui se décolle au premier coup de vent. Avec ses lettres gothiques, cette typo inspirée des manuscrits médiévaux promet une touche de tradition et d'authenticité à ce commerce local. Un mur qui ne te racontait pas de salades. Il voulait juste t’envoyer dans un lieu où les histoires se dégustaient autour d’un bon repas, avec un petit verre pour accompagner. Aujourd'hui c'est silence radio. Il reste cette peinture pour nous dire que les bonnes choses ont une fin mais que les souvenirs tiennent bon.
30 notes
·
View notes
Text
saga: Soumission & Domination 342
Février le Ski-4
Jour 5
Réveil aux aurores. Mon chasseur été tout surpris de se réveiller dans mon lit. Il me surprend en me faisant un câlin avant de sauter sous la douche. Quand je me lève, j'aperçois Marc et Hervé qui rentrent de leur escapade à l'étage du dessous. On se fait des bisous et je leur demande si c'était bien les chaudasses que m'avaient dit les deux chasseurs qui les avaient levées. Ils confirment en coeur que c'était bien le cas. Nous nous pressons au petit déjeuner. Nous sommes tous là et cela s'entend dans le restaurant. Nous sommes devant les remontées mécaniques dès leurs ouvertures et nous nous dispersons dans la montagne. Les groupes sont restés les même alors que les niveaux ont tous progressé.
Aujourd'hui nous prenons vraiment plaisir à skier. Les descentes se succèdent assez facilement et nous apprécions même les noires. Nous terminons la journée en hors-piste avec un long passage dans les sapins pour voir si nous avons retenu les astuces pour ne pas s'enfoncer dans les fourrés recouverts de neige. Ce coup-ci nous ne perdons personne. Le retour se fait dès la fermeture des remontées mécaniques. A l'hôtel, avant de monter je vois le directeur pour notre denier soir (demain). Je veux un diner qui sorte de l'ordinaire pour notre petite troupe + 2 car je sens que d'ici là nous allons avoir adopté le duo de l'étage du dessous. Douche seul, ça faisait longtemps. J'en profite et détends mes muscles sous les jets brûlants. Vers 19h nous envahissons la piscine. Evidemment nous y retrouvons nos deux voisins du dessous qui nous attendaient avec impatience. A part quelques filles qui bronzent sous les lampes UV, l'espace aquatique est à nous. Dans la partie haute de la piscine nous organisons un combat en couple (un mec juché sur les épaules d'un autre) Escorts contre Chasseurs Alpins. Le couple gagnant est quand même militaire. C'est leur lutteur en portage du lieutenant responsable qui gagne le défi. Nous nous partageons entre le sauna et le spa. Retour à l'étage pour nous changer puis diner. Le groupe de chasseur est maintenant invisible. Fondu parmi nous, ils ne pensent plus à la caserne. Ça discute entre tous comme avec de vieux amis. Ils nous apprécient car on ne fait pas de différence entre eux et nous. Ils sont sous-officiers ou simples soldats et nous sommes tous en études supérieures. A côté de cela, ils ont des compétences que nous n'avons pas. Ça équilibre et comme mes escorts sont tout sauf snobs, ça se passe nickel. Les derniers arrivés ont aussi pioché dans nos valises de quoi s'habiller plus " neutre ". Je propose une virée à la boite de nuit de l'hôtel. Pas de réaction puis tous me disent qu'ils veulent se coucher tôt pour être en pleine forme demain. Et je vais les croire peut être ! Le retour se fait en ordre dispersé selon ceux qui étaient pressés, ceux qui voulaient un café et/ou un alcool.
Je prends juste un café. Je veux moi, aussi bien profiter de la fin de soirée. Avec PH, Ernesto et Ludovic, j'ai bien envie de profiter des deux " voisins ". J'aime me faire mon avis moi-même et voir s'ils sont aussi chaudasses que ça. Ils ne sont pas contre donc on monte dans leur chambre. Plus petite que les nôtres, elle fait quand même 4m x 5. Les deux lits jumeaux sont déjà collés, les pieds attachés entre eux par les premiers " visiteurs ". Nous sommes 4 et eux 2. Ils se trouvent propulsés sur leur lit et dévêtus en 30 secondes. Je les regarde de près. Ils sont pas mal tu tout et très baisables. A leur tour, ils nous mettent à poil et se mettent aussitôt à nous pomper en alternance. Et quand je les vois se mettre, en même temps qu'ils nous sucent, des doigts dans le cul, je comprends l'adjectif " chaudasse " qui leur a été attribués. Même pas besoin de les préparer, ils sont auto-chauffés ! Comme j'enfonce mon gland dans la gorge d l'un des deux, c'est Ernesto qui se colle à l'enculage. Il se kpote et défonce la " salope " qui me pompe. Ses doigts ont dû être efficaces car c'est un direct au fond qu'il lui octroi. Je vois sous mes yeux les 24cm de mon espagnol préféré s'enfoncer en une seule et puissante percussion jusqu'à ce que son bassin colle aux fesses de mon pompeur. Ça ne s'arrête pas là. Emporté par l'élan, Ernesto le pousse en avant et mon gland défonce encore plus loin sa gorge. Je sens ses dents s'enfoncer dans mon pubis. Jamais je n'avais défoncé une gorge aussi profonde ! Trop bon !
Quand je me retire il prend une respiration et pose ses mains sur mes fesses pour m'attirer à nouveau vers lui ! Son copain à coté, avec Ludovic et PH demande qu'ils lui fassent la même chose. Excité par notre trio, ils s'y mettent, Ludovic à mettre en sourdine les gémissements que PH tire du mec en l'enculant aussi fermement qu'Ernesto. On part dans un délire grave tous les 6 ! On s'échange les différents trous et les deux mecs pendant un bon moment, les deux amis se prennent de quoi les calmer un bon moment. J'aime particulièrement la voracité avec laquelle ils accueillent nos bites dans leurs gorges affamées que dans leurs culs de velours. Même après les passages répétés d'Ernesto, ils restent serrés et confortables à la sodo. Pendant tout ce temps ils bandent dur et ne veulent pas qu'on touche à leurs sexes de peur de partir trop tôt ! Nous arrivons à les baiser plus de deux heures avant d'être rattrapé nous-même par le plaisir d'exploser sur et /ou dans eux. Quand le dernier d'entre nous expulse sa dernière goutte de sperme, ils se collent en 69 et nous les voyons chacun déglutir la production de l'autre.
Nous sommes tellement cassés qu'il nous faut 1/2 heure pour émerger de l'état de mort cérébrale qui a suivi nos éjaculations. Nous arrivons quand même à regagner notre étage non sans avoir choqué les voisins direct (les deux vieux) alors qu'ils avaient passé la tête par leur porte pour voir qui faisait autant de bruit à côté de chez eux. Il faut dire que nous n'avions pas renfilé beaucoup de vêtement pour glisser jusqu'à l'ascenseur. Et qu'une ou deux fesses devaient encore déborder des slips censément chargés de les couvrir. A notre étage, les baises sont aussi dans leurs stades terminales. En passant devant toutes les chambres, nous atteignons celle d'où proviennent encore des gémissements. Il fallait s'y attendre, on y trouve Max et Enguerrand en train de se faire démonter par deux Chasseurs. Ils ont bien choisi, ce ne sont ni les plus moches ni les plus vieux non plus. Et d'après ce que l'on peut en voir, ils ont encore les batteries bien chargées. Enguerrand me voit et me fait signe d'approcher. Il est sur le dos, les jambes relevées et écartées pour laisser la place à son enculeur d'oeuvrer. J'approche ma tête de la sienne. Il me l'attrape et me roule un gros patin. Quand il me relâche il me dit qu'il est trop content que nous les (max et lui) ayons emmenés avec nous. Des deux militaires, nous arrivent les mêmes commentaires, comme quoi s'aurait été dommage si nous les avions laissés derrière nous. Tout ça bien sûr sans cesser de limer les deux petits culs de nos benjamins !
Nous restons avec eux participants à l'apothéose finale. Entre rouler des pelles ou bouffer des tétons, nous nous répartissons les acteurs. Puis, j'ai une idée lumineuse. Pourquoi ne pas enculer les deux chasseurs Alpins histoire d'accélérer leurs montées terminales. Un clin d'oeil à Ernesto qui me comprend et, une kpote plus tard, j'encule celui d'Enguerrand alors qu'Ernesto se charge, ou plutôt charge, le chasseur de Max. Le mien s'est bien adapté à la nouvelle situation alors que celui d'Ernesto s'est montré plus... surpris, on va dire ! Bon c'est vrai que 24x6 c'est plus hard à prendre que mes 20x5. En attendant nos interventions ont précipité les choses et nos deux chasseurs tirent leurs cartouches au fond de nos amis. Eux prennent leurs pieds entre les sodos et les stimulations de PH et Ludovic respectivement sur Enguerrand et Max. Quand nous rejoignons notre suite, la grande chambre est occupée par Marc et Hervé... accompagnés de mes deux " russes ". Nous nous installons dans un autre des chambres de la suite.
Jour 6 Sur le même rythme, tout pareil !
Jour 7, dernier soir et dernière nuit ! Réveil sur les coups de 8h par nos militaires douchés et équipés. On se presse tous pour être au petit déjeuner à 8h30. Les groupes " faibles " qui le sont bien moins sont réunis, mais les deux autres groupes restent indépendants. Nos ainés ne veulent pas se faire chier à nous suivre sur notre rythme de fou et nous nous voulons rester avec Jona et François. On se fait plaisir sur toutes les noires maintenant. La godille n'a plus de secret pour nous et nous filons comme des flèches sur les pistes. Nos coaches ont content de nos progrès et c'est tant mieux puisqu'on est l'avant dernier jour !
Un dernier passage dans la forêt qui nous avait donné tant de mal la première fois, sauf pour Max qui s'y était fait son premier Chasseur Alpin. Comme sur des roulettes ! Et c'est notre dernier soir !! J'avais insisté pour que nous rentrions tous de bonne heure et c'est le cas. 16h30 tout le monde est à l'hôtel. Douches, rasages, épilations, hydratation, nous prenons soin de nous et de notre équipe de " profs ". Ils ont beau protester, au départ, ils finissent par succomber au nombre et à se faire bichonner. Nous leurs devons bien ça après tout le mal qu'ils se sont donnés à améliorer notre pratique du ski ! A presque 3 par mec, nous nous occupons de leurs bodies de fou. C'est bien pour ça que je voulais qu'on rentre tôt. Après un douchage entre nos mains, nous leurs octroyons un rafraîchissement de leurs pilosités mais dans leurs limite, pas question de les mettre en porte à faux avec leurs autres collègues. Cela ne nous empêche pas de les masser avec de l'hydratant et ils en sortent avec de vraies peaux de bébés. Un soin particulier est mis à leur choisir les vêtements les plus mode qui peuvent leur aller. Emportés par l'ambiance ils se laissent faire même le chef du détachement. Quand ils sont prêts, ils sont parfaits, au point que je leur dis que s'ils n'avaient déjà un travail, je les aurais embauchés sans problème dans ma boite d'escorts. Ils éclatent de rire avec tous mes amis. Nous descendons diner. La traversée du hall nous vaut des regards encore plus appuyés que les dernières fois. Je crois même avoir entendu plusieurs sifflets et ne provenant pas que de femmes. Nos deux invités qui nous attendaient devant la porte du salon particulier où nous allions, ont leurs mâchoires qui tombent en nous voyant, surtout nos militaires ! On les pousse à l'intérieur et nous sommes pris en charge par les serveurs. Apéritif, les bouchées sont délicieuse et légères (il n'est pas question qu'on ait plus faim après). Le diner est parfait. Les vins sont suffisamment bons pour que personne ne songe à en abuser. On prend tous un café, nous attendant à une fin de soirée plutôt chaude.
O remonte et pour cette dernière nuit nos deux invités sont autorisés à nous accompagner. Je passe sur leurs exclamations devant le luxe de l'étage et celui de voir tous les mecs se foutre à poil en 15 secondes. Comme ils sont un peu lent, ils sont aidés et se retrouvent dans le même " plus simple " appareil que les autres. Je les laisse à d'autres qui n'ont pas encore eu le plaisir de baiser leurs deux petits culs très gourmands et part à la recherche d'un bon coup avec Ludovic. On croise Jona et François en train de se payer les deux lieutenants. Je sais qu'ils avaient tenu tant que ces derniers étaient leurs " moniteurs ". Là, ils baisaient avec eux avec la fougue propre à ceux qui se sont retenus ! C'est amusant mais mes escorts en couple tendent à baiser avec d'autres mecs mais ensemble quand même. Mes deux escorts spéciaux et leurs deux lieutenants baissent côte à côte, et s'échangent de temps en temps. Je m'arrête 3 chambres plus loin. Dedans Max et Enguerrand se font défoncer par Sosthène et João. Ludovic hésite à venir avec moi, gêné par la présence de son frère. Je le pousse devant moi et il tombe sur Max qui se fait limer par João. De mon côté, je me glisse vers Enguerrand et Sosthène. Roulage de pelle à chacun. Ils ont l'air content de me voir. Enguerrand réclame ma bite. Je ne fais pas de cas pour la lui planter dans la gorge. A côté, Ludovic m'imite dans la bouche de Max.
J'ai la bonne surprise de sentir une fraicheur sur ma rondelle. Quand je tourne la tête c'est pour voir celle de Sosthène plantée entre mes deux fesses. C'est donc bien sa langue qui me lèche l'oignon. Putain comme il fait ça bien ! Je me sens m'ouvrir et sa langue progresser dans mon trou. Je n'en raidis que plus et les amygdales d'Enguerrand en profitent un max. Je suis obligé de me calmer et pour cela me retire de la bouche chaude qui enveloppait mon sexe et glisse sur son corps dans le but de me mettre en position de lui rouler une pelle. C'est presque aussi bon que d'en faire une à Ludovic. Ok, c'est aussi bon ! J'entends un déchirement d'enveloppe de kpote et mon anus se fait envahir à son tour. C'est bien sûr les 23cm " café au lait " de Sosthène qui prennent leurs marques. Je jette un oeil à nos voisins. Ludovic a vu mon changement de position. Il m'imite et je le vois glisser sur le corps de Max pour proposer sa rondelle à João. Pour éviter que mon petit beau-frère pâtisse d'un coup de froid mal placé, je m'empresse de boucher le trou laissé vacant par ma bite. Il m'aide en relevant ses jambes et son bassin.je lui mange la langue en essayant d'amortir les coups de rein de Sosthène dans mon fondement. Sa rondelle se resserre sur ma bite plus fine. Il fait ça bien et me fait bander plus encore. Tout comme les coups de gland dans ma prostate, ça participe à m'envoyer des ondes de bien être dans tous mon corps. Après quelques minutes, placé ainsi, Enguerrand se tortille sous moi pour se tourner et se mettre en levrette, un peu écrasée sur ses pattes arrières la bestiole quand même ! Il s'écarte les fesses de ses deux mains pour que je le pénètre plus profondément encore. J'aime trop son petit cul, étroit à souhait. Je ressens un contact total avec ses chairs intérieures comme avec la peau de tout son dos. Contre le miens je sens les pointes dures des tétons de Sosthène s'écraser sur mes omoplates. Je ne sens bien sûr pas que ça ! Ses 5,8 de diamètre m'écartent la rondelle avec une pression impérieuse. Le préservatif est si fin que j'ai comme l'impression que nos chairs sont collées. Puis ça se mélange avec le trio d'à côté. Je ne sais comment mais je me retrouve entre Max et João dans la même position, c'est-à-dire en jambon du sandwich. Quand j'en prends conscience je me demande où est parti Ludovic. Je mate à droite et c'est là que je le vois dans ma position !!! C'est-à-dire " occupé " par Sosthène et " dans " Enguerrand qui sur le dos, lui roule un patin d'enfer. Ça me déconcentre un peu avant que mes deux amants m'envoient au 7ème ciel.
Je me dégage vite et vais retrouver mon Ludo et son frère. Ma langue rejoint les leurs et j'aime trop ça. Enguerrand se tourne un peu pour me serrer dans ses bras et me rouler une pelle tout seul. On se bat un peu de la langue avant que je me retourne et fasse de même avec Ludovic. Sans s'en apercevoir les trois autres nous ont quittés. J'ai occupé la place laissée vacante par Sosthène et c'est tous les trois en même temps que nous avons jouis comme des fous. Moi au fond de Ludovic, lui au fond d'Enguerrand et ce dernier entre leurs abdos compressés. Nous prenons une douche ensemble comme pour retarder le moment de nous séparer. Je les embrasse tous les deux les serrant fort contre moi, en premier mon amour et en second son " conard " de petit frère. Ils sont trop ces trois frères là ! Je repars à la chasse aux chasseurs lol ! Je tombe sur le mien (celui qui m'avait coaché toute la semaine) qui faisait de même. Je l'attrape par le cou, lui roule un patin et lui demande s'il est d'accord. Il ne demande pas pourquoi et me pousse dans une chambre. On tombe en réel sur Ernesto en train d'enfiler un de ses collègues (à mon chasseur). On est surpris tous les deux car c'était celui qui m'avait fait part de ses craintes quelques jours plus tôt de se faire emmancher. On s'installe à coté pour baiser nous aussi. Et c'est avec eux trois que j'ai fini la nuit. Quand je me suis réveillé j'étais encore emmêlé avec eux. A poil j'ai fait le tour de l'étage. Max et Enguerrand avaient retrouvé leurs deux " chasseurs " préférés et dormaient aux creux de leurs bras. Marc couvrait de son corps un des deux invités comme Hervé serrait l'autre dans ses propres bras. Ludo et PH dormaient encore dans les bras l'un de l'autre alors qu'Ernesto dormait entre les deux lieutenants.
Jour 8 Pas de ski ce dernier matin ! Nous passons notre matinée entre douches, petit déjeuner et valises. Les militaires se préparent de leur côté. Ils repartent tous lestés de la tenue qu'ils portaient hier soir. Les adieux se font à l'étage. On se serre dans les bras, on échange les dernières pelles et alors qu'ils vont prendre l'ascenseur, je leur donne à chacun une enveloppe avec interdiction de l'ouvrir avant le soir et seuls ou entre eux. Dans chaque enveloppe se trouve une rétribution substantielle, en liquide, pour récompenser les efforts qu'ils avaient déployés, le temps passé avec nous et mes coordonnées pour le cas où ils aimeraient passer des vacances au bord de la mer pour les changer. Pour le cas même ou certains voudraient se revoir.
Jardinier
~~
~~
~~
11 notes
·
View notes
Text
Une Dremmwel au blé noir dans les monts d'Arrée
@sauvagej c'est pas Mimizan mais c'est reposant !
#dremmwell #bleNoir #bretagne #bzh #breizh #montsDarree #brittany#biere #malt #brasserie #houblon #bier #brasseur #bio #organic #concarneau #instabeer #beer #jusDeHoublon #brewery #frenchBeer #locale #artisanale #craftbeer #beerstagram #mousse #instamousse #instapero #apero
#dremmwell#bleNoir#bretagne#bzh#breizh#montsDarree#brittany#biere#malt#brasserie#houblon#bier#brasseur#bio#organic#concarneau#instabeer#beer#jusDeHoublon#brewery#frenchBeer#locale#artisanale#craftbeer#beerstagram#mousse#instamousse#instapero#apero
17 notes
·
View notes
Text
US Vogue October 1, 1957
Sunny Harnett wears a single-breasted French tweed coat with a deep box pleat for ease in the back. Street accessories here: the contoured cloche in garnet velvet, by Sally Victor; brown gloves; a muff in dark ranch mink. Coat by Monte-Sano & Pruzan, in red and black Lesur wool. Muff by Ritter Bros. Pumps by Liparé. Stockings by Bur-Mil Cameo, a reddish brown. Beauty note: Orlane's new pressed powder, Royal Laelia.
Sunny Harnett porte un manteau en tweed français, à simple boutonnage, avec un pli creux profond donnant de l'aisance dans le dos. Accessoires de ville ici : la cloche profilée en velours grenat, par Sally Victor ; gants marron ; un manchon en vison de ranch foncé. Manteau de Monte-Sano & Pruzan, en laine Lesur rouge et noire. Manchon de Ritter Bros. Escarpins de Liparé. Bas Bur-Mil Cameo, un brun rougeâtre. Note beauté : la nouvelle poudre compacte d'Orlane, Royal Laelia.
Photo Karen Radkai vogue archive
#us vogue#october 1957#fashion 50s#fall/winter#automne/hiver#ready to wear#prêt à porter#monte-sano & ruzan#sally victor#lipré#bur-mil cameo#orlane#sunny harnett#karen radkai#vintage vogue#vintage fashion
12 notes
·
View notes
Text
Malgré le problème que représente mon existence, et malgré le fait que j'aurais peut-être préféré n'avoir jamais eu à les écrire, je suis fier de toutes ces pensées écrites. Je les parcours, un sentiment chaud, doux et familier me parcourt, me monte à l'âme, et au fond de cette solitude, comme une île perdue dans un univers inconnu, je sens que je me réconcilie, si non avec le monde, du moins avec moi-même, et le monde que mon existence elle-même représente. Ce sentiment poétique, qui hante tous les mélancoliques de la terre, est à la fois notre malédiction et notre salut. Ce que je retiens de toutes ces années d'introspection, de lutte contre et pour la vie, souvent en vain, c'est que le souvenir de soi constitue une étrange et intarissable joie. Dans le tumulte que représente la vie présente, quotidienne, horriblement ennuyeuse, la mémoire dans ce ciel noir agit comme un phare dans lequel il est toujours possible de se réfugier et se retrouver soi, intact, pur, beau. Et ce regard jeté sur tout ce qu'on a été cultive en nous un sentiment agréable du moi. Autour du feu intime, on se réchauffe, on se contemple, et la poésie est en marche. Tout, dans cette contemplation, est sublimé. L'alcool a ce terrible avantage de faire de cette communion intime avec un monde poétique un état partagé. Une solitude à deux. Il est ainsi possible de délirer à deux, d'être ensemble au-delà de la vie. Chose qui est généralement impossible sobre. Émotion, c'est cela qu'il faut chérir. Poésie, musique, art, mémoire et ses souvenirs, émotion en somme.
8 notes
·
View notes
Text
"Sans toi, je revenais, comme enivré, Incapable désormais d'être seul le soir, Quand les nuages las se dissipent Dans le noir incertain.
...
Seul dans le jour, et ensuite dans le silence Du soir fatal. Et maintenant, enivré, Je m'en reviens sans toi, et à mes côtés Ne se trouve que l'ombre.
Et tu seras loin de moi mille fois, Et ensuite à jamais. Je ne sais pas refréner Cette angoisse qui monte dans mon cœur ; Être seul
Pier Paolo Pasolini
Ph. Ibai Acevedo
23 notes
·
View notes
Text
Il est sept heures du matin, les ombres s'éveillent, Odeur de café noir, rêves en décombres, Débordement insensé, le cœur en sommeil, Une couche de terre où nos âmes sombrent. Mes poumons brûlent, éclats de nuits sans fin, Dogmes nouveaux pour apaiser l’invisible, Je pars rejoindre l'oiseau de nuit malin, Dans sa maison au brouillard indélébile. Poison léger, fluide rubis en transe, Corps céleste filant, au ciel désenchanté, Jamais lassé par tes mots, sombre danse, De mon cœur vagabond, corridors hantés. Ta présence comble les vides infinies, Quel est ce masque que tu donnes à l'amour ? Le train ralentit derrière les monts ternis, Veux-tu m’accompagner dans mes vices pourpre ?
#writer#ecriture#creative writing#creativity#mood#mood today#writing#writing life#french poetry#sentimental#poetry#poetic#original poem#poems on tumblr#poems and poetry#romantic#lovers
14 notes
·
View notes
Text
Mardi
Vingt-quatre heures plus tôt... Quand on ressent le besoin de bouger sans pouvoir partir, on monte au lac de St-Ferréol. Une heure plus tard, on déjeune sur une terrasse qui domine le lac, puis on va s'étendre au bord de l'eau, caressé par le vent qui descend de la Montagne noire. On ouvre un livre qu'on ne lit pas, préférant regarder les oies (bernache du Canada et oie de Chine), les canards, aigrette et héron. Et le monde s'éloigne doucement, le temps s"oublie, et tout va mieux, d'autant qu'on vient d'apprendre que le typhon qui menaçait Osaka et Kyôto est allé se perdre en mer, que la rentrée scolaire des kids s'est très bien passée, et que le palais se souvient de la fraîcheur fruitée de la sangria savourée plus tôt.
8 notes
·
View notes
Text
Ce qui est important, c'est ce qu'on ne voit pas, c'est le facteur qui trousse la bonne. Il y a un tas de choses qu'on ne voit pas. Par exemple, le mélange des races, on est en train de devenir des Brésiliens. Eh bien, personne ne s'en rend compte. Le Noir monte ; le Jaune avance. Le Blanc, ce n'est plus qu'un fond de teint. Et d'ailleurs, le Blanc, c'est une erreur. Il a les nerfs fragiles. C'est Ophélie. Il tiendra pas devant les autres. Ce sont les Blancs - les Anglais qui ont inventé la neurasthénie et l'alcoolisme. Foutus, je vous dis, ils sont foutus. Bientôt on ira voir au spectacle : « Entrez, entrez., mesdames et messieurs, venez voir le dernier Blanc du Continent européen. »
L-F Céline, entretien avec Louis Le Cunff (Le monde et la vie)
8 notes
·
View notes
Text
La Mode illustrée, No. 35, 29 août 1897, Paris. Toilette pour mariage à la mairie. Modèle de chez Mmes Moulines-Rottner, cité du Retiro, 15. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Description de la gravure coloriée:
Robe en moire gris argent; jupe toute unie; corsage ajusté du dos, légèrement blousant, par devant, et disposé en double revers: l'un en moire grise brodée d'acier, l'autre en satin blanc, orné d'une même broderie; ces revers encadrent un jabot de fine dentelle blanche, disposée en ondulations; col en moire bleu turquoise, voilé de dentelle en arrière et sur les côtés; col Médicis, en même dentelle; manches disposées à l'épaule, en quatre plis horizontaux, ajustées pour le reste, et s'évasant vers la main, pour laisser passer un volant de dentelle. Ceinture en satin gris argent uni.
La jupe est montée sur fronces, avec, devant, une couture qui monte bien les hanches, et rejette toute l'ampleur en arrière.
Chapeau-capote de cérémonie, en velours noir, couvert d'une broderie d'acier, garni de choux de satin blanc; touffe de plumes d'autruche noires avec oiseau de paradis, retombant en arrière.
—
Dress in silver gray moire; plain skirt; fitted bodice from the back, slightly bulky in front, and arranged in double lapels: one in gray moire embroidered with steel, the other in white satin, adorned with the same embroidery; these lapels frame a jabot of fine white lace arranged in undulations; turquoise blue moire collar, veiled in lace behind and on the sides; Medici collar, in the same lace; sleeves arranged at the shoulder, in four horizontal folds, adjusted for the rest, and flaring towards the hand, to allow a lace ruffle to pass through. Plain silver gray satin belt.
The skirt is assembled on gathers, with, in front, a seam which goes up well past the hips, and throws all the width back.
Ceremonial bonnet, in black velvet, covered with steel embroidery, trimmed with white satin puffs; tuft of black ostrich feathers with bird of paradise, falling back.
#La Mode illustrée#19th century#1890s#1897#on this day#August 29#periodical#fashion#fashion plate#cover#color#cover redo#description#Forney#dress#wedding#Madames Moulines-Rottner
38 notes
·
View notes
Text
Un enfant compliqué
La saison finale nous a donné des moments forts et intéressants concernant Ezran que ce soit en tant que roi ou bien en tant que jeune frère. Mais aussi sur ses principes montrant les échecs de ce dernier. Cependant ils étaient nécessaires pour montrer les défauts de son approche. Lorsqu'il arrive dans les ruines de Katolis, il a encore du mal à réaliser ce qui s'est passé. La scène du trône montrant un dernier souvenir de ses parents avant qu'ils disparaissent, ça fait mal. Et même quand il monte de nouveau au trône, c'est comme pour retrouver une certaine stabilité !
Quand Runaan arrive, son ressenti explose et sa colère est compréhensible mais pas le blâme envers lui. D'ailleurs même quand les autres essaient de le calmer, le fait qu'il soit sur le trône alors que ses amis sont en bas. Montre justement la distance qui commence à se creuser ! Même quand Rayla arrive de manière impulsive, il n'aime pas le fait qu'il soit qualifié comme "un gentil assassin." Même Callum était distrait pendant la réunion et lorsqu'il vient le voir dans le manoir Banther, il pointe du doigt le fait qu'il soit une tête de mule. Quand à l'argument de Zubeia, je l'ai jamais vraiment aimé. A mes yeux, c'était surtout un moyen de dédouaner Runaan de toute faute. Mais dans leur discussion, ça fait sens bien qu'à mes yeux l'une des raisons pour laquelle il l'a pardonné, est justement parce qu'elle est une mère. Contrairement à Ezran et Sarai, Zym et Zubeia ont l'opportunité de se revoir. Et les circonstances étaient tout aussi différentes avant, tout comme ça l'était pour Runaan et Harrow.
Comme je l'avais dit pour mon analyse sur Callum, il est porté par cette narration de peur amené par Harrow dans sa lettre, la peur de perdre davantage ! Et c'est arrivé, en poussant son armée vers Rayla et Callum, il les perd malgré la rancoeur qu'il éprouvera pour son grand frère par la suite. Leur situation est complexe aucun d'entre eux n'a raison ! Même si Aanya est là, elle lui propose une alternative le fait de créer des armes. Et c'est aussi là qu'on voit Ezran se détourner de ses principes. Vous connaissez l'expression "Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'un ni l'autre, et finit par perdre les deux." ? Cette expression va avec Ezran avec ses principes en voulant privilégier les défenses de son royaume. Même son conseil s'inquiète pour leur roi qu'ils sont censés servir ainsi que Zym.
Deux souverains qui se contrastent et deux oiseaux
Là où j'avais souligné les parallèles entre Janai et Ezran, deux souverains avec leurs responsabilités en tant que souverains et le fait de gérer leurs royaumes respectifs. Dans cette saison, ils se contrastent là où Janai fait preuve de clémence et essaie de raisonner Karim en apprenant qu'il puisse être père. Celui ci ne veut rien entendre cependant lorsqu'elle fait face à une situation d'urgence contre une menace. Elle n'a d'autres choix que de se tourner vers son frère pour détruire le globe solaire mais se fera de nouveau trahir par Karim ne trouvant que la mort dans la main d'Aaravos. Là où justement Ezran prépare ses défenses avec Aanya. Même suite au départ de Callum et les autres, le fait qu'il veuille les traquer est bien plus personnelle qu'un roi qui veut retrouver son haut mage ! Dans ses idées noires, il repousse même Zym ce qu'il n'aurait jamais fait avant ! Et lorsqu'il a réussit à piéger Aaravos par son embuscade, la lettre de Callum montre qu'il est toujours de son côté malgré leurs ressentis respectifs ! Toutefois à la rencontre de Terry et malgré sa méfiance envers lui, le fait qu'il lui parle de la menace d'Aaravos et présente aussi les deux oiseaux, lui permettant de se reconnecter à nouveau à son amour pour les animaux. Pendant un bref instant, on retrouve le roi qu'on connaît !
Le roi et le titan
Je trouve les dialogues entre Ezran et Aaravos assez intéressants, malgré la lettre de Callum et le fait qu'Aaravos lui dit qu'il fera de la magie noire. Malgré sa rancoeur, il tient toujours à lui. Même pendant la scène où justement Aaravos plaide son innocence, est un joli contraste avec le "procès" de l'ordre cosmique. Et bien qu'Ezran sent qu'Aaravos ne dit pas toute la vérité, Aaravos le sent aussi. Il est tout à fait possible que leurs interactions avaient quelque chose de similaire entre lui et la reine orpheline. Même celui ci veut qu'il se joigne à lui, prétextant qu'il est son plus grand allié. Qu'il a "sauvé" l'humanité en donnant la magie et que celui est encore jeune contrairement à Aaravos. Ça lui a pas suffit de vouloir l'aîné, il veut le cadet aussi ! D'un autre côté, Ezran parle aussi d'une nouvelle ère mais sans lui, car pour lui, Aaravos ne voit qu'à travers un regard de haine pour avoir ce qu'il désire. Et d'une certaine manière, cette réplique reflète aussi Ezran au début de la saison 7 et après le départ de Callum. En revanche, Aaravos réussit quand même à tromper Ezran lui faisant croire qu'il était arrogant en commentant une erreur en parlant de l'histoire de sa famille. Mais c'est justement qu'il voulait lui faire croire pour qu'il puisse récupérer la lame de Nova afin de le transpercer avec. Même le fait qu'il arrive au moment où Callum s'apprête à exécuter le sort est délibéré pour donner une autre raison de détester Runaan.
Un jour, il arrivera à lui pardonner
Après le sort interrompu de Callum par l'ancien roi Avizandum, Ezran n'a pas eu à transpercer Aaravos avec la lame de Nova. Et le fait que les archidragons se sacrifient justement pour les sauver. Ces mêmes archidragons dont il avait prit le temps de les rencontrer ne pouvant rien faire pour eux à part d'être là pour Zym maintenant qu'il perd aussi sa mère mais aussi son père pour la deuxième fois. Et Ezran les honore avec une fresque mural dans la vallée des tombes ce qui contraste avec la cérémonie de l'entente entre les humains et les dragons. Quand à Runaan, il se montre sincère sur ce qu'il est, ainsi que son rôle en tant qu'assassin mais aussi en tant que père. Et Ezran sait que ce sera pas facile mais un jour, il arrivera à le pardonnera. Tout comme le fait qu'il tient toujours à Rayla malgré leur désaccord. J'ai d'ailleurs pas mal aimé la scène de réconciliation car pour moi elle reflète pas la scène du départ de Callum mais plus la scène des ruines de Katolis où justement tout deux sont perdus suite à la perte de leur maisons. Et que la première chose qu'il a trouvé en arrivant et le dragon en peluche faisant référence à sa propre peluche quand il était petit.
Quand au discours de leur nouvelle ville, il montre aussi le nouveau départ d'Ezran en tant que roi, retrouvant ses principes mais sachant aussi ce qu'il devra faire pour veiller sur son peuple mais il ne sera pas seule car ses amis seront là pour le suivre, le guider ou bien le pointer du doigt quand il a tort. Le développement d'Ezran en tant que roi mais aussi en tant qu'enfant et jeune frère est l'un de mes préférés avec Callum. Et si on a l'acte 3, je serai vraiment curieuse de voir quel chemin il continuera de tracer.
A complicated child
The final season gave us some strong and interesting moments concerning Ezran, whether as king or as younger brother. But also about his principles, showing his failures. However, they were necessary to show the flaws in his approach. When he arrives in the ruins of Katolis, he is still having a hard time realizing what has happened. The throne scene, showing one last memory of his parents before they disappeared, is painful. And even when he ascends the throne again, it's as if he's trying to regain a sense of stability!
When Runaan arrives, his feelings explode and his anger is understandable, but not the blame. In fact, even when the others try to calm him down, the fact that he's on the throne while his friends are below. Just shows the distance that's starting to form! Even when Rayla impulsively shows up, he doesn't like the fact that he's being described as “a nice assassin.” Even Callum was distracted during the meeting, and when he comes to see him in the Banther mansion, he points to the fact that he's a stubborn hothead. As for Zubeia's argument, I never really liked it. To me, it was mostly a way of clearing Runaan of any wrongdoing. But in their discussion, it makes sense in my eyes that one of the reasons he forgave her was precisely because she's a mother. Unlike Ezran and Sarai, Zym and Zubeia have the opportunity to see each other again. And the circumstances were just as different before, as they were for Runaan and Harrow.
As I said in my analysis of Callum, he's driven by this narrative of fear brought by Harrow in his letter, the fear of losing more! And so it happens, as he pushes his army towards Rayla and Callum, he loses them despite his later resentment of his older brother. Their situation is complex: none of them is right! Even if Aanya is there, she offers him the alternative of creating weapons. And this is also where we see Ezran turn away from his principles. You've heard the expression “A people willing to sacrifice a little freedom for a little security deserves neither, and ends up losing both”? This expression goes with Ezran's principles in wanting to prioritize the defenses of his kingdom. Even his council is worried about their king, whom they are supposed to serve, as well as Zym.
Two rulers who contrast each other and two birds
Where I had pointed out the parallels between Janai and Ezran, two rulers with their responsibilities as rulers and managing their respective kingdoms. In this season, they contrast each other, with Janai showing mercy on her people and trying to reason with Karim on learning that he could be a father. Karim, however, won't listen when she's faced with an emergency threat. She has no choice but to turn to her brother to destroy the solar globe, only to be betrayed again by Karim, who finds only death in Aaravos' hands. Just as Ezran is preparing his defenses with Aanya. Even with Callum and the others gone, the fact that he wants to track them down is far more personal than a king wanting to find his high mage! In his dark thoughts, he even pushes Zym away, something he would never have done before! And when he succeeds in ambushing Aaravos, Callum's letter shows that he's still on his side, despite their respective feelings! However, when Terry meets him, and despite his distrust of him, the fact that he tells him about the threat from Aaravos and also introduces the two birds, allows him to reconnect once again with his love of animals. For a brief moment, we're reminded of the King we know!
The king and the titan
I find the dialogue between Ezran and Aaravos quite interesting, despite Callum's letter and Aaravos telling him he'll be doing dark magic. Despite his resentment, he still cares about him. Even the scene in which Aaravos pleads his innocence is a nice contrast to the “trial” of the cosmic order. And although Ezran senses that Aaravos isn't telling the whole truth, so does Aaravos. It's entirely possible that their interactions had something similar between him and the orphan queen. Even the latter wants him to join him, claiming he's his greatest ally. That he had “saved” mankind by giving them magic, and that he was still young, unlike Aaravos. It's not enough for him to want the eldest, he wants the youngest too! On the other hand, Ezran also speaks of a new era, but without him, because for him, Aaravos only sees through a look of hatred to get what he wants. And in a way, this line also reflects Ezran at the start of season 7 and after Callum's departure. On the other hand, Aaravos still manages to fool Ezran into thinking he's arrogant by commenting on a mistake when talking about his family history. But this was precisely what he wanted Ezran to believe, so that he could retrieve Nova's blade and pierce him with it. Even the fact that he arrives just as Callum is about to execute the spell is deliberate to give another reason to hate Runaan.
One day, he'll be able to forgive him
After Callum's spell was interrupted by the former king Avizandum, Ezran didn't have to pierce Aaravos with the Nova's blade. And the fact that archidragons sacrifice themselves to save them. The same archidragons he had taken the time to meet, unable to do anything for them except to be there for Zym now that he has lost not only his mother but also his father for the second time. And Ezran honors them with a mural fresco in the Valley of Graves, which contrasts with the ceremony of understanding between humans and dragons. As for Runaan, he's sincere about who he is, and his role as both assassin and father. And Ezran knows it won't be easy, but one day he'll be able to forgive him. Just like the fact that he still cares about Rayla despite their disagreement. I also liked the reconciliation scene, because for me it's not a continuation of the scene where Callum leaves, but more a reflection of the scene in the ruins of Katolis, where they're both lost after losing their homes. And the first thing he finds when he arrives is the stuffed dragon, a reference to his own stuffed toy when he was a child.
As for the speech about their new town, it also shows Ezran's new start as king, regaining his principles but also knowing what he'll have to do to look after his people, but he won't be alone as his friends will be there to follow him, guide him or point the finger at him when he's wrong. Ezran's development as a king but also as a child and younger brother is one of my favorites along with Callum. And if we get Act 3, I'll be really curious to see what path he continues to forge.
#the dragon prince#tdp#tdp s7#tdp s7 spoilers#tdp analysis#analysis#callum#ezran#runaan#aaravos#janai#karim
7 notes
·
View notes
Text
CRACKPOT THEORY: THE VOODOO ‘VIRGIN MARY’ IS ACTUALLY ERZULIE
Pictured: “Miss Erzulie Freda” by Andre Pierre
(Previously, I had argued that this must be Erzulie Freda, but now I no longer think that is necessarily the case.)
In Voodoo in New Orleans, Robert Tallant described how New Orleans Voodooists worshiped the Catholic saints:
“These merchants also sell pictures of saints. To certain Roman Catholic saints particular Voodoo power has been attributed: St. Michael is thought best able to aid in conquering enemies; St. Anthony de Padua is invoked for “luck”; St. Mary Magdalene is popular with women who are in love; St. Joseph (holding the Infant Jesus) is used to get a job. Many Voodoos believe a picture of the Virgin Mary in their homes will prevent illness, and that one of St. Peter (with the Key to Heaven) will bring great and speedy success in financial matters (without the Key to Heaven, St. Peter is still reliable in helping in the achievement of minor successes; the power of the picture is less, however). Pictures of the Sacred Heart of Jesus are believed to have the ability to cure organic diseases.”
SOURCE: Source: Tallant, Robert. Voodoo in New Orleans. 1946. Reprint, Gretna, La.: United Kingdom, Pelican Publishing Company, 1983.:
Many of these saints are not actually the Catholic Saints, but African-derived deities hidden under their names.
From the interview with the 75-year old Mary Washington (“Mary Ellis”), who was born in 1863*:
“That’s all I can remember. Marie Laveau used to call St. Peter somethin’ like ‘Laba.’ She called St. Michael ‘Daniel Blanc,’ and St. Anthony ‘Yon Sue.’ There was another one she called ‘On Za Tier’; I think that was St. Paul. I never did know where them names come from. They sounded Chinee to me. You know the Chinee emperor sent her a shawl? She wore it all the time, my aunt told me.”
SOURCE: Source: Tallant, Robert. Voodoo in New Orleans. 1946. Reprint, Gretna, La.: United Kingdom, Pelican Publishing Company, 1983.:
*Age and date of birth described in: Long, Carolyn Morrow. A New Orleans voudou priestess: The legend and reality of Marie Laveau. University Press of Florida, 2007.
Due to her age, the septuagenarian seems to have corrupted the pronunciation of the deities’ names. “Daniel Blanc” can be identified with Dan (Damballah), while “Laba” can be identified with Legba (Papa Legba). “Yon Sue” is probably Agasu (Miché Agoussou), while “On Za Tier” is possibly Azaka (Assonquer).
In Mythologie Vodou, Milo Marcelin identifies Maitresse Ezulie (Erzili Freda Dahomey) with the Virgin Mary. To be precise, she is identified with Our Lady of Sorrows (Mater Dolorosa), and two “Black Madonnas”: The Virgin of Altagracia, and Our Lady of Mount Carmel.
“Maitresse Ezili est identifiée à la Mater Dolorosa, représentée, dans les chromos catholiques, sous les traits d'une jolie femme qui porte des colliers en perles et en or, beaucoup de bracelets et de bagues en argent et en or, et qui a le coeur transpercé d'une épée en or. Elle est aussi identifiée à ces deux Vierges noires: Altagrace, appelée aussi Vierge d'Higuey (nom d'une ville Dominicaine), et Notre Dame du Mont-Carmel.”
SOURCE: Marcelin, Milo. Mythologie vodou: rite arada, vol. I. Haiti, Éditions haïtiennes, 1949, p. 77.
An intriguing bit of evidence is mentioned in Jeffrey E. Anderson’s Voodoo: An African American Religion.
In her thesis, Kendra Cole discovered a pencil drawing on the upper right corner of a document from the 19th century: The State of Louisiana v. Louise Johnson, New Orleans: City Archives, June 7, 1893.
The drawing can be viewed here, on page 31: https://aquila.usm.edu/honors_theses/658
It is not an exact match, but resembles Erzulie’s vèvè, as portrayed by Andre Pierre (shown above) and identified by Maya Deren in the 20th century.
See: Deren, Maya. Divine Horsemen : The Living Gods of Haiti. New Paltz, NY: McPherson, 1983 (originally published in 1953), p. 260: https://archive.org/details/divinehorsemenli00dere/page/260/mode/2up
Erzulie Dantor is also identified with the Virgin Mary, but her vèvè is not a match. See: https://haitianartsociety.org/ezili-dantor
Cole notes:
“My research in New Orleans was the first time the case had been opened since it was deposited; therefore, the probability of someone else representing the practice and drawing the symbol is doubtful.”
SOURCE: Cole, Kendra, "The State and the Spirits: Voodoo and Religious Repression in Jim Crow New Orleans" (2019). Honors Theses. 658. https://aquila.usm.edu/honors_theses/658
However, Anderson cautions:
“Unfortunately, the drawing is of uncertain age and origin and has no clear relevance to the case with which it associated, rendering it possible that the resemblance is simple chance.” (footnote 88)
SOURCE: Anderson, Jeffrey E. Voodoo: An African American Religion. LSU Press, 2024.
Indeed, the symbol might not be related to the lwa Ezili, but African in origin. For example, a similar heart-shaped symbol appears in the following photograph from 1900:
Schomburg Center for Research in Black Culture, Jean Blackwell Hutson Research and Reference Division, The New York Public Library. "Le roi d'Allada." The New York Public Library Digital Collections. 1900. https://digitalcollections.nypl.org/items/510d47de-07a3-a3d9-e040-e00a18064a99
As suggested by the name “Ezili Freda Dahomey”, Erzulie’s originates in the West African vodún Azili:
“An enslaved woman from Agonli-Houegbo, east of Abomey, established a shrine for the spirit Azili in the Tové neighborhood. Azili is the namesake of Haiti’s Èzili spirit family. The Dahomian army sold the woman in Hueda during the reign of Agaja, where she ended up remaining...Given Èzili’s importance in Haiti’s Rada and Petwo Rites, the narrative of the spirit’s origin in Dahomey and implantation in Hueda after 1720 suggests that the Èzili spirits have a Dahomian or Mahi origin.” (p. 73)
“Some have claimed that Ezili is a Haitian spirit (Dayan 1995, 58). However, the spirit Azlì or Azili is still served today in the Fon language area of Benin. Azlì dwells in the waters of Lake Azili that surround the island of Agonve, located on the left bank of the Oueme River (Brand 2000b, 7). In addition to their common traits, major differences include leprous male manifestations of Azlì in Fon culture (Tossounon 2012).” (pp. 169-170)
SOURCE: Hebblethwaite, Benjamin. A transatlantic history of Haitian Vodou: rasin figuier, rasin Bwa Kayiman, and the Rada and Gede Rites. Univ. Press of Mississippi, 2021.
See also: Daniels, Kyra Malika. "An Assembly of Twenty-One Spirit Nations." Africa and Its Historical and Contemporary Diasporas (2023): 67.
Worship of St. Peter and the Virgin Mary were prominent features of New Orleans Voodoo.
In an interview from the Federal Writer’s Project, Charles Raphael (“Raoul Desfrene”, born ca. 1868) described how Marie Laveau’s altar for “good work” featured statues of the Virgin Mary and Saint Peter:
Raoul Desfrene, a “French Negro” of 77, remembered Marie II well and attended some of her rites when he was a boy of about fourteen. What impressed him most was the jewelry he said she wore, which included, besides the ponderous gold earrings, diamond and ruby clasps in her scarlet-and-blue tignons, many rings set with diamonds and other precious stones, a huge horseshoe brooch of diamonds and a heavy gold bracelet on each arm. “She sure used to dress up,” he said.
He dismissed Marie I with, “There was an old lady living there, but nobody paid her no mind.” Raoul enjoyed describing the home of the Laveaus. According to him there was an altar for “good luck and good work” in the front room. It was covered with a white cloth and held a statue of the Virgin and one of Saint Peter. Raoul recalled one of another saint, a Saint Marron, who, he explained, “was a colored saint white people don’t know nothing about. Even the priests ain’t never heard of him ’cause he’s a real hoodoo saint.”
SOURCE: Tallant, Robert. Voodoo in New Orleans. United States, Pelican Publishing, 1984. Originally published in 1946.
If St. Peter was Papa Legba, it is plausible that the Virgin Mary was Erzulie, due to her prominence in Haitian Vodou as the divine feminine principle.
In Haitian Vodou, Milo Rigaud emphasized the importance of Damballah, Legba, and Erzulie, where the three form a holy trinity in the form of a triangle (“le triangle”):
Legba is figured as a divine masculine prototype, while Erzulie is figured a divine feminine prototype:
Dans le voudoo, Legba origine et prototype mâle du voudoo, est donc le soleil qui préside aux rites, tandis qu'Erzulie, origine et prototype femelle, en est la lune. Legba en est le Christ et Erzulie la Vierge. Les autres mystères viennent à leur suite, par ordre hiérarchique.
TRANSLATION:
In Vodou, Legba - male origin and prototype of Vodou - is the sun who presides over rites, while Erzulie - female origin and prototype - is the moon. Legba is the Christ and Erzulie the Virgin. The other mystères follow them, in hierarchical order.
SOURCE: Rigaud, Milo. La tradition voudoo et le voudoo haïtien: son temple, ses mystères, sa magie. FeniXX, 1953. https://original-ufdc.uflib.ufl.edu/AA00002240/00001
SEE ALSO: Rigaud, Milo. Secrets of voodoo. City Lights Books, 1985. French edition by Editions Niclaus 1953. Accessible here: https://archive.org/details/secretsofvoodoo00riga/mode/2up
This mirrors the importance of Saint Peter and the Virgin Mary in Louisiana Voudou.
Additionally, “Mama You” might be referring to one of the Ezili.
This is what is known about “Mama You”:
“Finally, some divinities survive only as names recorded in old documents, while others were probably no more than creations of imaginative authors. Mama You is one of the former, with her lone mention being a brief reference in a 1939 Federal Writers’ Project oral history. The only details supplied by the document are that she was “the mother of the child Jesus” and that she would sometimes answer from the ground when called by Marie Laveau.”
SOURCE: Anderson, Jeffrey E. Voodoo: An African American Religion. LSU Press, 2024.
Pictured: The protective mother, “Erzulie Dantor” by Andre Pierre
In Haitian Vodou, Ezili is sometimes referred to as “Manman” (as in, “Ezili bel Manman”, “Manman cherie” “Manman lavi” etc...) This is especially true for the protective mother Manman Ezili Danto. Words of praise for Ezili (especially, “Manman Danto”) sometimes refer to her as “Manman Ou”; there are many examples of this that can easily be found on the internet.
Just a hypothesis, but “Mama You” might be derived from “Manman Ou”, or part of a sentence that goes “Mama, You…” where “Mama” refers to (Mama) Ezili. In other words, “Mama You” might not be the name of a spirit but words of praise for Ezili - possibly, but not necessarily Ezili Danto.
In Lapriye Ginen, there is a lwa called “Manman Wou”, who is part of the Ezili famille. Another possibility is that "Mama You" is derived from this "Manman Wou".
SOURCE: Beauvoir, Max. Lapriyè Ginen. Haiti, Edisyon Près Nasyonal d'Ayiti, 2008.
Benjamin Hebblewaithe reproduced Beauvoir’s list of lwa here: http://ufdcimages.uflib.ufl.edu/AA/00/02/68/96/00001/Historical%20Linguistic%20Dimensions%20of%20Spirit%20Migration%20in%20Haitian%20Vodou.pdf
This is nothing definitive; I could have this wrong.
***
Previously, I proposed a theory that the Saint-Domingans may have brought a version of Erzulie who was both Erzulie Freda and Erzulie Dantor, like so:
“While I previously argued that this must be Erzulie Freda Dahomey, I have since realized that my logic was not entirely consistent. In Haitian Vodou, there exists a massive pantheon, where the lwa can be categorized by famille . “Erzulie” is actually a famille of lwa , where Erzulie Dantor is often described as the Petwo counterpart to Erzulie Freda Dahomey. (others categorize Erzulie Dantor as Rada and Erzulie Freda Dahomey as Danwonmen ) In the historical record of New Orleans, there is no evidence of an organization of Voudou spirits by famille . Petwo counterparts to Rada lwa - such as Damballah la Flambeau, Erzulie Dantor, and Maitre Carrefour - are absent.
Papa Lébat (Louisiana Voudou) might capture an earlier version of Papa Legba (Haitian Vodou), where he is both Atibon Legba and Maitre Carrefour. If Erzulie really was incorporated into Louisiana Voudou, it is possible she was both Erzulie Freda Dahomey and Erzulie Dantor.”
Upon reflection, I realize this theory doesn’t actually make sense.
The emergence of Erzulie Dantor can be dated to Bwa Kayiman. The Saint-Domingans fled to New Orleans years after this event. It is very unlikely that Erzulie Dantor would have merged with Erzulie Freda during this time window.
Because the historical record is so sparse, there is a lot of uncertainty here. But it seems more sensible that the Saint-Domingans would have brought something resembling Azili and possibly Erzulie Freda Dahomey, if they brought a version of Erzulie with them at all. In other words, my previous speculation that this version of Erzulie would be both Erzulie Freda and Erzulie Dantor is probably wrong.
4 notes
·
View notes
Text
Parc national d’Ugam-Chatkal (UZ) – 26.12.23
Je regarde défiler les plaines de boue et de neige par la vitre du taxi. Plus loin, il y a le chrome éblouissant de grosses usines avec leurs hautes cheminées et leurs volutes blanches dans le ciel blanc. Encore plus loin se dessinent les montagnes que je prends pour les contreforts de l’Himalaya - c’est en vérité le début de la chaîne du Tian Shan qui finit en Chine.
On me dépose devant les grilles d’une imposante structure bien neuve et propre, avec des plates-bandes à peine germées. C’est le poste de la police des touristes. Je veux m’assurer d’une chose avant mon escapade dans le parc national d’Ugam-Chatka : y a-t-il des ours ? Je ne sais pas pourquoi c’est le seul doute que m’inspire mon organisation bancale. L’agent qui vient à ma rencontre avec une énergique poignée de main et un large sourire ne comprend pas bien non plus. Il a, quant à lui, beaucoup d’autres préoccupations à mon égard. Un touriste qui s’est mis en tête d’aller crapahuter seul dans les montagnes en plein hiver, ce n’est pas de son goût. Il me confirme cependant que je n’ai rien à craindre du côté des grizzlys. Malgré ses injonctions et sa proposition d’aller plutôt faire du ski dans une des stations à proximité, je m’obstine, comme à mon habitude.
Je monte à droite d’un barrage hydraulique en suivant une route en lacet jusqu’à une crête d'où l'on peut admirer un panorama à couper le souffle : un lac aux eaux turquoise enserré de falaises. Le soleil tombe rapidement derrière moi. Arrivé en haut, je ne trouve nulle vue grandiose de paysages éblouissants, mais un haut mur de ciment coiffé de barbelés. Dépité, je continue le chemin sur le bas-côté jonché de déchets, en longeant cette horreur.
Après une bonne heure de marche, une trouée se présente. Je peux enfin admirer l'eau bleue les falaises et le reste, baignés dans la lumière rasante du coucher de soleil. J’avise à l’extrémité du lac des plages de sable qui pourraient être parfaites pour bivouaquer. Je les atteins quand la nuit est tombée. Malheureusement, ici aussi des barrières et des barbelés m’en interdisent l’accès. Cette partie du pourtour est accaparée par une rangée de spas luxueux qui dressent leurs frontières avec des clôtures et des gardiens et des chiens, pour s’assurer que les plages restent bien désertes, même si les établissements sont fermés pour la saison. J’entre plus loin dans un village. On m’observe passer sans rien dire. Là encore, l’accès au lac est privatisé. Des panneaux avec les prix à l’heure et à la journée décorent les grilles. Je ne me sens pas en forme. J’ai le cafard en repensant aux paroles de l’agent qui m’avait prévenu que le lac était fermé. Comment peut-on fermer un lac, avais-je pensé alors ? Les regards que je sens sur moi depuis les fenêtres en bernes me poussent à m’enfoncer plus loin vers les hauteurs, dans les champs labourés, pour y planter ma tente.
Je dors mal cette nuit-là. Je suis en train de couler dans une masse d’eau sombre. Je vois au travers de la surface des gens passer. Des amis, ma famille ; je les vois aller et venir sans me remarquer, sans réaliser que je m’enfonce toujours plus profondément dans l’eau noire et glacée.
Je me réveille avec dans la tête une voix trop lointaine pour que je discerne ce qu’elle dit. Puis j’émerge complètement et me rends compte que cette voix ne fait pas partie de mon rêve et qu’elle n’est pas distante, qu’elle est même très proche, à moins d’un mètre de mon abri. Pris de panique, je m’habille en hâte et passe la tête dehors. À ce moment, je comprends d’où me venait cette sensation de froid dans mon rêve. Les températures ont drastiquement chuté pendant la nuit. Il a neigé. Le champ est recouvert d’un épais manteau blanc, et une carapace de glace enserre la toile de ma tente. Juste derrière le fil électrique se trouve un homme. Il ne parle plus, il se contente de lever les sourcils en me dévisageant. J'esquisse un bonjour de la main, plus universel que les mots. Il se remet à parler sans que je puisse comprendre quoi que ce soit. Je m’excuse en anglais et en russe. Il se tait à nouveau, fait un geste du bras qui peut tout aussi bien dire « viens, suis-moi », que « va au diable », et repart.
Je m’empresse de lever le camp. J’ai du mal à rempaqueter tellement mes doigts sont engourdis. Plus loin sur le chemin je tombe sur un conteneur aménagé en cabane avec des fenêtres et une porte taillées dans la tôle. Je tente ma chance et toque. Pas de réponse. Du ciel gris commencent à tomber de gros flocons. Je reste encore un peu sans trop savoir quoi faire. L’eau s’infiltre dans mes vêtements, troués depuis l’épisode du feu de bois dans la réserve de Ponichala en Géorgie. Mes chaussures ne sont pas mieux, fatiguées de ces trois mois de périple, les coutures s’effilochent. Le blizzard s’intensifie, je ne vois plus les montagnes autour, ni les champs enneigés. Il n’y a plus que moi, le froid et cette maisonnette… vide.
Le retour se fait à tâtons dans un néant blanc hypnotique et silencieux. Je ne reverrais pas le lac, ni même les grilles des spas et leurs gardes, cachés par le rideau cotonneux qui tombe, toujours plus dense. Vers midi, l’agent de la police des touristes m’appelle (on avait convenu qu’il prendrait de mes nouvelles tous les jours de mon trek pour s’assurer que je vais bien). Il est soulagé d’apprendre que je serais de retour aussi vite, et me dit en rigolant qu’il a reçu quelques appels au sujet d’un grand type avec un gros sac à dos qui errait dans la région.
De retour au pied du barrage, je prends un téléphérique pour visiter les hauteurs. Un truc à faire absolument d’après l’agent. Le temps s’est dégagé. En haut, je trouve une petite esplanade déserte avec des jeux pour enfant et des stands fermés. Je trouve l’endroit lugubre et n’y reste pas longtemps. Dans la cabine me ramenant en bas, je contemple la courbe bétonnée du barrage, le quadrillage de la ville, la rangée de dents blanches des montagnes. Je me sens vide. La solitude et les désillusions s'installent, à l'aise, dans mon spleen. Pour la première fois depuis que je suis parti avec Francine dans les rues désertes de Nantes, le silence me dérange. Je vois le sol venir à moi, lentement, et je sens sur mes joues rouler mes larmes.
2 notes
·
View notes